Une étude en ligne auprès de 2 générations de femmes: 400 jeunes femmes, de ans. 400 mères de jeunes femmes de ans
|
|
- Martine Olivier
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1
2 Fiche technique Une étude en ligne auprès de 2 générations de femmes: 400 jeunes femmes, de ans 400 mères de jeunes femmes de ans Toutes ayant au moins le brevet, échantillons représentatifs de ces 2 cibles au sein de la population française en termes d âge, région, niveau d études et catégories socioprofessionnelles. (Terrain réalisé du 21 au 25 août 2012) 2
3 1. Le progrès est en soi une idée positive, quelle que soit la génération de femmes
4 Une forte inquiétude partagée, mais des jeunes femmes plus optimistes pour leur avenir personnel que les mères, extrêmement angoissées L inquiétude par rapport à l avenir du pays En % L inquiétude par rapport l avenir des jeunes femmes En % Jeunes femmes Mères Jeunes femmes Mères Inquiétude= = 81 = = Confiance= = 16 = = 31 Très inquiète Assez inquiète Assez confiante Très confiante Ne sait pas Ecart significatif à 90% et plus Base: Jeunes femmes (n= 400), mères (n= 400) Q0a. Par rapport à l avenir du pays, êtes-vous plutôt confiante ou inquiète? Q0b. Et par rapport à votre avenir personnel, êtes-vous plutôt confiante ou inquiète? Q0c. Et par rapport à l avenir de votre/vos fille/s, êtes-vous plutôt confiante ou inquiète? 4
5 Une perception globalement positive du progrès Evocation liée au progrès En % Influence du progrès sur la vie quotidienne En % Jeunes femmes Mères Jeunes femmes Mères = 91 = 81 = 69 = = 10 = = = 28 Très positif positive Plutôt positif Plutôt positive négatif Très négatif Plutôt négative Très négative Très importante Très importante Plutôt importante Plutôt importante Plutôt pas Plutôt importante pas importante Pas du tout Pas importante du tout importante 1 mère sur 5 est négative: en effet, 44% d entre elles se sentent dépassées par la vitesse du progrès (vs 30% des jeunes femmes qui considèrent que «le progrès génère dans leur vie de tous les jours des changements trop rapides». Ecart significatif à 90% et plus Base: Jeunes femmes (n= 400), mères (n= 400) Q2. Globalement, pour vous, le progrès évoque quelque chose de? Q4d. Diriez-vous que de manière générale, le progrès a, sur votre vie quotidienne, une influence? 5
6 2. Le progrès, ancré dans des archétypes scientifiques, ne semble pas répondre aux attentes concrètes et quotidiennes
7 Le progrès est étroitement associé aux sciences et aux NTIC Les domaines pour lesquels les choses se sont améliorées (sur liste) En % (beaucoup et un peu améliorées) Jeunes femmes Mères Les nouvelles technologies La médecine Les connaissances scientifiques L accès à l information 91% 90% 88% 82% 85% 85% 84% 85% Les chercheurs et les médecins sont plébiscités comme les acteurs les plus légitimes du progrès: près de 9 jeunes femmes sur 10 leur accordent leur confiance pour que le progrès ait des répercussions positives sur leur vie quotidienne. Base: Jeunes femmes (n= 400), mères (n= 400) Q6. Pour chacun des domaines suivants, avez-vous le sentiment que les choses se sont améliorées ou se sont détériorées depuis l époque où votre mère avait votre âge /depuis l époque où vous aviez l âge de votre/vos fille/s? 8
8 Alors qu elles ressentent fortement la réalité du progrès dans les domaines scientifiques et technologiques, les jeunes femmes n ont pas le sentiment d en bénéficier dans leur quotidien Les domaines pour lesquels les choses se sont améliorées (sur liste) En % (beaucoup et un peu améliorées) Jeunes Mères femmes La qualité de vie La démocratie dans le monde L égalité des chances Les relations entre les peuples 49% 44% 42% 34% 37% 29% 32% 28% L économie 19% 15% La situation des pays pauvres par rapport aux pays riches 17% 15% L accès à l emploi 14% 12% Ecart significatif à 90% et plus Base: Jeunes femmes (n= 400), mères (n= 400) Q6. Pour chacun des domaines suivants, avez-vous le sentiment que les choses se sont améliorées ou se sont détériorées depuis l époque où votre mère avait votre âge /depuis l époque où vous aviez l âge de votre/vos fille/s? 9
9 Attentes de progrès pour l'avenir Le progrès scientifique, partie la plus visible du progrès, semble déconnecté des attentes des jeunes femmes, plus économiques et sociales + «Faibles» progrès par le passé et attentes importantes à l avenir Accès à l'emploi Progrès importants par le passé et attentes importantes à l avenir Qualité de vie Médecine Préservation de l'environnement Egalité des chances Place des femmes dans la société Situation des pays pauvres par rapport aux pays riches Economie Relations entre les peuples Démocratie dans le monde Acceptation de la diversité Accès à l'éducation Connaissances scientifiques Nouvelles technologies Accès à la culture Accès à l'information - «Faibles» progrès par le passé et attentes «faibles «à l avenir Progrès importants par le passé et attentes «faibles» à l avenir Domaines pour lesquels les progrès perçus ont été importants par le passé + 10
10 3. Une défiance vis-à-vis des grands acteurs institutionnels
11 Une défiance vis-à-vis des grands acteurs institutionnels et une plus grande confiance pour les acteurs de la société civile, incluant leur propre génération. Confiance en chacun des acteurs du progrès (sur liste) En % (tout à fait et plutôt confiance) Les acteurs les plus légitimes Les acteurs les moins légitimes Les chercheurs Les journalistes Les médecins Les pouvoirs publics Les associations Les patrons d'entreprise Les universités/ grandes écoles Les médias Les jeunes Les hommes et les femmes politiques Ecart significatif à 90% et plus Base: Jeunes femmes (n= 400), mères (n= 400) Q14.Faites-vous confiance à chacun des acteurs suivants pour faire en sorte que le progrès ait des répercussions positives dans votre vie personnelle / la vie personnelle de votre/vos fille/s de ans? Jeunes femmes Mères 13
12 4. Il n y a pas de «voie royale»
13 3 clés pour faire progresser les choses dans la société: le vote, l éthique personnelle, l information Les meilleures façons de faire évoluer les choses (sur liste) En % En 1er: Voter 49% En 2ème: Adopter une certaine éthique dans ma vie personnelle et professionnelle 44% En 3ème: S informer Faire circuler les informations autour de vous 32% 25% Choisir une carrière adaptée 25% Mais faiblement: Mais faiblement: Mais faiblement: Mais faiblement: Militer 12% Participer à des manifestations S engager dans la politique 11% 7% Signer des pétitions 7% Accéder à un poste de responsabilité Créer sa propre entreprise Participer à des groupes de réflexion 9% 8% 9% Mobiliser les réseaux sociaux 11% Participer à la création de nouvelles technologies Faire des études supérieures Faire de la recherche scientifique 11% 15% 13% Base: Jeunes femmes (n= 400) Q13. Quelles sont pour vous les meilleures façons de faire progresser les choses dans la société? 4 réponses maximum 16
14 Une société qui pour progresser devrait davantage valoriser: le respect, la solidarité, le travail Ecart significatif à 90% et plus Pour faire progresser les choses dans la société, il faudrait plus de (sur liste) En % Respect des autres Solidarité Travail Responsabilité individuelle Morale Education Sécurité Ecologie Richesse Autorité Liberté Protection Jeunes femmes Mères Base: Jeunes femmes (n= 400), mères (n= 400) Q10. Et selon vous, pour faire progresser les choses dans la société, il faudrait plus de? 3 réponses maximum 17
15 5. 96% des jeunes femmes croient au progrès mais seulement 10% sont véritablement motrices du progrès
16 Les jeunes femmes croient au progrès mais sont peu enclines à s y engager Croyance et implication personnelles des jeunes femmes au progrès En % Jeunes femmes Vision des mères En % Mères 96% croient au progrès Je crois au progrès mais je ne pense pas avoir un rôle particulier à jouer Je ne crois pas au progrès Je crois au progrès et je suis prête à m'impliquer personnellement 93% croient au progrès Votre fille croit au progrès, mais elle ne pense pas avoir un rôle particulier à jouer Votre fille ne croit pas au progrès Votre fille croit au progrès et est prête à s'impliquer personnellement Sentiment que sa participation au progrès pourrait faire évoluer les choses positivement: 49% en sont convaincues / 51% sont sceptiques Ecart significatif à 90% et plus Base: Jeunes femmes (n= 400), mères (n= 400) Q8a. Parmi les affirmations suivantes, quelle est celle qui vous correspond le mieux? Q8b. Parmi les affirmations suivantes, quelle est celle qui correspond le mieux à vos/ votre fille/s? Q12. Dans quelle mesure avez-vous le sentiment que votre participation au progrès pourrait faire évoluer les choses positivement? 20
17 Plus âgées. Plus optimistes, une perception très positive du progrès. 75% prêtes à s impliquer personnellement et 75% convaincues de l efficacité de cet engagement. Comptent sur les autres et particulièrement sur les élites. Implication / Conviction LES IDEALISTES 21% LES REVOLUTIONNAIRES ATTENTISTES 18% LES MOTRICES DU PROGRES 10% Responsabilité d autrui Plus jeunes, moins diplômées. Une perception positive du progrès. 2/3 prêtes à s impliquer, 3/4 convaincues de la portée possible de leur participation au progrès. En attente du «grand soir»: croient plus aux grandes révolutions (scientifiques, politiques ou sociales) et aux actions concrètes vs les grandes idées. Plus orientées vers les actions politiques. Responsabilité individuelle LES PASSIVES ATTENTISTES 15% Les plus jeunes; plus diplômées, plus Parisiennes. Toutes sont prêtes à s impliquer, 2/3 sont convaincues de l efficacité de l engagement. Elles croient aux grands combats, au rôle de leur génération, à la responsabilité de chacun, à la somme d actions individuelles. Une perception moins positive du progrès. Croient au progrès mais considèrent qu elles n ont pas de rôle à jouer. 8/10 sont sceptiques sur la portée d une participation. Rejet de toute implication individuelle ou collective. LES DESENGAGEES 36% Une perception positive du progrès. Toutes croient au progrès mais sans implication. 6 sur 10 sont sceptiques par rapport à l efficacité de leur contribution. Il reste encore de grands combats à mener et leur génération a un rôle. Plus enclines à faire circuler l information, à l associatif. Désengagement Scepticisme 21
18 Pour conclure Le progrès: une belle idée lointaine. Le progrès: par qui, pour qui? 23
19 MERCI
Sondage web sur la démocratie et la participation citoyenne
Sondage web sur la démocratie et la participation citoyenne Sondage web sur la démocratie et la participation citoyenne Rapport d analyse des résultats Présenté à l'institut du Nouveau Monde 22 mai 2012
Plus en détailAZ A^kgZi Yj 8^idnZc
Bienvenue à l âge de la majorité! l État vous présente vos droits et devoirs ainsi que les principes fondamentaux de la République à travers «Le Livret du Citoyen» Nom... Prénom... Date de naissance...
Plus en détailDéfinir et consolider son projet associatif
FICHE PRATI QUE Définir et consolider son projet associatif L association se place sous le signe de la liberté : celle de se regrouper pour prendre collectivement une initiative. De l idée à la conception,
Plus en détailOSEO EXCELLENCE SONDAGE JUILLET 2011. Thème : CONJONCTURE ECONOMIQUE EXTENSION & REBRANDING OSEO CAPITAL PME ECONOMIE : FRANCE ALLEMAGNE
OSEO EXCELLENCE SONDAGE JUILLET 2011 BERTRAND ROZE COMMUNITY MANAGER OSEO EXCELLENCE Thème : CONJONCTURE ECONOMIQUE EXTENSION & REBRANDING OSEO CAPITAL PME ECONOMIE : FRANCE ALLEMAGNE Antoine COULOMBEAUX
Plus en détaillj~ion DE L'EUROPE_OCCIDENT ALE Plate-forme sur les interets europeens en matiere de securite La Haye, 27 octobre 1987
lj~ion DE L'EUROPE_OCCIDENT ALE Plate-forme sur les interets europeens en matiere de securite La Haye, 27 octobre 1987 I. Soulignant I'attachement de nos pays aux principes qui fondent nos democraties
Plus en détailQuestionnaire Profil de risque
Questionnaire Profil de risque L'objectif de ce questionnaire est double. Il nous permet d'une part d'évaluer votre niveau de connaissance et d'expérience des marchés financiers. Il nous aide d'autre part
Plus en détailAssemblée Générale 30 avril 2014 Rapport Moral du Président Ruben GARCIA
Assemblée Générale 30 avril 2014 Rapport Moral du Président Ruben GARCIA Bonjour à toutes et à tous, Merci d être présents nombreux pour cette 20 ème assemblée générale. Créée en 1994, par des militants
Plus en détailJuin 2014. Fonction consolidation A la recherche des frontières de demain
Juin 2014 Fonction consolidation A la recherche des frontières de demain Intervenants Caroline MARROT Associée Deloitte José BAGHDAD Directeur Deloitte Vincent Michelet SODEXO Hervé Cardelli SANOFI Stéphane
Plus en détailGrande Loge Féminine de France
... La transformation du monde commence par la construction de soi... Grande Loge Féminine de France DOSSIER DE PRESSE Contact presse : 33(0)1 71 04 58 14 courriel : communication@glff.org Site : www.glff.org
Plus en détailLes stratégies de prévention du tabagisme développées par les structures qui encadrent les jeunes
Le réseau régional d Education Pour la Santé Membre du réseau de l'institut National de Prévention et d'education pour la Santé et l Institut Rhône-Alpes de Tabacologie Les stratégies de prévention du
Plus en détailDE LA R^PUBLIQUE FRAN AISE. Mandature 2010-2015 - Seance du 13 janvier 2015 LES DONNEES NUMERIQUES: UN ENJEU D'EDUCATION ET DE CITOYENNETE
2015-01 NOR :CESL1500001X Vendredi 23 janvier 2015 JOURNAL OFFICIEL DE LA R^PUBLIQUE FRAN AISE Mandature 2010-2015 - Seance du 13 janvier 2015 LES DONNEES NUMERIQUES: UN ENJEU D'EDUCATION ET DE CITOYENNETE
Plus en détailCHARTE ETHIQUE ACHATS
Page : 1/5 CHARTE ETHIQUE ACHATS LES ENJEUX Les conflits d intérêts sont aujourd hui un thème essentiel du débat de société. Il convient de garantir l intégrité des achats et la saine concurrence entre
Plus en détailSynthèse. Loyauté et réciprocité des échanges entre l Union Européenne et les pays tiers. Propositions et axes de réflexion des IEEC
Synthèse Loyauté et réciprocité des échanges entre l Union Européenne et les pays tiers Propositions et axes de réflexion des IEEC Introduction Alors que les marchés internationaux ont toujours été un
Plus en détailDECLARATION UNIVERSELLE DE L UNESCO
DECLARATION UNIVERSELLE DE L UNESCO SUR LA DECLARATION UNIVERSELLE DE L UNESCO SUR LA DIVERSITE CULTURELLE CULTURELLE Adoptée par la 31 e session de la Conférence Générale de l UNESCO PARIS, 2 NOVEMBRE
Plus en détailCOMMENT DEVENIR RICHE?
FINADOC www.finadoc.com et www.conseils-financiers.com Prendre de la hauteur de vue sur la finance et le patrimoine. De meilleures décisions en toute indépendance. COMMENT DEVENIR RICHE? Bureaux : 270
Plus en détailStatuts de «pr suisse»
Statuts de «pr suisse» Art. 1 L'Association Sous le nom «Association Suisse de Relations Publiques», «Schweizerischer Public Relations Verband», «Associazione Svizzera di Relazioni Pubbliche», «Swiss Public
Plus en détailL ORDONNANCE DU 2 FEVRIER 1945. Exposé des motifs
L ORDONNANCE DU 2 FEVRIER 1945 Exposé des motifs Il est peu de problèmes aussi graves que ceux qui concernent la protection de l enfance, et parmi eux, ceux qui ont trait au sort de l enfance traduite
Plus en détailPolitique d utilisation des médias sociaux et des technologies de l information
CA 06-02-2015 Annexe 10.1 Politique d utilisation des médias sociaux et des technologies de l information Janvier 2015 2 1. PRÉAMBULE La Fédération des médecins résidents du Québec (FMRQ) est une fédération
Plus en détailLa protection sociale obligatoire et complémentaire au cœur de notre bataille!
La protection sociale obligatoire et complémentaire au cœur de notre bataille! La protection sociale est un terme générique qui recouvre, la Sécurité Sociale (régime général obligatoire solidaire, géré
Plus en détailL achat de médicaments sur Internet
L achat médicaments sur Intern Adéï ZULFIKARPASIC Directrice Détement Opinion Institutionnel 01 55 33 21 41 06 17 45 78 98 ai.zulfikaric@lh2.fr Vanessa GALISSI Directrice d étus Détement Opinion Institutionnel
Plus en détailLe droit d auteur dans un environnement numérique : les positions de l IFLA et de l UNESCO 1
Le droit d auteur dans un environnement numérique : les positions de l IFLA et de l UNESCO 1 Das Urheberrecht in einer digitalen Umwelt: die Positionen der IFLA und der UNESCO Jean-Philippe Accart Information
Plus en détailUnited Nations (8) Nations Unies
United Nations (8) Nations Unies HEADQUARTERS SIEGE NEW YORK, NY 10017 TEL.: 1 (212) 963.1234' FAX: 1 (212) 963.4879 Distr. SECOND INTERNA1l0NAL DECADE FOR THE ERADICATION OF COLONIALISM RESTRICTED PRS/2010/CRP.9
Plus en détailBaromètre Direct Assurance des cyberconsommateurs
Avril 2013 DIRECT ASSURANCE Baromètre Direct Assurance des cyberconsommateurs 3 ème vague Paris Toronto Shanghaï Buenos Aires Connection creates value Méthodologie Échan0llon Pour ce(e étude, un échan0llon
Plus en détailDu BTS Transport au BTS Transport et Prestations Logistiques
Du BTS Transport au BTS Transport et Prestations Logistiques Bien plus qu'un simple changement d'appellation, le nouveau BTS Transport et Prestations Logistiques, qui entre en vigueur à partir de septembre
Plus en détailDans la fonction de maître de formation pratique. Dans la fonction de maître assistant
LA HAUTE ECOLE FRANCISCO FERRER porte à votre connaissance qu'une réserve de recrutement est constituée pr l'année académique 2015-2016. En cas d'engagement, et pr autant que le budget allé par la Communauté
Plus en détailLES FRANÇAIS ET LA COMPLEMENTAIRE SANTE
Centre de Recherche pour l Etude et l Observation des Conditions de Vie LES FRANÇAIS ET LA COMPLEMENTAIRE SANTE Anne LOONES Marie-Odile SIMON Août 2004 Département «Evaluation des Politiques Sociales»
Plus en détailJuillet 2011. Réponse de la MGEN et de la MS Consultation sur la gouvernance d entreprise 1
Contribution de la Mutuelle Générale de l Education Nationale - MGEN (France) et de la Mutualité Socialiste - MS (Belgique) au livre vert sur «Le cadre de gouvernance d entreprise dans l UE» Juillet 2011
Plus en détailLes Français et les outils financiers responsables : notoriété, perception et intérêt
Les Français et les outils financiers responsables : notoriété, perception et intérêt Pour : Arnaud de Bresson / Vanessa Mendez De : Jennifer Fuks / Charles-Henri d Auvigny chdauvigny@opinion-way.com Tél
Plus en détailPAUVRETE(S) ET DEVELOPPEMENT
Comité mixte franco-marocain inter universitaire Action Intégrée (MA/02/62) PAUVRETE(S) ET DEVELOPPEMENT (le cas du Maroc) Premières approches Robert CHARVIN Professeur à la Faculté de Droit, des Sciences
Plus en détailFavoriser la croissance verte à l aide des brevets
Favoriser la croissance verte à l aide des brevets journée luxembourgeoise de la propriété intellectuelle Roberto d Erme IPR Legal Advisor European IPR Helpdesk ANNÉE 1865 Sir William Stanley Jevons -
Plus en détailLe droit saisi par la mondialisation
Collection de droit international 46 Le droit saisi par la mondialisation Sous la direction de Charles-Albert MORAND Editions Bruylant Editions de l'universite de Bruxelles Helbing & Lichtenhahn Verlag
Plus en détailSONDAGE COMPARATIF SUR LA PERCEPTION DES QUÉBÉCOIS SUR LES HYDROCARBURES
www.som.ca MONTRÉAL 1180, rue Drummond Bureau 620 Montréal (Québec) H3G 2S1 T 514 878-9825 QUÉBEC 3340, rue de La Pérade 3 e étage Québec (Québec) G1X 2L7 T 418 687-8025 SONDAGE COMPARATIF SUR LA PERCEPTION
Plus en détailLa solidarité internationale peut se comprendre comme la coopération
128 Christian Pilichowski Responsable international de la Fédération des travailleurs de la métallurgie (FTM) CGT La solidarité internationale peut se comprendre comme la coopération entre organisations
Plus en détailCrise budgétaire où en sommes nous?
Le JOURNAL desetudiants de l UVSQ Crise budgétaire où en sommes nous? L université ne fermera pas ses portes. Parmi les nombreuses erreursde communication de la direction de l université, la menace de
Plus en détailFICHE DE FONCTION - 04
FICHE DE FONCTION - 04 ANIMATEUR/EDUCATEUR de classe 1 INTITULE DE LA FONCTION : animateur/éducateur RELATIONS HIERARCHIQUES L animateur/éducateur de classe 1 exerce ses fonctions sous la responsabilité
Plus en détailUtilisation des nombres pour résoudre des problèmes Aspect cardinal Maternelle MS-GS. Francette Martin
Utilisation des nombres pour résoudre des problèmes Aspect cardinal Maternelle MS-GS Francette Martin Voici une situation fondamentale faisant intervenir le nombre cardinal : l enfant doit aller chercher
Plus en détailEtude relative aux rapports des présidents sur les procédures de contrôle interne et de gestion des risques pour l exercice 2011
Etude relative aux rapports des présidents sur les procédures de contrôle interne et de gestion des risques pour l exercice 2011 SOMMAIRE Synthèse et Conclusion... 1 Introduction... 4 1. La description
Plus en détailExposé au Comité spécial sur les coopératives de la Chambre des communes 7 août 2012
Exposé au Comité spécial sur les coopératives de la Chambre des communes 7 août 2012 Introduction Le Groupe Co-operators limitée est détenu et dirigé par 45 membres-propriétaires de tout le Canada, issus
Plus en détailREPUBLIQUE ET FAIT RELIGIEUX DEPUIS 1880
REPUBLIQUE ET FAIT RELIGIEUX DEPUIS 1880 «La grande idée, la notion fondamentale de l Etat laïque, c est-àdire la délimitation profonde entre le temporel et le spirituel, est entrée dans nos mœurs de manière
Plus en détailEVALUATION DU DISPOSITIF DEPARTEMENTAL EDUCATIF DE FORMATION ET D INSERTION (D 2 EFI)
EVALUATION DU DISPOSITIF DEPARTEMENTAL EDUCATIF DE FORMATION ET D INSERTION (D 2 EFI) Note méthodologique relative à l outil de suivi en continu du projet de formation et du projet professionnel La direction
Plus en détail«LES FRANÇAIS & LA PROTECTION DES DONNÉES PERSONNELLES» Etude de l Institut CSA pour Orange. Février 2014
«LES FRANÇAIS & LA PROTECTION DES DONNÉES PERSONNELLES» Etude de l Institut CSA pour Orange Février 2014 La fiche technique du sondage Echantillon de 1002 individus âgés de 18 ans et plus représentatif
Plus en détaileducationsolidarite.org
Education International Internationale de l'education Internacional de la Educaciòn Bildungsinternationale Conception : L.Talbot & Efficience Crédits photographiques : sxc.hu - flashfilm Juin 2008 educationsolidarite.org
Plus en détailMIEUX COMPRENDRE LE HANDICAP
MIEUX COMPRENDRE LE HANDICAP CONTEXTE Selon la loi du 11 février 2005 pour l'égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées «Art. L. 114. - Constitue un
Plus en détailDossier de presse. Consommables d impression : Quelle place pour une alternative?
Consommables d impression : Quelle place pour une alternative? Quelle place pour une alternative? Les consommables d impression alternatifs ont l avantage d être plus économiques et plus écologiques (dans
Plus en détailArchives numériques de Presse et Droit à l oubli
Archives numériques de Presse et Droit à l oubli Les Etats généraux des médias d information Atelier 3 "Liberté d'expression" Parlement de la Fédération Wallonie-Bruxelles Philippe NOTHOMB Conseiller juridique
Plus en détailPLAN BIO MIDI-PYRENEES 2014-2020, UN PLAN SANS AMBITION
PLAN BIO MIDI-PYRENEES 2014-2020, UN PLAN SANS AMBITION Pourquoi les élu-es EELV au Conseil Régional ne voteront pas le Plan Bio Midi-Pyrénées 2014-2020 en l état? Plan Bio Midi-Pyrénées, un plan sans
Plus en détailPOLITIQUE DE GESTION CONTRACTUELLE
Résolution CM13 0552 du conseil municipal le 17 juin 2013 et Résolution CG13 0246 du conseil d agglomération du 20 juin 2013 CONTEXTE L article 573.3.1.2 de la Loi sur les cités et villes oblige les municipalités
Plus en détailPhase ERP : Usages et effets. Problématiques technique et organisationnelle de la phase d'exploitation de l'erp
Phase ERP : Usages et effets Problématiques technique et organisationnelle de la phase d'exploitation de l'erp Dominique Chabord Ingénieur Directeur de SISalp Conseil sur le logiciel libre OpenERP dominique.chabord@sisalp.org
Plus en détailCharte de la laïcité à l École Charte commentée
Charte de la laïcité à l École Charte commentée Ce document propose un commentaire de la phrase de préambule et de chacun des articles de la Charte de la laïcité à l École. Il explicite le sens des principales
Plus en détailLe Projet institutionnel. (Un avenir assuré = notre ambition)
VIVRE ENSEMBLE Mutuelle d Aide aux Personnes Handicapées Mentales Siège Social : 5 rue de Breuvery 78100 St Germain en Laye Tél. : 01 34 51 38 80 - Fax : 01 39 73 75 72 e-mail : direction@vivre-ensemble.fr
Plus en détail"High Performance Workplace Event: People mean business"
"High Performance Workplace Event: People mean business" (Cette conférence a été organisée par la Présidence britannique de l'union européenne, avec le soutien de la Commission européenne) Londres, le
Plus en détailExamen de la Loi sur les parcs du Nouveau-Brunswick Réponse du public 2013
Examen de la Loi sur les parcs du Nouveau-Brunswick Réponse du public 2013 Rochers Hopewell Rocks Au départ, tous les parcs provinciaux ont été créés à l intention des gens de la province et d ailleurs,
Plus en détailPolitique de gestion contractuelle de la SHDM
Politique de gestion contractuelle de la SHDM Adoptée par les membres du conseil d administration le 22 octobre 2013 Direction des affaires juridiques et corporatives Politique de gestion contractuelle
Plus en détailRésultats de l enquête EPCI
Sondage Résultats de l enquête EPCI Intitulé du sondage : Les EPCI françaises et Internet Intranet, Extranet Référence : 02SD421 Destinataire(s) : Répondants à l enquête Version : 1.0 Date : Octobre 2002
Plus en détailQUESTION 1 {2 points}
ELE4301 Systèmes logiques II Page 1 de 8 QUESTION 1 {2 points} En se servant de paramètres électriques donnés dans le Tableau 1 ci-dessous, on désire déterminer la fréquence d opération du compteur présenté
Plus en détailPrincipes de liberté d'expression et de respect de la vie privée
L'Initiative mondiale des réseaux Protéger et faire progresser la liberté d'expression et le respect de la vie privée dans les technologies de l information et de la communication Principes de liberté
Plus en détailEncourager les comportements éthiques en ligne
LEÇON Années scolaire : 7 e à 9 e année, 1 re à 3 e secondaire Auteur : Durée : HabiloMédias 2 à 3 heures Encourager les comportements éthiques en ligne Cette leçon fait partie de Utiliser, comprendre
Plus en détailComment va la vie en France?
Comment va la vie en France? L Initiative du vivre mieux, lancée en 2011, se concentre sur les aspects de la vie qui importent aux gens et qui ont un impact sur leur qualité de vie. L Initiative comprend
Plus en détailDIRECT ASSURANCE. Les femmes et la cyberconsommation. Etude Direct Assurance Juin 2012 - Focus sur les cyberconsommatrices.
Etude Direct Assurance Juin 2012 - Focus sur les cyberconsommatrices Juin 2012 DIRECT ASSURANCE Les femmes et la cyberconsommation Paris Toronto Shanghaï Buenos Aires Connection creates value Méthodologie
Plus en détailLancement du Budget Participatif 2015
Dossier de presse Lancement du Budget Participatif 2015 Mardi 13 janvier Contact presse : Quitterie Lemasson / presse@paris.fr / 01.42.76.49.61 1 Sommaire Edito d Anne Hidalgo 3 Bilan de l édition 2014
Plus en détailMASTER RECHERCHE MEDIATIONS DES SCIENCES. Mention HISTOIRE, PHILOSOPHIE ET. Histoire et Philosophie des Sciences. Année 2007/2008
Année 2007/2008 Domaine LETTRES ET SCIENCES HUMAINES MASTER RECHERCHE Mention HISTOIRE, PHILOSOPHIE ET MEDIATIONS DES SCIENCES Spécialité Histoire et Philosophie des Sciences Unités de Formation et de
Plus en détailL'enjeu primordial du commerce electronique? La securite! Benoit Vanderstichelen, Ancien Directeur general de l'i.e.c., Tax Director Arthur Andersen
L'enjeu primordial du commerce electronique? La securite! Benoit Vanderstichelen, Ancien Directeur general de l'i.e.c., Tax Director Arthur Andersen Apres que les ministres des telecommunications europeens
Plus en détail64% des actifs font confiance aux mutuelles : La France Mutualiste se mobilise pour répondre à leurs attentes
DOSSIER DE PRESSE CONFÉRENCE DE PRESSE DU 14 SEPTEMBRE 2010 COMMUNIQUÉ DE PRESSE Enquête exclusive La France Mutualiste/IFOP : Les Français et la retraite 64% des actifs font confiance aux mutuelles :
Plus en détailComité sectoriel de la Sécurité sociale et de la Santé Section «Sécurité sociale»
Comité sectoriel de la Sécurité sociale et de la Santé Section «Sécurité sociale» CSSS/09/102 DÉLIBÉRATION N 09/055 DU 1 ER SEPTEMBRE 2009 RELATIVE À LA COMMUNICATION DE DONNÉES À CARACTÈRE PERSONNEL PAR
Plus en détailProjet de loi de régulation et de séparation des activités bancaires Intervention générale
Nom du sénateur Eric Bocquet Groupe Communiste Républicain Citoyen Sénateur du Nord Paris, le 19 mars 2013 Projet de loi de régulation et de séparation des activités bancaires Intervention générale Monsieur
Plus en détailPollution, stress, fatigue, déplacement : Où en êtes-vous avec la mobilité?
DATE Émetteur rappel du titre général de la présentation Pollution, stress, fatigue, déplacement : Où en êtes-vous avec la mobilité? Salon Expoprotection 4 au 7 décembre 2012 1 Lorem ipsum dolor sit amet,
Plus en détailEléments de présentation du projet de socle commun de connaissances, de compétences et de culture par le Conseil supérieur des programmes
Eléments de présentation du projet de socle commun de connaissances, de compétences et de culture par le Conseil supérieur des programmes Le projet de socle de connaissances, de compétences et de culture,
Plus en détailCANDIDAT JAPONAIS AU POSTE DE SECRÉTAIRE GÉNÉRAL
CANDIDAT JAPONAIS AU POSTE DE SECRÉTAIRE GÉNÉRAL Dr. Sawako TAKEUCHI Docteur es Ingénierie, l Université de Tokyo et Docteur es Sciences économiques Ancien conseiller du Premier Ministre du Japon sur la
Plus en détailRéponse de l EBG à la consultation publique concernant le Plan France numérique 2020.
Réponse de l EBG à la consultation publique concernant le Plan France numérique 2020. Ce document est une réponse à la consultation publique dans le cadre du plan France numérique 2020. Nous avons participé
Plus en détailAugmentation de l efficience
SENEGALAISE DES EAUX Augmentation de l efficience Affermage de l eau au Sénégal Par Mamadou DIA Dakar 7 Juin 2012 L ENTREPRISE SDE Filiale de FINAGESTION (57%), créée en 1995, 33% privés sénégalais, 5%
Plus en détailACCORD DU 9 DECEMBRE 2014 PORTANT MODIFICATION DE L ACCORD RELATIF A L EGALITE PROFESSIONNELLE DANS LA BRANCHE CREDIT MUTUEL DU 21 MARS 2007
ACCORD DU 9 DECEMBRE 2014 PORTANT MODIFICATION DE L ACCORD RELATIF A L EGALITE PROFESSIONNELLE DANS LA BRANCHE CREDIT MUTUEL DU 21 MARS 2007 Préambule Dans le prolongement de la loi du 9 mai 2001 relative
Plus en détailMéthode du commentaire de document en Histoire
Méthode du commentaire de document en Histoire I. Qu est-ce qu un commentaire de document? En quelques mots, le commentaire de texte est un exercice de critique historique, fondé sur la démarche analytique.
Plus en détail«LA PROTECTION DU SECRET DES SOURCES DES JOURNALISTES» U.I.A. - CONGRÈS DE FLORENCE (COMMISSION DU DROIT DE LA PRESSE)
«LA PROTECTION DU SECRET DES SOURCES DES JOURNALISTES» U.I.A. - CONGRÈS DE FLORENCE (COMMISSION DU DROIT DE LA PRESSE) SOMMAIRE Introduction PREMIERE PARTIE: LES RÈGLES RÉGISSANT LA PROTECTION DES SOURCES
Plus en détailAssessment & development center
LEROY Consultants Assessment & development center Apporter une appréciation objective sur les potentiels et les développer Un lieu une démarche Le capital humain est reconnu comme un enjeu stratégique
Plus en détailLa promotion de la pluralité linguistique dans l usage des nouvelles technologies de l information et de la communication
Intervention de M. Khamsing Sayakone, Président de la section Lao de l APF à la 32 ème session de l APF (30juin-3 juillet 2006, Rabat, Maroc) (31 La promotion de la pluralité linguistique dans l usage
Plus en détailDéclaration des Parlementaires africains sur les Objectifs du Millénaire pour le développement et l'ordre du jour du développement post 2015
Déclaration des Parlementaires africains sur les Objectifs du Millénaire pour le développement et l'ordre du jour du développement post 2015 Les parlementaires africains Reconnaissant que les parlements
Plus en détailLES FRANÇAIS ET LA QUESTION DE LA
LES FRANÇAIS ET LA QUESTION DE LA CANDIDATURE DE DOMINIQUE STRAUSS- KAHN A L ELECTION PRESIDENTIELLE - Sondage de l'institut CSA - N 1100267A Février 2011 Contact : Jérôme Sainte-Marie Directeur du département
Plus en détailFORMATIONS OUVRANT DROIT AU VERSEMENT DE LA TAXE D'APPRENTISSAGE Année Universitaire 2014-2015
FORMATIONS OUVRANT DROIT AU VERSEMENT DE LA TAXE D'APPRENTISSAGE Année Universitaire 2014-2015 Organisme gestionnaire : UNIVERSITE LILLE 1 59655 Villeneuve d'ascq Cedex Siret : 19593559800019 Tél 03 20
Plus en détailDes Plans Habitat en Entreprise?
Des Plans Habitat en Entreprise? Concept et opportunité Journées Territoires Habitat Entreprises 20 & 21 novembre 2008 Une expérimentation interne Étudier la transposabilité des démarches de PDE aux problématique
Plus en détailCharte Mutuelle Existence
Charte Mutuelle Existence Développement Durable Développement Durable Environnement - Social - Économique Sommaire Définition du Développement Durable p. 2 Nos valeurs et nos engagements p. 3 Charte Sociale
Plus en détailParcours de formation. Coach. Et si vous pouviez accompagner vos clients ou vos collaborateurs par le coaching?
Parcours de formation Coach Et si vous pouviez accompagner vos clients ou vos collaborateurs par le coaching? Dans un monde qui va de plus en plus vite Nous entendons parler chaque jour de stress, de mal-être
Plus en détailSOC-2120z: Sociologie de l'innovation technologique Été 2015
SOC-2120z: Sociologie de l'innovation technologique Été 2015 Louis-Simon Corriveau Département de sociologie A LES OBJECTIFS GÉNÉRAUX Le cours poursuit les objectifs suivants : 1. Examiner le contexte
Plus en détailEnquête exclusive CampusFrance - TNS Sofres Les étudiants étrangers en France : image et attractivité
Enquête exclusive CampusFrance - TNS Sofres Les étudiants étrangers en France : image et attractivité Sommaire. Présentation de l étude. Recommandation de venir en France Les étudiants étrangers en France
Plus en détailPrévention LES ENJEUX DE LA PREVENTION. Infos INTRODUCTION : SOMMAIRE :
Centre de Gestion de la Fonction Publique Territoriale de la Dordogne - Infos Prévention n 15 Octobre 2010 Infos Prévention LES ENJEUX DE LA PREVENTION SOMMAIRE : LES ENJEUX DE LA PREVENTION Introduction
Plus en détailDes changements dans les habitudes mais des investissements coûteux
n o 11 - décembre 2010 RÉUNION Pratiques environnementales Des changements dans les habitudes mais des investissements coûteux Des pratiques emblématiques liées à l environnement comme le tri des déchets,
Plus en détailExtrait de l'ouvrage Le Statut de Rome de la Cour pénale internationale. éditions A.Pedone EAN 978-2-233-00653-0 AVANT-PROPOS
Extrait de l'ouvrage Le Statut de Rome de la Cour pénale internationale. éditions A.Pedone EAN 978-2-233-00653-0 AVANT-PROPOS «Charbonnier est maître chez soi. Nous traiterons comme nous l'entendons nos
Plus en détailLa perception de la complémentaire santé d entreprise par les dirigeants et les salariés. Résultats d étude. Mars 2012.
La perception de la complémentaire santé d entreprise par les dirigeants et les Résultats d étude Mars 01 INSIGN / April Rappel méthodologique Echantillon Volets Echantillon de 00 dirigeants d entreprises
Plus en détailBILAN ANNUEL 2014. Assemblée générale de l association Syrie MDL 05/02/2015
1 BILAN ANNUEL 2014 Assemblée générale de l association Syrie MDL Rapport moral, rapport des activités et bilan financier de l année 2014 05/02/2015 Rapport moral 2014 2 En 2014, malgré un contexte politique
Plus en détailGarth LARCEN, Directeur du Positive Vibe Cafe à Richmond (Etats Unis Virginie)
Garth LARCEN, Directeur du Positive Vibe Cafe à Richmond (Etats Unis Virginie) Commentaire du film d introduction de l intervention de Garth Larcen et son fils Max, entrepreneur aux U.S.A. Garth Larcen
Plus en détailAMUNDI Les Jeunes actifs et la retraite - Vague 3-2010
AMUNDI Les Jeunes actifs et la retraite - Vague 3-2010 Résultats de l étude TNS Sofres / Présentation Frédéric Chassagne 7 juin 2010 FICHE TECHNIQUE Étude barométrique réalisée pour AMUNDI Échantillon
Plus en détailConclusions du Conseil sur la dimension stratégique du patrimoine culturel pour une Europe durable
COSEIL DE L'UIO EUROPÉEE Conclusions du Conseil sur la dimension stratégique du patrimoine culturel pour une Europe durable Conseil ÉDUCATIO, JEUESSE, CULTURE ET SPORT Bruxelles, 21 mai 2014 Le Conseil
Plus en détailLa vie de bureau BRUNEAU / TNS Sofres TNS
La vie de bureau BRUNEAU / TNS Sofres TNS La vie de bureau BRUNEAU / TNS Sofres NICOLAS POTIER Directeur Général de BRUNEAU TNS 2 La vie de bureau BRUNEAU / TNS Sofres JÉRÉMIE PIQUANDET Chef de Groupe
Plus en détailPlan d actions «Gérer la crise C est. anticiper la reprise»
Plan d actions «Gérer la crise C est anticiper la reprise» 1 Préambule La décélération de l activité économique observée en 2008 s est approfondie en 2009, les principaux indicateurs sont au rouge. Chômage
Plus en détailLa considération et la reconnaissance de la profession par les pouvoirs publics apparaissent déficitaires :
Note détaillée Le regard des masseurs-kinésithérapeutes sur leur profession Etude Harris Interactive pour L Ordre National des Masseurs-Kinésithérapeutes Les résultats sont issus d une enquête réalisée
Plus en détailCODE DE CONDUITE ET D ÉTHIQUE DES ADMINISRATEURS
CODE DE CONDUITE ET D ÉTHIQUE DES ADMINISRATEURS Référence : Type de politique : Références juridiques : Autres références : INTRODUCTION Gouvernance autonome Code des professions, Code civil du Québec
Plus en détailLa culture : quatrième pilier du développement durable
La culture : quatrième pilier du développement durable S'appuyant sur le travail mené de longue date par la Commission de culture de CGLU, sur la Déclaration universelle de l'unesco sur la diversité culturelle
Plus en détailSondage sur la volonté d améliorer la gouvernance
Sondage sur la volonté d améliorer la gouvernance Ce Sondage sur la volonté d améliorer la gouvernance a été adapté, avec la permission de Quantum Transformation Technologies, de son Governance & Managerial
Plus en détailFICHE SIGNALETIQUE. Cœur de Flandre. 1. Profil Territoire. 2 Profil Fiscal
FICHE SIGNALETIQUE Pays Cœur de Flandre Consultable sur www.sigale.nordpasdecalais.fr Le pays a été reconnu le 9 mars 2004 et le premier contrat a été signé le 15 décembre 2004. Il comporte 45 communes
Plus en détailUFR de Sciences Economiques Année 2008-2009 TESTS PARAMÉTRIQUES
Université Paris 13 Cours de Statistiques et Econométrie I UFR de Sciences Economiques Année 2008-2009 Licence de Sciences Economiques L3 Premier semestre TESTS PARAMÉTRIQUES Remarque: les exercices 2,
Plus en détail