Dioptre convergent (foyers réels)
|
|
- Stéphanie Henry
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 SF > 0 et SF < 0 le dioptre est convergent. foyers réels SF < 0 et SF > 0 le dioptre est divergent. foyers virtuels Dioptre convergent (foyers réels) n 1 < n 2 B n 2 Image réelle A F F S C A B
2 n1 n 2 n1 n 2 SA SA' SC Lumière SF SF ' SC Vergence: 1 dioptrie (d) = 1m - 1 n1 n 2 n 2 n SF SF' SC 1 V Vergence = puissance du dioptre, V positif = convergent V négatif = divergent
3 4- Introduction à la vision l œil 4-1 Description L œil est l organe de la vision. Il fonctionne comme une lentille convergente et donne une image réelle et renversée
4 4.2 Schématisation - La cornée : la partie antérieure transparente du globe oculaire, de forme asphérique et légèrement saillante. Elle transmet la lumière au cristallin et à la rétine. Il s agit du premier élément réfractif de l œil, comptant pour plus de 2/3 de la réfraction du dioptre oculaire - L'iris : diaphragme de l'oeil percé d une ouverture : la pupille. Ce muscle fait varier l'ouverture et permet de contrôler la quantité de lumière pénétrant dans l œil - Le cristallin : lentille naturelle organique convergente de l œil. Il se comporte comme une lentille bi-convexe de vergence variable grâce à l'action des muscles ciliaires - La rétine : écran constitué de cellules sensibles à la lumière sur laquelle se forme les images.
5 L œil peut être réduit à un système centré équivalent à un dioptre unique de vergence V 60 dioptries Ce dioptre sépare 2 milieux d indice de réfraction n = 1 (air) et n = 1,336 axe géométrique comme axe optique n = 1 lumière n = 1,336 x F x C Centre optique x F Axe optique 17mm 6 mm 17 mm rayon de courbure 6mm SF 17mm SF 23mm
6 4.2 Fonctionnement de l œil normal ou œil emmétrope Deux conditions simultanées - L image d un point est un point œil stigmatique (approximation de Gauss) - L œil ne voit une image nette que si celle-ci se forme sur la rétine Vision d un objet éloigné Pour un œil normal, lorsque le cristallin est au repos, les images des objets situés à l infini (pratiquement plus de (50m) se forment sur la rétine : on dit alors que l œil n accommode pas. Vision d un objet proche Lorsque l œil regarde un objet proche, les muscles ciliaires modifient la courbure du cristallin (et donc la distance focale) ce qui permet aux images de se former sur la rétine : on dit alors que l œil accommode. image sur la rétine (image nette) quelque soit la distance de l objet
7 a. Vision nette de loin Hypothèse : l observateur voit nettement des objets éloignés sans accommoder image se forme au foyer image F donc sur la rétine image nette Point objet à x F Œil emmétrope au repos x C F Point image sur la rétine Point net
8 b. Vision nette de près SI l œil emmétrope était un système optique figé : Point objet à une distance finie x F x C F Point image théorique image sur la rétine Tache lumineuse Point flou Mais l image reste nette grâce à l augmentation de la convergence du cristallin. Le mécanisme d accommodation maintient l image sur la rétine Le champ de vision d un œil normal s étend normalement d environ 25 cm à l infini
9 4.3 Défauts de la vision : amétropies sphériques 2 types d amétropie sphérique : - myopie - hypermétropie a. Myopie L image d un objet à l infini se forme en avant de la rétine (œil au repos) L œil trop convergent pour sa longueur et/ou trop long (foyer image F en avant de la rétine) Point image théorique Point objet à x F x C x F image floue perçue par la rétine (tache lumineuse) Œil myope au repos
10 b. Hypermétropie L image d un objet à l infini se forme en arrière de la rétine (œil au repos) L œil n est pas assez convergent et/ou trop court (foyer image en arrière de la rétine) 4.4 Corrections L œil myope étant trop convergent, il faut une lentille divergente pour le corriger L œil hypermétrope n étant pas assez convergent, il faut une lentille convergente pour le corriger
11 5- Notion de couleur Le point A est vu rouge par l œil parce que recevant de la lumière blanche, composée par toutes les couleurs, il ne diffuse que les longueurs d onde du rouge A La couleur d'un objet dépend donc de: la manière avec laquelle les pigments constituant ce point diffusent et absorbent les différentes longueurs d'onde la composition de la lumière qui l'éclaire (si on éclaire un objet rouge pur avec de la lumière bleue, il apparaît noir puisque le rouge pur absorbe toutes les couleurs, dont le bleu, et ne diffuse que du rouge qu'il ne reçoit pas) et de l'oeil et du cerveau de l observateur
12 3ème partie : LASER
13 LASER Acronyme de «light amplification by stimulated emission of radiation» «amplification de la lumière par émission stimulée de radiation» Un laser est fondamentalement un amplificateur de lumière. Le terme laser est ambivalent puisqu'on l'emploie à la fois pour décrire le dispositif, la source qui permet de créer et d'émettre cette lumière particulière et pour nommer le rayon lumineux lui-même. EINSTEIN 1917 (principe)
14
15 1- Principe - Interaction matière rayonnement Les photons peuvent réagir avec la matière de trois manières : - l'absorption - l'émission spontanée - l'émission stimulée
16 1.1 Absorption Emission spontanée atome hu e - Etat stable E 0 Energie extérieure Etat excité Absorption d Energie e - niveau E 1 Atome excité repasse spontanément à son état fondamental: Emission spontanée photon (même u situation de résonance) Photon émis dans une direction quelconque DE = E 1 - E 0 = hu Fluorescence (l) (nanoseconde)
17 1.2 Emission stimulée État excité Photons incident hu Photons hu État fondamental Photons hu Avant Pendant Après Nouveau photon est en tout point similaire à celui qui a permis à la particule de se désexciter : il transporte la même quantité d'énergie, à la même fréquence et possède la même direction de propagation. Conséquence: Le nombre de photons croît intensité du faisceau lumineux AMPLIFICATION
18 a. Principe Conditions Energie du photon incident = Energie du niveau haut Energie du niveau bas N atomes excités > N atomes niveau fondamental Inversion de population indispensable Il faut forcer l inversion de population en pompant le milieu
19 b. Inversion de population But : E 2 hu (n 2 ) Loi de Boltzmann: n 2 = n 1 exp [- (E 2 E 1 ) / kt] système en équilibre n 1 > n 2 niveaux plus bas toujours plus peuplés E 1 (n 1 ) Photons probablement absorbés Pour que le faisceau s enrichisse en photons n 2 > n 1 E 2 hu E 1 (n 2 ) hu hu (n 1 ) Inversion de population ( hors équilibre thermique avec apport d énergie) Emission stimulée (émission induite)
20 c. Pompage optique (KASTLER 1950) Pompage atomes molécules ions cavité E 2 hu E 1 (n 2 ) hu n 2 > n 1 hu (n 1 ) Source excitatrice Source va donner l énergie nécessaire pour l inversion de population (excitation extérieure Emission Stimulée possible Le milieu est alors amplificateur
21 d. Amplification Milieu actif Apport d énergie par pompage Photon incident sur atome excité Émission stimulée Emission grand nombre de photons (Réactions en chaîne) Photons émis ont des propriétés identiques à ceux de l onde de départ Amplification en cascade du nombre de photons Effet laser L'inversion de population contribue ainsi à l'amplification de la lumière dans le laser. Source lumineuse
22 e. Cavité et dispositif Le milieu laser est constitué par des atomes capables d émettre des photons par émission stimulée milieu actif placé entre deux miroirs. Miroir réfléchissant à 100% Cavité résonante Résonateur optique Miroir semi-réfléchissant à 99% Sortie de la lumière Les photons peuvent traverser plusieurs fois le milieu actif(allers-retours) Emission stimulée d un plus grand nombre de photons processus d'amplification laser oscille
23 e. Cavité et dispositif Le milieu laser est constitué par des atomes capables d émettre des photons par émission stimulée Les photons peuvent traverser plusieurs fois le milieu actif(allers-retours) Emission stimulée d un plus grand nombre de photons processus d'amplification laser oscille
24 Dans la cavité optique, un très grand nombre d ondes réfléchies se superposent Additions de signaux si ondes ne sont pas en phase Interférences destructives Interférences constructives
25 Il faut que les ondes réfléchies soient en phase Interférences constructives Intensité maximale Condition remplie pour c 2L = k l u= k 2L k entier positif L distance entre les 2 miroirs le résonateur est généralement construit de manière à favoriser l'une des longueurs d'onde produites dans le milieu actif au détriment des autres. Construction optimale de la cavité de résonance
26 Forme des miroirs But des miroirs faisceau optique traverse le milieu actif un grand nombre de fois. Miroirs plans Pertes latérales de la lumière Miroirs sphériques Pertes latérales minimisées
27 2- Caractéristiques - Emission directionnelle Concentré spatial de lumière avec une divergence faible - Emission cohérente (relation de phase) - Emission monochromatique Concentré spectral de lumière - Densité de Puissance élevée Concentré spatialement et spectralement focalisation sur des très petite surfaces (lambda²) concentré temporellement (impulsions de courtes durées ns à fs) P Densité de puissance surfacique en W.m -2, P en W et S en m 2 S Densités de Puissance très importantes Ordre de grandeur : laser 10 W à λ = 500 nm (vert) : densité de puissance max = 4 GW/cm 2
28 3- Fonctionnement du laser mode continu (leur puissance est constante) source d'énergie excite en continu mode impulsionnel (émission pendant une durée brève, puis arrêt et à nouveau émission). (source d'énergie envoie par intermittence une décharge d'énergie) Emission ns aux femtosecondes
29 4- Types de LASER - LASER à milieu actif solide (solide et semi-conducteurs) - Laser à Gaz - Laser à colorants Exemples : Type de laser Milieu laser Couleur du faisceau Longueur d onde λ Hélium-néon Gaz hélium-néon Rouge 632,8 nm Diode Laser Solide semiconducteur : Arséniure de gallium Rouge, infrarouge Laser à colorant Colorant dans un solvant Différentes couleurs Laser Nd-YAG Solide grenat d aluminium et d yttrium Dopé au néodyme infrarouge 1,06 μm
30 Laser à milieu solide (Nd:YAG) λ émission dépend de l ion dopant et de la matrice Milieu amplificateur: cristal ou verre dopé aux terres rares: Nd (Néodyme), Yb(Ytterbium), Nd:YAG λ =1,06μm Source d excitation : lampe flash ou diode laser Fonctionnement: continu ou de manière impulsionnelle (impulsions 10-6 s à s) Densités de puissance de l'ordre du kw en continu et du GW en pulsé. Dermatologie Détatouage (Laser Nd-YAG). Odontologie (Laser Nd-YAP )
31
32 5- Mécanismes d actions en santé - Effet électromécanique Action disruptive (ex Nd:YAG, ophtalmologique, dermatologique ) - Effet photoablatif Photoablation (ex Excimères (UV), Nd:YAG ophtalmologique: myopie, hypermétropie..) - Effet thermique Mécanisme prédominant ophtalmologie (décollement de la rétine), dermatologie (destruction de lésions cutanées), chirurgie - Effet photochimique Combinaison avec un photosensibilisant, utilisé en PDT
Sensibilisation à la Sécurité LASER. Aspet, le 26/06/2013
Sensibilisation à la Sécurité LASER Aspet, le 26/06/2013 Modes d émission LASER P c P 0 P moy 0 Emission pulsée Salve ou train de N impulsions Emission continue Q i t i t Longueur d onde λ Emission continue
Plus en détailPROPRIÉTÉS D'UN LASER
PROPRIÉTÉS D'UN LASER Compétences mises en jeu durant l'activité : Compétences générales : S'impliquer, être autonome. Elaborer et réaliser un protocole expérimental en toute sécurité. Compétence(s) spécifique(s)
Plus en détailChapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :
Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur
Plus en détailDIFFRACTion des ondes
DIFFRACTion des ondes I DIFFRACTION DES ONDES PAR LA CUVE À ONDES Lorsqu'une onde plane traverse un trou, elle se transforme en onde circulaire. On dit que l'onde plane est diffractée par le trou. Ce phénomène
Plus en détailEXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points)
BAC S 2011 LIBAN http://labolycee.org EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) Les parties A et B sont indépendantes. A : Étude du fonctionnement d un spectrophotomètre
Plus en détailMémento à l usage du personnel des laboratoires
Mémento à l usage du personnel des laboratoires sécurité laser édition février 2005 Pôle Maîtrise des Risques Direction de la Protection et de la Sûreté Nucléaire Symbole des nouvelles technologies, l
Plus en détail1STI2D - Les ondes au service de la santé
1STI2D - Les ondes au service de la santé De nombreuses techniques d imagerie médicale utilisent les ondes : la radiographie utilise les rayons X, la scintigraphie utilise les rayons gamma, l échographie
Plus en détailUniversité Bordeaux 1 MIS 103 OPTIQUE GÉOMÉTRIQUE
Université Bordeaux 1 MIS 103 OPTIQUE GÉOMÉTRIQUE Année 2006 2007 Table des matières 1 Les grands principes de l optique géométrique 1 1 Principe de Fermat............................... 1 2 Rayons lumineux.
Plus en détailComprendre l Univers grâce aux messages de la lumière
Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,
Plus en détailOPTIQUE GEOMETRIQUE POLYCOPIE DE COURS
OPTIQUE GEOMETRIQUE POLYCOPIE DE COURS PR. MUSTAPHA ABARKAN EDITION 014-015 Université Sidi Mohamed Ben Abdallah de Fès - Faculté Polydisciplinaire de Taza Département Mathématiques, Physique et Informatique
Plus en détailMicroscopie de fluorescence Etat de l art
Etat de l art Bibliométrie (Web of sciences) CLSM GFP & TPE EPI-FLUORESCENCE 1 Fluorescence Diagramme de JABLONSKI S2 S1 10-12 s Excitation Eex Eem 10-9 s Émission Courtoisie de C. Spriet
Plus en détailLes lasers Risques et prévention
Les lasers Risques et prévention I Interaction laser tissu Effet Effet Effet Effet photoablatif mécanique photodynamique thermique II Risques Œil Peau Autres risques III Évaluation du risque laser Classes
Plus en détailCorrection ex feuille Etoiles-Spectres.
Correction ex feuille Etoiles-Spectres. Exercice n 1 1 )Signification UV et IR UV : Ultraviolet (λ < 400 nm) IR : Infrarouge (λ > 800 nm) 2 )Domaines des longueurs d onde UV : 10 nm < λ < 400 nm IR : 800
Plus en détailLa Nouvelle Solution. Pour les Lésions Pigmentaires & les Tatouages. Science. Results. Trust.
La Nouvelle Solution Pour les Lésions Pigmentaires & les Tatouages Science. Results. Trust. La technologie de PicoWay TM aux pulses ultra-courts nécessite des énergies plus faibles et génère des résultats
Plus en détailTP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE
TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE OBJECTIFS : - Distinguer un spectre d émission d un spectre d absorption. - Reconnaître et interpréter un spectre d émission d origine thermique - Savoir qu un
Plus en détailSujet. calculatrice: autorisée durée: 4 heures
DS SCIENCES PHYSIQUES MATHSPÉ calculatrice: autorisée durée: 4 heures Sujet Approche d'un projecteur de diapositives...2 I.Questions préliminaires...2 A.Lentille divergente...2 B.Lentille convergente et
Plus en détailLes bases de l optique
Vision to Educate Les 10 pages essentielles Edition 2014 Introduction Edito Si résumer le métier d opticien dans un livret de 12 pages n est pas possible, nous avons essayé dans ce document d apporter
Plus en détailÉPREUVE COMMUNE DE TIPE 2008 - Partie D. TITRE : Comment s affranchir de la limite de la diffraction en microscopie optique?
ÉPREUVE COMMUNE DE TIPE 2008 - Partie D TITRE : Comment s affranchir de la limite de la diffraction en microscopie optique? Temps de préparation :...2 h 15 minutes Temps de présentation devant le jury
Plus en détailPRINCIPE MICROSCOPIE CONFOCALE
PRINCIPE MICROSCOPIE CONFOCALE Un microscope confocal est un système pour lequel l'illumination et la détection sont limités à un même volume de taille réduite (1). L'image confocale (ou coupe optique)
Plus en détailSéquence 9. Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière
Séquence 9 Consignes de travail Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière Travaillez les cours d application de physique. Travaillez les exercices
Plus en détailNouveau programme de première S (2011) : l essentiel du cours. www.physagreg.fr
Nouveau programme de première S (2011) : l essentiel du cours www.physagreg.fr 22 avril 2012 Table des matières 1 Couleur, vision et image 3 1.1 Oeil réel et oeil réduit...................... 3 1.2 Lentille
Plus en détailLes lasers. Risques et prévention. Annule et remplace la version précédente (ND 1607) publiée en 1986. laser rayonnement VLE classification
Synthèse I ND 2093-173-98 445 G. Hée ( 1 ), I. Balty ( 1 ), A. Mayer ( 2 ) avec le concours de D. Courant ( 3 ) et M. Lièvre ( 4 ) ( 1 ) INRS Paris ( 2 ) INRS Nancy ( 3 ) CEA Fontenay-aux-Roses ( 4 ) Laboratoire
Plus en détailSujet. calculatrice: autorisée durée: 4 heures
DS SCIENCES PHYSIQUES MATHSPÉ calculatrice: autorisée durée: 4 heures Sujet Spectrophotomètre à réseau...2 I.Loi de Beer et Lambert... 2 II.Diffraction par une, puis par deux fentes rectangulaires... 3
Plus en détailFaculté de physique LICENCE SNV EXERCICES PHYSIQUE Par MS. MAALEM et A. BOUHENNA Année universitaire 2010-2011
Faculté de physique LICENCE SNV L1 EXERCICES DE PHYSIQUE Par Année universitaire 2010-2011 OPTIQUE GÉOMÉTRIQUE: GÉNÉRALITÉS ET MIROIR PLAN Ex. n 1: Citer quelques systèmes optiques, d'usage courant. Ex.
Plus en détailNiveau 2 nde THEME : L UNIVERS. Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS
Document du professeur 1/7 Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS Physique Chimie SPECTRES D ÉMISSION ET D ABSORPTION Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS Les étoiles : l analyse de la lumière provenant
Plus en détailSéquence 1. Physique Couleur, vision et image Chimie La réaction chimique. Sommaire
Séquence 1 Physique Couleur, vision et image Chimie La réaction chimique Sommaire 1. Physique : Couleur, vision et image Résumé Exercices 2. Chimie : La réaction chimique Résumé Exercices Séquence 1 Chapitre
Plus en détailTHÈME : LA SANTÉ - prévention et soin
STL-STI2D THÈME : LA SANTÉ - prévention et soin Tronc commun Physique-chimie Sommaire du parcours «Autour du laser» Fichier B- élève type d activité + titre Documents d approche thématique : Doc 1 : Frayeur
Plus en détailContact SCD Nancy 1 : theses.sante@scd.uhp-nancy.fr
AVERTISSEMENT Ce document est le fruit d'un long travail approuvé par le jury de soutenance et mis à disposition de l'ensemble de la communauté universitaire élargie. Il est soumis à la propriété intellectuelle
Plus en détailConsidérations médicales issues de la Norme EN 60825-1 (C 43-805) de juillet 1994, concernant les effets du rayonnement laser sur l'œil
Annexe I Considérations médicales issues de la Norme EN 60825-1 (C 43-805) de juillet 1994, concernant les effets du rayonnement laser sur l'œil NORME EN 60825-1 (C 43-805) DE JUILLET 1994 - CONSIDERATIONS
Plus en détailRayonnements dans l univers
Terminale S Rayonnements dans l univers Notions et contenu Rayonnements dans l Univers Absorption de rayonnements par l atmosphère terrestre. Etude de documents Compétences exigibles Extraire et exploiter
Plus en détailAiryLab. 34 rue Jean Baptiste Malon, 04800 Gréoux les Bains. Rapport de mesure
AiryLab. 34 rue Jean Baptiste Malon, 04800 Gréoux les Bains Rapport de mesure Référence : 2014-07001 FJ Référence 2014-07001 Client xxx Date 14/02/2014 Type d'optique Triplet ED Opérateur FJ Fabricant
Plus en détailChapitre 2 : étude sommaire de quelques instruments d optique 1 Grandeurs caractéristiques des instruments d optique Grossissement
Chapitre 2 : étude sommaire de quelques instruments d optique 1 Grandeurs caractéristiques des instruments d optique Grossissement Puissance Pouvoir de résolution ou pouvoir séparateur Champ 2 l œil comme
Plus en détailLe Laser femtoseconde Quel avenir? Quel positionnement?
PROJET BIOMEDICAL Sujet Le Laser femtoseconde Quel avenir? Quel positionnement? BONNARD Maud GUERIN Mathilde Département Biomédical Promotion 2008 Abstract Introduction Les Principaux défauts de la vision
Plus en détailModule HVAC - fonctionnalités
Module HVAC - fonctionnalités Modèle de radiation : DO = Discrete Ordinates On peut considérer l échauffement de solides semi transparents causé par le rayonnement absorbé par le solide. On peut également
Plus en détailLa spectrophotométrie
Chapitre 2 Document de cours La spectrophotométrie 1 Comment interpréter la couleur d une solution? 1.1 Décomposition de la lumière blanche En 1666, Isaac Newton réalise une expérience cruciale sur la
Plus en détailANALYSE SPECTRALE. monochromateur
ht ANALYSE SPECTRALE Une espèce chimique est susceptible d interagir avec un rayonnement électromagnétique. L étude de l intensité du rayonnement (absorbé ou réémis) en fonction des longueurs d ode s appelle
Plus en détailLE PHYSICIEN FRANCAIS SERGE HAROCHE RECOIT CONJOINTEMENT LE PRIX NOBEL DE PHYSIQUE 2012 AVEC LE PHYSICIEN AMERCAIN DAVID WINELAND
LE PHYSICIEN FRANCAIS SERGE HAROCHE RECOIT CONJOINTEMENT LE PRIX NOBEL DE PHYSIQUE 0 AVEC LE PHYSICIEN AMERCAIN DAVID WINELAND SERGE HAROCHE DAVID WINELAND Le physicien français Serge Haroche, professeur
Plus en détailLes impulsions laser sont passées en quarante ans de la
Toujours plus court : des impulsions lumineuses attosecondes Les impulsions laser «femtoseconde» sont devenues routinières dans de nombreux domaines de la physique. Elles sont exploitées en particulier
Plus en détailLa plateforme laser intelligente pour le traitement des lésions cutanées et l épilation
La plateforme laser intelligente pour le traitement des lésions cutanées et l épilation Découvrez la plate-forme Xlase Plus La technologie laser est aujourd hui de plus en plus utilisée dans les traitements
Plus en détailExposition des salariés aux rayonnements optiques artificiels
Exposition des salariés aux rayonnements optiques artificiels Direction de la Santé - Division de la Santé au Travail SOMMAIRE [ p. 4 - p. 5 ] Introduction [ p. 6 - p. 7 ] Législation Obligations de l
Plus en détailINTERET D UN LASER CHIRURGICAL EN CLIENTELE CANINE
ÉCOLE NATIONALE VETERINAIRE D ALFORT Année 2010 INTERET D UN LASER CHIRURGICAL EN CLIENTELE CANINE THESE Pour le DOCTORAT VETERINAIRE Présentée et soutenue publiquement devant LA FACULTE DE MEDECINE DE
Plus en détailPOLY-PREPAS Centre de Préparation aux Concours Paramédicaux. - Section Orthoptiste / stage i-prépa intensif -
POLY-PREPAS Centre de Préparation aux Concours Paramédicaux - Section Orthoptiste / stage i-prépa intensif - 1 Suite énoncé des exos du Chapitre 14 : Noyaux-masse-énergie I. Fission nucléaire induite (provoquée)
Plus en détailCaractérisation non linéaire de composants optiques d une chaîne laser de forte puissance
Caractérisation non linéaire de composants optiques d une chaîne laser de forte puissance Stéphane Santran Co-tutelle : Centre de Physique Moléculaire Optique et Hertzienne (CPMOH), Talence Laurent Sarger
Plus en détailIR Temp 210. Thermomètre infrarouge. Des techniques sur mesure
IR Temp 210 Thermomètre infrarouge Contenu 1. Spécifications...26 2. Touches et affichages...28 3. Utilisation...30 4. Entretien...31 5. Elimination des piles et de l appareil...31 6. Tableau de facteur
Plus en détailMesures de PAR. Densité de flux de photons utiles pour la photosynthèse
Densité de flux de photons utiles pour la photosynthèse Le rayonnement lumineux joue un rôle critique dans le processus biologique et chimique de la vie sur terre. Il intervient notamment dans sur les
Plus en détailLa recherche d'indices par fluorescence
La recherche d'indices par fluorescence Ces sources d éclairage à haute intensité permettent, en fluorescence, la mise en évidence d indices qui ne sont pas visibles ou peu à l oeil nu. Ex : empreintes
Plus en détailGuide d utilisation des LASER
Guide d utilisation des LASER Mai 2013 Mikael Leduc, département de génie physique Officier en Sécurité Laser Table des matières 1. Laser 1.1 Classes et dangers p.2 1.2 Exposition maximum permise p.3 2.
Plus en détail7. Exemples de tests pour détecter les différents troubles de la vision.
7. Exemples de tests pour détecter les différents troubles de la vision. 7.1 Pour la myopie (mauvaise vue de loin) : Test de vision de loin Sur le mur d un pièce, fixez l illustration ci-dessous que vous
Plus en détailComment réaliser physiquement un ordinateur quantique. Yves LEROYER
Comment réaliser physiquement un ordinateur quantique Yves LEROYER Enjeu: réaliser physiquement -un système quantique à deux états 0 > ou 1 > -une porte à un qubitconduisant à l état générique α 0 > +
Plus en détailApplication à l astrophysique ACTIVITE
Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.
Plus en détailINTRODUCTION À LA SPECTROSCOPIE
INTRODUCTION À LA SPECTROSCOPIE Table des matières 1 Introduction : 2 2 Comment obtenir un spectre? : 2 2.1 Étaller la lumière :...................................... 2 2.2 Quelques montages possibles
Plus en détailSUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION)
Terminale S CHIMIE TP n 2b (correction) 1 SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION) Objectifs : Déterminer l évolution de la vitesse de réaction par une méthode physique. Relier l absorbance
Plus en détailLes interférences lumineuses
Les interférences lumineuses Intérêt de l étude des interférences et de la diffraction : Les interférences sont utiles pour la métrologie, la spectrométrie par transformée de Fourier (largeur de raie),
Plus en détailSPECTROSCOPIE D ABSORPTION DANS L UV- VISIBLE
18 CHAPITRE III SPECTROSCOPIE D ABSORPTION DANS L UV- VISIBLE La spectroscopie d absorption dans l UV et le visible est une méthode très commune dans les laboratoires. Elle est basée sur la propriété des
Plus en détailRISQUES BIOLOGIQUES DUS AUX LASERS
RISQUES BIOLOGIQUES DUS AUX LASERS RISQUES BIOLOGIQUES DUS AUX LASERS par Pascale CAILLARD Médecin du travail APSMT 3, rue Michel Bégon 41018 BLOIS CEDEX par la CRAM DU CENTRE OFFERT GRACIEUSEMENT SOMMAIRE
Plus en détailLes moyens d observations en astronomie & astrophysique
Les moyens d observations en astronomie & astrophysique Unité d Enseignement Libre Université de Nice- Sophia Antipolis F. Millour PAGE WEB DU COURS : www.oca.eu/fmillour cf le cours de Pierre Léna : «L
Plus en détailETUDE QUANTITATIVE D UN LASER PULSE A LIQUIDE APROTIQUE POLAIRE
ETUDE QUANTITATIVE D UN LASER PULSE A LIQUIDE APROTIQUE POLAIRE Abstract. It is first demonstrated how it is possible to calculate the amplification coefficient of a laser medium from the efficiency slopes
Plus en détailAiryLab. 12 impasse de la Cour, 83560 Vinon sur Verdon. Rapport de mesure
AiryLab. 12 impasse de la Cour, 83560 Vinon sur Verdon Rapport de mesure Référence : 2010-44001 FJ Référence 2010-44001 Client Airylab Date 28/10/2010 Type d'optique Lunette 150/1200 Opérateur FJ Fabricant
Plus en détailSpectrophotométrie - Dilution 1 Dilution et facteur de dilution. 1.1 Mode opératoire :
Spectrophotométrie - Dilution 1 Dilution et facteur de dilution. 1.1 Mode opératoire : 1. Prélever ml de la solution mère à la pipette jaugée. Est-ce que je sais : Mettre une propipette sur une pipette
Plus en détailNi tout noir, ni tout blanc Consignes Thème I - Observer
Ni tout noir, ni tout blanc Consignes Thème I - Observer BUT : Etudier les synthèses additives et soustractives Comprendre la notion de couleur des objets COMPETENCES : Rechercher et trier des informations
Plus en détailIPL SHR MED-120C+ Super Hair Removal, dépilation permanente
IPL SHR MED-120C+ Super Hair Removal, dépilation permanente M o d e d ' e m p l o i La dernière version de cette brochure est disponible sur notre site www.ophethom.com dans l espace professionnel Traduction
Plus en détailRELIÉE AUX LASERS MARIE-JOSÉE ROSS
L A S É C UR I T É RELIÉE AUX LASERS MARIE-JOSÉE ROSS L A S É C UR I T É RELIÉE AUX LASERS MARIE-JOSÉE ROSS LA SÉCURITÉ RELIÉE AUX LASERS Conception et rédaction Marie-Josée Ross, ing. Conception graphique,
Plus en détailBACCALAURÉAT TECHNOLOGIQUE STD ARTS APPLIQUÉS
BACCALAURÉAT TECHNOLOGIQUE STD ARTS APPLIQUÉS SESSION 2014 ÉPREUVE : PHYSIQUE-CHIMIE Durée : 2 heures Coefficient : 2 La calculatrice (conforme à la circulaire N 99-186 du 16-11-99) est autorisée. La clarté
Plus en détailDIPLÔME INTERUNIVERSITAIRE D ECHOGRAPHIE. Examen du Tronc Commun sous forme de QCM. Janvier 2012 14 h à 16 h
ANNEE UNIVERSITAIRE 2011-2012 DIPLÔME INTERUNIVERSITAIRE D ECHOGRAPHIE Examen du Tronc Commun sous forme de QCM Janvier 2012 14 h à 16 h Les modalités de contrôle se dérouleront cette année sous forme
Plus en détailFluorescent ou phosphorescent?
Fluorescent ou phosphorescent? On entend régulièrement ces deux termes, et on ne se préoccupe pas souvent de la différence entre les deux. Cela nous semble tellement complexe que nous préférons rester
Plus en détailIndicateur d'unité Voyant Marche/Arrêt
Notice MESURACOLOR Colorimètre à DEL Réf. 22020 Indicateur d'unité Voyant Marche/Arrêt Indicateur Etalonnage Bouton Marche/Arrêt Indicateur de sélection de la longueur d'onde Indicateur de mode chronomètre
Plus en détailUniversité de Nice Sophia Antipolis Licence de physique
Université de Nice Sophia Antipolis Licence de physique Projet tutoré en laboratoire : Année 2009/2010 Miradji Faoulat Barnaoui Serine Ben Abdeljellil Wael Encadrant : Mr. Anders Kastberg 1 Remerciement
Plus en détailLES LASERS EN DERMATOLOGIE
1 LES LASERS EN DERMATOLOGIE Dr Hervé VAN LANDUYT Dermatologue - Attaché au CHU St Jacques Adresse personnelle : 36 grande rue - 25000 Besançon Si la conception physique du laser est ancienne (Einstein),
Plus en détailQu est-ce qu un ordinateur quantique et à quoi pourrait-il servir?
exposé UE SCI, Valence Qu est-ce qu un ordinateur quantique et à quoi pourrait-il servir? Dominique Spehner Institut Fourier et Laboratoire de Physique et Modélisation des Milieux Condensés Université
Plus en détailLes rayons X. Olivier Ernst
Les rayons X Olivier Ernst Lille La physique pour les nuls 1 Une onde est caractérisée par : Sa fréquence F en Hertz (Hz) : nombre de cycle par seconde Sa longueur λ : distance entre 2 maximum Sa vitesse
Plus en détailChapitre 6 La lumière des étoiles Physique
Chapitre 6 La lumière des étoiles Physique Introduction : On ne peut ni aller sur les étoiles, ni envoyer directement des sondes pour les analyser, en revanche on les voit, ce qui signifie qu'on reçoit
Plus en détailPHOTO PLAISIRS. La Lumière Température de couleur & Balance des blancs. Mars 2011 Textes et Photos de Bruno TARDY 1
PHOTO PLAISIRS La Lumière Température de couleur & Balance des blancs Mars 2011 Textes et Photos de Bruno TARDY 1 Blanc Infrarouge Flash Température Lumière RVB Couleur chaude Couleur Couleur Couleur Incandescente
Plus en détailPHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Spectrophotomètre à réseau
PHYSIQUE-CHIMIE L absorption des radiations lumineuses par la matière dans le domaine s étendant du proche ultraviolet au très proche infrarouge a beaucoup d applications en analyse chimique quantitative
Plus en détailUn spectromètre à fibre plus précis, plus résistant, plus pratique Concept et logiciel innovants
& INNOVATION 2014 NO DRIVER! Logiciel embarqué Un spectromètre à fibre plus précis, plus résistant, plus pratique Concept et logiciel innovants contact@ovio-optics.com www.ovio-optics.com Spectromètre
Plus en détailEnseigner la prévention des risques professionnels. Éclairage et vision. Fiches principales
Enseigner la prévention des risques professionnels Éclairage et vision Fiches principales EV 1 OBJECTIF : Identifier les caractéristiques physiques de la lumière et de l environnement lumineux de travail
Plus en détailNouvelles techniques d imagerie laser
Nouvelles techniques d imagerie laser Les chimistes utilisent depuis longtemps les interactions avec la lumière pour observer et caractériser les milieux organiques ou inorganiques. La présence, dans la
Plus en détailLA CHIRURGIE DE LA CATARACTE. Comment se déroule la chirurgie de la cataracte?
LA CHIRURGIE DE LA CATARACTE Comment se déroule la chirurgie de la cataracte? Une intervention de routine En France, plus de 500 000 chirurgies de la cataracte sont réalisées chaque année. L intervention
Plus en détailBien voir pour bien conduire
Bien voir pour bien conduire Bien voir pour sa sécurité Que signifie avoir une bonne vue? Voir bien donne plus d assurance sur la route. Diverses études récentes prouvent qu une bonne vue et une perception
Plus en détailIris. Cornée. Pupille. Cristallin
FORMATION EN SÉCURITÉ DES LASERS Macula Rétine Iris Cornée Nerf optique Corps vitré Cristallin Pupille Formation Sécurité laser Section 1: Concepts de base 1 Système international (SI) d unitd unités Unité
Plus en détailLa Fibre Optique J BLANC
La Fibre Optique J BLANC Plan LES FONDAMENTAUX : LA FIBRE OPTIQUE : LES CARACTÉRISTIQUES D UNE FIBRE : TYPES DE FIBRES OPTIQUES: LES AVANTAGES ET INCONVÉNIENTS DE LA FIBRE : QUELQUES EXEMPLES DE CÂBLES
Plus en détailpka D UN INDICATEUR COLORE
TP SPETROPHOTOMETRIE Lycée F.BUISSON PTSI pka D UN INDIATEUR OLORE ) Principes de la spectrophotométrie La spectrophotométrie est une technique d analyse qualitative et quantitative, de substances absorbant
Plus en détailChapitre II PHÉNOMÈNES RADIATIFS: PROPRIÉTÉS D EMISSION. f AB = mc 2 e 2. β 1 k(υ)dυ N
1 Chapitre II PHÉNOMÈNES RADIATIFS: PROPRIÉTÉS D EMISSION Compte tenu des règles de sélection une émission peut être observée si un gap d énergie important existe entre l état fondamental et un des états
Plus en détailActivité 1 : Rayonnements et absorption par l'atmosphère - Correction
Activité 1 : Rayonnements et absorption par l'atmosphère - Correction Objectifs : Extraire et exploiter des informations sur l'absorption des rayonnements par l'atmosphère terrestre. Connaitre des sources
Plus en détailLAMPES FLUORESCENTES BASSE CONSOMMATION A CATHODE FROIDE CCFL
LAMPES FLUORESCENTES BASSE CONSOMMATION A CATHODE FROIDE CCFL Economisons notre énergie et sauvons la planète Présentation générale 2013 PRESENTATION I. Principes de fonctionnement d une ampoule basse
Plus en détailTEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE
TEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE Compétences mises en jeu durant l'activité : Compétences générales : Etre autonome S'impliquer Elaborer et réaliser un protocole expérimental en toute sécurité Compétence(s)
Plus en détailLaser Médicaux esthétiques Technologie Principales indications Protocoles. Congrès La Rochelle 2011 Philippe CADIC pcadic@gmail.
Laser Médicaux esthétiques Technologie Principales indications Protocoles Congrès La Rochelle 2011 Philippe CADIC pcadic@gmail.com Conflit d intérêt Pas de conflit d intérêt significatif pour cette présentation
Plus en détailMécanique Quantique EL OUARDI EL MOKHTAR LABORATOIRE MÉCANIQUE & ÉNERGÉTIQUE SPÉCIALITÉ : PROCÈDES & ÉNERGÉTIQUE. E-MAIL : dataelouardi@yahoo.
Mécanique Quantique EL OUARDI EL MOKHTAR LABORATOIRE MÉCANIQUE & ÉNERGÉTIQUE SPÉCIALITÉ : PROCÈDES & ÉNERGÉTIQUE E-MAIL : dataelouardi@yahoo.fr Site Web : dataelouardi.jimdo.com La physique en deux mots
Plus en détailSur le grossissement des divers appareils pour la mesure des angles par la réflexion d un faisceau lumineux sur un miroir mobile
Sur le grossissement des divers appareils pour la mesure des angles par la réflexion d un faisceau lumineux sur un miroir mobile W. Lermantoff To cite this version: W. Lermantoff. Sur le grossissement
Plus en détailObjectifs pédagogiques : spectrophotomètre Décrire les procédures d entretien d un spectrophotomètre Savoir changer l ampoule d un
CHAPITRE 6 : LE SPECTROPHOTOMETRE Objectifs pédagogiques : Citer les principaux éléments d un dun spectrophotomètre Décrire les procédures d entretien d un spectrophotomètre p Savoir changer l ampoule
Plus en détailPour commencer : Qu'est-ce que la diffraction? p : 76 n 6 : Connaître le phénomène de diffraction
Compétences exigibles au baccalauréat Savoir que l'importance du phénomène de diffraction est liée au rapport de la longueur d'onde aux dimensions de l'ouverture ou de l'obstacle. Exercice 19 p : 78 Connaître
Plus en détailInteractions des rayonnements avec la matière
UE3-1 : Biophysique Chapitre 2 : Interactions des rayonnements avec la matière Professeur Jean-Philippe VUILLEZ Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailDr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires
Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique
Plus en détail101 Adoptée : 12 mai 1981
LIGNE DIRECTRICE DE L OCDE POUR LES ESSAIS DE PRODUITS CHIMIQUES 101 Adoptée : 12 mai 1981 «Spectres d'absorption UV-VIS» (Méthode spectrophotométrique) 1. I N T R O D U C T I O N I n f o r m a t i o n
Plus en détailProfesseur Eva PEBAY-PEYROULA
3-1 : Physique Chapitre 8 : Le noyau et les réactions nucléaires Professeur Eva PEBAY-PEYROULA Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés. Finalité du chapitre
Plus en détailL'ORDINATEUR ET LA VUE
45 L'ORDINATEUR ET LA VUE On parle beaucoup des troubles liés au travail devant écran d'ordinateur. Qu'en est-il des recherches dans ce domaine? On peut dire que les problèmes de la vision sur écran en
Plus en détailActivité scientifique et recherche :
L INSTITUT DE L ŒIL Notre Mission: L Institut de l Œil de Montréal a pour mission d offrir à chaque patient, une évaluation individuelle de l état de santé de ses yeux, qui tient compte de l ensemble de
Plus en détailBaccalauréat Professionnel. Microtechniques. Session 2012 DOSSIER TECHNIQUE (DT)
Baccalauréat Professionnel Microtechniques Session 2012 E2 - EPREUVE DE TECHNOLOGIE Préparation d une intervention microtechnique DOSSIER TECHNIQUE (DT) Session : 2012 Dossier Technique Page 1 sur 8 A
Plus en détailMise en pratique : Etude de spectres
Mise en pratique : Etude de spectres Introduction La nouvelle génération de spectromètre à détecteur CCD permet de réaliser n importe quel spectre en temps réel sur toute la gamme de longueur d onde. La
Plus en détailFICHE 1 Fiche à destination des enseignants
FICHE 1 Fiche à destination des enseignants 1S 8 (b) Un entretien d embauche autour de l eau de Dakin Type d'activité Activité expérimentale avec démarche d investigation Dans cette version, l élève est
Plus en détail