Décembre. PRÉSENTATION DES TRAVAUX D'OPTION des élèves de la Voie Spécialisée et du Master Stratégies Energétiques
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- Marie-Christine Bilodeau
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1 Décembre 2011 PRÉSENTATION DES TRAVAUX D'OPTION des élèves de la Voie Spécialisée et du Master Stratégies Energétiques
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3 TRAVAUX D OPTION des élèves de la voie spécialisée et du Master Stratégies Energétiques Session Décembre 2011
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5 Sommaire L Ecole des Mines de Paris Présentation de l école...4 Le mot de la Direction...7 Qu est-ce qu une option?...9 Plan d accès Le calendrier Liste des sujets par option Présentation détaillée Biotechnologie...17 Développement industriel des procédés avancés Économie industrielle Finance quantitative T Génie atomique Géosciences Géostatistique Gestion scientifique Ingénierie de la conception Innovation et entrepreneuriat Machines et énergie Master stratégies énergétiques Mareva Systèmes de production et de logistique Index par élève
6 Présentation de l'école L' École des Mines a été fondée en 1783, à l époque où l exploitation des mines était l industrie de haute technologie par excellence et concentrait les problèmes de sécurité des personnels et de planification économique, voire les enjeux géopolitiques (l accès aux matières premières rares ou stratégiques). Tout naturellement, les compétences de l École Missions Les missions principales de l École sont : former : - des Ingénieurs du Corps National des Mines et d autres grands corps techniques de l État, - des Ingénieurs Civils, - des Docteurs, - des Ingénieurs étrangers, en France et hors de France. conduire des actions de recherche, gérer certaines activités de service public telles que bibliothèque et collection de minéralogie. ont suivi le développement de l industrie et l École des Mines étudie, développe et enseigne aujourd hui l ensemble des sciences et techniques utiles aux ingénieurs y compris les sciences économiques et sociales pour former des ingénieurs généralistes polyvalents aptes à répondre aux besoins d une économie en mutation rapide et à les anticiper. Les jeunes ingénieurs de l École des Mines de Paris se tournent vers presque tous les secteurs de l entreprise : production, recherche, gestion, ressources humaines, ingénierie, finances ; ils sont présents dans tous les domaines : industrie lourde, industries de transformation, secteur tertiaire, services, banques, conseil, etc. Recherche Parmi les toutes premières, l École des Mines a compris la nécessité d appuyer la formation des ingénieurs sur une recherche dynamique et concernée par les problèmes industriels. Ce type de recherche, dite orientée, s est notablement développée au cours des trente dernières années, dans des disciplines qui font traditionnellement partie des préoccupations de l École, à savoir : - les géosciences, - l énergétique, - les matériaux, - les mathématiques appliquées et l informatique - les sciences économiques et sociales. 4
7 L École comprend 15 centres de recherche répartis principalement à Paris, Evry, Fontainebleau, Sophia-Antipolis. Son personnel compte plus de 700 personnes employées à temps plein, dont 70% de scientifiques ; plus de la moitié (30,1 M ) des ressources contractuelles de recherche provient du secteur concurrentiel. Formation Pour l année , l École des Mines de Paris accueille plus d un millier d étudiants dans plusieurs cycles : Formation des ingénieurs des corps de l État (3 ans) (20 étudiants par an) Cycles de formation spécialisée et mastères (1 an) (environ 300 étudiants par an) Études doctorales (Master Recherche, puis 3 ans de thèse) Environ 500 élèves-chercheurs préparent une thèse à l École des Mines (une centaine de diplômes de docteur de l École des Mines par an). Formation d ingénieurs Cycle des ingénieurs civils (3 ans) étudiants, recrutés : - par concours en 1 année ère - sur titres en 2 année ème - visiteurs en 2 ou en 3 années dans le cadre ème ème d échanges internationaux Cycle de l institut supérieur des techniques - 2 ans de formation en alternance pour des techniciens ayant 5 ans d expérience professionnelle (une quinzaine d étudiants par an) Formation continue de courte durée Séminaires, stages, journées d études Cycles interentreprises ou réalisés à la demande d une entreprise, en France ou à l étranger Formations spécialisées de 3 cycle ème pour des ingénieurs ou niveau équivalent, débutants ou expérimentés 5
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9 Le mot de la direction En décembre et janvier prochains, les élèves en voie spécialisée de la promotion sortante feront une présentation publique de l étude personnelle qu ils ont menée dans le cadre de leur option. Cette présentation, qui couronne un travail important et original, constitue un des actes pédagogiques majeurs de la scolarité. Nos élèves seront ainsi les principaux acteurs d un véritable colloque, qui présentera quelques unes des préoccupations actuelles des entreprises et des évolutions attendues dans un avenir immédiat, et ceci dans des domaines aussi divers que les mathématiques appliquées, le génie des procédés et les matériaux, les sciences de la terre, les sciences économiques et sociales, la gestion, l énergie, etc. Chaque sujet est d origine industrielle : il est mis au point dans le cadre des relations de coopération anciennes et confiantes qu entretiennent les membres du corps enseignant avec les milieux économiques. C est dire qu il s agit de problèmes difficiles pour lesquels nos partenaires attendent des solutions, que nos élèves élaborent avec l aide de l encadrement fourni par nos centres de recherche et nos correspondants industriels. Les résultats obtenus donnent souvent lieu à des publications dans des revues professionnelles et à des distinctions scientifiques. A ce colloque participeront les élèves bien sûr, mais aussi les enseignants, les chercheurs et la direction de l école, ainsi que de nombreux ingénieurs et responsables d entreprises. Ce sera l occasion pour l auditoire d apprécier non seulement les compétences de nos élèves et leur créativité, mais aussi leur enthousiasme et leur aptitude à transmettre un message, qualités dont ils auront le plus grand besoin dans leur carrière future. Nous espérons vivement que vous serez des nôtres pour prendre part à cette réunion et apporter votre contribution aux débats. Ce document en présente le programme mais il est aussi la galerie de portraits de la totalité des élèves de la promotion et d une partie de l équipe pédagogique qui les a suivis pendant leur scolarité. Il vous permettra de poursuivre la relation ainsi initiée. Et, sous réserve de l accord de nos partenaires, les rapports écrits qui vous intéressent plus particulièrement pourront être mis à votre disposition. 7
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11 qu est ce qu une option? qu'est-ce qu'une option Dans la pédagogie voulue par l école des Mines, l option constitue un élément essentiel. Elle permet l apprentissage du travail personnel ou en petite équipe dans un domaine où toutes les ressources et toutes les connaissances d une personne doivent être sollicitées et où les solutions ne sont jamais évidentes et sont rarement uniques. Elle constitue une excellente formation pour des jeunes conduits à connaître les difficultés, les limites et aussi les joies de ceux qui sont appelés à assumer des responsabilités dans le monde industriel. Les activités d option n ont pas pour but de former des spécialistes dans une branche industrielle donnée ou dans tel ou tel aspect de la recherche, mais de fournir à chaque élève l occasion de mobiliser l ensemble de ses connaissances pour obtenir une solution au problème industriel concret qui lui a été posé dans le cadre de son stage d option. Ces travaux reflètent toujours les préoccupations actuelles des entreprises. Aussi les élèves sont-ils toujours en contact durant leur période d option avec les entreprises ou les organismes qui ont posé les problèmes étudiés, tout en gardant un contact pédagogique étroit avec les enseignants responsables et le centre de recherche de l école associé à l option. Ces travaux font l objet en fin de troisième année d un rapport écrit et d un exposé public où sont invités les élèves, les enseignants, la direction de l école, les industriels et les représentants des organismes intéressés. Déroulement de l option : Les élèves de première année choisissent leur option avant la fin de l année scolaire. Les élèves admis sur titres en deuxième année sont affectés dans les options en tenant compte de leurs préférences. Les effectifs de chaque option sont volontairement limités afin d assurer un taux d encadrement optimal. Les activités au sein des options sont, en règle générale, les suivantes : En deuxième année, et essentiellement au début de la troisième année, les élèves reçoivent une formation complémentaire et spécifique les préparant aux études particulières qui leur seront confiées. Ils se familiarisent également avec les données humaines et techniques de la branche industrielle ou scientifique concernée aussi bien dans les centres de l école que dans les centres et entreprises associés à travers le monde (Allemagne, Argentine, Australie, Brésil, Canada, Japon, Chine, Guyane, Maroc, Pays-Bas, Grande-Bretagne, Inde, Mexique, Malaisie, Russie, USA, Vénézuéla par exemple). Au cours de la troisième année, les élèves entreprennent le travail personnel que nous avons déjà évoqué. Deux cursus différents sont proposés. Une première formule commence en janvier avec une période d un mois de stage dans l organisme qui a fourni le sujet. De février à mars, une journée par semaine peut être consacrée à l option ; enfin les mois d'avril à juin permettent d effectuer la deuxième partie du stage au sein de l entreprise et la préparation de la soutenance et du rapport. Une deuxième formule associe une période préparatoire en janvier à une période bloquée de stage de mi-mars à fin juin, qui permet de traiter des sujets s accommodant mal d une interruption, étude à caractère international ou expérimental par exemple. Durant toute la période d option, les élèves ont un encadrement de tout premier plan qui mobilise toutes les compétences utiles au déroulement du sujet. Chercheurs, ingénieurs, professeurs d option apportent leur soutien et leur aide méthodologique pour mener à bien le travail d option. Grâce à ce tutorat, les étudiants non seulement apprennent à mobiliser toutes leurs connaissances mais à résoudre des problèmes réels et à affronter des projets de grande envergure. 9
12 PLAN D'ACCÈS - SOUTENANCE DES TRAVAUX D OPTION AMPHIS DE L AILE VENDÔME - V107 Schlumberger - V V AMPHIS DE L AILE LUXEM- BOURG - L106 Mandel - L108 Poincaré - L109 Le Chatelier - L118 Elie de Beaumont - L213 Héroult - L218 Walras - L224 Friedel L213 L218 L224 Direction des études Musée de Minéralogie L109 Asc L108 L118 V V Asc Terrasse Vendôme Salle le Play V107 V106 Salle Vendôme Salle Chevalier Cafétéria Bibliothèque L106 Accueil provoire Cour d honneur WC BDE Foyer ENTRÉE École des Mines de Paris 60, boulevard Saint-Michel Paris (RER Luxembourg) 10
13 Calendrier MERCREDI 14 DÉCEMBRE 2011 Développement industriel des procédés avancés... L 106 Finance quantitative... L 224 Génie atomique... L 213 Géosciences... L 213 Gestion scientifique... L 224 Ingénierie de la conception... L 106 Innovation et entrepreneuriat... L 224 Machines et énergie... L 218 Systèmes de production et logistique...l 218 JEUDI 15 DÉCEMBRE 2011 Économie industrielle... L 106 Finance quantative... L 224 Machines et énergie... L
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15 Liste des sujets par option BIOTEChNOLOGIE Mardi 13 décembre (L106) 10h-11h Alexis VRIGNAUD Mission de conseil pour les prévisions de ventes d un produit contre la douleur DÉVELOPPEMENT INDUSTRIEL DES PROCÉDÉS AVANCÉS Mercredi 14 décembre (L106) 15h-16h Delphine CHARDON Optimisation du pilotage de la part achetée (public restreint*) 16h-17h Joana ARREGUY Optimisation des lignes de redécoupe de verre 17h-18h François DEROUX Lancement et industrialisation d un nouveau produit en céramique technique (public restreint*) ÉCONOMIE INDUSTRIELLE Jeudi 15 décembre 2011 (L106) 10h-11h Manuella BOUJARD Estimation du revenu additionnel du référencement payant FINANCE quantitative Mercredi 14 décembre 2011 (L224) 9h-10h Mohammed MAHMOUDI Assistant exotic trader 10h-11h Ismail BALHACHMI Ingénierie financière et paramètres implicites 11h-12h Nabil AQUEDIM Option-Based Strategies for Merger Arbitrage Jeudi 15 décembre 2011 (L224) 9h-10h Sokhna M BAYE VIX, futures and options 10h-11h Adar DUGARZHAPOV La valorisation des sociétés GÉNIE ATOMIqUE Mercredi 14 décembre 2011 (L213) 8h30-10h Thierry ESCABASSE Elaboration des spécifications techniques d exploitation pour l EPR 13
16 GÉOSCIENCES Mercredi 14 décembre 2011 (L213) 10h-11h Anne-Flore BONVALOT Conception environnementale - Démarche d étude des bâtiments à énergie positive 11h-12h Victor DI RUGGIERO Acquisitions, cessions et partenariats dans l immobilier des centres commerciaux Géostatistique Janvier h-10h Timothée MOULINIER Les fondamentaux de l acquisition sismique et étude sur les fairings pour l acquisition marine GESTION SCIENTIFIQUE Mercredi 14 décembre 2011 (L224) 17h-18h Chivoine REM Conduite d un projet d externalisation des fonctions d impression INGÉNIERIE DE LA CONCEPTION Mercredi 14 décembre 2011 (L106) 10h30-11h30 Victor SEBAG Veille concurrentielle innovation sur les objets intelligents 11h30-12h30 Clémence CARREEEL Comprendre les fonctionnements et la perfomance d un entrepreneuriat collectif et créateur de valeur grâce aux théories de la conception INnovation et entrepreneuriat Mercredi 14 décembre 2011 (L224) 14h-15h Kilian BAZIN Développer et imposer une vision de marché : le retail analytics 15h-16h Clément FROT Construire une méthode de développement agile au sein d une start-up du Web 16h-17h Thibaud ANTIGNAC Peut-on concilier service personnalisé et respect de la vie privée? Machines et énergie Ayant eu lieu antérieurement Bohan JIN Recherche des paramètres déterminant les défauts sur une ligne de production de verres destinés aux installations photovoltaïques Vendredi 9 décembre h30-11h30 Auxence GROS-BOROT Etude des leviers technico-économique du coût des éoliennes offshore Mercredi 14 décembre 2011 (L218) 9h30-10h30 Thibaut MERCIER Meilleure caractérisation des paramètres primaires des réacteurs nucléaires 10h30-11h30 Xavier LAMBIN Besoins en flexibilité du système gazier britannique (public restreint*) Jeudi 15 décembre 2011 (L224) 10h30-11h30 Paul BERHAUT Etude de l oxy-combustion charbon en réacteur à lit fluidisé 14
17 MASTER STRATÉGIES ÉNERGÉTIQUES Lundi 16 janvier h-10h Giulia ACQUARELLI Eclairages sur le marché de l énergie en Europe 10h-11h Fernando DIEZ Transfert international de technologie dans le domaine de l éclairage efficace 11h-12h Youness EL FOUIH Etude de l intérêt énergétique de la ventilation double-flux dans les bâtiments neufs 14h-15h Rebecca PINTO Intégration entre ASU et terminaux de regazéification de GNL 15h-16h Luis RAMIREZ Amélioration du modèle utilisé pour le bilan prévisionnel 16h-17h Irina SIN Etude de sensibilité dans la modélisation du roll front mareva Vendredi 23 décembre Jean-Charles FRANCK Systématisation de l analyse des impacts modéles sur les produits complexes : application à la modélisation stochastique de la corrélation SYSTÈMES DE PRODUCTION ET DE LOGISTIQUE Mercredi 14 décembre 2011 (L218) 9h30-10h30 Sandra FERRAGUTI Gestion opérationnelle de projets en maroquinerie 10h30-11h30 Yann de la ROCHE Mise en place de deux lignes de production pour Otis à Bangalore SAINT-ANDRE 11h30-12h30 Léo DAGUET Pilotage à moyen terme de la production : adéquation charge-capacité et arbitrages tactiques 14h-15h Laurent AUGUSTE Stratégie de croissance d un leader de production de fours industriels 15h-16h Lasmar HADJ BELGACEM Définition des offres de services domotiques 16h-17h Arafat M LIKA Mission d accompagnement stratégique d un groupe de protection sociale 17h-18h Alexis WATINE Amélioration de la disponibilité des produits P&G en magasin * Pour assister aux présentations à public restreint, il est indispensable de prendre contact au préalable avec les professeurs d option concernés : DÉVELOPPEMENT INDUSTRIEL DES PROCÉDÉS AVANCÉS Alain Gaunand alain.gaunand@mines-paristech.fr MACHINES ET ENERGIE Jérômes Adnot jerome.adnot@mines-paristech.fr 15
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19 Biotechnologie Depuis une vingtaine d années, la biotechnologie s intègre de plus en plus dans des procédés industriels de transformation de la matière. Cette nouvelle stratégie applicative des sciences de la vie nécessite aujourd hui de repenser les productions et les produits sur les bases des acquis scientifiques récents et d introduire, chaque fois que nécessaire, les nouvelles biotechnologies. La biotechnologie concerne donc, par les perspectives qu elle ouvre, des secteurs de plus en plus étendus de l activité industrielle : l agriculture, l agro-alimentaire, la pharmacie, la médecine, la cosmétologie, la chimie, l environnement, C est une discipline transversale, à la croisée des Sciences de la Vie et des Sciences de l Ingénieur pour laquelle la pluridisciplinarité est obligatoire. L ingénieur doit pouvoir comprendre et participer aux choix réalisés en prenant en compte aussi bien les aspects scientifiques et technologiques que les aspects économiques. L option a donc pour objectif de donner aux élèves une synthèse des connaissances actualisées des Sciences de la Vie en vue de comprendre l exploitation du vivant, les biotechnologies et leur participation à l économie générale. L option fournit à l élève l occasion d utiliser l ensemble de ses connaissances d ingénieur généraliste afin d obtenir une solution à un problème industriel concret qui lui est posé dans le cadre de son projet de fin d études. Du fait des applications variées de la biotechnologie, les sujets d études sont également très diversifiés comme ceux présentés cette année. Arnaud BLONDEL, Pierre MONSAN, Véronique STOVEN 17
20 Biotechnologie Mardi 13 décembre L106 10h-11h Alexis VRIGNAUD Mission de conseil pour les prévisions de ventes d un produit contre la douleur La propriété industrielle a pour objet Ce travail s est déroulé au sein d un cabinet de conseil en stratégie, spécialisé dans le domaine de la santé. Un client s apprête à mettre sur le marché un médicament anti-douleur proche d un autre produit déjà lancé. La mission consiste à prévoir les ventes du nouveau produit anti-douleur. Pour répondre à cette question, nous avons d abord tenté d identifier les différents segments du marché. Par l analyse des informations disponibles telles que les publications, les brevets déposés, ou les essais cliniques en cours, nous nous sommes attachés à prévoir les évènements susceptibles d impacter ce marché : par exemple la sortie d autres produits concurrents, ou l évolution de la communication concernant les produits concurrents. Ces travaux ont permis de modéliser le marché attendu pour ce nouveau produit. Ils auront un fort impact sur la stratégie adoptée par le client pour lancer son produit. CEPTON STRATÉGIES (PARIS) 18
21 Développement industriel des procédés avancés Notre niveau de vie dépend de ce que l industrie des procédés nous fournit : médicaments, eau potable, matériaux en tous genres, carburants... Ainsi, certains procédés de transformation de la matière et de l énergie, tels le procédé Héroult-Hall de production d aluminium (1886) pour l industrie aérospatiale, la combustion du charbon au XIXème siècle, la distillation du pétrole pour l industrie automobile puis celle des matières plastiques, ou ceux de biotechnologie pour la production d antibiotiques, ont bouleversé les modes de vie du XXème siècle. Aujourd hui, ces derniers sont profondément remis en cause par les conséquencesmêmes de cette production sur notre santé et notre environnement. Le développement économique d un nombre croissant de pays apparaît, en première analyse, indissociable de l augmentation rapide des émissions de gaz à effet de serre, et de celle des pollutions que ce soit durant l exploitation normale d un procédé ou en cas d accident : comment éviter, pour notre bien et celui des générations futures, l accumulation de déchets non recyclés (Ex : écrans plasma), la contamination des eaux douces, l accélération de la consommation de ressources naturelles limitées... Enfin, les exigences sociales portent d abord sur la pérennité de l emploi, mais aussi sur la garantie de sécurité totale d un procédé pour les travailleurs et pour le public. Les accidents aux conséquences dramatiques ne sont plus acceptés. La nécessité et la volonté d innovation permanente caractérisent les industries de transformation de la matière et de l énergie ; elle doit désormais s appliquer à la recherche d une nouvelle socio-économie industrielle, afin de relever les défis locaux et mondiaux, tout en soutenant le progrès des sociétés. «L écoconception» est la part opérationnelle du développement durable : le génie des procédés de transformation a l objectif d apporter des réponses techniques aux grands enjeux de l eau, l énergie, la santé et la gestion/valorisation des déchets. Piloter cette mutation requiert des ingénieurs des capacités nouvelles. Les mots-clés des solutions aux problèmes ci-dessus sont connus : recyclages, minimisation des pertes d énergie et de matières premières, utilisation de ressources renouvelables (biomasse, solaire...), changements de composition des produits pour plus de performances et un moindre impact environnemental. Pour celà, il faut «savoir concevoir» l innovation, conduire le projet jusqu à une réalisation industrielle pertinente sous les 3 angles Profit, People, Planet du développement durable. Aussi, outre ses savoirs et compétences traditionnels, l ingénieur-manager est initié aux contenus scientifiques et techniques renouvelés associés à ces exigences nouvelles - par exemple le domaine des procédés en phase plasma ou supercritique, ou celui des procédés à base de nano-structures... Il intègre très tôt dans ses projets la gestion du risque technique. Il y incorpore le facteur humain, car il doit disposer d une main d œuvre capable de faire fonctionner des procédés nouveaux. Enfin, dans le cadre d une économie mondialisée, fortement concurrentielle, qui bouleverse les positions acquises, la pérennité d une entreprise dépend de sa capacité à réduire les temps de développement, du laboratoire à l industrie. En conclusion, bâtir des stratégies de développement industriel dans ce contexte est une tâche très complexe et risquée, mais passionnante : quel procédé une entreprise doit-elle faire évoluer? A quel rythme? Dans quels buts? C est à l ingénieur de trouver dans les plus récents développements scientifiques les solutions aux problèmes industriels complexes. L option a pour objectif d apprendre aux élèves-ingénieurs à établir ce pont entre développements scientifiques récents et problèmes industriels complexes. Elle vise à développer en eux la capacité d analyse à la fois technique, scientifique et humaine des enjeux liés au développement et au déploiement d innovations dans les procédés, sur laquelle ils baseront plus tard leur stratégie industrielle. Elle les prépare à la gestion de projets. Les industries de transformation n hésitent pas à donner dès le premier poste, voire durant le stage d option, des marges de manœuvre et de prise d initiative, que ce soit pour le développement et l industrialisation de produits et de procédés, ou pour la conception et la construction d unités. Les missions confiées évolueront selon les goûts et les aptitudes vers le management de la globalité d un projet, la responsabilité d unités ou de sites, ou les directions centrales. Parce que l industrie de procédés est au cœur des problématiques de développement durable, et concernée au moins au même titre que les autres par les bouleversements décrits plus haut, les élèves ayant suivi l option trouvent à exploiter les compétences qu ils ont développées dans tous les secteurs; mais il s avère que leur carrière ne les éloigne jamais complètement d activités de transformation de matières ou d énergie. C. BOUALLOU, A. GAUNAND Enseignants-chercheurs participant à l option : Mesdames Elise El Ahmar, Carol Toro-Molina et Messieurs Christophe Coquelet, Françis Courtois (Agro-ParisTech), Emmanuel Garbolino, Jean-François Hochepied, Amir Mohammadi, Pierre Monsan (INSA Toulouse), Maroun Nemer, Bruno Peuportier, Deresh Ramjugernath (UKR? Afrique du Sud). 19
22 Développement industriel des procédés avancés Mercredi 14 décembre L106 15h-16h Optimisation du pilotage de la part achetée Delphine CHARDON PUBLIC RESTREINT (cf. page 15) Au sein du Business Group Réacteurs et Service, la Business Unit Propulsion et Réacteurs de Recherche (PR&R) a engagé en 2011 un ambitieux plan de performance sur l ensemble de ses activités. L un des grands volets de ce plan vise l optimisation du pilotage de la «part achetée» en raison de son poids important par rapport aux revenus de l entreprise. C est dans ce contexte qu une équipe du Conseil Interne d AREVA a été mandatée afin d établir un diagnostic de performance de la fonction Achats et d accompagner la mise en œuvre de ses recommandations. La mission confiée a été organisée autour des trois objectifs suivants : - Analyse des dépenses d achat - montant, catégories d achats critiques, panel des fournisseurs, - dans l optique d enrichir les stratégies d achat ; - Compréhension et analyse détaillée du partage des rôles et responsabilités dans le pilotage de la part achetée - expression du besoin, planification des achats, suivi de la réalisation des commandes, - et proposition de modèles d organisation ; - Simplification du processus d achat pour les achats de fonctionnement dans le but d une plus forte réactivité areva - direction du Conseil interne (PaRis) 16h-17h Joana ARREGUY Optimisation des lignes de redécoupe de verre Pendant de nombreuses années, les efforts de Saint-Gobain Glass ont principalement porté sur l amélioration du rendement de ses installations de production de verre en continu ou lignes Float, en délaissant les lignes de redécoupe ou «off-line», qui se trouvent en bout de chaîne. Depuis cette année la Direction Technique Internationale souhaite optimiser ces dernières. Elles réalisent principalement la découpe de plaques de verre de grande dimension en éléments dits «primitifs», de taille adaptée à une transformation ultérieure en pare-brises. De nombreuses pertes sont observées dans ce process, elles résultent de deux phénomènes : - des chutes de verre géométriques dues aux dimensions des primitifs - l élimination des défauts de qualité : tout primitif contenant un défaut sera jeté La première partie du projet consiste à créer un procédé intelligent créant un plan de découpe adapté et différent pour chaque plateau en fonction de ses dimensions, de celles des primitifs à produire, et de la position des défauts. Le programme de calcul des nouveaux plans de découpe a été développé en amont, mon travail consiste à le transposer au niveau industriel. Dans un deuxième temps, l objectif est d étendre les fonctionnalités de ce système afin de pouvoir produire des primitifs avec des défauts, qui d après leur position dans le futur pare-brise et leurs caractéristiques seront acceptés par le client. saint-gobain glass (aubervilliers) 20
23 17h-18h François DEROUX Lancement et industrialisation d un nouveau produit en céramique technique PUBLIC RESTREINT (cf. page 15) Le groupe français Imerys, leader mondial des minéraux industriels, développe pour ses clients des solutions qui améliorent leurs produits ou leurs processus de production à partir de minéraux qu il extrait et transforme selon des procédés complexes. Ces minéraux trouvent de très nombreuses applications dans la vie quotidienne - produits d hygiène, papiers, plastiques, batteries, filtration des liquides alimentaires, le bâtiment - peintures, tuiles, briques, polissage de surfaces, ou l industrie - revêtements réfractaires, abrasifs, lubrifiants. L équipe Innovation d Imerys a pour objectif, à partir du portefeuille de 29 minéraux du groupe, d imaginer et de concevoir de nouvelles applications ou de nouveaux produits finis, et de cibler des opportunités de marché. Le projet auquel est rattachée l étude vise à fabriquer et commercialiser un produit en céramique technique apportant une rupture technologique sur son marché. Il entre aujourd hui dans sa phase de développement final. Une grande partie de ma mission a consisté à étudier les procédés de production ainsi que l industrialisation d une des matières premières du produit, à savoir une poudre composite précuite : la montée en puissance du projet nécessitera le passage d une production à l échelle pilote - quelques centaines de kilos par mois, à une production industrielle d une dizaine de tonnes par mois. Dans ce but, trois procédés différents du procédé pilote actuel ont été envisagés : l atomisation, le compactage et l électro-fusion. Des essais de faisabilité technique de l ensemble de ces pistes sont en cours et la solution retenue devra assurer la qualité du produit fini au meilleur coût. Enfin ma mission a également comporté un volet stratégique, avec une étude du marché sur lequel Imerys a pour ambition d introduire son produit. imerys - CoRPoRate innovation (PaRis) 21
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25 Économie industrielle Economie Industrielle est centrée sur l entreprise : ses conditions d émergence, son environnement concurrentiel, ses logiques de croissance. Mais aussi, ses grandes L option décisions : investissement en production, en distribution, en R&D, exploitation de la propriété intellectuelle, gamme des produits, tarification, relations verticales avec distributeurs et sous traitants, localisation géographique L actualité fournit d abondantes illustrations de ces sujets : fusions, délocalisations industrielles, investissements dans les technologies de l information, exploitation de la propriété intellectuelle, adoption de standards, guerre de prix L étude de ces décisions et des enjeux de politique publique associés fait appel à des domaines variés de l analyse économique (contrats, innovation, différenciation, tarification), ainsi qu aux contributions de la théorie des jeux, de l histoire industrielle, de la finance d entreprise, de la régulation des marchés. Les concepts et outils d analyse développés par la micro-économie forment le socle théorique de l économie industrielle. Les raisonnements d économie industrielle tiennent aujourd hui une place centrale dans la formulation des stratégies d entreprises, leur communication financière, ainsi que dans les arbitrages juridiques impliquant les firmes (litiges commerciaux) et les Etats (réglementation). Olivier BOMSEL 23
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