Dépistage du cancer colorectal: les recommandations persistent et se précisent! Lignes directrices 2016 du GÉCSSP

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1 Dépistage du cancer colorectal: les recommandations persistent et se précisent! Lignes directrices 2016 du GCSSP Stéphane Groulx,.D., CC, C embre du GCSSP édecin de famille, G Pierre-Boucher, Longueuil édecin-conseil, Direction de santé publique de la ontérégie Putting Prevention into Practice Canadian Task orce on Preventive Health Care Groupe d étude canadien sur les soins de santé préventifs Le présentateur n a aucun conflit d intérêt réel ou potentiel à déclarer embres du groupe de travail andat: mettre à jour les recommandations de 2001 sur le dépistage du cancer colorectal, à l intention des cliniciens de première ligne et des décideurs embres du GCSSP: aria Bacchus (Présidente) Rick Birtwhistle Jim Dickinson Gabriela Lewin Harminder Singh* Scott Klarenbach* arcello Tonelli Réseau national de dépistage du cancer colorectal: Verna ai* Agence de santé publique du Canada: Lesley Dunfield* Sarah Connor Gorber* Nathalie Holmes* Centre de revue et synthèse des données probantes: Donna itzpatrick-lewis* Ali Usman* *membres non-votants 2

2 Contexte Au Canada, le cancer colorectal (CCR) est la seconde cause de mortalité par cancer chez les hommes et la troisième chez les femmes, avec une probabilité à vie d en mourir de 3.5% et 3.1% respectivement On estime que 25,000 Canadiens ont reçu un diagnostic de CCR en 2015 (49 par 100,000) et que 9,300 Canadiens en sont morts (17 par 100,000) Des polypes à croissance lente, dont certains se cancérisent sur une période estimée à 11 ans, sont à l origine de la plupart des CCR La plupart des programmes canadiens de dépistage recommandent la recherche de sang occulte dans les selles (RSOS) par coloration au guaïac (RSOSg) ou par immunochimie (RSOSi ou IT), suivie de coloscopie en cas de résultat positif 3 éthodologie du GCSSP GCSSP ASPC Experts Parties prenantes Groupe de travail GRADE CRSDP Patients Définir le sujet et les questions de recherche tablir un protocole de revue et synthèse Analyser les résultats ormuler des recommandations pour la pratique clinique, les politiques et le grand public édia Transfert des connaissances Présentations Outils ormations Publications 4

3 Cadre d analyse pour le dépistage du CCR Adultes de 50 ans asymptomatiques non à haut risque Haut risque: CCR ou polypes antérieurs aladie inflammatoire de l intestin Q 2 Dépistage Q 3 Q 1 ortalité de toutes causes et par cancer colorectal Incidence de stade avancé Signes ou symtômes de CRC Histoire de CRC chez 1 parent du 1er degré Syndromes héréditaires (PA. Lynch) Risques du dépistage (reliés au test ou au suivi): anque d études Possibilité de mortalité, perforation, saignement +/ hospitalisation, faux positifs, faux négatifs, surdiagnostic 5 Interprétation des recommandations GRADE Implications Recommandation ORTE Recommandation AIBLE Pour les patients Pour les cliniciens Presque tous voudront adopter la recommandation et seule une faible proportion refusera Voudront appliquer la recommandation à la plupart de leurs patients La majorité voudra adopter la recommandation mais une importante minorité hésitera Reconnaitront que le choix peut différer selon les patients et qu ils doivent les aider à prendre une décision basée sur leurs valeurs et préférences Pour les décideurs La recommandation peut faire l objet d une politique publique dans la plupart des situations L application d une politique demandera un débat substantiel impliquant différentes parties prenantes 6

4 Recommandation 1: chez les ans, RSOS ou sigmoïdoscopie flexible (S) Le GCSSP recommande de dépister les ans par RSOS (guaiac ou immunochimique) tous les 2 ans, ou par sigmoïdoscopie flexible tous les 10 ans: Recommandation ORTE; preuves de qualité moyenne ORTE: à faire T La RSOS et la S sont deux tests valables chez les ortalité réduite statistiquement dans ce groupe NNS= 492 (RSOSg) et 343 (S) 7 Recommandation 2: chez les ans, RSOS ou sigmoïdoscopie flexible (S) Le GCSSP recommande de dépister les ans par RSOS (guaiac ou immunochimique) tous les 2 ans, ou par sigmoïdoscopie flexible tous les 10 ans: Recommandation AIBLE; preuves de qualité moyenne aible: à faire T ortalité non réduite statistiquement dans ce groupe Potentiel années de vie additionnelles sauvées chez les patients plus jeunes NNS=2665 (RSOSg) et 1853 (S) 8

5 Recommandation 3: chez les 75 ans et +, ne pas dépister Le GCSSP recommande de ne pas dépister les 75 ans et plus pour le cancer colorectal : Recommandation AIBLE; preuves de qualité faible T anque d études de qualité (ERC) sur les bénéfices et risques dans ce groupe aible: ne pas faire Le patient et son médecin peuvent décider autrement 9 Recommandation 4: ne pas utiliser la coloscopie comme test de dépistage initial Le GCSSP recommande de ne pas utiliser la coloscopie comme test de dépistage initial: Recommandation AIBLE; preuves de qualité faible anque de preuves directes (ERC) concernant les bénéfices T Coût d opportunité d utiliser la coloscopie aible: ne pas faire À discuter avec les patients, si test disponible 10

6 Comparaison des recommandations: GCSSP vs USPST GROUPES D ÂGE ODALITS & INTERVALLES GCSSP, ANS DPISTER (AIBLE) ANS DPISTER (ORT) > 75 ANS NE PAS DPISTER (AIBLE) RSOSg ou RSOSi Tous les 2 ans USPST (PRLIINAIRE, 2015) ANS DPISTER - Grade A DPISTER - Grade A ANS DPISTER - Grade C RSOSg ou RSOSi Tous les ans Sigmoïdoscopie flexible Tous les 10 ans Sigmoïdoscopie flexible Tous les 10 ans + RSOSi tous les ans Coloscopie comme test initial NE PAS DPISTER (AIBLE) Coloscopie comme test initial Tous les 10 ans Implantation des recommandations Les recommandations de 2016 sont en droite ligne avec celles de 2001, sauf pour l intervalle de la S qui passe de 5 à 10 ans Tous les programmes provinciaux recommandent la RSOS (la majorité la RSOSi) tous les deux ans. Aucun ne recommande la S (programme avec infirmières praticiennes en Ontario) Les facteurs qui influencent la volonté de se faire dépister sont: l invasivité, l inconfort/douleur, le besoin de sédation, l efficacité perçue du test, la confiance dans sa capacité de réaliser le test, la préparation nécessaire (purgation) et la fréquence des tests Bien que la S soit peu disponible, elle devrait être reconsidérée. Le plateau technique pour la réaliser est le même que celui de la coloscopie et elle ne nécessite pas l expertise d un gastro-entérologue 12

7 Outils de transfert des connaissances Le GCSSP produit des outils pour aider les cliniciens et les patients à appliquer les recommandations Un tableau des recommandations pour les cliniciens et une foire aux questions (AQ) pour les patients sont disponibles en français et en anglais sur le site web 13 Conclusions La recommandation faible de dépister les ans par la RSOS ou la S indique la nécessité de discuter avec ces patients des bénéfices et risques associés au dépistage, à la lumière de leurs valeurs et préférences. Il en est de même pour la recommendation de ne pas dépister à partir de 75 ans Le GCSSP ne recommande pas actuellement d utiliser la coloscopie comme test de dépistage. Toutefois, on attend les résultats de quatre essais randomisés contrôlés en cours, investigant les effets de la coloscopie de dépistage sur la mortalité 14

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