Berrada S, Essodegui F, Benmoussa Y, Laoudiyi D, Lezar S, Siwane A Service Central de Radiologie, CHU Ibn Rochd, Casablanca
|
|
- Jean-Baptiste Rancourt
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Berrada S, Essodegui F, Benmoussa Y, Laoudiyi D, Lezar S, Siwane A Service Central de Radiologie, CHU Ibn Rochd, Casablanca
2 - Maladies trophoblastiques gestationnelles (MTG) : groupe hétérogène de maladies rares mais non exceptionnelles. - Fréquence varie entre 1/200 et 1/ Elles regroupent : o o Les môles hydatiformes partielles (MP) ou complètes (MC). Les maladies trophoblastiques persistantes (MTP) comprenant les môles invasives (MI), les choriocarcinomes (CC) et les tumeurs du site placentaire. - Les modalités diagnostiques et de prise en charge reposent actuellement en grande partie sur les données de l imagerie, notamment sur l échographie et l imagerie par résonnance magnétique (IRM).
3 - Nous proposons dans ce travail d analyser la place de l imagerie, notamment de l échographie et de l IRM dans le diagnostic et la prise en charge des maladies trophoblastiques gestationnelles.
4 Etude rétrospective longitudinale analytique portant sur 10 dossiers radio cliniques de maladies trophoblastiques prises en charge au Service Central de Radiologie du CHU ibn Rochd de Casablanca entre janvier et juin Nous avons inclus tous les cas de MTG confirmés ainsi que les cas de MTP où le diagnostic a été basé sur les données de l imagerie et la cinétique des taux de BHCG. Nous avons étudié l âge des patientes, la gestité, la parité, l âge gestationnel au moment du diagnostic et les signes d appel cliniques.
5 Les patientes ont été réparties en deux groupes: - Premier groupe : MC ou MP (5 cas). - Deuxième groupe : CC, MI et tumeurs du site placentaire (4 cas). MC: Môle complète MP : Môle partielle CC : Choriocarcinome MI : Môle invasive
6 Premier groupe : - Age moyen : 30 ans avec un pic entre ans. - Gestité moyenne : quatre et parité moyenne : trois. - Antécédent de grossesse môlaire: deux cas. - Age gestationnel moyen au moment du diagnostic : 10 semaines. - Tableau clinique : métrorragies associées à un taux élevé des BHCG. - Aspects échographiques : image intra cavitaire hétérogène multi vésiculaire ( quatre patientes) et grossesse arrêtée (une patiente).
7 Deuxième groupe : - Age moyen : 40 ans avec extrêmes de 37 et 53 ans. - Parité moyenne : trois. - Antécédents : grossesse môlaire (2 patientes) et fausse couche spontanée (1patiente). - Tableau clinique : métrorragies associées à un taux élevé des BHCG. - Aspects échographiques : image intra cavitaire hétérogène multi vésiculaire ou mal limitée avec au doppler couleur une hyper vascularisation intra murale. - TDM : envahissement du myomètre et des paramètres dans un cas.
8 Patiente âgée de 35 ans, avec ATCD de fausse couche, présentant un taux de BHCG très élevé, A l échographie : masse kystique intra-utérine avec ovaires kystiques.
9 masse intracavitaire microkystique avec hypervascularisation au contact du myomètre en échographie chez une patiente âgée de 40 ans avec antécédent de fausse couche remontant à 3mois Histologie : choriocarcinome.
10 Patiente âgée de 39 ans, avec ATCD de môle aspirée remontant à 5 mois, présente une réascension du taux de BHCG. Scanner avec injection en coupes axiales : utérus globuleux avec matériel endocavitaire siège de cloisons, laminant le myomètre à gauche et en arrière.
11 DEFINITION : Prolifération anormale du trophoblaste : - Avec villosités : môles (complète, partielle, invasive). - Sans villosités : choriocarcinome, tumeur du site placentaire. Facteurs de risque : âge < 17 ans et > 40 ans, nulliparité, fausse couche. Risque évolutif vers la maladie gestationnelle persistante. - Evolution anormale des BHCG Diagnostic anatomopathologique et prise en charge multidisciplinaire.
12 ROLE DE L IMAGERIE : SI SUSPICION CLINIQUE ET BIOLOGIQUE DE MTG : - Signes sympathiques de grossesse, métrorragies, utérus volumineux discordant avec le terme, importante élévation des βhcg +++. REALISER UNE ECHOGRAPHIE PELVIENNE +++ : - MASSE INTRACAVITAIRE +/- vascularisée +/- ovaires multifolliculaires +/-extension au myomètre.
13 ROLE DE L IMAGERIE : SI DIAGNOSTIC DE TUMEUR TROPHOBLASTIQUE : - REALISER UN BILAN D EXTENSION COMPLEMENTAIRE : IRM pelvienne : extension loco-régionale : invasion du myomètre+++. TDM thoraco-abdomino-pelvienne : extension régionale et à distance : poumon,rein, foie, ovaire, tube digestif IRM cérébrale (ou TDM cérébrale) : lésions secondaires cérébrales. Le bilan d extension permet le calcul du score FIGO 2000 pour adapter le traitement.
14 ROLE DE L IMAGERIE : Echographie : Intérêt clairement établi dans le diagnostic précoce de môle complète: sensibilité excellente de 96%. Sensibilité moindre en cas de môle partielle : - Microvésicules difficiles à distinguer de la dégénérescence hydropique focale des villosités d œufs morts. - Sensibilité augmentant avec l âge gestationnel.
15 ROLE DE L IMAGERIE : Echographie : Sensibilité pouvant atteindre 92% dans le diagnostic de choriocarcinome. Intérêt du doppler pulsé dans la prédiction de la réponse à la chimiothérapie : - Index de pulsatilité bas au niveau des artères utérines = risque de développer une résistance à la CTH.
16 ROLE DE L IMAGERIE : IRM : Diagnostic clinique et échographique difficile. Intérêt dans le diagnostic positif et l évaluation de l extension locale pelvienne de la môle invasive et du choriocarcinome : - Masse hétérogène mal limitée, d intensité mixte en pondération T2,iso ou hyperintense au myomètre en pondération T1. - L IRM met en évidence le caractère hyper vasculaire avec dilatation des vaisseaux adjacents du myomètre et des paramètres.
17 ROLE DE L IMAGERIE : IRM : - Marges tumorales mieux définies. - Après injection, nécrose centrale avec hypervascularisation périphérique contrairement à la môle partielle où la vascularisation intratumorale est plus importante.
18 SCORE FIGO (exclusion des tumeurs du site d implantation) - Age : < 39 ans = 0 > 39 ans = 1 - Grossesse précédente : Môle = 0; Avortement = 1; Accouchement = 2 - Intervalle grossesse précédente et mise en route de la chimiothérapie: < 4 mois = 0 pt 4-6 mois = 1 pt 7-12 mois = 2 pts > 12 mois = 4 pts
19 - Taux de βhcg : 0 < 1000, 1 entre 1000 et , 2 entre et , 4 > Nombre de métastases (si méta pulmonaire, les compter sur la radio de thorax) : 1 à 4 = 1, 5 à 8 = 2, > 8 = 4 - Sites métastatiques : rate et rein = 1, tube digestif = 2, cerveau et foie = 4 - Taille tumorale maximale (dont utérus) : 3 à 5 = 1, > 5 = 2 - Echec de la chimiothérapie préalable : monochimiothérapie = 2, polychimiothérapie = 4 Score total : 6 pts = faible risque d échec du traitement =méthotrexate seul 7 pts = haut risque d échec du traitement = polychimiothérapie
20 CLASSIFICATION OMS MODIFIEE : MOLAIRE Môle hydatiforme complète Môle hydatiforme partielle Môle invasive NON MOLAIRE Choriocarcinome Tumeur trophoblastique du site placentaire Tumeur trophoblastique épithélioïde (rarissime) AUTRES Nodule du site placentaire Site placentaire exubérant
21 MOLE HYDATIFORME COMPLETE : - ORIGINE : - Chromosomique: diploïdie 46xx. - 90% des cas 1 spermatozoïde, 10% 2 spermatozoïdes (origine paternelle). - CLINIQUE et BIOLOGIE : - Métrorragies, utérus volumineux et mou, exacerbation des signes sympathiques de grossesse, βhcg très augmentés+++.
22 MOLE HYDATIFORME COMPLETE : - IMAGERIE : MASSE INTRACAVITAIRE CONTENANT DE NOMBREUX MICROKYSTES SANS IMAGE EMBRYONNAIRE ET SANS INVASION DU MYOMÈTRE (PAS DE DOPPLER DANS LA MASSE) +/- ASPECT D OVAIRES MULTIFOLLICULAIRES (+/ HÉMORRAGIQUES). - EVOLUTION : Régression spontanée. Envahissement des veines endométriales (bénin). Extension endoveineuse myométriale, pelvienne et extra-pelvienne = môle invasive +++.
23 IRM : masse intracavitaire multikystique sans envahissement du myomètre. Histologie : môle hydatiforme complète.
24 IRM en séquences sagittales T1 + gadolinium et en T2 : masse intracavitaire multivésiculaire. Histologie : môle hydatiforme complète.
25 Masse intracavitaire microkystique avasculaire bien limitée sans envahissement du myomètre en échographie. Histologie : môle hydatiforme complète.
26 MOLE HYDATIFORME COMPLETE : - DIAGNOSTIC DIFFERENTIEL : Rétention d oeuf mort, môle partielle - CONDUITE A TENIR : Curetage + anatomopathologie + bilan d extension en imagerie + alloimmunisation + contraception. Surveillance des βhcg. - EVOLUTION : Risque de maladie gestationnelle persistante 10 à 30% : Môle invasive 15%. Choriocarcinome 2-3%. Récidive faible 1,3%.
27 MOLE HYDATIFORME PARTIELLE : - ORIGINE : Chromosomique : triploïdie 69xxy. - CLINIQUE et BIOLOGIE : Avortement tardif, HTA, pré-eclampsie, RCIU, malformations fœtales, élévation modérée et inconstante des βhcg. - IMAGERIE : MASSE INTRACAVITAIRE AVEC QUELQUES MICROKYSTES +/- SAC GESTATIONNEL+/- EMBRYON.
28 MOLE HYDATIFORME PARTIELLE : - DIAGNOSTIC DIFFERENTIEL : Rétention d oeuf mort ou môle complète. - EVOLUTION : Normalisation du taux de βhcg après évacuation. Risque de 5% de maladie gestationnelle persistante ou de maladie métastatique. - SURVEILLANCE : = taux βhcg.
29 MOLE INVASIVE : - DEFINITION : Môle hydatiforme (partielle ou complète) dont les villosités envahissent le myomètre ou ses vaisseaux et peuvent emboliser des sites distants. - CLINIQUE : Persistance de l augmentation des βhcg. - IMAGERIE : MASSE INTRACAVITAIRE AVEC MICROKYSTES ENVAHISSANT LE MYOMETRE.
30 Patiente âgée de 35 ans, avec ATCD de fausse couche remontant à 4 mois, présente un taux de BHCG élevé persistant, à l échographie : masse kystique intra-utérine hypervascularisée envahissant le myomètre. Scanner avec injection en coupes axiales et sagittale montrant un utérus globuleux avec matériel endocavitaire envahissant le myomètre et le paramètre à droite.
31 MOLE INVASIVE : - TRAITEMENT : Hystérectomie. - EVOLUTION : Risque d évolution vers un choriocarcinome. - GUERISON : Retour à la normale des βhcg.
32 CHORICARCINOME : - CONTEXTE : Môle hydatiforme, avortement môlaire ou spontané, grossesse normale, grossesse extra utérine. - CLINIQUE et BIOLOGIE : Métrorragies, βhcg élevés. - IMAGERIE : MASSE INTRACAVITAIRE ECHOGENE HETEROGENE EN RAPPORT AVEC DES ZONES DE NECROSE OU D HEMORRAGIE, DE LIMITES IRREGULIERES HYPERVASCULARISEE, ENVAHISSANT LE MYOMETRE +/-. Métastases: poumon, cerveau, foie, rein et digestif.
33 Patiente âgée de 40 ans, avec ATCD de môle aspirée remontant à 3 mois, présente une ré ascension du taux de BHCG, à l échographie : masse intra-utérine échogène hétérogène envahissant le myomètre. Scanner avec injection en coupes coronale et sagittale montrant un utérus globuleux avec matériel endocavitaire envahissant le myomètre postérieur qui est laminé.
34 CHORICARCINOME : - MICROSCOPIE : Carcinome trophoblastique gestationnel, prolifération trophoblastique dépourvue de chorion villositaire, mitoses, atypies cytonucléaires Forte potentialité invasive et métastatique. - DIAGNOSTIC DIFFERENTIEL : Rétention placentaire. Tumeur trophoblastique du site placentaire. Carcinome indifférencié. Sarcome utérin.
35 TUMEUR TROPHOBLASTIQUE DU SITE PLACENTAIRE : - CLINIQUE et BIOLOGIE : Contexte : môle hydatiforme, avortement, grossesse normale, métrorragies, masse utérine, βhcg modérément élevés. - EVOLUTION : Imprévisible mais généralement bénigne (80 à 90%). - TRAITEMENT : Curetage complet. - DIAGNOSTIC DIFFERENTIEL : Hyperplasie du site d implantation.
36 HYPERPLASIE DU SITE DIMPLANTATION : - Infiltration trophoblastique exubérante de l endomètre, du myomètre et des vaisseaux. NODULE DU SITE PLACENTAIRE : - Produit de curetage/ hystérectomie/ conisation. - Age moyen: 30 ans. - Antécédent de grossesse ancienne de 3 semaines à 8 ans (moyenne 3ans). - Nodules présents à la surface de l endomètre ou au niveau cervical.
37 - Diagnostic de MTG : histoire clinique confrontée aux données des examens complémentaires. - Imagerie : plusieurs aspects. - Môles hydatiformes : échographie performante pour évoquer la MC. - Sensibilité moindre de l imagerie en matière de MP : examen anatomopathologique = gold standard diagnostique. - MTP : polymorphisme radiologique, importance capitale de l imagerie dans le diagnostic positif et le bilan d extension. - Bilan radiologique : élaboration du score FIGO dictant une conduite thérapeutique même en l absence de preuve histologique.
38 1.Abboud.P, Brochet.A, Mansour.G et al. Maladies trophoblastiques gestationnelles. Etude rétrospective de 1997 à J Gynecol Obstétrique Biol Reprod 2005; 34 : Allena SD, Lima AK, Secklb MJ, Blunta DM. Padiology of gestational trophoblastic neoplasia. Clin Radiol 2006;61: Cortès-Charry R, Figueria LM, Neives L, Cilmenter L.Metastasis detection with 18 FDGpositron emission tomography:computed tomography in gestational trophoblastic neoplasia : a report of 2cases. J Reprod Med 2006; 51: Golfier F, Labrousse C, Frappart L, Mathian B, Guastalla JP, Trillet-Lenoir V, et al. Evaluation de la prise en charge des tumeurs trophoblastiques gestationnelles enregistrées au centre de référence des maladies trophonlastiques de Lyon de 1995 à Gynecol Obstet Fertil 2007; 35 : Marcocelles P, Audrezt MP, Le Bris MJ, et al. Diagnosis and outcome of complete hydatiform mole coexisting with a live twin fetus. Eur J Obstet Gynecol Reprod Biol 2005; 118 : Matsui H, SekiyabS, Hando T, Wake N, Tomoda Y. Hydatiform mole coexistent with a twin live fetus : a national collaborative study in japan. Hum Reprod 2000; 15 : Leyendecker JR, Gorengaut V et al. MP imaging of maternal diseases of the abdomen and pelvis during pregnancy and fhe immediate post partum period. Radiographics 2002; 77 :
39 1.Quel autre examen demander en cas de suspicion de môle hydatiforme sur l'échographie pelvienne? A - échographie de contrôle à un mois. B - radiographie pulmonaire. C - hystérographie. D - IRM pelvienne. E - TDM pelvienne. 2. Quel est le rôle de l IRM en cas de MTG : A- mieux définir les marges tumorales. B- mettre en évidence l hyper vascularisation périphérique. C- participer à l élaboration du stade FIGO. D- mieux apprécier l extension locorégionale. E- faire la différence entre môle partielle et môle invasive.
40 3.Selon la classification OMS modifiée, les maladies trophoblastiques persistantes incluent : A- Môle hydatiforme complète. B- Môle hydatiforme partielle. C- Môle invasive. D-Choriocarcinome. E -Tumeur trophoblastique du site placentaire. REPONSES: 1. D 2. A, B, C, D, E 3. C, D, E
Images en «franc» hypersignal T2 du pelvis féminin Atlas iconographique
Images en «franc» hypersignal du pelvis féminin Atlas iconographique Cavet M, Soyer P, Malzy P, Bendavid S, Merlin A, Martin-Grivaud S, Rymer R RADIOLOGIE VISCERALE ET VASCULAIRE, HOPITAL LARIBOISIERE
Plus en détailASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG. Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité
Hôpitaux Universitaires de Genève ASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité Introduction (1) L IVG chirurgicale est
Plus en détailApport de l IRM dans la
Apport de l IRM dans la caractérisation tissulaire préopératoire des tumeurs rectales Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE PLAN Introduction
Plus en détailPLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détailIRM du Cancer du Rectum
IRM du Cancer du Rectum quels CHOIX TECHNIQUES pour quels OBJECTIFS THERAPEUTIQUES? Frank Boudghène, T. Andre, A. Stivalet, I. Frey, L. Paslaru, V. Ganthier, M. Tassart Hopital Tenon - Université Paris
Plus en détailF us u ses c ouc u he h s s po p nt n a t né n es J. L J. an sac CHU H T ou
Fausses couches spontanées J Lansac CHU Tours Définition Avortement : expulsion produit de conception avant 22SA ou enfant
Plus en détailCancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons.
Cancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons. Un taux de récidive de 30% dans les dix premières années chez des patientes en rémission complète après un traitement curatif, requiert
Plus en détailPeut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY
Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY A quoi sert l imagerie conventionnelle dans le diagnostic
Plus en détailCORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE
CORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE L. Lecoq, J. Gendre, N. Sturm, C. Letoublon, MN. Hilleret, JP. Zarski, V. Leroy
Plus en détailMoyens d étude de la peau
Moyens d étude de la peau Dr. Yannick Le Corre yalecorre@chu-angers.fr Service de Dermatologie Vénéréologie Pr. L. Martin 2011-2012 CHU Angers UE Revêtement cutané Dermoscopie ou Dermatoscopie Examen de
Plus en détailUE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire
UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire Imagerie Imagerie de Gamma Caméra Tomographie d émission monophotoniqueou TEMP: radiopharmaceutiqueémetteurs de rayonnement Gamma Imagerie de Caméra TEP
Plus en détailIntérêt de la TEP-FDG dans les cancers de l ovaire
Intérêt de la TEP-FDG dans les cancers de l ovaire T. Mognetti et F. Giammarile Introduction La TEP-FDG (Tomographie par Émission de Positons après injection de 18 F- Fluoro-2-Déoxy-Glucose) est un des
Plus en détailTRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir?
TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? H Le Hors-Albouze Urgences pédiatriques Timone enfants Marseille Traumatismes crâniens (TC) de l enfant Grande fréquence même si incidence réelle mal
Plus en détailRecommandations 2005. Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO
Recommandations 2005 Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO Recommandations pour la Pratique Clinique : Standards, Options et Recommandations 2005 pour la prise en charge
Plus en détailECHOGRAPHIE EN GYNECOLOGIE ET EN OBSTETRIQUE
ECHOGRAPHIE EN GYNECOLOGIE ET EN OBSTETRIQUE (Diplôme Interuniversitaire National d ) 17/02/2015 avec Bordeaux, Brest, Lille, Lyon, Marseille, Nantes, Paris V et XII, Toulouse et Tours Objectifs : Formation
Plus en détailPierre OLIVIER - Médecine Nucléaire
Diplôme Universitaire Corrélations anatomo-physio-pathologiques en imagerie thoracique 25 mai 2011 Imagerie TEP et pathologie tumorale bronchique Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Détection en coincidence
Plus en détailLes renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer
Information importante pour les personnes atteintes d un cancer du poumon non à petites cellules de stade avancé Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic
Plus en détailFondation PremUp. Mieux naître pour mieux vivre
Fondation PremUp Mieux naître pour mieux vivre Une fondation de coopération scientifique initiée par les pouvoirs publics en 2007 6 membres fondateurs : L Assistance Publique des Hôpitaux de Paris, l Inserm,
Plus en détailÉchographie obstétricale
- Support de Cours (Version PDF) - Échographie obstétricale Comité éditorial pédagogique de l'uvmaf Date de création du document 01/03/11 Université Médicale Virtuelle Francophone 1/38 - Support de Cours
Plus en détailHTA et grossesse. Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice
HTA et grossesse Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice Définition HTA gravidique: Après 20 SA Systole> 140mmHg et/ou Diastole>90mmHg A 2 reprises séparées de plus de 6 heures Résolutive
Plus en détailApport de l IRM dans le bilan préthérapeutique du cancer du rectum
Apport de l IRM dans le bilan préthérapeutique du cancer du rectum Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE PLAN Introduction Matériel
Plus en détailDe la chirurgie du nodule aux ganglions
De la chirurgie du nodule aux ganglions Docteur Xavier CARRAT Institut Bergonié Clinique Saint Augustin Chirurgie des lésions bénignes de la thyroïde problématique opératoire «simple» avec indication portée
Plus en détailDon d organes et mort cérébrale. Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper
Don d organes et mort cérébrale Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper La mort cérébrale Cessation irréversible de toute fonction cérébrale
Plus en détailIRM hépatique: ce que le manipulateur doit savoir
CHU Henri Mondor IRM hépatique: ce que le manipulateur doit savoir P.Zerbib, A.Luciani, F.Pigneur, R.Raymond, A.Rahmouni CHU Henri Mondor Créteil Service Imagerie Médicale Pr.A.RAHMOUNI Objectifs Comprendre
Plus en détailLes différents types de cancers et leurs stades. Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07
Les différents types de cancers et leurs stades Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07 CARCINOGENESE multiple steps, accumulation d altd altérations continuum lésionnel
Plus en détailHématome rétro-placentaire ( HRP )
Hématome rétro-placentaire ( HRP ) L hématome rétroplacentaire (HRP) ou abruptio placentae correspond au décollement prématuré d un placenta normalement inséré (DPPNI). La lésion anatomique est formée
Plus en détailFocus. Assurances et tumeurs génitales des hommes jeunes. Unité de Recherche et Développement pour les Risques Aggravés.
Unité de Recherche et Développement pour les Risques Aggravés Focus Juillet 2007 Assurances et tumeurs génitales des hommes jeunes Assurances et tumeurs génitales des hommes jeunes Conception et réalisation
Plus en détailL IRM pas à pas Un module d enseignement interactif des bases physiques de l Imagerie par Résonance Magnétique. http://www.e-mri.
L IRM pas à pas Un module d enseignement interactif des bases physiques de l Imagerie par Résonance Magnétique http://www.e-mri.org D HOA, A MICHEAU, G GAHIDE, E LE BARS, C CYTEVAL, M ZANCA, P DUJOLS,
Plus en détailActualités IRM dans la SEP Thomas Tourdias 1, 2
Actualités IRM dans la SEP Thomas Tourdias 1, 2 (1) Service de NeuroImagerie Diagnostique et Thérapeutique, CHU Bordeaux, Université de Bordeaux (2) Neurocentre Magendie, INSERM U 862, Université de Bordeaux
Plus en détailQuel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques?
Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? L Fournier, D Balvay, CA Cuénod Service de radiologie, Hôpital Européen Georges Pompidou Laboratoire de Recherche en Imagerie, Equipe
Plus en détailTUMEURS ET PSEUDO-TUMEURS DES PARTIES MOLLES : QUEL CRÉDIT PEUT-ON ACCORDER À L ÉCHOGRAPHIE?
TUMEURS ET PSEUDO-TUMEURS DES PARTIES MOLLES : QUEL CRÉDIT PEUT-ON ACCORDER À L ÉCHOGRAPHIE? R.CAMPAGNA, F.THEVENIN, D.RICHARME, H.GUERINI, A.FEYDY, F.LAROUSSERIE, JL.DRAPÉ Service de Radiologie B CHU
Plus en détailLundis de la Santé - Brest 12 Décembre 2005. Tabac et Grossesse M. COLLET
Lundis de la Santé - Brest 12 Décembre 2005 Tabac et Grossesse M. COLLET Tabac et grossesse Problème majeur de santé publique 25 à 33 % des femmes fument pendant la grossesse Nombreuses conséquences obstétricales
Plus en détailLe cancer de l utérus
Le cancer de l utérus Carcinome de l endomètre, sarcome de l utérus Une information de la Ligue contre le cancer pour les personnes concernées et leurs proches Impressum _Editrice Ligue suisse contre le
Plus en détailMaladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin
Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca MALADIE DE HODGKIN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du
Plus en détail19 thèmes dans 10 villes
SATISFAIRE À VOS OBLIGATION DE DPC FACILEMENT GRÂCE AU CNGOF DPC réalisés par le CNGOF et financée par l Agrément CNGOF : 11 75 32 07 175 - FMC 100 098 Indemnité de 345 par jour et prise en charge hôtellerie
Plus en détailCancer du sein in situ
traitements et soins octobre 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome canalaire et carcinome
Plus en détail«DIRE» UNE ECHOGRAPHIE A 12 SEMAINES D AMENORRHEE. Laurence Hamou Interne CHU ROUEN
«DIRE» UNE ECHOGRAPHIE A 12 SEMAINES D AMENORRHEE Laurence Hamou Interne CHU ROUEN INTRODUCTION 3 échographies obstétricales recommandées au cours d une grossesse normale. Idéalement réalisée entre 11
Plus en détailArtéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques
Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques T Smayra, L Menassa-Moussa, S Slaba, M Ghossain, N Aoun Hôtel-Dieu de France, Université
Plus en détailG U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome
Plus en détailFoscolo (1), J Felblinger (2), S Bracard (1) CHU Hôpital central, service de neuroradiologie, Nancy (1) CHU BRABOIS, Centre d investigation clinique
S A l (1) G H (2) S S Aptel (1), G Hossu (2), S Foscolo (1), J Felblinger (2), S Bracard (1) CHU Hôpital central, service de neuroradiologie, Nancy (1) CHU BRABOIS, Centre d investigation clinique innovation
Plus en détailTUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE
1 Plan de cours I - TUMEURS PRIMITIVES DE LA VESSIE c1 - Tumeurs papillaires non infiltrantes c2 - Tumeurs papillaires infiltrantes c3 - Carcinome in-situ en muqueuse plane D - Pronostic : II - TUMEURS
Plus en détailAssociation lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose
Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose Auteurs Cendrine Godet (*) Jean-Pierre Frat (**) Cédric Landron (*) Lydia Roy (***) Paul Ardilouze (****) Jean-Pierre Tasu (****) (*)
Plus en détailLe point sur les techniques d embolisation des hépatocarcinomes
Le point sur les techniques d embolisation des hépatocarcinomes Johann CLOUET Pharmacien AHU Pharmacie Centrale CHU de Nantes Epidémiologie Hépatocarcinome ou CHC. 5 ème cancer mondial 3 ème par la mortalité
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailQuels sont les facteurs qui font augmenter les risques de cancer du rein?
Qu est-ce que le cancer du rein? L adénocarcinome rénal est le type le plus fréquent de cancer du rein 1. Le rôle des reins consiste à filtrer le sang et à évacuer les déchets de l organisme dans l urine.
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailSpondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil
Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE
Plus en détailQuoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis?
Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis? Nathalie QUILES TSIMARATOS Service de Dermatologie Hôpital Saint Joseph Marseille Ce que nous savons Le psoriasis Affection dermatologique très fréquente,
Plus en détailF-FLUORODÉOXYGLUCOSE EN ONCOLOGIE Expérience en Ile de France
18F-fluorodéoxyglucose en oncologie. Expérience en Ile de France. 18 F-FLUORODÉOXYGLUCOSE EN ONCOLOGIE Expérience en Ile de France H. FOEHRENBACH 1, J. LUMBROSO 2 1 Service Médecine Nucléaire, Hôpital
Plus en détailSYNTHÈSE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES. Spondylarthrites. Décembre 2008
SYNTHÈSE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Spondylarthrites Décembre 2008 OBJECTIFS - Mieux identifier les patients atteints de spondylarthrite afin de raccourcir le délai entre l apparition des symptômes
Plus en détailRadiologie Interven/onnelle sur les nodules pulmonaires. J. Palussière, X. Buy Département imagerie
Radiologie Interven/onnelle sur les nodules pulmonaires J. Palussière, X. Buy Département imagerie Radiofréquence Interac*on courant électro- magné*que ma*ère agita*on ionique chaleur Coagula*on Nécrose
Plus en détailOSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE
OSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE Jurgita Bruzaite,, Monique Boukobza,, Guillaume Lot* Services de Neuroradiologie et de Neurochirurgie
Plus en détailStreptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions.
Streptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions. Exemple d une étude prospective sur la place d un test de détection rapide du SGB. HONORAT Raphaële 1, ASSOULINE Corinne 1,
Plus en détailIncontinence anale du post-partum
Incontinence anale du post-partum Laurent Abramowitz Unité de proctologie médico-chirurgicale de l hôpital Bichat, Paris Et cabinet libéral Prévalence Inc anale France (1) : 11% > 45 ans Damon et al (2):Pop
Plus en détailImagerie des tumeurs endocrines Le point de vue de l imagerie moléculaire
4ème Journée inter-régionale RENATEN Centre / Poitou-Charente Imagerie des tumeurs endocrines Le point de vue de l imagerie moléculaire Maria João Santiago-Ribeiro CHRU Tours Université François Rabelais
Plus en détailQu est-ce que le cancer du sein?
Cancer du sein Qu est-ce que le cancer du sein? Laissez-nous vous expliquer. www.fondsanticancer.org www.esmo.org ESMO/FAC Patient Guide Series basés sur les recommandations de pratique clinique de ESMO
Plus en détailLes traitements du cancer invasif du col de l utérus
JUIN 2011 Les traitements du cancer invasif du col de l utérus Nom du chapitre COLLECTION GUIDES PATIENTS LE COL DE L UTÉRUS LE CHOIX DES TRAITEMENTS LA CHIRURGIE LA RADIOTHÉRAPIE LA CHIMIOTHÉRAPIE LES
Plus en détailLymphome non hodgkinien
Lymphome non hodgkinien Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca LYMPHOME NON HODGKINIEN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du cancer presque
Plus en détailBiométrie foetale. Comité éditorial pédagogique de l'uvmaf. Date de création du document 01/071011. - Support de Cours (Version PDF) -
Biométrie foetale Comité éditorial pédagogique de l'uvmaf Date de création du document 01/071011 Table des matières I Techniques de biométrie...3 I.1 Mesure de la longueur cranio-caudale...3 I.2 Mesure
Plus en détailThérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin
Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller
Plus en détailQu est-ce qu un sarcome?
Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs
Plus en détailPrise en charge des dysplasies et carcinomes in situ de la surface oculaire au CHT de Nouvelle-Calédonie
Prise en charge des dysplasies et carcinomes in situ de la surface oculaire au CHT de Nouvelle-Calédonie Congrès de la SFO Mai 2011 M. Le Loir (Brest), E. Mancel (Nouméa), L.W. Hirst (Brisbane) Dysplasie
Plus en détailPour l'instant, les connaissances actuelles ne permettent pas d'empêcher un cancer du sein de survenir.
Dépistage Pour l'instant, les connaissances actuelles ne permettent pas d'empêcher un cancer du sein de survenir. Par contre, nous pouvons tenter de le dépister plus tôt afin d'avoir plus de chances de
Plus en détailMétastase unique d un NPC: Une question singulière? Jean Louis Pujol - Xavier Quantin Mohammad Chakra Fabrice Barlési
Métastase unique d un NPC: Une question singulière? Jean Louis Pujol - Xavier Quantin Mohammad Chakra Fabrice Barlési Deux grandes questions Cette modalité de présentation, requiert elle une prise en charge
Plus en détailINFORMATION & PRÉVENTION. Le cancer de la vessie
INFORMATION & PRÉVENTION Le cancer de la vessie G R A N D P U B L I C Ce à quoi sert la vessie La vessie est une poche qui reçoit l urine produite par les reins, via les uretères*. Elle est constituée
Plus en détailIndications de la césarienne programmée à terme
Indications de la césarienne programmée à terme Janvier 2012 Quelles sont les indications de la césarienne programmée? Utérus cicatriciel Transmissions mère-enfant d infections maternelles Grossesse gémellaire
Plus en détailLes cancers de l appareil génital féminin
Recherche Information - prévention - dépistage Actions pour les malades et leurs proches Les cancers de l appareil génital féminin (col et corps de l utérus, ovaires) G R A N D P U B L I C Janvier 2009
Plus en détailAnatomie. Le bassin inflammatoire. 3 grands cadres. 4 tableaux. Spondylarthrite ankylosante. Spondylarthrite ankylosante 26/10/13
Anatomie Enthésopathies Docteur Emmanuel Hoppé Service de Rhumatologie CHU Angers 18.10.2013 Symphyse pubienne Coxo-fémorales Bursopathies Sacroiliaques 4 tableaux 3 grands cadres Douleur lombofessière
Plus en détailPemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée. Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var
Pemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var SFPO Octobre 2009 EPIDEMIOLOGIE Incidence : 1.35 M par an dans le monde (12,4%) 28 000
Plus en détailMigraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques
Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension
Plus en détailAtelier N 2. Consultation de patientes porteuses d une maladie générale
Atelier N 2 Consultation de patientes porteuses d une maladie générale Contre indica,ons à la grossesse Hypertension artérielle pulmonaire >30mmHg Maladie de Marfan (dilatation aortique>4 cm) Rétrécissement
Plus en détailQue représentent les Spondyloarthrites Axiales Non Radiographiques? Pascal Claudepierre CHU Mondor - Créteil
Que représentent les Spondyloarthrites Axiales Non Radiographiques? Pascal Claudepierre CHU Mondor - Créteil Liens d intérêt Intérêts financiers : aucun Liens durables ou permanents : aucun Interventions
Plus en détailHistoire d une masse pancréatique
Histoire d une masse pancréatique Marie Luce Auriault Michael Levy Frédéric Pigneur Claude Tayar, et Iradj Sobhani CHU Henri Mondor Pour GHIF Samedi 13 Juin 2009, Histoire de la maladie Femme 66 ans consulte
Plus en détailTVP fémorale. Systématisation. La TVP : écho-doppler JP Laroche Unité de Médecine Vasculaire CHU Montpellier. Thrombus mobile
Systématisation VCI Fémorale Superf. 3/4 Iliaque Poplitée La TVP : écho-doppler JP Laroche Unité de Médecine Vasculaire CHU Montpellier Mars 2015 Fémorale Sural Difficultés et Pièges: écho-doppler Veineux
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES LESIONS SPINCTERIENNES ANALES DU POST-PARTUM : DU CURATIF AU PREVENTIF
PRISE EN CHARGE DES LESIONS SPINCTERIENNES ANALES DU POST-PARTUM : DU CURATIF AU PREVENTIF Laurent ABRAMOWITZ Unité de proctologie médico-chirurgicale Hôpital Bichat Claude Bernard 95, Rue de Passy 75016
Plus en détailRéparation de la communication interauriculaire (CIA) Informations destinées aux patients
Réparation de la communication interauriculaire (CIA) Informations destinées aux patients Schéma du cœur avec CIA Aorte Artère pulmonaire Oreillette gauche CIA Appendice auriculaire gauche Oreillette droite
Plus en détailGUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge du cancer du rein
GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge du cancer du rein Novembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le cancer du rein, son
Plus en détailImagerie TDM et IRM des obstacles du bas cholédoque
Imagerie TDM et IRM des obstacles du bas cholédoque O Bruot, V Laurent, P.A Ganne, C Barbary, S Corby, E Kermarrec, S Béot, D Régent Service de Radiologie Brabois Adultes JFR Octobre 2006 CHU NANCY Préface
Plus en détailHyperplasie nodulaire focale. Hyperplasie nodulaire focale. Pr Valérie VILGRAIN. Service de Radiologie, Hôpital Beaujon, 92118 Clichy Cedex
Hyperplasie nodulaire focale Hyperplasie nodulaire focale Valérie VILGRAIN Service de Radiologie, Hôpital Beaujon, 92118 Clichy Cedex Correspondance : Pr Valérie VILGRAIN Service de Radiologie, Hôpital
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailTransgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010
Parc d Innovation d Illkirch, France, le 10 mars 2010 Transgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010 Transgene (Euronext
Plus en détailDécouvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE
Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE 2014 L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE L Institut universitaire du cancer de Toulouse (IUCT) est un nouveau modèle français d organisation
Plus en détailHEL-01298-de-0513-0001-21494. Des maladies dépistées grâce aux examens préventifs
HEL-01298-de-0513-0001-21494 Des maladies dépistées grâce aux examens préventifs Sommaire 1. Pourquoi des examens préventifs? 3 2. Examens préventifs pour le dépistage des facteurs de risque/maladies du
Plus en détailI Identification du bénéficiaire (nom, prénom, N d affiliation à l O.A.) : II Eléments à attester par un médecin spécialiste en rhumatologie :
ANNEXE A : Formulaire de première demande Formulaire de première demande de remboursement de la spécialité HUMIRA pour une spondylarthrite axiale sévère sans signes radiographiques de spondylarthrite ankylosante
Plus en détailCancer du sein in situ
traitements, soins et innovation OCTOBRE 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein in situ COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome
Plus en détailApport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses
Apport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses M-H H BESSIERES,, S. CASSAING, A. BERRY, R. FABRE, J-F.. MAGNAVAL Service de Parasitologie-Mycologie Diagnostic biologique d une d parasitose
Plus en détailRecommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés
Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique
Plus en détailCas clinique n 1. Y-a-t-il plusieurs diagnostics possibles? Son HTA a t elle favorisé ce problème?
Cas clinique n 1 Michel que vous suivez de longue date a l impression depuis quelques jours, d entendre des battements irréguliers le soir en se couchant ; il va parfaitement bien par ailleurs et rapporte
Plus en détailCancer du rein métastatique Nouvelles approches thérapeutiques. Sophie Abadie-Lacourtoisie 20 mai 2006
Cancer du rein métastatique Nouvelles approches thérapeutiques Sophie Abadie-Lacourtoisie 20 mai 2006 Cancer du rein à cellules claires métastatique (CRM) Plus de 30 % des CR deviendront métastatiques
Plus en détailAspects réglementaires du don et de la transplantation des organes. Mohamed Arrayhani - Tarik Sqalli Service de Néphrologie CHU Hassan II - Fès
Aspects réglementaires du don et de la transplantation des organes Mohamed Arrayhani - Tarik Sqalli Service de Néphrologie CHU Hassan II - Fès Cadre législatif au Maroc Loi 16/98 relative au don, au prélèvement
Plus en détailMaternité et activités sportives
Maternité et activités sportives L obstétricien est de plus en plus souvent interrogé sur les avantages et les risques de maintenir ou de débuter une APS ou de loisir pendant la grossesse. Transformations
Plus en détailPseudotumor cerebri. Anatomie Le cerveau et la moelle épinière baignent dans un liquide clair, appelé le liquide céphalo-rachidien (LCR).
Hypertension intracrânienne idiopathique Pseudotumor cerebri Votre médecin pense que vous pouvez souffrir d hypertension intracrânienne idiopathique connue aussi sous le nom de «pseudotumeur cérébrale».
Plus en détailCollection Soins infirmiers
Collection Soins infirmiers Une production du Université de Caen Basse-Normandie Traumatologie : traitements des fractures Dr. J-P de ROSA CH. AVRANCHES-GRANVILLE Fractures diagnostic 2 Fractures-diagnostic
Plus en détailApport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales
Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales A propos de 35cas L.Derouich, N.El Benna, N.Moussali, A.Gharbi, A.Abdelouafi Service de Radiologie Hôpital 20 Aout CHU Ibn Roch Casablanca Maroc plan
Plus en détailLA RÉTENTION URINAIRE DU POST-PARTUM
LA RÉTENTION URINAIRE DU POST-PARTUM Prise en charge au CH de Pau Dr Sophie Rouleaud Service de médecine physique et de réadaptation Samedi 4 octobre 1 2 DEFINITION Définition 2003 Glavind K. et Bjork
Plus en détailF JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010
F JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010 Une anomalie ACR5 n est pas synonyme de malignité (VPP>95%) Quelle CAT après un
Plus en détailLa prise en charge de l AVC ischémique à l urgence
La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de
Plus en détailSport et traumatisme crânien
Sport et traumatisme crânien Sylma M Pamara DIABIRA Neurochirurgie, CHU Rennes Commotion cérébrale «Perturbation physiologique, en général transitoire, de la fonction cérébrale à la suite d'un traumatisme
Plus en détail