ÉTUDES SUR LES MODES DE VIE DANS L ORLÉANAIS AVRIL 2015

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1 Mode de vie étude 1 RAPPORT LE TOUR DE L AIRE URBAINE EN 80 INTERVIEWS ÉTUDES SUR LES MODES DE VIE DANS L ORLÉANAIS AVRIL 2015

2 Agence d urbanisme de l agglomération orléanaise 3, rue de la Cholerie Orléans tél. : agence.urba.orleans@auao.org date de publication : avril AUAO

3 1 RAPPORT LE TOUR DE L AIRE URBAINE EN 80 INTERVIEWS ÉTUDES SUR LES MODES DE VIE DANS L ORLÉANAIS AVRIL 2015

4 SOMMAIRE 4 Introduction 5 Contexte et démarche 6 Composition du panel ANALYSES THÉMATIQUES 10 COMPOSITION DES MÉNAGES Typologie des ménages Impacts et interactions Enjeux pour le territoire HABITATION ET LOGEMENT Typologie des logements Impacts et interactions Enjeux pour le territoire FORMATION ET EMPLOI Un large éventail de situations face à l emploi Domaines d interactions Enjeux pour le territoire MOBILITÉS ET DÉPLACEMENTS Des modes de vie en forte relation avec le mode de transport Impacts et interactions Enjeux pour le territoire CONSOMMATION ET PRATIQUES D ACHATS Petits commerces, grandes surfaces et e-commerce : entre oppositions, alternance et complémentarité Impacts et interactions Enjeux pour le territoire LOISIRS SPORTIFS ET CULTURELS Des activités de loisirs très variées Impacts et interactions Enjeux pour le territoire SANTÉ ET ACCÈS AUX SOINS SOS médecins? Enjeux pour le territoire SÉCURITÉ, CIVISME ET VIVRE ENSEMBLE Des petits désagréments du quotidien Enjeux pour le territoire Synthèse des enjeux 4 > ÉTUDES SUR LES MODES DE VIE DANS L ORLÉANAIS

5 ÉTUDES SUR LES MODES DE VIE DANS L ORLÉANAIS LE TOUR DE L AIRE URBAINE EN 80 INTERVIEWS En 2014, durant l été, 80 habitants du territoire ont été interviewés pour décrire leur mode de vie avec leurs mots, afin de permettre de mieux comprendre leur quotidien, leurs activités, leurs centres d intérêt, mais aussi leurs préoccupations et attentes. Le corpus recueilli représente plus de 38 heures d entretiens enregistrés entre le 13/06/2014 et le 25/07/2014 par deux enquêteurs. Dans un premier temps, les interviewés ont été recrutés sur l espace public, puis ils ont été sélectionnés pour des caractéristiques spécifiques (logement social, commune particulière, situation de handicap ) par différents canaux (maison de l habitat, associations ). Enfin, des contacts ont été obtenus par l intermédiaire des premiers interviewés (méthode dite «boule de neige»). Bien que ce panel ne soit pas représentatif au sens statistique du terme, un soin particulier a été apporté à sa composition pour veiller à ce qu elle reflète une très grande diversité de profils recrutés (parité homme femme, lieux et types d habitat variés, diversité d âges et de situations face à l emploi, etc.). Un échantillon aléatoire n aurait pas permis de réunir une telle diversité dans un groupe constitué de seulement 80 personnes. De ce fait, il ne faut pas extrapoler les informations obtenues comme il est possible de le faire avec un échantillon représentatif, ni exprimer des proportions entre des groupes de pratiques ou d appartenances. Les personnes interrogées ne sont pas les porte-paroles de leur groupe. Elles ne parlent qu en leur nom, leurs propos ne reflètent que leur point de vue et leur situation personnelle, mais elles sont bavardes et disent déjà beaucoup de choses. Elles sont trop volubiles pour relater ici l intégralité de leurs paroles, c est pourquoi un important travail d analyse a été réalisé, afin d en faire la synthèse et en tirer des enseignements de portée générale. ÉTUDES SUR LES MODES DE VIE DANS L ORLÉANAIS < 5

6 INTRODUCTION OBJECTIFS DE L ÉTUDE CETTE ÉTUDE SUR LES MODES DE VIE PREND LE PARTI DE CHANGER DE REGARD POUR ADOPTER LE POINT DE VUE DES HABITANTS, DE LEUR VÉCU, LEURS HABITUDES ET LEUR QUOTIDIEN, EN CONSIDÉRANT QU IL S AGIT D UN ANGLE MORT À LA FOIS DE L ACTION PUBLIQUE ET DE SON ÉVALUATION. L HYPOTHÈSE EST QUE PAR CETTE OPTIQUE DEVIEN- DRONT VISIBLES DES PRÉOCCUPA- TIONS ORDINAIRES, PORTANT SUR LE DOMAINE DE PERTINENCE DE L ACTION PUBLIQUE. Le matériau recueilli permet de : - Décrire les modes de vie avec les mots et le point de vue des personnes sans les réduire à des chiffres et des catégories. Pour sortir de la position surplombante et statistique qui consiste à observer des effectifs agrégés selon des typologies établies à priori, les personnes rencontrées sont interrogées sur leurs pratiques quotidiennes. Elles sont amenées à les décrire, les expliquer (pourquoi cette pratique?) et exprimer leur satisfaction vis-àvis de l état actuel ou leur volonté de changement (de logement, de territoire, d emploi, de mode de déplacement) avec leurs mots. Ces paroles d habitant peuvent servir d illustrations sous forme d extraits choisis faisant office de témoignage de «vrais gens», qui font souvent défaut dans nos publications rédigées sur le mode «le recensement dit que». - Réintroduire de la complexité dans les situations vécues. Un des attendus premiers de cette description du quotidien par les principaux intéressés est de mieux mettre en relation des pratiques avec leur contexte (la localisation du logement expliquant les déplacements, le lieu de travail expliquant le choix du logement, l état de santé du conjoint expliquant l aménagement intérieur du logement, ). Les explications sont celles exprimées par les interviewés et non une corrélation de variables (revenu parce que l âge, éloignement du centre parce que faibles revenus) décidée par l analyste. Une fois recueilli ce matériau autobiographique dont la valeur première est en soi la description située du mode de vie, l analyse thématique fait ressortir pour chaque thème étudié, les oppositions et les points communs qui permettent au mieux de caractériser les personnes. Chaque thème montre aussi les principales interactions qu il entretient avec d autres domaines de la vie, car les personnes montrent des liens. Enfin, chaque thème débouche sur une réflexion en termes d enjeux pour l action publique formulée à partir des témoignages recueillis. Ces enjeux sont des enseignements que l on peut tirer ou plus modestement des pistes de questionnement, qu il faudrait creuser et documenter davantage. Pour ne prendre qu un exemple, lorsque les périurbains affirment qu ils ont choisi de s installer au vert, pour avoir une grande maison et un grand jardin, cela interroge à la fois sur le bienfondé du présupposé que les ménages partent à la périphérie principalement pour des raisons budgétaires (subissant le marché) et aussi sur le bon niveau de densité de la ville, les formes urbaines et architecturales. L idée est donc de repenser l action publique à la lumière de ces descriptions des pratiques quotidiennes. Les modes de vie décrits questionnent et obligent à changer les catégories employées pour penser l aménagement urbain. Les entretiens conduits garantissent une description des modes de vie, dont la valeur est intrinsèque : il s agit du produit primaire ou brut des entretiens. À partir de cette matière première, l analyse apporte une plus-value consistant à gommer ce qui relève de l anecdote ou du cas particulier, et permet donc de généraliser en relevant les oppositions fondamentales entre différents groupes, mais aussi les domaines qui au contraire transcendent les particularités et relèvent du point commun. Il s agit donc d un produit secondaire et dérivé. Il est possible que dans les discussions l intervention publique reste invisible ou transparente, qu elle ne pose pas problème. De même, les problèmes du quotidien soulevés n appellent pas forcément une réponse ou un traitement public. En revanche, la focalisation sur les pratiques quotidiennes nous préserve autant que possible d un effet d écho en termes de revendication. En effet, le dispositif d enquête proposé ne produit pas artificiellement des revendications comme pourrait le faire un entretien centré sur des attentes (auquel cas, il est probable que les interviewés souhaiteraient tous des interventions publiques tout le temps et partout et surtout pour eux). 6 > ÉTUDES SUR LES MODES DE VIE DANS L ORLÉANAIS

7 INTRODUCTION CONTEXTE ET DÉMARCHE Initialement, l agence d urbanisme s est intéressée à la question des modes de vie lorsqu en 2013 ses membres et plus particulièrement son président de l époque Charles- Éric LEMAIGNEN, lui ont demandé de produire des analyses prospectives qui pourraient alimenter les réflexions à engager dans le cadre des travaux préalables aux démarches de «projet de territoire» et de révision du SCoT de l agglomération. Les premières réponses à cette demande furent : - la réalisation d une exposition intitulée «Rétro/per/prospective», faisant la synthèse à la fois des exercices de prospective menés localement par le passé et de travaux plus contemporains, comme les projections démographiques de l INSEE ou la démarche Territoires 2040 menée par la DATAR. - un séminaire interne à l agence, auquel était invité Jean-Yves CHAPUIS, urbaniste de renom, qui a exercé plusieurs mandats d élu à Rennes (04/04/2013). - un atelier de travail intitulé «Modes de vie et action publique» auquel a participé le personnel de la communauté d agglomération (17/10/2013). L atelier a été suivi par un «Jeudi de l Urba» consacré au thème «Modes de vie et espaces urbains» en présence d Alain BOURDIN, Professeur de Sociologie à l Institut d Urbanisme de Paris. C est ce premier mouvement qui a véritablement initié la démarche, en pointant l intérêt de sortir du cadre institutionnel et des dires d experts pour aller vers les habitants et faire parler le territoire. Il a alors été décidé de lancer une étude pilotée par la Directrice de l Agence, le responsable des observatoires et un chargé d études. L équipe a été confortée par deux enquêteurs expérimentés recrutés pour l occasion : une doctorante en Sociologie de l Université de Tours et un Docteur en Géographie de l Université d Orléans. Durant l été 2014, ils ont réalisé 80 entretiens. Les 38 heures d enregistrement audio ont été intégralement retranscrites et analysées, pour permettre la rédaction du présent rapport. La première étape de cette analyse avait pour but de dresser le portrait synthétique de chacun des enquêtés (voir la galerie de portraits en annexe). Une seconde étape a consisté à classer chaque partie de la conversation en thèmes. Enfin l analyse développée dans le rapport met en valeur les divergences et convergences observées en les illustrant par des citations. Une notice méthodologique présente plus en détail le travail effectué et est disponible dans le document des annexes. ÉTUDES SUR LES MODES DE VIE DANS L ORLÉANAIS < 7

8 COMPOSITION DU PANEL LES PROPOS COLLECTÉS ÉTANT CEUX D UN NOMBRE LIMITÉ DE PERSONNES, LA COMPO- SITION DU PANEL EST UNE INFORMATION CRUCIALE POUR COMPRENDRE LEUR NATURE ET APPRÉCIER LA QUALITÉ DES PAROLES RECUEILLIES. POUR FORMER CE PANEL, LA PLUS GRANDE DIVERSITÉ DE PROFILS A ÉTÉ RECHER- CHÉE, INDÉPENDAMMENT DE CE QU ILS PEUVENT REPRÉSENTER DANS LA POPULATION TOTALE. VOICI COMMENT IL SE COMPOSE : VEUF (2 PERS.) MARIÉ (39 PERSONNES) CÉLIBATAIRE (22 PERS.) UNE QUASI-PARITÉ DE SEXE (Figure 1 : Répartition des enquêtés selon leur sexe) EN COUPLE (16 PERS.) DIVORCÉ (1 PERS.) ANS (14 PERSONNES) 20 À 29 ANS (16 PERSONNES) À 59 ANS (19 PERSONNES) 40 À 49 ANS (11 PERSONNES) 30 À 39 ANS (20 PERSONNES) UNE DIVERSITÉ D ÂGE COMPRENANT DES PERSONNES ÂGÉES DE 20 À 84 ANS (Figure 2 : Répartition des enquêtés selon leur classe d âge) et + 7 UNE DIVERSITÉ DE SITUATION FAMILIALE TANT EN TERMES DE STATUT MATRIMONIAL ET DE NOMBRE D ENFANTS (Figure 3 : Répartition des enquêtés selon leur situation maritale et Figure 4 : Répartition des enquêtés selon leur nombre d enfants) > ÉTUDES SUR LES MODES DE VIE DANS L ORLÉANAIS

9 INTRODUCTION Agriculteurs Artisans, commerçants et chefs d entreprises Cadres et professions intellectuelles supérieures Employés Ouvriers Professions intermédiaires En recherche d emploi Sans emploi Étudiants Retraités UNE VARIÉTÉ DE SITUATIONS PROFESSIONNELLES ET DE NIVEAU DE VIE Afin de ne pas questionner les revenus (ce qui peut être gênant ou délicat à aborder), le niveau de vie a été estimé a posteriori en considérant la profession (y compris du conjoint), le logement et en comparant les personnes entre elles. L essentiel du panel se concentre dans la classe moyenne (B), mais des personnes ressortent comme plus aisées (A) ou au contraire plus modestes (C). (Figure 5 : Répartition des enquêtés selon leur activité) 20 (Figure 6 : Répartition des enquêtés selon l activité de leur conjoint (N=55)) C (12 PERSONNES) A (15 PERSONNES) B (53 PERSONNES) Agriculteurs Artisans, commerçants et chefs d entreprises Cadres et professions intellectuelles supérieures Employés Ouvriers Professions intermédiaires En recherche d emploi Sans emploi Étudiants Retraités NR (Figure 7 : Répartition des enquêtés selon une estimation de leur niveau d aisance (A = aisé, B = moyen, C = modeste)) ÉTUDES SUR LES MODES DE VIE DANS L ORLÉANAIS < 9

10 MAISON (50 PERS.) CHEZ PARENTS LOCATAIRES (1 PERS.) APPARTEMENT (30 PERS.) 1 3 PROPRIÉTAIRE (43 PERS.) CHEZ PARENTS PROPRIÉTAIRES (3 PERS.) LOCATAIRE (30 PERS.) UNE DIVERSITÉ DE LOGEMENTS et cela sur différents plans : le type, le statut d occupation, l ancienneté dans le logement, ainsi que sa localisation géographique en considérant son niveau de centralité. Ainsi, les personnes interrogées résident dans 27 communes différentes et elles ont été réparties en quatre catégories : le centre-ville d Orléans, le noyau urbain (défini comme le reste d Orléans et les communes limitrophes Olivet, Fleury-les- Aubrais, Saint-Jean-de-Braye, Saint-Jean-de-la-Ruelle et Saint- Jean-le-Blanc), le reste de l Agglomération (1 èe couronne périurbaine) et le reste de l Aire urbaine(2 de couronne périurbaine), afin d apprécier leur niveau de centralité. (Figure 8 : Répartition des enquêtés selon leur type d habitation et Figure 9 : Répartition des enquêtés selon leur statut d occupation du logement) (Figure 10 : Répartition des enquêtés selon leur ancienneté dans le logement) 20 ANS ET + (16 PERSONNES) 0 À 4 ANS (32 PERSONNES) LOGEMENT DE FONCTION (2 PERS.) LOCATAIRE CHEZ PARENTS (1 PERS.) C EST CETTE GRANDE DIVERSITÉ SUR DE NOMBREUX PLANS QUI PERMET D ABORDER DES SITUATIONS EXTRÊMEMENT CONTRASTÉES. AVEC 80 PERSONNES, UN ÉCHANTILLON QUI SE SERAIT VOULU REPRÉSENTATIF AURAIT DÛ RÉDUIRE LE NOMBRE DE PARAMÈTRES PRIS EN CONSIDÉRATION. À L ARRIVÉE, LE PANEL AURAIT EU DE FORTES CHANCES D ÊTRE BEAUCOUP PLUS HOMOGÈNE ET CONCENTRÉ SUR DES SITUATIONS MOYENNES OU NORMALES, NÉGLIGEANT LES MARGES. 15 À 19 ANS (10 PERSONNES) 10 À 14 ANS (5 PERSONNES) 5 À 9 ANS (12 PERSONNES) (Figure 11 : Répartition des enquêtés selon la localisation de leur logement) RESTE DE L AIRE URBAINE (12 PERS.) RESTE DE L AGGLO (13 PERS.) NOYAU URBAIN (42 PERS.) CENTRE-VILLE (13 PERS.) 10 > ÉTUDES SUR LES MODES DE VIE DANS L ORLÉANAIS

11 ANALYSES THÉMATIQUES LE GUIDE D ENTRETIEN ABORDE DIFFÉRENTS THÈMES QUI SONT PRÉSENTÉS UN À UN, AFIN DE DISCERNER LES POINTS COMMUNS ET CLIVAGES QUI EXISTENT POUR CHACUN D EUX. 1. COMPOSITION DES MÉNAGES 2. HABITATION ET LOGEMENT 3. FORMATION ET EMPLOI 4. MOBILITÉS ET DÉPLACEMENTS 5. CONSOMMATION ET PRATIQUES D ACHATS 6. LOISIRS SPORTIFS ET CULTURELS 7. SANTÉ ET ACCÈS AUX SOINS 8. SÉCURITÉ, CIVISME ET VIVRE ENSEMBLE ÉTUDES SUR LES MODES DE VIE DANS L ORLÉANAIS < 11

12 1COMPOSITION DES MÉNAGES CETTE ÉTUDE SUR LES MODES DE VIE PREND LE PARTI DE CHANGER DE REGARD POUR ADOPTER LE POINT DE VUE DES HABITANTS, DE LEUR VÉCU, LEURS HABITUDES ET LEUR QUOTIDIEN, EN CONSIDÉRANT QU IL S AGIT D UN ANGLE MORT À LA FOIS DE L ACTION PUBLIQUE ET DE SON ÉVALUATION. L HYPOTHÈSE EST QUE PAR CETTE OPTIQUE DEVIENDRONT VISIBLES DES PRÉOCCUPATIONS ORDINAIRES, PORTANT SUR LE DOMAINE DE PERTINENCE DE L ACTION PUBLIQUE. TYPOLOGIE DES MÉNAGES LE NOMBRE DE PERSONNES ET LEURS ÂGES COMME PARAMÈTRES ESSENTIELS DES MODES DE VIE NOMBRE DE PERSONNES DANS LE LOGEMENT Le ménage est l ensemble des personnes qui partagent le même logement. Le fait d habiter seul ou à plusieurs modifie considérablement les manières de vivre dans la mesure ou chaque membre participe d une façon ou d une autre à l économie du ménage. En ce sens, le fait de vivre seul ou à plusieurs peut orienter les choix, les actions et les aspirations du quotidien. SEUL, l habitant unique du logement en assume l intégralité des charges. Il dispose par ailleurs d une totale liberté dans ses horaires, allées et venues, son mode d organisation. Il s agit de célibataires (de tout âge) et de personnes séparées, divorcées ou veuves. À 52 ans, 30 Stéphanie est célibataire et il y a 8 ans, elle a décidé de s installer dans le centre-ville d Orléans pour devenir propriétaire. «Je suis célibataire. Je n ai pas d enfant et je n envisage pas d en avoir.» 69 Joseph (57 ans) est célibataire, sans enfant, et vit seul dans un appartement dont il est propriétaire à Fleuryles-Aubrais depuis 30 ans : «Je suis célibataire, vraiment célibataire!». À PLUSIEURS, le ménage permet de répartir les rôles et les fonctions entre chacun de ses membres, mais il oblige aussi à des ajustements réciproques : il faut s organiser, se coordonner, convenir d horaires, etc. La cohabitation est souvent synonyme de vie de famille, mais ce n est pas toujours le cas (colocation, sous-location, etc.). La vie de famille engendre des mises en commun et des ajustements plus importants, entre les conjoints ou avec les enfants. 12 > ÉTUDES SUR LES MODES DE VIE DANS L ORLÉANAIS

13 COMPOSITIONS DES MÉNAGES Parmi les ménages comptant plus d une personne, le critère le plus différenciant est donc la présence d enfant(s) à charge, leur nombre et leur âge. L arrivée des enfants limite le temps disponible du ou des parents qui en ont la charge. En gagnant en autonomie, les enfants vont de nouveau offrir des disponibilités plus grandes à leurs parents. Après leur départ du domicile familial, les parents vont redevenir un couple sans enfant (avec quelques années en plus). Du point de vue de leur mode de vie, les couples sans enfants ont une proximité plus grande entre eux, indépendamment de leur âge, qu avec des couples du même âge mais ayant des enfants à charge. En règle générale, ils sortent plus et disposent de plus de temps pour des activités (sportives, récréatives, créatives, associatives). Mais leurs choix de vie vont aussi être fonction du cycle de vie et donc de leur âge et de celui des enfants. ÂGE ET EFFETS DE GÉNÉRATION Vivre seul à 20 ans ou à 70 ne signifie pas la même chose. Pour les premiers, c est une étape qui ne durera pas forcément et souvent une émancipation, alors que dans le second cas, c est probablement une situation peut-être moins heureuse (décès du conjoint, perte d autonomie) et parfois une situation inédite (remariage). Parmi les ménages avec enfant(s), leur nombre et leur âge engendrent des différences significatives. Les familles nombreuses imposent une organisation particulière (logement, véhicule, courses, planning ) : «on est une grande famille il faut une organisation ça dépend de leur emploi du temps (les enfants). Lorsqu ils doivent partir un peu tard par rapport à nous, ils partent à vélo. Sinon je les dépose le matin, c est ma route.» 45 Paul (45 ans, 5 enfants) Les familles monoparentales font reposer toute la charge infantile sur un seul parent. Les enfants en bas âge requièrent une attention de tous les instants, alors qu adolescents ils acquièrent une large autonomie : «Les enfants, ils sont pompiers volontaires. Il y en a une qui fait partie de l amicale, des choses comme ça, une qui donne des cours [ ] à Orléans, une qui fait du théâtre. On n est jamais à la maison [ ] on ne rentre pas à la même heure le soir En fait on ne mange pas ensemble le soir parce qu on n a pas les mêmes horaires, [ ] on s éparpille.» 78 Marguerite (51 ans, divorcée, 4 enfants de 14 à 23 ans) «Je suis célibataire, je vis avec mes enfants [ ] J en ai neuf.» 13 Delphine (43 ans, 9 enfants de 7 à 21 ans) «Je suis mariée, j ai deux enfants [ ] notre maison appartenait à la grandmère de mon mari [ ] elle vit à l intérieur.» 76 Viviane, 37 ans, mariée, 2 enfants La plupart des personnes interrogées dans notre enquête correspondent au schéma de base, communément utilisé en statistique (ménage d une personne/famille). Toutefois, nous avons également rencontré des personnes qui échappaient à cette typologie simple. - Des personnes en instance de séparation : un couple devenu colocataires provisoires «Je suis séparée et je vis en collocation avec le père de mes enfants» 11 Amélie (42 ans, 2 enfants) ; une étudiante sur le point de quitter le domicile parental «J étais en prépa kiné et là j ai été prise dans une école, donc je pars à Berck en septembre». 4 Lucie (21 ans, sans enfant, hébergée chez ses parents) - Des ménages à géométrie variable : famille birésidentielle, couple séparé et remis en couple : «Je suis divorcée [ ] il y a mes enfants le week-end et puis de temps en temps enfin je suis divorcée, mais de nouveau avec mon ex-mari, mais il habite en Bretagne, donc quand il est là, on est deux, quand ça dépend, des fois on est quatre, six, ça dépend des moments.». 23 Alizée, 57 ans, 2 enfants Ce sont aussi des personnes dont la structure du ménage est variable dans un temps relativement court (jour/semaine/week-end), ou dans l espace (couples séparés géographiques). Elles ne sont ni complètement seules, ni complètement en famille, mais pourraient tout aussi bien appartenir à l un ou l autre des groupes. Par exemple, 75 Télio (28 ans), étudiant et salarié à temps partiel qui est hébergé par ses parents depuis son retour de l étranger, et qui envisage de repartir travailler en Asie après l obtention de son diplôme. Il alterne entre des phases solitaires et familiales, dans une situation qui reste provisoire. Il y a aussi des personnes qui au premier abord se rangeraient dans une case et dont la situation est en fait bien différente. C est le cas de 63 Bernadette (84 ans, 2 enfants), qui se déclare veuve et vivant seule, mais qui au fil de l entretien évoque deux autres personnes qu elle héberge : son compagnon et un étudiant en location. Ainsi l approche très linéaire célibat mise en couple enfant départ des enfants mort du conjoint, peut être compliquée par des séparations (conjugales ou géographiques), des unions ou ré-unions, la naissance tardive d un enfant La structure du ménage ainsi créée interagit avec l ensemble des champs d activités du ménage. ÉTUDES SUR LES MODES DE VIE DANS L ORLÉANAIS < 13

14 IMPACTS ET INTERACTIONS L HABITAT (TAILLE, LOCALISATION, STATUT D OCCUPATION, PERCEPTION DE LA VILLE) PLUS LE MÉNAGE EST GRAND, PLUS IL ASPIRE À UN LOGEMENT GRAND, SOUVENT HORS DU CENTRE-VILLE, AVEC DE PRÉFÉRENCE UN STATUT DE PROPRIÉTAIRE. «l ancien logement était devenu petit. On a une grande famille.» 47 Paul (45 ans, marié, 5 enfants, héberge souvent sa mère, sa belle-mère et son beau-frère, propriétaire d un F7 avec grand jardin, à Ingré) «Avant d être dans ce logement, on habitait avec ma femme sur Saint- Jean-le-Blanc. On a déménagé pour acheter une maison et ça coïncidait avec l arrivée de mon deuxième enfant.» 54 Michael (38 ans, 2 enfants, propriétaire d un F5 avec jardin, à Orléans sud) «J attends d être en couple avant de déménager.» 27 Albéric «Notre fils ainé avait été scolarisé à l école de La Madeleine, et la maison où on habitait avant, [ ], ne correspondait plus au collège de rattachement.» 12 Jeannette (53 ans, 2 enfants, propriétaire d une maison individuelle avec jardin au Faubourg Madeleine) Pour l espace, le jardin et la tranquillité, les familles ont une grande aspiration à s éloigner du centre-ville qu elles jugent souvent inadapté à leurs besoins. Cette aspiration est aussi liée à une certaine perception de la vie en ville. L image d une ville, qui offrirait un habitat (type de logement, environnement immédiat, voisinage) inadapté pour les familles, est régulièrement décrite : «Je ne me verrais pas vivre à Orléans ou en ville, vivre entassés les uns sur les autres on a besoin d espace [ ] Les enfants, ils jouent ensemble.» 7 Odile (vigneronne, 42 ans, mariée, 2 enfants, propriétaire d un F4 à Mareau-aux-Prés) RÉCIPROQUEMENT LES PERSONNES SEULES HABITENT DES LOGEMENTS PLUS PETITS ET PRÉFÈRENT SE RAPPROCHER DU CENTRE-VILLE. «Actuellement je suis dans un F3, [ ] maintenant j ai abandonné le logement et je vais venir habiter au centre d Orléans, [ ] Olivet c est très bien pour avoir une petite vie de famille. Et après, quand on veut sortir ou se divertir, être plus près du centre c est toujours mieux.» 40 Stéphane (32 ans, séparé de sa compagne, sans enfant) Dans le cas de Stéphane, c est la séparation du couple qui a provoqué le changement de logement. Sa nouvelle situation l a conduit à choisir une localisation plus centrale, qui correspond mieux à ses envies de sortir. Les accidents de la vie et l âge agissent sur la structure du ménage (séparation, perte d un membre de la famille, handicap) et peuvent impacter le type, la taille et la localisation du logement. C est le cas de 9 Florence, pour qui habiter en ville dans un appartement plus petit est devenu une évidence après le départ de ses enfants : «Avant j habitais à Olivet dans un pavillon. Mais une fois que mes enfants sont partis, moi je ne suis pas très jardin, donc ça ne se justifiait plus». Traditionnellement attribué à la campagne et aux familles, le calme est aussi un facteur auquel aspirent les urbains célibataires : «Ce quartier me plait beaucoup parce que ce n est pas l hyper centre, ce n est pas bruyant.» 30 Stéphanie (52 ans, célibataire, propriétaire d un T2 à Orléans) «J aimerais que ce soit un peu plus grand, un peu plus «éloigné de la ville». Je suis en centre-ville, Jargeau c est pas non plus une grosse ville. J aimerais être un peu plus à l écart et surtout pouvoir disposer d un petit jardin. Ça, ça me manque terriblement.» 28 Allan (38 ans, célibataire, locataire d un appartement à Jargeau) LOISIRS (TYPE, FRÉQUENCE, QUALITÉ, ÉQUIPEMENTS) LES FAMILLES SONT PLUS ORIENTÉES VERS DES LOISIRS IMPLIQUANT D ABORD LES ENFANTS, PUIS LA FAMILLE AVANT LES ACTIVITÉS PLUS PERSONNELLES. Plusieurs personnes interrogées expriment leur difficulté à pratiquer une activité à cause de la présence d un enfant. Après le travail, le temps est plus consacré aux enfants qu à une 14 > ÉTUDES SUR LES MODES DE VIE DANS L ORLÉANAIS

15 COMPOSITIONS DES MÉNAGES activité personnelle ou en couple : «Quand on était avec ma femme sans enfants, on avait un abonnement au théâtre par exemple [ ] pour le moment on essaie de ne pas être trop absents le soir non plus». 54 Michael (38 ans, marié, 2 enfants) «on n a pas le temps et puis parce qu on a des enfants [ ] il faut s occuper des enfants». 55 Gaston (31 ans, marié, 2 enfants) L essentiel des loisirs se résume donc à des activités qui conviennent aux enfants «plus les activités en journée que les activités nocturnes parce que pour les enfants c est pas simple» 54 Michael. Une préférence est aussi souvent accordée aux activités pour lesquelles parents et enfants peuvent se retrouver. C est le cas des fêtes médiévales et des fêtes de la musique qui permettent une meilleure organisation des familles et un choix d activités plus adaptées : «On a trouvé un équilibre, [ ] il y avait la fête de la musique à Orléans [ ] mon épouse a emmené deux enfants, je suis resté avec les plus petits [ ] on s organise comme on peut». PLUS LIBRES ET PLUS AUTONOMES, LES PERSONNES SEULES ONT DES PRATIQUES DE LOISIRS TRÈS VARIÉES. Il y a celles qui choisissent des activités plus orientées vers l extérieur et le sport footing, marche sur les bords de Loire, à l île Charlemagne ou dans une forêt environnante. Au-delà du bien-être recherché qu on ne peut nier, ces activités peuvent traduire un besoin de rencontres et d échanges avec d autres personnes, mais aussi une aspiration au calme et à la proximité de la nature : «je suis à deux minutes [ ] à pied de la Loire pour faire un petit footing ou vélo. Et je ne suis pas très loin, c est minutes, même pas, à pied jusqu au centre d Orléans. Voilà, j ai toujours envisagé d avoir un côté paysage». 40 Stéphane (32 ans, Orléans) LES SORTIES Après une longue journée de travail ou le week-end, les sorties dans «les rues ambiancées» du centre-ville sont un moyen de décompresser : «je traîne beaucoup sur les bords de Loire, les rues un peu ambiancées d Orléans [ ] La semaine comme le week-end les cafés bien sûr, dans la rue de Bourgogne il y a vraiment de l ambiance le soir». 49 Ilan (20 ans) Le désir de vivre à proximité ou en plein centre-ville est d ailleurs souvent associé à l animation qu il offre : «quand on veut sortir ou se divertir un petit peu plus... être plus près du centre, c est toujours mieux». 40 Stéphane (32 ans, Orléans) «Je voulais absolument le centreville ça fait 18 ans que j habite le centre-ville. J ai besoin de bouger, j aime voir les expos, le cinéma, peinture, je bouffe tout le temps, je finis le travail à 5h, mais je rentre chez moi à 20 h, 21 h, je suis toujours en ville, j arrête pas. la rue Bourgogne, tous les bars.» 79 Victor (40 ans) et celles qui choisissent les activités à domicile, plus intimes «Je suis très série télé, voilà, ça me décontracte et il y a pas besoin de réfléchir, c est très bien, ça me passe les soirées.» 11 Amélie, 42 ans) ; «Je suis un très gros joueur au niveau jeux vidéo.» 65 Thierry, 26 ans) TRANSPORT ET DÉPLACEMENTS Un trajet peut servir à déposer les enfants à l école (ou à une activité extra scolaire), à aller au travail, à faire les courses : «Mon mari a un véhicule plus petit [ ] Il a juste la charge des enfants [ ] on a réfléchi de façon à optimiser [ ] c est sur mon axe [ ] j ai énormément de commerces là, donc je n ai pas à dévier beaucoup. Notre objectif à nous, c est d éviter de prendre la voiture pour rien. C est-à-dire quand on la prend, c est dans un circuit organisé, on essaye de rationaliser nos déplacements déjà au maximum». 33 Marie-Claire (44 ans, mariée, 2 enfants, héberge son père, Vitry-aux-Loges) LES FAMILLES ONT TENDANCE À OPTIMISER L USAGE DE LA VOITURE INDIVIDUELLE (MOINS DE TRAJETS POUR PLUSIEURS OBJECTIFS). «Je limite les trajets. Quand mes enfants par exemple faisaient des activités sportives ou culturelles, je profitais de ces moments pour aller dans un magasin qui était proche, là je pouvais changer de lieu, déjà pour utiliser le temps pendant lequel je les attendais pour éviter de faire des aller-retours et puis j optimisais aussi mon temps. Par exemple j avais un fils qui allait à La-Chapelle-Saint-Mesmin, j allais au supermarché qui était à côté pendant qu il faisait ses activités.» 12 Jeannette (53 ans, en couple, 2 enfants, Orléans) Le fait d être un ménage avec enfant oblige certes à optimiser l usage de la voiture en limitant le nombre de trajets, mais les ménages avec enfant ont un usage plus important de la voiture pour des courts trajets. Les personnes seules et les ménages sans enfant ont plus recours aux transports en commun et aux modes de déplacement alternatifs (vélo, ÉTUDES SUR LES MODES DE VIE DANS L ORLÉANAIS < 15

L OBSERVATOIRE LCL EN VILLE - RÉALISÉ PAR BVA L ÉCONOMIE DU PARTAGE, ZOOM SUR LES JEUNES URBAINS. Juin 2014

L OBSERVATOIRE LCL EN VILLE - RÉALISÉ PAR BVA L ÉCONOMIE DU PARTAGE, ZOOM SUR LES JEUNES URBAINS. Juin 2014 L OBSERVATOIRE LCL EN VILLE - RÉALISÉ PAR BVA L ÉCONOMIE DU PARTAGE, ZOOM SUR LES JEUNES URBAINS Juin 2014 Contacts BVA : Céline BRACQ Directrice BVA Opinion Lilas BRISAC Chargée d études 01 71 16 88 00

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