Enfance et Musique, 25 ans de pratique de l éveil culturel et artistique du tout petit

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1 Enfance et Musique, 25 ans de pratique de l éveil culturel et artistique du tout petit Né dans une famille de musiciens, flûtiste et professeur à l école nationale de musique de Romainville, mais également titulaire d un DESS de psychologie clinique, c est par la coïncidence heureuse de ces deux cordes à mon arc, que je me suis retrouvé psychologue «en titre» et musicien «en fait» dans le service de Jacqueline de Chambrun, médecin chef du service de PMI de Seine- Saint- Denis. J avais été sollicité par l équipe d une crèche du département située près du conservatoire où j enseignais. Les professionnels et la psychologue de ce lieu d accueil avaient entendu parler de mon travail musical avec les jeunes enfants et souhaitaient tenter l expérience d un éveil musical à la crèche. Ce fut le point de départ d une belle aventure L enfance de l éveil culturel et artistique À la fin des années 70, nourri de mon expérience musicale en crèche, j ai pu partager une réflexion et une pratique de la formation avec les psychologues des crèches du département de Seine- Saint- Denis. À leur contact, il m est apparu indispensable de relier l éveil musical du jeune enfant à un projet culturel global associant tous les acteurs de sa vie quotidienne : parents, enseignants et intervenants de toutes sortes. La nécessité de créer un outil à la hauteur des enjeux que je pressentais s imposait, je décidais alors de fonder l association Enfance et Musique. À la crèche 1, dans les salles d attente des consultations de PMI 2 (Protection maternelle et infantile), dans les structures de quartier, à l hôpital 3 et dans les établissements qui accueillent les enfants handicapés, l association a agi aux côtés des professionnels pour que la dimension artistique de la culture retrouve sa fonction première «d activateur du désir de vivre et d être acteur». Recherche- action (projets menés dans la durée, dans un lieu accueillant les jeunes enfants en collaboration avec l équipe et en association avec les parents), formation des professionnels, création artistique et diffusion d œuvres et d outils pédagogiques ont été depuis l origine de l association, les moyens d une mise en œuvre de son projet. Pour répondre à la nécessaire prise en compte de la dimension plurisensorielle du développement de l enfant, une plasticienne, une danseuse, une conteuse et d autres artistes ont rejoint les musiciens d Enfance et Musique. Un pas était à franchir pour promouvoir une vision globale de l éveil culturel et artistique. J ai suscité alors la création d une nouvelle association «Eveil culturel et petite enfance» qui a vu le jour début L éveil musical du tout- petit, À la PMI je chante aussi, Des artistes à l hôpital, 1992

2 Aujourd hui, avec un bilan de stagiaires, plus de 3000 stages et actions menés tant dans les locaux de l association que décentralisés en région, et une diversité de 30 thèmes proposés, le centre de formation Enfance et Musique/Eveil Culturel et Petite Enfance a développé un partenariat de confiance, au niveau national, avec les acteurs de terrain comme avec les responsables institutionnels des structures publiques et privées dans les domaines de l action sanitaire, sociale et culturelle. Un partenariat avec les politiques publiques Dans le même esprit que celui qui a présidé à sa création, j ai oeuvré à inscrire le projet d Enfance et Musique dans une dynamique «d entreprise culturelle citoyenne» : entreprise pour dire l ambition et la responsabilité humaine, politique et économique, que cette appellation sous- tend ; citoyenne pour dire que son objet est placé sous le sceau de la conscience d une responsabilité dans le mouvement de la société. Dans cette logique d innovation sociale et culturelle, mais aussi de priorité aux lieux et aux personnes largement ignorés ou exclus d un accès à la culture, l association est devenue assez rapidement un partenaire de confiance des politiques publiques. Quelques étapes particulièrement significatives sont à évoquer : en 1982, la participation au groupe de travail pluridisciplinaire qui a abouti au rapport «l enfant dans la vie, une politique pour la petite enfance» (encore appelé rapport Bouyala- Roussille), et dont un chapitre était consacré au développement culturel précoce. En 1989, dans la foulée du protocole d accord signé entre le Ministère de la Culture et le Ministère des Affaires Sociales, l association est sollicitée pour élaborer une stratégie d évaluation des actions financées dans le cadre de ce protocole interministériel. Elle y répondra en réalisant un outil d autoévaluation à l intention des promoteurs de projets : le Guide d accompagnement des pratiques d éveil culturel et artistique dans les lieux d accueil de la petite enfance. Dans la même période, Enfance et Musique a été amenée à élargir son projet au- delà des lieux d accueil classiques, et à répondre à l invitation de personnels soignants de services pédiatriques d hôpitaux de l Assistance Publique de Paris, afin de contribuer à améliorer l accueil de l enfant à l hôpital. Le partenariat construit avec la Fondation de France, dans le cadre de son programme «Actions à l hôpital» mis en œuvre dès 1986 et destiné à expérimenter de nouvelles façons d accueillir l enfant et sa famille 4, a servi de tremplin au développement de projets intitulés «la musique au service de la commu nication et de la santé». Enfin, en 1998, face à l aggravation de la précarité de la vie des familles et constatant qu une grande partie de son public (80 % des stagiaires) était confrontée à la situation d enfants et de familles en situation d exclusion, Enfance et Musique s est engagée, avec le soutien des pouvoirs publics, dans 4 En écho à la circulaire du 1 er août 1983 du Ministère des Affaires Sociales et des Secrétariats d Etat chargés de la santé et de la famille, relative à l hospitalisation des enfants.

3 une politique d accompagnement de projets d éveil culturel et artistique menés par la diversité de partenaires oeuvrant dans les quartiers en contrat de ville. En 2000, une inspection pédagogique et financière approfondie a été diligentée par les services du ministère de la Culture. Elle a permis de confirmer la qualité de ses actions, la validité et la cohérence de son projet ainsi que la transparence de sa gestion. À la suite de ce travail, une convention triennale a été signée avec le ministère de la Culture, à laquelle se sont associés d autres partenaires publics et privés afin de soutenir une nouvelle étape du projet d Enfance et Musique : être un lieu ressources pour les acteurs de l éveil culturel et artistique sur l ensemble du territoire en favorisant la diffusion des expériences, la confrontation des pratiques et le débat d idées. La place centrale de la création Revendiquant un projet à vocation sociale, culturelle et artistique et sachant que dans notre pays, on a souvent opposé l éducation populaire et l animation socioculturelle à l excellence de l artiste, il était essentiel pour la crédibilité du projet d Enfance et Musique de tenir fermement une double exigence : celle de l engagement dans l expérimentation sociale et dans la pédagogie d une relation créative avec le tout petit, autant que dans celle d un engagement nouveau dans la création pour la petite enfance. C est à travers la chanson et le disque, la production et la diffusion de spectacles vivants, que la création artistique a pris place dès le début de son histoire au cœur du projet d Enfance et Musique. La maturité et les questions de l âge adulte Lorsque je me retourne sur ces années d émergence de l éveil culturel et artistique des très jeunes enfants, je suis habité par un sentiment très contradictoire. C est une grande satisfaction, certes, de voir le chemin parcouru et en particulier le nombre et la diversité des initiatives prises par un grand nombre de professionnels de l enfance et d artistes, sur l ensemble du territoire. Mais c est aussi un grand questionnement de constater la fragilité des projets, celle des organisations qui les portent, les batailles incessantes qu il faut mener pour que le très jeune public soit pris en considération, les obstacles que rencontrent ceux qui tentent de construire des politiques au long cours. Supplément d âme, luxe que l on ne peut s offrir en période de vaches maigres Crainte d inscrire enfants et parents dans un processus précoce de consommation culturelle Incompréhension entre deux mondes étrangers l un à l autre, celui des artistes et celui des professionnels de l enfance Ces arguments me font craindre que l art et la culture vivante ne soient jamais pleinement reconnus comme essentiels à l humanisation et à la vie en société. Enfin c est la conscience ou le pressentiment que, sans une réévaluation des stratégies, sans les alliances intellectuelles qu il doit susciter, sans les projets politiques qu il doit rejoindre et féconder, la place de l éveil artistique dans la vie des familles restera cantonnée à une «activité offerte», «un strapo ntin qualitatif consenti», voire une soupape à la souffrance sociale.

4 De l éveil culturel et artistique des tout petits au réveil esthétique et politique des adultes Nous avons devant nous, c est certain, un immense chantier. Sa responsabilité est entre nos mains, nous qui, de plus en plus nombreux, acteurs isolés ou associations, institutions ou collectivités, avons engagé des projets d éveil artistique, et qui croyons au sens et à l avenir de cet éveil de l enfant au monde. En tentant de prendre du recul, je dirais que l éveil culturel et artistique est sorti de l enfance. Le temps de l expérimentation par les pionniers que nous étions, avec la passion des explorateur s qui réinventent le monde, est révolu. Nous devons aller au- delà de la merveilleuse histoire des perceptions intrautérines du bébé dans le ventre de sa mère du regard attendri que nous avons porté, par le petit bout de la lorgnette, sur les «effets positifs» de l éveil artistique pour un développement harmonieux du nourrisson, et essayer de distinguer les enjeux plus vastes qui traversent la question de l éveil culturel et artistique du tout petit. Le détour par ce qui, dans nos sociétés occidentales, avait effet d éveil culturel, jusqu au début du XXe siècle, nous donne quelques clés de compréhension. Hier, les relations précoces des tout petits étaient nourries par un folklore riche et diversifié, transmis de génération en génération ; les pratiques musicales socialisées de jeu et d échange dont il était porteur constituaient une véritable éducation informelle de l enfant. Aujourd hui, les nombreuses études sur les avatars de la transmission ont mis en évidence des raisons à cette perturbation des canaux traditionnels de la transmission. Je n y reviendrai pas. Par contre, je voudrais attirer l attention sur un phénomène, souvent escamoté car source de débats passionnés, voire passionnels : l irruption massive de la télévision dans le temps et l espace de la vie familiale. Celle- ci non seulement réduit encore les échanges et empêche de rêver, mais est le vecteur d une idéologie qui met la consommation et la possession de biens matériels standardisés comme clé du bonheur et seule perspective d avenir. Le philosophe Patrick Viveret rappelait dans un article récent dans le journal Télérama 5 que «l abondance pose des questions inédites. Au "comment survivre?" se substitue le "pourquoi vivre?"», et il rappelait les propos du célèbre économiste Keynes qui déclarait en 1930 : «ce seront les peuples capables de préserver l art de vivre et de le cultiver de manière plus intense qui seront en mesure de jouir de l abondance le jour où elle sera là». Et Patrick Viveret de nous inviter à une «mutation culturelle à la hauteur de la mutation économique et technique qui a produit l abondance» sous peine d aller vers une dépression nerveuse collective. À sa façon, le poète Bernard Noël, lors de ses premiers combats pour l exception culturelle, tentait lui aussi de donner l alerte : «sous le totalitarisme économique dont l emprise va grandissante, le sens se limite à la volonté de 5 Patrick Viveret, «Un nouvel art de vivre peut- il sauver l humanité de ses pulsions destructrices?», in Télérama, n 2883, 13 avril 2005.

5 gagner et d être riche. Au contraire du sens religieux qui apportait une plénitude et en jouait, le sens économique est un vide que la consommation ne comble que pour en ranimer aussitôt le même appétit.» 6 Pétri d une toute autre expérience puisque ancien secrétaire d Etat à l Action sociale, ancien directeur de l ENA et inventeur du concept d exclusion sociale, René Lenoir, dans son dernier livre, «Choc ou dialogue des civilisations? la force émergente de la société civile», appelle à la même prise de conscience : «si l économie de marché favorise la création de richesses, elle ne fait pas, à elle seule, une société. Il faut entre les personnes un milieu tiers, une société avec sa culture, un monde commun inscrit dans la durée, dans l histoire. Les gens sentent intensément le besoin de ce lien dans la cité, dans l entreprise, dans le sport ou la fête, à la fois amitié, convivialité, fraternité. Cette circulation du souffle de la vie en société, comme disent les Chinois, constitue un bien à la fois collectif et privé. L ensemble d une culture circulation de biens matériels et immatériels, marchands et non marchands, entre générations et entre contemporains ne répond pas seulement aux besoins matériels de ses membres, elle leur permet de jouir d une existence psychique. Elle a pour chacun une portée ontologique» 7 Dans le contexte d incertitude que nous vivons, où notre génération d adultes en charge de préparer le futur est davantage confrontée à la menace de risques (écologiques, économiques, politiques liés à la montée des extrémismes et des inégalités ) qu à la confiance dans l avenir, les discours pédagogique, scientifique, psychologique et poétique sur l éveil artistique du tout petit ne suffisent plus. L urgence nous impose d élargir le champ de notre regard pour revenir à la question essentielle posée à notre responsabilité d adulte, citoyen et éducateur : comment les propositions faites aux enfants d aujourd hui les préparent - t- elles à un «vivre ensemble» dans un environnement qui permette à chacun de «se ressourcer dans le passé et de participer à la création du futur» (Yéhudi Ménuhin)? Cette question va- t- elle même assez loin? N est- elle pas l ultime paravent à l attentisme et à la crainte des adultes de s engager eux- mêmes dans la recherche de ce qui permettrait de faire société autrement? Françoise Dolto nous rappelle 8 que la transmission culturelle dans l enseignement, c est de «rencontrer des gens qui vivent ce qu ils enseignent». Comme elle, je pense que l éveil culturel et artistique du tout petit repose aujourd hui sur la question primordiale et préalable du rapport à l art et aux «pratiques artistiques vivantes» des adultes qui l accompagnent dans sa vie. Est- il d ailleurs réellement possible sans cette implication authentique? Pour ma part je dirai non, et je proposerai deux orientations en forme de slogan pour penser l éveil culturel et artistique de demain. 6 Bernard Noël, La castration mentale, Editions P.O.L., Paris, René Lenoir, Choc ou dialogue des civilisations? la force émergente de la société civile, Editions Michel Y., Paris, Françoise Dolto, «L enfermement», in La cause des enfants, Editions Robert Laffont, Paris, 1985.

6 De l enfant objet des techniques d éveil culturel... à l enfant sujet de son propre éveil C est dans la compagnie d adultes, et en premier lieu de ses parents, que l enfant reconnaît comme signifiant pour lui, ce qu il perçoit comme porteur de sens pour eux. C est bien aussi ce qu il sent reconnu par eux, comme porteur de sens dans ses propres comportements, ses actes et ses émotions, qui contribue à lui donner des clés de compréhension du monde dans lequel il vit, à en identifier les valeurs et à se positionner. C est en étant le «témoin» de l authenticité des émotions et de l engagement dans l expression qui se partagent avec lui, à travers les pratiques artistiques, que l enfant s éveille à l art dans une réception- réinterprétation de ce qu il en perçoit. Il ne s agit alors plus uniquement de mettre en œuvre des techniques pédagogiques destinées à faire faire de «belles choses» à un enfant «objet» de ce projet, mais de reconnaître que c est au milieu d adultes- sujets- acteurs de la mise en œuvre de leurs propres désirs culturels que l enfant peut devenir lui- même sujet de son propre éveil. Pour reprendre Sigmund Freud, je dirai que l éveil artistique de l enfant adviendra «de surcroît» si les adultes vivent une situation signifiante pour eux, une situation vécue «pour de vrai». De l éveil culturel et artistique du tout- petit au réveil culturel, au réveil «esthétique et politique» 9 des adultes citoyens Cette prise de conscience d une inversion nécessaire entre un éveil de l enfant et un réveil de l adulte amène à réfléchir sur les causes d un certain endormissement. N est- il pas à rattacher à cette culture de la consommation et du modèle évoqué plus haut? Bernard Stiegler, philosophe, directeur de l IRCAM 10, fait écho aux propos prémonitoires de Keynes sur la gestion contradictoire d une certaine abondance quand il déclare : «Les techniques audiovisuelles du marketing conduisent à faire que progressivement, mon passé vécu, à travers toutes ces images et ces sons que je vois et que j entends, tend à devenir le même que celui de mes voisins. ( ) Mon passé étant de moins en moins différent de celui des autres parce que mon passé se constitue de plus en plus dans les images et les sons que les médias déversent dans ma conscience, mais aussi dans les objets et les rapports aux objets que ces images me conduisent à consommer, il perd sa singularité, c est- à- dire que je me perds comme singularité. ( ) Quant à l art, il est l expérience et le soutien de cette singularité sensible comme invitation à l activité symbolique, à la production et à la rencontre de traces dans le temps collectif» Ce retour nécessaire à la dimension artistique de la culture s avère par ailleurs concomitant au réveil de la citoyenneté en chacun de nous auquel Hannah Arendt appelait tout adulte, il y a plus de cinquante ans, quand elle écrivait, parlant du monde en perpétuel changement : «Qui refuse d assumer cette responsabilité du monde ne devrait ni avoir d enfant, ni avoir le droit de prendre part à leur éducation» Bernard Stiegler, «De la misère symbolique», Le Monde, 11 octobre IRCAM = Institut de Recherche et Coordination Acoustique/Musique 11 Hannah Arendt, «La crise de l éducation», in La crise de la culture, Editions

7 Pour ouvrir des perspectives et les relier à d autres mouvements de résistance et de refondation à travers le monde, je rapporterai ici une information reprise par René Lenoir et Patrick Viveret, chacun dans une de leur récente publication : une bonne nouvelle nous vient des Etats- Unis, à travers une vaste enquête sociologique réalisée sur un échantillon de personnes par Paul Ray et Sherry Anderson. Elle fait apparaître le phénomène de ce qu ils appellent les «créatifs culturels». Ce sont des gens ancrés dans leur époque, mais qui décrochent du modèle dominant de la course, de la guerre et de l avoir. Des personnes qui sont sensibles aux enjeux écologiques, exigeants quant à leur développement personnel, à leur qualité de vie, et qui partagent des valeurs de solidarité, d implication sociale souvent locale et, pour nombre d entre eux, de quête spirituelle. Curieusement, ils se croyaient marginaux. L enquête les a pourtant estimés entre 12 et 24% de la population, selon que l on considère le noyau dur de la catégorie ou ceux qui s en approchent. René Lenoir et Patrick Viveret considèrent ce phénomène comme précurseur d alternatives crédibles et nouvelles pour cette nécessité de transformation radicale des valeurs dominantes de nos sociétés en crise. La suite de l histoire Le dépassement de l éveil culturel et artistique du tout petit, au sens strict du terme, comme l apparition du phénomène des créatifs culturels s inscrivent, pour moi, dans le même mouvement de résistance à l inhumanité grandissante qui envahit nos sociétés et met en péril, à court terme, les relations au sein de ce qui est appelé aujourd hui le «village planétaire». En Europe comme en France, des initiatives similaires existent, portées par les mouvements écologiques, altermondialistes ou plus simplement de solidarité avec les plus pauvres. Je souhaiterais que cette question de la place de la culture partagée, de la rencontre et de la réappropriation des œuvres d art par le plus grand nombre, adultes et enfants ensemble, à l occasion des fêtes familiales ou des événements de la vie locale, puisse être en particulier explorée dans le cadre de nos débats de société. Je pense en particulier aux réflexions menées sur la conciliation de la vie familiale, de la vie professionnelle et de la vie sociale, de même qu aux débats sur la réduction du temps de travail et l utilisation du temps libre S investir dans des projets d éveil culturel de l enfant et de sa famille, c est en effet, bien évidemment, associer les parents, mais c est tout autant permettre la rencontre entre habitants d un même quartier, favoriser le rassemblement des différentes générations et inviter à l engagement citoyen des artistes. C est encore permettre que les valeurs de gratuité, de créativité, d ouverture, de partage, portées par l expression et la création artistiques fécondent en nous la capacité à dépasser inhibitions et conditionnement pour imaginer de nouvelles façons d être au monde et de vivre ensemble. Cela passe par le débat d idées, la revendication d une reconnaissance de la question du sens de ce que l on fait, la mobilisation des élu(e)s, le décloisonnement, les alliances multiples et la mise en réseau des savoirs et des Gallimard, Paris, 1972.

8 compétences. L aventure est risquée mais enthousiasmante. Notre responsabilité d adulte, citoyen et parent, nous impose de nous y engager pour imaginer et faire éclore un «nouveau monde». Marc Caillard Fondateur Directeur Enfance et Musique Publié dans la Revue SPIRALE Éditions ERÈS 11 rue des Alouettes RAMONVILLE SAINT- AGNE

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