L 'év idence dan s la m ét aphy s ique de D e s c arte s
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- Laure Garon
- il y a 7 ans
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1 Rés um é L 'év idence dan s la m ét aphy s ique de D e s c arte s CHANG T ae Soon Chez Descartes, l' évidence est le critèr e du vrai et en m êm e t emps le seul moyen av ec lequel nou s rencontr on s le monde extérieur. Nou s éclairciron s les deux point s suiv ant s. D ' abor d, l' évidence chez Descartes est in suffisant e pour le critère du vrai vu son caractère intuitionniste, m ais cette in suffisance se corrige au cour s de l' inv estigation métaphy sique. Deuxièmement, c ' est l' entendem ent qui donne accès à la v érité dans la recher che scientifique. T outefois, les autres facultés de connaissance ont leur r ôle particulier pour la science. 1. L 'orig in e de la n otion d 'év iden c e et s on déf aut pour le c ritère du v rai Celui qui s ' intér esse à l' évidence pour la pr emièr e fois est plutôt Descart es scientiste natur el et Descartes mathématicien que Descartes mét aphy sicien : le meilleur int ér êt philosophique du jeune Descartes scientiste est la fondation d ' une vr aie méthode scientifique. 76
2 Il exige que le vrai scientifique soit au ssi certain que celui du mathématique. La certitude de la mathématique vient du fait qu ' elle est obtenue par l'u sage dir ect de l' entendem ent, de sorte que tout e l' inv estigation scientifique doit êtr e faite en utilisant l' entendem ent. Par là, le vrai est ce qui est le plu s cert ain devant l' entendement, c ' est - à- dir e que l' ent endement ne doute jam ais, et l' évidence, qui est un état d' esprit de connaîtr e l' objet comm e vr ai, devient le critère du vrai. L ' évidence est l' état d ' esprit dans lequel l' esprit n ' a aucun doute de son objet. Alor s elle est un caractèr e intuitionnel. Par sa nature, l' esprit ne peut pas douter de ce qui s ' expose dev ant lui clair ement et distinctem ent. Descartes tr ouv e le critèr e du vr ai dans le sujet de connais sance et non pas dan s l' objet, de sorte qu ' il peut éviter le problème de l' objectivité qui est commun parmi les critèr es intuitionnistes du vr ai. Mais il rencontre un autr e problèm e : quand il dit que ce qui est évident est vr ai, il v eut dire qu ' il est vrai pendant qu ' il le connaît (évidemment ). Mais on ne peut pas av oir l' esprit t oujour s attaché a une même chose, alor s suiv ant l' évidence on a plutôt le souv enir de la v érité que la v érité elle- même. En outr e, on ne peut pas dire que la v érité d 'une chose est perpétuelle san s qu ' on con st ate la perpétuité du sujet et de la faculté de connaissance. Ces problèmes impliquent que l' évidence n ' est pas encore suffisante pour le critèr e de la v érité scientifique. Descartes trouve que les défauts de l' évidence peuvent se corriger par l' inv estigation métaphy sique. La m étaphy sique est, au sen s traditionnel, la science à pr opos de deux question s, de Dieu et de l' âme, ce qui est au ssi l' avis de Descartes. Mais pour Descartes elle est au ssi ce qui déduit toute la phy sique. Résumé 77
3 2. La dém on s tration de l 'ex is te n c e de D ie u La perpétuité de l' évidence s ' appuie sur l' existence de Dieu : t ant qu ' il nou s cr éa et nou s donna les facult és de connaissance, sa v éracité assur e la légitimité de nos facultés de connaissance et la certitude des données. Chez Descartes, démontr er l' existence de Dieu implique que l' esprit connaît l' existence de Dieu. Pour cela, l' esprit doit d ' abor d connaître l' idée de Dieu évidemment, par là il connaîtra que la perfection de Dieu contient l' exist ence comme une pr opriété. On ne peut connaîtr e l' idée de Dieu que par l' entendement. Notre esprit a utilisé les sens depuis notre enfance, mais il ne s ' accoutume pas à per cev oir une idée que par l' entendement. L ' esprit a donc de la difficult é à connaîtr e l' idée de Dieu. L ' esprit a besoin d 'une étape d ' entr aînem ent de l' u sage qui sépare l' entendement de t outes les autres facultés, c ' est le dout e de la première m éditation qui l' entr aîne. Pour cette r aison il y a aus si deux démon str ations de Dieu dan s les Médit ation s. La pr emière dém on stration par les effet s se fait par l' inv estigation du cogito qui échappe aux doutes. Donc l' existence du m oi n ' est pas le fondement final de la v érité mais qu 'une ét ape m édiatrice pour les démon str ation s de l' existence de Dieu. La pr emièr e ne peut pas franchir la limite de tempor alité du moi limité par ce qu ' elle est une dém on stration à partir de l'idée qui est dan s le m oi. Alor s il faut la deuxième pour démontrer la perpétuité de Dieu. 78
4 3. Le problèm e de l 'erreur Pour Descartes, qui prend le critère intuitionniste du vrai, l' err eur que le cogito fait pr ov oque deux pr oblèmes : d ' abord, l' err eur implique les deux jugement s contrair es sur un objet, ce qui m enace la perpétuité et la certitude de la connaissance par l' entendement, et l' évidence comm e le critèr e ; en outre, l' err eur peut se con sidér er comme une tr omperie de nos facultés de connaissance, ce qui est contr adictoir e à la connaissance de l' entendement que Dieu ne nou s trompe jamais. Selon Descartes, deux cau ses sont à l' origine de l' erreur : la fau sseté matérielle, qui vient de la natur e ob scur e et confuse des idées par les sen s, et la fau s seté formelle, qui vient du mauv ais jugem ent. Entr e les deux, ce qui soulèv e les deux pr oblèmes est la fau sseté formelle. Ils sont r ésolu s av ec la théorie de jugem ent : le jugement est fait par l' entendement et la v olonté, c ' est à dire que la v olont é as sure ou nie l' idée connue par l' entendement. L ' entendement est fini, alor s il ne peut pas connaître tou s les objet s. Mais il n ' est pas la cau se de l' err eur. Au contr aire, la volonté est infinie, et elle juge même les idées qui ne sont pas évident es dev ant l' entendem ent, ce qui est la cau se de l' err eur. La théorie protège l' évidence parce que la volonté n ' est pas une faculté de connaissance ; elle au ssi protège la v éracité de Dieu, par ce que même s ' il nou s donne la v olonté infinie qui prov oque l' erreur, nou s ne pouvon s pas le compr endr e, et nou s ne sommes qu 'une part de ses cr éation s qui peuv ent être plu s parfaites par notr e imperfection. Résumé 79
5 le ur lim ite 4. Le s év ide n c e s de s autre s facult és de c onn ais s an c e et Selon Descartes, nous av on s quatre facultés qui servent à la connaissance : l' entendem ent, les sens, la mémoir e et l' im agination. Désormais, nou s n ' avon s con sidér é que l' évidence de l' entendement, m ais Descartes dit que les autres au ssi perçoivent l' objet clairement et distinctem ent, alor s qu ' elles ont leur propr e évidence. L ' entendem ent seul, il est vrai, a le pouv oir de per cev oir la v érité, mais les autr es facult és doiv ent êtr e utilisées pour la r echerche scientifique afin de ne rien négliger de ce qui fait partie de nos ressources. Comme les facult és donnent parfois des information s contr adictoir es sur le même objet, il faut délimiter chaque évidence. Les M éd itations délimitent les évidences et les ju stifient dans leur dom aine par tr ois étapes : dans la premièr e m éditation, les doutes qui se succèdent clas sifient les évidences selon certitude, c ' est - à- dire la m esur e de résister aux doutes, et ils montrent que l' évidence de l' entendem ent est supérieur e aux autr es ; c ' est dans la deuxième étape que l' existence de Dieu légitime toutes les facultés ; finalement, la limite de chaque faculté est présentée et leur s erreur s s ' éclair cissent. L 'imagination est une faculté qui sert essentiellement à rappeler les idées par les sen s et à les combiner. Dan s l'hypothèse du r êv e, on con st ate que l' évidence de l' imagination est inférieur e à celle des sen s, par ce que l'idée par l' imagination est combinée arbitr airem ent sans r eprésenter le monde extérieur. Mais apr ès que Dieu a affirm é sa légitimité, l' imagination obtient la certitude de l' application aux idées simples ou aux idées combinées dont la structure est nécessaire en 80
6 mathématique ou en algèbre. Elle est inévitablement utile pour la recherche de l'algèbre. La mémoir e est une faculté qui con serve et rapporte les idées que les autr es facultés ont fait paraîtr e à l' esprit. Alor s si les autr es ne donnaient pas la v érit é, elle ser ait inutile à connaître la vérité. Mais gr âce à la démon str ation de la v éracité de Dieu, elle a la légitimité de faire r enaîtr e l' évidence du pas sé au présent. Son r ôle dan s l' inv estigation scientifique est d ' as surer l' évidence de la conclu sion de déduction san s r épét er la pr océdure de dém on stration ; dan s la vie quotidienne elle soutient la continuité des expériences, qui est l' élément le plu s important à détruire l'hypothèse du rêve. Les sens n ' offr ent pour le jugement scientifique que des idées ob scures et confu ses, qui sont la cause de la fau sset é matérielle. Mais apr ès qu ' il est dém ontr é que Dieu ne nou s trompe pas, les idées par les sens ouvrent la possibilité de la science pr atique, en t ant qu ' elles m ontr ent l' existence des choses ext érieur es. La fau sseté matérielle provient des idées composées qui sont considérées comme simples à cau se de deux hypothèses. Le plus important est que les sens offr ent les idées plu s évidentes concernant l' union de l' âme et du corps, plu s que celles des autr es facultés. Par là, les sen s sont la faculté la plus important e dan s la vie quotidienne et pour la survie. 5. Con clu s ion L ' épistémologie de Descartes évite de tomber en solipsisme en mettant le fondement de la vérité à l'extérieur, c 'est - à- dire ver s Dieu. L ' inv estigation métaphy sique de l' évidence se fait pour fonder la Résumé 81
7 certitude scientifique, m ais il m ontr e aus si d ' autres aspect s de l' évidence. L ' évidence des sen s, dont le dom aine de la légitimité est très petit dan s le dom aine de la science théorique, manifeste sa compétence la plu s gr ande dans le dom aine de la science pr atique dont l' objet est l' union de l' âme et du corps. Par con séquent, la r echerche de l' évidence m ontr e la v oie des Méditations aux Passion s de l' âme. Mot de clé(keyw or d) : évidence, métaphy sique, intuitionnisme, méthode Numéro d ' étudiant (student number ) :
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