EXISTE-T-IL UNE CORRELATION ENTRE LE NIVEAU DE CULTURE SANITAIRE ET LE PARTENARIAT INFIRMIERE-PATIENT PERCU PAR CELUI-CI? PAR VALERIE RENOUD-GRENIER
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- Gérard Carignan
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1 Master ès Sciences en Sciences Infirmières Master conjoint UNIVERSITE DE LAUSANNE Faculté de biologie et de médecine, Ecole de médecine et HAUTE ECOLE SPECIALISEE DE SUISSE OCCIDENTALE Domaine santé EXISTE-T-IL UNE CORRELATION ENTRE LE NIVEAU DE CULTURE SANITAIRE ET LE PARTENARIAT INFIRMIERE-PATIENT PERCU PAR CELUI-CI? PAR VALERIE RENOUD-GRENIER DIRECTRICE DE MEMOIRE Prof. DIANE MORIN, Inf., PhD ET CO-DIRECTEUR Dr PATRICK BODENMANN, PD-MER, MSc 30 JUIN 2014
2 Composition du jury Dr Venetia Sofia Velonaki, Inf., PhD Experte externe et Présidente du Jury Post-Doctorante et Première Assistante Institut Universitaire de Formation et de Recherche en Soins IUFRS Faculté de biologie et de médecine Université de Lausanne Prof. Diane Morin, Inf., PhD Directrice de mémoire Directrice de l Institut Universitaire de Formation et de Recherche en Soins - IUFRS Faculté de Biologie et médecine Université de Lausanne Dr Patrick Bodenmann Co-directeur de mémoire Médecin adjoint, Maître d enseignement et de recherche 1, Responsable de l'unité des populations vulnérables (UPV) Policlinique médicale universitaire PMU CHUV Mme Margarita Cambra Experte externe Directrice du Développement des Pratiques Professionnelles Association Vaudoise d Aide et de Soins à Domicile - AVASAD Mémoire déposé le 30 juin 2014 Mémoire soutenu le 2 septembre 2014
3 Sommaire Contexte. La culture sanitaire ou «health literacy» fait référence aux capacités personnelles et sociales mises en place pour comprendre, intégrer et utiliser de l information de santé dans le but de maintenir et/ou améliorer sa santé. Pour se diriger dans un système de soins de plus en plus complexe, la personne doit posséder un niveau adéquat de culture sanitaire qui lui permet d agir positivement sur sa santé. Un faible niveau de culture sanitaire augmente les risques d erreurs ou de non compliance liés à une mauvaise compréhension de l information. L avancement en âge augmente le risque de présenter un faible niveau de culture sanitaire. Cependant, il semblerait qu à travers un partenariat de collaboration avec les professionnels de la santé, la personne ayant instauré une relation de confiance, pourrait parler de ses difficultés. Ce partenariat permettrait aux soignants de mettre en place des interventions facilitant la compréhension et l accompagnement de la personne dans son désir de maintenir ou d améliorer sa santé. Buts. Explorer s il existe une corrélation entre le niveau de culture sanitaire et le partenariat infirmière-patient. Méthode. Cette étude descriptive corrélationnelle a été conduite auprès de 32 personnes de 65 ans et plus, vivant avec au moins une maladie chronique et recevant des soins infirmiers d un service d aide et de soins à domicile. Pour mesurer le niveau de culture sanitaire, la version française du S-TOFHLA a été utilisée. Le niveau de partenariat infirmière-patient a été mesuré à l aide du QAPSIR. Pour explorer les corrélations un Tau de Kendall a été effectué. Résultats. La moyenne d âge des participants est de 83,2 ans. La majorité des participants est de nationalité suisse (87,5%), parle le français (90,6%) et a un niveau de scolarité inférieur au gymnase (81,3%). Les résultats obtenus au S-TOFHLA montrent que majoritairement, cette majorité a un niveau de culture sanitaire inadéquat (71,9%) ou marginal (21,9%). Cependant, aucune corrélation n a pu être
4 iv établie entre le niveau de culture sanitaire et le partenariat infirmière-patient. Seule la corrélation entre le niveau de scolarité et le niveau de culture sanitaire s est révélée statistiquement significative avec un t(b)=0,40 ; p=0,005. L étude n a pu démontrer de corrélation entre le niveau de culture sanitaire et l âge ou la durée de suivi. Conclusion. Les personnes âgées fragilisées utilisant les services d aide et de soins à domicile sont à risque de présenter une culture sanitaire inadéquate. Les interventions infirmières en vue d assurer une bonne compréhension de l information de santé sont nécessaires et doivent être développées pour permettre le maintien à domicile.
5 Summary Context. Health literacy refers to the personal and social skills mobilised to understand, integrate and use health information in order to maintain or improve health. To benefit from the health care system which is becoming more and more complex, the person must have an adequate level of health literacy that allows him to act positively concerning his health. A low level of health literacy increases the risk of error or non compliance related to poor understanding of the information. Advancing age increases the risk of having a low level of health literacy. However, it seems that through a collaborative partnership with health professionals, the person who has established a relationship of trust, could talk about his difficulties. This partnership would allow caregivers to implement interventions facilitating understanding and accompanying the person's desire to maintain or improve their health. Aim. To explore whether there is a correlation between the level of health literacy and the nurse-patient partnership. Method. This descriptive correlation study was conducted with 32 people aged 65 and over, living with at least one chronic illness, receiving nursing care and home help services. To measure the level of health culture, the French version of the S- TOFHLA was used. The level of nurse-patient partnership was measured using the QAPSIR. To explore the correlation, Kendall s Tau-b was used. Results. The average age of participants was 83.2 years. The majority of participants were of Swiss nationality (87.5%), speaking French (90.6%) and had a minimum level of schooling (81.3%). The results obtained using S-TOFHLA showed that mostly they have an inadequate level of health literacy (71.9%) or a marginal level (21.9%). However, no correlation could be established between the level of health literacy and the nurse-patient partnership. Only the correlation between level of education and the level of health literacy was statistically significant with a t(b)=0.40; p=
6 vi The study failed to demonstrate a correlation between the level of health literacy and age or duration of the care received. Conclusion. The frail and elderly people using support services and home care are at risk of having an inadequate health literacy. Nursing interventions to ensure a good understanding of health information are required and must be developed to enable to maintain health care in the home.
7 Table des matières Composition du jury... ii Sommaire... iii Summary... v Table des matières... vii Liste des tableaux... xiv Listes des figures... xv Remerciements... xvi Introduction Problématique But et objectifs de la recherche Recension des écrits La culture sanitaire Définitions Niveaux de culture sanitaire Mesures... 36
8 viii L ampleur du problème de la basse culture sanitaire Facteurs influençant le niveau de culture sanitaire Age Maladies chroniques Niveau d éducation, gradient social et pauvreté Culpabilité et isolement social Conséquences d une culture sanitaire diminuée Manque de compréhension et d utilisation des services de prévention Réhospitalisation et coûts Etat de santé et mortalité Problèmes liés au système de soins et accès à l information de santé Partenariat infirmière-patient Définition Caractéristiques Mesures Mise en œuvre du partenariat La relation... 58
9 ix Participation et prise de décision Partage du pouvoir Négociation Coût pour le système Cadre théorique Théorie de McGill Les concepts infirmiers La santé Personne-Famille Soins Infirmiers Environnement Apprentissage Métaparadigmes Ancrage disciplinaire Paradigme de l intégration Ecole d apprentissage Syntaxe des Sciences Infirmières... 82
10 x Modes de savoirs infirmiers Savoir empirique Savoir esthétique Savoir éthique Savoir personnel Savoir sociopolitique (ou émancipatoire) Méthodologie Devis de Recherche Milieu partenaire de l étude Calcul de la taille d échantillon et stratégie d échantillonnage Critères de sélection et population cible Identification et recrutement des participants Déroulement de l étude Information aux médecins et infirmières Surveillance médicale Variables Collecte de données... 91
11 xi Instruments de mesure Le S-TOFHLA Description du questionnaire QAPSIR Analyses statistiques Analyses descriptives de l échantillon Analyses descriptives des scores du S-TOFHLA et du QASPIR Analyses corrélationnelles des scores du S-TOFHLA et du QASPIR Considérations éthiques Protocole de recherche Formulaires de consentement et informations Traitement des données personnelles Evaluation des risques Plan de financement et rétribution Résultats Recrutement et participation Description de l échantillon Caractéristiques sociodémographiques
12 xii Caractéristiques cliniques Résultats du test S-TOFHLA et du questionnaire QAPSIR Analyses corrélationnelles Exploration de la corrélation entre culture sanitaire et partenariat infirmière-patient Exploration de la relation entre culture sanitaire et sociodémographique Discussion Caractéristiques sociodémographiques et cliniques de l échantillon Niveau d éducation Durée de suivi Nationalité et langue La culture sanitaire Forces et limites de l étude Méthodologie Pertinence du cadre théorique Instruments de mesure Echantillon Implications des résultats de la recherche pour la pratique et la recherche infirmière
13 xiii Pratique Recherche Conclusion Références Appendice A Test de santé fonctionnel sur l'alphabétisation des adultes S-TOFHLA Appendice B Questionnaire d appréciation des patients sur les soins infirmiers reçus QAPSIR Appendice C Avis présidentiel de la Commission cantonale (VD) d'éthique de la recherche sur l'être humain Appendice D Lettre d informations aux participants et formulaire de consentement
14 Liste des tableaux Tableau 1 Définition des métaparadigmes de l étude Tableau 2 Caractéristiques démographiques des participants (n=32) Tableau 3 Caractéristiques cliniques des participants (n=32) Tableau 4 Résultats du test S-TOFHLA Tableau 5 Les recommandations de Baker et al (1995) et les catégories d âge Tableau 6 Résultats du QAPSIR Tableau 7 Résultats pour chaque item du partenariat infirmière-patient Tableau 8 Résultats des corrélations Tableau 9 Association entre les variables
15 Listes des figures Figure 1. Causal pathways between limited health literacy et health outcomes [traduction libre] (p.3) Figure 2. Ottawa Decision Support Framework to Address Decisional Conflict (ODSF). [Traduction libre] Figure 3. The factors influencing a collaborative partnership (Gottlieb et al., 2006) Figure 4. Diagramme de recrutement
16 Remerciements Je souhaite remercier les nombreuses personnes qui ont contribué de près ou de loin à la réalisation de ce mémoire. Tout d abord à mesdames Laure-Reine Tabac, responsable de centre, ainsi que Nathalie Vallet, responsable d équipe qui ont cru en cette formation et m ont appuyée tout au long de ces deux ans entre autre par l acceptation de cette recherche dans leur centre médico-social. Un merci particulier à tous les participants de l étude qui m ont accueillie et ont accepté de relever le défi de compléter le test et de répondre à mes questions. A ma directrice de mémoire Mme Diane Morin pour son inspiration, sa curiosité, son aide ainsi que pour l intensité de nos nombreux échanges et du temps consacré à la réalisation de ce mémoire. Merci au Dr Patrick Bodenmann, co-directeur de ce mémoire, pour ses remarques pertinentes et toutes les discussions animées qui ont permis la bonification de ce travail. Je voudrais aussi remercier toute l équipe de l IUFRS pour sa disponibilité et son énergie qui nous ont portés durant ces deux années de Master. A Joëlle sans qui je n aurais jamais terminé, fidèle amie, copine d infortune et de galère, mais surtout de fous rires et de bonheur. A Alexandre pour son aide pour la partie informatique et Maria pour la traduction. Et pour terminer, merci de tout coeur à mon mari Jean-Paul pour ses relectures, ses encouragements, sa patience et son soutien depuis deux ans ainsi qu à mes enfants Océane, Mathéo et Robin qui ont toujours cru au succès de cette formation.
17 "You cannot teach a man anything. You can only help him discover it within himself." Galileo Galilei
18 Introduction
19 L évolution du système de santé suisse amène des durées d hospitalisation en constante diminution, une augmentation des chirurgies ambulatoires et doit faire face à l augmentation du nombre de maladies chroniques. Elle a comme conséquence une obligation de la part de la population, de se prendre en charge dans son parcours de soins. Chacun est appelé à se diriger seul dans un système de soins complexe, à comprendre et à intégrer de l information de plus en plus pointue pour assurer sa propre santé. La population âgée de plus de 65 ans représente un défi à cet égard et demande une attention particulière lors de la transmission d informations, puisque les capacités personnelles de compréhension diffèrent d une personne à l autre et que celles-ci peuvent diminuer avec l âge. En tenant compte du niveau de culture sanitaire des patients naviguant dans le système de soins, l infirmière peut assurer une information compréhensible pouvant être intégrée et utilisée par le patient à travers un partenariat de collaboration. Au vu de ces éléments, la présente étude a pour but d explorer si le niveau de culture sanitaire est corrélé au partenariat infirmière-patient. Pour ce faire, la mesure de la culture sanitaire sera évaluée avec le test S-TOFHLA. Elle sera mise en relation avec la perception qu a le patient du partenariat infirmière-patient mesurée par le questionnaire d appréciation des soins infirmiers, le QAPSIR. Ce mémoire est composé de six chapitres. Le premier élabore la problématique, le but et les questions de recherche. Le second présente la recension des écrits qui traite des
20 20 connaissances actuelles sur la culture sanitaire et sur le partenariat infirmière-patient en lien avec les implications auprès de populations vieillissantes recevant des soins à domicile. Le troisième chapitre décrit le cadre théorique qui a servi d assise à l élaboration de l étude ainsi que son ancrage dans la discipline infirmière. Il s agit du cadre McGill. Le quatrième chapitre décrit la méthode utilisée pour réaliser l étude ainsi que les spécificités des variables et instruments de mesure. Les résultats sont exposés dans le cinquième chapitre et ils sont discutés au chapitre six en lien avec les écrits analysés et le cadre théorique. Ce chapitre se termine avec les forces et les limites de l étude et il ouvre sur de nouvelles perspectives pour la clinique et la recherche en sciences Infirmières. Une brève conclusion permet de cerner les éléments clés de cette étude.
21 Problématique
22 Dans ce chapitre les éléments qui justifient l importance de la prise en compte du niveau de culture sanitaire lors d une prise en charge de patients âgés bénéficiant de soins à domicile sont examinés. Il se termine par la description du but et des objectifs de l étude. La Suisse considère que la culture sanitaire ou «health literacy», est la base d une nouvelle approche en santé (Stutz-Steiger & Spycher, 2006). Pour l Organisation mondiale de la santé (OMS), elle est définie comme : «les connaissances cognitives et sociales qui déterminent la motivation et l aptitude des individus pour repérer, comprendre et utiliser de l information afin de promouvoir et maintenir la santé» (OMS, 1998, p.10). Pour l Office fédéral de la santé publique suisse (OFSP), la culture sanitaire est définie par des caractéristiques qui permettent à chaque individu de prendre, dans la vie quotidienne, des décisions bénéfiques à sa santé (OFSP, 2013). Elle base sa définition sur les travaux de Nutbeam (2000) pour qui la culture sanitaire comprend trois niveaux de compétences: a) des compétences fonctionnelles : connaissances suffisantes en lecture et en écriture; b) des compétences communicationnelles et interactives : aptitudes cognitives et sociales permettant de participer activement à la vie de tous les jours, de recueillir des informations et de les interpréter en interaction avec d autres acteurs, ainsi que de les appliquer dans un contexte différent, et finalement c) des compétences critiques : des aptitudes cognitives et sociales poussées servant à l analyse critique d informations, afin de mieux maîtriser certaines situations de la vie.
23 23 A ce jour en Suisse, peu d études ont porté sur la culture sanitaire (Connor, Mantwill, & Schulz, 2012; Wang, Thombs, & Schmid, 2012; Zenklusen, Bischoff, Panese, & Bodenmann, 2012). Par contre, un récent rapport (Pletscher, 2013), donne une excellente idée des impacts liés à un faible niveau de culture sanitaire, notamment ceux de requérir à plus de spécialistes. Ce rapport concerne prioritairement les impacts sur le recours aux services médicaux. Il ne mesure pas le niveau de culture sanitaire, car on y suppose que dans la population suisse, il serait semblable à celui que l on retrouve dans les autres pays de l Organisation de Coopération et de Développement Économiques (OCDE) et qu environ un tiers de la population aurait un niveau bas (OCDE, 2005). La diversité ethnique et linguistique de la Suisse et les changements dans le système de santé vaudois portent à penser que la culture sanitaire pourrait se révéler un frein conséquent dans le parcours de soins et les résultats de santé attendus. D ailleurs, Paasche-Orlow et Wolf (2007) ont identifié la culture sanitaire comme un élément pouvant potentiellement affecter les résultats de santé. Lorsque les professionnels de soins peuvent l identifier et ont les ressources (outils) nécessaires pour détecter une faible culture sanitaire, ils peuvent améliorer les soins donnés à ces personnes (Taggart et al., 2012; Weiss et al., 2005). Certains facteurs sont connus comme influençant la culture sanitaire : l âge, le niveau d éducation, la pauvreté, l appartenance à une minorité ethnique de première génération et le fait de parler une langue différente de la langue utilisée dans le pays de résidence (Kutner, Greenburg, Jin, & Paulsen, 2006; Paasche Orlow, Parker, Gazmararian, Nielsen Bohlman, & Rudd, 2005; Peterson et al., 2011; Weiss, 2007). En ce sens, les personnes ayant moins d éducation auraient un risque de maladie chronique plus élevé que les personnes ayant une formation tertiaire (Wolf, Gazmararian, & Baker, 2005), et les adultes
24 24 de plus de 65 ans auraient en général un niveau de culture sanitaire plus bas, avec un rapide déclin à partir de 55 ans (Manafo & Wong, 2012; Wolf et al., 2005). En ce qui concerne les résultats de santé, Peterson et al. (2011) ont associé une faible culture sanitaire avec une pauvre compréhension des prescriptions, de l information médicale et à de moins bonnes connaissances concernant les maladies chroniques. Dorman- Marek et Antle (2008), quant à eux, considèrent que les erreurs médicamenteuses pourraient être réduites et les réhospitalisations diminuées si les patients comprenaient mieux l information et l importance de leurs soins. En effet, les patients sont de plus en plus responsables de leur parcours de santé. Des recherches ont démontré qu une faible culture sanitaire pose des problèmes dans l éducation à la santé auprès de patients vivant avec des maladies chroniques (Lattimer, 2011; Nutbeam, 2000; Peterson et al., 2011). Il a aussi été démontré que les interventions basées sur un partenariat infirmière-patient a des effets positifs sur l acquisition de compétences (Taggart et al., 2012; Wong, Chau, So, Tam, & McGhee, 2012). Par le partenariat infirmière-patient, l infirmière est amenée à adopter une approche centrée sur l individu qui se base sur les forces en présence. Le cadre théorique de McGill a fait du partenariat de collaboration une priorité dans l intervention auprès des personnes et de leur famille dans un contexte de promotion de la santé. La collaboration permet le partage de l information et du pouvoir entre les parties et peut conduire à de meilleurs résultats de santé (Gottlieb & Rowat, 1987). Dans ce cadre théorique, chaque individu est reconnu comme ayant les capacités de se prendre en charge, pour autant qu il comprenne bien la situation, et qu il se sente impliqué dans les discussions et les décisions. Cette approche demande à l infirmière d évaluer et d aider le développement des compétences d auto prise en charge en
25 25 tenant compte du niveau de culture sanitaire de la personne (Gottlieb & Gottlieb, 2013). D ailleurs, les études de Cann et Gardner (2012) et Wang, Chau, So, Tam et McGhee (2012) ont observé une amélioration des comportements de santé, de la compréhension de l information, de l adhésion aux traitements et de meilleurs résultats cliniques, lorsque les interventions infirmières tiennent compte de la culture sanitaire de la personne soignée. Grâce à un partenariat infirmière-patient, l infirmière instaure un climat de confiance et de respect qui potentialise la compréhension de l information et l utilisation de nouveaux savoirs par la personne. Elle améliore ainsi ses capacités personnelles et ses nouvelles connaissances lui permettent alors de mieux naviguer dans le système de soins. La littérature porte à croire que cette approche a une répercussion au niveau de la qualité des soins, de la satisfaction des patients et des résultats patients (Baker et al., 2007; Macabasco-O'Connell & Fry-Bowers, 2011; Peterson et al., 2011; Rothman et al., 2009; Weiss, 2007). Les transformations s opérant dans le système de soins sont aussi à prendre en considération. La majorité des personnes souhaitent être soignées à domicile en avançant en âge et la volonté politique valorise une diminution des durées d hospitalisation. Ces dispositions ont contribué au développement des soins extrahospitaliers au cours des 20 dernières années (Weber-Yaskevich, 2011). Le rôle infirmier a déjà évolué et cette évolution va se poursuivre. Dans cette transformation le partenariat infirmière-patient et le partenariat interdisciplinaire deviennent essentiels pour obtenir des résultats de santé positifs et éviter entre autres les erreurs et les réhospitalisations (Masotti, McColl, & Green, 2010). Actuellement, les maladies dites non-transmissibles (MNT), amenant à la chronicité progressent: cancer, maladies cardio-vasculaires incluant les accidents cérébrovasculaires, maladies des voies respiratoires chroniques, diabète, etc. En Europe, 20% des maladies sont
26 26 des MNT. Elles sont responsables de 86% des décès et représentent 77% de la facture totale des coûts de la santé (Camenzind & Lüthi, 2013). En 2013, c est la première cause de décès au monde (OMS, 2013). En Suisse, la même année, ce sont 75 % des décès chez la population âgée de plus de 70 ans qui sont attribués aux MNT (OFS, 2014). Le suivi ambulatoire continue à prendre de l ampleur. En 2012, les personnes âgées de plus de 75 ans ont une moyenne de jours d hospitalisation par habitant de 5,7 jours contrairement à 1,2 jours pour les moins de 75 ans (OFS, 2014a) et elles représentent environ 30% des personnes hospitalisées (OFS, 2014a). Ensuite, ces personnes sont référées à un service d aide et de soins à domicile qui prend le relais pour le suivi de leurs MNT. Le suivi est alors assuré par des médecins et des infirmières œuvrant en collaboration avec la personne et sa famille à leur domicile. En Suisse, les personnes bénéficiant de ces services sont majoritairement âgées de plus de 65 ans (75%), et 48% d entre elles ont même plus de 80 ans (OFS, 2013). Cela nous amène à considérer le vieillissement de la population, phénomène documenté, comme un réel défi pour notre système de santé suisse puisque le nombre de personnes âgées de plus de 65 ans qui représente actuellement 17.4% de la population suisse en 2012, devrait croître pour se situer autour de 30% en 2060 (OFS, 2013). Au regard des facteurs déterminant la culture sanitaire, on peut exprimer que la personne âgée de plus de 65 ans est à grand risque de présenter une culture sanitaire diminuée. Elle peut cumuler plusieurs facteurs de risque dont les principaux sont les maladies chroniques, la pauvreté, l isolement social et être d une autre nationalité ou venir d un canton où la langue est différente de celui de la résidence. En Suisse, un double défi s offre aux professionnels puisque la population vieillissante du pays est culturellement très variée et
27 27 donc déjà à risque de présenter une culture sanitaire diminuée avant même d être âgée (Lie, Carter-Pokras, Braun, & Coleman, 2012). Considérant que les personnes âgées de plus de 65 ans nécessitent davantage de soins ou de suivi pour une maladie chronique et qu à cet âge, on constate une baisse du niveau de culture sanitaire, les professionnels de la santé doivent absolument tenir compte de cette réalité pour assurer la compréhension des soins afin qu elle se transforme en actions concrètes et efficaces d auto-soin (Baker, Gazmararian, Sudano, & Patterson, 2000). Pour réduire les effets d une culture sanitaire inadéquate, la collaboration entre partenaires de soins est souhaitée (Masotti et al., 2010) ainsi que l instauration d un partenariat infirmièrepatient pour une prise en charge optimale (Heinrich & Karner, 2011; Henderson, 2003; Sahlsten, Larsson, Sjöström, & Plos, 2009; Sudore & Schillinger, 2009), ce qui entrainerait une diminution des coûts de la santé (Wong et al., 2012). La contribution au développement de la culture sanitaire passe premièrement, par l accès à de l information fiable. Pour ce faire, les services de santé ont un rôle central à jouer dans ce domaine en distribuant soins et informations centrés sur la personne. Ils doivent ainsi pouvoir encourager l apprentissage et les capacités de chacun dans une optique de promotion de la santé. Les infirmières peuvent avoir un impact positif en améliorant l évaluation de la culture sanitaire et en misant sur la communication, la connaissance, les comportements dans le cadre d un partenariat clinique infirmière-patient (Cameli et al., 2012; Sahlsten et al., 2009; Wang et al., 2012). Les effets positifs résultant de l encouragement de l acquisition de compétences sanitaires auprès de la clientèle âgée ont été soulignés (Manafo & Wong, 2012). D ailleurs certains chercheurs ont argumenté qu un partenariat infirmière-patient permet de mobiliser et
28 28 d augmenter les compétences personnelles (Cann & Gardner, 2012). Ceci n est pas sans difficulté puisque la majorité des gens présentant une culture sanitaire basse le cacherait. C est donc un sujet qui reste tabou pour les patients car il semble qu il soit difficile de parler de ses difficultés de compréhension et de ses limites devant un professionnel de la santé, de peur de paraître inadéquat (Ferguson & Pawlak, 2011; Parikh, Parker, Nurss, Baker, & Williams, 1996; Wolf et al., 2007). D ailleurs, 75% des personnes présentant un niveau de culture sanitaire bas ne parleraient pas de leurs difficultés à un professionnel de la santé (Parikh et al., 1996). Il est donc difficile de détecter un faible niveau de compréhension sans entrer dans un partenariat infirmière-patient où prévalent la confiance et le respect (Mitty & Flores, 2008; Weiss, 2007). Mais le niveau de culture sanitaire est aussi très peu connu ou détecté par les infirmières (Macabasco-O'Connell & Fry-Bowers, 2011). Dans les systèmes de soins actuels, on mise sur l accélération du parcours de soins (chirurgie ambulatoire, séjours hospitaliers courts, etc.) et sur l autonomisation constante du patient face à ses propres problèmes de santé. Pourtant, ces attentes peuvent avoir des effets néfastes chez les patients présentant une faible culture sanitaire (mauvaise prise médicamenteuse, non suivi de consigne post opératoire, non adhérence au traitement, absence au RDV de contrôle. etc.). Pour les personnes âgées de plus de 65 ans qui représentent plus de 50% des personnes utilisant les services de soins, la navigation à travers ce système se complique (OFS, 2014). Pour espérer de bons résultats de santé dans un système complexe de soins où les intervenants se multiplient et les informations abondent, il est important de pouvoir identifier rapidement le niveau de compréhension de l information en santé chez cette population. Utiliser un partenariat infirmière-patient pour l identification et/ou le renforcement du niveau de compréhension semble une piste à explorer pour limiter les
29 29 effets d une faible culture sanitaire. Cette étude se penche donc sur la culture sanitaire, le partenariat infirmière-patient et sur la corrélation entre ces deux attributs. But et objectifs de la recherche Le but de cette étude vise à explorer si le niveau de culture sanitaire est corrélé à la perception du patient sur le partenariat infirmière-patient lors de soins reçus à domicile par les infirmières d un Centre médico-social (CMS) vaudois. Les trois objectifs de cette études sont de : 1. Mesurer le niveau de culture sanitaire des patients à domicile. 2. Mesurer le niveau de partenariat infirmière-patient perçu par ces mêmes patients à domicile. 3. Explorer si le niveau de culture sanitaire des patients à domicile est corrélé au niveau de partenariat infirmière-patient ou avec certaines variables telles que l âge, le niveau de scolarité et la durée de suivi par une infirmière du CMS. Pour faire suite à la présentation de la problématique de la culture sanitaire dans les soins infirmiers, le prochain chapitre traite de l état des connaissances actuelles sur la culture sanitaire et sur le partenariat infirmière-patient. Ces connaissances seront exposées dans un contexte de soins à la population vieillissante, présentant une maladie chronique et ayant un suivi assuré par un organisme de soins à domicile.
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