Dépistage du cancer du col uterin. PR J.P.DAURES Septembre 2015 UM LMNT 1

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Dépistage du cancer du col uterin. PR J.P.DAURES Septembre 2015 UM LMNT 1"

Transcription

1 Dépistage du cancer du col uterin PR J.P.DAURES Septembre 2015 UM LMNT 1

2 Cancer du Col Utérin en France ( ) (Francim, Inserm, InvS, InCA. 2013) 2012 : 3028 nouveaux cas 18 rang sur les 19 examines Taux d incidence standardisée : 6,7 / Mortalité : 1102 décès 16 rang sur les 19 examines Taux de mortalité standardisée : 1,8 / Prevalence partielle a 5 ans:12374 femmes Prevalence partielle a 10 ans:22325 femmes Prevalence totale: femmes 2

3 Cancer du Col Utérin en France ( ) (Francim, Inserm, InvS, InCA. 2013) Tendance : Incidence diminue de 1980 à 2000 : 2,5 % par an de 2005 à 2012: 1,2 % par an ( de 15/ à 6.7/100000) Risque cumulatif d avoirun cancer du col entre 0 et 74 ans Fonction de la cohorte de naissance 1930 : 1,65 % 1960 : 0,21 % Stables en incidence et mortalité depuis les cohortes de

4 Cancer du Col Utérin en France ( ) (Francim, Inserm, InvS, InCA. 2013) Tendance : Mortalite diminue Mortalité en fonction de l année (SM) -3,2 % de 1980à2012(de 5/100000à 1,8/100000) -2 % de 2005à2012 Effet connu dans tous les pays de monde utilisant le dépistage Les facteurs de risque sont connus et liés essentiellement à l HPV : effet de l hygiène, du suivi et des traitements des lésions pré-cancéreuses Histoire naturelle bien connue (continuum) 4

5 Cancer du Col Utérin en France ( ) (Francim, Inserm, InvS, InCA. 2013) ans Infection HPV pré cancer cancer du col ans Impact de la vaccination Pronostic : survie nette à 5 10 ans : 66 % et 59 % Mais la survie à 5 ans diminue : si diagnostic en : 68 % si diagnostic en : 64 % Ceci car selection de cancer de mauvais pronostic 5

6 Cancer du Col Utérin en France ( ) (Francim, Inserm, InvS, InCA. 2013) Effet region département Incidence: (50 % regions:entre 6.7 et 7.5/100000) Les plus eleves: corse(9.4/ ,2%) Paca(7.7/ ,2%) Picardie (7.4/ ,8%) Bourgogne(7.4/ %) Les plus bas Pays de Loire(4.8/ %) Alsace(5.3/ %) Auvergne(5.3/ %) Rhone Alpes(5.3/ %) Languedoc Roussillon: entre 7.1 et 7.7/

7 Cancer du Col Utérin en France ( ) (Francim, Inserm, InvS, InCA. 2013) Effet region département Mortalite (ecart faible:1.5 à 2.5 /100000) Les plus eleves: Picardie (2.5/100000) Nord pas de calais(2.5/100000) Les plus bas Pays de Loire,Aquitaine,Franche compte(1.6/100000) Limousin(1.8/100000) midi pyrennées(1.7/100000) Rhone Alpes(1.5/ ) Languedoc roussillon:2 à 2.1/

8 Cancer du Col Utérin en France ( ) (Francim, Inserm, InvS, InCA. 2013) Conclusion Tres bon pronostic si dépisté à un stade precoce Taux de survie relative à 5ans stade local:91,5% stade regional:57,7% stade metastatique 17,2% Interêt du dépistage evident adenocarcinomes? cancers evolutifs 8

9 Résultats de l évaluation du programme expérimental de dépistage organisé du cancer du col de l utérus France (BEH mai 2014) Période départements : Alsace, Isère, Martinique, Auvergne, Cher, Indre et Loire, Maine et Loire, Réunion, Val de Marne (données agrégées de l InVS) Représente 13,4 % de la population cible de 25 à 65 ans sans frottis au cours des 3 années précédentes Population : 1, femmes Frottis à répéter tous les 3 ans après 2 frottis négatifs à un an d intervalle Croisement des bases Anapath et des caisses locales d assurance maladie 9

10 Résultats de l évaluation du programme expérimental de dépistage organisé du cancer du col de l utérus France (BEH mai 2014) Méthode : On incite les femmes entre 25 et 65 ans révolus qui n ont pas réalisé de frottis depuis 3 ans (relance dans les 9 à 12 mois suivant l incitation) On recueille tous les résultats des DI ou des frottis suite à l incitation 10

11 Résultats de l évaluation du programme expérimental de dépistage organisé du cancer du col de l utérus France (BEH mai 2014) Taux de couverture : il varie entre 41 % et 72,5 % La part de DO dans cette couverture varie de 9 % à 21,5 % Le taux moyen de participation dans les 12 mois est Par vague d incitation : il varie entre 9,7 % et 21,4 % Par vague de relance : entre 8,9 % et 13,6 % Le taux de frottis non satisfaisants varie entre 0,4 % et 2,6 % Donc Aucun département n a atteint le taux de couverture de 80 % (Loi de Santé Publique) mais 3 départements (Bas Rhin, Haut Rhin et Isère) dépassent 70 % 11

12 Résultats de l évaluation du programme expérimental de dépistage organisé du cancer du col de l utérus France (BEH mai 2014) Le taux de couverture des DI est de 56,6 % en France (estimation basse) en Elle dépend du département Donc le DO apporte en moyenne une couverture supplémentaire de 13,2 points ; il faudra le calculer sur 5 années pour tenir compte du décalage des premières années La performance des incitations et relances à 12 mois est respectivement de 16,4 % et de 9,9 % ( femmes ont réalisé un dépistage suite au programme) 12

13 Résultats de l évaluation du programme expérimental de dépistage organisé du cancer du col de l utérus France (BEH mai 2014) Proportion de frottis non satisfaisants 2 % (voisin du cahier des charges : 2 %) Proportion de frottis anormaux voisin de 4 % pour la majorité des départements métropolitains (voisin du cahier des charges : 4 %) Conclusion : gain positif car le système de frottis dû au dépistage concerne des populations plutôt défavorisées. 13

14 Résultats de l évaluation du programme expérimental de dépistage organisé du cancer du col de l utérus en Alsace Lettre d incitation(25-65) GAIN DE PARTICIPATION( de 56,6% à 86,1%)surtout chez les plus de 50 ans Augmentation de participation+assurance qualite:réduction de la mortalité par cancer du col de 19%[10 dc ev ités par anen ALSACE] 1,2 euro par femme dépistée Cout par année de vie gagnée:22000 e 14 97% des cancers du col pourraient être évites

15 Tendance du cancer du col utérin aux USA : étude sur 35 ans (J.W.H 2012 Adegokaet all) CONCLUSION Ces résultats confortent ceux déjà publiés aux USA Malgré la diminution d incidence chez les femmes noires, l incidence reste plus élevée chez les noires que chez les blanches Même quand les taux de dépistage sont les mêmes, les femmes noires peuvent être moins bien suivies et traitées que les blanches après un frotti anormal Il y a un changement dans les types histologiques ainsi que dans les évolutions puisque les adénocarcinomes augmentent chez les femmes blanches 15

16 Tendance du cancer du col utérin aux USA : étude sur 35 ans (J.W.H 2012 Adegokaet all) CONCLUSION Pourquoi une augmentation des adénocarcinomes chez les femmes blanches? Effet du dépistage : les adécarcinomes n étaient pas diagnostiqués avant et/ou ils n étaient pas étiquetés comme des adénocarcinomes (Smith G.O 2000, Rassad G.O 2007, Katki A.O.G Scand 1998) Effet du dépistage : il est plus efficace pour les squameux que pour les adénocarcinomes Exp : (Islande) Se cyto =0,81 pour les pré invasifs squameux après 3 ans et Se cyto =0,42 pour les pré invasifs adénocarcinomes. Mais certains trouvent qu il n y a pas de réduction 16

17 Tendance du cancer du col utérin aux USA : étude sur 35 ans (J.W.H 2012 Adegokaet all) CONCLUSION L histoire naturelle du passage de l adénocarcinome pré invasif à l adénocarcinome invasif est non claire Chez les femmes blanches il y a une augmentation du risque d adénocarcinome avec la parité et la consommation de CO (on le retrouve aussi par un effet cohorte) On constate aussi que l utilisation de la CO est moins fréquence chez les femmes noires que chez les femmes blanches 17

18 Tendance du cancer du col utérin aux USA : étude sur 35 ans (J.W.H 2012 Adegokaet all) CONCLUSION L HPV 16 et 18 sont responsables d environ 70 % des cancers squameux et de 80 % des adénocarcinomes Donc la vaccination peut avoir un effet sur les adénocarcinomes et la détection des HPV aussi (un test HPV détecte 3 fois plus d adénocarninomes que le frottis : 17 % vs 78 %) Quel est l intérêt de détecter des lésions préadénocarcinomiennes ; on ne connait pas le lien exact mais on sait que de très petits pré-adénocarcinomes peuvent rapidement devenir invasifs 18

19 Le dépistage est-il utile entre 15 et 25 ans? (WH popaduic, 2012) Étude Canadienne entre 1970 et 2007 Registre Canadien des Tumeurs Total de cancers : 85 ( 2004) ; : 909 ; : 3534 Incidence dans cette tranche d âge (cancer invasif) : ans Constante sur la période Varie entre 3,2 pour à 1,2 pour avec légère diminution au cours du temps ans : 11,1 à 6,3 pour

20 Le dépistage est-il utile entre 15 et 25 ans? (WH popaduic, 2012) Décès : rares chez les ans : 0,9 à 0,5 pour ( à ) chez les ans : baisse des carcinomes du col utérin avec une augmentation relative des adénocarnicomes ans : pas de décès ans : 0,1 à 0,2 pour

21 Le dépistage est-il utile entre 15 et 25 ans? (WH popaduic, 2012) La littérature montre que En Finlande le recul de l âge au début du dépistage à 30 ans n a pas entrainé une augmentation de l incidence avant 30 ans Seuls 30 % des carcinomes in situ progressent en invasifs sur les 30 ans La majorité des lésions découvertes avant 30 ans régressent et leur prise en charge peut être délétère 21

22 Dépistage cytologique VS dépistage HPV Le dépistage cytologique a montré son efficacité et son coût efficacité depuis longtemps Le dépistage par frottis cervical entraine un sur traitement important au sens où quand on prévient un cancer du col, on traite 6 à 8 CIN avec ses conséquences Le taux de participation doit être important 22

23 Dépistage cytologique VS dépistage HPV Les essais randomisés ont comparé le dépistage par cytologie au dépistage par test HPV (soit HC2 soit GPS+/GPS + PCR) Gain dans l avance au diagnostic Ceci se traduit par un RR de diminution de l incidence du cancer du col de 0,6 (0,4 0,89) à 6,5 années Si HPV négatif à 5,5 ans, l incidence du cancer du col est inférieure à celle avec une cytologie normale à 3,5 ans 23

24 Dépistage cytologique VS dépistage HPV Donc l intervalle inter test est plus long pour l HPV que pour la cytologie Mais les suivis lourds sont beaucoup plus importants avec l HPV qu avec le FCV Donc il faut construire des algorithmes pour définir les modalités de dépistages optimales 24

25 Vaccination anti HPV Vaccins à ou 4 valences (GARDASIL) 2 valences (CERVARIX GLAXOSMITHKLINE) Essais au Danemark ( ) avec GARDASIL Octobre 2008: de ans a partir de 2009: de 12 ans :vaccinations aussi des de 19 à 26 ans En2013: de 13 à 15 ans : participation : de 87 à 90 % pourau moins 1 dose - 81 % à 82 % ont reçu les 3 doses En2015: revaccination pourles femmes vaccinées à l âge de 13 à 15 ans Essai randomisé chez les femmes ayant moins de 4 partenaires entre 16 et 24 ans 25

26 Vaccination anti HPV Résultats : Effet sur les lésions CIN2+ Dépend du type de femme : naïve (sans infection antérieure à HPV) non naïve (infection antérieure à HPV) Effet sur le CIN2+ Naïve : 98 % à 100 % si type adapté au vaccin 70 % pour tous les CIN2+ Non naïve : 44 % à 55 % si type adapté au vaccin 17 % à 20 % pour tous les CIN2+ 26

27 Vaccination anti HPV Résultats : DANEMARK de 23 à 29 ans : 33 à 43 % ont un type HPV à haut risque donc elles ne bénéficient que très peu de la vaccination Ceci est retrouvé dans une étude Australienne Effets adverses : très rares ou mineurs (DANEMARK et SUEDE) 27

28 Vaccination anti HPV DANEMARK(projection,femmes naives) Compte tenu de la répartition des sérotypes des HPV avec:100 % de vaccination 100 % d efficacité Vaccin 4 valences : on évite 52 % des cancers du col si HPV 16/18 sont l agent du cancer. Chez les femmes à haut risque HPV, on évite 74 % des cancers du col Pour CIN3 : taux respectifs : 26 % et 40 % Si vaccin à 9 valences : on évite 89 % des cancers du col 91 % des CIN3 Ceci au long cours avec les femmes «naïves» (donc pas atteintes dans les 30 ans) 28

29 Vaccination anti HPV Si une femme est non vaccinée et a eu un CIN2/3 traité avec excision électro chirurgicale, si on vaccine après, il y a une réduction de 65 % de la récurrence de CIN2/3 Mais la méthodologie est insuffisante et actuellement la vaccination pst traitement n est pas recommandée. 29

30 Recommandations HAS 2010 Plan cancer DO du cancer du col Supérieur par rapport au «dépistage» spontané Assurance qualité Évaluable Acteurs traditionnels : MG, Gynéco, SF, Anapath, Biologistes Concerne toutes les femmes entre 25 et 65 ans FCV : tous les 3 ans Actions pour augmenter la participations des femmes 30

31 Recommandations HAS 2010 Plan cancer Etats des lieux Plus de 3000 nouveaux cas et plus de 1400 décès par an 17, de FCV réalisés par an 10 % dans l intervalle recommandé 40 % de femmes dépistées trop fréquemment 50 % de femmes peu ou trop peu dépistées Coûts directs de la prise en charge du cancer du col dont pris en charge par l AM 31

32 Recommandations HAS 2010 Plan cancer LES ACTEURS Implication visant aussi à l information et à la participation TEST DEPISTAGE FCV (traditionnel ou milieu liquide) Tous les 3 ans après 2 frottis négatifs à 1 an d intervalle ans Détection de l HPV en dépistage (organisation, assurance qualité, )? Prélèvements : personnel formé (gynéco, MG, SF) à étendre à d autres professions? avec une incitation financière? Résultats : système Bethesda de 2001, seul recommandé dans le CR anatomopathologique 32

33 Recommandations HAS 2010 Plan cancer Coordination : le médecin traitant Peuvent faire le test ou le réaliser Informer la patiente S assurer de la bonne prise en charge en cas de test positif Assurance qualité Concerne toutes les étapes du dépistage Normes Européennes ou Françaises Contrôle de qualité interne dans tous les cabinets d anapath À compléter pour un contrôle de qualité externe 33

34 Recommandations HAS 2010 Plan cancer Place des Structures de Gestion des Dépistages (sein, colon) Structure de gestion (en lien avec le Médecin traitant) : Invitation individuelle par courrier Contrôle de suivi des tests positifs Gestion des bases de données nécessaires à l évolution du dépistage Modification des circuits et systèmes d informations : Les FCV de dépistage doivent être codés différemment des FCV de suivi (après traitement) Système d information permettant la transmission des données à l ensemble des acteurs concernés par le dépistage Évolution des SI des Anapath dans le but d extraire facilement les informations 34

35 Recommandations HAS 2010 Plan cancer Évaluation de la performance des dépistages Dimensions épidémiologique économique santé publique impact Axe particulier : réduction des inégalités territoriales et sociales de santé dans cette pathologie 35

36 Recommandations HAS 2010 Plan cancer Actions de base Évaluation de la performance des dépistages Femmes de 25 à 65 ans sur tout le territoire + actions spécifiques pour des groupes particuliers (éducation, auto prélèvement si réticence, ) Communication messages adaptés aux caractéristiques de la population concernée messages diffusés en des lieux divers messages très précoces : médecine salariée et universitaire 36

37 Recommandations HAS 2010 Plan cancer Les courriers sur le dépistage du cancer du sein doivent contenir de l information de sensibilisation au dépistage du cancer du col Adaptation des modalités de dépistage à la Guyane Questions Place de test usuel en suivi post thérapeutique? Place de l auto prélèvement? Place de la détection de la protéine P16 par immunochimie Suivi particulier des jeunes filles vaccinées :cohorte? 37

38 Recommandations HAS 2010 Plan cancer Questions Quels algorithmes stratifiés en fonction des divers paramètres (place de test viral, femmes vaccinées, )? Quelle rémunération? Quelle information? 38

39 Recommandations du Haut Conseil de Santé Publique sur le vaccin (2014) Essai clinique mené au Costa-Rica avec Cervarix (Bivalent) Vaccination recommandée chez les jeunes filles de 11 à 14 ans avec un rattrapage à l âge de 19 ans révolus Si âge entre 11 et 14 ans : 2 doses espacées de 6 mois Si 15 à 19 ans révolus : schéma à 3 doses Si âge entre 11 et 14 ans révolus et vaccination avec Cervarix, les deux doses étant espacées de moins de 5 mois, il faut faire une 3 dose de Cervarix cinq mois après la 2 dose Si les deux premières doses ont été administrées avec un délai supérieur ou égal à 5 mois, ces jeunes filles sont considérées comme vaccinées. 39

Programme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention

Programme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention Programme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention Indicateur n 2-3 : Indicateurs sur le dépistage du cancer 1 er sous-indicateur : taux de participation au

Plus en détail

Evolution de la collecte des RPU Réseau OSCOUR

Evolution de la collecte des RPU Réseau OSCOUR Evolution de la collecte des RPU Réseau OSCOUR Vanina BOUSQUET InVS St MAURICE 20 Mai 2014 Journée plénière de la FEDORU SOMMAIRE Etat des lieux des remontée de RPU Etat des lieux des structures régionales

Plus en détail

Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes

Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes Pr Jean Trédaniel Service de pneumologie et oncologie thoracique Groupe Hospitalier Paris Saint Joseph Université Paris Descartes Sources Données

Plus en détail

L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest

L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu id & Société L état des lieux d un pari Le Rapport Cordier 1 Biomarqueurs prédictifs 2 L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu & Société

Plus en détail

LES INSUFFISANCES EN MATIERE D EQUIPEMENTS D IMAGERIE MEDICALE EN FRANCE : ETUDE SUR LES DELAIS D ATTENTE POUR UN RENDEZ-VOUS IRM EN 2013

LES INSUFFISANCES EN MATIERE D EQUIPEMENTS D IMAGERIE MEDICALE EN FRANCE : ETUDE SUR LES DELAIS D ATTENTE POUR UN RENDEZ-VOUS IRM EN 2013 LES INSUFFISANCES EN MATIERE D EQUIPEMENTS D IMAGERIE MEDICALE EN FRANCE : ETUDE SUR LES DELAIS D ATTENTE POUR UN RENDEZ-VOUS IRM EN 2013 Étude réalisée pour Imagerie Santé Avenir 2013 CEMKA-E VAL 43,

Plus en détail

ETAT DES LIEUX DE LA FORMATION INITIALE EN METALLERIE. Atelier de 14h30 16h00

ETAT DES LIEUX DE LA FORMATION INITIALE EN METALLERIE. Atelier de 14h30 16h00 ETAT DES LIEUX DE LA FORMATION INITIALE EN METALLERIE Atelier de 14h30 16h00 Objectifs Identifier les zones en difficultés afin d éviter des fermetures De maintenir des effectifs suffisants dans les CFA

Plus en détail

Données épidémiologiques sur le cancer du col de l utérus

Données épidémiologiques sur le cancer du col de l utérus Maladies chroniques et traumatismes Données épidémiologiques sur le cancer du col de l utérus État des connaissances Actualisation 2008 Dr Nicolas Duport Sommaire Glossaire 2 Définitions Termes utilisés

Plus en détail

BILANS REGIONAUX DE L EMPLOI

BILANS REGIONAUX DE L EMPLOI BILANS REGIONAUX DE L EMPLOI DANS L ECONOMIE SOCIALE EN 2013 Cécile BAZIN Marie DUROS Amadou BA Jacques MALET Octobre 2014 INTRODUCTION Pour la septième année consécutive, l Association des Régions de

Plus en détail

Données épidémiologiques, histoire de la maladie et symptomatologie, facteurs de risque

Données épidémiologiques, histoire de la maladie et symptomatologie, facteurs de risque Dépistage et prévention du cancer du col de l utérus Actualisation du référentiel de pratiques de l examen périodique de santé (EPS) Juin 2013 État des connaissances sur le cancer du col de l'utérus Données

Plus en détail

Etat des lieux de l accès aux plateformes de génétique moléculaire

Etat des lieux de l accès aux plateformes de génétique moléculaire 12 juin 2014 Etat des lieux de l accès aux plateformes de génétique moléculaire CONTEXTE ET OBJECTIFS DE l ETUDE : L action 6.2 du plan cancer 3 «conforter l accès aux tests moléculaires» stipule en particulier

Plus en détail

LA PROPOSITION DE LA VACCINATION ANTI-PAPILLOMAVIRUS: INFORMATIONS TRANSMISES ET VECU DE LA PROPOSITION

LA PROPOSITION DE LA VACCINATION ANTI-PAPILLOMAVIRUS: INFORMATIONS TRANSMISES ET VECU DE LA PROPOSITION LA PROPOSITION DE LA VACCINATION ANTI-PAPILLOMAVIRUS: INFORMATIONS TRANSMISES ET VECU DE LA PROPOSITION ETUDE QUALITATIVE REALISEE AUPRES DE MEDECINS GENERALISTES DU JURA ET DE COUPLES ADOLESCENTES/ REPRESENTANTS

Plus en détail

ISF et intermédiation : Collecte 2009

ISF et intermédiation : Collecte 2009 ISF et intermédiation : Collecte 2009 juillet 2009 1 Contexte et méthodologie Contexte: L AFIC et l AFG ont conduit une enquête pour suivre l impact des mesures dites «ISF PME», et en particulier, pour

Plus en détail

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86 LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT

Plus en détail

Le cancer. les régions de France. dans. Mortalité Incidence Affections de longue durée Hospitalisations. Collection «Les études du réseau des ORS»

Le cancer. les régions de France. dans. Mortalité Incidence Affections de longue durée Hospitalisations. Collection «Les études du réseau des ORS» F N O R S Fédération nationale des observatoires régionaux de la santé ORS de Bretagne, Franche-Comté, Languedoc-Roussillon, Limousin, Pays de la Loire, Rhône-Alpes Le cancer dans les régions de Mortalité

Plus en détail

Pemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée. Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var

Pemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée. Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var Pemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var SFPO Octobre 2009 EPIDEMIOLOGIE Incidence : 1.35 M par an dans le monde (12,4%) 28 000

Plus en détail

Présentation du Programme PHARE. Direction générale de l offre de soins - DGOS

Présentation du Programme PHARE. Direction générale de l offre de soins - DGOS Présentation du Programme PHARE Les achats hospitaliers, levier majeur de performance pour les établissements Achats hospitaliers : 18 Milliards d euros en 2009 Non médicaux 42% Achats Hospitaliers Médicaux

Plus en détail

Bilan d activité des Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) Année 2011. Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie

Bilan d activité des Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) Année 2011. Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie Bilan d activité des Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) Année 2011 Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie Préambule : Les Groupes d Entraide Mutuelle (GEM), régis par les articles L. 114-1-1 et

Plus en détail

Mai 2004. Service évaluation technologique Service évaluation économique

Mai 2004. Service évaluation technologique Service évaluation économique ÉVALUATION DE L INTÉRÊT DE LA RECHERCHE DES PAPILLOMAVIRUS HUMAINS (HPV) DANS LE DÉPISTAGE DES LÉSIONS PRÉCANCÉREUSES ET CANCÉREUSES DU COL DE L UTÉRUS Mai 2004 Service évaluation technologique Service

Plus en détail

Le dépistage des cancers

Le dépistage des cancers Le dépistage des cancers G R A N D P U B L I C Octobre 2009 Le dépistage des cancers Détecter tôt certains cancers permet de les traiter mieux, c'est-à-dire de proposer des traitements moins lourds, et

Plus en détail

Le Fonds spécial des pensions des ouvriers des établissements industriels de l Etat PRESENTATION GENERALE

Le Fonds spécial des pensions des ouvriers des établissements industriels de l Etat PRESENTATION GENERALE Le Fonds spécial des pensions des ouvriers des établissements industriels de l Etat PRESENTATION GENERALE Le Fonds spécial des pensions des ouvriers des établissements industriels de l Etat (FSPOEIE) constitue

Plus en détail

La preuve par. Principaux enseignements du bilan des PRT et. du recensement des projets télémédecine 2013

La preuve par. Principaux enseignements du bilan des PRT et. du recensement des projets télémédecine 2013 La preuve par Principaux enseignements du bilan des PRT et du recensement des projets télémédecine 2013 Le recensement Télémédecine 2013 01 Synthèse du recensement Télémédecine 2013 02 Répartition et maturité

Plus en détail

Construction de logements

Construction de logements COMMISSARIAT GénéRAl au développement durable n 640 Mai 2015 Construction de logements Résultats à fin avril 2015 (France entière) OBSERVATION ET STATISTIQueS logement - CONSTRuCTION Rappel À compter des

Plus en détail

Développement des compétences, construction des parcours, prévention de la pénibilité et de l usure professionnelle, égalité professionnelle,

Développement des compétences, construction des parcours, prévention de la pénibilité et de l usure professionnelle, égalité professionnelle, Des secteurs professionnels et des territoires investis sur les conditions de travail et la qualité de vie au travail L Serge DELTOR Directeur de l ARACT LR Délégué régional de l ANACT Aider les secteurs

Plus en détail

Prise en charge des dysplasies et carcinomes in situ de la surface oculaire au CHT de Nouvelle-Calédonie

Prise en charge des dysplasies et carcinomes in situ de la surface oculaire au CHT de Nouvelle-Calédonie Prise en charge des dysplasies et carcinomes in situ de la surface oculaire au CHT de Nouvelle-Calédonie Congrès de la SFO Mai 2011 M. Le Loir (Brest), E. Mancel (Nouméa), L.W. Hirst (Brisbane) Dysplasie

Plus en détail

Sida : «Avant d arrêter le préservatif, faites le test»

Sida : «Avant d arrêter le préservatif, faites le test» Sida : «Avant d arrêter le préservatif, faites le test» Dossier de presse Juin 2008 Sida : le test du dépistage encore trop peu souvent associé à l arrêt du préservatif dans le couple Situation de l infection

Plus en détail

"La santé des étudiants en 2009"

La santé des étudiants en 2009 Dossier de Presse "La santé des étudiants en 2009" 6ème Enquête Nationale Communiqué de presse. p 2 L USEM et les mutuelles étudiantes régionales.......... p 4 Présentation de l enquête santé... p 5 Méthodologie

Plus en détail

Insuffisance cardiaque et télémédecine: Exemple du Projet E care : prise en charge à domicile des insuffisants cardiaques en stade III

Insuffisance cardiaque et télémédecine: Exemple du Projet E care : prise en charge à domicile des insuffisants cardiaques en stade III Insuffisance cardiaque et télémédecine: Exemple du Projet E care : prise en charge à domicile des insuffisants cardiaques en stade III de la NYHA Emmanuel ANDRES et Samy TALHA Service de Médecine Interne,

Plus en détail

Cancer du sein in situ

Cancer du sein in situ traitements et soins octobre 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome canalaire et carcinome

Plus en détail

Bovins viande. Effectifs troupeaux et animaux par région en 2013. Total élevages. Nbre de veaux pesés en VA0. Nbre de veaux pesés en VA4

Bovins viande. Effectifs troupeaux et animaux par région en 2013. Total élevages. Nbre de veaux pesés en VA0. Nbre de veaux pesés en VA4 Bovins viande Effectifs troupeaux et animaux par région en 2013 Chif Régions Nbre de Nbre de Nbre de troupeaux troupeaux troupeaux adhérents adhérents suivis en en VA4 en VA0 engraissement Nbre de troupeaux

Plus en détail

Recommandations pour le troisième Plan Cancer

Recommandations pour le troisième Plan Cancer RAPPORT À LA MINISTRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ ET À LA MINISTRE DE L'ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR ET DE LA RECHERCHE Recommandations pour le troisième Plan Cancer PROFESSEUR JEAN-PAUL VERNANT JUILLET

Plus en détail

Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer

Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer Information importante pour les personnes atteintes d un cancer du poumon non à petites cellules de stade avancé Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic

Plus en détail

SURVEILLANCE EPIDEMIOLOGIQUE DES TMS EN ENTREPRISES : LES RESULTATS DU SUIVI A TROIS ANS DE LA COHORTE COSALI

SURVEILLANCE EPIDEMIOLOGIQUE DES TMS EN ENTREPRISES : LES RESULTATS DU SUIVI A TROIS ANS DE LA COHORTE COSALI SURVEILLANCE EPIDEMIOLOGIQUE DES TMS EN ENTREPRISES : LES RESULTATS DU SUIVI A TROIS ANS DE LA COHORTE COSALI Elise CHIRON 1, Yves ROQUELAURE 1, Catherine HA 2, Annie TOURANCHET 3, Annette LECLERC 4, Marcel

Plus en détail

OUVERTURE ET MISE EN PLACE

OUVERTURE ET MISE EN PLACE OUVERTURE ET MISE EN PLACE Estelle Marcault 20/01/2012 URC PARIS NORD 1 Ouverture et mise en place Trois types de visites/ réunions peuvent avoir lieu : Visite de sélection Réunion investigateur Visite

Plus en détail

PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris

PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases

Plus en détail

Les prélèvements d eau en France en 2009 et leurs évolutions depuis dix ans

Les prélèvements d eau en France en 2009 et leurs évolutions depuis dix ans COMMISSARIAT GÉNÉRAL AU DÉVELOPPEMENT DURABLE n 29 Février 212 Les prélèvements d eau en France en 29 et leurs évolutions depuis dix ans OBSERVATION ET STATISTIQUES ENVIRONNEMENT En 29, 33,4 milliards

Plus en détail

Dr Marie-Pierre CRESTA. Agence de la biomédecine SRA Sud-Est/Océan Indien. Juin 2014

Dr Marie-Pierre CRESTA. Agence de la biomédecine SRA Sud-Est/Océan Indien. Juin 2014 Dr Marie-Pierre CRESTA Agence de la biomédecine SRA Sud-Est/Océan Indien Juin 2014 Que savoir en tant que citoyen? Les LBE La greffe, ça marche Que savoir en tant que professionnel? Pénurie, contexte épidémiologique

Plus en détail

Recherche documentaire et autoformation. Lecture critique d un article médical. Recommandations pour la pratique. Les maladies orphelines

Recherche documentaire et autoformation. Lecture critique d un article médical. Recommandations pour la pratique. Les maladies orphelines 18. Recherche documentaire et autoformation. Lecture critique d un article médical. Recommandations pour la pratique. Les maladies orphelines KARILA LAURENT - APPRENTISSAGE DE L EXERCICE MÉDICAL + Objectifs

Plus en détail

La mobilité. Au service des Outre-mer

La mobilité. Au service des Outre-mer La mobilité Au service des Outre-mer L Agence de l Outre-mer pour la Mobilité (LADOM) est une agence d Etat au service des originaires et résidents des collectivités d outre-mer. LADOM a pour mission première

Plus en détail

Politique européenne de cohésion 2007-2013 - Etat d avancement des programmes européens

Politique européenne de cohésion 2007-2013 - Etat d avancement des programmes européens au 1er Juin 2015 Politique européenne de cohésion 2007-2013 - Etat d avancement des programmes européens Sommaire Synthèse des objectifs Synthèse générale des programmes européens... 4 Synthèse générale

Plus en détail

21 ème Observatoire des Taux meilleurtaux.com. C O N F É R E N C E D E P R E S S E 3 f é v r i e r 2 0 1 5

21 ème Observatoire des Taux meilleurtaux.com. C O N F É R E N C E D E P R E S S E 3 f é v r i e r 2 0 1 5 21 ème Observatoire des Taux meilleurtaux.com C O N F É R E N C E D E P R E S S E 3 f é v r i e r 2 0 1 5 I TAUX AU PLUS BAS : et si ça continuait? II RENEGOCIATION DE CREDITS : les règles du jeu changent

Plus en détail

café, restaurant & salon de thé DOSSIER DE CANDIDATURE franchise

café, restaurant & salon de thé DOSSIER DE CANDIDATURE franchise DOSSIER DE CANDIDATURE franchise 1. DEMANDEUR PHOTO ÉTAT CIVIL Nom Prénom Date de naissance Lieu de naissance / / Adresse Code postal Téléphone fixe Fax Ville tél portable: E-mail Situation familiale :

Plus en détail

au 1er novembre 2013

au 1er novembre 2013 au 1er novembre 2013 Politique européenne de cohésion 2007-2013 - Etat d avancement des programmes européens Sommaire Synthèse des objectifs Synthèse générale des programmes européens... 4 Synthèse générale

Plus en détail

LES MASTERS 2 DANS LE DOMAINE DES STAPS EN FRANCE 2012/2013 NORD-PAS-DE-CALAIS. Université Lille 2

LES MASTERS 2 DANS LE DOMAINE DES STAPS EN FRANCE 2012/2013 NORD-PAS-DE-CALAIS. Université Lille 2 LES MASTERS 2 DANS LE DOMAINE DES STAPS EN FRANCE 2012/2013 NORD-PAS-DE-CALAIS Université Lille 2 Master STAPS «Grand Nord» - Entraînement et Optimisation de la Performance Sportive _ option Préparations

Plus en détail

METHODOLOGIE GENERALE DE LA RECHERCHE EPIDEMIOLOGIQUE : LES ENQUETES EPIDEMIOLOGIQUES

METHODOLOGIE GENERALE DE LA RECHERCHE EPIDEMIOLOGIQUE : LES ENQUETES EPIDEMIOLOGIQUES Enseignement du Deuxième Cycle des Etudes Médicales Faculté de Médecine de Toulouse Purpan et Toulouse Rangueil Module I «Apprentissage de l exercice médical» Coordonnateurs Pr Alain Grand Pr Daniel Rougé

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 mai 2007 SUTENT 12,5 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 265-0) SUTENT 25 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 266-7) SUTENT 50 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 267-3)

Plus en détail

La survie nette actuelle à long terme Qualités de sept méthodes d estimation

La survie nette actuelle à long terme Qualités de sept méthodes d estimation La survie nette actuelle à long terme Qualités de sept méthodes d estimation PAR Alireza MOGHADDAM TUTEUR : Guy HÉDELIN Laboratoire d Épidémiologie et de Santé publique, EA 80 Faculté de Médecine de Strasbourg

Plus en détail

Les soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio

Les soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio Les soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio Grandes lignes Pourquoi les soins en cancérologie sont-ils un enjeu de santé important? Les

Plus en détail

Observatoire de l équipement audiovisuel des foyers

Observatoire de l équipement audiovisuel des foyers Observatoire de l équipement audiovisuel des foyers 1 er semestre 2013 Réalisé par 1 Édito L Observatoire de l équipement audiovisuel des foyers succède à l Observatoire de l équipement des foyers pour

Plus en détail

Programme AcSé. Accès Sécurisé aux Innovations Thérapeutiques Deux études pilotes : AcSé - crizotinib et AcSé - vémurafenib

Programme AcSé. Accès Sécurisé aux Innovations Thérapeutiques Deux études pilotes : AcSé - crizotinib et AcSé - vémurafenib Programme AcSé Accès Sécurisé aux Innovations Thérapeutiques Deux études pilotes : AcSé - crizotinib et AcSé - vémurafenib G. Vassal, J.Y. Blay, C. Cailliot, N. Hoog-Labouret, F. Denjean, M. Jimenez, A.L.

Plus en détail

Dépistage du cancer colorectal :

Dépistage du cancer colorectal : Dépistage du cancer colorectal : Quels enjeux? Robert Benamouzig Gastro-entérologie Hôpital Avicenne Bobigny Le cancer colorectal dans le monde 3ème cause de cancer Augmentation 1975 : 500 000 cas 1990

Plus en détail

Répondre à un appel à projet - Vie d un projet

Répondre à un appel à projet - Vie d un projet Répondre à un appel à projet - Vie d un projet Carine Coffre 1, Nathalie Juteau 1, Ken Haguenoer 2,3 16 décembre 2011 1. Centre d Investigation Clinique - Inserm 202 CHRU de Tours 2. Laboratoire de Santé

Plus en détail

3 ème plan autisme : Point d étape, un an après son annonce

3 ème plan autisme : Point d étape, un an après son annonce 3 ème plan autisme : Point d étape, un an après son annonce «Le 3 ème plan autisme vise à répondre à la faiblesse criante de la prise en charge de l autisme en France tout en laissant le choix aux familles

Plus en détail

VIH et hépatites Profil des consultants 4 ème trimestre 2000

VIH et hépatites Profil des consultants 4 ème trimestre 2000 CENTRE DE DÉPISTAGE ANONYME ET GRATUIT DE MONTPELLIER VIH et hépatites Profil des consultants 4 ème trimestre 2000 Juin 2002 Observatoire régional de la santé du Languedoc-Roussillon Hôpital Saint-Eloi

Plus en détail

Le dépistage du cancer du sein par mammographie dans la population générale

Le dépistage du cancer du sein par mammographie dans la population générale Le dépistage du cancer du sein par mammographie dans la population générale Mars 1999 Étude d évaluation technologique Tous droits de traduction, d'adaptation et de reproduction par tous procédés, réservés

Plus en détail

Hospices cantonaux Centre Hospitalier Universitaire Vaudois DOSSIER DE PRESSE. Création du Centre romand hospitalo-universitaire de neurochirurgie

Hospices cantonaux Centre Hospitalier Universitaire Vaudois DOSSIER DE PRESSE. Création du Centre romand hospitalo-universitaire de neurochirurgie Hospices cantonaux Centre Hospitalier Universitaire Vaudois DOSSIER DE PRESSE Création du Centre romand hospitalo-universitaire de neurochirurgie 1. Le Centre romand hospitalo-universitaire de neurochirurgie

Plus en détail

Études épidémiologiques analytiques et biais

Études épidémiologiques analytiques et biais Master 1 «Conception, évaluation et gestion des essais thérapeutiques» Études épidémiologiques analytiques et biais Roxane Schaub Médecin de santé publique Octobre 2013 1 Objectifs pédagogiques Connaitre

Plus en détail

G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané

G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome

Plus en détail

SOMMAIRE I. INTRODUCTION 4 II. SOURCES D INFORMATION 5

SOMMAIRE I. INTRODUCTION 4 II. SOURCES D INFORMATION 5 SOMMAIRE I. INTRODUCTION 4 II. SOURCES D INFORMATION 5 2.1. ETUDES REALISEES PAR LES SERVICES DES CAISSES D ASSURANCE MALADIE 5 2.2. ANALYSE DE LA LITTERATURE 5 2.3. ANALYSE DES VENTES 6 2.4. COMPARAISONS

Plus en détail

De nouveaux indicateurs pour suivre la construction de logements

De nouveaux indicateurs pour suivre la construction de logements COMMISSARIAT GénéRAl au développement durable n spécial Février 2015 De nouveaux indicateurs pour suivre la construction de logements OBSERVATION ET STATISTIQueS logement - CONSTRuCTION Le SOeS diffuse

Plus en détail

VACCINS ANTIPNEUMOCOCCIQUES

VACCINS ANTIPNEUMOCOCCIQUES VACCINS ANTIPNEUMOCOCCIQUES Infections respiratoires SPIF - 15 Novembre 2014 Patrick Petitpretz Déclaration de liens d'intérêts J ai actuellement, ou j ai eu au cours des trois dernières années, une affiliation

Plus en détail

RAPPORT D ORIENTATION. Dépistage du cancer de la prostate. Analyse critique des articles issus des études ERSPC et PLCO publiés en mars 2009

RAPPORT D ORIENTATION. Dépistage du cancer de la prostate. Analyse critique des articles issus des études ERSPC et PLCO publiés en mars 2009 RAPPORT D ORIENTATION Dépistage du cancer de la prostate Analyse critique des articles issus des études ERSPC et PLCO publiés en mars 2009 Juin 2010 Ce rapport d orientation est téléchargeable sur www.has-sante.fr

Plus en détail

Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve

Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes

Plus en détail

Informatisation des données transfusionnelles

Informatisation des données transfusionnelles Informatisation des données transfusionnelles Dr Marie-France Angelini Tibert Coordonnateure régionale d hémovigilance Réunion - Mayotte Objectifs Optimiser et sécuriser les circuits Optimiser et sécuriser

Plus en détail

Étude sur les délais de prise en charge des cancers du sein et du poumon

Étude sur les délais de prise en charge des cancers du sein et du poumon Delais-Cancer Sein Poumon:32 pages 6/06/12 12:39 Page 1 Mesure 19 SOINS ET VIE DES MALADES Étude sur les délais de prise en charge des cancers du sein et du poumon DANS PLUSIEURS RÉGIONS DE FRANCE EN 2011

Plus en détail

Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste. Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon

Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste. Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon Marqueur prédictif - Définition Un marqueur prédictif est un marqueur qui prédit le bénéfice

Plus en détail

Le dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient!

Le dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient! Le dépistage du cancer de la prostate une décision qui VOUS appartient! Il existe un test de dépistage du cancer de la prostate depuis plusieurs années. Ce test, appelé dosage de l antigène prostatique

Plus en détail

DOSSIER D'ADHESION BOURSE DES DEMENAGEMENTS http://votre-devis-demenagement.fr

DOSSIER D'ADHESION BOURSE DES DEMENAGEMENTS http://votre-devis-demenagement.fr COORDONNEES DE VOTRE SOCIETE DOSSIER D'ADHESION BOURSE DES DEMENAGEMENTS http://votre-devis-demenagement.fr Dossier d'adhésion à compléter et à retourner à : SAS La Bourse des Déménagements - 23-25 rue

Plus en détail

Lignes directrices sur le dépistage du cancer du col utérin au Québec

Lignes directrices sur le dépistage du cancer du col utérin au Québec Lignes directrices sur le dépistage du cancer du col utérin au Québec INSTITUT NATIONAL DE SANTÉ PUBLIQUE DU QUÉBEC Lignes directrices sur le dépistage du cancer du col utérin au Québec Direction des

Plus en détail

TARIFICATION BANCAIRE :

TARIFICATION BANCAIRE : TARIFICATION BANCAIRE : L ENQUETE ANNUELLE CLCV - Mieux vivre votre argent 27 janvier 2012 Pour ce palmarès 2012, la CLCV et Mieux vivre votre argent ont passé en revue les tarifs applicables au 1er février

Plus en détail

Études. Coût de la chirurgie d une hernie discale

Études. Coût de la chirurgie d une hernie discale Études Coût de la chirurgie d une hernie discale 1 Table des matières 03 Objectif 04 Introduction 05 Données et méthodologie 06 Caractéristiques des hospitalisations 09 Profil de la population hospitalisée

Plus en détail

First Line and Maintenance in Nonsquamous NSCLC: What Do the Data Tell Us?

First Line and Maintenance in Nonsquamous NSCLC: What Do the Data Tell Us? Dr Jean-Charles Soria : Bonjour et bienvenue dans ce programme. Je suis Jean Charles Soria, Professeur de Médecine et Directeur du programme de développement précoce des médicaments à l université Paris

Plus en détail

Baromètre Ventes et cessions de commerces et d industries en France du 1er janvier 2008 au 31 décembre 2010

Baromètre Ventes et cessions de commerces et d industries en France du 1er janvier 2008 au 31 décembre 2010 Baromètre Ventes et cessions de commerces et d industries en France du 1er janvier 2008 au 31 décembre 2010 Opportunités de croissance ou créations d entreprise, plus de 44 000 commerces ou industries

Plus en détail

TARIFICATION BANCAIRE :

TARIFICATION BANCAIRE : TARIFICATION BANCAIRE : L ENQUETE ANNUELLE CLCV - Mieux Vivre Votre Argent 25 janvier 2013 Pour ce palmarès 2013, la CLCV et Mieux Vivre Votre Argent ont passé en revue les tarifs applicables au 1er février

Plus en détail

Panorama. de l économie sociale et solidaire

Panorama. de l économie sociale et solidaire Panorama de l économie sociale EN FRANCE ET DANS LES RÉGIONS Réalisée par l Observatoire National de l Economie Sociale et Solidaire, cette nouvelle édition du «Panorama de l économie sociale en France

Plus en détail

LA RÉPARTITION DES PROFESSIONNELS DU RACHAT DE CRÉDIT EN FRANCE http://www.1rachat-crédit.com/

LA RÉPARTITION DES PROFESSIONNELS DU RACHAT DE CRÉDIT EN FRANCE http://www.1rachat-crédit.com/ LA RÉPARTITION DES DU RACHAT DE CRÉDIT EN FRANCE http://www.1rachat-crédit.com/ Les tableaux suivants permettent de retrouver les données détaillées de la répartition des entreprises de rachat de crédits

Plus en détail

Rapport d activité. Rhône-Alpes Active Une finance solidaire au service de l emploi et des territoires

Rapport d activité. Rhône-Alpes Active Une finance solidaire au service de l emploi et des territoires Rapport d activité 2014 Une finance solidaire au service de l emploi et des territoires EN En 2014 3 668 emplois créés ou consolidés 907 projets accompagnés et 20,9 M mobilisés en Jean Jacques Martin Président

Plus en détail

Croissance et vieillissement cellulaires Docteur COSSON Pierre Nb réponses = 81 sur 87. Résultats des questions prédéfinies

Croissance et vieillissement cellulaires Docteur COSSON Pierre Nb réponses = 81 sur 87. Résultats des questions prédéfinies Docteur COSSON Pierre Nb réponses = 8 sur 87 A00 8/87 Indicateurs globaux Index global m.= m.=,9 s.=0,. Evaluation générale de cette unité m.=. Sciences médicales de base m.=,. Compétences cliniques m.=,7.

Plus en détail

Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003

Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Sécrétion acide et peptique de l estomac Motricité œsophagienne et gastrique

Plus en détail

Assurances de biens et de responsabilité. Etude Mars 2014

Assurances de biens et de responsabilité. Etude Mars 2014 Assurances de biens et de responsabilité Etude Mars 2014 Tempêtes, grêle et neige : Résultats de l année 2012 Ce document est la propriété exclusive de la FFSA et du GEMA et est protégé par le droit d'auteur.

Plus en détail

Edition février 2015. CEGEDIM CD, droits réservés : GDR_201502

Edition février 2015. CEGEDIM CD, droits réservés : GDR_201502 1 Edition février 215 Chaque mois, CEGEDIM CD propose une vue de son référentiel ENTREPRISES, constitué à partir du répertoire SIRENE (source INSEE) valorisé (fiabilisation & enrichissement), pour vous

Plus en détail

LA RÉPARTITION DES SERRURIERS EN FRANCE http://www.1serrurier.fr/

LA RÉPARTITION DES SERRURIERS EN FRANCE http://www.1serrurier.fr/ LA RÉPARTITION S EN FRANCE http://www.1serrurier.fr/ Les tableaux suivants permettent de retrouver les données détaillées de la répartition des entreprises de serrurerie en France métropolitaine et en

Plus en détail

A l Assistance Publique - Hôpitaux de Marseille, Octobre Rose est l occasion de mettre en valeur la filière de soins dédiée au cancer du sein.

A l Assistance Publique - Hôpitaux de Marseille, Octobre Rose est l occasion de mettre en valeur la filière de soins dédiée au cancer du sein. OCTOBRE ROSE 2013 La campagne Octobre Rose a pour but d inciter les femmes de 50 à 74 ans à participer au dépistage organisé du cancer du sein. Une femme sur trois ne se fait pas dépister ou pas de manière

Plus en détail

Liste des référents AERAS des établissements de crédit Version du 10 juillet 2013

Liste des référents AERAS des établissements de crédit Version du 10 juillet 2013 12/07/2013 1 Liste des référents AERAS des établissements de crédit Version du 10 juillet 2013 AXA BANQUE 01 55 12 83 67/82 68 BAIL ENTREPRISES 02 98 34 43 37 BANCO BPI - Succursale France 01 44 50 33

Plus en détail

I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE

I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais

Plus en détail

la création d entreprise en nord-pas de calais

la création d entreprise en nord-pas de calais Nord-Pas de Calais N 184 SEPTEMBRE 2014 la création d entreprise en nord-pas de calais Près de 24 000 créations d entreprise en 2013 en Nord-Pas de Calais En 2013, les créations ont légèrement baissé en

Plus en détail

Liste des référents AERAS des établissements de crédit Mise à jour au 28 août 2015

Liste des référents AERAS des établissements de crédit Mise à jour au 28 août 2015 02/09/2015 1 Liste des référents AERAS des établissements de crédit Mise à jour au 28 août 2015 AXA BANQUE 01 55 12 83 67/82 68 BAIL ENTREPRISES 02 98 34 43 37 BANCO BPI - Succursale France 01 44 50 33

Plus en détail

OBSERVATION ET STATISTIQUES

OBSERVATION ET STATISTIQUES COMMISSARI GÉNÉRAL AU DÉVELOPPEMENT DURABLE n 461 Novembre 2013 Prix du gaz et de l électricité en France et dans l Union européenne en 2012 OBRVION ET STISTIQU ÉNERG En 2012, le prix du gaz a augmenté

Plus en détail

SOMMAIRE. I - Synthèse de l'activité 2014... 2. II - Secteur "Logement" métropole... 4

SOMMAIRE. I - Synthèse de l'activité 2014... 2. II - Secteur Logement métropole... 4 SOMMAIRE I - Synthèse de l'activité 2014... 2 II - Secteur "Logement" métropole... 4 ACTIVITE LOGEMENTS NEUFS + EXISTANTS... 4 ACTIVITE LOGEMENTS NEUFS... 9 ACTIVITE LOGEMENTS EXISTANTS... 13 ACTIVITE

Plus en détail

Le Service Central du Traitement de la Dépense. Intervenant l mentions légales.

Le Service Central du Traitement de la Dépense. Intervenant l mentions légales. Le Service Central du Traitement de la Dépense Intervenant l mentions légales. Sommaire L e S e r v i c e C e n t r a l d e Tr a i t e m e n t d e l a D é p e n s e : c o n t e x t e e t o b j e c t i

Plus en détail

Fonds de Dotation L observatoire Deloitte. N 20 31 décembre 2011

Fonds de Dotation L observatoire Deloitte. N 20 31 décembre 2011 Fonds de Dotation L observatoire Deloitte N 20 31 décembre 2011 Éditorial L année vient de s achever avec 863 fonds de dotation enregistrés au 31 décembre 2011. C est une année record car pas moins de

Plus en détail

Dossier communicant de cancérologie (DCC) et dossier médical personnel (DMP)

Dossier communicant de cancérologie (DCC) et dossier médical personnel (DMP) Dossier communicant de cancérologie (DCC) et dossier médical personnel (DMP) Cadre national Octobre 2010 Mesure 18 : Personnaliser la prise en charge des malades et renforcer le rôle du médecin traitant

Plus en détail

ACTION 1 L utilisation des chevaux de trait pour les travaux communaux. Rapport d étude 3

ACTION 1 L utilisation des chevaux de trait pour les travaux communaux. Rapport d étude 3 ACTION 1 L utilisation des chevaux de trait pour les travaux communaux Rapport d étude 3 LES DIFFERENTES UTILISATIONS DU CHEVAL DE TRAIT DANS LES COMMUNES FRANÇAISES Le cheval apparait aujourd hui comme

Plus en détail

Les élèves nouveaux arrivants non francophones en 2010-2011

Les élèves nouveaux arrivants non francophones en 2010-2011 note d information 12.1 MARS 38 1 nouveaux arrivants non francophones de plus de 6 ans ont été scolarisés au cours de l année scolaire 21-211 : 18 5 dans les écoles élémentaires, 16 2 dans les collèges

Plus en détail

3 e partie L OFFRE D HÉBERGEMENT

3 e partie L OFFRE D HÉBERGEMENT 3 e partie L OFFRE D HÉBERGEMENT 3 - L offre d hébergement Définitions Dans ce chapitre sont présentés les parcs d hébergement marchand et non marchand qui constituent l offre touristique française. Le

Plus en détail

L Agence MD vous présente

L Agence MD vous présente L Agence MD vous présente 4 Millions d emails BtoB disponibles Focus sur les professions libérales Mise à jour de septembre 2014 1 La Meg@baseB2B 4 Millions d emails de décideurs disponibles L Agence MD

Plus en détail

Ouverture d un pavillon médical : Mesures mises en œuvre pour la mise en eau et suivi bactériologique

Ouverture d un pavillon médical : Mesures mises en œuvre pour la mise en eau et suivi bactériologique Ouverture d un pavillon médical : Mesures mises en œuvre pour la mise en eau et suivi bactériologique Congrès de la SF2H - 9 Juin 2011 S. Coudrais Biohygiéniste Unité d Hygiène et Epidémiologie - Groupement

Plus en détail

Liste des centres du sommeil homologués par la Société Française de Recherche et Médecine du Sommeil

Liste des centres du sommeil homologués par la Société Française de Recherche et Médecine du Sommeil Liste des centres du sommeil homologués par la Société Française de Recherche et Médecine du Sommeil Cette liste n est pas exhaustive. Le classement est effectué par ordre alphabétique de région (Alsace,

Plus en détail

Le DMP en Bretagne. Assemblée générale ANIORH. Vendredi 7 Décembre 2012

Le DMP en Bretagne. Assemblée générale ANIORH. Vendredi 7 Décembre 2012 Le DMP en Bretagne Assemblée générale ANIORH Vendredi Ordre du Jour 1- Présentation du DMP 2- Déploiement du DMP en Bretagne 3- Présentation de la démarche en établissement 4- Présentation de la démarche

Plus en détail

23. Interprétation clinique des mesures de l effet traitement

23. Interprétation clinique des mesures de l effet traitement 23. Interprétation clinique des mesures de l effet traitement 23.1. Critères de jugement binaires Plusieurs mesures (indices) sont utilisables pour quantifier l effet traitement lors de l utilisation d

Plus en détail