Prévention après cancer
|
|
- Patrick Leboeuf
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Prévention après cancer dispositif de fin de traitement Dr Florence BURGAUD Département d anticipation et de suivi du cancer
2 Déclaration de liens d intérêt :aucun
3 En 30 ans nombre de cancers : + 100% Mortalité : + 13% => plus de guéris localisations principales = 57% des cancers en 2010 Prostate, sein, côlon, poumon Survie attendue des patients atteints de cancers en France : Etat des lieux.inca Avril 2010
4 œur de cible de cette prévention: Cancers fréquents et de bon pronostic 50% des cas de cancer Survie relative à 5 ans selon localisation et incidence
5 La population de «survivants» 3 millions de pers >15 ans en vie après un diagnostic de cancer Sont une population cible pour une prévention Sont souvent demandeurs de conseils «Pour gagner quelques années de vie, je suis prêt à me priver de certains plaisirs de l existence,comme bien manger,boire ou fumer» 44,8 % tout à fait d accord 24,4 % plutôt d accord «Estimation de la prévalence (partielle et totale) du cancer en France métropolitaine chez les 15 ans et plus en 2008» INCA.Rapport 2014 La vie deux ans après un diagnostic de cancer.inca Juin 2014 Comment vivre l après- cancer? Juillet 2010 D Doumont, C Deccache. dossier UCL. RESO
6 Risque de 2 nd cancer Populations à haut risque de développer un 2 nd cancer Du fait du terrain Âge < 18 ans, Syndrome génétique, Cancers ORL; mélanome; cancers du sein< 40 ans ; Du fait des traitements reçus (radiothérapie, chimiothérapie) Hodgkin; cancer du testicule; cancer du sein; Déficit immunitaire, transplantation. I
7 Cres Paca les dépistages des cancers Origine des cancers
8 TABAC 1 seul message :arrêter de fumer Il n est jamais trop tard Le risque des cancers et des maladies cardiaques et respiratoires cesse d augmenter à l arrêt du tabac La durée du tabagisme joue un rôle plus important que la quantité de tabac fumée
9 A Alcool La relation dose-effet est significative Quelque soit la boisson alcoolisée Il n y a pas de seuil pour le risque de cancer
10 SURPOIDS / OBESITE Au moment du diagnostic 36,5% sont en surpoids (pop gale 30%) 15,5 % sont obèses (pop gale 15%) Risque de récidives du cancer (sein et côlon) Risque de second cancer Cancers attribuables au surpoids Surtout sein après la ménopause, corps de l utérus, côlon, rectum oesophage rein, foie Pancréas, vésicule biliaire La prise de poids après un cancer du sein concerne 1 femme / 2
11 Activité physique: alliée n 1 Qualité de vie: sommeil, dépression, anxiété, Estime de soi, socialisation, Fatigue diminuée de 30%, Diminue les risques pathologies cardiovasculaires et métaboliques, ostéoporose,lymphoedème Lutte contre la prise de poids;maintien de la masse musculaire
12 Prévention 2 nd cancer Quelque soit le niveau d AP avant le diagnostic. Quelque soit l AP (endurance, résistance ) Intensité-durée Cancer du sein : à partir de 9 MET-h / semaine Diminue le risque de récidives de 50% Cancer du côlon : 9 à 18 MET-h / semaine Cancer de la prostate : 30 MET-h / semaine 9 MET-h/semaine = 4 à 5 fois/semaine 30mn de marche assez rapide Activité physique et cancers. Fiche repère INCA. Janvier 2012 Référentiel AFSSOS Activité physique et cancer. Décembre 2011 Maître C.De l importance de l activité physique dans la prévention du cancer du sein.bulletin du cancer,vol 96,n 5 mai 2009,synthèse Cheryl L et al. Nutrition and Physical Activity Guideliness for cancer Survivors. CA Cancer J Clin 2012; 62 :
13 Contre indications I cardiaque ou respiratoire importantes Angor, HTA mal équilibrée CI relatives / déconditionnement physique : Tr sphinctériens, stomies Lymphoedème, prothèse Ostéoporose Polynévrite, douleurs articulaires, musculaires Anémie, thrombopénie AP adaptée
14 Alimentation La base : alimentation variée et équilibrée. Pas d aliment miracle, c est la diversité qui fait la force. Pas d aliments caloriques : gras ou sucrés cf POIDS Manger en quantité modérée Privilégier les céréales complètes, légumineuses, fruits et légumes Poissons et viandes blanches à volonté Viande rouge (- 500g / semaine) Boisson : eau ( 1,5 l / jour), peu ou pas d alcool A ce jour, aucun complément alimentaire n a fait preuve de supériorité par rapport à l alimentation. nutritionnels et prévention des cancers Zelek L et al.nutrition et prévention tertiaire des cancers.y a-t-il des recommandations? Cah. Nut. Diet. 43,5,2008 Nutrition et prévention des cancers:des connaissances scientifiques aux recommandations.;coordonné par INCA.2009
15 Consultation de prévention Limiter les séquelles de la maladie et des traitements, les effets 2aires. Comorbidités : risques cardiovasculaires, métaboliques, obésité Eviter d autres évènements cancérigènes : Récidives,2 nd cancer primitif Dispositif de fin de traitement PPAC Consultation de prévention Consultation psychologique Consultation sociale
16 Stratégies de prévention Repérer et Hiérarchiser les risques Informer le patient et son entourage Susciter la motivation Orienter Prendre en charge les situations les plus sensibles : importance du suivi, de la coordination
LE GRAND LIVRE Du. Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel. Prévenir les complications. et surveiller la maladie
Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel LE GRAND LIVRE Du diabète Vivre avec le diabète à tout âge Traiter et surveiller la maladie Prévenir les complications, 2012 ISBN : 978-2-212-55509-7
Plus en détailL obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie. DANIEL RIGAUD CHU de Dijon
L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie DANIEL RIGAUD CHU de Dijon 46 Obésité : définition L obésité est définie comme un excès de masse grasse associée à un surcroît
Plus en détailSession Diagnostic. organisme gestionnaire du développement professionnel continu. www.cardiosleep.fr
Session Diagnostic organisme gestionnaire du développement professionnel continu www.cardiosleep.fr UN CONSTAT 1 patient sur 3 est atteint de Troubles Respiratoires du Sommeil (TRS) en cardiologie. Les
Plus en détailPROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ. Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé
PROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé À chacun son stade! Votre profil est unique, votre réponse à l exercice physique
Plus en détailepm > nutrition Formation & Conseil
CATALOGUE FORMATIONS THEME : NUTRITION et SANTE Septembre 2011 Juin 2012 Journée Spéciale pour les Pharmaciens «Conseils Nutritionnels en Officine» Journées de Formation sur Paris «Nutrition de l Adulte»
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailLA VIE APRES VOTRE INFARCTUS
Hôpital Privé d Antony LA VIE APRES VOTRE INFARCTUS Livret d information Hôpital Privé d Antony - OPC/KINE/268 Page 1 sur 5 Intervenants Rédigé par : C.DUPUY M.CERISIER Masseur Kinésithérapeute Masseur
Plus en détailStatistiques Canadiennes sur le Cancer, et HMR sur le poumon
Statistiques Canadiennes sur le Cancer, et HMR sur le poumon Bernard Fortin Mars 2014 Source: Comité consultatif de la Société canadienne du cancer : Statistiques canadiennes sur le cancer 2013. Toronto
Plus en détailSANTÉ. E-BOOK équilibre. stop. cholesterol diabete hypertension. Réduire le cholestérol, l hypertension et le diabète SANS MEDICAMENT!
SANTÉ stop cholesterol diabete hypertension E-BOOK équilibre Réduire le cholestérol, l hypertension et le diabète SANS MEDICAMENT! un peu d histoire... Il y a 200 ans, un Français faisait en moyenne entre
Plus en détailLes soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio
Les soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio Grandes lignes Pourquoi les soins en cancérologie sont-ils un enjeu de santé important? Les
Plus en détailepm > nutrition Formation & Conseil
CATALOGUE FORMATIONS THEME : Nutrition et Santé Septembre 2014 Décembre 2015 Vous exercez déjà une profession ou souhaitez le faire et vous voulez vous former en Nutrition pour donner des Conseils en Nutrition,
Plus en détailAPS résumé partie III
1 APS résumé partie III Les outils d évaluation de l activité physique Le but est de quantifier/ évaluer les activités physiques habituelles (non-structurées).on a plusieurs méthodes : - Indirectes (subjectives)
Plus en détailREPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Première Journée du Centre Intégré Nord Francilien de prise en charge de l obésité de l adulte et de l enfant REPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Plus en détailInformations sur le cancer de l intestin
Informations sur le cancer de l intestin Le cancer de l intestin fait partie des affections malignes les plus fréquentes et représente la deuxième cause de mortalité par cancer en Suisse. Cette maladie
Plus en détailActions prévues pour l année à venir & synthèse des actions menées durant l'année écoulée
Actions prévues pour l année à venir & synthèse des actions menées durant l'année écoulée Fiche à envoyer pour le 31 décembre de chaque année à l Agence Régionale de Santé (ARS), à l attention du correspondant
Plus en détail1 www.agrobiosciences.org
Intervention. 4èmes Rencontres Alimentation, Agriculture & Société. Déc 2003. «Alimentation et prévention du cancer : quelle vérité?» Par Denis Corpet (1). Directeur de l équipe "Aliment et Cancer" de
Plus en détailRAVIVA L activité physique contre le cancer. Dr. Jacques LECOMTE
RAVIVA L activité physique contre le cancer Dr. Jacques LECOMTE RaViva bouger pour se sentir mieux Le pronostic de beaucoup de cancers s est amélioré tant au niveau de la guérison que de la survie et des
Plus en détailPathologie VIH. Service maladies infectieuses Archet 1. Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013
Pathologie VIH Service maladies infectieuses Archet 1 Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013 Les traitements antirétroviraux Sont classés en 5 familles selon leur mode
Plus en détailLa prise en charge de votre insuffisance cardiaque
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre insuffisance cardiaque Vivre avec une insuffisance cardiaque Décembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant
Plus en détailActivité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme
Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme 1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie du programme : Fonctionnement de l organisme et besoin
Plus en détailAssurance maladie grave
ASSURANCE COLLECTIVE Le complément idéal à votre assurance collective Assurance maladie grave Votre partenaire de confiance. Assurance maladie grave La tranquillité d esprit à votre portée Les progrès
Plus en détailBouger, c est bon pour la santé!
Bouger, c est bon pour la santé! Tous concernés! De quoi s agit-il? Il s agit de toute activité physique, dès lors que nous bougeons. Ainsi tous les pas comptent, comme ceux que nous faisons chez nous
Plus en détail.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203 .(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3 .( @.*" '!%2"+ %#(30! &' 4!!% .+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!
!"#! $ %#&' (!"#$!% & % ' (!%' ) )''! *)+* *! %#"+, ' ( ', -) " *.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203.(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3.( -.* %)!(2"+ %#(30! &' 4!!%.+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!%(%' 0.(89.*
Plus en détailCarlo Diederich Directeur Santé&Spa. Tél. + 352 23 666-801 / c.diederich@mondorf.lu
Carlo Diederich Directeur Santé&Spa Tél. + 352 23 666-801 / c.diederich@mondorf.lu Mondorf Healthcare at work Nouveau service destiné aux entreprises en collaboration avec les Services de Médecine du Travail
Plus en détailLogiciels d éducation à la Nutrition et à l activité physique
Université d été E-Santé Castres-Mazamet 4, 5, 6 juillet 2012 «Des supports numériques au service de l éducation thérapeutique des patients» Logiciels d éducation à la Nutrition et à l activité physique
Plus en détailLe dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient!
Le dépistage du cancer de la prostate une décision qui VOUS appartient! Il existe un test de dépistage du cancer de la prostate depuis plusieurs années. Ce test, appelé dosage de l antigène prostatique
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailLES FACTEURS DE RISQUE
LES FACTEURS DE RISQUE C EST QUOI UN FACTEUR DE RISQUE? C est une caractéristique lié à une personne, à son environnement à sa culture, à son mode de vie qui entraine pour elle une probabilité plus importante
Plus en détailOBESITE ET EPS. Cf www.sante.fr.(programme national, nutrition santé, courbe de corpulence)
OBESITE ET EPS DEFINITION L obésité se définit comme un excès de poids pouvant retentir sur la santé. La mesure générale acceptée de l obésité est l Indice de Masse Corporelle (IMC : poids en kg / taille
Plus en détailQuoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis?
Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis? Nathalie QUILES TSIMARATOS Service de Dermatologie Hôpital Saint Joseph Marseille Ce que nous savons Le psoriasis Affection dermatologique très fréquente,
Plus en détailMERCI DE RETOURNER LE BON DE PRISE EN CHARGE ET/OU LA FICHE RÉCAPITULATIVE DANS L ENVELOPPE T
À l attention du bénéficiaire : BILAN SANTÉ RETRAITE AUTO-QUESTIONNAIRE Ce questionnaire servira de fil conducteur à la consultation avec votre médecin traitant. À l issue de l entretien, vous pouvez soit
Plus en détailEthique, don d organe et Agence de la Biomédecine
Ethique, don d organe et Agence de la Biomédecine Patrick Niaudet Président du Conseil d Orientation de l ABM Servie de Néphrologie Pédiatrique Hôpital Necker-Enfants Malades, Paris Mon intervention ne
Plus en détailEn savoir plus sur le diabète
En savoir plus sur le diabète 2 Qu est-ce que le diabète? Le diabète se caractérise par un excès de sucre dans le sang, on appelle cela l hyperglycémie. Le diabète est une maladie chronique qui survient
Plus en détailConsommez moins de sodium pour réduire votre pression artérielle. Information sur le sodium alimentaire. www.reductionsodium.ca
Consommez moins de sodium pour réduire votre pression artérielle Information sur le sodium alimentaire www.reductionsodium.ca Contact Jocelyne Bellerive, MA Coordonnatrice/Éducatrice Programme réduction
Plus en détailASSURANCE COLLECTIVE DÉCLARATION D'ASSURABILITÉ
ASSURANCE COLLECTIVE DÉCLARATION D'ASSURABILITÉ Déclaration d'assurabilité (Assurance collective) Partie 1 - Identification N o de police : N o de sous-groupe : N o du certifi cat : Nom de l'employeur
Plus en détailCe livret a été élaboré par le département d ergothérapie de L Hôpital d Ottawa, Campus Général.
GÉRER VOTRE FATIGUE Gérer votre fatigue Guide pratique destiné aux personnes atteintes de cancer et à leur famille Cette brochure contient des renseignements généraux qui ne sont pas spécifiques à vous.
Plus en détailLA QUESTION DE LA PRISE DE POIDS CHEZ LE FUMEUR EN SEVRAGE TABAGIQUE
Jean-Paul BLANC Diététicien-Nutritionniste Neuilly sur Seine www.cabinet-de-nutrition-et-dietetique.eu LA QUESTION DE LA PRISE DE POIDS CHEZ LE FUMEUR EN SEVRAGE TABAGIQUE Au cours de la dernière décennie
Plus en détailCALENDRIER DES CONFÉRENCES RÉGIONALES
CALENDRIER DES CONFÉRENCES RÉGIONALES Calendrier diffusé le 07 avril 2014. Annule et remplace le précédent La PRÉVENTION et le DÉPISTAGE, SONT UN ENSEIGNEMENT. PRÉVENIR : c est enseigner au grand public
Plus en détail2È JOURNÉE NATIONALE DE FORMATION DES PHARMACIENS CANCER ET ACCOMPAGNEMENT DU PHARMACIEN : UN PREMIER PAS VERS LA RÉSILIENCE.
2È JOURNÉE NATIONALE DE FORMATION DES PHARMACIENS Avec le Haut Patronage de Madame Roselyne BACHELOT-NARQUIN, Ministre de la Santé, de la Jeunesse, des Sports et de la Vie associative CANCER ET ACCOMPAGNEMENT
Plus en détailVolume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques
2 V o l u m e Volume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques Volume 2 : Epidémiologie - Situation et actions Recherche des données d incidence estimée des cancers au Maroc Recherche des données
Plus en détailThérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin
Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller
Plus en détailActivité physique et diabète de type 2
Activité physique et diabète de type 2 D après le référentiel de la Société francophone du diabète : Duclos M et al, Médecine des maladies Métaboliques. 2011; 6 : 80-96 Forum Santé Vertolaye Le 10/10/2013
Plus en détailL'œsophage L'œsophage est un tube musculaire qui traverse de la bouche à l'estomac. Causes
L'œsophage est un tube musculaire qui traverse de la bouche à l'estomac. Chez l'adulte moyen, il fait 25 cm à 30 cm (10 po à 14 po) de long et environ 2 cm (moins d'un pouce) de large. L'œsophage est constitué
Plus en détailDéclaration médicale. Ce document vaut demande d enquête de la part de l assureur.
Déclaration médicale Ce document vaut demande d enquête de la part de l assureur. Les données communiquées ci-après seront nécessaires pour pouvoir formuler une offre d assurance. Important Le candidat
Plus en détailLes Jeudis de l'europe
LE DIABETE SUCRE EST DEFINI EN DEHORS DE TOUT EPISODE DIABETOGENE : 1.26 g/l SOIT 7 mmol/l PREVALENCE DU DIABETE DE TYPE 2 EN FRANCE METROPOLITAINE 3.4 % AGE = 63 ANS HOMMES = 54% 25% > 75 ans OUTRE MER
Plus en détailIncontinence urinaire : trop souvent taboue
Incontinence urinaire : trop souvent taboue Tous concernés! De quoi s agit-il? C est une perte accidentelle ou involontaire des urines, qu il s agisse de quelques gouttes à une fuite plus conséquente :
Plus en détailRecommandations pour le troisième Plan Cancer
RAPPORT À LA MINISTRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ ET À LA MINISTRE DE L'ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR ET DE LA RECHERCHE Recommandations pour le troisième Plan Cancer PROFESSEUR JEAN-PAUL VERNANT JUILLET
Plus en détail«Cette action contribue au PNNS». À CHÂTEAU THIERRY
«Cette action contribue au PNNS». «IL FAIT BIO À CHÂTEAU THIERRY A Chateau Thierry, la Municipalité souhaite développer les produits BIO et issus de filières de proximité dans les menus de la restauration
Plus en détailTITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire»
TITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire» MC Iliou, R Brion, C Monpère, B Pavy, B Vergès-Patois, G Bosser, F Claudot Au nom du bureau du GERS Un programme de réadaptation
Plus en détailGUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge du cancer du rein
GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge du cancer du rein Novembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le cancer du rein, son
Plus en détailCANCERS ET RAYONNEMENTS IONISANTS Fortes doses: seconds cancers après radiothérapie
CANCERS ET RAYONNEMENTS IONISANTS Fortes doses: seconds cancers après radiothérapie Rencontres Nucléaire et Santé 08/02/2013 Pierre BEY Professeur émérite de Cancérologie;Radiothérapie Université de Lorraine
Plus en détailLe dépistage des cancers
Le dépistage des cancers G R A N D P U B L I C Octobre 2009 Le dépistage des cancers Détecter tôt certains cancers permet de les traiter mieux, c'est-à-dire de proposer des traitements moins lourds, et
Plus en détailOrdonnance du DFI sur les prestations dans l assurance obligatoire des soins en cas de maladie
Ordonnance du DFI sur les prestations dans l assurance obligatoire des soins en cas de maladie (Ordonnance sur les prestations de l assurance des soins, OPAS) Modification du 14 juin 2010 Le Département
Plus en détailMaternité et activités sportives
Maternité et activités sportives L obstétricien est de plus en plus souvent interrogé sur les avantages et les risques de maintenir ou de débuter une APS ou de loisir pendant la grossesse. Transformations
Plus en détailQUEL PROTOCOLE DE REENTRAINEMENT PROPOSER AUX PATIENTS INSUFFISANTS CARDIAQUES?
QUEL PROTOCOLE DE REENTRAINEMENT PROPOSER AUX PATIENTS INSUFFISANTS CARDIAQUES? Cliquez pour modifier le style des sous titres du masque MARIE CHRISTINE MERSCH MASSEUR KINESITHERAPEUTE Service de Réadaptation
Plus en détailTHEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE
THEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE Introduction générale : L Homme, pour vivre, a besoin de se nourrir. La nutrition fait appel à différentes fonctions que sont l alimentation, la respiration
Plus en détailQuand le stress nous rend malade
Yuri Arcurs Quand le stress nous rend malade Tous concernés! De quoi s agit-il? Le stress stimule notre organisme pour qu'il s'adapte à une nouvelle situation, bonne ou mauvaise. Deux hormones sont alors
Plus en détailDr Laurence FAYARD- JACQUIN Cœurs du Forez 2008. Mise à jour 24-06-08
Diabète de type 2 et Sport Dr Laurence FAYARD- JACQUIN Cœurs du Forez 2008 Mise à jour 24-06-08 L activité physique est recommandée depuis longtemps aux patients diabétiques Dès la fin du 19 ème siècle,
Plus en détailDéveloppement d une application pilote
Développement d une application pilote Nutri-TIC Flora Massanella Principes Cette seconde phase vise à mettre en pratique les conclusions obtenues lors de la phase A. L application web Nutri- TIC a donc
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détaildeux années en raison d un manque d efficacité. A contrario, de véritables innovations
68 Bananastock Nutrition : les nouvelles tendances Le marché de la nutrition ne cesse d innover. 2010 a été marquée par le succès des probiotiques et de la stevia qui devraient continuer à se développer.
Plus en détailDEFICIENCES METABOLIQUES ET ACTIVITES PHYSIQUES ADAPTEES. OBESITE DIABETE I et II (M. AMATO)
DEFICIENCES METABOLIQUES ET ACTIVITES PHYSIQUES ADAPTEES OBESITE DIABETE I et II (M. AMATO) 1 OBESITE 2 OBESITES DE GRADE III ou MORBIDE, espérance de vie limitée 3 ans (grade II) à 10 ans (grade III)*
Plus en détailSAUVEZ UNE VIE... EN DONNANT LA VIE!
SAUVEZ UNE VIE... EN DONNANT LA VIE! SUIVEZ-NOUS SUR : BANQUE PUBLIQUE DE SANG DE CORDON DʼHÉMA-QUÉBEC Lire ce code avec un téléphone intelligent pour accéder à la page S inscrire à la banque de sang de
Plus en détailVille : Province : Code postal : Date de naissance : jour mois année Date de naissance : jour mois année
Assurance médicale Choix du voyageur L assurance est souscrite auprès de la Compagnie d Assurance Générale CUMIS, l une des sociétés du Groupe Co-operators. Proposition d assurance page 1 2015-2016 Bureau
Plus en détailCancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes
Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes Pr Jean Trédaniel Service de pneumologie et oncologie thoracique Groupe Hospitalier Paris Saint Joseph Université Paris Descartes Sources Données
Plus en détailUn diabète de type 2. Vers un programme Sport Santé pour les personnes vivant avec. Atelier animé par :
Vers un programme Sport Santé pour les personnes vivant avec Un diabète de type 2 Atelier animé par : Pr Martine Duclos CHU Montpied, Clermont-ferrand Dr Julien Aucouturier UFR STAPS, Lille Séminaire interactif
Plus en détailDiabète Type 2. Épidémiologie Aspects physiques Aspects physiologiques
Diabète Type 2 Épidémiologie Aspects physiques Aspects physiologiques Épidémiologie 90% de tous les cas de diabètes Environ 1 personne sur 20 est atteinte Diabète gras Facteur de risque majeur pour les
Plus en détailObésité et psoriasis Données actuelles et questions au spécialiste en nutrition
Obésité et psoriasis Données actuelles et questions au spécialiste en nutrition Emilie MONTASTIER, Carle PAUL Endocrinologie, Nutrition, Dermatologie Université Paul Sabatier, Hôpital Larrey UMR CNRS 5165,
Plus en détailL APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie.
1. Qu est-ce que le diabète? L APS ET LE DIABETE Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. Cette hyperglycémie est avérée si à 2 reprises
Plus en détailPROMOTION DE L ACTIVITÉ PHYSIQUE CHEZ LES ENFANTS ET ADOLESCENTS DIABÉTIQUES DE TYPE I
PROMOTION DE L ACTIVITÉ PHYSIQUE CHEZ LES ENFANTS ET ADOLESCENTS DIABÉTIQUES DE TYPE I UN PROJET DU PROGRAMME CANTONAL DIABÈTE Jérôme Spring Maître de sport APA Diabétologie pédiatrique Riviera-Chablais
Plus en détailInnovations thérapeutiques en transplantation
Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010
Plus en détailG U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge du cancer du foie
G U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge du cancer du foie Décembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer
Plus en détailDécouvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE
Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE 2014 L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE L Institut universitaire du cancer de Toulouse (IUCT) est un nouveau modèle français d organisation
Plus en détailCANRISK. Questionnaire canadien sur le risque de diabète. Guide de l utilisateur à l intention des pharmaciens
CANRISK Questionnaire canadien sur le risque de diabète Guide de l utilisateur à l intention des pharmaciens CANRISK Questionnaire canadien sur le risque de diabète Guide de l utilisateur à l intention
Plus en détaille bilan urodynamique Dr René Yiou, CHU Henri Mondor
le bilan urodynamique Dr René Yiou, CHU Henri Mondor Bilan urodynamique Continence et miction = résultat d'un rapport de forces vessie/urètre: 1. Pression vésicale de remplissage (compliance): doit rester
Plus en détailLa prise en charge de votre maladie, l accident vasculaire cérébral
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre maladie, l accident vasculaire cérébral Vivre avec un accident vasculaire cérébral Octobre 2007 Pourquoi ce guide? Votre
Plus en détailTâche : Comparer l étiquette de produits alimentaires afin de connaître leur valeur nutritive.
13 aliments pour une bonne santé Valeurs nutritives Grande compétence A Rechercher et utiliser de l information Groupe de tâches A2 : Interpréter des documents Grande compétence C Comprendre et utiliser
Plus en détailntred 2007 Résultats de l étude Description des personnes diabétiques
Résultats de l étude ntred 2007 EÉCHANTILLON NATIONAL TÉMOIN REPRÉSENTATIF DES PERSONNES DIABÉTIQUES Le diabète est une maladie chronique de plus en plus fréquente, qui touche en France plus de 2 millions
Plus en détailGROUPES D ALIMENTS ET MALADIES CHRONIQUES : QUELLES RELATIONS?
DÉSÉQUILIBre ALIMeNTAIre I PAR ANTHONY FARDET1 ET YVES BOIRIE2 contact@edp-nutrition.fr OLGA LYUBKINA FOTOLIA.COM S il est difficile d établir un effet protecteur ou délétère sur la santé des groupes d
Plus en détailLE PSORIASIS ET SES CO-MORBIDITES PARTICULIEREMENT LE DIABETE
LE PSORIASIS ET SES CO-MORBIDITES PARTICULIEREMENT LE DIABETE Le psoriasis est apparu longtemps comme une maladie de peau isolée mais des études épidémiologiques internationales ces dernières années ont
Plus en détailDécouvrez un nouveau métier :
Institut Français de Coaching en Sport - Santé - Bien-Être Découvrez un nouveau métier : 1 er Formation de coaching* réunissant 3 domaines : La Prévention Santé (prévenir les principales maladies de civilisation)
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailMIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC
MIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC SOMMAIRE UN QUIZ POUR FAIRE UN POINT SUR MES CONNAISSANCES Un quiz pour faire un point sur mes connaissances 3 Vrai Faux Qu est-ce que l on
Plus en détailEtat des lieux de l accès aux plateformes de génétique moléculaire
12 juin 2014 Etat des lieux de l accès aux plateformes de génétique moléculaire CONTEXTE ET OBJECTIFS DE l ETUDE : L action 6.2 du plan cancer 3 «conforter l accès aux tests moléculaires» stipule en particulier
Plus en détailSport et maladies métaboliques (obésité, diabète)
Sport et maladies métaboliques (obésité, diabète) Chef du service de médecine du sport, CHU de Clermont-Ferrand Monsieur Julien AUCOUTURIER Maître de conférences STAPS 60 % des diabétiques de type 2 sont
Plus en détailVOTRE GUIDE DE PRÉVENTION DU DIABÈTE DE TYPE 2
VOTRE GUIDE DE PRÉVENTION DU DIABÈTE DE TYPE 2 1 LA PRÉVENTION DU DIABÈTE, ÇA COMMENCE AVEC VOUS Si vous êtes à risque de contracter le diabète de type 2, cherchez à retarder la maladie ou à la prévenir.
Plus en détailAvoir un cancer après 70 ans
Recherche Information - Prévention - Dépistage Actions pour les malades et leurs proches Avoir un cancer G R A N D P U B L I C Edition actualisée juin 2009 Nous remercions chaleureusement le groupe des
Plus en détailINFORMATION & PRÉVENTION. Le cancer de la vessie
INFORMATION & PRÉVENTION Le cancer de la vessie G R A N D P U B L I C Ce à quoi sert la vessie La vessie est une poche qui reçoit l urine produite par les reins, via les uretères*. Elle est constituée
Plus en détailG U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome
Plus en détailLe soin diététique réalisé par un diététicien en établissement de santé
Recommandations pour la pratique clinique Le soin diététique réalisé par un diététicien en établissement de santé Recommandations Mai 2011 Association Française des Diététiciens Nutritionnistes 35 allée
Plus en détailLIGNE MÉTIER RECHERCHE SCIENTIFIQUE ET BIOTECHNOLOGIE DES SERVICES POUR RÉPONDRE À VOS ENJEUX MÉTIER
LIGNE MÉTIER RECHERCHE SCIENTIFIQUE ET BIOTECHNOLOGIE DES SERVICES POUR RÉPONDRE À VOS ENJEUX MÉTIER Le secteur de la Recherche scientifique et de la biotechnologie connaît un fort dynamisme, attesté par
Plus en détailpendant et après le cancer
Dossier technique Parcours personnalisés pendant et après le cancer Pratiques de coopération entre structures sanitaires et MDPH Décembre 2011 La Caisse nationale de solidarité pour l autonomie est à la
Plus en détailTransfusions sanguines, greffes et transplantations
Transfusions sanguines, greffes et transplantations Chiffres clés en 2008 La greffe d organes est pratiquée depuis plus de 50 ans. 4 620 malades ont été greffés. 1 563 personnes ont été prélevées. 222
Plus en détailRAPPORT D ACTIVITE AIDEA 2008. Sommaire
Sommaire 1. Introduction 2. Attentes exprimées 3. Les questions fréquentes 4. Les statistiques 5. Les enquêtes 6. Retours et témoignages 7. Evaluations et indicateurs Notre MISSION : Informer, Conseiller
Plus en détailLes plateformes de génétique
Thérapies ciblées : de l anatomopathologie th l à la biothérapie i Les plateformes de génétique moléculaire PO Schischmanoff UF Génétique moléculaire et oncogénétique CHU Avicenne ACP FHF 29 mars 2012
Plus en détailASSURANCE COLLECTIVE RÉSUMÉ DES GARANTIES. Régime d assurance collective multi-employeur RAPNQ-RBA
ASSURANCE COLLECTIVE RÉSUMÉ DES GARANTIES Régime d assurance collective multi-employeur RAPNQ-RBA Mars 2014 des garanties d assurance Assurance vie de base Adhérent Option 1 : 1 fois le salaire annuel
Plus en détailPlan de la présentation
Quand la maladie vient compliquer la transition de l adolescence vers le merveilleux monde des adultes Développement d une clinique pour adolescents greffés Marie-France Vachon, M.Sc.Inf., CPON, CSIO,
Plus en détailLe mouvement vitalité! Un pas vers la forme! Sport-Santé. Acti March
Le mouvement vitalité! Un pas vers la forme! Sport-Santé Acti March Une Fédération pour votre forme Moyen de déplacement à la portée de tous, quel que soit son âge, la marche est une forme d activité physique
Plus en détailBien manger pour mieux vieillir. Aline Pageau Lauzière Dt.P., M.A. diététiste-nutritionniste
Bien manger pour mieux vieillir Dt.P., M.A. diététiste-nutritionniste Manger «Manger c est l acte social par excellence» «Non seulement nous sommes ce que nous mangeons, mais ce que nous avons mangé» (Richard
Plus en détail