Les chiffres de LA PAUVRETE Une analyse des résultats de l enquête EU-SILC à l occasion de la journée mondiale du refus de la misère, le 17 octobre
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- Georgette Grenon
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1 DIRECTION GÉNÉRALE STATISTIQUE ET INFORMATION ÉCONOMIQUE COMMUNIQUÉ DE PRESSE 16 octobre 9 Les chiffres de LA PAUVRETE Une analyse des résultats de l enquête EU-SILC à l occasion de la journée mondiale du refus de la misère, le octobre % des Belges, soit environ 1 sur 7, vivent sous le seuil de pauvreté ; En matière de risque de pauvreté, on peut constater de grandes disparités sociales. Pour certaines d entre elles, la Belgique présente un profil différent de ses principaux pays voisins. C est notamment le cas pour les risques de pauvreté liés à l âge ; Les chiffres provisoires de 8 montrent une tendance à la hausse de la pauvreté subjective. INTRODUCTION A l occasion de la Journée Mondiale du Refus de la Misère du octobre, la Direction générale Statistique et Information économique (DGSIE) du SPF Economie explore chaque année un certain nombre de thèmes autour de la pauvreté. La source de ces analyses est l enquête EU-SILC (Statistics on Income and Living Conditions) que la DGSEI organise chaque année auprès de plus de 6 ménages belges. Les résultats de l enquête EU-SILC servent notamment à alimenter le calcul du risque de pauvreté. L éventail des données fournies par cette enquête est toutefois beaucoup plus large et recouvre des thèmes plus généraux comme les conditions de vie et le bien-être. La pauvreté est d abord une donnée objective. Elle touche des personnes et des ménages qui peuvent à peine voire pas du tout se permettre une vie ou un mode de vie considéré par la majorité de la population comme essentiel ou évident. Elle signifie ne pas pouvoir subvenir à des besoins fondamentaux comme une alimentation saine, un logement correct, des chances de développement et des perspectives d avenir. Parallèlement à cette donnée objective, la pauvreté a également dans une certaine mesure du moins une dimension subjective. Toutes les personnes dont le revenu se situe sous le seuil que nous calculons chaque année sur base de l'enquête EU-SILC, ne sont pas confrontées avec la même intensité à la pauvreté. A l inverse, les personnes qui se situent au-dessus du seuil ne bouclent pas toutes leur budget sans problème. Le revenu tout comme le mode de vie et les attentes vis-à-vis de ce mode de vie mais aussi et surtout des facteurs contextuels comme la phase de vie dans laquelle la personne se trouve, le fait d être propriétaire d un logement, l endettement ou le niveau général des prix influencent en effet la perception subjective de la pauvreté. L enquête EU-SILC est une source particulièrement riche qui offre différents angles d approche de la pauvreté monétaire versus non monétaire et objectif versus subjectif et ce dans le contexte d une enquête par panel qui permet de comparer différentes années (à partir de 4, année de lancement de l enquête). De plus, comme l enquête est harmonisée au niveau européen, il est possible d effectuer des comparaisons entre les Etats membres.
2 Nous vous présentons ci-dessous un aperçu des principaux indicateurs monétaires de la pauvreté. Nous les comparons systématiquement aux chiffres de nos principaux pays voisins et à la moyenne de l UE à. Les chiffres portent sur la période 4-7 qui a précédé la crise. De nouveaux chiffres seront disponibles au début de l année prochaine. Toutefois, quelques indicateurs de la pauvreté subjective peuvent d ores et déjà donner un avant-goût des nouveaux résultats. Ces indicateurs qui portent donc sur la période 4-8 ne permettent toutefois pas d effectuer une comparaison européenne puisque les chiffres de nos pays voisins n ont pas encore été diffusés (par Eurostat le Bureau statistique de l UE). LE RISQUE DE PAUVRETE % des Belges soit environ un Belge sur sept vivent dans la pauvreté. Ce chiffre est resté plutôt stable pendant les quatre années de l enquête. Sur base de l enquête EU-SILC 7, être pauvre pour une personne seule signifie devoir vivre avec un revenu net inférieur à 878 par mois. Pour un ménage composé de deux adultes et de deux enfants, ce chiffre s élève à par mois. Il y a toutefois d importantes disparités régionales. En Flandre, le taux de pauvreté s élève à 11% contre 19% en Wallonie. Ces chiffres sont eux aussi restés quasi constants pendant quatre ans. La figure 1 situe ces chiffres dans le contexte européen. Figure 1 : Risques de pauvreté dans l UE à, en Flandre et en Wallonie EU-SILC Pays-Bas Suède Flandre Danemark Autriche Finlande France Luxembourg Belgique Allemagne EU EU Irlande Portugal Wallonie Gr-Bretagne Grèce Italie Espagne Au delà des disparités régionales, le risque de pauvreté général masque également d importantes lignes de fracture entre différents groupes socio-démographiques et socio-économiques. Les femmes courent un risque plus élevé que les hommes (16% des femmes contre % des hommes). Les personnes âgées et les jeunes sont davantage exposés que les personnes en âge de travailler. Enfin, par rapport à la population active, les inactifs ont, comme on peut le prévoir, un risque bien plus grand de sombrer dans la pauvreté. Les parents seuls, avec un pourcentage de risque de 36%, constituent un groupe particulièrement vulnérable. Enfin, le risque de pauvreté des locataires est trois fois supérieur à celui des propriétaires : 29% pour les locataires contre % pour les propriétaires. Nous avons obtenu des résultats plus intéressants encore en étudiant plus en détails la répartition démographique de la pauvreté en Belgique et dans les pays voisins. La figure 2 montre le risque de pauvreté selon trois classes d'âge en Belgique, dans les principaux pays voisins et en moyenne dans l UE à.
3 Figure 2 : Le risque de pauvreté selon l âge en Belgique, en Allemagne, en France, aux Pays-Bas et dans l UE à, EU-SILC BE DE FR NL EU - ans ans 65 ans + Pour la Belgique, le manque d homogénéité de la répartition du risque de pauvreté entre les différentes catégories d âge est particulièrement frappant. Le schéma belge s inscrit plutôt dans la lignée du modèle de l UE que de celui de l Allemagne, de la France et des Pays-Bas. Nos pays voisins connaissent des chiffres de pauvreté nettement plus homogènes entre les différentes classes d âge. L écart maximum (5%) entre deux taux de pauvreté a été enregistré aux Pays-Bas entre la catégorie d âge moyen (9%) et les jeunes (%). En Belgique, l écart maximum entre deux taux de pauvreté grimpe à % et sépare la catégorie d âge moyen (13%) et les personnes âgées de plus de 65 ans (23%). Figure 3 : Le risque de pauvreté selon le statut socio-économique en Belgique, en Allemagne, en France, aux Pays-Bas et dans l UE-, EU-SILC BE DE FR NL EU Travailleur Chômeur Pensionné Autres inactifs Comme on peut le prévoir, la pauvreté présente d importantes disparités en fonction du statut socioéconomique des individus. Dans tous les pays, avoir un emploi se révèle un puissant bouclier contre la pauvreté. Toutefois, tous les pays connaissent le phénomène des working poors : des personnes ayant un emploi mais dont les revenus se situent sous le seuil de pauvreté. La Belgique obtient de bons résultats dans ce domaine. La proportion de working poors dans notre pays reste limitée à 4%, soit la moitié de la moyenne dans l UE (8%). Les chômeurs sont partout un groupe vulnérable. Les pourcentages sont élevés. En Allemagne, plus de la moitié des chômeurs sont touchés par la pauvreté. Enfin, à l instar des chiffres de la figure 2 pour les plus de 65 ans, les résultats de la Belgique pour les retraités ne sont pas bons. En Belgique un retraité sur cinq doit boucler son budget avec un revenu inférieur au seuil de pauvreté. L écart est net avec la France (11%) et les Pays-Bas (9%).
4 PAUVRETE SUBJECTIVE Définir un seuil et calculer la part de la population qui se situe sous ce seuil est une chose. Demander aux personnes si elles parviennent à boucler leur budget en est une autre. Cette deuxième approche - qui exprime la mesure dans laquelle les personnes déclarent parvenir à joindre les deux bouts - est souvent désignée par le terme de pauvreté subjective car l évaluation de la situation est entièrement laissée à l appréciation du répondant. La pauvreté subjective est souvent liée à des indicateurs dits non monétaires, par exemple la mesure dans laquelle les personnes disposent de certains biens de consommation. Le tableau 1 ci-dessous donne un aperçu de l évolution de certains de ces indicateurs ainsi que de la mesure dans laquelle les répondants déclarent parvenir à joindre les deux bouts. Tableau 1 : Parvenir à joindre les deux bouts et autres indicateurs de pauvreté non monétaires : évolution en Belgique entre 4 et A des difficultés à joindre les deux bouts (difficile à très difficile) 18% % % % 21% Est dans l impossibilité de partir une fois par an en vacances pendant une semaine 29% 27% % 23% 26% N a pas les moyens d'avoir l'internet 12% % 9% 9% 7% N a pas les moyens d avoir un PC 9% 7% 7% 6% 5% Est dans l impossibilité d inviter des amis une fois par mois 12% 11% 12% 11% % Est dans l impossibilité de manger tous les 2 jours de la viande/du poisson ou une alternative végétarienne 4% 4% 4% 3% 5% Est dans l impossibilité de faire face à des dépenses imprévues -* 23% 21% 21% 23% N a pas les moyens d avoir une voiture 7% 7% 7% 7% 6% * La question posée en 4 pour ce sujet n était pas similaire à celle des années suivantes. Les résultats ne sont donc pas comparables. Les chiffres 8 repris dans le tableau ci-dessus sont fournis sous réserve. Comme nous l avons dit dans l introduction, pour cette année, nous n avons encore aucune vue sur la dimension monétaire de la pauvreté, ni sur les autres composantes de l enquête. Les chiffres 8 ci-dessus n ont donc pas pu faire l objet d une analyse approfondie et sont donc purement indicatifs. Ceci étant dit, ils semblent toutefois indiquer une certaine rupture de la tendance. Alors que la plupart des indicateurs entre 4 et 7 étaient plutôt orientés à la baisse, nous enregistrons en 8 à nouveau des hausses. C est certainement le cas pour la mesure dans laquelle les personnes déclarent parvenir à boucler le budget avec leurs revenus. Dans l enquête 8, plus d une personne sur cinq (21%) a déclaré que joindre les deux bouts était difficile voire très difficile. En 7, ce chiffre n était que d une personne sur sept (%) et les années précédentes de maximum 18%.
5 La raison n apparaît pas directement. La période sur laquelle portait l enquête EU-SILC s est caractérisée par une forte inflation. Cela peut-être la raison pour laquelle le nombre de personnes ayant indiqué avoir des problèmes a augmenté. L'inflation galopante peut aussi avoir accru le nombre de personnes qui avaient l impression d avoir des difficultés à boucler leur budget, davantage que le nombre de celles qui rencontraient réellement des problèmes. Une question de perception donc. Sans une analyse de la composante monétaire, il est impossible de déterminer laquelle de ces deux interprétations est correcte ou, plus probablement, dans quelle mesure ces explications influencent le résultat. La tendance à la hausse ne se manifeste pas pour tous les indicateurs. Elle ne touche notamment pas la possession d un PC ou d une voiture ou l accès à l Internet. Il se pourrait que ces biens de consommation soient considérés comme essentiels et ne fassent, à ce titre, pas l'objet d'économies. Des analyses plus détaillées et des chiffres plus complets apporteront plus de clarté. Informations techniques Calcul du risque de pauvreté Le seuil de pauvreté équivaut à 6% de la médiane du revenu disponible, à l échelle individuelle. Cela correspond au calcul suivant: 6% de.563 par an équivaut pour une personne isolée à un seuil de.538 par an, soit 878 par mois. Pour obtenir le seuil de pauvreté des ménages, il ne suffit pas de multiplier ce chiffre par le nombre de membres du ménage. Partant du principe que les membres d un ménage partagent les charges et les dépenses, un deuxième adulte dans un ménage se voit appliquer un facteur de,5 dans le calcul du seuil de pauvreté et les enfants (< ans) un facteur de seulement,3. Le seuil de pauvreté d un ménage composé de deux adultes et de deux enfants se calcule donc en multipliant le seuil des personnes isolées par un facteur 2,1 (.538*2,1 = soit par mois). Ce facteur de 2,1 s obtient en attribuant un poids de 1 au chef de famille, de,5 au deuxième adulte du ménage et de,3 à chacun des enfants.
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