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1 Revue bibliograp phique 05/11/2014 Ophtalmology, IOVS, Archives Volume : Sept 2014 David MARTIANO Service du Professeur E. SOUIED Ophtalmologie Centre Hospitalier Intercommunal de Creteil Université Paris Est

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4 ité et efficacité de conbercept dans la dégénérescence maculaire néovasculaire liée à l'âge: les résultats mois d une étude de phase 2 randomisée : étude AURORA. IF: luer la sécurité et l'efficacité des injections répétées de 0,5 et 2,0 mg de conbercept utilisant des schémas posologiques variables chez les pati e forme exsudative néovasculaire de dégénérescence maculaire liée à l'âge (DMLA). : sée, en double aveugle, multicentrique, contrôlée, un essai clinique de phase 2 comprenant une phase d induction de 3 mois suivie d'une pha n. IPANTS: nts atteints de néo vascularisation choroïdienne secondaire à la DMLA dont la surface lésionnelle < 12 diamètres papillaires et ayant une MA t 73 lettres lues. DES: nts ont été randomisés 1: 1 pour recevoir soit 0,5mg soit 2,0 mg de conbercept par voie intravitréenne pour 3 mois consécutifs. Après la trois que groupe a été réaffecté au hasard de nouveau à un protocole mensuel systématique (groupe Q1M) ou au besoin (PRN) sans modification rogue. PAUX CRITÈRES DE JUGEMENT: de jugement principal était la variation moyenne de la MAVC entre l entrée et le point de 3 mois, avec des objectifs secondaires étant la var de la MAVC, le changement moyen de l'épaisseur centrale de la rétine (CRT), et la sécurité à 12 mois. ATS: ns recruté 122 patients. A la première date de point à 3 mois, les améliorations moyenne de MAVC dans les 2 groupes (0,5 et 2mg) ont été ement de 8,97 et 10,43 lettres. Au 12 ème mois, les améliorations de MAVC moyenne par rapport au départ étaient 14.31, 9.31, 12.42, et ur le 0,5 mg PRN, Q1M 0,5 mg, 2,0 mg PRN, et des régimes Q1M 2,0 mg, respectivement. Au 12 ème mois, les réductions moyennes de CRT mes étaient respectivement de 119,8, 129,7, 152,1, 170,8µm. Il n'y avait pas de différence après appariement des groupes d'étude. La différe ombre d'injections entre les deux groupes PRN n'a pas été statistiquement significative. Le traitement avec conbercept était généralement sûr é. USIONS: importants de MAVC à 3 mois étaient les mêmes ou mieux à 12 mois dans tous les groupes de DMLA traitées par conbercept peu importe l u cours des 12 mois, les injections intravitréennes répétées de conbercept ont été bien tolérées chez ces patients. De futurs essais cliniques s es pour confirmer à long terme l'efficacité et la sécurité du conbercept.

5 Conbercept KH902; Chengdu KanghongBiotechCo., Ltd., Sichuan, China Seule différence avec l aflibercept: Conbercept contient égalemen le quatrième domaine de liaiso de VEGFR-2. Domaine qui renforce l adhésio VEGFR au récepteur.

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8 Pas de différence significative entree le nombre d injections PRN 0,5 et PRN 2,0 mg : 4,73 contre 4,88 IVT pendant la phase de maintenance. Soit 7,73 et 7,88 IVT/an si on inclut les 3 mois 6,9/an pour Ranibizumab) 7,7/an pour Bevacizumab)

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10 Au total il apparait que 2.0Q1M > 2.0PRN > 0,5PRN > 0,5Q1M Mais les auteurs n ont pas trouvé de différence significative entre les différents schémas (PRN/Q1M), ni entre les différents dosages (0,5/2,0mg).

11 La plupart des effets secondaires étaient attribués à l injection intravitréenne. Au total : efficacité et sureté prouvée => Etude Phase III en cours

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13 suppresion du VEGF ralentit la progression de la non perfusion rétinienne chez patients atteints d OMD tif : Déterminer l effet de la suppression du VEGF par des injections mensuelles intravitréennes de Ranibizumab sur la non perfus nne (RNP) chez des patients atteints d oedeme maculaire diabétique (OMD). n : Analyse rétrospective non planifiée des données prospectives entrique, placebo témoin versus groupe contrôle injecté. cipants : 666 avec OMD odologie : Un centre de lecture des données indépendant, a mesuré la surface de rétine non perfusé sur des angiographies à la fluore us sur les essais de phase 3 : RISE et RIDE. res principales : Le pourcentage de patients sans RNP postérieure. recueillies lors de 2 essais cliniques randomisés, en double aveugl tats : Le pourcentage de patients sans RNP postérieure a diminué dans le groupe témoin entre l'inclusion et 24 mois, mais il est res ement stable dans les 2 groupes de ranibizumab. Après 24 mois, le groupe témoin a bénéficié d injections mensuelles de ranibizum et les différences entre le témoin et le groupe ranibizumab ont été réduites. Le pourcentage de patients ayant montré une augmenta ostérieure depuis l entrée, a augmenté dans les 3 groupes au cours du temps, mais plus rapidement dans le groupe témoin, ce qui e fférences statistiquement significatives à chaque date de point entre le 3 ème mois (9.6% vs. 18.5%; P = 0.016) et le 24 ème mois (16.1 ; P<0.0001) pour le ranibizumab 0.5 mg versus sham et du 6 ème mois (12.3% vs. 23.0%; P = 0.013) au 24 ème mois (15.0% vs ) pour le ranibizumab 0.3mg. L initiation de ranibizumab 0,5mg dans le groupe témoin à 24 mois a été suivie d une réduction d entage du nombre de patients avec augmentation de la RNP postérieure à 30 et 36 mois, alors que les deux groupes de ranibizumab uivis leur progression. lusions : Tout comme les niveaux élevés de VEGF contribuent à la progression de la non perfusion rétinienne dans l OVCR, la mêm est vraie pour les patients avec OMD, ce qui suggère que quel que soit le processus de la maladie sous-jacente, des niveaux élevés peuvent provoquer des occlusions des vaisseaux rétiniens. Cependant, nos données suggèrent également que la détérioration indu GF de la rétine non perfusée dans l OMD est superposée à une autre cause d aggravation plus progressive de la perfusion, éventuel cotoxicité. Ainsi, les injections mensuelles de ranibizumab peuvent ralentir, mais pas complètement empêcher, l occlusion rétinienn aire chez les patients avec OMD.

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15 Mesure d épaisseur choroidienne et rétinienne en cas de prééclampsie sévèr Objectif : comparer l épaisseur choroidienne et le volume maculaire (RMV) de 3 groupes de patientes : prééclampsie sévère du postpartum, accouchées normotensives et femmes normotensives non gravides. Puisque des troubles visuels accompagnent volontiers la prééclampsie, l étude des variations choriorétiniennes pouvant être responsables de ces troubles, n ont jamais été décrites. Méthodes : Cette étude cas-témoins a inclus et apparié selon l éthnie et la parité, 15 prééclampsies sévères et 15 accouchées normotendues. Un groupe référence de 19 femmes non gravides, normotendues, a également été étudié. L épaisseur choroidienne et le volume rétinien maculaire (RMV) ont été acquis par SD-OCT en mode EDI. 2 rétinologues dont l un était naif du statut des accouchées, ont interprété les images. Résultats : Les cas de prééclampsie sévère ont démontré un épaissisement choroidien 425 ± 90 µm vs. 354 ± 140 µm; P = 0.021) et RMV (9.0 ± 0.4 mm(3) vs. 8.7 ± 0.5 mm(3); P = 0.006) par rapport aux cas controles. En revanche, pour les cas controles et les cas références non gravides des résultats similaires ont été retrouvés en ce qui concerne l épaisseur choroidienne (354 ± 140 vs 363 ± um um 82; P = 0,764) et le RMV (8,7 ± 0,5 mm (3) contre 8,8 ± 0,4 mm (3); P = 0,870). L imagerie de suivi de 2 prééclampsies sévères à 3 mois de l accouchement, a révélé un retour à la normale de l épaisseur choroidienne. Conclusions : Nos résultats démontrent un épaississement choroidien et rétinien dans les prééclampsies sévères. Ceci est probablement à l origine des troubles visuels décrits et pourrait être le reflet d un taux de VEGF élevé. Ces marqueurs choroidiens et rétiniens pourraient être utilisés comme de nouveaux indicateurs de prééclampsie sévère.

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19 ffet du stade de l atteinte rétinienne à hydroxychloroquine (HCQ) sur la progression lésionnelle. ppel important : la maculopathie à l HCQ peut progresser après arrêt du traitement. On ne sais pas si il existe un lien avec de de l atteinte et si des facteurs pronostics (progression et BAV)peuvent être identifiés par les techniques d imagerie mode jectifs : Mettre en évidence une relation entre stade d atteintee et progression de la maladie en utilisant des données objectiv r OCT et évaluer la place d un dépistage précoce des effets toxiques de l HCQ. hémas, environnement et participants : Les patients atteints de rétinopathie à l HCQ ont été suivis par des examens répét ndant 13 à 40 mois après l arrêt de l exposition médicamenteuse. 11 patients ont participé et classés selon le degré d atteint ique comme débutante (lésions parafovéales minimes montrées sur le CV ou découverte aux tests objectifs), modérée (de 5 0% d épaississement maculaire périfovéal mais ligne de l EP intacte) ou sévère (lésion en œil de bœuf bien identifiable). sultats et mesures principales : Acuité visuelle, CV 10-2 blanc, clichés autofluorescence, OCT SD lignes et mapping ains e longueur de la zone éllipsoide. sultats : Acuité et champ visuel n ont pas montré de changement évident. Le cliché en AF n a pas montré de changement, s rfois minimes, ou cas de maculopathies en œil de bœuf dont les dégats s aggravent progressivement. L OCT en coupes linéa émontré des discrètes modifications pour les rétinopathies minimes et modérées mais un amincissement fovéal progressif m/y environ) et une perte de la zone ellipsoide (d environ 100µm/an) pour les cas sévères, qui ont été confirmé par mesure antitatives. Les mesures ont également permis de constater quelques amincissements fovéaux (environ 4µm/an) et profondissement de la perte parafovéale dans les cas modérés, mais la largeur de la zone ellipsoide est restée constante pour eintes minimes et modérées. Quelques cas ont également permis de constater une amélioration de la zone ellipsoide. nclusions et pertinence : Chez les patients atteints de rétinopathie à l HCQ sévère (impliquant l EP) nous avons prouvé ggravation progressive des lésions par OCT à 3 ans au moins après arrêt, incluant perte de l épaisseur fovéale et destruction ucturelle des cônes. Les cas identifiés avant toute atteinte épithéliale ont conservé une architecture fovéale correcte au prix d er amincissement rétinien. Le dépistage et la reconnaissance des effets toxiques de l HCQ avant qu ils soient visibles au FO ide de CV et d OCT (avec AF et ERG multifocal comme reccomandé) devrait grandement diminuer les progressions tardive risque de perte visuelle.

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21 AZOOR : une classification basée sur l imagerie multimodale Importance : Nous décrivons l imagerie multimodale d un groupe de patients présentants des signes cliniques typique de AZOOR. Objectifs : Proposer une classification de AZOOR basée sur le FO et l imagerie multimodale. Design, paramètres et participants : Une revue rétrospective des patients étiquetées AZOOR dans deux centres. Après relecture de 400 cas qui nous ont été adressé pour AZOOR ou AZOOR compliqué, nous avons réuni 30 cas qui correspondent à notre définition actuelle; 48 yeux avec un age médian au diagnostic de 47 ans (tranche d age ans) et une période moyenne de suivi d environ 39 mois. 20 patients de sexe féminin. 18 patients avaient initialement été vu avec des lésions bilatérales, surtout asymétriques (4 cas étaient symétriques). La plupart des patients n avaient pas d'antécédents médicaux ou oculaire remarquable. L'acuité visuelle moyenne au moment de la présentation était de 20/25 (intervalle : 20/20-20/400). Mesures principales : Imagerie multimodale comprenant la SD. photo FO, l angio fluo, et l angio ICG, l autofluo et l OCT Résultats : Chaque patient a été initialement observée avec des symptômes visuels de photopsie et scotome, et la plupart avaient une lésion évidente cliniquement au fond d œil ou détectées en imagerie multimodale. L'aspect clinique des lésions AZOOR variait selon leur durée d installation et leur localisation, mais certains paramètres étaient caractéristiques, comprenant l existence d une ligne de démarcation de la progression au niveau de la rétine externe, de l'épithélium pigmentaire rétinien et de la choroïde, bien connus comme une progression fréquente. Des cas avancés de AZOOR ont démontré l interruption des couches au niveau de la rétine interne et externe, ainsi que de graves dommages au niveau de l épithelium pigmentaire ou de la choroide. Conclusions et pertinence : Une définition spécifique de AZOOR basée sur l imagerie multimodale est proposée pour aider les praticiens à faire le diagnostic différentiel avec d autres pathologies du pole postérieur, en particulier les syndromes des tâches blanches et les maladies auto-immunes, héreditaires, paranéoplasiques, toxiques ou d autres rétinopathies inflammatoires.

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23 Merci pour votre attention! Tim Flach. More Than Human. Oct 2012

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