Quel avenir pour le maïs irrigué? Contribution de Solagro au débat public sur le projet de réservoir Charlas.
|
|
- Jean-Paul Cousineau
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Quel avenir pour le maïs irrigué? Contribution de Solagro au débat public sur le projet de réservoir Charlas
2 Enjeux agroenvironnementaux L OMC avec une possibilité des pays du Sud d attaquer les aides directes européennes à Genève à partir de 2004 (fin de la clause de paix) des prix mondiaux continuellement à la baisse Les accords de Luxembourg du 29 septembre 2003 qui prévoient un découplage partiel ou total des aides à partir de 2005 la mise en place d une écoconditionnalité sur le premier pilier de la PAC le respect des directives européennes notamment la nouvelle directive cadre sur l eau
3 Les aides directes et indirectes en France en 2002 Montant (en /ha) ICHN MAE Primes ovines et vaches allaitantes Gel des terres Aide SCOP au maïs ensilage Surprime irrigation Détaxation du fioul agricole Aides publiques aux investissements irrigation Lutte contre les maladies des végétaux et animaux Restitution
4 Evolution des surfaces irriguées et des surfaces en maïs en France entre 1955 et 2002 Surfaces (ha) Surface irriguée (ha) surface maïs (ha) Maïs irrigué primé (ha) Sources : SCEES (Recensement Agricole et Enquêtes Structures, ONIC
5 Surface irriguée en France en 2000 maïs grain et semence maïs fourrage autres céréales et oléoprotéagineux légumes et vergers betterave, pomme de terre et vigne surface en herbe autres Source : SCEES (RA, 2000).
6 La France exportatrice de maïs grain Surface de maïs grain : 1,8 millions d hectares en 2002 rendement moyen : 90 quintaux production : 16 millions de tonnes par an La France exporte en moyenne 9 millions de tonnes de maïs par an presque exclusivement dans l Union européenne 85 % du maïs grain consommé en France est utilisé dans l alimentation animale, essentiellement porc et volaille
7 Le maïs irrigué en Midi-Pyrénées en 2000 Surface irriguée de la région : 17 % de la surface irriguée nationale ha, soit ha (+28%) par rapport à départements concentrent 70 % des surfaces (Gers : 30 % ; Tarn et Garonne : 22 % ; Haute-Garonne : 18 %) Le maïs grain occupe 63 % de la sole irriguée ha bénéficient d une prime à l irrigation (dont 87% pour le maïs) Surface de maïs primée : ha en 1997 à ha en 2000 soutien annuel : 32 millions d pour l irrigation du maïs (160 /ha)
8 Résultats de l'enquête Pratiques culturales de 2001 Matériel d'irrigation Enrouleur 65 % Couverture intégrale 18 % Pivot ou rampe mobile 13% Déplacement asperseurs 3 % Autre mode d irrigation 1 % total 100 % Faible rotation sur le maïs 67 % des surfaces en maïs en 1997 étaient en maïs l'année précédente et 23% en céréales à paille Absence de cultures intercalaires
9 Résultats de l'enquête Pratiques culturales de 2001 Un bilan azoté qui s'améliore mais toujours excédentaire Des traitements pesticides qui s'accroissent : 16% des surfaces en maïs dépassaient les doses en atrazine maïs grain superficie (en ha) rendement (en qx) dose moyenne d'azote chimique (en unité) dose moyenne d'azote organique (en unité) excédents d azote (méthode CORPEN) nombre de traitements (hors traitement des semences) kg/ha 2, kg/ha 3,1 évolution + 16% + 3% - 6% - 1% - 14% + 14%
10 Marge nette et brute en irrigation (source SCEES, DRAF, Index des prix agricoles) Produits bruts /ha En /ha Total charges proportionnelles Marge brute (MB) MB irrigation MB irrigationtravail - 79 /ha blé tendre sec maïs irrigué
11 Marge nette et brute en irrigation cultures blé tendre sec maïs irrigué rendement (q/ha) prix ( /kg) 0,12 0,10 produits (vente en ) subventions ( ) produits bruts ( ) charges propotionnelles ( ) engrais semences phytosanitaires frais irrigation (hors amortissement) total charges proportionnelles marge brute amortissement irrigation 100 marge brute corrigée avec amort irrigation temps de travail irrigation en heures par hectare 3 salaire irrigation (12 /h) 36 marge brute corrigée avec amort irrigation et temps de travail /ha /ha /ha - 79 /ha
12 Mesure 11 du PDRN : Diminution des prélèvements en eau Mesure agroenvironne ment 1101A A A02 Intitulé Cahier des charges Montant de l aide (en /ha/an pendant 5 ans) Réduire les surfaces en cultures irriguées Réduire le niveau d irrigation de 25% sur le maïs ou sorgho Réduire le niveau d irrigation de 50% sur le maïs ou sorgho Engagement sur un volume d eau maximum consommé et respect des restrictions de crise. 10% minimum de la SAU doit être supprimé. Calcul d une référence historique basée sur la moyenne des 3 dernières années. Calcul d une référence historique basée sur la moyenne des 3 dernières années, de références techniques locales par culture. Ce volume de référence ne pourra en aucun cas être supérieur au volume usuellement utilisé par l agriculteur Calcul de l aide 366 MBS rendt 90 qx de maïs MBS cultures sèches ( =366) 229 Perte de rendement de 20% sur la base de 110qx (22 qx à 11,4 /q = 251 ) 305 Perte de rendement de 30% sur la base de 110 qx (35 qx à 11,4 /q = 399 )
13 Mesure 11 du PDRN : Diminution des prélèvements en eau Bilan de l application de la mesure dans les CTE (au 30 août 2002) La mesure 1101 (réduire les surfaces) : ha concernés, soit 0,1 % de la sole irriguée - une économie de 0,8 Mm 3 d eau (calcul effectué sur la base de 2000 m 3 /ha). La mesure 1102 (réduire les niveaux d irrigation à l hectare) : ha concernés, soit 2 % de la sole irriguée - une économie d eau de 2,8 M m 3 (sur la base d une diminution de 25% - option majoritairement choisie)
14 Mesure q du PDRN : gestion des ressources en eau destinées à l agriculture Diminution des prélèvements en eau par rapport à des références locales Réduction des surfaces irriguées Modification de l assolement par une mise en place de culture moins consommatrices d eau Gestion des systèmes d irrigation en vue d économiser les ressources en eau Mise en place de haies brise-vent pour limiter l évapotranspiration Budget France : 33,5 millions (dont 50% de l Europe). Les aides revêtiront la forme d aides à l investissement, plafonnées à 70% des coûts.
15 Soutenir les agriculteurs qui veulent arrêter d irriguer Par une aide compensatoire agroenvironnementale d une durée de 5 ans Par une aide structurelle dont le montant reste à définir Une aide forfaitaire de /ha revient 2,3 fois moins cher au m 3 que Charlas
16 Scénarios L engagement sur une MAE Arrêt de l irrigation conduit à une augmentation de la marge brute corrigée de 287 en faveur de la culture en sec. Le découplage total des primes PAC conduit à une augmentation de la marge brute corrigée de 81 en faveur de la culture en sec MB corrigée avec primes MB corrigée hors prime (découplage des aides) + 81 /ha blé tendre sec maïs irrigué
17 Conclusions Dans un contexte où : - le découplage va devenir une réalité - le prix de l eau ne peut qu augmenter - l environnement devra être mieux pris en compte qu il ne n est actuellement Que devient l intérêt de l irrigation du maïs grain pour les agriculteurs? L arrêt de l irrigation du maïs grain doit être étudié et accompagné pour ne pas mettre certains agriculteurs en difficulté financière. Un arrêt sur ha (soit 50 millions de m3 d eau et 13% de la sole en maïs irrrigué) ou plus, s avère être un scénario réaliste qui doit être étudié en détail.
18 Des pistes d avenir Développer des itinéraires à bas niveaux d intrants sur les grandes cultures (cf travaux INRA) Poursuivre le développement des filières qualité (AOC, agriculture biologique, label rouge, produits fermiers, label nature ) Développer la vente directe (AMAP, magasins de producteurs, ) Agrotourisme (la campagne est le premier espace de destination touristique en France avec une augmentation de 3% par an) Agroforesterie Cultures à forte teneur en protéines comme la luzerne
19 Scénarios Le scénario agriculture libérale Suppression des barrières douanières et de toutes formes de protectionnisme Baisse des prix des produits agricoles Suppression des aides directes Augmentation du prix de l eau Le scénario agriculture multifonctionnelle Suppression des restitutions et protection à l importation Adaptation de la production à la consommation européenne Intégration plus forte des enjeux agro-environnementaux (écoconditionalité, écotaxes, MAE, ) Rémunération des aménités (paysage, biodiversité, risques naturels ) Augmentation du prix de l eau
20 Les déterminants de la non irrigation sur 6 exploitations en sec Enquête OSRI, 1993
Conventions de calcul pour la réalisation des cas types en agriculture biologique
Conventions de calcul pour la réalisation des cas types en agriculture biologique Conjoncture retenue pour la construction des cas-types Prix de la viande bovine Conjoncture 1 er trimestre 2012 Prix des
Plus en détailPrix et coûts de production de six grandes cultures : blé, maïs, colza, tournesol, betterave et pomme de terre
Prix et coûts de production de six grandes cultures : blé, maïs, colza, tournesol, betterave et pomme de terre Dominique Desbois, Bernard Legris* Les prix à la production des principaux produits agricoles
Plus en détailCoûts des pratiques viticoles dans le Sud-Ouest en fonction de la typologie de production. Damien AMELINE, CER France Midi-Pyrénées
Coûts des pratiques viticoles dans le Sud-Ouest en fonction de la typologie de production Damien AMELINE, CER France Midi-Pyrénées 10 Damien décembre Ameline 2010 (CER France Toulouse Midi-Pyrénées) Compétitivité
Plus en détailDéfinition des variables présentées dans le RICA
Les termes en gras italique sont définis par ailleurs dans le lexique. Les termes en italique désignent des variables explicitement recueillies dans le Rica. A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V
Plus en détailSorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses
Sorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses Sorgho grain sucrier Itinéraire cultural Type de sol et préparation avant semis Le sorgho grain sucrier est relativement peu exigeant par rapport au
Plus en détailFiche Technique. Filière Maraichage. Mais doux. Septembre 2008
Fiche Technique Production Peu Développée en Languedoc-Roussillon Filière Maraichage Mais doux Septembre 2008 Rédigée par : Julien GARCIA Chambre Régionale d Agriculture du Languedoc-Roussillon Potentiel
Plus en détailPAC. ce qui change. vraiment
PAC 2014 2020 ce qui change vraiment Dotée d un budget préservé de l ordre de 9,1 milliards par an, la nouvelle pac entrera pleinement en application en 2015 et sera le cadre commun de l agriculture européenne
Plus en détailLes réformes de la PAC
www.supagro.fr Les réformes de la PAC Sophie Thoyer thoyer@supagro.inra.fr Centre international d études supérieures en sciences agronomiques La PAC d aujourd hui (2006 2014) En 2014, comment sont attribuées
Plus en détailEVALUATION DE LA MISE EN ŒUVRE DE LA CONSOLIDATION DU PROGRAMME DE
REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE MINISTERE DE L AGRICULTURE ET DU DEVELOPPEMENT RURAL EVALUATION DE LA MISE EN ŒUVRE DE LA CONSOLIDATION DU PROGRAMME DE DÉVELOPPEMENT AGRICOLE Evaluation
Plus en détailDIAGNOSTIC DE DURABILITE du Réseau Agriculture Durable
DIAGNOSTIC DE DURABILITE du Réseau Agriculture Durable Guide de l utilisateur 2010 Si vous êtes amenés à utiliser cet outil, merci d indiquer votre source. Réseau agriculture durable - Inpact Bretagne
Plus en détailSystèmes bovins laitiers en Poitou-Charentes
R E F E R E N C E S Systèmes bovins laitiers en Poitou-Charentes Avril 2008 Les cas-types... mode d emploi R E F E R E N C E S Vous avez dit cas-type? Un cas-type est une exploitation représentative d'un
Plus en détailLa filière noisette : un développement des surfaces est encore possible d après Unicoque.
La filière noisette : un développement des surfaces est encore possible d après Unicoque. Cette action de diffusion est cofinancée par l Union européenne avec les Fonds Européen Agricole pour le Développement
Plus en détailEnvironnement, économie, société : le maïs sur tous les fronts
Environnement, économie, société : le maïs sur tous les fronts Millions t 3 000 2 500 2 000 1 500 1 000 La demande en grains va augmenter avec la population 500 MAÏS : +76% 0 2000 2010 2015 2020 2030 RIZ
Plus en détail«L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas»
Énergie «L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas» La première fonction de l agriculture est la valorisation de l énergie solaire en énergie alimentaire par la photosynthèse.
Plus en détailL intérêt technico-économique. avec simulations à l'appui
L intérêt technico-économique Titre de du l'engraissement diaporama des mâles avec simulations à l'appui Christèle PINEAU Institut de l'elevage Christele.Pineau@idele.fr Matthieu COUFFIGNAL ARVALIS, Institut
Plus en détailACTION N 1 Réseau d élevages bovins laitiers en Agrobiologie
ACTION N 1 Réseau d élevages bovins laitiers en Agrobiologie Capacité d adaptation des systèmes en Agriculture Biologique aux épisodes de sécheresse AUTONOMIE ALIMENTAIRE Maître d œuvre : Chambres d Agriculture
Plus en détailRÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU RAD Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010
Les essentiels du Réseau agriculture durable RÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010 Réseau d information comptable agricole du Ministère de l Agriculture,
Plus en détailRéforme de la PAC 2015. Réunion d information Septembre 2014
Réforme de la PAC 2015 Réunion d information Septembre 2014 DE NOMBREUX DEFIS POUR LA PAC : LES PROPOS DE D. CIOLOS Juillet 2010 Le contexte : -> fin de la programmation 2007-2013 -> contexte de crise
Plus en détailAgricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable
Agricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable Marcel MAZOYER professeur à La Paz juillet 2 007 Contenu 1. Une situation agricole et alimentaire mondiale inacceptable 2. Développement
Plus en détailCAPRINS LAITIERS + BOVINS VIANDE ENSILAGE DE MAÏS
CLBV AQMP02 CAPRINS LAITIERS + BOVINS VIANDE ENSILAGE DE MAÏS 2 UMO sur 39 ha avec 200 chèvres produisant 160 000 litres de lait et engraissement de 40 génisses Ce système se rencontre principalement dans
Plus en détailLes 5 à 7 du SYRPA. Photographie et évolution de la population agricole professionnelle française
Les 5 à 7 du SYRPA Photographie et évolution de la population Quels enseignements en tirer pour vos actions de communication? Christophe SEMONT 1. Hyltel en quelques mots 2. Les concepts du recensement
Plus en détailANAIS LE LOGICIEL DE GESTION PRÉVISIONNELLE DE L ENTREPRISE AGRICOLE ET RURALE. Laboratoire Informatique de l ENITA de Bordeaux Tél.
LE LOGICIEL DE GESTION PRÉVISIONNELLE DE L ENTREPRISE AGRICOLE ET RURALE Laboratoire Informatique de l ENITA de Bordeaux Tél. 05 57 35 07 95 PHILOSOPHIE DU LOGICIEL - CONCEPTS DE BASE ET MECANISMES 1.
Plus en détailRevenu agricole 2013 : une année délicate pour les productions céréalières
Agreste Champagne-Ardenne n 4 - Juillet 2015 Réseau d information comptable agricole En 2013, le Résultat Courant Avant Impôt (RCAI) moyen des exploitations agricoles champardennaises couvertes par le
Plus en détail«Cette action contribue au PNNS». À CHÂTEAU THIERRY
«Cette action contribue au PNNS». «IL FAIT BIO À CHÂTEAU THIERRY A Chateau Thierry, la Municipalité souhaite développer les produits BIO et issus de filières de proximité dans les menus de la restauration
Plus en détailR y o aume aume du du Maroc Mar Mai 2009
Royaume du Maroc PLAN MAROC VERT Mai 2009 ENJEUX Enjeux économiques Contribue pour 19 % du PIB national 15% production 4% Agro industrie Rôle capital dans la stabilité macro économique Enjeux sociaux Emploie
Plus en détailLa couverture des risques agricoles
PACIFICA - ASSURANCES DOMMAGES La couverture des risques agricoles Patrick Degiovanni Directeur Général Adjoint Page 1 Marrakech, Jeudi 28 octobre 2010 Sommaire Le contexte Les risques du métier en Agriculture
Plus en détailEPREUVE ECRITE D ADMISSIBILITE
CONCOURS DE RECRUTEMENT DE PROFESSEURS DE LYCEE PROFESSIONNELS AGRICOLE (PLPA) SESSION 2011 Concours : INTERNE Section : Sciences économiques et sociales et gestion Option A : Sciences économiques et sociales
Plus en détailBilan Carbone des interventions viticoles
Chambre d agriculture de Vaucluse Bilan Carbone des interventions viticoles Silvère DEVEZE Chambre d Agriculture de Vaucluse Tél : 04.90.23.65.65 fax : 04.90.23.65.40 email : accueil@vaucluse.chambagri.fr
Plus en détailJournée technique ARRA Gestion quantitative de la ressource en eau
Journée technique ARRA Gestion quantitative de la ressource en eau Etude Volumes Prélevables sur les Usses 2010-2012 5 avril 2013 SMECRU Syndicat Mixte d Etude du Contrat de Rivières des Usses Le bassin
Plus en détailDAIRYMAN aux Pays-Bas
DAIRYMAN aux Pays-Bas Frans Aarts, Wageningen-UR 15 October 2013 Le secteur laitiers Néerlandais: Une place importante Une production intensive 65% des surfaces agricoles dédiées à la production laitière
Plus en détailContexte : Objectif : Expérimentation :
Estimation de la valeur fertilisante de digestats issus de la biométhanisation. Résultat de 3 années d expérimentation en culture de maïs (2009 à 2011). (JFr. Oost 1, Marc De Toffoli 2 ) 1 Centre pilote
Plus en détailL agriculture luxembourgeoise en chiffres 2013
L agriculture luxembourgeoise en chiffres 2013 (données disponibles au 1 ier avril 2013) MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE LA VITICULTURE ET DU DEVELOPPEMENT RURAL SERVICE D ECONOMIE RURALE L agriculture
Plus en détailLa vie du sol : «Les racines de la fertilité de vos cultures»
Donner à la nature les moyens d exprimer son potentiel! La vie du sol : «Les racines de la fertilité de vos cultures» BIO3G : 3 rue Basse Madeleine - BP 22-22230 MERDRIGNAC Tél : 02 96 67 41 41 - Fax :
Plus en détailMarc VARCHAVSKY Conseil National CER FRANCE Olivier BOUCHONNEAU Président de CER FRANCE 49
Impact de la variabilité des prix des produits agricoles et des intrants sur les exploitations en France Marc VARCHAVSKY Conseil National CER FRANCE Olivier BOUCHONNEAU Président de CER FRANCE 49 Colloque
Plus en détailAgricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005. Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005.
Agricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005 Summary in French Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005 Résumé Le soutien accordé aux producteurs
Plus en détailMoyens de production. Engrais
Engrais Moyens de production Lors de la campagne 2012-2013, les tonnages d engrais livrés diminuent de près de 17% en et représentent à peine plus de 1% des livraisons françaises. Cette évolution est principalement
Plus en détailGuide d établissement des budgets des propositions soumises aux appels à projets de
Guide d établissement des budgets des propositions soumises aux appels à projets de l ANR 1. INTRODUCTION...3 2. PRINCIPES GENERAUX...4 2.1. Assiette et taux de l aide... 4 2.2. TVA... 5 2.3. Règles spécifiques
Plus en détailEn zones herbagères, un système spécialisé lait, tout herbe
Cas type HL 1 En zones herbagères, un système spécialisé lait, tout herbe Rouen Évreux Amiens Beauvais Arras Lille Laon Culture à faible densité d'élevage Herbagère à forte densité d'élevage Mixte à moyenne
Plus en détailGestion des risques de prix et de revenu en production porcine : diversité et intérêt des programmes canadiens
Spécial Gestion des risques de prix et de revenu en production porcine : diversité et intérêt des programmes canadiens Spéciale Au Canada, la gestion des risques de l entreprise est un des piliers du Cadre
Plus en détailCrédit d impôt en faveur de l agriculture biologique
Crédit d impôt en faveur de l agriculture biologique Note d information et d analyse FNAB Paris, le 10 avril 2014 Mode d emploi du dispositif CI-Bio pour les exercices 2011 à 2014 (pour les déclarations
Plus en détailRENTABILITÉ ÉCONOMIQUE MODÈLES DE CALCUL
Faits et chiffres de l aviculture CH 2.6 RENTABILITÉ ÉCONOMIQUE MODÈLES DE CALCUL 1. Généralités sur les coûts de production et la rentabilité économique Les modèles de calcul en annexe sont à interpréter
Plus en détailMINISTERE DE L'AGRICULTURE DE L AGROALIMENTAIRE ET DE LA FORÊT (articles L361-1à 21 et D361-1 à R361-37 du Code rural)
MINISTERE DE L'AGRICULTURE DE L AGROALIMENTAIRE ET DE LA FORÊT (articles L3611à 21 et D3611 à R36137 du Code rural) DEMANDE D INDEMNISATION DES PERTES PROCEDURE DES CALAMITES AGRICOLES PERTES DE RECOLTE
Plus en détailTCS, strip-till et semis direct
Témoignage dethierry Lesvigne Polyculture Elevage Bovin Lait La Bernaudie 24 480 ALLES- SUR-DORDOGNE Depuis 2008, Thierry Lesvigne a choisi repenser l ensemble de son système agronomique et a arrêté définitivement
Plus en détailLA CHARTE REGIONALE D ACCES AUX AIDES AGRICOLES
LA CHARTE REGIONALE D ACCES AUX AIDES AGRICOLES Version A Aide sollicitée auprès du Conseil Régional de Picardie au titre de (cocher l aide sollicitée) : o L investissement en agriculture biologique o
Plus en détail4. Verdissement, une PAC plus verte
4. Verdissement, une PAC plus verte Aides Couplées JA Verdissement Paiement redistributif DPB Trois obligations à respecter : 1. Diversification des assolements 2. Maintien des prairies permanentes 3.
Plus en détailAnnexe 1 b : Description des actions de l opération 0412 Maîtrise de l énergie Programmation 2014 2020
Annexe 1 b : Description des actions de l opération 0412 Maîtrise de l énergie Programmation 2014 2020 CADRE REGLEMENTAIRE : FEADER, PROGRAMME DE DEVELOPPEMENT RURAL 2014 2020, REGION LIMOUSIN Cette annexe
Plus en détailNotice explicative Comment renseigner votre dossier PAC?
MINISTÈRE DE L AGRICULTURE DE L AGROALIMENTAIRE ET DE LA FORÊT Direction départementale des territoires Direction départementale des territoires et de la mer Direction de l alimentation, de l agriculture
Plus en détailL assurance récoltes en France
P A C I F I C A - A S S U R A N C E S D O M M A G E S L assurance récoltes en France Colloque FARM - Pluriagri du 18 décembre 2012 Thierry LANGRENEY Directeur général de Pacifica L assurance, un outil
Plus en détailFertiliser le maïs autrement
Fertiliser le maïs autrement Dans un contexte de renchérissement des ressources en azote organique et de recherche de plus d autonomie, les agriculteurs biologiques picards et leurs conseillers au sein
Plus en détailPourquoi est-il important pour une banque de sécuriser le chiffre d affaires des entreprises agricoles?
Pourquoi est-il important pour une banque de sécuriser le chiffre d affaires des entreprises agricoles? Pourquoi est-il important pour une banque de sécuriser le chiffre d affaires des entreprises agricoles?
Plus en détailSTRATEGIE DE GESTION DES RISQUES DANS LE SECTEUR AGRICOLE
Royaume du Maroc Ministère de l Agriculture et de la Pêche Maritime STRATEGIE DE GESTION DES RISQUES DANS LE SECTEUR AGRICOLE Congrès International sur l Assurance et la Réassurance des Risques Agricoles
Plus en détailLa lettre électronique du service économie agricole de l'essonne n 3 juillet 2012
La lettre électronique du service économie agricole de l'essonne n 3 juillet 2012 Cette lettre du service d'économie agricole (SEA) de la DDT de l'essonne est gratuite. Elle peut librement être recopiée
Plus en détailQu est-ce qu un service rendu?
Evaluation économique des services rendus par les écosystèmes Place des inondations Économie et politiques publiques Paris Yann Laurans info@ecowhat.fr Previrisq 2 Comment s évaluent économiquement les
Plus en détailCalcul de la marge brute en production laitière
Mode d emploi : Calcul de la marge brute en production laitière Calculez la marge brute en production laitière sur votre exploitation et comparez-la avec celle d autres exploitations du même type. Utilisation
Plus en détailDIRECTIVE NITRATES ZONE VULNERABLE 4ème Programme d Actions
DIRECTIVE NITRATES ZONE VULNERABLE 4ème Programme d Actions Novembre 2010 CHAMBRE D AGRICULTURE 47 4ème Programme d Actions ZONE VULNERABLE Quelle zone? 93 communes 2466 exploitations 94425 ha 4ème Programme
Plus en détailRENTABILITÉ ÉCONOMIQUE MODÈLES DE CALCUL
2. Économie avicole, calculations 2.6 RENTABILITÉ ÉCONOMIQUE MODÈLES DE CALCUL 1. Généralités sur les coûts de production et la rentabilité économique Les modèles de calcul en annexe sont à interpréter
Plus en détailFormulaire de demande d un apport de trésorerie remboursable sur la fin de l année 2015
MINISTÈRE DE L AGRICULTURE DE L AGROALIMENTAIRE ET DE LA FORÊT Direction départementale des territoires Direction départementale des territoires et de la mer Direction de l alimentation, de l agriculture
Plus en détailAdaptation Aux changements climatiques. Agriculture et sécurité alimentaire: Cas du Burkina Faso
Adaptation Aux changements climatiques Agriculture et sécurité alimentaire: Cas du Burkina Faso Sommaire Le Le contexte Notion Notion d adaptation Stratégies Stratégies et techniques d adaptation Les Les
Plus en détailAVANT-PROPOS. Directeur de la Division de la statistique de la FAO
AVANT-PROPOS L Annuaire statistique de la FAO fournit une sélection d indicateurs par pays sur l alimentation et l agriculture. Les données proviennent de FAOSTAT, la base de données statistique de l Organisation
Plus en détailmon maïs fourrage, (GNIS) rassemble toutes les parties prenantes de la filière semences française, soit 72 entreprises de sélection,
Ma vache, mon maïs fourrage, et moi 50 ans de progrès! Depuis maintenant 50 ans, le maïs fourrage a bénéficié avec succès du progrès génétique et de l innovation variétale. Il a su s inscrire durablement
Plus en détailMesures Agro-Environnementales
02 Mesures Agro-Environnementales LES DISPOSITIFS MAE Dispositif A C est le dispositif national de la Prime Herbagère Agro-Environnementale (PHAE 2). Dispositif B : C est le dispositif de la Mesure Agro
Plus en détailPROTECTION DE PRODUITS EN IG
PROTECTION DE PRODUITS EN IG Ousman ABDOU Ingénieur Agrométéorologue Expert de l Agriculture en IG Point focal IG/OAPI Direction Générale de l Agriculture Tel: (00227) 90 34 09 28 Email: ous_ab@yahoo.fr
Plus en détailLE COMMERCE EXTÉRIEUR CHINOIS DEPUIS LA CRISE: QUEL RÉÉQUILIBRAGE?
LE COMMERCE EXTÉRIEUR CHINOIS DEPUIS LA CRISE: QUEL RÉÉQUILIBRAGE? Françoise Lemoine & Deniz Ünal CEPII Quel impact de l expansion chinoise sur l économie mondiale? Rencontres économiques, 18 septembre
Plus en détailles cinq étapes pour calculer les jours d avance
À retenir l expérience, acquise grâce à ces outils, permet également une bonne évaluation de la ressource disponible. une fois les mesures réalisées, la quantité d herbe disponible pour le lot se calcule
Plus en détailEn adaptant les apports azotés aux besoins des cultures, les risques de retrouver des nitrates dans l eau sont limités.
cultures. Par exemple, des producteurs biologiques installent des bandes de phacélie en bordure de parcelles de blé ou de choux pour favoriser les auxiliaires aphidiphages (qui consomment des pucerons)
Plus en détailSPECIAL FINANCEMENT DE L AGRICULTURE
SPECIAL FINANCEMENT DE L AGRICULTURE L installation, la mise aux normes, le renouvellement d un matériel, ou tout autre investissement sont autant de situations ou d évènements qui nécessitent des besoins
Plus en détailAnne Patault Conseillère Régionale de Bretagne en charge des OGM
Pour une agriculture «sans OGM» - la stratégie de la Bretagne au sein du réseau des Régions Libres d OGM (European GM-Free Regions Network), - les actions en direction de ses filières Anne Patault Conseillère
Plus en détailCONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE
CONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE Exploiter le Potentiel de la Science, de la Technologie et de l Innovation dans les chaînes Agro-alimentaires en Afrique : Créer emplois et richesse
Plus en détailPOURQUOI VISIOLYS? SOMMAIRE VOUS PROPOSE : Un monde qui bouge COMPRENDRE. Analyses et adaptations SE REPÉRER SE PROJETER ET CHOISIR
POURQUOI VISIOLYS? EXPERTISE STRATÉGIE ÉCONOMIE Visiolys est né de la volonté commune des deux entreprises de conseil en élevage Clasel et Eilyps de se projeter dans un monde en pleine mutation, de permettre
Plus en détailSTRATEGIES DE CONDUITE DE L IRRIGATION DU MAÏS ET DU SORGHO DANS LES SITUATIONS DE RESSOURCE EN EAU RESTRICTIVE
STRATEGIES DE CONDUITE DE L IRRIGATION DU MAÏS ET DU SORGHO DANS LES SITUATIONS DE RESSOURCE EN EAU RESTRICTIVE JM.DEUMIER, B.LACROIX, A.BOUTHIER, JL.VERDIER, M.MANGIN Les cultures irriguées bénéficient
Plus en détailPrésenté par : Dr Asmae Nouira. Novembre Hanoi -2007. Journées Scientifiques Inter-Réseaux AUF
Efficacité du semis direct à contrer l érosion hydrique en milieu agricole : mise en évidence à l'aide des techniques de radioéléments, de modélisation et de mesures aux champs (MAROC-CANADA) Présenté
Plus en détailLa Bio pour quoi faire? Une vision du monde de la Bio et quelques perspectives
La Bio pour quoi faire? Une vision du monde de la Bio et quelques perspectives Juin 2012 Lionel FRANCOIS Sommaire La Bio, pourquoi? La Bio c est quoi? La situation de la Bio Les acteurs du Bio Le paysan
Plus en détailProduire avec de l'herbe Du sol à l'animal
GUIDE PRATIQUE DE L'ÉLEVEUR Produire avec de l'herbe Du sol à l'animal avril 2011 BRETAGNE PAYS DE LA LOIRE SOMMAIRE Paroles d éleveurs 4 Quelle place donner à l herbe Le choix d un système fourrager 8
Plus en détailProgramme Agroforesterie 2006/08. Groupe de Travail GT1
Mission DAR Année et N du projet : 2005 N 321 Programme Agroforesterie 2006/08 Groupe de Travail GT1 Outils d aide à la décision en agroforesterie Responsable de groupe : Christian Dupraz (INRA) R 1.2
Plus en détailL ensilage de maïs en Ardenne? D un point de vue alimentaire. Isabelle Dufrasne Ferme expérimentale Service de Nutrition FMV Université de Liège
L ensilage de maïs en Ardenne? D un point de vue alimentaire Isabelle Dufrasne Ferme expérimentale Service de Nutrition FMV Université de Liège Plan L ensilage de maïs en général Caractéristiques anatomiques
Plus en détailCaisse Nationale de Mutualité Agricole
Séminaire national sur la vulgarisation, l appui-conseil et les bonnes pratiques agricoles Le rôle des Assurances Agricole dans le développement de la politique du renouveau Agricole et Rural Présentation
Plus en détailL'agriculture française depuis cinquante ans : des petites exploitations familiales aux droits à paiement unique
L'agriculture française depuis cinquante ans : des petites exploitations familiales aux droits à paiement unique Maurice Desriers* Depuis cinquante ans, la part de l'agriculture dans l'économie nationale
Plus en détailMerci de retourner ce document complété par courrier, fax ou mail (Joindre un plan de situation des bâtiments)
15, rue Gustave Eiffel, ZI Jarny-Giraumont 54800 JARNY Votre référence / Intervenant: N : Diagnostic MENAO N : Notre référence / Intervenant: M. / Mme : M. / Mme : Téléphone : Téléphone : 03 82 20 39 70
Plus en détailLes exploitations de grandes cultures face à la variabilité de leurs revenus : quels outils de gestion des risques pour pérenniser les structures?
Les exploitations de grandes cultures face à la variabilité de leurs revenus : quels outils de gestion des risques pour pérenniser les structures? Benoît Pagès 1, Valérie Leveau 1 1 ARVALIS Institut du
Plus en détailMicro-irrigation à Madagascar
P R AVSF - J. Mas A X IS LES EXPÉRIENCES I N N O VA N T E S D AV S F PAYS Madagascar TITRE DU PROJET SCAMPIS Développement des Systèmes de Micro-irrigation BÉNÉFICIAIRES DIRECTS Plus de 10 000 familles
Plus en détailMise au point de systèmes de culture innovants par un réseau d agriculteurs et production de ressources pour le conseil 1
Innovations Agronomiques 20 (2012), 79-100 Mise au point de systèmes de culture innovants par un réseau d agriculteurs et production de ressources pour le conseil 1 Petit M.-S. 1, Reau R. 2, Dumas M. 2,
Plus en détailDe Mes p@rcelles à Télépac
En suivant étape par étape les indications de cette fiche technique vous pourrez transférer en quelques clics votre assolement de mes p@rcelles vers TéléPAC 2014. Ensuite, vous aurez simplement à remplir
Plus en détailÉCONOMIQUES OU PAS LES FOURRAGES, FAUDRAIT SAVOIR!
ÉCONOMIQUES OU PAS LES FOURRAGES, FAUDRAIT SAVOIR! CONFÉRENCIER Doris Pellerin COLLABORATEURS Guy Allard Charles Bachand Raymond Levallois Diane Gilbert Philippe Savoie La rumeur veut que les fourrages
Plus en détailPremières estimations pour 2014 Le revenu agricole réel par actif en baisse de 1,7% dans l UE28
194/2014-15 décembre 2014 Premières estimations pour 2014 Le revenu agricole réel par actif en baisse de 1,7% dans l UE28 Par rapport à 2013, le revenu agricole réel par actif 1 a diminué de 1,7% dans
Plus en détailL INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE
L INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE I- Champ de l étude L industrie agroalimentaire (IAA) regroupe l ensemble des industries de transformation de matières premières, d origine végétale ou animale, destinées à
Plus en détailPLAN DEVELOPPEMENT EXPLOITATION - DESCRIPTION DE L EXPLOITATION REPRISE - 1 Caractéristiques globales LES FACTEURS DE PRODUCTION Productions SAU FONCIER Mécanisé (en %) Irrigué (O/N) Autres Observations
Plus en détailPRIX DE VENTE À L EXPORTATION GESTION ET STRATÉGIES
PRIX DE VENTE À L EXPORTATION GESTION ET STRATÉGIES Direction du développement des entreprises et des affaires Préparé par Jacques Villeneuve, c.a. Conseiller en gestion Publié par la Direction des communications
Plus en détailUn expérience pluridisciplinaire de l intensification écologique en Agriculture Familiale
Le développement du semis-direct sous couverture végétale pour les agriculteurs des exploitations familiales des biomes Cerrados (2005-2009) et Amazonia (2008-2013) Un expérience pluridisciplinaire de
Plus en détailStatistique Agricole. Mémento. L essentiel sur : le territoire. le contexte européen. le contexte européen. les structures. les productions animales
Mémento Décembre 2014 Statistique Agricole L essentiel sur : le contexte européen le contexte européen le territoire FRANCE - Édition 2014 les productions animales les structures les données économiques
Plus en détailComment concevoir son lit biologique
santé - sécurité au travail > RISQUE PHYTOSANITAIRE Gestion des effluents phytosanitaires Comment concevoir son lit biologique > Choix du procédé > Méthode de conception > Construction du lit biologique
Plus en détailDECiDE, un outil pour évaluer les émissions de gaz à effet de serre (GES) et les consommations énergétiques des exploitations agricoles wallonnes
DECiDE, un outil pour évaluer les émissions de gaz à effet de serre (GES) et les consommations énergétiques des exploitations agricoles wallonnes 14 ème journée d étude des productions porcines et avicoles,
Plus en détailEmmanuelle Nauze-Fichet, Stéphane Tagnani. Anne-Catherine Morin, Sophie Planson, Jean-Philippe Rathle, Stéphane Tagnani. Édith Houël.
Coordination Emmanuelle Nauze-Fichet, Stéphane Tagnani Directeur de la publication Jean-Luc Tavernier Direction de la collection Rédaction Composition Stéphane Tagnani Anne-Catherine Morin, Sophie Planson,
Plus en détailLes produits solidaires, 100 jours pour convaincre!
Juin 2012 Les produits solidaires, 100 jours pour convaincre! Contexte et historique de la démarche La Réunion a connu au mois de février des tensions sociales dont la cause la plus immédiate résultait
Plus en détailNOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis
TITRE NOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis Selon le règlement NOP de l USDA 205.406(a), un opérateur certifié doit transmettre chaque année à son
Plus en détailTravailler avec le site INA Rhône-Alpes ou l intérêt d une approche locale
ACADEMIE DE GRENOBLE Géographie Programme de Troisième, partie II, thème 1 LES ESPACES PRODUCTIFS Travailler avec le site INA Rhône-Alpes ou l intérêt d une approche locale alexandre.bouineau@ac-grenoble.fr
Plus en détailFormation PME Comptabilité analytique (ou comptabilité d exploitation)
Formation PME Comptabilité analytique (ou comptabilité d exploitation) Fit for Business (PME)? Pour plus de détails sur les cycles de formation PME et sur les businesstools, aller sous www.banquecoop.ch/business
Plus en détailQuelles sont les conditions sociales favorisant les stratégies d'intensification écologique? Petit tour d'horizon international...
Quelles sont les conditions sociales favorisant les stratégies d'intensification écologique? Petit tour d'horizon international... Véronique LUCAS Angers Entretiens de l'aei 29/10/2010 Mon regard particulier
Plus en détailPLAN D'ENTREPRISE - PCAE
Modèle document national Version du 17/03/2015 PLAN D'ENTREPRISE - PCAE Cadre réservé à l'administration Date de dépôt du dossier : / / 1. RENSEIGNEMENTS SUR LE CANDIDAT Identification Nom / Prénom : -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Plus en détailUn lieu Foncière Terre de Liens pour approvisionner la cantine de Barjac (Gard)
Un lieu Foncière Terre de Liens pour approvisionner la cantine de Barjac (Gard) FICHES 01 Expériences Depuis quelques années, grâce à l engagement de la mairie, la cantine scolaire de Barjac compose ses
Plus en détail