Intervention Nicole NOTAT. Présidente de VIGEO «Pour la Solidarité» - Bruxelles. 11 février 2014
|
|
- Eloi Desjardins
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Intervention Nicole NOTAT Présidente de VIGEO «Pour la Solidarité» - Bruxelles 11 février 2014 Contexte L'économie sociale et solidaire s'est vue récemment reconnaître ses lettres de noblesse. J'en veux pour preuve l'action, couronnée de succès, conduite par Michel Barnier en Europe ou encore la loi ESS en France, la tenue l'année dernière des Assises pour l'entrepreneuriat social et responsable. Ces initiatives bienvenues doivent d'abord à la mobilisation du secteur lui même, à la démonstration de son utilité et de son efficacité, à la capacité d'innovation et d'ouverture sur de nouveaux concepts tels que celui de l'entrepreneuriat social, le social business, ou l'impact investing. Il faut sans doute y voir aussi l'effet d'une prise de conscience sur les limites que l'économie capitaliste a, de fait, à être suffisamment "inclusive" pour assurer à elle seule l'intégration de tous. La part croissante de "travailleurs pauvres" dans nos sociétés, le nombre d'exclus de la possibilité d'accéder aux biens essentiels, interpellent évidemment l'efficience du système. Et indépendamment des effets de la crise venue de l'ébranlement du système financier. Cette réalité insoutenable est perçue et préoccupe plus largement que dans les cercles historiques ou nouveaux de l'économie sociale et solidaire. Des entreprises agissantes dans la globalisation de l'économie se rapprochent via des fondations, via des initiatives en faveur "du bas de la pyramide" d'acteurs de social business, d'ong ou d'associations qui œuvrent pour des causes sociales environnementales ou de droits de l'homme. Des esprits critiques, nous en sommes tous ici, pourraient être tentés d'y voir des actions de "bonne conscience" à la marge de leurs activités de business bien ancrées dans le système de la création de valeur pour leurs actionnaires, objectif auquel aucune entreprise privée ne peut échapper. 1
2 Comme souvent la posture de sceptique n'est pas forcément infondée mais n'invalide pas pour autant l'intérêt qu'il convient de porter à ce qui bouge aussi du côté des acteurs économiques et financiers "traditionnels". Tout simplement parce que ces acteurs, dès lors qu'ils analysent lucidement les défis du monde de demain, ne sont pas dépourvus de capacités de compréhension des mutations qui s'annoncent et qui affecteront leur modèle économique et de croissance. Pas dépourvus non plus de capacités de détection de nouvelles opportunités que les défis recèlent. Anticipation et prise d'initiative sont alors la voie de la survie, en tout cas de maintenir sa position sur les marchés. Ainsi, avant d'en revenir au secteur de l'économie sociale et solidaire et de ses propres défis, je voudrais vous faire part de ce que j'observe dans le monde des entreprises et des investisseurs comme signes annonciateurs de changement. S'agit-il de signaux faibles? De prémisses à des mutations profondes ou d'un feu de paille? Chacun garde en la matière son libre arbitre. Des entreprises, des investisseurs en mouvement : Le plus frappant réside, de mon point de vue, dans les innovations qu'engagent des secteurs professionnels sous la pression de la nécessaire prévention aux effets du changement climatique, de la disponibilité limitée des énergies fossiles ou de l'eau qui se fait denrée rare. L'action en faveur de la construction à haute qualité environnementale, à basse consommation d énergie ou à énergie positive dans le logement neuf ou réhabilité, la création d'offres d'énergies renouvelables, les investissements en recherche développement pour des modes de production plus sobres en énergie, mobilisent les entreprises des secteurs concernés. La montée en gamme des produits dits "verts" est révélateur d'une inscription d'agents économiques dans les créneaux d'une croissance plus soutenable ou d'un développement durable pour utiliser un terme maintenant consacré et parfois galvaudé. Évidemment tout cela ne se réalise pas sans contradiction. Quand l'allemagne, qui évince le nucléaire, en vient à réouvrir les mines de charbon, la question vaut d'être posée sur le résultat final d'un point de vue des gaz à effet de serre. 2
3 Quand la question du gaz de schiste agite les chercheurs, les ONG et l'opinion, qu'un gouvernement interdit son exploration pendant que d'autres y ont recours, on mesure combien l'enjeu économique ne va pas spontanément de pair avec l'enjeu écologique. Les solutions parfaites sont rares, chacune relève d'arbitrages eux mêmes reflets de rapports de force à un moment donné. Qu en est-il des signaux annonciateurs sur le plan social? Je l'observe quand un gérant d'actifs, praticien de l'investissement responsable, demande à ses analystes financiers de considérer l'absence de violation des droits humains fondamentaux et la performance sociale comme des indicateurs de création de valeur durable des entreprises dans lesquelles ils investissent. Autrement dit, de ne pas opérer de placements en cas de risques potentiels de violation des droits ou de risques de dégradation de la cohésion sociale, au motif que la sécurité du placement ne serait pas garantie. Vous mesurez le levier que de tels choix constituent en terme d'influence sur le comportement des entreprises, si cela devenait une pratique générale des gérants d'actifs ou des apporteurs de capitaux en général. Le plus spectaculaire relève des enjeux sociaux que soulèvent, en particulier pour les grandes marques, les choix de leurs fournisseurs et de sous traitants. Deux illustrations FOXCONN en Chine, fournisseur d Apple, Samsung Des suicides, des conditions de travail et de vie indécentes Leurs impacts sur la réputation des donneurs d ordre qui sont interpellés Qui réagissent (engagement d audits sociaux par des tiers indépendants), mesurant le risque qu ils courent en terme de rupture de la chaîne d approvisionnement et de réputation. APPLE, une marque qui fait rêver, mais donne des cauchemars aux salariés de ses fournisseurs. La chaîne d approvisionnement, le concept «d acheteur responsable» monte en puissance. 3
4 RANA PLAZA (Bengladesh) Plus de morts, insécurité des bâtiments, conditions de travail déplorables. Là encore, ce sont les grandes marques textiles acheteuses chez Rana Plaza qui sont sommées de rencontre des comptes et d agir. signature d un accord international sur la sécurité au travail Un autre signe de changement vient de la jurisprudence. Prenons l'exemple du naufrage de l'erika Total, le naufrage de l Erika et la catastrophe écologique qu il a engendrée au large des côtes bretonnes en 1999 vont défrayer la chronique. C est un vrai cas d école. Le président se sentait dans son droit. Affréteur, il se jugeait plus victime que coupable. Il avait respecté les procédures, n avait dérogé à aucune obligation juridique. N ayant pas commis d entorse majeure à sa seule échelle, il s estimait en règle avec la loi. On pouvait évidemment attendre de l affréteur qu il soit plus regardant sur les navires qu il utilisait, s assurer que la société de certification soit digne de confiance, mais cela n était pas, jusqu à cette catastrophe, dans les pratiques, ça n était pas acté comme une responsabilité de l entreprise. Même pas au nom du principe de précaution Total a du participer à la réparation de la pollution vis-à-vis des dégâts sur la flore et la faune, de la souillure des plages. La Cour de Cassation, auprès de laquelle Total avait fait appel, a établi la reconnaissance «d un préjudice écologique» dont la responsabilité incombe aussi à Total. une jurisprudence qui bouge les lignes Ou encore le cas Monte Belo Monte Belo, au Brésil, est un autre cas d école. Un barrage, destiné à satisfaire les énormes besoins énergétiques du pays, entraînerait la noyade d une grande superficie de terre et le déplacement de personnes, essentiellement des tribus indiennes. Le conflit, porté en justice, oppose le gouvernement brésilien et le groupe Norte Energia, favorables au projet, à des militants écologistes et aux populations indiennes. Il illustre la difficile conciliation entre des impératifs de développement et d accès à un bien essentiel, des exigences écologiques et le respect du droit de tribus indiennes. Ce qui apparaît aux uns comme un indéniable progrès apparaît aux autres comme une indéniable régression. Privilégier l électrification dans des conditions qui auront un impact sur des cultures rares et précieuses? ou privilégier les habitants de la forêt qui perçoivent cette irruption de la modernité comme un viol de leur identité? 4
5 Ce que révèlent ces procès, c est la recherche et l émergence d une nouvelle hiérarchie de valeurs dans l élaboration de la règle de droit. C est l établissement de nouvelles frontières entre l impératif économique, l exigence écologique et le respect des droits de l homme. Ce sont de nouvelles normes qui s imposent aux entreprises. Des normes qui consacrent leur responsabilité sur les externalités sociales et environnementales directes ou indirectes qu elles engendrent. Les «émissions vertes» Je voudrais encore vous faire partager ce que je considère comme un signe significatif de l'intégration du développement durable. Il s'agit de l'émission par des collectivités ou entreprises d'émissions obligataires "vertes", je préfère le qualificatif de "soutenables". De quoi s agit-il? Un émetteur, une entreprise, une collectivité territoriale, qui souhaite procéder à une levée de fonds pour financer des projets «verts», a recours à des critères de sélection des projets qui en garantissent le caractère «soutenable», au regard de la nature du projet (ex : énergies renouvelables, «immobiliers verts») et de la maîtrise d impacts sociaux et sociétaux que le projet peut générer dans sa réalisation. Ces émetteurs visent à attirer des acteurs de l ISR, à prouver leurs contributions aux enjeux environnementaux, sociaux et sociétaux. Ces illustrations ne permettent pas de conclure à la généralisation, de la prise en compte par les entreprises privées à but lucratif, de leur responsabilité sociétale au sens plein du terme tel que le définit la norme ISO Norme élaborée par ISO (Organisation internationale de Normalisation) adoptée en septembre 2010 (93 % des voix des pays participants (162), qui traduit la RSE en ces termes : «responsabilité d une organisation vis-à-vis des impacts de ses décisions et activités sur la société et l environnement, se traduisant par un comportement éthique et transparent qui : Contribue au développement durable, Prend en compte les attentes des parties prenantes, Respecte les lois en vigueur en étant en cohérence avec les normes internationales de comportement, 5
6 Et qui est intégré dans l ensemble de l organisation et mis en œuvre dans ses relations». Elles démontrent seulement, et c'est déjà beaucoup, qu'un mouvement se dessine, qui repositionne les parties prenantes de l'entreprise en contributrices de sa réussite durable. Je voudrais à cet égard vous citer Frank Riboud, patron de Danone, qui déclarait au plus fort de la crise financière : «une entreprise doit créer de la valeur pour ses actionnaires.mais doit aussi créer de la valeur et de la richesse pour ses autres parties prenantes». C est, ajoute-t-il «du développement et du bien être de son environnement que dépend sa pérennité. C est de cette manière qu elle acquiert son utilité sociale». Franck Riboud résume en termes simples la responsabilité de l entreprise qui ne se réduit pas à générer de la valeur pour l actionnaire, à maximiser la valeur pour l actionnaire. Quand il propose à ses actionnaires, en Assemblée générale, de doter de 100 millions d euros un fonds de dotation dédié au développement et au renforcement de l écosystème de Danone, c est à dire orienté vers l aide et le soutien au développement de ses producteurs de lait, de ses petits distributeurs dans le monde, au soutien de l emploi local, il traduit dans les faits une forme d exercice de sa responsabilité. Et il la prolonge quand il prend l engagement de proposer, une couverture santé minimum aux salariés qui n en bénéficient pas, faute de système organisé d assurance maladie dans certains pays, il apporte à l évidence à ses salariés un mieux être au travail et dans leur conditions de vie, il en escompte une plus grande fidélisation de leur part. Cette vision bat en brèche celle de Milton Friedman qui a inspiré bien des thèses libérales " le seul rôle de l'entreprise est de faire le maximum de profits pour rémunérer ses actionnaires" Un concept porteur, des retombées positives sur l économie sociale Ce qu'apporte ce concept de RSE, et mieux encore sa mise en pratique, c'est le dépassement de l'opposition entre intérêt de l'actionnaire et intérêt des autres parties prenantes. 6
7 Elle apporte aussi l'espoir d'un décloisonnement entre des mondes qui se vivaient en alternative, voire se regardaient en chien de faïence. À cet égard les restrictions financières auxquelles procèdent les collectivités publiques en direction du monde associatif amènent ce dernier à repositionner son propre modèle économique. L'utilité sociale/sociétale d'une activité n'est pas incompatible avec la diversification de ses sources de financement, avec la recherche de la viabilité économique de la structure. Elle en constitue même souvent des opportunités de survie, de développement, de professionnalisation et de reconnaissance accrue. Ces réductions de moyens conduisent, tant les pouvoirs publics que le secteur de l'économie sociale et solidaire lui-même, à démontrer, à prouver et donc à évaluer l'utilité sociale, le rendement social en quelque sorte d'une activité subventionnée. La mesure de l'impact social est à l'ordre du jour et mobilise de nombreux acteurs et différentes méthodologies de mesure. Son enjeu est crucial pour le financement des entreprises sociales, pour le renforcement de leur légitimité. L'Intervention des fondations d'entreprises, qui promeuvent des causes et des actions d'intérêt général en partenariat avec des associations ou des entreprises sociales, accentuent cette demande. De même des investisseurs privés qui financent, via des fonds spécialisés, les associations porteuses de projets de réinsertion de populations exclues du marché du travail, de soutien à des personnes en situation de dépendance ou encore de réalisation d'habitats écologiques pour familles démunies. Qui financent aussi, via des fonds d'entrepreneuriat social, des entreprises dont l objectif est de donner des biens et services essentiels tels la nutrition, l'eau potable, l'énergie, la santé ou l'éducation. Ils attendent évidemment ces reportings sur l'impact économique et social de ces projets sur les populations concernées. Le poids et la contribution utile et nécessaire de l'économie sociale et solidaire, dans ses différentes formes statutaires, à une économie plus inclusive, à la satisfaction de besoins sociétaux non ou mal satisfaits, à la création d'emplois non délocalisables en font un secteur indispensable à la construction d'une économie soutenable. En retour de quoi il est légitimement attendu de lui qu'il fasse preuve de transparence sur ses sources de financement et ses statuts, sur sa gouvernance et sa gestion, qu'il s'acquitte de ses 7
8 responsabilités en direction de ses parties prenantes : salariés, bénévoles, partenaires, usagers bénéficiaires ou clients. Il n'est alors pas abusif de parler de double responsabilité sociale du secteur. Celle qui rend compte de son utilité sociale en relation avec son objet social et sur laquelle les études, les expérimentations se concentrent en Europe, comme aux Etats-Unis. Et celle qu'il garantit à ses parties prenantes internes ou externes en cohérence avec le statut concerné. Cette dimension est plus que complémentaire, elle est une composante de la mesure de l'utilité sociale, de son impact social. Je dirais que l'un ne va pas sans l'autre, au risque d'incohérence et de controverses qui ne seraient pas sans risque avec la réputation et la crédibilité de la structure. Pensons à Spanghero qui a cruellement rappelé cette évidence. Ceci est si vrai qu'émane du monde associatif et des entreprises sociales elles mêmes, mais aussi de fondations d'entreprises, une demande d'évaluation spécifique de leur responsabilité sociale sous ces deux aspects. En conclusion : Le secteur de l'économie sociale et solidaire, comme ses sources de financement, se diversifie. La forme juridique d'une structure ne suffit pas à garantir son efficience et la qualité de son impact social. Conjuguer viabilité économique, rendement financier et impact social ne relève pas de la mission contradictoire ou impossible. Faire des profits pour une entreprise privée reste une nécessité qui ne l'exonère pas de sa responsabilité sociétale. Le profit et la responsabilité sociale, c est l enjeu de la croissance soutenable. Vous êtes ici des témoins, des acteurs engagés dans l économie sociale et solidaire. Lucides sur les freins et les obstacles qui perdurent sur votre chemin, mais conscients aussi des opportunités qui s offrent à vous et des responsabilités qu elles sollicitent. C est une nouvelle page qui s écrit ; vous avez à cœur qu elle soit belle. Je vous remercie, 8
Une loi de reconnaissance de l'economie Sociale et Solidaire
Une loi de reconnaissance de l'economie Sociale et Solidaire Ensemble, Entreprendre Autrement 1 1. Principes, périmètre et bonnes pratiques : ce que dit la loi Ensemble, Entreprendre Autrement 2 Des principes
Plus en détailLa RSE au service de la stratégie de l entreprise et de la création de valeur
La RSE au service de la stratégie de l entreprise et de la création de valeur La RSE est aujourd hui un enjeu de première importance pour les entreprises : il reflète la prise de conscience grandissante
Plus en détailUne réussite : Les prix de rachat garantis soutiennent les énergies renouvelables en Allemagne
Une réussite : Les prix de rachat garantis soutiennent les énergies renouvelables en Allemagne Ce document illustrera comment cette réussite est arrivée, il est composé des parties suivantes : 1. Qu'est
Plus en détailCM-CIC Actions ISR. CM-CIC Actions ISR Code de Transparence AFG / FIR / EuroSif. 1. Données générales
L Investissement Socialement Responsable est une part essentielle du positionnement stratégique et de la gestion du fonds commun de placement. Présent dans la gestion éthique depuis 1991, CM-CIC Asset
Plus en détailFACE AUX DÉFIS ÉCOLOGIQUES
L ENVIRONNEMENT EN FRANCE 2 FACE AUX DÉFIS ÉCOLOGIQUES des initiatives locales et des actions de long terme VERS UN RAPPROCHEMENT DES ACTIVITÉS ÉCONOMIQUES ET DE L ENVIRONNEMENT? INTRODUCTION L OBSERVATION
Plus en détailAssurance et développement durable, les principaux chiffres 2012/2013
Assurance et développement durable, les principaux chiffres 2012/2013 Depuis 2009, les sociétés d assurance de la FFSA et du GEMA ont engagé une démarche volontaire de réflexion et d actions en matière
Plus en détail«Challenging social reality, inspiring experiences»
«Challenging social reality, inspiring experiences» Cornélia Federkeil-Giroux Mutualité Française représentante de l Association internationale de la mutualité (AIM) 1 L Association internationale de la
Plus en détailPosition de l ASTEE sur l innovation en matière de services d eau et de déchets
Position de l ASTEE sur l innovation en matière de services d eau et de déchets Les services publics locaux de l environnement : des services discrets mais moteurs de développement Depuis leur mise en
Plus en détailAppel à projets 5,2. Se déplacer Se nourrir Se loger Le reste
Appel à projets " Plan Climat Régional» Soutien de l investissement participatif dans les énergies renouvelables et la maîtrise de l énergie au bénéfice des territoires 1 Contexte : Les grands objectifs
Plus en détailDELIBERATION DU CONSEIL REGIONAL
REUNION DU 20 JUILLET 2012 DELIBERATION N CR-12/05.340 DELIBERATION DU CONSEIL REGIONAL SCHEMA REGIONAL DE DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE ET DE L'EMPLOI Stratégie régionale de développement de l'économie sociale
Plus en détailPré-diagnostic du Développement Durable
Pré-diagnostic du Développement Durable à l usage des PME-PMI et Autres Entreprises Le présent questionnaire a été réalisé par le groupe Développement Durable de l AUEG qui comprenait des membres d entreprises,
Plus en détailÉtude EcoVadis - Médiation Inter-Entreprises COMPARATIF DE LA PERFORMANCE RSE DES ENTREPRISES FRANCAISES AVEC CELLE DES PAYS DE L OCDE ET DES BRICS
Étude EcoVadis - Médiation Inter-Entreprises COMPARATIF DE LA PERFORMANCE RSE DES ENTREPRISES FRANCAISES AVEC CELLE DES PAYS DE L OCDE ET DES BRICS 23 mars 2015 Synthèse Avec plus de 12.000 évaluations
Plus en détailNotre offre ISR pour l Epargne Salariale. Document non contractuel
Notre offre ISR pour l Epargne Salariale Document non contractuel HSBC et le développement durable Un engagement de conviction Contribuer à développer un monde durable Parmi celles-ci, HSBC a apporté son
Plus en détailCHARTE RESPONSABILITE SOCIALE DE L ENTREPRISE MAJ : 2013
1 CHARTE RESPONSABILITE SOCIALE DE L ENTREPRISE MAJ : 2013 2 Groupama Asset Management s engage par le biais de cette présente Charte à appliquer et promouvoir une politique de Responsabilité Sociale de
Plus en détailNotre offre ISR pour l Epargne Salariale. Document non contractuel
Notre offre ISR pour l Epargne Salariale Document non contractuel HSBC et le développement durable Un engagement de conviction Contribuer à développer un monde durable Parmi celles-ci, HSBC a apporté son
Plus en détailBâtir un système intégré
Florence GILLET-GOINARD Bâtir un système intégré Qualité/Sécurité/Environnement De la qualité au QSE Groupe Eyrolles, 2006 ISBN : 2-7081-3651-8 CHAPITRE 1 Un système intégré, quels enjeux? 1. QU EST-CE
Plus en détailLA FINANCIÈRE AGRICOLE DU QUÉBEC PLAN D ACTION DE DÉVELOPPEMENT DURABLE 2013-2015
LA FINANCIÈRE AGRICOLE DU QUÉBEC PLAN D ACTION DE DÉVELOPPEMENT DURABLE 2013-2015 Table des matières Message du président-directeur général 3 Orientation gouvernementale 1 : Informer, sensibiliser, éduquer,
Plus en détailArticle225: Guide sectoriel CNCC Audition plateforme RSE, 20 février 2014
Article225: Guide sectoriel CNCC Audition plateforme RSE, 20 février 2014 Jean-Michel Silberstein Délégué Général CNCC Christophe Garot CNCC UNIBAIL-RODAMCO Le CNCC Le CNCC, Conseil National des Centres
Plus en détailL'appel public à l'épargne, pour quel besoin de financement? (2/3)
L'appel public à l'épargne, pour quel besoin de financement? (2/3) Lors d'une précédente analyse, nous avions présenté deux outils d'appel public à l'épargne qui bénéficient d'un régime légal favorable
Plus en détailMembre de la Commission européenne, chargé du Marché intérieur et des Services
SPEECH/13/XXX Michel BARNIER Membre de la Commission européenne, chargé du Marché intérieur et des Services Dématérialisation de la commande publique : un levier de modernisation de l administration publique
Plus en détailGuide sur les initiatives RSE sectorielles Fiche n 6 Engagements RSE dans le secteur des industries électriques, électroniques et de communication
MEDEF - ORSE octobre 2014 Guide sur les initiatives RSE sectorielles Fiche n 6 dans le secteur des industries électriques, électroniques et de communication Fédération des Industries Electriques, Electroniques
Plus en détailENTREPRISE ET DÉVELOPPEMENT DURABLE
ENTREPRISE ET DÉVELOPPEMENT DURABLE de Document préparé par SADC de Nicolet-Bécancour Janvier 2013 CONTENU L ENTREPRISE ET LE DD... 2 LES CONDITIONS DE REUSSITE DU DEVELOPPEMENT DURABLE EN ENTREPRISE...
Plus en détailMBA Spécialisé en Alternance
MBA Spécialisé en Alternance "Stratégie du Développement Durable" Diplôme d'etat de Niveau I enregistré au Registre National des Certifications Professionnelles JO du 14 Avril 2012 2 2013 / 2014 Groupe
Plus en détailCharte du tourisme durable
Annexes Charte du tourisme durable Annexe 1 Les participants de la Conférence mondiale du Tourisme durable, réunis à Lanzarote, îles Canaries, Espagne, les 27 et 28 avril 1995, Conscients que le tourisme
Plus en détailDévelopper une culture d efficience
point de vue services financiers Développer une culture d efficience dans les Back Offices Hughes ROY Partner au sein de l'équipe Services Financiers de Sopra Consulting, Hughes Roy est porteur de l offre
Plus en détailAvis de consultation
Avis de consultation Introduction Conformément aux traités de l UE, les décisions relatives à la politique commerciale sont prises au niveau de l UE. Les représentants des gouvernements des États membres
Plus en détailFondation de Luxembourg Politique d Investissement Socialement Responsable (ISR)
Fondation de Luxembourg Politique d Investissement Socialement Responsable (ISR) 1. Objet La Fondation de Luxembourg a reçu une dotation initiale de la part de l'etat et de l'oeuvre Nationale de Secours
Plus en détailQuestionnaire Attac/Les Amis de la Terre Mai 2011
Questionnaire Attac/Les Amis de la Terre Mai 2011 Spéculation et prises de risques 1. Votre groupe bancaire a-t-il des filiales, ou participations dans des filiales, domiciliées dans les paradis fiscaux,
Plus en détailCharte Investissement Responsable des acteurs de la Place de Paris: Actions menées par les signataires pour répondre à leurs engagements
Charte Investissement Responsable des acteurs de la Place de Paris: Actions menées par les signataires pour répondre à leurs engagements Bilan 2009-2011 Mars 2012 1 Les signataires Depuis juillet 2009
Plus en détailNPT/CONF.2010/PC.III/WP.39
Comité préparatoire de la Conférence des Parties chargée d examiner le Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires en 2010 NPT/CONF.2010/PC.III/WP.39 15 mai 2009 Français Original : anglais Troisième
Plus en détailFESTIK propose un service de réservation et de vente en ligne de billets pour des structures culturelles ou artistiques, quelle que soit leur taille.
FESTIK propose un service de réservation et de vente en ligne de billets pour des structures culturelles ou artistiques, quelle que soit leur taille. Avec un objectif : mettre la culture à la portée de
Plus en détailPourquoi nous avons créé Mirova
Par Philippe Zaouati, directeur général délégué de Natixis Asset Management et responsable du pôle d expertise Mirova. Pourquoi nous avons créé Mirova Directeur du développement et membre du comité exécutif
Plus en détailCode de la publicité écologique
Code de la publicité écologique Code de la publicité écologique: Préambule Une société saine construit un avenir durable. De plus en plus, le souci de l'homme pour son environnement en constitue un élément
Plus en détail«La Mutualité Française ouvre de nouveaux chantiers innovants.»
39 e Congrès de la Mutualité Française Résolution générale «La Mutualité Française ouvre de nouveaux chantiers innovants.» La crise financière, économique, sociale et écologique frappe durement notre pays,
Plus en détailCréateur d opportunités
Créateur d opportunités Climat, énergie & ressources naturelles Agriculture & développement rural Marchés de l emploi & développement du secteur privé Systèmes financiers Commerce & intégration régionale
Plus en détailSilence, on meurt! 1
Silence, on meurt! 1 Quatre-vingt-quinze pour cent des personnes infectées par le VIH sont toujours privées de traitement 1. Chaque année, lors de la Journée mondiale du sida, il nous faut regarder les
Plus en détailGUIDE DU BENEVOLE. Mai 2011
Mai 2011 GUIDE DU BENEVOLE Le présent document précise les engagements de tout adhérent 1 à Electriciens sans frontières. Ces engagements déclinent de manière opérationnelle les valeurs et principes énoncées
Plus en détailConsultation sur le livre blanc du financement de la TEE Préparation de la conférence bancaire et financière : Contribution de la Caisse des Dépôts
24 janvier 2014 Consultation sur le livre blanc du financement de la TEE Préparation de la conférence bancaire et financière : Contribution de la La place sa priorité stratégique «Transition Énergétique
Plus en détailLA GESTION DES RESSOURCES HUMAINES Anne DIETRICH Frédérique PIGEYRE 2005, repères, La découverte
LA GESTION DES RESSOURCES HUMAINES Anne DIETRICH Frédérique PIGEYRE 2005, repères, La découverte La GRH constitue une préoccupation permanente de toute entreprise, de tout dirigeant, qu il s agisse de
Plus en détailContribuer au financement de l économie Sociale et Solidaire : Renforcer l existant, Approfondir les partenariats, Innover.
Contribuer au financement de l économie Sociale et Solidaire : Renforcer l existant, Approfondir les partenariats, Innover. -- Rapport d étape à l attention du Ministre délégué auprès du ministre de l
Plus en détailLa loi sur l économie sociale et solidaire. Les principales dispositions et quelques angles de vue
La loi sur l économie sociale et solidaire Les principales dispositions et quelques angles de vue La loi ESS du 31 juillet 2014 les racines de l ESS Un peu d histoire: Des lois sur les coopératives, les
Plus en détailLes démarches qualités
Les démarches qualités Sommaire : Introduction... 2 Un levier d'innovation organisationnelle et sociale... 3 Les enjeux... 5 1.1 Le marché... 5 1.2 L innovation incrémentale (amélioration continue) ou
Plus en détailBaromètre UDA-CSA de la communication d entreprise - 2007 - Edition 6
Baromètre UDA-CSA de la communication d entreprise - 2007 - Edition 6 Tous droits réservés Union des annonceurs. Toute reprise, même partielle, doit être accompagnée de la mention "Baromètre UDA-CSA sur
Plus en détailTransition énergétique : l expérience de l Allemagne
Transition énergétique : l expérience de l Allemagne Une analyse de l APERe, rédigée par Jean Cech et Christophe Haveaux Version du 07/03/2013 1. L expérience de l Allemagne 1.1. Quelles leçons tirer de
Plus en détailREVENDICATIONS PARTICULIÈRES : NÉGOCIER L ACQUITTEMENT DE LA DETTE NATIONALE DU CANADA
REVENDICATIONS PARTICULIÈRES : NÉGOCIER L ACQUITTEMENT DE LA DETTE NATIONALE DU CANADA Chef Maureen Chapman Comité des Chefs sur les revendications Mémoire prébudgétaire au Comité permanent des finances
Plus en détailCharte Mutuelle Existence
Charte Mutuelle Existence Développement Durable Développement Durable Environnement - Social - Économique Sommaire Définition du Développement Durable p. 2 Nos valeurs et nos engagements p. 3 Charte Sociale
Plus en détailCIRCULAIRE AUX ETABLISSEMENTS DE CREDIT N 2011-06. Objet : Renforcement des règles de bonne gouvernance dans les établissements de crédit.
Tunis, le 20 mai 2011 CIRCULAIRE AUX ETABLISSEMENTS DE CREDIT N 2011-06 Objet : Renforcement des règles de bonne gouvernance dans les établissements de crédit. Le Gouverneur de la Banque Centrale de Tunisie,
Plus en détailLES ACHATS RESPONSABLES
LES ACHATS RESPONSABLES Une soirée proposée dans le cadre de la semaine de l ISR Organisée par l Association Ethique et Investissement et la FASSE-ICP Jeudi 16 octobre 2014 18h - 20h Institut Catholique
Plus en détailPosition du secteur électrique français
16 novembre 2010 ENERGIE 2020 Position du secteur électrique français L UFE, Union Française de l Electricité, est l association professionnelle du secteur de l électricité. Elle représente les employeurs
Plus en détailANNEXES A LA DELIBERATION
CONSEIL REGIONAL D ILE DE FRANCE 3 CP 11-830 ANNEXES A LA DELIBERATION @BCL@6C0E61A0 27/09/11 09:09:00 CONSEIL REGIONAL D ILE DE FRANCE 4 CP 11-830 1. Etat récapitulatif des subventions @BCL@6C0E61A0 27/09/11
Plus en détailUne étude sur : «La Supply Chain comme facteur clé de compétitivité» Jeudi 27 juin 2013 Au Grand Hôtel Opéra, Paris
Jeudi 27 juin 2013 Au Grand Hôtel Opéra, Paris Une étude sur : «La Supply Chain comme facteur clé de compétitivité» A l'initiative de Réalisée par Pour le compte de Une étude basée sur un nombre significatif
Plus en détailLes chartes de France Investissement
Les chartes de France Investissement Introduction : le dispositif France Investissement Les PME les plus dynamiques ou à fort potentiel de croissance apportent une contribution essentielle au développement
Plus en détailLe CONTRAT TRIANGULAIRE en coaching Le contrat tripartite Fanita English, et la Négociation des Contrats Prescrits'
Le CONTRAT TRIANGULAIRE en coaching Le contrat tripartite Fanita English, et la Négociation des Contrats Prescrits' Le Contrat Triangulaire ou tripartite est inventé par Fanita English. Il illustre la
Plus en détailPOUR UNE ECONOMIE ECOLOGIQUE ET EQUITABLE Synthèse de l étude réalisée par 4D pour la CFDT dans le cadre de l Agence d objectifs IRES
POUR UNE ECONOMIE ECOLOGIQUE ET EQUITABLE Synthèse de l étude réalisée par 4D pour la CFDT dans le cadre de l Agence d objectifs IRES Coordination et rédaction : Ana HOURS Catherine LAPIERRE Co-rédacteurs
Plus en détail«S'évaluer ensemble pour progresser ensemble»
Guide du Bilan Sociétal PME «S'évaluer ensemble pour progresser ensemble» Développement territorial durable Engagement citoyen Transparence. Participation des salariés Respect de l environnement Utilité
Plus en détailMETTRE EN PLACE UNE DÉMARCHE RSE :
METTRE EN PLACE UNE DÉMARCHE RSE : UNE RÉELLE OPPORTUNITÉ POUR VOTRE ENTREPRISE! Salon des Entrepreneurs Mercredi 4 février 2015 Intervenants Frédéric CURIER o Président de Bio Crèche Emilie DAMLOUP o
Plus en détailAssociation pour la Promotion de l Assurance Collective Clauses de désignation et de migration
Association pour la Promotion de l Assurance Collective Clauses de désignation et de migration 1 1/ Qu est ce qu un accord de branche? Un accord de branche est un acte juridique issu d'une négociation
Plus en détailCOALITION FRANCE POUR L EFFICACITÉ ÉNERGÉTIQUE
COALITION FRANCE POUR L EFFICACITÉ ÉNERGÉTIQUE PROPOSITIONS COMMUNES Mise en œuvre de la rénovation énergétique du parc existant de bâtiments Contact CFEE : Joël VORMUS Tél. : 01 55 86 80 08 contact@coalition-energie.org
Plus en détailContribution des industries chimiques
Contribution des industries chimiques au débat national sur la transition énergétique Les entreprises de l industrie chimique sont des acteurs clés de la transition énergétique à double titre. D une part,
Plus en détailDémarche Prospective Métier Pub/Com : Enquête en extension
Université ParisDauphine Démarche Prospective Métier Pub/Com : Enquête en extension L Observatoire des Métiers de la Publicité a confié à Luc Boyer et Aline Scouarnec, dans le cadre d une étude prospective,
Plus en détailLa responsabilité civile et l'entreprise
La responsabilité civile et l'entreprise Dans la présente rubrique, nous poursuivons notre étude de la responsabilité civile, cette fois-ci du point de vue d'un commerce ou d'une entreprise. Les questions
Plus en détailLA PROFESSIONNALISATION DU COACHING EN ENTREPRISE :
LA PROFESSIONNALISATION DU COACHING EN ENTREPRISE : DECRYPTAGE ET TEMOIGNAGE Le coaching en entreprise est souvent source de questionnement sur différents aspects : quelles populations concernées? Dans
Plus en détailProposition en vue de la préparation du budget fédéral 2015
Proposition en vue de la préparation du budget fédéral 2015 Recommandations pour appuyer la croissance et le développement de la production commerciale de biocarburants cellulosiques pour une économie
Plus en détailMONCEAU FLEURS EMET UN EMPRUNT OBLIGATAIRE 8% PAR AN A TAUX FIXE - DUREE 5 ANS EMPRUNT OUVERT A TOUS
MONCEAU FLEURS EMET UN EMPRUNT OBLIGATAIRE 8% PAR AN A TAUX FIXE - DUREE 5 ANS EMPRUNT OUVERT A TOUS ET Transfert des actions MONCEAU FLEURS sur le compartiment Offre Publique d Alternext La durée d investissement
Plus en détailL employeur peut-il mettre un salarié en congés payés forcés?
L employeur peut-il mettre un salarié en congés payés forcés? Pour éloigner temporairement de l entreprise un salarié surmené, irascible avec ses collègues, certains employeurs trouvent comme solution
Plus en détailL éthique dans la société contemporaine
L éthique dans les entreprises en contexte de gestion de crise dans le secteur agroalimentaire Horizon Marketing agroalimentaire 2009 Jeudi15 octobre 2009 M e Manon Beaumier, DSG-UQTR L éthique dans la
Plus en détailHEG Gestion de la Qualité L.Cornaglia. Les référentiels SMI, normes, processus de certification
Les référentiels SMI, normes, processus de certification 1 Définitions selon le Guide ISO/IEC 2:2004 Norme Document, établi par consensus et approuve par un organisme reconnu, qui fournit, pour des usages
Plus en détailUn projet d'entreprise sociale et solidaire?
Un projet d'entreprise sociale et solidaire? Programme Qu'est-ce qu'une entreprise sociale et solidaire? Objectif : repérer les éléments fondateurs de ce type de projets Les réponses de l'adress Objectif
Plus en détailConstruction modulaire pour la Faculté des sciences
Construction modulaire pour la Faculté des sciences Résultat de l'évaluation Outil mis à disposition par l'unité de développement durable du Département des infrastructures de l'état de Vaud. Données concernant
Plus en détailProgramme FEDER/FSE 2014/2020 Evènement de lancement. Atelier FEDER Saint-Malo, 1 er juillet 2015
Programme FEDER/FSE 2014/2020 Evènement de lancement Atelier FEDER Saint-Malo, 1 er juillet 2015 1 Présentation Programme Opérationnel Un programme validé par la Commission européenne le 17 décembre 2014
Plus en détailAssociations, Syndicats, Ordre. Mardi 21 octobre 2014 Ecole de Pédicurie-Podologie 33000 BORDEAUX
Associations, Syndicats, Ordre Mardi 21 octobre 2014 Ecole de Pédicurie-Podologie 33000 BORDEAUX Trois systèmes complémentaires aux fonctions et missions bien définies : Associatif regroupement de personnes
Plus en détailIntervention de Marisol TOURAINE. Ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des. femmes. Maison de Santé Pluridisciplinaire
1 Intervention de Marisol TOURAINE Ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes Maison de Santé Pluridisciplinaire Magny-en-Vexin Vendredi 20 février 2015 Seul le prononcé fait
Plus en détailLe développement durable 2010
Le développement durable 2010 Fédération internationale de laiterie (FIL-IDF Canada) mars 2010 Danone Inc. Canada Danone Plan Danone Danone au Canada Le développement durable Danone et le double-projet
Plus en détailLes obstacles : Solutions envisageables :
1. Quels sont les obstacles auxquels les citoyens européens doivent faire face dans l exercice de leurs droits? Que pourrait-on faire pour alléger ces obstacles? Les obstacles : Tout d abord, il y a un
Plus en détailUNE REFLEXION PREALBLE
UNE REFLEXION PREALBLE NOUS N AVONS JAMAIS ETE AUSSI RICHES IL N Y A JAMAIS EU AUTANT DE PAUVRES QUI GERE LA REPARTITION? 1 ÉNERGIE ET TRANSITION Comprendre la situation est facile Ce qu il faut faire
Plus en détailAgence de communication Entreprise Adaptée
Agence de communication Entreprise Adaptée Dans un monde en pleine mutation, face aux multiples ruptures, sociales, sociétales et écologiques les organisations ne peuvent désormais ignorer leurs responsabilités
Plus en détailComprendre les négociations internationales sur le climat. Contexte, historique et enjeux
Comprendre les négociations internationales sur le climat Contexte, historique et enjeux Chapitre 1 LE CONTEXTE: L URGENCE CLIMATIQUE La planète s est déjà réchauffée de +0,8 C Les impacts Les impacts
Plus en détailSystèmes de Management Intégré (SMI) Instrumentation, Contrôle et Management des Systèmes
Systèmes de Management Intégré (SMI) Instrumentation, Contrôle et Management des Systèmes QUALITE SECURITE ENVIRONNEMENT OUTIL DE PILOTAGE MIS A LA DISPOSITION DES ORGANISMES Système : ensemble d éléments
Plus en détail3 Les premiers résultats des plans d'actions
3 Les premiers résultats des plans d'actions Les résultats que nous avons obtenus en ce qui concerne les plans d'action, résultent de l'analyse de 48 entreprises seulement. Revenons sur notre échantillon.
Plus en détailamplifier le financement des entreprises et structures de l Économie sociale et solidaire
1 amplifier le financement des entreprises et structures de l Économie sociale et solidaire 1 - Amplifier le financement des entreprises et structures de l Économie sociale et solidaire Les entreprises
Plus en détailLes activités numériques
Les activités numériques Activités de l entreprise et activités numériques de l entreprise convergent de plus en plus au sein de la chaîne de valeur, c est-à-dire la manière avec laquelle une entreprise
Plus en détailCOALITION FRANCE POUR L EFFICACITÉ ÉNERGÉTIQUE
COALITION FRANCE POUR L EFFICACITÉ ÉNERGÉTIQUE PROPOSITIONS COMMUNES Mise en œuvre de la rénovation énergétique du parc existant de bâtiments Contact CFEE : Joël VORMUS Tél. : 01 55 86 80 08 joel.vormus@cler.org
Plus en détailContribuer au Développement de Territoires Solidaires
Contribuer au Développement de Territoires Solidaires des entreprises en mouvement! Les 500 adhérents* COORACE défendent depuis 1985 le droit au travail pour tous. Ils participent sur l ensemble du territoire
Plus en détailPourquoi la responsabilité sociétale est-elle importante?
Découvrir ISO 26000 La présente brochure permet de comprendre les grandes lignes de la Norme internationale d application volontaire, ISO 26000:2010, Lignes directrices relatives à la responsabilité. Elle
Plus en détail«ÉCO-SOLIDAIRE» LE DISPOSITIF LA RÉUNION, ILE SOLAIRE ET TERRE D INNOVATION PLUS D UN MILLIER DE FOYERS RÉUNIONNAIS BÉNÉFICIAIRES
LA RÉUNION, ILE SOLAIRE ET TERRE D INNOVATION La Réunion île solaire, terre d'innovation Reunion island, innovation land LE DISPOSITIF «ÉCO-SOLIDAIRE» PLUS D UN MILLIER DE FOYERS RÉUNIONNAIS BÉNÉFICIAIRES
Plus en détailLE GROUPE MACIF ET LA RSE
LE GROUPE MACIF ET LA RSE SOMMAIRE Présentation du Groupe MACIF, ses engagements RSE Quelle organisation, quelle prise en compte dans les pratiques internes Quelles réponses aux enjeux RSE dans le cœur
Plus en détailN O R D - P A S D E C A L A I S
NORD-PAS DE CALAIS NORD-PAS DE CALAIS Ensemble pour une éco-rénovation responsable de notre habitat Avant-propos Dans une région où le poids du parc de logements anciens publics et privés prédomine, l
Plus en détailASSOCIATION GENEVOISE DES PROPRIETAIRES D'AUTOCARS
ASSOCIATION GENEVOISE DES PROPRIETAIRES D'AUTOCARS NOM ET SIEGE DE L ASSOCIATION Article 1 Sous la dénomination «Association Genevoise des Propriétaires d'autocars», il est formé entre les adhérents aux
Plus en détailOpérateur de projets de développement durable
Opérateur de projets de développement durable Octobre 2014 Aperçu du Groupe Planetic! Groupe d entreprises créé en 2009 à Paris 50 collaborateurs Filiales pays au Congo-B (2010) et au Maroc (2013) Filiale
Plus en détailMACIF. La Macif, histoire et valeurs. La Macif, en quelques chiffres BONNES PRATIQUES. 1- Eco-management MUTUELLE
MUTUELLE MACIF Macif Nord-Pas de Calais B.P. 169 59029 Lille Cedex Site : www.macif.fr Directeur régional : Jean-Jacques Roy Contact : Jean Quéméré La Macif, histoire et valeurs Depuis 1960, la Macif est
Plus en détailLE DON : UN MODELE DE MANAGEMENT AU SERVICE DE LA COOPERATION
LE DON : UN MODELE DE MANAGEMENT AU SERVICE DE LA COOPERATION Face à une rationalisation croissante du secteur social et médico-social, accentuée par les effets de crise, comment un directeur de structure
Plus en détailLa coopération décentralisée est inscrite dans la transversalité et se nourrit des échanges et pratiques confiés aux missions de l Agence.
1 Une mission «coopération décentralisée» existe depuis 8 ans à l ARENE Île-de-France. Résultat d une délibération sur l action internationale votée par la Région Île-de-France souhaitant que celle ci
Plus en détailSynthèse n 16, Février 2012. Financement de la croissance verte et orientation de la création monétaire
Synthèse n 16, Février 2012 Financement de la croissance verte et orientation de la création monétaire ----------- 1. Les investissements nécessaires à la transition vers un modèle de croissance durable
Plus en détailPlan d orientations stratégiques 2012-2016
Plan d orientations stratégiques 2012-2016 Agence Française de Développement Établissement public, l Agence Française de Développement (AFD) agit depuis soixante-dix ans pour combattre la pauvreté et favoriser
Plus en détailACTIONS ET POLITIQUES SUR L'INVESTISSEMENT DANS L'AGRICULTURE
ACTIONS ET POLITIQUES SUR L'INVESTISSEMENT DANS L'AGRICULTURE 1. Les investissements doivent contribuer à et être compatibles avec la réalisation progressive du droit à une alimentation suffisante et nutritive
Plus en détail«Résoudre les problèmes de l'énergie, une clé pour la survie de l'humanité»
Fédération mondiale des travailleurs scientifiques World Federation of scientifique Workers 85ème session du Conseil exécutif Symposium «Résoudre les problèmes de l'énergie, une clé pour la survie de l'humanité»
Plus en détailPolitique et Standards Santé, Sécurité et Environnement
Politique et Standards Santé, Sécurité et Environnement Depuis la création de Syngenta en 2000, nous avons accordé la plus haute importance à la santé, à la sécurité et à l environnement (SSE) ainsi qu
Plus en détailDes compétences financières et techniques enfin réunies pour un meilleur service au développement des entreprises.
Des compétences financières et techniques enfin réunies pour un meilleur service au développement des entreprises. Siège 83 bis rue de rouen 95300 Pontoise Tél: 01 34 35 02 31 www.cinergy.fr Analyse financière
Plus en détailCe guide se veut évolutif et dynamique. Actualisé mensuellement, il recueillera les appels à projets qui Il est votre outil et notre lien.
Mesdames et Messieurs, Le P total) afin de relever le défi de la compétitivité et de faire émerger un nouveau modèle de croissance, en finançant des projets innovants et exemplaires, rigoureusement sélectionnés.
Plus en détail