Breizh Tut. Introduction à la biologie et à la cellule Sommaire
|
|
- Paule David
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Breizh Tut Introduction à la biologie et à la cellule Sommaire Breizh Tut 1 Introduction à la biologie et à la cellule 1 Sommaire 1 A. Historique de la théorie cellulaire 2 1. La cellule 2 2. La biologie cellulaire 2 B. Origine et évolution de la cellule 2 1. Cellule primordiale 2 2. Evolution du métabolisme cellulaire 2 C. Architecture et fonctions cellulaires 3 1. Les cellules procaryotes 3 2. Les cellules eucaryotes 3 - Le noyau 3 - Le SEM 4 - Le RE 4 - L appareil de Golgi 4 - Les lysosomes 4 - La mitochondrie 4 - Les peroxysomes 4 - Le cytosol 4 - Le cytosquelette 5 - La membrane plasmique 5 D. Vie et mort des cellules eucaryotes 5 1. Le cycle cellulaire 5 2. La mort cellulaire 5 - L apoptose 5 - La nécrose 6! 1 sur 6!
2 A. Historique de la théorie cellulaire 1. La cellule La cellule est l unité de base structurale et fonctionnelle du vivant, elle est capable de vivre isolé et de se reproduire. Francçois Jacob disait «avec la cellule, la biologie a trouvé son atome» De sa petite taille naît la necessité d élaborer des outils d étude, avec la microscopie optique on a une limite de résolution à 0,2 µm, la taille d une cellule étant généralement de 5 à 30 µm on peut les observer aisément. Avec un ME on peut voir jusqu à 2nm pour les coupes biologiques cela permet d observer l ultrastructure des cellules (càd les organites intracellulaire) On classifie les cellules en 2 types: Les procaryotes (génome non délimité par une enveloppe nucléaire) et les ucaryotes (noyau avec env nucléaire (végétaux, animaux, champignons)) 2. La biologie cellulaire La biologie cellulaire est la science des lois régissant les phénomènes communs aux divers types de cellules et divers organismes. Il existe des phénomènes communs car à l origine il y avait une cellule primordiale. Son but est de préciser les relations entre les structures (morphologie) et leur fonction (biochimie) Les lésions cellulaires et les anomalies de communication intercellulaires ont un rôle fondamental dans les mécanismes physiopathologiques des maladies. B. Origine et évolution de la cellule 1. Cellule primordiale La vie remonte à environ 3,5 milliards d années. On observe alors la formation spontanée de molécules organiques simples dans l atmosphère de la Terre primitive (privé d O2). Les expériences de Miller (1950) montrent que l on obtient la formation spontanée de molécules organiques (acides aminés) lors du passage d une décharge électrique (orage) dans un mélange de dihydrogène, de méthane et d ammoniac en présence d H2O (atomes H, C, N et O) Apparition de macromolécules (protéines, saccharides, acides nucléiques) par polymérisation spontanée de monomères modulaires (acides aminés, oses, nucléotides) L ARN fut le matériau génétique primordial (a la base il n y avait pas d ADN on parle de monde de l ARN) car il est capable de servir de : -matrice pour sa propre réplication (appariement des bases) -catalyseur de cette réplication (a un activité enzymatique: remplace la protéine) La cellule primordiale(primitive) est formée par enclavement d ARN autoréplicatif dans une membrane phospholipidique sphérique (unité physique capable d autoréplication). La compartimentation a permis un avantage sélectif: elle permet aux mutations avantageuses de perdurer mais entraîne une séparation du milieu extérieur qui rend nécessaires les phénomènes de transport. Il y a deux preuves que l ARN est antérieur à l ADN:.L enzyme RNR a créé de l ADN à la place de l ARN.Dans les cellules on passe d abord de l ARN pour aller à l ADN) L ADN aurait ensuite pris la place de l ARN comme matériau génétique. 2. Evolution du métabolisme cellulaire Une fois formée, les cellules furent forcées d élaborer des mécanismes pour obtenir de l énergie. C est la molécule d ATP qui est utilisée comme source d énergie. Chronologiquement il y eut 3 types successifs de production d énergie correspondant à 3 étapes du métabolisme cellulaire : 1- période anaérobie cellulaire originelle (pas d O2 dans l atmosphère): glycolyse (dégradation anaérobie du glucose) très rapide mais très faible rendement! 2 sur 6!
3 2- photosynthèse : captation de l énergie solaire et utilisation de l eau pour convertir le CO2 en molécules organiques et en oxygène. La photosynthèse rend possible le mécanisme aérobie car elle produit de l O2 3- métabolisme oxydatif (utilisation de l oxygène), très efficace pour produire de l ATP, utilise la phosphorylation oxydative (dans la mitochondrie) Rendement très bon (40%) mais réaction longue. (Glycolyse: 2ATP; Métabolisme oxydatif: 38 ATP) C. Architecture et fonctions cellulaires 1. Les cellules procaryotes -Sans noyau (génome non délimité par une enveloppe nucléaire) -Prototype: Bactérie (type E.Coli) -Taille: de l ordre du micromètre -Cytoplasme limité par une membrane plasmique éventuellement doublé par une paroi riche en lipopolysaccharides (contenant des perméases) -Ni mitochondries, ni système endomembranaire, ni peroxysmes mais présence de ribosomes (responsables de l aspect granuleux) -Génome : une molécule d ADN circulaire (qques millions de pb), à double brin : le nucléoïde lié à une invagination de la membrane plasmique (le mésosome) -Souvent, présence de plasmides (petits ADN circulaires de quelque milliers de paires de bases) -Division rapide 20mn par division, en condition de croissance favorable on a 2^n bactéries (n=nbr de divisions) -Capables de vivre dans des habitats très durs et variés -Métabolisme aérobie et anaérobie -Anciennement, division en Eucbactéries archaebactéries extrémophiles (température et pression élevées) mais les études moléculaires ont montré que les archae forment un troisième domaine du vivant distinct des bactéries et des eucaryotes -Beaucoup d espèces bactériennes sont pathogènes mais certaines sont essentielles à la vie des êtres pluricellulaires (on compte plus de bactéries que de cellules eucaryotes chez l Homme) (ex: les bactéries présentes dans le tube digestif) 2. Les cellules eucaryotes -Entité séparée du milieu extra cellulaire par une membrane plasmique (bicouche lipidique) Comportant deux compartiments : le noyau et le cytoplasme -Noyau délimité par une enveloppe nucléaire (double bicouche lipidique), il renferme l ADN où est stockée l information génétique (20 à gènes, il communique avec le cytoplasme par les pores nucléaires. -Le cytoplasme comporte le système endomembranaire, ensemble de compartiments limités par des membranes d enveloppe qui communiquent par des flux membranaires (vésicules) -Composé du réticulum endoplasmique, de l appareil de Golgi, de lysosomes, d endosomes, de l enveloppe nucléaire (en continuité avec le RE) -Le cytoplasme contient aussi des organites n appartenant pas au système endo-membranaire : les mitochondries et les péroxysomes. Les éléments du cytoplasme baignent dans le cytosol (gel) -La cellule comporte un squelette interne : le cytosquelette, composé de :.Microfilaments d actine (MF).Microtubules (MT) et centrioles.filaments intermédiaires (FI) La cellule peut posséder des éléments externes mobiles (cils, flagelles) - Le noyau -L enveloppe nucléaire est une double bicouche lipidique (mb interne, me externe) (en continuité avec le réticulum endoplasmique) -L ADN est fragmenté en 46 chromosomes (22 paires autosomes, 1 paire de chromosomes sexuels) La taille du génome humain est de 3 milliards de pb (20 à gènes). -La chromatine (noyau interphasique) est composée par l hétérochromatine (qui apparaît dense en ME,! 3 sur 6!
4 inactive, périphérique) et par l euchromatine (claire en ME, active, transcriptionnelle) -Les nucléoles sont des usines à l intérieur du noyau qui synthétisent les ribosomes de la cellule -Il existe des pores nucléaires qui permettent les échanges nucléo-cytoplasmiques. -Le noyau disparaît pendant la mitose où les chromosomes deviennent visibles - Le SEM - Le RE -Le réticulum endoplasmique est en continuité avec l enveloppe nucléaire. -Le REG (RE granuleux ou rugueux) collecte des protéines destinées à la membrane plasmique ou à l extérieur. Le REL (RE lisse) est le site privilégié des synthèses lipidiques - L appareil de Golgi -L appareil de Golgi est un ensemble de saccules en piles d assiettes : les dictyosomes (1 ou plusieurs par cellule). -Un dictyosome est composé de 3 régions : cis, médian et trans -Il possède un site de maturation des protéines (en particulier des glycoprotéines) - Les lysosomes -Les lysosomes sont des vésicules entourées d une membrane contenant des enzymes hydrolytiques impliquées dans les digestions intracellulaires. -C est un ensemble polymorphe de vacuoles, il contient des enzymes lytiques fonctionnant à ph acide (=5), (cytoplasme=ph neutre) ils forment un véritable «système digestif intracellulaire». - La mitochondrie -L ensemble des mitochondries d une cellule forme le chondriome. -C est le site de la phosphorylation oxydative(=glycolyse aérobie) : production d ATP riche en énergie. C est la véritable centrale énergétique de la cellule. Elles ont leur génome propre et leur reproduction propre à partir de mitochondries pré-existantes. -Elles jouent un rôle majeur dans l apoptose (mort cellulaire programmée). Détaillé de dans le cours sur le cycle cellulaire. -Elles ont des ressemblances avec les bactéries (ADN propre, circulaire), on suppose qu il s agit d une bactérie aérobie incorporée dans une cellule ancestrale et qui y a survécu en association endosymbiotique avec transfert progressif de ses gènes dans le génome de la cellule- hôte (il n y a plus qu une trentaine de gènes dans le génome de la mt) -La matrice mitochondriale contient de très nombreux systèmes enzymatiques, la mt a une taille d environ 1µm, elle possède une double bicouche lipidique (mb interne, mb externe) la mb interne est en forme de crête. - Les peroxysomes -Les peroxysomes sont des organites ovoïdes ou sphériques délimités par une seule membrane d enveloppe ; ils ne font pas partie du SEM. Ils ont une taille de 0,2 à 0,5µm. -Les peroxysomes contiennent des inclusions pseudo-cristallines qui contiennent des enzymes oxydatives. -C est le siège de réactions d oxydoréduction et de détoxification des métabolites cellulaires : -Les oxydases péroxysomales dégradent les métabolites avec production d H2O2 (eau oxygénée) (Betaoxydation des AG à longues chaines > AG à courtes chaines > transfert aux mt où a lieu la fin de la dégradation) -La catalase (enzyme caractéristique) utilise l H2O2 pour oxyder d autres molécules à des fins de détoxification (notamment dans le foie et les reins) - Le cytosol -Le cytosol est un gel aqueux de ph = 7 et de viscosité variable (équivalente à celle du blanc d oeuf cru). Gel dans lequel baignent les organites(re, Golgi, lysosomes, endosomes, peroxysomes, mt), les ribosomes et le cytosquelette.! 4 sur 6!
5 -Il est le siège de très nombreuses réactions biochimiques ; en particulier le lieu de départ de toutes les synthèses protéiques (sauf pour les quelques protéines codées par le génome mitochondriale). -C est un véritable carrefour métabolique (anabolisme : voie de synthèse et catabolisme : dégradation). - Le cytosquelette -Le cytosquelette est l ensemble d édifices macromoléculaires visibles au microscope. Ce sont des structures à la fois stables et dynamiques (musculature cellulaire). Il est constitué de 3 familles de protéines organisées en polymères fibreux :.L actine ; microfilaments(mf) (5nm).La tubuline ; microtubules (MT) (tubes creux) (25nm).Protéines diverses: filaments intermédiaires (FI) (8-10nm) -Le centre cellulaire (centrosome) comprends deux centrioles formés par une association de microtubules. Ce centrosome intervient dans la mitose (formation du fuseau de déplacement des chromosomes). Les cils et les flagelles de certains types cellulaires sont aussi des structures stables de microtubules. Les MF forment le csq des microvillosités. - La membrane plasmique -La membrane plasmique est une bicouche lipidique comprenant aussi des protéines et le glycocalyx (couche de polysaccharides liés de façons covalente aux lipides et protéines de la face externe de la mb plasmique. -C est la frontière séparant les milieux extra et intra cellulaires. C est aussi un lieu d interactions : adhérence (aux cellules voisines, à la matrice extra-cellulaire (MEC)) ; transduction des signaux ; phénomènes de transport de matériel. D. Vie et mort des cellules eucaryotes 1. Le cycle cellulaire La vie de la plupart des cellules se déroule selon un mode cyclique : le cycle cellulaire. Il permet la genèse de nouvelles cellules et donc le développement et la propagation de la vie. Il est composé de différentes phases : G1, S, G2 et M. La durée des cycles varie suivant les cellules, la cellule humaine met environ 24h à se reproduire. La progression du cycle est étroitement contrôlée. Alternance de mitoses et de phases intermitotiques (=interphases). La mitose (phase M) est la division en 2 cellules filles. L interphase (permet de réparer les tissus endommagés) comprend 3 phases : G1, S et G2 (G pour gap = intervalle et S pour synthèse). 2. La mort cellulaire - L apoptose -Programme interne de mort (suicide cellulaire, sénescence cellulaire). L apoptose évoque la feuille qui tombe, se flétrit, part en morceaux. -Elle est déclenchée par des signaux : -intracellulaires : lésions de l ADN (voie intrinsèque, suicide «volontaire») -extracellulaires : déficit en facteurs de croissance, infections virales (voie extrinsèque, suicide proposé) - On observe des modifications cellulaires : -l ADN se rompt, la chromatine se condense, le noyau tombe en pièces -la cellule se rapetisse et se fragmente en morceaux entourés d une membrane : corps apoptotiques. -L apoptose est une mort propre, sans rupture de la membrane plasmique donc sans inflammation. Les macrophages phagocytent les corps apoptotiques en l absence de réaction inflammatoire (mort silencieuse de la cellule) -C est un phénomène physiologique normal dans:! 5 sur 6!
6 - Le développement embryonnaire - Le renouvellement de tissus (homéostasie) - La destruction de cellules-cibles par les LT cytotoxiques -La dérégulation de cette auto-destruction entraîne: - une inhibition entraîne des malformations, des cancers - une suractivation entraîne des infarctus, des maladies neuro-dégénératives - La nécrose -C est une mort cellulaire accidentelle, brutale suite à une agression extérieure sévère (comme un agent toxique par exemple). -Elle correspond à un gonflement cellulaire puis à une lyse avec rupture des membranes ce qui conduit à la libération du contenu du cytosol dans le milieu extracellulaire. -Cela entraîne une réaction inflammatoire au niveau du tissu.! 6 sur 6!
Cellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek
Cellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek I) Les cellules procaryotes II) Les cellules eucaryotes o 1) Caractéristiques générales des cellules eucaryotes o 2) Organisation des cellules eucaryotes
Plus en détailULBI 101 Biologie Cellulaire L1. Le Système Membranaire Interne
ULBI 101 Biologie Cellulaire L1 Le Système Membranaire Interne De la nécessité d un SMI Le volume augmente comme le cube de la dimension linéaire, alors que la surface n'est augmentée que du carré Une
Plus en détailDr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires
Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique
Plus en détailChapitre 7 : Structure de la cellule Le noyau cellulaire
UE2 : Structure générale de la cellule Chapitre 7 : Structure de la cellule Le noyau cellulaire Professeur Michel SEVE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailLA MITOSE CUEEP - USTL DÉPARTEMENT SCIENCES BAHIJA DELATTRE
Biologie LA MITOSE CUEEP - USTL DÉPARTEMENT SCIENCES BAHIJA DELATTRE Février 2006 I. L'INTRODUCTION Chaque cellule d'un organisme supérieur provient de la multiplication d'une cellule préexistante (cellule
Plus en détailCHAPITRE 3 LA SYNTHESE DES PROTEINES
CHAITRE 3 LA SYNTHESE DES ROTEINES On sait qu un gène détient dans sa séquence nucléotidique, l information permettant la synthèse d un polypeptide. Ce dernier caractérisé par sa séquence d acides aminés
Plus en détailAnnales de Biologie Cellulaire QCM (niveau SVT 1 er année)
Annales de Biologie Cellulaire QCM (niveau SVT 1 er année) Equipe pédagogique Université Bordeaux-1 Didier Morin, Michel Moenner, Sophie North, Gérard Tramu et IJsbrand Kramer Contact : i.kramer@iecb.u-bordeaux.fr
Plus en détailTravaux dirigés de Microbiologie Master I Sciences des Génomes et des Organismes Janvier 2015
Andrew Tolonen atolonen@genoscope.cns.fr Travaux dirigés de Microbiologie Master I Sciences des Génomes et des Organismes Janvier 2015 A- Généralités I- La vie sur terre telle que nous la connaissons ne
Plus en détailVue d ensemble de la vie microbienne
Vue d ensemble de la vie microbienne C HAPITRE D EUX I Structure cellulaire et évolution 22 2.1 Les structures cellulaires et virales 22 2.2 L organisation de l ADN dans les cellules microbiennes 24 2.3
Plus en détailLe rôle de l endocytose dans les processus pathologiques
UE7 Cours n 9 C. LAMAZE 24.11.11 Elise GODEAU (partie1) Guillaume MERGENTHALER (partie2) Le rôle de l endocytose dans les processus pathologiques SOMMAIRE : I. L endocytose à récepteurs : la voie des clathrines
Plus en détailI. La levure Saccharomyces cerevisiae: mode de vie
LES LEVURES UE «levures» -5 avril: généralités (MN Simon) -6 avril: analyse génétique (MN Simon) -6 avril: Cycle cellulaire I: la réplication (E. bailly) -7 avril: Cycle cellulaire II: la mitose (E. Bailly)
Plus en détailStructure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide
Structure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide Prof. Marc HENRY Chimie Moléculaire du Solide Institut Le Bel, 4, Rue Blaise Pascal 67070 Strasbourg Cedex, France Tél: 03.68.85.15.00 e-mail:
Plus en détailTD de Biochimie 4 : Coloration.
TD de Biochimie 4 : Coloration. Synthèse de l expérience 2 Les questions posées durant l expérience 2 Exposé sur les méthodes de coloration des molécules : Générique Spécifique Autres Questions Pourquoi
Plus en détailSéquence 4. La nature du vivant. Sommaire. 1. L unité structurale et chimique du vivant. 2. L ADN, support de l information génétique
Séquence 4 La nature du vivant Sommaire 1. L unité structurale et chimique du vivant 2. L ADN, support de l information génétique 3. Synthèse de la séquence 4. Exercices Devoir autocorrectif n 2 Séquence
Plus en détailSection «Maturité fédérale» EXAMENS D'ADMISSION Session de février 2014 RÉCAPITULATIFS DES MATIÈRES EXAMINÉES. Formation visée
EXAMENS D'ADMISSION Admission RÉCAPITULATIFS DES MATIÈRES EXAMINÉES MATIÈRES Préparation en 3 ou 4 semestres Formation visée Préparation complète en 1 an 2 ème partiel (semestriel) Niveau Durée de l examen
Plus en détail2 C est quoi la chimie?
PARTIE 1 AVANT LA CHIMIE VERTE... 2 C est quoi la chimie? L inconnu étant source d angoisse, nous allons essayer de définir les grands domaines de la chimie pour mieux la connaître, l appréhender et donc
Plus en détailBanque Agro-Veto Session 2014 Rapport sur les concours A filière BCPST
1 Épreuve de biologie Épreuve non prise en compte au concours PC BIO Concours Nb cand. Moyenne Ecart type Note la plus basse Note la plus haute A BIO 2158 11,94 4,10 1 20 A ENV 883 13,54 3,69 1,5 20 Ce
Plus en détail4 : MÉTHODES D ANALYSE UTILISÉES EN ÉCOLOGIE MICROBIENNE
4 : MÉTHODES D ANALYSE UTILISÉES EN ÉCOLOGIE MICROBIENNE L écologie microbienne (ou étude des micro-organismes de l environnement) étudie : les relations entre les différentes populations de micro-organismes
Plus en détailIMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques
IMMUNOLOGIE La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T Informations scientifiques L infection par le VIH entraîne des réactions immunitaires de l organisme qui se traduisent par la production
Plus en détailgrande simple microscope microscope inventé années 1825. biologie = cellule) et (logos de plus en Anglais. Utilise un La microscopie, 1665,
Cours de Biologie Cellulaire Présentés par Mr CHELLI A. FSNV 2012/ /2013 CHAPITRE I : INTRODUCTION A LA BIOLOGIE CELLULAIRE A- Introduction et définitionn de la biologie cellulaire : Il était difficile
Plus en détailAGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE
AGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE CONCOURS EXTERNE Session 2005 TRAVAUX PRATIQUES DE BIOCHIMIE PHYSIOLOGIE ALCOOL ET FOIE L éthanol, psychotrope puissant, est absorbé passivement dans l intestin
Plus en détailEXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410
EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410 EXERCICE 1 PAGE 406 : EXPERIENCES A INTERPRETER Question : rôles respectifs du thymus et de la moelle osseuse dans la production des lymphocytes.
Plus en détailTP N 3 La composition chimique du vivant
Thème 1 : La Terre dans l'univers, la vie et l'évolution du vivant : une planète habitée Chapitre II : La nature du vivant TP N 3 La composition chimique du vivant Les conditions qui règnent sur terre
Plus en détailCommentaires sur les épreuves de Sciences de la Vie et de la Terre
Commentaires sur les épreuves de Sciences de la Vie et de la Terre Épreuve ÉCRITE de BIOLOGIE A...2 Épreuve ÉCRITE de BIOLOGIE B...9 Épreuve ORALE de BIOLOGIE...13 ANNEXE 1 : LISTE DES SUJETS D ORAL PROPOSÉS
Plus en détailEpreuve de biologie... 2 Annexe : Liste des sujets de la session 2013... 9
Epreuve de biologie... 2 Annexe : Liste des sujets de la session 2013... 9 Travaux pratiques de biologie... 17 Annexe : Liste des sujets de la session 2013... 26 Travaux d initiative personnelle encadrés
Plus en détailUtilisation des substrats énergétiques
Utilisation des substrats énergétiques Collège des Enseignants de Nutrition Date de création du document 2010-2011 Table des matières I Les organes et les substrats... 3 I.1 Les substrats énergétiques...
Plus en détailDe la physico-chimie à la radiobiologie: nouveaux acquis (I)
De la physico-chimie à la radiobiologie: nouveaux acquis (I) Collaboration: - Laboratoire de Radiotoxicologie et Oncologie (L. Sabatier) CEA, DSV - Laboratoire de Génotoxicité et Modulation de l Expression
Plus en détailCOUSIN Fabien KERGOURLAY Gilles. 19 octobre 2007. de l hôte par les. Master 2 MFA Responsable : UE Incidence des paramètres environnementaux
COUSIN Fabien KERGOURLAY Gilles 19 octobre 2007 Inhibition des défenses de l hôte par les bactéries pathogènes Master 2 MFA Responsable : UE Incidence des paramètres environnementaux Gwennola ERMEL I Détection
Plus en détailMicroscopie Confocale. Principes de base & Applications en Biologie Cellulaire
Université Paris Descartes L3 - Licence Professionnelle «Industries chimiques et Pharmaceutiques Option Biotechnologie» Microscopie Confocale Principes de base & Applications en Biologie Cellulaire Bruno
Plus en détailSéquence 1. Reproduction conforme de la cellule et réplication de l ADN Variabilité génétique et mutation de l ADN
Séquence 1 Reproduction conforme de la cellule et réplication de l ADN Variabilité génétique et mutation de l ADN Sommaire 1. Reproduction conforme de la cellule et réplication de l ADN 2. Variabilité
Plus en détailLes cytokines et leurs récepteurs. Laurence Guglielmi laurence.guglielmi@univ-montp1.frli
Les cytokines et leurs récepteurs Laurence Guglielmi laurence.guglielmi@univ-montp1.frli l i@ i 1 Les cytokines et leurs récepteurs 2 mécanismes principaux d interactions cellulaires : - contact membranaire
Plus en détailSéquence 2. L expression du patrimoine génétique. Sommaire
Séquence 2 L expression du patrimoine génétique Sommaire 1. La synthèse des protéines 2. Phénotypes, génotypes et environnement Synthèse de la séquence 2 Exercices de la séquence 2 Glossaire des séquences
Plus en détailLes OGM. 5 décembre 2008. Nicole Mounier
Les OGM 5 décembre 2008 Nicole Mounier Université Claude Bernard Lyon 1 CGMC, bâtiment Gregor Mendel 43, boulevard du 11 Novembre 1918 69622 Villeurbanne Cedex OGM Organismes Génétiquement Modifiés Transfert
Plus en détailGuide PACES - 23/06/2010
1 Guide PACES - 23/06/2010 Historiquement, la réforme de la PCEM 1 (pour 1 ère année du Premier Cycle des Etudes Médicales) a toujours fait débat, à savoir trouver la meilleure formule pour juguler l afflux
Plus en détailBASES DE L ENTRAINEMENT PHYSIQUE EN PLONGEE
BASES DE L ENTRAINEMENT PHYSIQUE EN PLONGEE І) INTRODUCTION II) BASES PHYSIOLOGIQUES III) PRINCIPES GENERAUX DE L ENTRAINEMENT PHYSIQUE IV) ENTRAINEMENT DANS LES DIFFERENTES FILIERES V) LA PLANIFICATION
Plus en détailLuca : à la recherche du plus proche ancêtre commun universel Patrick Forterre, Simonetta Gribaldo, Céline Brochier
MEDECINE/SCIENCES 2005 ; 21 :???-??? > L application des méthodes de la biologie moléculaire à l étude des premières étapes de l évolution a montré que le monde vivant pouvait être divisé en trois domaines
Plus en détailACIDES BASES. Chap.5 SPIESS
ACIDES BASES «Je ne crois pas que l on me conteste que l acide n ait des pointes Il ne faut que le goûter pour tomber dans ce sentiment car il fait des picotements sur la langue.» Notion d activité et
Plus en détailTransport des gaz dans le sang
UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailTransport des gaz dans le sang
UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailINTRODUCTION À L'ENZYMOLOGIE
INTRODUCTION À L'ENZYMOLOGIE Les enzymes sont des macromolécules spécialisées qui - catalysent les réactions biologiques - transforment différentes formes d'énergie. Les enzymes diffèrent des catalyseurs
Plus en détailAGRÉGATION DE SCIENCES DE LA VIE - SCIENCES DE LA TERRE ET DE L UNIVERS
AGRÉGATION DE SCIENCES DE LA VIE - SCIENCES DE LA TERRE ET DE L UNIVERS CONCOURS EXTERNE ÉPREUVES D ADMISSION session 2010 TRAVAUX PRATIQUES DE CONTRE-OPTION DU SECTEUR A CANDIDATS DES SECTEURS B ET C
Plus en détailSTRUCTURE ET FONCTION DES PLURICELLULAIRES
Plan de cours STRUCTURE ET FONCTION DES PLURICELLULAIRES 101-FYA-PT Pondération 3-1-2 Gilles Bourbonnais (C360) gilles.bourbonnais@dgpc.ulaval.ca Sciences de la Nature / PASC@L http://ici.cegep-ste-foy.qc.ca/profs/gbourbonnais/
Plus en détailNEUROPHYSIOLOGIE (2)
NEUROPHYSIOLOGIE (2) B - LE SYSTEME NERVEUX (SUITE) - NEURONES ET GLIOCYTES IV - LES NEURONES ET LES GLIOCYTES 1) OBJET DE LEUR ETUDE La NEUROPHYSIOLOGIE est l étude du fonctionnement du système nerveux.
Plus en détail3: Clonage d un gène dans un plasmide
3: Clonage d un gène dans un plasmide Le clonage moléculaire est une des bases du génie génétique. Il consiste à insérer un fragment d'adn (dénommé insert) dans un vecteur approprié comme un plasmide par
Plus en détailVI- Expression du génome
VI- Expression du génome VI-1.- EXPRESSION DU GÉNOME- PRINCIPES GÉNÉRAUX DOGME CENTRAL Les gènes et l information génétique sont conservés sous forme d acides nucléiques La perpétuation à l identique de
Plus en détailChapitre II La régulation de la glycémie
Chapitre II La régulation de la glycémie Glycémie : concentration de glucose dans le sang valeur proche de 1g/L Hypoglycémie : perte de connaissance, troubles de la vue, voire coma. Hyperglycémie chronique
Plus en détailToxicité à long-terme d un herbicide Roundup et d un maïs modifié génétiquement pour tolérer le Roundup
A l attention de toutes les personnes qui se méfient des jugements de valeur fussent-ils émis par des scientifiques- et qui préfèrent capter les informations à leur source pour s en faire une opinion personnelle.
Plus en détail2015-2016. Médecine Pharmacie Dentaire Sage-femme ANNÉE UNIVERSIT AIRE
Médecine Pharmacie Dentaire Sage-femme ANNÉE UNIVERSIT AIRE 2015-2016 SudMédical Montpellier-Nîmes Établissement d Enseignement Supérieur Privé Espace Saint-Charles - 300, rue Auguste Broussonnet - 34090
Plus en détailRappels sur les couples oxydantsréducteurs
CHAPITRE 1 TRANSFORMATIONS LENTES ET RAPIDES 1 Rappels sur les couples oxydantsréducteurs 1. Oxydants et réducteurs Un réducteur est une espèce chimique capable de céder au moins un électron Demi-équation
Plus en détail1. Principes de biochimie générale. A. Bioénergétique et dynamique. a) Intro: Les mitochondries passent leur temps à fabriquer de l énergie.
RESPIRATION MITOCHONDRIALE 1. Principes de biochimie générale. A. Bioénergétique et dynamique. a) Intro: Les mitochondries passent leur temps à fabriquer de l énergie. b) Rappels: L énergie chimique sert
Plus en détail1.2 Coordinence. Notion de liaison de coordinence : Cas de NH 3. et NH 4+ , 3 liaisons covalentes + 1 liaison de coordinence.
Règle de l octet : tendance qu on les atomes à s entourer de 8 électrons dans l édifice moléculaire. Ce n est pas une règle générale. Composés respectant la règle de l octet Composés ne respectant pas
Plus en détailÉCOLES NORMALES SUPÉRIEURES ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES CONCOURS D ADMISSION SESSION 2013 FILIÈRE BCPST COMPOSITION DE BIOLOGIE
ÉCOLES NORMALES SUPÉRIEURES ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES CONCOURS D ADMISSION SESSION 2013 FILIÈRE BCPST COMPOSITION DE BIOLOGIE Épreuve commune aux ENS de Cachan, Lyon, Paris et de l ENPC Durée
Plus en détailDétection de Chlorophylle Réalisation d'un fluorimètre
MANGOTECHNO Détection de Chlorophylle Réalisation d'un fluorimètre Frédéric BOUCHAR (TENUM Toulouse) Document de travail - Janvier 2012 Version 1.0 Table des matières 1.Introduction...3 2. La chlorophylle...3
Plus en détailL univers vivant De la cellule à l être humain
L univers vivant De la cellule à l être humain La cellule humaine Voir : http://www.biologieenflash.net/sommaire.html Voir : http://fr.wikipedia.org/ La cellule humaine Unité de base de tous les êtres
Plus en détailMABioVis. Bio-informatique et la
MABioVis Modèles et Algorithmes pour la Bio-informatique et la Visualisation Visite ENS Cachan 5 janvier 2011 MABioVis G GUY MELANÇON (PR UFR Maths Info / EPI GRAVITE) (là, maintenant) - MABioVis DAVID
Plus en détailVieillissement moléculaire et cellulaire
Vieillissement moléculaire et cellulaire Yves Courtois Lorsque, en 1961, Léonard HAYFLICK, aux USA, re - mit en cause le concept général de l'immortalité des cellules, il apportait à la recherche en gérontologie
Plus en détailATELIER SANTE PREVENTION N 2 : L ALIMENTATION
ATELIER SANTE PREVENTION N 2 : L ALIMENTATION Mardi 24 janvier 2012 au Centre de Formation Multimétiers de REIGNAC L objectif de cet atelier sur la santé est de guider chacun vers une alimentation plus
Plus en détailRôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique
Rôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique Tuteur : Anne Muhr-Tailleux cardiovasculaires et diabète (Equipe 1) Institut
Plus en détailSéquence 10. Le maintien de l intégrité de l organisme : quelques aspects de la réaction immunitaire. Sommaire
Séquence 10 Le maintien de l intégrité de l organisme : quelques aspects de la réaction immunitaire Sommaire Chapitre 1. Pré-requis Chapitre 2. La réaction inflammatoire, un exemple de réponse innée Chapitre
Plus en détailConférence technique internationale de la FAO
Décembre 2009 ABDC-10/7.2 F Conférence technique internationale de la FAO Biotechnologies agricoles dans les pays en développement: choix et perspectives pour les cultures, les forêts, l élevage, les pêches
Plus en détailRespiration Mitochondriale
Université Pierre et Marie Curie Respiration Mitochondriale Objectifs au cours de Révisions Biochimie PCEM2 Révisions Biochimie Métabolique 2004-2005 Pr. A. Raisonnier (alain.raisonnier@upmc.fr) Mise à
Plus en détailSpécialisation 3A AgroSup Dijon IAA Microbiologie Industrielle et Biotechnologie (MIB)
Spécialisation 3A AgroSup Dijon IAA Microbiologie Industrielle et Biotechnologie (MIB) Responsable : Jean-François Cavin (Pr. Microbiologie Biotechnologie) Tel 03 80 77 40 72, Fax 03 80 77 23 84 jf.cavin@agrosupdijon.fr
Plus en détailBiochimie I. Extraction et quantification de l hexokinase dans Saccharomyces cerevisiae 1. Assistants : Tatjana Schwabe Marcy Taylor Gisèle Dewhurst
Biochimie I Extraction et quantification de l hexokinase dans Saccharomyces cerevisiae 1 Daniel Abegg Sarah Bayat Alexandra Belfanti Assistants : Tatjana Schwabe Marcy Taylor Gisèle Dewhurst Laboratoire
Plus en détailLe grand écart de la recherche fondamentale vers l application biomédicale
Le grand écart de la recherche fondamentale vers l application biomédicale Ludger Johannes «Chemical Biology of Membranes and Therapeutic Delivery» unit U1143 INSERM UMR3666 CNRS «Endocytic Trafficking
Plus en détailDéshydratation, Inclusions, Coupes, et microscopie électronique à transmission
Déshydratation, Inclusions, Coupes, et microscopie électronique à transmission Valérie Messent Lobservation de tissus vivants en microscopie électronique à transmission impose des techniques de préparations
Plus en détailTHEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE
THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules
Plus en détailEXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points)
Bac S 2015 Antilles Guyane http://labolycee.org EXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points) La benzocaïne (4-aminobenzoate d éthyle) est utilisée en médecine comme anesthésique local
Plus en détailContrôle de l'expression génétique : Les régulations post-transcriptionnelles
Contrôle de l'expression génétique : Les régulations post-transcriptionnelles http://perso.univ-rennes1.fr/serge.hardy/ utilisateur : biochimie mot de passe : 2007 L'ARNm, simple intermédiaire entre le
Plus en détailApplication à l astrophysique ACTIVITE
Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.
Plus en détailUnivers Vivant Révision. Notions STE
Univers Vivant Révision Notions STE Chap. 13) L Écologie 1) a) Qu est-ce que l empreinte écologique? L empreinte écologique correspond à la surface terrestre et aquatique totale nécessaire à un individu,
Plus en détailL ÉNERGIE C EST QUOI?
L ÉNERGIE C EST QUOI? L énergie c est la vie! Pourquoi à chaque fois qu on fait quelque chose on dit qu on a besoin d énergie? Parce que l énergie est à l origine de tout! Rien ne peut se faire sans elle.
Plus en détailBiomarqueurs en Cancérologie
Biomarqueurs en Cancérologie Définition, détermination, usage Biomarqueurs et Cancer: définition Anomalie(s) quantitative(s) ou qualitative(s) Indicative(s) ou caractéristique(s) d un cancer ou de certaines
Plus en détailUniversity of AbouBakr Belkaid Tlemcen Program Title Type Level Program Web site Perturbations moyennisations et application aux biomathématiques
University of AbouBakr Belkaid Tlemcen Program Title Type Level Program Web site Perturbations moyennisations et application aux biomathématiques Exchange Master www.univ-tlemcen.dz Chimie bio organique
Plus en détailMonitoring de surface de sites de stockage de CO 2 SENTINELLE. (Pilote CO2 de TOTAL Lacq-Rousse, France) Réf. : ANR-07-PCO2-007
Monitoring de surface de sites de stockage de CO 2 (Pilote CO2 de TOTAL Lacq-Rousse, France) SENTINELLE Réf. : ANR-07-PCO2-007 Ph. de DONATO (INPL-CNRS) (Coordonnateur) PARTENAIRES Durée : 3 ans + 7 mois
Plus en détailCHAPITRE 2 : Structure électronique des molécules
CHAPITRE 2 : Structure électronique des molécules I. La liaison covalente 1) Formation d une liaison covalente Les molécules sont des assemblages d atomes liés par des liaisons chimiques résultant d interactions
Plus en détailCommentaires sur les Épreuves de Sciences de la Vie et de la Terre
Commentaires sur les Épreuves de Sciences de la Vie et de la Terre Épreuve Écrite de Biologie A... 2 Épreuve Écrite de Biologie B... 8 Épreuve Orale de Biologie... 16 Annexe 1 : liste des sujets proposés
Plus en détail2015-2016. Médecine Pharmacie Dentaire Sage-femme Kinésithérapie ANNÉE UNIVERSIT AIRE
Médecine Pharmacie Dentaire Sage-femme Kinésithérapie ANNÉE UNIVERSIT AIRE 2015-2016 Médical Sciences Bordeaux - Établissement d Enseignement Supérieur Privé Médical Sciences 52 rue de la Béchade - 33000
Plus en détailLes lières. MSc in Electronics and Information Technology Engineering. Ingénieur civil. en informatique. MSc in Architectural Engineering
Ingénieur civil Ingénieur civil Les lières MSc in Electronics and Information Technology Engineering MSc in Architectural Engineering MSc in Civil Engineering MSc in Electromechanical Engineering MSc
Plus en détailLa reconnaissance moléculaire: la base du design rationnel Modélisation moléculaire: Introduction Hiver 2006
La reconnaissance moléculaire: la base du design rationnel En 1890 Emil Fisher a proposé le modèle "serrure et clé" pour expliquer la façon de fonctionner des systèmes biologiques. Un substrat rentre et
Plus en détailQu'est-ce que la biométhanisation?
Qu'est-ce que la biométhanisation? La biométhanisation consiste en une série d'opérations de dégradations biologiques de matières organiques qui se produisent en l'absence d'oxygène. Les produits résultants
Plus en détailMAB Solut. vos projets. MABLife Génopole Campus 1 5 rue Henri Desbruères 91030 Evry Cedex. www.mabsolut.com. intervient à chaque étape de
Mabsolut-DEF-HI:Mise en page 1 17/11/11 17:45 Page1 le département prestataire de services de MABLife de la conception à la validation MAB Solut intervient à chaque étape de vos projets Création d anticorps
Plus en détailChapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure?
Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure? Plan : 1. Qu est ce que l atmosphère terrestre? 2. De quoi est constitué l air qui nous entoure? 3. Qu est ce que le dioxygène? a. Le dioxygène dans la
Plus en détailUniversity of Tokyo Graduate School of Agricultural and Life Sciences et. Kanagawa Academy of Science and Technology
COMMUNIQUÉ DE PRESSE le 25 mars 2014 Une étude conjointe menée par University of Tokyo Graduate School of Agricultural and Life Sciences et Kanagawa Academy of Science and Technology suggère que le sirop
Plus en détailLA A RESPIRATION CELLULAIRE
Instructions aux professeurs Domaine : 1.1 Le transport de substances, réaction chimique de la respiration cellulaire, p. 6 Travail à réaliser : Les élèves répondent aux questions. Matériel : Feuilles
Plus en détailne définition de l arbre.
LA PHYSIOLOGIE DES ARBRES. U ne définition de l arbre. L es arbres sont des êtres vivants qui occupent une place à part dans le monde végétal. Ils sont indispensables à la vie sur terre et ils ont largement
Plus en détailLes Parcours Scientifiques et les Ecoles Doctorales
Aix 11 Septembre 2006 Les Parcours Scientifiques et les Ecoles Doctorales «Sciences de la Vie» Jean-François DHAINAUT Président du Pôle de Recherche et Enseignement Supérieur «Université Paris-Centre»
Plus en détailLes Énergies Capter et Stocker le Carbone «C.C.S»
Les Énergies Capter et Stocker le Carbone «C.C.S» La lutte contre le changement climatique Initiative concertée au niveau mondial Pour limiter à 2 à 3 C l élévation moyenne de la température, il faudrait
Plus en détailCompléments - Chapitre 5 Spectroscopie
ompléments - hapitre 5 Spectroscopie Spectroscopie par résonance magnétique nucléaire (RMN 13 ) Tandis que la spectroscopie RMN 1 H fournit des données sur la disposition des atomes d'hydrogène dans une
Plus en détailAvancées dans la maladie de Pompe
AVANCÉES DE LA RECHERCHE Avancées dans la maladie de Pompe > Glycogénose musculaire de type II > Déficit en alpha-glucosidase acide > Déficit en maltase acide > Maladie de Pompe à début tardif > Pompe
Plus en détailANTICORPS POLYCLONAUX ANTI IMMUNOGLOBULINES
L OUTIL IDEAL POUR TOUTES LES DETECTIONS IMMUNOCHIMIQUES pour toutes les techniques immunodosages (EIA/ELISA) dot/ westernblot immunohistochimie immunocytochimie cytométrie en flux quel que soit le système
Plus en détailFonction de conduction de la moelle épinière. Dr F. TOUMI
Fonction de conduction de la moelle épinière Dr F. TOUMI I. GENERALITES : Communication Moelle avec les centres supra spinaux Communication Intra segmentaire (ipsilatérale / controlatérale) Communication
Plus en détailL ÉLECTRICITÉ C EST QUOI?
L ÉLECTRICITÉ C EST QUOI? L électricité est le moyen de transport de l énergie! L électricité, comme l énergie, est présente dans la nature mais on ne la voit pas. Sauf quand il y a un orage! L électricité
Plus en détailLe trajet des aliments dans l appareil digestif.
La digestion. La digestion, c est la transformation des aliments en nutriments assimilables par l organisme. Dans le tube digestif, les aliments subissent une série de dégradations mécaniques et chimiques
Plus en détailUn laboratoire d auto-immunité paperless : mythe ou réalité? L.Lutteri Laboratoire d auto-immunité Service de Chimie Clinique CHU Liège
Un laboratoire d auto-immunité paperless : mythe ou réalité? L.Lutteri Laboratoire d auto-immunité Service de Chimie Clinique CHU Liège Immunofluorescence Dépistage Aspect Titre Cellules Hep 2: Connectivites
Plus en détailMolécules et Liaison chimique
Molécules et liaison chimique Molécules et Liaison chimique La liaison dans La liaison dans Le point de vue classique: l approche l de deux atomes d hydrogd hydrogènes R -0,9-1 0 0,5 1 1,5,5 3 3,5 4 R
Plus en détailPolymer Nanoparticles in Life Science Compte-Rendu d un atelier européen de prospective
Polymer Nanoparticles in Life Science Compte-Rendu d un atelier européen de prospective Christian Pichot, Denis Labarre et Jean-Claude Daniel Un atelier européen de prospective sur le sujet «Polymer nanoparticles
Plus en détailHépatite chronique B Moyens thérapeutiques
Hépatite chronique B Moyens thérapeutiques Dr Olfa BAHRI Laboratoire de Virologie Clinique Institut Pasteur de Tunis INTRODUCTION Plus de 300. 10 6 porteurs chroniques de VHB dans le monde Hépatite chronique
Plus en détailListe des matières enseignées
Liste des matières enseignées Domaine : Sciences de la Nature et de la Vie Filière : Biologie Parcours : Tronc Commun Semestre1 VHG Coefficient Cours TD/TP Crédits/s. unité crédits U.E fondamental : 13
Plus en détailÉcole secondaire Mont-Bleu Biologie générale 035-534
École secondaire Mont-Bleu Biologie générale 035-534 I. Rappel sur anatomie du système digestif Unité 3 La vie une question d adaptation 2 Unité 3 La vie une question d adaptation 3 Unité 3 La vie une
Plus en détailPROPOSITION TECHNIQUE ET FINANCIERE
Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Votre correspondant : Romain CRESSON INRA Transfert Environnement Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Tel: +33 (0)4 68 46 64 32 Fax: +33 (0)4 68 42 51
Plus en détail