Santé-social L action de la Région pour le bien-être de tous

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1 Santé-social L action de la Région pour le bien-être de tous

2 ÉDITORIAL Une politique sociale et de santé ambitieuse pour l Île-de-France Vue de loin, l Île-de-France est une région riche et prospère, où l on vit mieux et plus longtemps qu ailleurs. Mais vue de près, cette image perd de sa puissance, car elle masque de fortes disparités : d un bout à l autre de la ligne de métro n 13, la différence d espérance de vie est de deux ans. La santé des Franciliens les plus précaires, le parcours de vie des plus pauvres, la qualité de vie des personnes en situation de handicap ou des seniors contrastent fortement avec la situation des Franciliens valides, celle des plus aisés ou des plus diplômés. Lutter contre ces disparités, faire progresser la qualité de vie, et la faire progresser pour tous : c est le sens de la politique sociale et de santé ambitieuse que nous avons voulue pour l Île-de-France. Pour faire reculer les inégalités quelles qu elles soient devant les difficultés de la vie quotidienne, nous avons construit, avec tous nos partenaires, un bouclier social en cinq volets : accompagnement social, prévention, renforcement et accès à l offre médicosociale comme à l offre de soins, avec un axe fort de santé environnementale. C est un choix qui va bien au-delà des compétences obligatoires de la Région et que nous sommes fiers de porter au quotidien. Car en période de crise, où les inégalités sociales sont amplifiées par les inégalités économiques et environnementales, il est plus que jamais nécessaire de ne laisser personne au bord du chemin. Permettre à tous d accéder à une vie meilleure, accompagner chacun, c est une vraie mission de service public. Jean-Paul Huchon Président du conseil régional d Île-de-France Laure Lechatellier Vice-présidente chargée de l action sociale, des formations sanitaires et sociales, de la santé, et du handicap

3 sommaire Éditorial Introduction 6 La prévention 8 L accès aux soins L offre de soins 15 L accompagnement social 18

4 introduction introduction l 7 L Île-de-France : une Région engagée pour la santé et le bien-être de tous Depuis 1998, la Région Île-de-France s investit dans les secteurs social, médico-social et de santé au service des Franciliens et des Franciliennes, notamment les plus fragiles : les jeunes, les personnes âgées ou de handicap, les personnes en situation de grande précarité, les femmes victimes de violences. Objectifs : lutter contre les inégalités sociales et réduire l impact des conditions de vie sur la santé. Une vision globale et transversale En 2011 et 2012, deux rapports cadres ont redéfini le périmètre des missions sanitaires et sociales de la Région. La santé s inscrit désormais dans une vision globale et transversale, qui englobe des dispositifs régionaux conçus pour améliorer le cadre de vie : transports, logement, environnement, etc. La Région a développé également une politique volontariste au-delà de ses champs de compétences. Quatre actions en une, au nom de la qualité de la vie Concourir à mieux informer les citoyens et les citoyennes, compléter l offre en structures sociales et sanitaires, permettre à tous de disposer des moyens de se soigner et de bénéficier d un accompagnement social : tels sont les quatre piliers de la politique dans ce domaine en Île-de- France. La Région intervient par le biais de nombreux dispositifs tant en matière d aide à l investissement qu en soutien au fonctionnement. L innovation durable Dès 2008, la Région inclut des clauses environnementales aux projets soutenus dans ce domaine. Ces clauses responsables, telles que le respect des normes de construction «haute qualité environnementale» (HQE), visent deux ambitions : améliorer le confort des personnes accueillies et réduire les consommations énergétiques. La Région impose également des clauses d insertion sociale pour les plus gros projets. ª Les compétences sanitaires et sociales Les lois de la décentralisation du 13 août 2004 ont transféré aux Régions des responsabilités sanitaires et sociales. Aides aux étudiants, dont la distribution des bourses. Financement des centres de formation sociale et sanitaire. Élaboration et suivi du schéma régional des formations sanitaires et sociales. Retour sur les spécificités des territoires franciliens Les personnes les plus modestes, qui sont en moins bonne santé que la moyenne, sont aussi celles qui se soignent le moins : 29 % des Franciliens et des Franciliennes déclarent en effet avoir renoncé à se soigner pour des raisons financières. Un chiffre qui chaque année augmente sensiblement, témoignant d une forte inégalité des chances face à la santé. La Région Île-de-France a donc choisi de s impliquer. Origines sociales et environnement impactent la santé Accès à l éducation, alimentation, loisirs ou comportements à risque définissent, dès le plus jeune âge, des trajectoires de santé. Il est aujourd hui prouvé que les disparités de santé observées dans l enfance se retrouvent souvent à l âge adulte, tant en termes de prévalence que d espérance de vie. La santé des Franciliens et des Franciliennes est donc déterminée par des facteurs sociaux, économiques et environnementaux, assujettis aux ressources, aux conditions de travail, de vie et de logement. Une part importante de la population est exposée à un environnement marqué par des pollutions diverses et est touchée par une précarité croissante. La médecine de premier recours doit être renforcée La médecine générale n est pas répartie de façon égalitaire dans les territoires. Paris est par exemple 4,57 fois mieux équipé que le département de Seine-et-Marne (77). En outre, l âge moyen des praticiennes et des praticiens franciliens (54 ans) induit un nombre important de départs à la retraite dans les années à venir, qui ne donnera pas systématiquement lieu à des remplacements, aggravant ainsi ce problème d accès aux soins. Tenant compte de ces paramètres, l Agence régionale de santé (ARS) a déterminé un certain nombre de territoires en voie de désertification ou fragilisés sur le plan de la démographie médicale, zones sur lesquelles l offre de soins doit être développée de manière prioritaire et où la Région investit. Les soins sont parfois difficiles à financer La paupérisation de la population générale aggravée par la crise financière et la montée du chômage représentent des facteurs de précarisation. Les populations de travailleurs pauvres, qui ne peuvent cotiser à une mutuelle complémentaire, fréquentent les lieux de soins où ils n auront pas à faire l avance de frais, quand ils ne renoncent pas directement aux soins faute de pouvoir assumer le paiement du ticket modérateur, des franchises et autres forfaits. ª L ÎLE-DE-FRANCE, UN TERRITOIRE DE CONTRASTES 30 % des Franciliens habitent en zone urbaine sensible 7 % en France métropolitaine 13,3 % des Franciliens vivent en dessous du seuil de pauvreté 14,1 % en France métropolitaine 37 % des cadres français vivent en Île-de-France 19 % des allocataires français du RSA résident en Île-de-France Source : Inégalités de niveau de vie et mesures de la pauvreté, INSEE 2009

5 la prévention l 9 LA PRÉVENTION La Région agit en matière de prévention des risques sanitaires. Une initiative qui va bien au-delà des compétences attribuées aux conseils régionaux dans le cadre de la loi de décentralisation. À ce titre, la Région Île-de-France soutient l action des organismes engagés dans les territoires. Elle finance des structures telles que le Centre régional d information et de prévention du sida (CRIPS), participe à l organisation d événements comme Solidays et accompagne un nombre important de porteurs de projet dans leurs actions. Le Pass contraception, gratuit et anonyme Depuis 2011, le Pass contraception est disponible dans 930 lycées, centres de formation des apprentis (CFA) et instituts de formation sanitaire et sociale (IFSS) franciliens. Il s agit d un chéquier, ouvrant l accès à un suivi médical (consultations et analyses) et à la délivrance de contraceptifs. Une campagne promotionnelle a été lancée à la rentrée , s adressant aux salariés des établissements, aux élèves et aux professionnels de santé. Encarts dans la presse professionnelle, affichage et déploiement digital sur des sites et applications mobiles à très forte audience jeune (Skyrock, Deezer, Facebook ) permettent une diffusion élargie de l information. Soutenir les structures professionnelles Alors que l offre de soin est dévolue à l État, la prévention reste à développer. Le soutien de la Région Île-de-France dans ce domaine est donc essentiel pour répondre aux besoins des territoires et des structures d accueil. Une politique de prévention étendue La Région Île-de-France déploie des programmes de soutien aux structures dans de multiples domaines : addictions, maladies et infections sexuellement transmissibles, cancers, éducation nutritionnelle, vieillissement, etc. La Région accentue son intervention pour les publics fragiles. Des spécificités franciliennes : VIH, addictions, pollutions L Île-de-France a ses spécificités en matière de santé. Par exemple, l infection par le VIH-Sida a affecté précocement et très fortement les populations franciliennes. Les problématiques inhérentes à la toxicomanie sont très concentrées sur les territoires, ou encore les pathologies liées à la souffrance psychique. Sans oublier certaines formes de pollution, qui ont des répercussions sur la santé : le bruit ou les pollutions atmosphériques (gaz d échappement dus aux forts trafics routiers et aériens). Les publics les plus fragiles sont aussi les plus exposés : c est vers eux, jeunes, femmes, enfants en bas âge, personnes en situation très précaire que la Région se tourne en priorité. Liberté et IVG : près de d aides en 2013 Les difficultés d accès à la contraception ou à l avortement constituent un frein à l égalité des chances. La Région Île-de-France se veut un facilitateur, accompagnant notamment les plannings familiaux. En 2013, elle a soutenu les actions de la Fédération régionale du mouvement français du planning familial, en finançant d une part 45 % du budget de fonctionnement de l organisation et d autre part une campagne de communication cartes-pocket ont par exemple été diffusées à cette occasion, avec des résultats concrets à la clé : la plate-forme téléphonique a vu ses appels entrants augmenter pendant et après les deux semaines et demie d affichages grands formats.

6 10 l la prévention Santé et environnement : réduire les inégalités des populations face aux risques sanitaires Les outils mis en œuvre dans le cadre de la politique régionale de prévention constituent des réponses à l augmentation des maladies chroniques. Ces pathologies sont étroitement liées aux modes de vie en Îlede-France (difficulté d accès à une alimentation équilibrée, surmenage, stress, défaut d exercices physiques, etc.), et à un environnement pollué (air, eau, omniprésence des composants chimiques, etc.). L Observatoire régional de la santé (ORS), un organisme d étude L ORS d Île-de-France est un département technique intégré à l Institut d aménagement et d urbanisme (IAU Île-de-France), cofinancé par la Région et l ARS (Agence régionale de santé). Sa mission : aider à l élaboration des politiques sanitaires et sociales régionales. Il observe, surveille et étudie les pathologies spécifiquement franciliennes, renforçant les connaissances en matière de déterminants de santé, d inégalités sociales et territoriales face à la santé, ou de qualité de vie. LES SUBVENTIONS AUX PROJETS DE PRÉVENTION ET D ÉDUCATION À LA SANTÉ Répartition des projets par thématiques en 2013 (en % de dossiers) 32,7 % 19,2 % De grandes causes régionales en matière de santé La Région met en place annuellement un appel à projet (APP) spécifique à la prévention «santé jeune». En 2013, il était lié à l alcool, en 2014, au sommeil. Chaque année, une problématique est érigée en «Grande Cause régionale». Le principe : créer un appel à projets thématique et susciter des propositions novatrices visant à mieux comprendre ou à endiguer le phénomène en question. Afin de souligner l intérêt des projets retenus, les financements attribués dans ce cadre sont majorés. L année 2013 a été consacrée à l information sur les effets des perturbateurs endocriniens (PE), présents en quantité non négligeable dans des produits de consommation courante ou dans l environnement. Campagnes de sensibilisation du grand public, soutiens aux bonnes pratiques, luttes contre les comportements à risque comptaient parmi les actions éligibles. Cinq projets ont été soutenus en 2013, pour un montant de près de Pour 2014, la Région cible son action sur l évolution des comportements alimentaires et leur impact sur la santé à travers ses dimensions nutritionnelles, économiques (actes d achat), sociales (convivialité, plaisir, structuration des repas) et sanitaires (aliments bénéfiques pour la santé et adaptés aux besoins physiologiques de chacun). L ACCèS AUX SOINS Précarisation, inégalités territoriales, déserts médicaux Autant de facteurs qui agissent sur l état de santé de populations déjà fragilisées. La Région défend donc l accès à des soins pour tous. Sa politique volontariste se tourne en priorité vers les publics qu elle juge les plus vulnérables. Elle intervient particulièrement en soutenant la création, l extension, la restructuration ou l équipement d établissements spécialisés et innovants : maisons de naissances, établissements de prise en charge psychothérapeutique, centres médicaux universitaires, antennes de soins mobiles, etc. AAP Jeunes Alcool Santé mentale 5,8 % 11,5 % 9,6 % Éducation à la sexualité Contraception / IVG Prévention / ES Autres pathologies VIG / IST AAP Perturbateurs endocriniens 3,8 % 2 % Source : Région Île-de-France Périnatalité Accompagnement Nutrition

7 12 l l accès aux soins l accès aux soins l 13 Une complémentaire santé pour les jeunes démunis La Région développe une action solidaire vers les jeunes. À ce titre, elle propose une aide de 100 euros pour la cotisation à une complémentaire santé. Presque étudiants et étudiantes ont bénéficié du dispositif en 2013 et, bientôt, des apprentis franciliens ne bénéficiant pas d une mutuelle d entreprise ou des jeunes en insertion professionnelle y auront accès. Depuis 2010, une aide spéciale jeunes boursiers Cela fait trois ans que les étudiants boursiers de ans inéligibles à l ACS (Assurance complémentaire santé) et à la CMU-C (Couverture universelle complémentaire) peuvent obtenir une aide à l acquisition d une couverture santé complémentaire. Les critères d éligibilité sont les suivants : résider en Île-de-France, être inscrit dans un établissement d enseignement supérieur (ou un institut de formation sanitaire et sociale francilien) et être allocataire d une bourse sur critères sociaux ou d une bourse régionale (échelon 0 à 3 et 4 sous conditions). La Région participe à hauteur de 100 par personne et par année universitaire. En 2014, le dispositif s étend aux jeunes en situation d apprentissage ou en insertion professionnelle Cette aide est désormais ouverte aux apprentis non couverts par leur mutuelle d entreprise et aux jeunes en situation d insertion, inscrits dans l un des dispositifs du service public régional de formation professionnelle : Avenir jeunes, Écoles de la deuxième chance, programme régional qualifiant compétence. Des centres de planificationcontraception-ivg accessibles à toutes et tous La Région lance chaque année une campagne «Sexualité, contraception, avortement : un droit, mon choix, notre liberté». La plate-forme téléphonique régionale «Info IVG contraception» animée par les associations départementales du Planning Familial est au cœur de cette opération d information. Les Franciliennes sont confrontées à des inégalités sociales. Toutes ne disposent pas de la connaissance des comportements préventifs en matière de sexualité. L Île-de-France se distingue en effet par des défaillances en matière de contraception et un recours à l interruption volontaire de grossesse (IVG) plus élevé que la moyenne métropolitaine. La prévalence de certaines infections sexuellement transmissibles témoigne également de situations de prises de risques fréquentes. La Région s engage pour un choix en matière de sexualité, de contraception, d avortement et de fécondité, en confirmant son soutien aux centres de planificationcontraception-ivg d une part, et aux services de périnatalité d autre part de subventions en 2013 Création du centre IVG de l hôpital Tenon (20 e arrondissement de Paris). Création d un centre d éducation et de planification familiale dans la future maison de santé étudiante de la rue des Quatrefages (Paris 5 e ). Acquisition de quatre échographes à destination du Centre médical de santé du Blanc-Mesnil (93) et des hôpitaux Tenon (75) et Béclère (92).

8 14 l l accès aux soins L ÎLE-DE-FRANCE EST PARTICULIÈREMENT CONCERNÉE PAR LE VIH/SIDA Nouvelles contaminations rapportées à la population par an 11 pour pour France Outre-mer 39 pour Île-de-France Taux d incidence selon les populations en Île-de-France 1600 pour ,5 pour Chez les homosexuels (hommes) Chez les hétéros (mixte) Mais c est la région où l activité de dépistage du VIH est la plus élevée 1,23 millions en ÎLE-DE-FRANCE 5 millions de sérologies par an en France L OFFRE DE SOINS Les inégalités sociales face à la santé se conjuguent avec des déséquilibres territoriaux. Si l Île-de-France est fortement médicalisée, elle présente de nombreuses disparités : en mars 2011, Paris comptait 1 médecin généraliste pour 840 habitants, contre seulement 1 pour en Seine-Saint- Denis (93). Parallèlement, une majorité de jeunes médecins, plutôt que d exercer de manière isolée, souhaite partager un projet de santé et mutualiser les coûts d installation. Des regroupements (pôles, centres et maisons de santé pluridisciplinaires) sont opérés afin de mieux coordonner les pratiques et d offrir une meilleure prise en charge. Dans l objectif d enrichir et d améliorer l offre médicale, la Région mène deux actions clés : elle soutient la création de services collectifs de santé, sous réserve de conformité du projet social de soin, et aide les praticiens à installer ou à maintenir leur activité en zones déficitaires. ET LES DROGUES ILLICITES Top 3 des consommations en Île-de-France, selon l âge et le sexe (% de répondants) Ensemble des Franciliens Hommes Femmes 37 % 9,5 45 % Cannabis 4 29,3 % 6,6 6,4 4,7 3,2 Poppers Cocaïne Sources : Observatoire régional de santé Île-de-France ; Baromètre santé 2010, INPES - Exploitation ORS Île-de-France. VIH-Sida, hépatite, addiction : proposer une prise en charge globale Réduire le nombre de contaminations est l enjeu majeur de la lutte régionale contre le VIH-Sida et les addictions. Cet objectif repose non seulement sur l accroissement des investissements en matière de prévention, mais aussi sur la qualité de la prise en charge médicale des patients et des personnes en situation de toxicomanie, des campagnes d éducation à la santé et, en aval, son soutien aux structures médicales. Créer des établissements dédiés aux personnes atteintes du VIH Sida Aujourd hui, les besoins (suivi médical et soins) des personnes séropositives restent importants. En conséquence, la Région soutient en priorité les établissements proposant une prise en charge médicale globale des patients et des patientes. Elle soutient également des associations œuvrant pour la prévention et l accompagnement des personnes infectées. Accompagner et soigner les personnes souffrant d addiction Les territoires franciliens regroupent une part importante des décès français par overdose. La mise en vente libre des seringues stériles et l accès aux produits de substitution aux opiacés ont permis de réduire le taux de transmission des infections, en particulier du VIH et des hépatites. Autre progrès : l amélioration des prises en charge médicale et sociale de ces personnes. Environ ont été financés en 2013, répartis entre plusieurs projets, tels que l aménagement d automates distributeurs et récupérateurs de matériels d injection ou le soutien d associations spécialisées dans l accompagnement de patients souffrant d addiction, les centres d accueil et d accompagnement à la réduction des risques pour usagers de drogues (CAARUD) et les centres de soins, d accompagnement de prévention en addictologie (CSAPA). Les salles de consommation Elles permettent de contrôler la propagation des infections transmissibles (VIH et hépatites), d offrir des services de santé de qualité aux usagers, de réduire les consommations par injection ou inhalation dans les lieux publics, de diminuer la délinquance. Une première expérimentation est attendue. La première salle de consommation francilienne devrait ouvrir dans Paris.

9 16 l l offre de soins l offre de soins l 17 UNE RÉGION TRÈS BIEN DOTÉE EN MÉDECINS Nombre de médecins en activité régulière pour habitants Corse Alsace Lorraine Midi-Pyrénées Aquitaine Limousin Languedoc-Roussilon Prov.-Alpes Côte d Azur Nord-Pas-de-Calais Poitou-Charentes Bretagne Auvergne Île-de-France Franche-Comté Pays de la Loire Rhône-Alpes CHIFFRES CLÉS * Hors AP-HP Yvelines Val-d Oise 95 MAIS UNE RÉPARTITION INÉGALE SUR LE TERRITOIRE 92 établissements publics à but commercial Essonne 91 privés d intérêt collectif Carte des zones déficitaires Seine-et-Marne centres municipaux de santé Sources : Agence régionale de santé Île-de-France (ARS), Atlas de la démographie médicale au 1 er janvier 2013, Plan régional santé de l ARS. Picardie Centre Haute-Normandie Champ.-Ardenne Bourgogne Basse-Normandie et fragiles 75 Paris 92 Hauts-de-Seine 93 Seine-Saint-Denis 94 Val-de-Marne 90 réseaux de santé Territoires : de l égalité en matière de soins Comment veiller à ce que les soins médicaux, généralistes ou spécialisés, soient accessibles à tous et à toutes? En s assurant d une répartition territoriale équilibrée de l offre médicale. Dans ce cadre, l intervention régionale est multiple : favoriser l implantation de structures médicales partout en Île-de-France, s attacher à maintenir les services existants en place. Favoriser les centres, maisons et pôles de santé pluridisciplinaires L exercice de la médecine en groupes pluriprofessionnels connaît un développement accru en Île-de-France. Il constitue une des solutions les plus efficaces à la volonté d améliorer les conditions de travail et de vie des professionnels. Il répond également à l accroissement des besoins des populations en matière de santé. Aussi, la Région promeut la création des structures dites de premier recours. En plus des soins, elles offrent un ensemble de services de prévention, d éducation à la santé, pratiquent le tiers payant et une facturation de secteur 1. En 2013, la Région a permis un certain nombre d opérations : 52 projets ont été financés, pour un montant de presque 5,2 M, soit une progression de 96,09 % par rapport à L effort de l investissement en 2014 se poursuit. Des contrats régionaux d exercice sanitaire Afin de permettre à tous les citoyens et citoyennes d accéder à des soins de proximité et de qualité, la Région a créé des Contrats régionaux d exercice sanitaire (CRES). Il s agit de favoriser les praticiens et les praticiennes (médicaux ou paramédicaux : infirmiers, kinésithérapeutes, etc.) qui décident d exercer en zones déclarées par l ARS déficitaires ou fragilisées. L aide s adresse à deux catégories de personnes : les étudiants et étudiantes, via une allocation d études, et les professionnels de santé (généralistes, spécialistes de premier recours et paramédicaux), via une aide à l installation. Cette dernière prend en charge une partie des travaux d équipement ou de sécurisation des locaux. Les bénéficiaires s engagent en contrepartie à s installer pour une période minimale de trois ans dans une zone déficitaire ou fragilisée. La permanence des soins La Région contribue à maintenir les installations existantes et à les rénover. Par ailleurs depuis 2002, en partenariat avec l Assistance publique des hôpitaux de Paris (AP-HP) et l ARS, la Région accompagne le transport sanitaire d urgence grâce au financement d un hélicoptère basé au centre hospitalier Henri-Mondor (Créteil). L appareil permet de rallier les hôpitaux franciliens en moins de 20 minutes et sert également à effectuer des liaisons interhospitalières.

10 l accompagnement social l 19 Handicap : l égalité des chances D après le baromètre santé 2010 de l INPES (Institut national de prévention et d éducation pour la santé), près de 14 % des Franciliennes et des Franciliens âgés de 15 à 85 ans se sentent limités dans leurs activités quotidiennes (professionnelles, à domicile ou pour les soins personnels). Une limitation d activité reflète différentes situations de handicap qui vont de la définition la plus large à la plus restrictive. Par ailleurs, 1 % des enfants vit avec des déficiences sévères. Le financement des structures d hébergement pour les personnes en situation de handicap L enveloppe régionale est avant tout utilisée pour développer et rénover services et établissements. En 2013, 12,2 M ont été versés aux porteurs de projets destinés aux enfants et aux adultes en situation de handicap : centres d action médico-sociale précoce, instituts thérapeutiques et pédagogiques, instituts d éducation motrice ou sensorielle, foyers de vie, foyers d accueil médicalisé, entreprises adaptées, etc. Aider à l autonomie Au-delà du financement des équipements et véhicules des services de maintien à domicile, la Région contribue également aux fonds de compensation des Maisons départementales des personnes handicapées (MDPH). Plus de 2 M ont été attribués aux huit MDPH en 2013, en vue de financer des travaux d adaptation des logements ainsi que des acquisitions d aides techniques ou d appareillages. En 2014, 1 million supplémentaire y sera consacré au vu des besoins. Un agenda 22 La Région a adopté son agenda 22, un cadre stratégique visant à l accessibilité des personnes en situation de handicap dans tous les domaines de la vie, au même titre que tout autre citoyen ou citoyenne, par un suivi opérationnel transversal des réalisations concrètes en ce sens. C est le passage d une vision sectorielle du sujet (lycées et handicap, transports et handicap, sports et handicap, etc.) à une vision globale qui permet de penser l accessibilité universelle tout au long de la vie. Il permet de donner une vision claire et pédagogique des politiques publiques et des actions menées par la Région en faveur des citoyennes et citoyens en situation de handicap. L ACCOMPAGNEMENT SOCIAL En 2010, 600 acteurs et actrices du champ médico-social et social ont participé à la révision de la politique sociale francilienne autour de trois grands thèmes : l égalité des chances des personnes en situation de handicap, l état des lieux de la pauvreté sur les territoires, l accompagnement du vieillissement de la population. Conformément à la démarche de l Agenda 21, le programme d action sociale vise le développement durable. Parmi les ambitions : réduire les inégalités sociales et territoriales en améliorant la qualité de vie des Franciliennes et des Franciliens. Personnes en situation de handicap, seniors, personnes en grande précarité, gens du voyage, petite enfance, femmes victimes de violence : la Région Île-de-France accompagne les populations les plus fragiles pour leur offrir des conditions de vie adaptées à leurs besoins. Elle participe en particulier à la création, à l extension ou à la réorganisation de places en structures d accueil ou de services adaptés.

11 20 l l accompagnement social l accompagnement social l 21 Petite enfance : faciliter le quotidien des parents DES ACTIONS EN FAVEUR DES SANS-ABRI Nombre de places dédiées à cette population Places créées Places réhabilitées Places équipées Source : Région Île-de-France places depuis Femmes : halte aux violences et à la précarité Les femmes sont statistiquement plus touchées par la précarité que les hommes. De ce fait, et particulièrement dans le cas des violences subies, il est indispensable de veiller à la sécurisation de leur parcours et de donner les moyens d une mise à l abri. La Région intervient en investissement et en fonctionnement sur cette problématique. Par ailleurs, les violences faites aux femmes sont un des thèmes de la Grande Cause sociale régionale en Gens du voyage : une offre d habitat enrichie à gens du voyage résident en Île-de-France aujourd hui (source MIPES - Mission d information pour la pauvreté et l exclusion sociale). La densité urbaine francilienne et les coûts du foncier accroissent les difficultés des familles à séjourner ou habiter dans le respect de leur mode de vie. Depuis maintenant plus de douze ans, la Région Île-de-France mène une politique sociale active à destination des gens du voyage. Il s agit d améliorer tant quantitativement que qualitativement l offre d habitat, sur tous les territoires franciliens. La Région intervient en concertation avec les professionnels de terrain, collectivités ou associations. En 2013, deux aires d accueil ont été financées, offrant 64 places réparties entre la Seine-Saint-Denis (93) et le Val-d Oise (95). La Région soutient financièrement les structures d accueil collectif des jeunes enfants âgés de trois mois à trois ans en les incitant à répondre à des besoins spécifiques. L insuffisance de l offre en matière de garde d enfants en Île-de-France est un problème important. Pour aider à le résoudre, la Région cible ses aides sur les structures d accueil collectif. Entre 2008 et 2011, 138 établissements ont été soutenus et plus de places supplémentaires ont été créées. La Région soutient particulièrement les établissements qui se veulent innovants : l une amplitude horaire élargie pour mieux répondre au travail des parents en horaires décalés ; l l accueil d enfants en situation de handicap ; l des programmes mixtes établissement pour personnes âgées - crèche, assurant un rapprochement intergénérationnel. En 2013, 23 structures de garde collective pour jeunes enfants ont été financées, pour un montant total de 2,2 M : 4 crèches, 2 haltes-garderies et 17 multiaccueils. Soit 656 places nouvelles. Grande précarité Environ bénéficiaires des allocations familiales franciliens vivent avec moins de 942 par mois. La moitié d entre eux se compose de familles monoparentales et de couples avec enfants. Au total, 1,5 million de personnes sont concernées, soit 13 % des Franciliens et des Franciliennes. Apporter la réponse la plus adéquate La Région accompagne la très grande difficulté sociale en participant au financement de structures d accueil (et à la création de places supplémentaires) qui offrent refuge, domiciliation et suivi social : des centres d hébergement pour une première stabilisation jusqu aux maisons-relais pour une réelle insertion. Des logements pour les femmes victimes de violences Le nombre de femmes, avec ou sans enfants, présentes dans les structures d accueil et d hébergement augmente chaque année. À propos des femmes victimes de violences, le recensement des places d accueil met en lumière une offre inférieure de 10 % aux sollicitations reçues. Depuis 2008, la Région, en partenariat avec la Fédération nationale solidarité, femmes (FNSF), met des logements sociaux à la disposition de ces femmes maltraitées. Des téléphones portables La Région Île-de-France participe à la protection des Franciliennes en finançant un programme expérimental innovant : la distribution de téléphones portables d alerte aux femmes repérées comme étant en très grand danger. Les critères sont définis par le Parquet en fonction de la gravité des faits, du profil social de la victime, et des caractéristiques de l agresseur. En 2013, la Région a soutenu en Seine-Saint-Denis et à Paris l accompagnement de ces femmes à hauteur de 35 K. Cette expérimentation a vocation à s étendre à l ensemble des départements dès 2014.

12 22 l l accompagnement social Seniors : un soutien orienté vers les personnes âgées dépendantes et leurs aidants Près d un million de Franciliens et Franciliennes seront âgés de 75 ans et plus en % d entre eux seront en situation de dépendance ou de précarité. Aussi, depuis 2004, près de 220 M ont été consacrés aux seniors, une politique sociale qui se renforce en particulier en 2011, sur une des plus importantes problématiques de santé publique : la maladie d Alzheimer et des troubles associés. Ce sont les familles qui dans 70 % des cas prennent en charge le malade et permettent son maintien à domicile. La Innovation : de l intergénérationnel à Notre-Dame du Bonsecours La résidence sociale Notre-Dame du Bonsecours (Paris 14 e ) se veut un pôle médico-social de proximité, intergénérationnel, destiné aux personnes atteintes de troubles du comportement et des fonctions supérieures. Le soutien régional a permis d y intégrer 98 lits Alzheimer, dont six réservés à un hébergement temporaire. En outre, il comprend : un foyer d accueil médicalisé de 90 lits, dont 14 réservés à des patients Alzheimer jeunes ; une crèche accueillant des enfants en situation de handicap ; un centre médico-psycho-pédagogique ; un espace de convivialité et de services : le Petit Café, géré par l association AFASER. Région a bien conscience de l apport considérable de ces «aidants». Les soutenir constitue aussi une réponse à la prise en charge de la maladie d Alzheimer. La Région s engage dans le financement des structures, services et associations qui œuvrent dans ce sens. Participer à l augmentation du nombre de places disponibles La Région soutient en premier lieu les établissements d hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad). Elle finance également les centres d accueil de jour, proposés par les Ehpad ou autonomes. Ces centres accueillent des patients pris en charge à domicile. Si cette initiative permet aux familles de se trouver du répit, elle offre aux patients la possibilité de participer à des activités de stimulation cognitive. Soutenir les aidants L inscription de cette thématique au rang de Grande Cause régionale de l année 2012 a permis d en accroître la visibilité et de majorer les financements qui y ont été consacrés. Elle a permis de susciter l émergence de projets associatifs innovants destinés à apporter une réponse au besoin de répit, à prévenir les risques médico-sociaux (ruptures familiale, sociale et professionnelle) ainsi qu à mieux cerner les problématiques sociales et les besoins en termes de santé des aidants de malades d Alzheimer jeunes et de personnes handicapées vieillissantes. À ce titre, 17 projets pour un montant de euros ont été financés. Crédits photographiques (De gauche à droite et de haut en bas) : Couverture : Tetra Images/Andia ; p. 6 : Laurent Villeret/Picturetank ; p. 7 : WeDoData ; p. 8 : Laurent Villeret/Picturetank ; p. 9 : Plainpicture ; p.10 : WeDoData ; p.11 : Éric Garault/Picturetank ; p.12 : Xavier Schwebel/Picturetank, Région Île-de-France, Odilon Dimier/PhotoAlto/Photononstop ; p.13 : Creatas/icidesign N.Prinz/Ing amplublising/patrick Sheandell O Carroll/PhotoAlto/MFPF, Patrick Gaillardin/Picturetank ; p. 14 : WeDoData ; p.15 : Éric Garault/Picturetank ; p. 16 : WeDoData ; p.17 : Éric Garault/Picturetank ; p.18 : Bruno Fret/Picturetank ; p.19 : André Lejarre/le bar Floreal.photographie, Jean-Marc Armani/Picturetank ; p.20 : Jéromine Derigny/Picturetank, WeDoData, Bernard Baudin/le bar Floreal.photographie ; p.21 : Alain Le Bacquer/Picturetank, Alain Le Bot/ Photononstop ; p. 22 : Jean-Robert Dantou/Picturetank.

13 Région Île-de-France Unité société Direction du développement social de la santé et de la démocratie régionale 35, boulevard des Invalides Paris / Conception graphique : Rampazzo & Associés - Mai Impression : Imprimerie de Compiègne

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