Nouveaux développements vers la photo-oxydation de l eau en oxygène
|
|
- Christelle Landry
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Nouveaux développements vers la photo-oxydation de l eau en oxygène Marc Fontecave Laboratoire de Chimie et Biologie des Métaux, Université Joseph Fourier, CNRS, CEA/DSV/iRTSV CEA-Grenoble 17 rue des martyrs Grenoble cedex 9, France mfontecave@cea.fr; Phone: (0033) ; Fax: (0033) Collège de France, 11 Place Marcelin Berthelot, Paris Cedex 05
2 Photolyse de l eau: Vers une nouvelle classe de photolyseurs 2H 2 O = O 2 + 2H 2 e - Cathode H 2 O H + H + H + ou Photocathode Photoanode - SC-n : Fe 2 O 3 /WO 3 - Catalyseurs Oxydes (Co) -Complexes moléculaires (Mn) ( photosensibilisateur moléculaire) O 2 H 2 O 2 H 2 Catalyseurs moléculaires Ni-NTC Co NiFe FeFe
3 1972: Fujishima A. and Honda K. Nature Photolyse de l eau via le SC TiO 2 (rendt <3%) VERROUS: 1. Il faut des matériaux absorbant la lumière visible H 2 O O 2 2. Dans ce cas, ils ne peuvent pas à la fois réduire et oxyder H 2 O Pb 1 Irradiation UV uniquement (rendt 50%) 3. Il faut des catalyseurs (sans métaux nobles) 4. Pour optimiser les rendements limiter les recombinaisons de charge Pb 2 Cinétique/catalyse
4 Former un «trou» pour oxyder l eau Oxydes métalliques semiconducteurs (TiO 2, WO 3, Fe 2 O 3 ) Cahier des charges pour les matériaux de photoélectrodes: -Absorption dans le visible -Stabilité à la lumière -Énergies des bandes de valence et de conduction adaptées -Transport des charges dans le semiconducteur efficace -Faibles surtensions -Faibles coûts
5 3.1 ev > SC «gap» > 1.9 ev (0.3 ev pertes thermodynamiques ev surtensions cinétiques)= ev = 400 nm; 1.9 ev = 650 nm Efficacité de conversion (énergie H 2 /énergie solaire) -j densité de photocourant (Am -2 ) -P light intensité de lumière incidente (Wm -2 ) -V redox = 1,23V -V B potentiel supplémentaire nécessaire (bias) η STH max = 16.8 % (gap=2.03 ev) Int. J. Hydr. En
6 TiO 2 Avantages: -Ti 3 ème élément le + abondant -Très utilisé en photocatalyse (synthèse, désinfection,.) -Production: 5,5 millions de tonnes -Toxicité limitée -peu de photocorrosion ( peu de réaction h +/ O 2- de la matrice solide) Inconvénients: -Cinétiques de réaction faibles (cata) -Absorption UV (6% spectre solaire) -faibles rendements (< qq %) H 2 O
7 Fe 2 O 3 matériau «idéal» pour une photoanode Avantages: -Fe 2 ème élément le + abondant -Absorption visible (2,1 ev=539 nm) -Stabilité Inconvénients: -Énergie de la BC trop faible -Faible efficacité (<5-20%) faible réactivité des «trous» en surface diffusion des «trous» lente (qq nm; 10-1 cm 2 V -1 s -1 ) surtensions catalyseurs
8 Fe 2 O 3 photoanode Dopage (Nb, SiO 2,, ); rendt: 35-40% Nanostructuration des électrodes (Grätzel) -Nanostructure dendritique -Dopage SiO 2 -Dépôt de Co(II) JACS ,7 ma.cm -2 à 1,23 V(ENH) Rendt: 42% (370 nm;1,23v) Catalyseurs (Co ) JACS mv
9 Photoanode WO 3 J Am Chem Soc (2010)
10 Pt/WO 3 (O 2 ) Pt/ZrO 2 /TaON (H 2 ) 420 nm rendt quantique: 6,3 %
11 Catalyseurs 1. Les catalyseurs doivent opérer le plus près possible du potentiel de la réaction d oxydation de l eau (rendt énergétique maximal) 2. Les catalyseurs doivent être stables (corrosion limitée) IrO 2 CoPi, Co 2 O 3
12 J. Phys Chem C [Ru 2+ ]* S 2 O 8 2- J. Phys Chem C Film de nanoparticules IrO 2 sur électrode de C TOF= 5-6 s -1, OV=0.25 V pour I = 0.5 ma.cm -2 Rendt:100%; 0.1 A.cm -2 (1.35 V vs Ag/AgCl) Ru 2+ Ru 3+ Ir 5+ Ir 4+ Catalyseurs oxydes: IrO 2 H 2 O O 2 TOF=40 s -1, OV=370mV CELLULE PHOTOELECTROCHIMIQUE -Photocourant : µa (>410 nm, bias > -325 mv vs Ag/AgCl) -Instabilité du système -Rendt < 1% J. Am. Chem. Soc
13 Catalyseurs oxydes: cobalt D. Nocera, Science Voltammétrie cyclique sels de Co 2+ Tampon phosphate, ph 7 H 2 O O 2 Oxydation de Co 2+ à 1,13V Vague catalytique à 1,23 V Électrolyse (ITO) de sels de Co 2+ Tampon phosphate, ph 7, 1,3V Dépôt de nanoparticules Co 3+ (O)(OH)(Pi) sur électrode Dégagement O 2 (marquage isotopique) Rendt: 100% Surtensions: 400 mv
14 Catalyseurs oxydes: cobalt D. Nocera (MIT) D. Nocera Chem Soc Rev D. Nocera J. Am. Chem. Soc Électrolyse (ITO) de sels de Co 2+ Tampon phosphate, ph 7, 1,3V Dépôt de nanoparticules Co 3+ (O)(OH)(Pi) sur électrode Dau, H J. Am. Chem. Soc 2009 (250 mv)
15 Catalyseurs oxydes: cobalt H. Frei, LBNL JACS IrO x nanoparticules 1. Co 3 O 4 Ru(bipy) 476nm ph 5.8 S 2 O 8 2- (S 2 O 8 2- ) Rendt quantique: 13% Paquet d=35-65 nm Barre d= 7nm; l=50 nm X 96 Co surface (par rapport à µparticules) Angew Chem TOF= 1140 s -1 (cluster) 0.01 s -1 (Co) Surtension 350 mv Rendt quantique 18%
16 Ru(bipy) + hν + persulfate Ru(bipy) + hν + persulfate Angew Chem
17 Angew Chem Catalyseurs oxydes: manganese-ca Mn 2 O 3 CaMn 2 O 4 Photooxydation (Ru + Co + λ>400nm)) Particules en suspension Ce(IV) (E=1.7 V ENH acide) Le PS des origines de la vie?
18 Catalyseurs moléculaires
19 Complexes binucléaires Ce 4+ : 1,53V (NHE) ph1 Ru-X-Ru Meyer (1982) Ru 3+ X = O Ce 4+ : Thummel (2005) Ru 2+ X = pyrazole Ce 4+ : Sun (2009) Ru 2+ Ce 4+ : 1700 Llobet (2004) Ru 2+ X = pyrazole Ce 4+ : Tanaka (2000) Ru 2+ ITO/1,7V : 33500
20 Divers Ru: mononucléaire Ir: monunucléaire Bernhard (2007) Ir 3+ Ce 4+ : 3000 (jours) Thummel (2005) Ru 2+ Ce 4+ : 260
21 Complexe de Meyer Photooxydation de l eau (Hurst, Inorg Chem )
22 Bonchio, Hill (2008) Ce 4+ : 385/90% (2h) Divers Ru: polyoxométallate Photooxydation de l eau (CL Hill J Am Chem Soc 2009)
23 Un «oxyde de cobalt» moléculaire CL Hill, Science 2010 [Co 4 (H 2 O) 2 (α-pw 9 O 34 ) 2 ] 10- Rendt = 65% TOF = 5 s -1 TON = 1000 (dégradation du PS)
24 Photocatalyseurs moléculaires (Ru) Inorg Chem (1) Ru(L) H 2 O O 2 (Ru 3+/ V) (2) *Ru(L) Co 3+ Ru(L) Co 2+ 1 Décomposition du PS et du cata TOF = 550/h TON = 100 (2h)
25 C. Dismukes (Princeton) Un tétranucléaire de Mn Modèle du site actif de PSII Angew. Chem Acc. Chem Res JACS Mn(III) 2 Mn(IV)
26 Le premier catalyseur à manganèse pour la photo-oxydation de l eau 1/1 + ( V vs ENH) 0.85V (Ag/AgCl) + 1 V (Ag/AgCl), Na 2 SO 4aq, hν ( nm) H 2 O* e - + H + + *O 2 Rendt: 100% (pas d oxydant sacrificiel TON: 1000 oxydant= électrode) TOF: O 2 /h/cata vitesse~10-4 v PSII
27 photoanode Une cellule photoélectrochimique (Mn) JACS V 1.2 V ph 6.5 Na 2 SO 4 hν >290 (395)nm 1.7% I ~ 5-10 µa.cm -2 Décomposition dye+cata? Rendt: 100% TOF: 40 O 2 /h/cata H 2 O* e - + H + + *O 2 H 2
28 Nouveaux développements vers la photo-oxydation de l eau en oxygène Marc Fontecave Laboratoire de Chimie et Biologie des Métaux, Université Joseph Fourier, CNRS, CEA/DSV/iRTSV CEA-Grenoble 17 rue des martyrs Grenoble cedex 9, France mfontecave@cea.fr; Phone: (0033) ; Fax: (0033) Collège de France, 11 Place Marcelin Berthelot, Paris Cedex 05
Élaboration et caractérisation de cellules photovoltaïques de troisième génération à colorant (DSSC)
Faculté Polytechnique Élaboration et caractérisation de cellules photovoltaïques de troisième génération à colorant (DSSC) Prof. André DECROLY Dr Abdoul Fatah KANTA andre.decroly@umons.ac.be Service de
Plus en détailStructure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide
Structure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide Prof. Marc HENRY Chimie Moléculaire du Solide Institut Le Bel, 4, Rue Blaise Pascal 67070 Strasbourg Cedex, France Tél: 03.68.85.15.00 e-mail:
Plus en détailLes batteries électriques pour les camions et bus électriques Etat de l'art, perspectives et interrogations
Les batteries électriques pour les camions et bus électriques Etat de l'art, perspectives et interrogations L Ion Rallye 2012 : Camions et Bus électriques - Le transport branché Lyon 30/11/2012 Serge PELISSIER
Plus en détailLaboratoire de Photophysique et de Photochimie Supra- et Macromoléculaires (UMR 8531)
Unité Mixte du CNRS (UMR8531) Institut de Chimie Directeur : Keitaro NAKATANI (PU ENS Cachan) Courrier électronique : nakatani@ppsm.ens-cachan.fr http://www.ppsm.ens-cachan.fr Problématique générale :
Plus en détailContribution des faisceaux d ions à l élaboration de dispositifs pour l électronique souple
Comité National Français de Radioélectricité Scientifique Section française de l Union Radio Scientifique Internationale Siège social : Académie des Sciences, Quai de Conti Paris Journées scientifiques
Plus en détailhydrogène au service des énergies renouvelables
Le stockage solide de l hydrogl hydrogène au service des énergies renouvelables P. de Rango, D. Fruchart, S. Miraglia, Ph. Marty*, M. Jehan** J. Chabonnier, A. Chaise, S. Garrier, B. Delhomme, S. Nachev,
Plus en détailEXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points)
Bac S 2015 Antilles Guyane http://labolycee.org EXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points) La benzocaïne (4-aminobenzoate d éthyle) est utilisée en médecine comme anesthésique local
Plus en détail1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples.
Référentiel CAP Sciences Physiques Page 1/9 SCIENCES PHYSIQUES CERTIFICATS D APTITUDES PROFESSIONNELLES Le référentiel de sciences donne pour les différentes parties du programme de formation la liste
Plus en détailTHEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE
THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules
Plus en détailLes nanostructures de carbone, un matériau polyvalent pour les biocapteurs et les (bio)piles à combustibles
CR-Université Joseph Fourier UMR-5250 - Grenoble Les nanostructures de carbone, un matériau polyvalent pour les biocapteurs et les (bio)piles à combustibles Michael olzinger, UMR CR 5250, ICMG FR CR 2607
Plus en détailBICNanoCat. Bombardement Ionique pour la Création de Nano Catalyseurs. Denis Busardo Directeur Scientifique, Quertech
BICNanoCat Bombardement Ionique pour la Création de Nano Catalyseurs Denis Busardo Directeur Scientifique, Quertech ANR BICNanoCat DAS Concerné : Énergie Environnement Appel à projets : réduction des émissions
Plus en détailNotes. Schéma général PRODUCTION ÉLECTROLYTIQUE Composés inorganiques, nonmétaux
XXXX C25 PROCÉDÉS ÉLECTROLYTIQUES OU ÉLECTROPHORÉTIQUES; APPAREILLAGES À CET EFFET (électrodialyse, électro-osmose, séparation de liquides par l électricité B01D; usinage du métal par action d une forte
Plus en détailT4 Pourquoi éteindre les phares d une voiture quand le moteur est arrêté? Comment fabriquer une pile? un accumulateur?
T4 Pourquoi éteindre les phares d une voiture quand le moteur est arrêté? Comment fabriquer une pile? un accumulateur? Pour ce module, sont proposés et présentés des phases de recherche documentaire, de
Plus en détailLABORATOIRES DE CHIMIE Techniques de dosage
LABORATOIRES DE CHIMIE Techniques de dosage Un dosage (ou titrage) a pour but de déterminer la concentration molaire d une espèce (molécule ou ion) en solution (généralement aqueuse). Un réactif de concentration
Plus en détailSemi-conducteurs. 1 Montage expérimental. Expérience n 29
Expérience n 29 Semi-conducteurs Description Le but de cette expérience est la mesure de l énergie d activation intrinsèque de différents échantillons semiconducteurs. 1 Montage expérimental Liste du matériel
Plus en détaila-si:h/c-si heterojunction solar cells: back side assessment and improvement
a-si:h/c-si heterojunction solar cells: back side assessment and improvement Sílvia Martín de Nicolás Résumé La diminution du coût des cellules photovoltaïques en silicium cristallin (c-si) passe par une
Plus en détailDr Berdj Haroutunian, 5, Chemin Gottret ch-1255 VEYRIER tél 00 41 (0)22 784-01-18 www.haroutunian.ch E-mail : berdj@haroutunian.ch
1 L UTILISATION DU PLOMB EN DENTISTERIE : MYTHE OU REALITE Dr Berdj HAROUTUNIAN, Genève Le plomb ne devrait en principe pas être utilisé en dentisterie car il n est pas considéré comme un oligo-élément
Plus en détailde suprises en surprises
Les supraconducteurs s de suprises en surprises titute, Japan hnical Research Inst Railway Tech Julien Bobroff Laboratoire de Physique des Solides, Université Paris-Sud 11 & CNRS Bobroff 2011 Supra2011
Plus en détailβ-galactosidase A.2.1) à 37 C, en tampon phosphate de sodium 0,1 mol/l ph 7 plus 2-mercaptoéthanol 1 mmol/l et MgCl 2 1 mmol/l (tampon P)
bioch/enzymo/tp-betagal-initiation-michaelis.odt JF Perrin maj sept 2008-sept 2012 page 1/6 Etude de la β-galactosidase de E. Coli : mise en évidence d'un comportement Michaélien lors de l'hydrolyse du
Plus en détailInteractions des rayonnements avec la matière
UE3-1 : Biophysique Chapitre 2 : Interactions des rayonnements avec la matière Professeur Jean-Philippe VUILLEZ Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailApplication à l astrophysique ACTIVITE
Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.
Plus en détailÉnergie. 26] Énergie Pour la Science - n 405 - Juillet 2011
Énergie V. Artero, N. Guillet, D. Fruchart et M. Fontecave À l heure où la plupart des constructeurs automobiles annoncent la mise sur le marché de véhicules électriques pour 2011, faut-il encore croire
Plus en détailProcédés plasmas à faisceau d ions. P.Y. Tessier
Procédés plasmas à faisceau d ions P.Y. Tessier Institut des Matériaux Jean Rouxel, CNRS Groupe des plasmas et des couches minces Université de Nantes Plan Introduction Gravure par faisceau d ions Dépôt
Plus en détailProgramme consultant expert (PCE)
Programme consultant expert (PCE) Bénéficiez par le biais du PCE de l expertise d un consultant sénior et/ou d un jeune chercheur expérimenté Ce programme s adresse aux entreprises de la filière chimie
Plus en détailLe monde nano et ses perspectives très prometteuses.
Le monde nano et ses perspectives très prometteuses. I/ Présentation du monde nano. Vidéo «Science Suisse : Christian Schönenberger, nano-physicien», 12 min. «Christian Schönenberger conduit le Swiss Nanoscience
Plus en détailFICHE DE DONNEES DE SECURITE
PAGE 1/7 DATE DE MISE A JOUR : 16/11/2011 1/ - IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Identification du produit : Gaines, films, housses, et/ou sacs transparents et colorés en polyéthylène. Famille
Plus en détailEnseignement secondaire
Enseignement secondaire Classe de IIIe Chimie 3e classique F - Musique Nombre de leçons: 1.5 Nombre minimal de devoirs: 4 devoirs par an Langue véhiculaire: Français I. Objectifs généraux Le cours de chimie
Plus en détailChap 1: Toujours plus vite... Introduction: Comment déterminer la vitesse d une voiture?
Thème 2 La sécurité Chap 1: Toujours plus vite... Introduction: Comment déterminer la vitesse d une voiture?! Il faut deux informations Le temps écoulé La distance parcourue Vitesse= distance temps > Activité
Plus en détailBTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1
BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1 I. L ATOME NOTIONS EÉLEÉMENTAIRES DE CIMIE Les atomes sont des «petits grains de matière» qui constituent la matière. L atome est un système complexe que l on
Plus en détailMesures de PAR. Densité de flux de photons utiles pour la photosynthèse
Densité de flux de photons utiles pour la photosynthèse Le rayonnement lumineux joue un rôle critique dans le processus biologique et chimique de la vie sur terre. Il intervient notamment dans sur les
Plus en détailProduction d hydrogène par électrolyse de l eau sur membrane acide
17 Production d hydrogène par électrolyse de l eau sur membrane acide PIERRE MILLET Ingénieur de l'école nationale supérieure d'électrochimie et d'électrométallurgie de Grenoble Pour beaucoup d'entre nous,
Plus en détailLES NANOMATERIAUX. Groupe 2 PRST2 2012
LES NANOMATERIAUX Groupe 2 PRST2 16 Février 2012 LE NANOMONDE Des matériaux de l ordre de grandeur de virus Modification des propriétés fondamentales (physiques, chimiques, biologiques ) Nouveaux produits
Plus en détailLe projet HBS. LETI/DSIS Jean-Jacques Chaillout jean-jacques.chaillout@cea.fr. CEA. All rights reserved
Le projet HBS LETI/DSIS Jean-Jacques Chaillout jean-jacques.chaillout@cea.fr Les buts du projet HBS En 2010 : 8.3 milliards, 1.3 millions d implantations par an, forte croissance dans pays émergents Réduire
Plus en détailFORMATION ASSURANCE QUALITE ET CONTROLES DES MEDICAMENTS QUALIFICATION DES EQUIPEMENTS EXEMPLE : SPECTROPHOTOMETRE UV/VISIBLE
FORMATION ASSURANCE QUALITE ET CONTROLES DES MEDICAMENTS ISO/IEC 17025 Chapitre 5 : EXIGENCES TECHNIQUES QUALIFICATION DES EQUIPEMENTS EXEMPLE : SPECTROPHOTOMETRE UV/VISIBLE Nicole GRABY PA/PH/OMCL (07)
Plus en détailExemple de cahier de laboratoire : cas du sujet 2014
Exemple de cahier de laboratoire : cas du sujet 2014 Commentaires pour l'évaluation Contenu du cahier de laboratoire Problématique : Le glucose est un nutriment particulièrement important pour le sportif.
Plus en détailDe la physico-chimie à la radiobiologie: nouveaux acquis (I)
De la physico-chimie à la radiobiologie: nouveaux acquis (I) Collaboration: - Laboratoire de Radiotoxicologie et Oncologie (L. Sabatier) CEA, DSV - Laboratoire de Génotoxicité et Modulation de l Expression
Plus en détailThéorie des multiplets! appliquée à! la spectroscopie d ʼabsorption X!
Théorie des multiplets! appliquée à! la spectroscopie d ʼabsorption X! Marie-Anne Arrio, Amélie Juhin! Institut de Minéralogie et Physique des Milieux Condensés, Paris! 1! Rappel : défini-on des seuils
Plus en détailFonctionnalisation de surfaces de carbone nanostructuré et son effet sur la réponse électrochimique
Fonctionnalisation de surfaces de carbone nanostructuré et son effet sur la réponse électrochimique Méthodes d analyses chimiques et microbiologiques dites alternatives ou rapides : Biocapteurs Utilisation
Plus en détailAbschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence de clôture OUI Biomasse. www.oui-biomasse.info 1 26.06.2015
Umweltauswirkungen durch Biomassenutzung Etude d impact de l utilisation de la biomasse sur l environnement 26.Juni 2015 / 26 juin 2015 Akademiehotel Karlsruhe Abschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence
Plus en détailLes Rencontres Scientifiques Colas
Les Rencontres Scientifiques Colas «L avenir du véhicule électrique» 2 juin 2009 avec Yves CHABRE Docteur ès-sciences Consultant pour véhicules électriques et Pierre MIDROUILLET Directeur Général de PVI
Plus en détailPrincipe de la corrosion galvanique :
Préconisations d installation d un ballon d ECS face à la corrosion galvanique Des questions reviennent fréquemment sur le forum de l APPER concernant la corrosion, les couples galvaniques, les cuves ballons
Plus en détailCapacité Métal-Isolant-Semiconducteur (MIS)
apacité Métal-solant-Semiconducteur (MS) 1-onstitution Une structure Métal-solant-Semiconducteur (MS) est constituée d'un empilement de trois couches : un substrat semiconducteur sur lequel on a déposé
Plus en détailCentre Universitaire LA CITADELLE 220, avenue de l Université B.P 5526 59379 DUNKERQUE CEDEX 1 GUIDE DES ETUDES LICENCE PROFESSIONNELLE
Centre Universitaire LA CITADELLE 220, avenue de l Université B.P 5526 59379 DUNKERQUE CEDEX 1 GUIDE DES ETUDES LICENCE PROFESSIONNELLE Chimie Industrielle (anciennement : Industries chimiques et pharmaceutiques)
Plus en détail------- SESSION 2013 ÉPREUVE À OPTION. (durée : 4 heures coefficient : 6 note éliminatoire 4 sur 20) CHIMIE
CNCURS SUR ÉPREUVES UVERT AUX CANDIDATS TITULAIRES D UN DIPLÔME U TITRE CNFÉRANT LE GRADE DE MASTER U D'UN DIPLÔME U TITRE HMLGUÉ U ENREGISTRÉ AU RÉPERTIRE NATINAL DES CERTIFICATINS PRFESSINNELLES AU NIVEAU
Plus en détail5.5.5 Exemple d un essai immunologique
5.5.5 Exemple d un essai immunologique Test de grossesse Test en forme de bâtonnet destiné à mettre en évidence l'hormone spécifique de la grossesse, la gonadotrophine chorionique humaine (hcg), une glycoprotéine.
Plus en détailChapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire
Chapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire - Notre Galaxie - Amas stellaires - Milieu interstellaire - Où sommes-nous? - Types de galaxies - Interactions entre galaxies Notre Galaxie
Plus en détailNEXT days 2 ème édition
Laboratoire de Physique et Chimie des Nano-Objets UMR 5215 Fédération IRSAMC www.lpcno.fr NEXT days 2 ème édition Extension du laboratoire dans un nouveau batiment Décembre 2013 Mars 2014 Mai 2014 1000
Plus en détailEcole d été des spectroscopies d électrons.
Lundi 08 juin 2015 16h00 16h30 Principe et fondements de la technique - Les interactions photon-matière, l émission des photoélectrons - l analyse chimique par XPS Jean-Charles DUPIN Appareillage et instrumentation
Plus en détailEnova 2014. Le technorama de la REE. Jean-Pierre HAUET Rédacteur en Chef REE. Le 11 septembre 20141
Enova 2014 Le technorama de la REE Jean-Pierre HAUET Rédacteur en Chef REE Le 11 septembre 20141 La REE La REE (Revue de l Electricité et de l Electronique) : principale publication de la SEE 5 numéros
Plus en détailFIOLAX. SCHOTT Instruments Solutions. Les solutions tampon dans les ampoules uniques à deux pointes offrent une haute sureté et précision.
SCHOTT Instruments Solutions Les solutions tampon dans les ampoules uniques à deux pointes offrent une haute sureté et précision. L exactitude de la mesure de ph dépend de l exactitude de l étalonnage.
Plus en détailCalcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?
Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier? Les solutions techniques Principes et critères de choix Par Sébastien LIBOZ - Hydrogéologue Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?
Plus en détailPourquoi un fort intérêt de l industrie du pneumatique pour les nanomatériaux?
Pourquoi un fort intérêt de l industrie du pneumatique pour les nanomatériaux? Les faits nous interpellent! En 1950 il y avait 50 millions de véhicules sur terre En 2009 : il y a 800 millions de véhicules
Plus en détail101 Adoptée : 12 mai 1981
LIGNE DIRECTRICE DE L OCDE POUR LES ESSAIS DE PRODUITS CHIMIQUES 101 Adoptée : 12 mai 1981 «Spectres d'absorption UV-VIS» (Méthode spectrophotométrique) 1. I N T R O D U C T I O N I n f o r m a t i o n
Plus en détail- I - Fonctionnement d'un détecteur γ de scintillation
U t i l i s a t i o n d u n s c i n t i l l a t e u r N a I M e s u r e d e c o e ffi c i e n t s d a t t é n u a t i o n Objectifs : Le but de ce TP est d étudier les performances d un scintillateur pour
Plus en détailProfesseur Eva PEBAY-PEYROULA
3-1 : Physique Chapitre 8 : Le noyau et les réactions nucléaires Professeur Eva PEBAY-PEYROULA Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés. Finalité du chapitre
Plus en détailAtelier : L énergie nucléaire en Astrophysique
Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique Elisabeth Vangioni Institut d Astrophysique de Paris Fleurance, 8 Août 2005 Une calculatrice, une règle et du papier quadrillé sont nécessaires au bon fonctionnement
Plus en détailLes réactions ion neutre dans la base de
1eratelierdugroupederéflexionsurlesbasesdedonnées chimiquespourlemilieuinterstellaire Lesréactionsion neutredanslabasede donnéesosu:r1++r2 P1++P2 NathalieCarrasco,PascalPernot ChristianAlcaraz,RolandThissen,OdileDutuit
Plus en détailRDP : Voir ou conduire
1S Thème : Observer RDP : Voir ou conduire DESCRIPTIF DE SUJET DESTINE AU PROFESSEUR Objectif Compétences exigibles du B.O. Initier les élèves de première S à la démarche de résolution de problème telle
Plus en détailEnergie nucléaire. Quelques éléments de physique
Energie nucléaire Quelques éléments de physique Comment produire 1 GW électrique Nucléaire (rendement 33%) Thermique (38%) Hydraulique (85%) Solaire (10%) Vent : 27t d uranium par an : 170 t de fuel par
Plus en détailComprendre l Univers grâce aux messages de la lumière
Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,
Plus en détailAGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE
AGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE CONCOURS EXTERNE Session 2005 TRAVAUX PRATIQUES DE BIOCHIMIE PHYSIOLOGIE ALCOOL ET FOIE L éthanol, psychotrope puissant, est absorbé passivement dans l intestin
Plus en détailNouvelles électrodes de batteries pour le stockage électrique à haute densité
1- BATT+ Nouvelles électrodes de batteries pour le stockage électrique à haute densité Université de Mons, Laboratoire de Physique des Surfaces et Interfaces, Professeur Joël De Coninck Le projet BATT+
Plus en détailpka D UN INDICATEUR COLORE
TP SPETROPHOTOMETRIE Lycée F.BUISSON PTSI pka D UN INDIATEUR OLORE ) Principes de la spectrophotométrie La spectrophotométrie est une technique d analyse qualitative et quantitative, de substances absorbant
Plus en détailPartie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN
Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN Objectifs : Exploiter un spectre infrarouge pour déterminer des groupes caractéristiques Relier un spectre
Plus en détailPanorama de l astronomie. 7. Spectroscopie et applications astrophysiques
Panorama de l astronomie 7. Spectroscopie et applications astrophysiques Karl-Ludwig Klein, Observatoire de Paris Gilles Theureau, Grégory Desvignes, Lab Phys. & Chimie de l Environement, Orléans Ludwig.klein@obspm.fr,
Plus en détailTransport des gaz dans le sang
UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailTransport des gaz dans le sang
UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailTECHNIQUES: Principes de la chromatographie
TECHNIQUES: Principes de la chromatographie 1 Définition La chromatographie est une méthode physique de séparation basée sur les différentes affinités d un ou plusieurs composés à l égard de deux phases
Plus en détailRayonnements dans l univers
Terminale S Rayonnements dans l univers Notions et contenu Rayonnements dans l Univers Absorption de rayonnements par l atmosphère terrestre. Etude de documents Compétences exigibles Extraire et exploiter
Plus en détailChapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :
Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur
Plus en détailOrigine du courant électrique Constitution d un atome
Origine du courant électrique Constitution d un atome Electron - Neutron ORIGINE DU COURANT Proton + ELECTRIQUE MATERIAUX CONDUCTEURS Électrons libres CORPS ISOLANTS ET CORPS CONDUCTEURS L électricité
Plus en détailMODELE DE PRESENTATION DU PROJET
MODELE DE PRESENTATION DU PROJET SITUATION ACTUELLE DU PROJET: Intitulé du PNR Code du Projet (Réservé à l administration) SCIENCES FONDAMENTALES Nouveau projet : Projet reformule: 1.1. Domiciliation du
Plus en détailCaractérisation non linéaire de composants optiques d une chaîne laser de forte puissance
Caractérisation non linéaire de composants optiques d une chaîne laser de forte puissance Stéphane Santran Co-tutelle : Centre de Physique Moléculaire Optique et Hertzienne (CPMOH), Talence Laurent Sarger
Plus en détailSECTEUR 4 - Métiers de la santé et de l hygiène
SECTEUR 4 - Métiers de la santé et de l hygiène A lire attentivement par les candidats Sujet à traiter par tous les candidats inscrit au BEP Les candidats répondront sur la copie. Les annexes éventuelles
Plus en détailD ETECTEURS L UXMETRE SUR TIGE C OMPTEUR DE FRANGES A FIBRE OPTIQUE. Détecteurs
D ETECTEURS L UXMETRE SUR TIGE Capteur luxmètre à sonde détachable, idéal pour les expériences de polarisation, il permet de quantifier simplement et rapidement les principales sources et phénomènes lumineux.
Plus en détail10 en agronomie. Domaine. Les engrais minéraux. Livret d autoformation ~ corrigés. technologique et professionnel
10 en agronomie Les engrais minéraux Livret d autoformation ~ corrigés 8 Domaine technologique et professionnel Collection dirigée par Madeleine ASDRUBAL Ingénieur d agronomie ENESAD Département des Sciences
Plus en détailProjet SETHER Appel à projets 2008. Adrien Patenôtre, POWEO Adrien.patenotre@poweo.com
Projet SETHER Appel à projets 2008 Adrien Patenôtre, POWEO Adrien.patenotre@poweo.com SETHER STOCKAGE D ELECTRICITÉ SOUS FORME THERMIQUE À HAUTE TEMPÉRATURE Partenaires : POWEO, SAIPEM, CEA, CNAM, GEMH,
Plus en détailRetour d expérience, portage de code Promes dans le cadre de l appel à projets CAPS-GENCI
, portage de code Promes dans le cadre de l appel à projets CAPS-GENCI PROMES (UPR 8521 CNRS) Université de Perpignan France 29 juin 2011 1 Contexte 2 3 4 Sommaire Contexte 1 Contexte 2 3 4 Laboratoire
Plus en détailwww.mesureo.com A N A L Y S E U R E N L I G N E D A G V D E S B I C A R B O N A T E S D E L A L C A L I N I T E
www.mesureo.com A N A L Y S E U R E N L I G N E D A G V D E S B I C A R B O N A T E S D E L A L C A L I N I T E Solutions pour l analyse de l eau en ligne AnaSense Analyseur en ligne d AGV, des bicarbonates
Plus en détailViandes, poissons et crustacés
4C la Tannerie BP 30 055 St Julien-lès-Metz F - 57072 METZ Cedex 3 url : www.techlab.fr e-mail : techlab@techlab.fr Tél. 03 87 75 54 29 Fax 03 87 36 23 90 Viandes, poissons et crustacés Caractéristiques
Plus en détailVulcano Pièges Fourmis
FDS Conforme au règlement 1907/2006/CE et 1272/2008/CE 16-12-10- Page 1/5 FICHES DE DONNEES DE SECURITE 1. IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Produit : Utilisation : Fournisseur : Vulcano Pièges
Plus en détailMise en Forme des Matériaux Polymères Polymer Processing. Philippe Cassagnau
Mise en Forme des Matériaux Polymères Polymer Processing Philippe Cassagnau Que dit Internet? http://mediamef.utt.fr Mise en forme des polymères: Approche thermomécanique de la plasturgie ANTEC, the plastic
Plus en détailPlate forme de modélisation en vue de la prédiction de la durée de vie des bétons vis-à-vis de la pénétration d agents agressifs
Plate forme de modélisation en vue de la prédiction de la durée de vie des bétons vis-à-vis de la pénétration d agents agressifs Phase d'initiation de la corrosion vis-à-vis de la - pénétration d'agents
Plus en détailDOSSIER. Les propriétés uniques de l or dans les nanotechnologies Un nouveau filon pour les scientifiques
DOSSIER Les propriétés uniques de l or dans les nanotechnologies Un nouveau filon pour les scientifiques Santé, environnement, électronique miniaturisée Le matériau noble que l on connaît possède, à l
Plus en détail' Département de Chimie Analytique, Académie de Médecine, 38 rue Szewska,
J. Phys. IVFrance 11 (2001) O EDP Sciences, Les Ulis Limites des solutions solides dans le système binaire CdBr2-AgBr A. Wojakowska, A. Gorniak and W. ~awel' Laboratoire d'analyse Thermique, Département
Plus en détailTRAVAUX PRATIQUES D INTRODUCTION À L ÉTUDE DES RÉACTIONS ÉLECTROCHIMIQUES
Elèves-Ingénieurs en Sciences et Génie des Matériaux 2ème année TRAVAUX PRATIQUES D INTRODUCTION À L ÉTUDE DES RÉACTIONS ÉLECTROCHIMIQUES G. BARRAL B. LE GORREC C. MONTELLA (UJF) (IUT 1) (ISTG) GRENOBLE
Plus en détailSondes de conductivité pour applications industrielles hygiéniques
Sondes de conductivité pour applications industrielles hygiéniques Technologie à 2 ou à 4 électrodes Large plage de mesure 0,05 S/cm... 500 ms/cm process, matériaux, état de surface adaptés aux applications
Plus en détailSUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION)
Terminale S CHIMIE TP n 2b (correction) 1 SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION) Objectifs : Déterminer l évolution de la vitesse de réaction par une méthode physique. Relier l absorbance
Plus en détailSupercondensateurs électrochimiques : des matériaux aux dispositifs.
Supercondensateurs lectrochimiques : des matriaux aux dispositifs. Olivier Crosnier Laboratoire de Gnie G des Matriaux et Procds s Associs Ecole polytechnique de l universitl universit de Nantes Journes
Plus en détailNanofluides et transfert de chaleur par convection naturelle
Journée Thématique SFT Paris, 15 mars 2012 «Intensification des transferts dans les échangeurs thermiques et multifonctionnels : Techniques, Outils d analyse et Optimisation» Nanofluides et transfert de
Plus en détailPROPOSITION TECHNIQUE ET FINANCIERE
Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Votre correspondant : Romain CRESSON INRA Transfert Environnement Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Tel: +33 (0)4 68 46 64 32 Fax: +33 (0)4 68 42 51
Plus en détailPrésentation du programme. de physique-chimie. de Terminale S. applicable en septembre 2012
Présentation du programme de physique-chimie de Terminale S applicable en septembre 2012 Nicolas Coppens nicolas.coppens@iufm.unistra.fr Comme en Seconde et en Première, le programme mélange la physique
Plus en détailECO-PROFIL Production Stratifié HPL mince fabriqué par Polyrey
ECO-PROFIL Production Stratifié HPL mince fabriqué par Polyrey Août 2009 modifié Avril 2013 1 : Feuille décor imprimée ou teintée dans la masse, imprégnée de résine mélamine 2 : Surface de protection imprégnée
Plus en détailNous vous présentons la technologie du traitement de surfaces du 21 ème siècle
Nous vous présentons la technologie du traitement de surfaces du 21 ème siècle 2009 NADICO Ltd. Germany www.nadico.de Le revêtement Titan Effect TE1022 améliorer la rentabilité des installations solaires
Plus en détailLiquides oraux : et suspensions. Préparations liquides pour usage oral. Solutions
Préparations pharmaceutique Cours de en 2ème petites Année quantités de Master en Pharmacie Liquides oraux : solutions, Préparation sirops pharmaceutique et suspensions en petites quantités Section des
Plus en détailAnne Vanasse, agr., Ph.D. Université Laval. Le chapitre 3. Les rédacteurs
La gestion du ph du sol Anne Vanasse, agr., Ph.D. Université Laval Le chapitre 3 Les rédacteurs Anne Vanasse (responsable) Marc Hébert Lotfi Khiari Sébastien Marchand Abdo Badra Hélène Moore 1 Introduction
Plus en détailREACTIONS D OXYDATION ET DE REDUCTION
CHIMIE 2 e OS - 2008/2009 : Cours et exercices -19- CHAPITRE 5 : REACTIONS D OXYDATION ET DE REDUCTION Chacun d entre nous a déjà observé l apparition de rouille sur un objet en fer, ou de «vert-degris»
Plus en détailTITRONIC et TitroLine. Les nouveaux titrateurs et burettes
TITRONIC et TitroLine Les nouveaux titrateurs et burettes Un pas en avant pour la titration Si vous cherchez l innovation: SI Analytics vous propose ses nouveaux TitroLine 6000 et 7000 et ses nouvelles
Plus en détailACIDES BASES. Chap.5 SPIESS
ACIDES BASES «Je ne crois pas que l on me conteste que l acide n ait des pointes Il ne faut que le goûter pour tomber dans ce sentiment car il fait des picotements sur la langue.» Notion d activité et
Plus en détailEXERCICES SUPPLÉMENTAIRES
Questionnaire EXERCICES SUPPLÉMENTAIRES SCP 4010-2 LE NUCLÉAIRE, DE L'ÉNERGIE DANS LA MATIÈRE /263 FORME C Version corrigée: Équipe sciences LeMoyne d'iberville, septembre 2006. QUESTION 1 (5 pts) 1. La
Plus en détail