L 'év idence dan s la m ét aphy s ique de D e s c arte s

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "L 'év idence dan s la m ét aphy s ique de D e s c arte s"

Transcription

1 Rés um é L 'év idence dan s la m ét aphy s ique de D e s c arte s CHANG T ae Soon Chez Descartes, l' évidence est le critèr e du vrai et en m êm e t emps le seul moyen av ec lequel nou s rencontr on s le monde extérieur. Nou s éclairciron s les deux point s suiv ant s. D ' abor d, l' évidence chez Descartes est in suffisant e pour le critère du vrai vu son caractère intuitionniste, m ais cette in suffisance se corrige au cour s de l' inv estigation métaphy sique. Deuxièmement, c ' est l' entendem ent qui donne accès à la v érité dans la recher che scientifique. T outefois, les autres facultés de connaissance ont leur r ôle particulier pour la science. 1. L 'orig in e de la n otion d 'év iden c e et s on déf aut pour le c ritère du v rai Celui qui s ' intér esse à l' évidence pour la pr emièr e fois est plutôt Descart es scientiste natur el et Descartes mathématicien que Descartes mét aphy sicien : le meilleur int ér êt philosophique du jeune Descartes scientiste est la fondation d ' une vr aie méthode scientifique. 76

2 Il exige que le vrai scientifique soit au ssi certain que celui du mathématique. La certitude de la mathématique vient du fait qu ' elle est obtenue par l'u sage dir ect de l' entendem ent, de sorte que tout e l' inv estigation scientifique doit êtr e faite en utilisant l' entendem ent. Par là, le vrai est ce qui est le plu s cert ain devant l' entendement, c ' est - à- dir e que l' ent endement ne doute jam ais, et l' évidence, qui est un état d' esprit de connaîtr e l' objet comm e vr ai, devient le critère du vrai. L ' évidence est l' état d ' esprit dans lequel l' esprit n ' a aucun doute de son objet. Alor s elle est un caractèr e intuitionnel. Par sa nature, l' esprit ne peut pas douter de ce qui s ' expose dev ant lui clair ement et distinctem ent. Descartes tr ouv e le critèr e du vr ai dans le sujet de connais sance et non pas dan s l' objet, de sorte qu ' il peut éviter le problème de l' objectivité qui est commun parmi les critèr es intuitionnistes du vr ai. Mais il rencontre un autr e problèm e : quand il dit que ce qui est évident est vr ai, il v eut dire qu ' il est vrai pendant qu ' il le connaît (évidemment ). Mais on ne peut pas av oir l' esprit t oujour s attaché a une même chose, alor s suiv ant l' évidence on a plutôt le souv enir de la v érité que la v érité elle- même. En outr e, on ne peut pas dire que la v érité d 'une chose est perpétuelle san s qu ' on con st ate la perpétuité du sujet et de la faculté de connaissance. Ces problèmes impliquent que l' évidence n ' est pas encore suffisante pour le critèr e de la v érité scientifique. Descartes trouve que les défauts de l' évidence peuvent se corriger par l' inv estigation métaphy sique. La m étaphy sique est, au sen s traditionnel, la science à pr opos de deux question s, de Dieu et de l' âme, ce qui est au ssi l' avis de Descartes. Mais pour Descartes elle est au ssi ce qui déduit toute la phy sique. Résumé 77

3 2. La dém on s tration de l 'ex is te n c e de D ie u La perpétuité de l' évidence s ' appuie sur l' existence de Dieu : t ant qu ' il nou s cr éa et nou s donna les facult és de connaissance, sa v éracité assur e la légitimité de nos facultés de connaissance et la certitude des données. Chez Descartes, démontr er l' existence de Dieu implique que l' esprit connaît l' existence de Dieu. Pour cela, l' esprit doit d ' abor d connaître l' idée de Dieu évidemment, par là il connaîtra que la perfection de Dieu contient l' exist ence comme une pr opriété. On ne peut connaîtr e l' idée de Dieu que par l' entendement. Notre esprit a utilisé les sens depuis notre enfance, mais il ne s ' accoutume pas à per cev oir une idée que par l' entendement. L ' esprit a donc de la difficult é à connaîtr e l' idée de Dieu. L ' esprit a besoin d 'une étape d ' entr aînem ent de l' u sage qui sépare l' entendement de t outes les autres facultés, c ' est le dout e de la première m éditation qui l' entr aîne. Pour cette r aison il y a aus si deux démon str ations de Dieu dan s les Médit ation s. La pr emière dém on stration par les effet s se fait par l' inv estigation du cogito qui échappe aux doutes. Donc l' existence du m oi n ' est pas le fondement final de la v érité mais qu 'une ét ape m édiatrice pour les démon str ation s de l' existence de Dieu. La pr emièr e ne peut pas franchir la limite de tempor alité du moi limité par ce qu ' elle est une dém on stration à partir de l'idée qui est dan s le m oi. Alor s il faut la deuxième pour démontrer la perpétuité de Dieu. 78

4 3. Le problèm e de l 'erreur Pour Descartes, qui prend le critère intuitionniste du vrai, l' err eur que le cogito fait pr ov oque deux pr oblèmes : d ' abord, l' err eur implique les deux jugement s contrair es sur un objet, ce qui m enace la perpétuité et la certitude de la connaissance par l' entendement, et l' évidence comm e le critèr e ; en outre, l' err eur peut se con sidér er comme une tr omperie de nos facultés de connaissance, ce qui est contr adictoir e à la connaissance de l' entendement que Dieu ne nou s trompe jamais. Selon Descartes, deux cau ses sont à l' origine de l' erreur : la fau sseté matérielle, qui vient de la natur e ob scur e et confuse des idées par les sen s, et la fau s seté formelle, qui vient du mauv ais jugem ent. Entr e les deux, ce qui soulèv e les deux pr oblèmes est la fau sseté formelle. Ils sont r ésolu s av ec la théorie de jugem ent : le jugement est fait par l' entendement et la v olonté, c ' est à dire que la v olont é as sure ou nie l' idée connue par l' entendement. L ' entendement est fini, alor s il ne peut pas connaître tou s les objet s. Mais il n ' est pas la cau se de l' err eur. Au contr aire, la volonté est infinie, et elle juge même les idées qui ne sont pas évident es dev ant l' entendem ent, ce qui est la cau se de l' err eur. La théorie protège l' évidence parce que la volonté n ' est pas une faculté de connaissance ; elle au ssi protège la v éracité de Dieu, par ce que même s ' il nou s donne la v olonté infinie qui prov oque l' erreur, nou s ne pouvon s pas le compr endr e, et nou s ne sommes qu 'une part de ses cr éation s qui peuv ent être plu s parfaites par notr e imperfection. Résumé 79

5 le ur lim ite 4. Le s év ide n c e s de s autre s facult és de c onn ais s an c e et Selon Descartes, nous av on s quatre facultés qui servent à la connaissance : l' entendem ent, les sens, la mémoir e et l' im agination. Désormais, nou s n ' avon s con sidér é que l' évidence de l' entendement, m ais Descartes dit que les autres au ssi perçoivent l' objet clairement et distinctem ent, alor s qu ' elles ont leur propr e évidence. L ' entendem ent seul, il est vrai, a le pouv oir de per cev oir la v érité, mais les autr es facult és doiv ent êtr e utilisées pour la r echerche scientifique afin de ne rien négliger de ce qui fait partie de nos ressources. Comme les facult és donnent parfois des information s contr adictoir es sur le même objet, il faut délimiter chaque évidence. Les M éd itations délimitent les évidences et les ju stifient dans leur dom aine par tr ois étapes : dans la premièr e m éditation, les doutes qui se succèdent clas sifient les évidences selon certitude, c ' est - à- dire la m esur e de résister aux doutes, et ils montrent que l' évidence de l' entendem ent est supérieur e aux autr es ; c ' est dans la deuxième étape que l' existence de Dieu légitime toutes les facultés ; finalement, la limite de chaque faculté est présentée et leur s erreur s s ' éclair cissent. L 'imagination est une faculté qui sert essentiellement à rappeler les idées par les sen s et à les combiner. Dan s l'hypothèse du r êv e, on con st ate que l' évidence de l' imagination est inférieur e à celle des sen s, par ce que l'idée par l' imagination est combinée arbitr airem ent sans r eprésenter le monde extérieur. Mais apr ès que Dieu a affirm é sa légitimité, l' imagination obtient la certitude de l' application aux idées simples ou aux idées combinées dont la structure est nécessaire en 80

6 mathématique ou en algèbre. Elle est inévitablement utile pour la recherche de l'algèbre. La mémoir e est une faculté qui con serve et rapporte les idées que les autr es facultés ont fait paraîtr e à l' esprit. Alor s si les autr es ne donnaient pas la v érit é, elle ser ait inutile à connaître la vérité. Mais gr âce à la démon str ation de la v éracité de Dieu, elle a la légitimité de faire r enaîtr e l' évidence du pas sé au présent. Son r ôle dan s l' inv estigation scientifique est d ' as surer l' évidence de la conclu sion de déduction san s r épét er la pr océdure de dém on stration ; dan s la vie quotidienne elle soutient la continuité des expériences, qui est l' élément le plu s important à détruire l'hypothèse du rêve. Les sens n ' offr ent pour le jugement scientifique que des idées ob scures et confu ses, qui sont la cause de la fau sset é matérielle. Mais apr ès qu ' il est dém ontr é que Dieu ne nou s trompe pas, les idées par les sens ouvrent la possibilité de la science pr atique, en t ant qu ' elles m ontr ent l' existence des choses ext érieur es. La fau sseté matérielle provient des idées composées qui sont considérées comme simples à cau se de deux hypothèses. Le plus important est que les sens offr ent les idées plu s évidentes concernant l' union de l' âme et du corps, plu s que celles des autr es facultés. Par là, les sen s sont la faculté la plus important e dan s la vie quotidienne et pour la survie. 5. Con clu s ion L ' épistémologie de Descartes évite de tomber en solipsisme en mettant le fondement de la vérité à l'extérieur, c 'est - à- dire ver s Dieu. L ' inv estigation métaphy sique de l' évidence se fait pour fonder la Résumé 81

7 certitude scientifique, m ais il m ontr e aus si d ' autres aspect s de l' évidence. L ' évidence des sen s, dont le dom aine de la légitimité est très petit dan s le dom aine de la science théorique, manifeste sa compétence la plu s gr ande dans le dom aine de la science pr atique dont l' objet est l' union de l' âme et du corps. Par con séquent, la r echerche de l' évidence m ontr e la v oie des Méditations aux Passion s de l' âme. Mot de clé(keyw or d) : évidence, métaphy sique, intuitionnisme, méthode Numéro d ' étudiant (student number ) :

Mémoire de fin d études d orthophonie CENTRE DE FORMATION DE STRASBOURG

Mémoire de fin d études d orthophonie CENTRE DE FORMATION DE STRASBOURG Mémoire de fin d études d orthophonie CENTRE DE FORMATION DE STRASBOURG Objectifs : Au cours de la dern ière ann ée d études, les cand idats ayant v alidé la to talité de s enseignements théoriques et

Plus en détail

Qu est - ce qu une SAEM L? Une SAEM L (Sociét é Anony m e d Econom ie M ix t e Locale) est une sociét é de dr oit pr iv é, au

Qu est - ce qu une SAEM L? Une SAEM L (Sociét é Anony m e d Econom ie M ix t e Locale) est une sociét é de dr oit pr iv é, au Chais M agelis - 2003/ 2006 M aît r ise d ouv r age déléguée Qu est - ce qu une SAEM L? Une SAEM L (Sociét é Anony m e d Econom ie M ix t e Locale) est une sociét é de dr oit pr iv é, au sein de laquelle

Plus en détail

Chapitre 3: TESTS DE SPECIFICATION

Chapitre 3: TESTS DE SPECIFICATION Chapitre 3: TESTS DE SPECIFICATION Rappel d u c h api t r e pr é c é d en t : l i de n t i f i c a t i o n e t l e s t i m a t i o n de s y s t è m e s d é q u a t i o n s s i m u lt a n é e s r e p o

Plus en détail

Virtualisez un système d'exploitation avec VirtualBox

Virtualisez un système d'exploitation avec VirtualBox Virtualisez un système d'exploitation avec VirtualBox Tutor iel 34 com m entair es V ous vous appr êtez à lir e un tutor iel r édigé par un membr e de ce site. M algr é tout le soin que ce membr e a pu

Plus en détail

LES ESCALIERS. Du niveau du rez-de-chaussée à celui de l'étage ou à celui du sous-sol.

LES ESCALIERS. Du niveau du rez-de-chaussée à celui de l'étage ou à celui du sous-sol. LES ESCALIERS I. DÉF I NIT I O N Un escalier est un ouvrage constitué d'une suite de marches et de paliers permettant de passer à pied d'un niveau à un autre. Ses caractéristiques dimensionnelles sont

Plus en détail

S euls les flux de fonds (dépenses et recettes) définis s ent l investissement.

S euls les flux de fonds (dépenses et recettes) définis s ent l investissement. Choix d ives i s s eme e cer iude 1 Chapire 1 Choix d ivesissemes e ceriude. Défiiio L es décisios d ivesissemes fo parie des décisios sraégiques de l erepris e. Le choix ere différes projes d ivesisseme

Plus en détail

&RQVHLO5pJLRQDO 1RUG± 3DVGH&DODLV

&RQVHLO5pJLRQDO 1RUG± 3DVGH&DODLV SRXU &RQVHLO5pJLRQDO 1RUG± 3DVGH&DODLV (WXGH GHIDLVDELOLWpG XQHILOLqUHUpJLRQDOHLQIRUPDWLTXH HQ 2SHQ6RXUFH ª 6RPPDLUH / REMHWGHO pwxgh /HVSURMHWVHWDSSOLFDWLRQVHQ13'& /HVDWRXWVHWIDLEOHVVHVGHODUpJLRQ /HVFRQVWDWV

Plus en détail

Guide de la qualité pour. les PME-PMI. Les Guides CGEM. Guides d information

Guide de la qualité pour. les PME-PMI. Les Guides CGEM. Guides d information Guide de la qualité pour les PME-PMI Les Guides CGEM Guides d information Décembre 2009 Edito L entreprise marocaine évolue dans un environnement qui se caractérise par une offre concurrentielle de plus

Plus en détail

Accueil Events, l accueil personnalisé des touristes d affaires Informations, bonnes adresses, réservations et découvertes!

Accueil Events, l accueil personnalisé des touristes d affaires Informations, bonnes adresses, réservations et découvertes! Lyon City Card 1 jour 2 jours 3 jours Ta xis et M inibus - Tarifs forfaitaires Jour : 7h - 19h Nuit : 19h - 7h Lyon/ Villeurbanne - Aéroport St Exupéry 59 81 Lyon 5ème et 9ème excentrés - Aéroport St Exupéry

Plus en détail

«Je pense, donc je suis» est une grande découverte

«Je pense, donc je suis» est une grande découverte 6 «Je pense, donc je suis» est une grande découverte Cette affaire-là est assez claire. On lit dans le Discours de la méthode, Quatrième Partie : «[ ] Je me résolus de feindre que toutes les choses qui

Plus en détail

Union Régionale. 19 rue de La Haye BP 90073 67013 STRASBOURG CEDEX. Tél : 03.88.99.38.28 Fax : 03.88.99.09.01 ORIENTATIONS 2012-2016 INTRODUCTION

Union Régionale. 19 rue de La Haye BP 90073 67013 STRASBOURG CEDEX. Tél : 03.88.99.38.28 Fax : 03.88.99.09.01 ORIENTATIONS 2012-2016 INTRODUCTION Union Régionale 19 rue de La Haye BP 90073 67013 STRASBOURG CEDEX Tél : 03.88.99.38.28 Fax : 03.88.99.09.01 unionregionale@cftc-alsace.fr www.cftc-alsace.fr ORIENTATIONS 2012-2016 INTRODUCTION Notre syndicalisme

Plus en détail

LE HARCÈLEMENT PSYCHOLOGIQUE AU TRAVAIL AU QUÉBEC

LE HARCÈLEMENT PSYCHOLOGIQUE AU TRAVAIL AU QUÉBEC LE HARCÈLEMENT PSYCHOLOGIQUE AU TRAVAIL AU QUÉBEC Par: Jean-Pierre Brun, professeur Éric Plante, Professionnel de recherche Sondage par: Léger Marketing Mars 2004 DÉFINITION DU HARCÈLEMENT PSYCHOLOGIQUE

Plus en détail

ETUDE S UR LE DEMENAGEMENT D ENTREPRIS ES

ETUDE S UR LE DEMENAGEMENT D ENTREPRIS ES ETUDE S UR LE DEMENAGEMENT D ENTREPRIS ES Struc ture é c onom ique Un s e c te ur dom iné par le s TPE Le secteur du déménagement est caractérisé par son faible degré de concentration et son atomisation.

Plus en détail

Guide pratique Pandémie grippale

Guide pratique Pandémie grippale Guide pratique Pandémie grippale SERVICES À LA PERSONNE Les gestes de chacun font la santé de tous Page 1 1 GRIPPE SAISONNIERE ET PANÉMIE GRIPPALE La grippe es t une inf ection r espiratoire aigüe tr ès

Plus en détail

Un exemple d étude de cas

Un exemple d étude de cas Un exemple d'étude de cas 1 Un exemple d étude de cas INTRODUCTION Le cas de la Boulangerie Lépine ltée nous permet d exposer ici un type d étude de cas. Le processus utilisé est identique à celui qui

Plus en détail

l Agence Qui sommes nous?

l Agence Qui sommes nous? l Agence Qui soes nous? Co Justine est une agence counication globale dont la ission est prendre en charge l enseble vos besoins et probléatiques counication. Créée en 2011, Co Justine a rapient investi

Plus en détail

FORMATIONS. aux langues étrangères

FORMATIONS. aux langues étrangères FORMATIONS aux langues étrangères SOMMAIRE Présentation... p.3 Clientèle... p.5 Programmes de formation... p.6 Examens... p.10 Niveaux... p.11 Formules... p.12 Pédagogie... p.13 Mise en place d une formation...

Plus en détail

GUIDE D INSTALLATION TOITS VERTS ST M, M O N T R E A L, 2 013

GUIDE D INSTALLATION TOITS VERTS ST M, M O N T R E A L, 2 013 GUIDE D INSTALLATION TOITS VERTS ST M, M O N T R E A L, 2 013 2 015 / 0 5 / FR TOITS VERTS 101 A. CRITÈRES DE RÉUSSITE D UN TOIT VERT B. SOLUTIONS TECHNIQUES C. AVANTAGES DES TOITS VERTS D. CRÉDITS LEED

Plus en détail

TOUTES LES SOLUTIONS DE SÉCURITÉ EN PERSPECTIVE

TOUTES LES SOLUTIONS DE SÉCURITÉ EN PERSPECTIVE TOUTES LES SOLUTIONS DE SÉCURITÉ EN PERSPECTIVE SY YSTÈ M E D ID ENT IFI CAT ION SYS T ÈME D IDENTIFICATION SYSS T È M E D IDE N T I F ICATI O N A U D I T SY ST ÈM E DE VERROUILLAGE RO SYSTÈM ÈME D E V

Plus en détail

Elargissez l horizon de votre gestion. www.mercator.eu

Elargissez l horizon de votre gestion. www.mercator.eu www.mercator.eu Elargissez l horizon de votre gestion Mercator se profile comme la solution de gestion commerciale et de comptabilité alliant simultanément les avantages de la solution informatique standard

Plus en détail

Information & Veille Territoriale

Information & Veille Territoriale Information & Veille Territoriale R eprésentation du com plexe local & ém ergence d un projetd intelligence territoriale «Il faut un obstacle nouveau pour un savoir nouveau.» 1 Henri Michaux Yann Bertacchini

Plus en détail

Exigences internationales harmonisées pour la certification d un lot

Exigences internationales harmonisées pour la certification d un lot 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47 48 49 Exigences internationales harmonisées pour la certification d un

Plus en détail

Budget Constrained Resource Allocation for Non-Deterministic Workflows on a IaaS Cloud

Budget Constrained Resource Allocation for Non-Deterministic Workflows on a IaaS Cloud Budget Constrained Resource Allocation for Non-Deterministic Workflows on a IaaS Cloud Eddy Caron, Frédéric Desprez, Adrian Muresan, Frédéric Suter To cite this version: Eddy Caron, Frédéric Desprez, Adrian

Plus en détail

LE BUDGET LOGICIEL : EVOLUTION DE LA PART DU LOGICIEL ACQUIS DANS LE BUDGET INFORMÀTIQUE

LE BUDGET LOGICIEL : EVOLUTION DE LA PART DU LOGICIEL ACQUIS DANS LE BUDGET INFORMÀTIQUE :.: CLUB INFORMATIQUE DES GRANDES ENTREPRISES FRANÇAISES 21, avenue de Messine. 75008 Paris. téléohone 47 64 24 94 Réf. bî 321 LE BUDGET LOGICIEL : EVOLUTION DE LA PART DU LOGICIEL ACQUIS DANS LE BUDGET

Plus en détail

N 1 2 1 L a R e v u e F r a n c o p h o n e d u M a n a g e m e n t d e P r o j e t 2 è m e t r i m e s t r e 2 0 1 3

N 1 2 1 L a R e v u e F r a n c o p h o n e d u M a n a g e m e n t d e P r o j e t 2 è m e t r i m e s t r e 2 0 1 3 Du côté de la Recherche > Managemen t de projet : p1 L intégration des systèmes de management Qualité -Sécurité- Environnement : résultats d une étude empirique au Maroc Le co ntex te d es p roj et s a

Plus en détail

La Cible Sommaire F o c u s

La Cible Sommaire F o c u s La Cible Sommaire F o c u s F o n d a t e u r : J e a n L e B I S S O N N A I S D i r e c t e u r d e l a p u b l i c a t i o n : M a r t i n e M I N Y R é d a c t e u r e n c h e f : S e r g e C H A N

Plus en détail

REPUBLIQUE DU CONGO CONSTI TUTI ON DE LA REP UBLI QUE DU CONGO. Unité * Travail * Progrès

REPUBLIQUE DU CONGO CONSTI TUTI ON DE LA REP UBLI QUE DU CONGO. Unité * Travail * Progrès REPUBLIQUE DU CONGO Unité * Travail * Progrès CONSTI TUTI ON DE LA REP UBLI QUE DU CONGO Constitution du 20 Janvier 2002 Le Gouvernement d Union Nationale et de salut P ublic, conformément aux conclusions

Plus en détail

Assises Métallerie 2013. ERP GPAO en métallerie: quelle offres, comment bien choisir son outil de gestion?

Assises Métallerie 2013. ERP GPAO en métallerie: quelle offres, comment bien choisir son outil de gestion? Assises Métallerie 2013 ERP GPAO en métallerie: quelle offres, comment bien choisir son outil de gestion? ERP dans une PME de métallerie ERP dans une PME de métallerie OBJECTIF DE LA PRESENTATION DEFINITION

Plus en détail

CHOIX D INVESTISSEMENTS : L A MÉ T HODE DE S OPT IONS R É E L L E S

CHOIX D INVESTISSEMENTS : L A MÉ T HODE DE S OPT IONS R É E L L E S CHOIX D INVESTISSEMENTS : L A MÉ T HODE DE S OPT IONS R É E L L E S Par : Ruolz Ariste et Pierre Lasserre 17 Juin 1999 Plan de présentation (1/2) I- Introduction et motivation 1.1- Définition des options

Plus en détail

3 e fiche d'informations sur l'initiative relative à la caisse unique

3 e fiche d'informations sur l'initiative relative à la caisse unique 3 e fiche d'informations sur l'initiative relative à la caisse unique Financement du système de santé, aujourd'hui et en cas d'acceptation de l'initiative sur la caisse unique: exemple d'une famille avec

Plus en détail

Écrir e un film de fiction

Écrir e un film de fiction Écrir e un film de fiction 1. Le sy no ps is Résumé de l histoir e à g rands traits. Disons une page dactylog raphiée par heur e. Le pitch (sujet, idée) tient, lui, en une ou deux phrases. 2. Le sc én

Plus en détail

La santé de votre entreprise mérite notre protection.

La santé de votre entreprise mérite notre protection. mutuelle mclr La santé de votre entreprise mérite notre protection. www.mclr.fr Qui sommes-nous? En tant que mutuelle régionale, nous partageons avec vous un certain nombre de valeurs liées à la taille

Plus en détail

Votre capital le plus précieux: Les collaborateurs de votre entreprise.

Votre capital le plus précieux: Les collaborateurs de votre entreprise. Votre capital le plus précieux: Les collaborateurs de votre entreprise. Guide de la prévoyance professionnelle (2 e pilier): Assurance accidents obligatoire selon la LAA Complément à l assurance accidents

Plus en détail

Lot 4: Validation industrielle. Youness LEMRABET Pascal YIM, 19/11/2010

Lot 4: Validation industrielle. Youness LEMRABET Pascal YIM, 19/11/2010 Lot 4: Validation industrielle Youness LEMRABET Pascal YIM, 19/11/2010 Partenaires Lot 1 Modèle du processus métier L4.1 Modèles PSM Lot 2 Guide d implantation L4.2 Développement & Recette prototype Lot

Plus en détail

Suites numériques 3. 1 Convergence et limite d une suite

Suites numériques 3. 1 Convergence et limite d une suite Suites numériques 3 1 Convergence et limite d une suite Nous savons que les termes de certaines suites s approchent de plus en plus d une certaine valeur quand n augmente : par exemple, les nombres u n

Plus en détail

Observatoire Régional R Enseignements Supérieurs en Bretagne (ORESB) Quelques chiffres clefs sur l insertion professionnelle

Observatoire Régional R Enseignements Supérieurs en Bretagne (ORESB) Quelques chiffres clefs sur l insertion professionnelle Observatoire Régional R des Enseignements Supérieurs en Bretagne (ORESB) Quelques chiffres clefs sur l insertion professionnelle La méthodologie d enquête Travail commun sur les questionnaires de Licence

Plus en détail

WTRANSNET FRANCE. Plates-formes électroniques 1 ère ÉDITION. Pour vos appels d offre

WTRANSNET FRANCE. Plates-formes électroniques 1 ère ÉDITION. Pour vos appels d offre Juin 2012 Pour vos appels d offre Plates-formes électroniques 1 ère ÉDITION WTRANSNET FRANCE SupplyChainMagazine.fr 19, rue Saint-Georges - 94700 Maisons-Alfort 1. NOM DE LA SOCIETE Wtransnet France 2.

Plus en détail

«Ce formulaire doit être entièrement complété et signé par les emprunteurs et les cautions» Nom :... Nom :... Type de crédit.

«Ce formulaire doit être entièrement complété et signé par les emprunteurs et les cautions» Nom :... Nom :... Type de crédit. Demande de crédit «Ce formulaire doit être entièrement complété et signé par les emprunteurs et les cautions» Cellule hypothécaire Intermédiaire de crédit Nom :... Nom :... Tél. :... Tél. :... GSM :...

Plus en détail

DOSSIER DE PRESSE. Signature d un Agenda 2015-2018 entre l Etat et l Union Sociale pour l Habitat. Paris, le jeudi 25 septembre 2014

DOSSIER DE PRESSE. Signature d un Agenda 2015-2018 entre l Etat et l Union Sociale pour l Habitat. Paris, le jeudi 25 septembre 2014 DOSSIER DE PRESSE Signature d un Agenda 2015-2018 entre l Etat et l Union Sociale pour l Habitat Paris, le jeudi 25 septembre 2014 Contact presse Service de presse du ministère du Logement, de l Égalité

Plus en détail

Thuraya XT-LITE Simple. Fiable. Abordable.

Thuraya XT-LITE Simple. Fiable. Abordable. Thuraya XT-LITE Simple. Fiable. Abordable. www.thuraya.com Suivez-nous sur /thurayatelecom Restez Proche Le téléphone satellitaire ayant l'un des meilleurs rapports qualité-prix au monde Il n'a jamais

Plus en détail

Compression Compression par dictionnaires

Compression Compression par dictionnaires Compression Compression par dictionnaires E. Jeandel Emmanuel.Jeandel at lif.univ-mrs.fr E. Jeandel, Lif CompressionCompression par dictionnaires 1/25 Compression par dictionnaire Principe : Avoir une

Plus en détail

K W = [H 3 O + ] [OH - ] = 10-14 = K a K b à 25 C. [H 3 O + ] = [OH - ] = 10-7 M Solution neutre. [H 3 O + ] > [OH - ] Solution acide

K W = [H 3 O + ] [OH - ] = 10-14 = K a K b à 25 C. [H 3 O + ] = [OH - ] = 10-7 M Solution neutre. [H 3 O + ] > [OH - ] Solution acide La constante d autoprotolyse de l eau, K W, est égale au produit de K a par K b pour un couple acide/base donné : En passant en échelle logarithmique, on voit donc que la somme du pk a et du pk b d un

Plus en détail

O, i, ) ln x. (ln x)2

O, i, ) ln x. (ln x)2 EXERCICE 5 points Commun à tous les candidats Le plan complee est muni d un repère orthonormal O, i, j Étude d une fonction f On considère la fonction f définie sur l intervalle ]0; + [ par : f = ln On

Plus en détail

DECLARATION DES PERFORMANCES N 1

DECLARATION DES PERFORMANCES N 1 DECLARATION DES PERFORMANCES N 1 Résistance mécanique C18 EN 1912 : 2012 + EN 338 :2009 DECLARATION DES PERFORMANCES N 2 Résistance mécanique C24 EN 1912 : 2012 + EN 338 :2009 DECLARATION DES PERFORMANCES

Plus en détail

Quand l'union européenne gouverne les poissons : pourquoi une politique commune de la pêche?

Quand l'union européenne gouverne les poissons : pourquoi une politique commune de la pêche? L e s É t u d e s d u C E R I N 61 - décembre 1999 Quand l'union européenne gouverne les poissons : pourquoi une politique commune de la pêche? Christian Lequesne Centre d'études et de recherches internationales

Plus en détail

Raisonnement par récurrence Suites numériques

Raisonnement par récurrence Suites numériques Chapitre 1 Raisonnement par récurrence Suites numériques Terminale S Ce que dit le programme : CONTENUS CAPACITÉS ATTENDUES COMMENTAIRES Raisonnement par récurrence. Limite finie ou infinie d une suite.

Plus en détail

Comparaison de fonctions Développements limités. Chapitre 10

Comparaison de fonctions Développements limités. Chapitre 10 PCSI - 4/5 www.ericreynaud.fr Chapitre Points importants 3 Questions de cours 6 Eercices corrigés Plan du cours 4 Eercices types 7 Devoir maison 5 Eercices Chap Et s il ne fallait retenir que si points?

Plus en détail

Autoris ations pour :

Autoris ations pour : MINISTERE DE L ECONOMIE ET DES FINANCES Direction de l Economie Division des Relations Economiques et Financières Extérieures Tél (00228) 22326950/ 22210250 Autoris ations pour : Exercice en qualité de

Plus en détail

Les intérieurs d îlots en région bruxelloise Séminaire du 13 juin 2006

Les intérieurs d îlots en région bruxelloise Séminaire du 13 juin 2006 Inter-Environnement Bruxelles 165, rue du Midi 1000 Bruxelles Tél. : 02/223 01 01. Fax : 02/223 12 96 www.ieb.be info@ieb.be A l'initiative de Françoise Dupuis, Secrétaire d État à la Région de Bruxelles-Capitale,

Plus en détail

Chafa Azzedine - Faculté de Physique U.S.T.H.B 1

Chafa Azzedine - Faculté de Physique U.S.T.H.B 1 Chafa Azzedine - Faculté de Physique U.S.T.H.B 1 Définition: La cinématique est une branche de la mécanique qui étudie les mouements des corps dans l espace en fonction du temps indépendamment des causes

Plus en détail

Autoris ations pour :

Autoris ations pour : MINISTERE DE L ECONOMIE ET DES FINANCES Direction de l Economie Division des Relations Economiques et Financières Extérieures REPUBLIQUE TOGOLAISE Travail-Liberté-Patrie Autoris ations pour : Exercice

Plus en détail

3 thèses : Problématique :

3 thèses : Problématique : LA CONSCIENCE Problématique : 3 thèses : Thèse 1 : L âme est une substance. A. L âme est une substance individuelle. B. La conscience comme substance pensante une et indivisible. Thèse 2 : La conscience

Plus en détail

Angles orientés et trigonométrie

Angles orientés et trigonométrie Chapitre Angles orientés et trigonométrie Ce que dit le programme : CONTENUS CAPACITÉS ATTENDUES COMMENTAIRES Trigonométrie Cercle trigonométrique. Radian. Mesure d un angle orienté, mesure principale.

Plus en détail

UNE AVENTVRE DE AGILE & CMMI POTION MAGIQUE OU GRAND FOSSÉ? AGILE TOVLOVSE 2011 I.VI VERSION

UNE AVENTVRE DE AGILE & CMMI POTION MAGIQUE OU GRAND FOSSÉ? AGILE TOVLOVSE 2011 I.VI VERSION UN AVNTVR D AGIL & CMMI POTION MAGIQU OU GRAND FOÉ? AGIL TOVLOV 2011 VRION I.VI @YAINZ AKARIA HT T P: / / W WW.MA RTVIW.F HT T P: / / W R WW.KIND OFMAG K.COM OT @ PAB L OP R N W.FR MARTVI. W W W / :/ P

Plus en détail

Cours (7) de statistiques à distance, élaboré par Zarrouk Fayçal, ISSEP Ksar-Said, 2011-2012 LES STATISTIQUES INFERENTIELLES

Cours (7) de statistiques à distance, élaboré par Zarrouk Fayçal, ISSEP Ksar-Said, 2011-2012 LES STATISTIQUES INFERENTIELLES LES STATISTIQUES INFERENTIELLES (test de Student) L inférence statistique est la partie des statistiques qui, contrairement à la statistique descriptive, ne se contente pas de décrire des observations,

Plus en détail

Consolidation de fondamentaux

Consolidation de fondamentaux Consolidation de fondamentaux Point de vue communicationnel sur le réel Consolidation - Stéphanie MARTY - 2009/2010 1 Question 31 31. Que signifie «avoir un point de vue communicationnel sur le réel»?

Plus en détail

La liberté de conscience dans le champ de la religion

La liberté de conscience dans le champ de la religion Documents de travail de l'iiedh No 4 La liberté de conscience dans le champ de la religion Patrice MEYER-BISCH Jean-Bernard MARIE (éds.) Avec la contribution de : Anne-Sophie DELBOVE Rik TORFS Jean GUEIT

Plus en détail

d utilisation de la doctrine sociale de l Eglisel

d utilisation de la doctrine sociale de l Eglisel www.doctrinesocialeeglise.org 1 Voir - Juger - Agir Méthode de réflexion r et d utilisation de la doctrine sociale de l Eglisel Pour aller plus loin dans le détaild merci de se reporter au livre : «Construire

Plus en détail

Faut-il tout démontrer?

Faut-il tout démontrer? Faut-il tout démontrer? Introduction et énoncé du problème L acte de démontrer consiste à mettre en ordre logique, à disposer de façon rationnelle et déductive des propositions afin d assurer que la conclusion

Plus en détail

La réalisation d'un circuit électrique simple(pile, lampe, (...)) permet de construire quelques connaissances élémentaires

La réalisation d'un circuit électrique simple(pile, lampe, (...)) permet de construire quelques connaissances élémentaires CYCLE II Domaine d'activité : LES OB JETS ET LES MA TÉRIAUX Circuits simples Point du programme La réalisation d'un circuit électrique simple(pile, lampe, (...)) permet de construire quelques connaissances

Plus en détail

6. Les différents types de démonstrations

6. Les différents types de démonstrations LES DIFFÉRENTS TYPES DE DÉMONSTRATIONS 33 6. Les différents types de démonstrations 6.1. Un peu de logique En mathématiques, une démonstration est un raisonnement qui permet, à partir de certains axiomes,

Plus en détail

MPI Activité.10 : Logique binaire Portes logiques

MPI Activité.10 : Logique binaire Portes logiques MPI Activité.10 : Logique binaire Portes logiques I. Introduction De nombreux domaines font appel aux circuits logiques de commutation : non seulement l'informatique, mais aussi les technologies de l'asservissement

Plus en détail

Suivant les langages de programmation, modules plus avancés : modules imbriqués modules paramétrés par des modules (foncteurs)

Suivant les langages de programmation, modules plus avancés : modules imbriqués modules paramétrés par des modules (foncteurs) Modularité Extensions Suivant les langages de programmation, modules plus avancés : modules imbriqués modules paramétrés par des modules (foncteurs) généricité modules de première classe : peuvent être

Plus en détail

Jours et semaines. séquence 1 2. séance 1 Le jour, la nuit. séance 2 Les activités d une journée. séance 3 Une journée à l école.

Jours et semaines. séquence 1 2. séance 1 Le jour, la nuit. séance 2 Les activités d une journée. séance 3 Une journée à l école. séquence 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 Van GOGH, La nuit étoilée, Arles RMN (Musée d Orsay) / H. Lewandowski Jours et semaines séance 1 Le jour, la nuit. séance 2 Les activités d une journée. séance 3 Une journée

Plus en détail

TRAIT D AMSTERDAM MODIFIANT LE TRAIT SUR L UNION EUROP ENNE, LES TRAIT S INSTITUANT LES COMMUNAUT S EUROP ENNES ET CERTAINS ACTES CONNEXES

TRAIT D AMSTERDAM MODIFIANT LE TRAIT SUR L UNION EUROP ENNE, LES TRAIT S INSTITUANT LES COMMUNAUT S EUROP ENNES ET CERTAINS ACTES CONNEXES TRAIT D AMSTERDAM MODIFIANT LE TRAIT SUR L UNION EUROP ENNE, LES TRAIT S INSTITUANT LES COMMUNAUT S EUROP ENNES ET CERTAINS ACTES CONNEXES AVIS AU LECTEUR La pr sente publication reproduit le texte du

Plus en détail

TSM EVOLUTION > SYSTÈME DE DÉTECTION INCENDIE ADRESSABLE ET CONVENTIONNEL ADR

TSM EVOLUTION > SYSTÈME DE DÉTECTION INCENDIE ADRESSABLE ET CONVENTIONNEL ADR SYSTÈME DE SÉCURITÉ INCENDIE www.marque-nf.com ADR > SYSTÈME DE DÉTECTION INCENDIE ADRESSABLE ET CONVENTIONNEL TSM EVOLUTION LA SOLUTION ÉVOLU > 3 versions pré-équipées d ECS (Equipement de Contrôle et

Plus en détail

Cadeaux d affaires, cadeaux d entreprises, objets publicitaires www.france-cadeaux.fr - services@france-cadeaux.fr

Cadeaux d affaires, cadeaux d entreprises, objets publicitaires www.france-cadeaux.fr - services@france-cadeaux.fr Siège France Cadeaux 84 rue de Courbiac 17100 Sainte 00 33 (0)5 46 74 66 00 RC.424 290 211 00012 Cadeaux d affaire, cadeaux d entreprie, objet publicitaire www.france-cadeaux.fr - ervice@france-cadeaux.fr

Plus en détail

CERES logiciel de gestion commerciale pour négociants en vin

CERES logiciel de gestion commerciale pour négociants en vin CERES logicil gion commrcial pour négocian n vin. Gion complè acha vn : comman, rérvaion, gion courag commrciaux.. Moul campagn primur : piloag la campagn via un ablau bor prman viualir accér aux informaion

Plus en détail

TEPZZ 568448A_T EP 2 568 448 A1 (19) (11) EP 2 568 448 A1 (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN. (51) Int Cl.: G07F 7/08 (2006.01) G06K 19/077 (2006.

TEPZZ 568448A_T EP 2 568 448 A1 (19) (11) EP 2 568 448 A1 (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN. (51) Int Cl.: G07F 7/08 (2006.01) G06K 19/077 (2006. (19) TEPZZ 68448A_T (11) EP 2 68 448 A1 (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN (43) Date de publication: 13.03.2013 Bulletin 2013/11 (1) Int Cl.: G07F 7/08 (2006.01) G06K 19/077 (2006.01) (21) Numéro de dépôt:

Plus en détail

Réalisabilité et extraction de programmes

Réalisabilité et extraction de programmes Mercredi 9 mars 2005 Extraction de programme: qu'est-ce que c'est? Extraire à partir d'une preuve un entier x N tel que A(x). π x N A(x) (un témoin) (En fait, on n'extrait pas un entier, mais un programme

Plus en détail

Contradicting Beliefs and Communication. J.-M. Tallon, J.-C. Vergnaud, & S. Zamir CNRS-EUREQua

Contradicting Beliefs and Communication. J.-M. Tallon, J.-C. Vergnaud, & S. Zamir CNRS-EUREQua Contradicting Beliefs and Communication J.-M. Tallon, J.-C. Vergnaud, & S. Zamir CNRS-EUREQua Introduction Papier propose : Considère structure de Kripke (KD45 au lieu de S5) Processus de communication

Plus en détail

curité du patient 19 mai 2009 Aurore MAYEUX Guy CLYNCKEMAILLIE

curité du patient 19 mai 2009 Aurore MAYEUX Guy CLYNCKEMAILLIE Déclarer un événement indésirable un élément majeur pour la sécurits curité du patient 19 mai 2009 Aurore MAYEUX Guy CLYNCKEMAILLIE Les hôpitaux plus meurtriers que la route Courrier de l escaut, janvier

Plus en détail

Etude du potentiel de développement aux abords des gares du Boulonnais

Etude du potentiel de développement aux abords des gares du Boulonnais Etude du potentiel de développement aux abords des gares du Boulonnais 6 octobre 2011 Atelier des Méthodologies du Foncier EPF Sommaire I. Contexte de l étude et objectifs II. La méthodologie III. Présentation

Plus en détail

Kontakt AGB. editorial. Celui qui agit est récompensé. Edition 06 Hiver 2005/2006. Informations et dernières nouvelles d AGB Bautechnik AG

Kontakt AGB. editorial. Celui qui agit est récompensé. Edition 06 Hiver 2005/2006. Informations et dernières nouvelles d AGB Bautechnik AG AGB Kontakt Informations et dernières nouvelles d AGB Bautechnik AG Edition 06 Hiver 2005/2006 Prière de faire circuler Celui qui agit est récompensé Page 2 TECHNOSTEP un système intelligent editorial

Plus en détail

DISCOVER, LE FUTUR C'EST MAINTENANT.

DISCOVER, LE FUTUR C'EST MAINTENANT. DISCOVER, LE FUTUR C'EST MAINTENANT. DISCOVER, L'AVENIR DU CARDIO TRAINING Depuis 1967 et la création révolutionnaire du premier Lifecycle jusqu'à aujourd'hui, avec la série Elevation. Life Fitness a toujours

Plus en détail

Faculté des Sciences Juridiques et Economiques de la Guadeloupe. Campus de Fouillole. Pour mieux vous aider A choisir vos matières

Faculté des Sciences Juridiques et Economiques de la Guadeloupe. Campus de Fouillole. Pour mieux vous aider A choisir vos matières Faculté des Sciences Juridiques et Economiques de la Guadeloupe Campus de Fouillole 9757 Pointe-à-Pitre Pitre Cédex Pour mieux vous aider A choisir vos matières SOMMAIRE Page Schéma des études 3 Maquette

Plus en détail

1 Première section: La construction générale

1 Première section: La construction générale AMALGAMATIONS DE CLASSES DE SOUS-GROUPES D UN GROUPE ABÉLIEN. SOUS-GROUPES ESSENTIEL-PURS. Călugăreanu Grigore comunicare prezentată la Conferinţa de grupuri abeliene şi module de la Padova, iunie 1994

Plus en détail

AC AB. A B C x 1. x + 1. d où. Avec un calcul vu au lycée, on démontre que cette solution admet deux solutions dont une seule nous intéresse : x =

AC AB. A B C x 1. x + 1. d où. Avec un calcul vu au lycée, on démontre que cette solution admet deux solutions dont une seule nous intéresse : x = LE NOMBRE D OR Présentation et calcul du nombre d or Euclide avait trouvé un moyen de partager en deu un segment selon en «etrême et moyenne raison» Soit un segment [AB]. Le partage d Euclide consiste

Plus en détail

Manuel de référence des commandes SMS Advisor Advanced

Manuel de référence des commandes SMS Advisor Advanced Manuel de référence des commandes SMS Advisor Advanced Content Introduction 1 Règles 2 Syntaxe 2 Authentification de l utilisateur 2 Liste des commandes SMS 3 Messages de sources non autorisées 10 Commandes

Plus en détail

Réseau des bibliothèques du Pays de Pamiers Guide du Numérique

Réseau des bibliothèques du Pays de Pamiers Guide du Numérique Réau d bibliothèqu du Pay d Pamir Guid du Numériqu Sit Intrnt du réau d lctur http://www.pamir.raubibli.fr C qu vou pouvz fair dpui notr it Intrnt : EXPLORER LE CATALOGUE : Plu d 80 000 documnt ont à votr

Plus en détail

Institut des Humanités de Paris. «Réinventer les Humanités» Compte-rendu du séminaire du Vendredi 23 mars 2012

Institut des Humanités de Paris. «Réinventer les Humanités» Compte-rendu du séminaire du Vendredi 23 mars 2012 Institut des Humanités de Paris «Réinventer les Humanités» Compte-rendu du séminaire du Vendredi 23 mars 2012 Humanités/Sciences «Humanités scientifiques» (Enregistrement sur le site (provisoire) de l

Plus en détail

M2 IAD UE MODE Notes de cours (3)

M2 IAD UE MODE Notes de cours (3) M2 IAD UE MODE Notes de cours (3) Jean-Yves Jaffray Patrice Perny 16 mars 2006 ATTITUDE PAR RAPPORT AU RISQUE 1 Attitude par rapport au risque Nousn avons pas encore fait d hypothèse sur la structure de

Plus en détail

R ponse au questionnaire du R seau Action Climat. 1/ Urbanisme :

R ponse au questionnaire du R seau Action Climat. 1/ Urbanisme : R ponse au questionnaire du R seau Action Climat. 1/ Urbanisme : 1. La Ville de Paris s'est d j engag e imposer des performances nerg tiques renforc es pour les projets urbains, dans le cadre de son Plan

Plus en détail

Journal officiel des Communaut s europ ennes

Journal officiel des Communaut s europ ennes C 246/12 FR 6.8.98 Recommandation de la Banque centrale europ enne pour un r glement (CE) du Conseil concernant la collecte d informations statistiques par la banque centrale europ enne (98/C 246/08) (Pr

Plus en détail

Correction de l examen de la première session

Correction de l examen de la première session de l examen de la première session Julian Tugaut, Franck Licini, Didier Vincent Si vous trouvez des erreurs de Français ou de mathématiques ou bien si vous avez des questions et/ou des suggestions, envoyez-moi

Plus en détail

1 L APST : une Institution au service des Professionnels. 2 Les Membres Adhérents de l APST. 3 Le Rôle et l Objet de l APST.

1 L APST : une Institution au service des Professionnels. 2 Les Membres Adhérents de l APST. 3 Le Rôle et l Objet de l APST. L APST EN 10POINTS 1 L APST : une Institution au service des Professionnels du Tourisme et des Clients Consommateurs. L APST, Association Professionnelle de Solidarité du Tourisme, créée par des Professionnels

Plus en détail

Modèles à Événements Discrets. Réseaux de Petri Stochastiques

Modèles à Événements Discrets. Réseaux de Petri Stochastiques Modèles à Événements Discrets Réseaux de Petri Stochastiques Table des matières 1 Chaînes de Markov Définition formelle Idée générale Discrete Time Markov Chains Continuous Time Markov Chains Propriétés

Plus en détail

Dualité dans les espaces de Lebesgue et mesures de Radon finies

Dualité dans les espaces de Lebesgue et mesures de Radon finies Chapitre 6 Dualité dans les espaces de Lebesgue et mesures de Radon finies Nous allons maintenant revenir sur les espaces L p du Chapitre 4, à la lumière de certains résultats du Chapitre 5. Sauf mention

Plus en détail

F. Barthélemy. 17 mai 2005

F. Barthélemy. 17 mai 2005 Typage de la généricité en Java F. Barthélemy 17 mai 2005 1 Le shéma général La g én éricit é en Java est un ajout r éalis é sur un langage existant depuis d éjà une dizaine d ann ées, avec des contraintes

Plus en détail

Le théorème de Thalès et sa réciproque

Le théorème de Thalès et sa réciproque Le théorème de Thalès et sa réciproque I) Agrandissement et Réduction d une figure 1) Définition : Lorsque toutes les longueurs d une figure F sont multipliées par un même nombre k on obtient une autre

Plus en détail

Service d'inform ation des Comités de l'ocde. O LISnet

Service d'inform ation des Comités de l'ocde. O LISnet Service d'inform ation des Comités de l'ocde O LISnet Présentation générale Besoins des utilisateurs Les délégués aux réunions de l OCDE doiventêtre au courantdes travaux en cours au sein des Com ités,des

Plus en détail

Efficacité des Modules Maintenance dans les ERP.

Efficacité des Modules Maintenance dans les ERP. Efficacité des Modules Maintenance dans les ERP. Les progiciels ERP (Entreprise Ressource Planning) proposent l ensemble des modules permettant de gérer une entreprise. Mais le module Maintenance est souvent

Plus en détail

Placebo Effet Placebo. Pr Claire Le Jeunne Hôtel Dieu- Médecine Interne et Thérapeutique Faculté de Médecine Paris Descartes

Placebo Effet Placebo. Pr Claire Le Jeunne Hôtel Dieu- Médecine Interne et Thérapeutique Faculté de Médecine Paris Descartes Placebo Effet Placebo Pr Claire Le Jeunne Hôtel Dieu- Médecine Interne et Thérapeutique Faculté de Médecine Paris Descartes Plan Définitions Placebo dans les essais thérapeutiques Effet placebo Médicaments

Plus en détail

MhouseKit WG2 S. Pour l automatisation d un portail battant. Instructions et avertissements pour l installation et l utilisation

MhouseKit WG2 S. Pour l automatisation d un portail battant. Instructions et avertissements pour l installation et l utilisation MhouseKit WG2 S Pour l automatisation d un portail battant Instructions et avertissements pour l installation et l utilisation IS0003A01FR_21-02-2011 TABLE DES MATIÈRES AVERTISSEMENTS ET PRÉCAUTIONS GÉNÉRALES

Plus en détail

Latitude 49.37 N Longitude 06.13 E Altitude 376 m RÉSUMÉ MENSUEL DU TEMPS DE JANVIER 2014

Latitude 49.37 N Longitude 06.13 E Altitude 376 m RÉSUMÉ MENSUEL DU TEMPS DE JANVIER 2014 RÉSUMÉ MENSUEL DU TEMPS DE JANVIER 2014 Valeurs moyennes: Valeur Jour Valeur (en C) (en C) (en C) gazon (en C) 11,4 7 13,9 1975 3,6 0,8 4,9 2007-6,3 1963-3,0 29-17,8 1979-2,8 12-24,6 1985 37,1 50,3 95,5

Plus en détail

Analyse psychosociologique d une situation de travail à distance

Analyse psychosociologique d une situation de travail à distance Université de Neuchâtel Faculté des Lettres et Sciences Humaines Institut de Psychologie et Education Université Nancy 2 Laboratoire de Psychologie de l Interaction (LPI) Groupe de Recherche sur les Communications

Plus en détail

P h i l h a r m o n i s

P h i l h a r m o n i s Adoptez un nouveau rythme pour vos placements P h i l h a r m o n i s NOTE D INFO R M ATI O N C o n t rat Collectif d assurance sur la vie à adhésion facultative L e s c a r a c t é r i s t i q u e s d

Plus en détail

Algèbre binaire et Circuits logiques (2007-2008)

Algèbre binaire et Circuits logiques (2007-2008) Université Mohammed V Faculté des Sciences Département de Mathématiques et Informatique Filière : SMI Algèbre binaire et Circuits logiques (27-28) Prof. Abdelhakim El Imrani Plan. Algèbre de Boole 2. Circuits

Plus en détail

Bac Blanc Terminale ES - Février 2011 Épreuve de Mathématiques (durée 3 heures)

Bac Blanc Terminale ES - Février 2011 Épreuve de Mathématiques (durée 3 heures) Bac Blanc Terminale ES - Février 2011 Épreuve de Mathématiques (durée 3 heures) Eercice 1 (5 points) pour les candidats n ayant pas choisi la spécialité MATH Le tableau suivant donne l évolution du chiffre

Plus en détail