La consommation de cigarettes, d alcool et de drogues chez les jeunes du secondaire en Estrie

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1 Numéro 7 Avril 2013 La consommation de cigarettes, d alcool et de drogues chez les jeunes du secondaire en Estrie L EQSJS en bref De novembre 2010 à mai 2011, l Institut de la statistique du Québec (ISQ) a procédé à une enquête de santé auprès des jeunes inscrits dans une école secondaire du Québec : l Enquête québécoise sur la santé des jeunes du secondaire (EQSJS). L objectif de l EQSJS est de dresser un portrait de l état de santé physique, mentale et psychosociale des jeunes fréquentant l école secondaire, ainsi que des habitudes de vie susceptibles d avoir un impact sur leur santé. Près de répondants en Estrie Au niveau régional, près de élèves répartis dans 25 écoles et 256 classes ont participé à l enquête, un nombre qui nous permet d obtenir des données fiables et représentatives par territoire de MRC, ainsi que par commission scolaire. FAITS SAILLANTS INTRODUCTION L adolescence est une période charnière dans l adoption de comportements favorables ou néfastes pour la santé. Parmi ces comportements, la consommation de cigarettes, d alcool et de drogues est généralement expérimentée pour une première fois durant le passage à l école secondaire. L expérimentation faite durant la période de l adolescence est déterminante dans le maintien, l abandon ou la consommation responsable de ces substances à l âge adulte. Ce numéro de Vision Santé publique présente des résultats régionaux et locaux de l Enquête québécoise sur la santé des jeunes du secondaire (EQSJS) qui portent sur la consommation de cigarettes 2, d alcool et de drogues. Il traite également de consommation problématique d alcool et de drogues (Indice DEP-ADO). Finalement, certaines caractéristiques sociodémographiques associées à ces trois types de consommation chez les jeunes du secondaire seront décrites, et en conclusion, l évolution de ces comportements entre 2005 et sera abordée. Voici une synthèse de la consommation de cigarettes, d alcool et de drogues à différentes périodes dans la vie des élèves 1 du secondaire en Estrie. Proportion de consommateurs parmi les élèves du secondaire en Estrie (%) Cigarettes Alcool Drogues Initiation Consommation avant l âge de 13 ans Consommation au moins une fois au cours de leur vie (+) 28 En 1 re secondaire Fumeur Consommation au cours des 12 derniers mois En 5 e secondaire Fumeur Consommation au cours des 12 derniers mois (+) 48 (+) (-) (+) : Valeur significativement plus faible ou plus élevée que celle du Québec, au seuil de 0,05. 1 Dans ce texte, les expressions «jeunes» ou «élèves» réfèrent à ceux qui fréquentent l école secondaire. 2 Les questions posées dans l EQSJS ne concernent que l usage de la cigarette. Les petits cigares, les cigarillos ainsi que les autres formes de tabac ne sont pas considérés. 1

2 CIGARETTES 1 jeune sur 10 fume En Estrie, 34,8 % des jeunes du secondaire ont déjà essayé de fumer la cigarette (même si c était juste quelques «puffs»), et ce, tant chez les garçons que chez les filles. Deux MRC se distinguent par leur taux supérieur à la valeur régionale, soit le Val-Saint-François (42,5 %) et Coaticook (47,4 %). À l opposée, la Ville de Sherbrooke compte une proportion plus faible de jeunes qui ont déjà essayé la cigarette (30,1 %), comparativement à l Estrie. Par ailleurs, près du quart des jeunes, garçons ou filles, affirment avoir fumé une cigarette au complet au cours de leur vie. Encore une fois, la MRC de Coaticook se distingue par sa proportion significativement plus élevée (33,7 %) que la donnée régionale. Par ailleurs, notons que près de 10 % des jeunes âgés de 13 ans ou plus au moment de l enquête ont fumé une première cigarette avant d avoir 13 ans, en Estrie. Globalement, 10 % des jeunes fument. Ce chiffre passe de 3 % en 1 re secondaire à 16 % en 5 e secondaire, avec un plateau en 3 e et en 4 e secondaire (12 %). La répartition selon le type de fumeurs est la suivante : 4,2 % sont des fumeurs quotidiens (une personne qui a fumé 100 cigarettes ou plus au cours de sa vie et qui a fumé tous les jours durant le dernier mois). Parmi les fumeurs quotidiens, on estime que près de 30 % d entre eux fument 11 cigarettes ou plus par jour, et les garçons sont plus nombreux que les filles dans cette catégorie. 2,7 % sont des fumeurs occasionnels (une personne qui a fumé 100 cigarettes ou plus au cours de sa vie, mais qui n a pas fumé tous les jours durant le dernier mois). 3,3 % sont des fumeurs débutants (une personne qui a fumé entre 1 et 30 cigarettes au cours de sa vie et qui a fumé au cours du dernier mois). 89,8 % sont des non-fumeurs. Le tableau 1 présente la proportion de fumeurs (quotidiens, occasionnels et débutants) par MRC. Seule la MRC de Coaticook se différencie de la valeur régionale avec son taux de fumeurs significativement plus élevé (17,0 % contre 10,2 %). Tableau 1 Proportion de fumeurs parmi les élèves du secondaire, Estrie et MRC, Territoire Proportion de fumeurs (%) MRC du Granit 6,0 MRC des Sources 14,7 MRC du Haut-St-François 8,7 MRC du Val-St-François 10,0 Ville de Sherbrooke 8,8 MRC de Coaticook 17,0 (+) MRC de Memphrémagog 14,7 Estrie 10,2 (-) (+) : Valeur significativement plus faible ou plus élevée que celle de l'estrie, au seuil de 0,05. ALCOOL L Estrie et certaines MRC se démarquent par une forte proportion de jeunes du secondaire qui consomment de l alcool Trois indicateurs-clés seront analysés pour la consommation d alcool : la consommation d alcool au cours de la vie; la consommation d alcool au cours des douze derniers mois précédent l enquête; la consommation excessive d alcool (cinq verres ou plus lors d une même occasion) au cours des douze mois précédant l enquête. L enquête ne permet pas de savoir l âge moyen d initiation à l alcool, mais elle démontre qu environ 20 % des jeunes âgés de 13 ans ou plus au moment de l enquête ont consommé de l alcool pour la première fois avant d avoir 13 ans. Cette proportion est légèrement plus élevée chez les garçons (25 %) que chez les filles (18 %). En Estrie, deux tiers des jeunes ont consommé de l alcool au moins une fois au cours de leur vie et cette proportion est plus élevée que celle du reste du Québec (62,6 %). Par ailleurs, on observe la même tendance pour la consommation d alcool au cours des douze derniers mois, où 63,6 % des jeunes estriens disent avoir bu, contre 59,7 % des jeunes québécois. 2

3 Finalement, l Estrie présente également une proportion plus élevée que le Québec en ce qui concerne la consommation excessive d alcool au cours de la dernière année (45,9 % en Estrie contre 41,1 % au Québec). Figure 2 Répartition des jeunes selon le type de consommateur d alcool au cours des douze derniers mois, Estrie, La figure 1 illustre l évolution de ces trois types de consommation selon le niveau scolaire. Le pourcentage de consommation d alcool augmente graduellement à chacun des niveaux scolaires. Près de 30 % des jeunes de la 1 re secondaire ont déjà bu de l alcool au cours de leur vie ou dans les douze derniers mois, et ce chiffre grimpe à 90 % en 5 e secondaire. En ce qui concerne la consommation excessive, 10 % des jeunes de la 1 re secondaire ont bu cinq verres ou plus au cours d une même occasion dans la dernière année, tandis que trois quarts des jeunes de la 5 e secondaire l ont fait. En ce qui concerne les différences entre les sexes, notons qu en 1 re et en 2 e secondaire, les garçons sont proportionnellement plus nombreux à avoir consommé de l alcool au cours de leur vie ou dans les douze derniers mois. Cette différence s estompe dès la 3 e secondaire et disparaît en 4 e ou en 5 e secondaire. Cette différence entre les garçons et les filles chez les jeunes de la 1 re et de la 2 e secondaire ne s applique pas à la consommation excessive. Figure 1 Évolution de la consommation d alcool selon les niveaux scolaires, Estrie, En ce qui concerne la consommation excessive d alcool, un jeune sur dix affirme avoir bu cinq verres au plus lors d une même occasion, onze fois ou plus durant l année, ce qui équivaut à environ une fois par mois ou plus. Le tableau 2 présente les données des trois indicateurs de consommation d alcool par territoire des MRC et par cycle (premier cycle = 1 re et 2 e secondaire, deuxième cycle = 3 e, 4 e et 5 e secondaire). Quatre MRC se distinguent des autres par leurs taux plus élevés que la proportion régionale pour certains ou pour l ensemble des indicateurs : MRC du Granit : Les jeunes sont proportionnellement plus nombreux à avoir bu de l alcool au cours de leur vie et au cours des douze derniers mois pour les deux cycles du secondaire. Dans le cas de la consommation excessive, seul le deuxième cycle se démarque par sa valeur supérieure à la valeur régionale. MRC des Sources : Les jeunes sont proportionnellement plus nombreux à avoir consommé de l alcool au cours de leur vie, au cours des douze derniers mois, et à avoir eu une consommation excessive au cours des douze derniers mois, et ce, pour les deux cycles du secondaire. MRC du Haut-Saint-François : C est seulement au premier cycle que les jeunes présentent des proportions de consommation plus élevées que la proportion estrienne, et ce, pour les trois indicateurs. Le type de consommateurs d alcool établi selon la fréquence de consommation est illustré à la figure 2. En plus du tiers des jeunes qui sont abstinents, environ un jeune sur dix en a fait usage juste une fois pour essayer (expérimentateur), et quatre jeunes sur dix sont des consommateurs occasionnels. Finalement, environ 15 % des jeunes boivent de l alcool toutes les semaines. MRC de Coaticook : Au premier cycle, les jeunes de cette MRC sont proportionnellement plus nombreux que les jeunes estriens à avoir consommé de l alcool au cours de leur vie et au cours des douze derniers mois. On ne note aucune différence pour le deuxième cycle, ni pour la consommation excessive. 3

4 Tableau 2 Proportion de jeunes qui ont consommé de l alcool selon le cycle, Estrie et MRC, Proportion de jeunes qui ont consommé de l alcool (%) Territoire Au cours de leur vie Au cours des 12 derniers mois Cinq verres ou plus en une même occasion au cours des 12 derniers mois 1 er cycle 2 e cycle 1 er cycle 2 e cycle 1 er cycle 2 e cycle MRC du Granit 60,6 (+) 90,6 (+) 55,6 (+) 88,7 (+) 28,5 72,7 (+) MRC des Sources 64,6 (+) 91,4 (+) 58,9 (+) 88,4 (+) 44,9 (+) 76,4 (+) MRC du Haut-St-François 61,8 (+) 85,6 54,4 (+) 83,4 32,6 (+) 68,6 MRC du Val-St-François 49,2 74,7 45,3 71,1 29,0 57,7 Ville de Sherbrooke 36,0 80,5 33,2 77,5 16,1 58,1 MRC de Coaticook 51,8 (+) 86,2 46,6 (+) 83,7 27,3 68,0 MRC de Memphrémagog 47,0 85,5 43,2 83,9 24,3 69,1 Estrie 42,8 82,1 39,2 79,3 21,2 61,8 (-) (+) : Valeur significativement plus faible ou plus élevée que celle de l'estrie, au seuil de 0,05. DROGUE 3 jeunes sur 10 en ont déjà consommé Figure 3 Évolution de la consommation de drogues selon les niveaux scolaires, Estrie, Globalement, près de trois jeunes estriens sur dix ont déjà consommé de la drogue au cours de leur vie ou dans les douze derniers mois. Cette proportion est similaire à celle de l ensemble de la province. Par ailleurs, il n y a pas de différence entre les sexes. En ce qui a trait aux premières expériences de consommation, l enquête démontre qu environ 5 % des jeunes âgés de 13 ans ou plus au moment de l enquête ont consommé de la drogue pour la première fois avant d avoir 13 ans, et cette proportion est plus élevée chez les garçons (6,6 %) que chez les filles (3,7 %). La figure 3 présente l évolution de la proportion de jeunes qui ont déjà fait usage de drogues au cours de leur vie et au cours des douze derniers mois, selon le niveau scolaire. Ces proportions sont d environ 5 % en 1 re secondaire et montent graduellement pour atteindre environ 50 % en 5 e secondaire. Les garçons et les filles se comportent de la même manière. Les jeunes estriens du 5 e secondaire se démarquent des jeunes québécois du même niveau, car ils sont proportionnellement plus nombreux à avoir consommé de la drogue au cours de leur vie (51,3 % contre 46,7 %). Peu de MRC se distinguent des proportions régionales de consommation de drogues. Dans la MRC des Sources, les jeunes du premier cycle sont proportionnellement plus nombreux à avoir fait usage de drogues au cours de leur vie ou au cours des douze derniers mois. Dans la Ville de Sherbrooke et au niveau du deuxième cycle, on note que le pourcentage de jeunes qui ont consommé de la drogue au moins une fois dans leur vie est plus faible que la valeur régionale (37,7 % contre 39,5 %). 4

5 Tableau 3 Proportion de jeunes du secondaire qui ont consommé de la drogue selon le cycle, Estrie et MRC, Territoire Proportion de jeunes qui ont consommé de la drogue (%) Au cours de leur vie Au cours des 12 derniers mois 1 er cycle 2 e cycle 1 er cycle 2 e cycle MRC du Granit **10,8 44,3 **10,2 42,3 MRC des Sources *20,8 (+) 45,8 *20,3 (+) 41,8 MRC du Haut-St- François 14,5 32,6 12,5 29,0 MRC du Val-St-François *16,1 40,8 *16,1 38,5 Ville de Sherbrooke *8,9 37,7 (-) *8,3 36,0 MRC de Coaticook *14,7 34,8 *14,7 31,9 MRC de Memphrémagog *12,3 48,1 *11,5 43,8 Estrie 11,1 39,5 10,5 37,2 * Coefficient de variation supérieur à 15 % et inférieur ou égal à 25 %. La valeur de la proportion doit être interprétée avec prudence. ** Coefficient de variation supérieur à 25 %. La valeur de la proportion n est présentée qu à titre indicatif. (-) (+) : Valeur significativement plus faible ou plus élevée que celle de l'estrie, au seuil de 0,05. Le cannabis est la drogue la plus consommée. Parmi tous les élèves du secondaire en Estrie et au cours des douze derniers mois : 26,1 % des élèves ont consommé du cannabis; 7,5 % des élèves ont consommé de l ecstasy; 7,4 % des élèves ont consommé des hallucinogènes; 7,0 % des élèves ont consommé des amphétamines ou des méthamphétamines; 2,8 % des élèves ont consommé de la cocaïne. Dans la catégorie «Feu jaune», on retrouve environ 5 % des jeunes du secondaire, ce qui représente plus ou moins 900 adolescents en Estrie. Selon l interprétation de l indice DEP- ADO, ces derniers présentent des problèmes en émergence. Une intervention de première ligne est jugée souhaitable (information, discussion sur les résultats, intervention brève, etc.). Finalement, la catégorie «Feu rouge» comprend également environ 5 % des jeunes et ceux-ci présente des problèmes importants de consommation. Pour ces derniers, une intervention spécialisée est suggérée. Notons que la répartition des jeunes estriens selon l indice DEP-ADO se compare à la répartition provinciale. Tableau 4 Répartition des jeunes selon l indice DEP-ADO, Estrie, Indice DEP-ADO Feu vert Feu jaune Feu rouge Pourcentage (%) 90,3 5,2 4,5 Nombre L usage de la cigarette varie énormément en fonction de l indice DEP-ADO. Parmi les jeunes classés dans la catégorie «Feu vert», 5,4 % d entre eux fument. Dans la catégorie «Feu jaune», on retrouve 46,1 % de fumeurs et cette proportion est de 71,2 % chez les jeunes classés dans la catégorie «Feu rouge». Il est important de rappeler que les données présentées ne concernent que les jeunes qui fréquentaient une école secondaire au moment de l enquête. Les jeunes qui sont en difficulté et susceptibles d avoir d importants problèmes de consommation ou de polyconsommation sont souvent en marge du réseau scolaire (décrocheurs, jeunes de la rue, etc.). CIGARETTE, ALCOOL ET DROGUES L indice DEP-ADO est un outil fiable et valide qui permet de détecter la consommation problématique ou à risque d alcool ou de drogues chez les jeunes. Il est construit à partir de 25 questions. Tel que présenté dans le tableau 4, neuf jeunes sur dix se classent dans la catégorie «Feu vert», ce qui indique que ceux-ci ne présentent aucun problème évident de consommation. Caractéristiques associées L EQSJS a permis d établir certaines associations entre des caractéristiques sociodémographiques, économiques et scolaires des jeunes ou de leur famille, et les comportements des jeunes estriens. Vous trouverez à la page suivante une synthèse de ces associations. 5

6 Les jeunes sont proportionnellement plus nombreux à fumer : s ils considèrent leur état de santé passable ou mauvais; s ils sont inscrits dans un parcours autre que la formation générale (parcours adaptés pour les élèves en difficulté ou formations axées sur l emploi au deuxième cycle); si aucun de leurs parents n a fait d études postsecondaires. Les jeunes sont proportionnellement plus nombreux à avoir consommé de l alcool ou des drogues au cours des douze derniers mois : s ils considèrent leur performance scolaire dans la moyenne ou sous la moyenne. Il n y a pas d association entre la langue d enseignement et la consommation des trois types de substances à l étude en Estrie. Pour en connaître davantage sur les caractéristiques associées à la consommation de cigarettes, d alcool et de drogues, nous vous invitons à consulter le rapport provincial (1). Évolution de la situation de 2005 à En 2005, la Direction de santé publique de l Estrie avait procédé à une vaste enquête sur le tabac, l alcool et les drogues dans les écoles secondaires de la région (2). Bien que la méthodologie ne soit pas tout à fait identique, il est possible de comparer avec prudence certains résultats de cette enquête avec ceux de l EQSJS. L usage de la cigarette est à la baisse. En 2005, la proportion de fumeurs parmi les jeunes du secondaire s élevait à 17 %, alors qu elle est de 10 % en En ce qui concerne la consommation d alcool à vie, la proportion demeure la même. Lors des deux enquêtes, deux tiers des jeunes disent avoir bu de l alcool au moins une fois dans leur vie. Finalement, les drogues semblent également moins consommées qu avant. En 2005, 41 % des jeunes affirmaient avoir déjà pris de la drogue au cours de leur vie, alors que ce chiffre est de 28 % en Rédaction : Natalie Stronach et Marie-Thérèse Payre, Direction de santé publique de l Estrie Collaboration : Denise Beauséjour, Direction de santé publique de l Estrie Suzanne G. Tremblay, Commission scolaire Eastern Townships ISBN PISTES DE RÉFLEXION Il est important que les partenaires du réseau de la santé et des services sociaux, du réseau de l éducation, ainsi que les ressources communautaires restent mobilisés pour la mise en œuvre de stratégies multiples et efficaces. Les données d enquêtes peuvent jouer un rôle catalyseur pour ces partenaires. Déjà en 2005, à la suite de l enquête, les partenaires se sont impliqués dans une entente spécifique de 4 ans, Impact-Écoles, projet financé par tous ces partenaires et dédié spécifiquement à la prévention de la toxicomanie chez les élèves de l Estrie. Ce projet d ampleur a par la suite laissé place à l approche École en santé, pour laquelle le réseau de la santé et des services sociaux et le réseau de l éducation travaillent en étroite collaboration. Cette approche inclut la prévention des dépendances, dans une perspective large de renforcement des compétences des jeunes et leur famille sur six facteurs-clés, qui sont : estime de soi, compétence sociale, saines habitudes de vie, comportements sains et sécuritaires, environnements favorables, services préventifs. Les données de l EQSJS confirment la pertinence de cette approche globale, mais nous indiquent aussi que nous devons poursuivre nos efforts afin que l âge des premières expérimentations reste stable, et idéalement qu il augmente. Elles nous indiquent aussi d intensifier les actions préventives concernant la consommation excessive d alcool (cinq consommations et plus en une seule occasion). Par ailleurs, les activités de prévention de la toxicomanie se poursuivent par la Semaine nationale de prévention (troisième semaine de novembre), mais aussi par des actions régionales et locales, dictées par certaines réalités des milieux. De plus, la formation en continu des intervenants psychosociaux des milieux scolaires et du réseau de la santé, sur l outil de détection DEP-ADO, permet de repérer et de soutenir les jeunes et leurs familles en situation plus vulnérable quant à la consommation de substances. LISTE DES RÉFÉRENCES (1) INSTITUT DE LA STATISTIQUE DU QUÉBEC. Enquête québécoise sur la santé des jeunes du secondaire Tome 1. [En ligne]. [ me1.pdf]. (2) AGENCE DE LA SANTÉ ET DES SERVICES SOCIAUX DE L ESTRIE. Rapport de l enquête estrienne sur le tabac, l alcool et les drogues chez les élèves du secondaire Sherbrooke, 2006, 71 pages. 6

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