La définition du «sujet âgé» est imprécise
|
|
- Daniel Dumont
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 ANEMIES & MYÉLODYSPLASIES du sujet âgé Pr Eric DECONINCK INSERM U-645 Université de Franche-Comté / IFR 133 Service d hématologie CHU BESANÇON
2 La définition du «sujet âgé» est imprécise OMS > 65 ans Les gériatres américains définissent les «young-old» entre 65 et 74 ans les «middle-old» entre 75 et 84 les «old-old» au-delà de 85 ans En pratique > 75 ans
3 Hémogramme chez le sujet âgé Prescription fréquente : Altération de l état général Syndrome d insuffisance médullaire Syndrome tumoral Surveillance d une pathologie, d un traitement
4 Hémogramme pathologique? Une définition scientifiquement établie des valeurs usuelles de l hémogramme pour la population française est difficile. Ces valeurs usuelles sont définies de façon arbitraire et rarement pour des patients de plus de 65 ans. Peu, voir pas d études > 80 ans Lecture critique de l'hémogramme : valeurs seuils à reconnaître comme probablement pathologiques et principales variations non pathologiques
5 Anomalies de l Hémogramme du sujet âgé Carence martiale Synd. Inflammatoire Carence folates Insuffisance rénale Cause endocrinienne Anémie hémolytique Anémie réfractaire Myélome LLC LNH LA Etiologies intriquées
6 Aucune différence quantitative de l hémogramme chez le sujet âgé Adaptation pertinente de l hématopoïèse à l état basal Réduction des capacités d adaptation lors d agressions aiguës Anémie très fréquente : - > 15%de la population ambulatoire - > 24 % en situation institutionnelle - Jamais physiologique
7 Morbimortalité de l anémie du sujet âgé Risque accru de Accidents vasculaires Infarctus du myocarde Chutes et fractures Décès Premiers symptômes dès Hb < 11 g/dl
8 ANEMIES -L anémie : l anomalie la plus fréquente de l hémogramme. -Parvenir à faire le diagnostic physiopathologique d une anémie doit faire partie du bagage de tous praticiens. -L anémie par carence martiale ou ferriprive est la première cause d anémie.
9 ANEMIES - Mécanismes Anémies Central = arégénératives Trouble de la production Synthèse de l Hb (Fer, folates, B12) < synthèse de l EPO Atteintes des progéniteurs des GR, ou de la cellules souche > synthèse d inhibiteurs (TNF..) envahissement médullaires fibroses médullaires Périphériques = régénératives Perte excessives hémorragies ++ hémolyse pathologiques! Mécanismes intriqués fréquents
10 Anémies - Définitions Rappels: Hématies; durée de vie 120 Jours Anémies régénératives = réticulocytes > 120 G/L Définition de l anémie ; diminution de la masse d hémoglobine circulante Anémie = baisse de l hémoglobine circulante Éliminer les fausses anémies par hémodilution et ne pas sous-estimer en cas d hémoconcentration Hyperprotidémie Perfusions trop abondantes Déshydratation, Diurétiques
11 Anémies - Clinique Signes cliniques & éléments de tolérance 1. La pâleur: 2. La symptomatologie fonctionnelle anoxique Généralisée Cutanéo-muqueuse (unguéale & conjonctives) Signes de gravité: Hb ~ Signes fonctionnels+++ Signes fonctionnels Asthénie Dyspnée Vertiges, céphalées Tachycardie Chutes +++ Fonction de l âge, rapidité, pathologie Décompensation pathologie cardio-vasculaire ++++
12 Anémies - Définitions Signes biologiques Diagnostic positif Taux d Hémoglobine : < 12 g/dl chez la femme adulte < 13 g/dl chez l homme adulte Pas le nombre de GR, pas l hématocrite Diagnostic étiologique Volume Globulaire Moyen : 80 à 100 fl = normocytaire < 80 fl = microcytaire > 100 fl = macrocytaire CCMH : 32 à 36 = normochrome < 32 = hypochrome Réticulocytes : < /l = non régénérative > /l = régénérative
13 Lignée érythrocytaire Anémie homme Hb < 13 g/dl femme Hb < 12 g/dl Polyglobulie homme Hb > 17 g/dl Ht > 50 % Microcytose VGM < 80 fl femme Hb > 16 g/dl Ht > 45 % Macrocytose VGM > 100 fl Hyperréticulocytose > 120 x 10 9 /L Hypochromie CCMH < 32%
14 Anémies Classification à usage clinique Anémie Si Hb < 12 g/l (femme) < 130 g/l (homme) Anémie isolée VGM 80 fl & CCMH 32% réticulocytes Réticulocytes 120 G/L A. normo/macrocytaires régénératives VGM < 80 fl ± CCMH < 32% A. Microcytaires Réticulocytes 120 G/L A. normo/macrocytaires arégénératives Réticulocytes < 120 et VGM > 100 A. macrocytaires arégénératives Réticulocytes < 120 et VGM < 100 A. normocytaires arégénératives
15 ANEMIES Classification à usage clinique Anémies microcytaires à Fer sérique diminué hypochromes Carence martiale Anémie inflammatoire à Fer sérique normal ou augmenté normochromes Anomalies de l Hémoglobine ou du GR Bilan martial +++
16 ANEMIE Classification à usage clinique Anémies normo / macrocytaires régénératives Hémorragies aiguës Hémolyses Bilan d hémolyse +++
17 ANEMIE Classification à usage clinique Anémies normo /macrocytaires non régénératives Macrocytaires Alcoolisme chronique Carence vit B12/ folates Hémopathies Normocytaires Insuffisances endocriniennes ou rénales Hémopathies Souvent associées à d autres anomalies de la NFS +++
18 Anémies microcytaires Anémie isolée!!! VGM < 80 & CCMH < 31% A. microcytaires Fer sérique & transferrine Fer N VERIFIE Fer < & transferrine > Fer < & transferrine < ou N + VS>, hyper α 2, >fibrinogène EP de l Hb Anémie par Carence martiale +++ Anémie inflammatoire Thalassémies
19 Anémies microcytaires Fer < & transferrine > Anémie par Carence martiale +++ «Indication du dosage du fer & de la transferrine ou de la ferritine» A. /carence martiale A. inflammatoire Thalassémies Fer bas bas N Transferrine haute N ou basse N Ferritine basse N ou > N ou > Remarque: la ferritine renseigne sur les réserve en fer et appartient aux protéines infalmmatoires elle est donc augmentée dans les surcharges en Fer et l'inflammation
20 Anémies par carence martiale Anémie par Carence martiale Investigations étiologiques Gynécologiques ++ (tumorales) Digestive (hautes ++, ou basses) Carences d apport
21 Anémie par carence martiale - Clinique Anémie par Carence martiale Autres symptômes: Autres symptômes: neutropénie, thrombocytose fissures commissures labiales altération des ongles & glossite
22 Carence martiale - Traitement Le traitement curatif d'une anémie par carence martiale comporte la prescription d'un sel de fer per os à la posologie de 2 à 3 mg de fer métal/kg/jour, et ce pendant une durée minimale de 4 à 6 mois. Le traitement parentéral doit être réservé aux rares cas où un traitement per os bien conduit s'avère impossible ou inefficace. Le traitement curatif doit être accompagné d'un traitement de la cause. Vérifier la normalisation de l'hémogramme et des réserves martiales (ferritinémie) à la fin du traitement. Ne pas oublier! Traitement de la cause ++++ En l absence de normalisation Prise du médicament? Cause associée (Fer + folates) (carence martiale + inflammationcancer colique infecté qui saigne)
23 ANEMIES Anémies normo/macrocytaires régénératives I Anémie isolée VGM > 80 & CCMH > 31% réticulocytes Rechercher d URGENCE Un saignement aigu ++++ Un ictère Une splénomégalie > bilirubine non conjuguée < de l haptoglobine Réticulocytes > 120 = A. régénératives Hémorragie = urgence En fait réticulocyte augmentent en 3-4 jours Rechercher ++ H non extériorisée; TR +++
24 ANEMIES Anémies normo/macrocytaires régénératives II Anémie isolée VGM > 80 & CCMH > 31% réticulocytes Réticulocytes > 120 = A. régénératives Saignement =0 Bilirubine NC > Haptoglobine basse = A Hémolytique Bilirubine NC = N Haptoglobine = N =régénération médullaire après Tt /Fer, folates, B12 post-chimiothérapie Sédation SD inflammatoire
25 ANEMIES Anémies hémolytiques: mécanismes AH corpusculaire Congénitales ++: Membrane Déficits enzymatiques Hémoglobinopathies Acquise: HPN AH extra corpusculaire Acquise: immunologique & autoimmune infectieuse (paludisme++) toxique (venin, toxique, plomb) mécaniques (MAT, prothèse cardiaque & CEC)
26 ANEMIES Anémies hémolytiques Causes multiples! Dans un contexte aigu Éliminer +++ Septicémies Médicaments toxique ou immuno allergique Rechercher des schizocytes (signes de MAT ++) La démarche diagnostique est centrée, en dehors d un contexte évocateur sur le test de Coombs et la morphologie des GR
27 ANEMIES Anémies hémolytiques (en dehors d un contexte évocateur) Test de Coombs & frottis sanguin Coombs + Hémolyse autoimmune Pneumopathie à mycoplasme Médicaments Virus LED, sclérodermie Hémopathies lymphoïdes Coombs - & anomalies frottis P congénitales (drépanocytose, MC) MAT autres Coombs - & frottis N HPN (thromboses, cytopénies?) P congénitales enzymatiques (G6PD)
28 ANEMIES Anémies normo/macrocytaires non régénératives I Anémie isolée Anémie = pas d'hémodilution Isolée = pas neutropénie pas de thrombopénie VGM > 80 & CCMH > 31% réticulocytes Éliminer 3 causes avant de faire un myélogramme! Syndrome inflammatoire (vs, CRP, hyper α2, fibrine) Insuffisance rénale (créatinine) TSH +/- hormones sexuelles VGM < 100 Réticulocytes < 120 = A. normocytaires arégénératives
29 ANEMIES Anémies normo/macroccytaires non régénératives II VGM < 100 Réticulocytes < 120 = A. normocytaires arégénératives 3 causes éliminées Myélogramme Erythroblatopénie - Isolée - Thymome - Maladie AI Envahissement médullaire LA, MM, LNH, LAT, cancers MDS +++ Moelle pauvre Non diagnostique BM Aplasies Fibroses
30 ANEMIES Anémie isolée Alcoolisme patent +/- cirrhotique Macrocytose modéré = stop! (souvent hypersplénisme) VGM > 80 & CCMH > 31% Systématiquement penser à l insuffisance thyroïdienne (TSH) réticulocytes En dehors de ces 2 cas et si le VGM > 110 Myélogramme +++ VGM > 100, Réticulocytes < 120 = A. macrocytaires arégénératives
31 ANEMIES Anémie macrocytaire arégénérative (2 causes exclues) Myélogramme MDS Cause la + fréquente +++ Souvent neutropénie et/ou thrombopénie La cytologie permet la Distinction des sous types Plus rarement autres hémopathies malignes (MM, LAM) Ce n est pas un MDS Moelle mégaloblastique Dosage vitamine B12 et Folates sériques & érythrocytaires PN hyper segmenté mégaloblastes
32 ANEMIES Moelle mégaloblastique Folates N ou > B12 basse Maladie de Biermer C est la cause la plus fréquente Sd neurologique?, vitiligo ++ Dyspepsie ++ Neutropénie et thrombopénie fréquente Tubage gastrique achlorhydrie R à l histamine Ac anti-fi, FI. Autres causes Gastrectomie totale, résection iléale Pullulation microbienne, bothriocéphale M cœliaque, M de Crohn Folates bas B12 N Carences d apport ++ Régimes pauvres en légumes, alcool Sd de malabsorption, sprue tropicale Médicaments (anti-convulsivant, MTX, TMP) Augmentation des besoins Grossesse +++, croissance Alcool A hémolytiques chroniques Pertes excessives hémodialyse
33 ANEMIES Principes du traitement de l anémie de Biermer et des carences en folates A) Traitement des carences en vitamine B12 (! Tt à vie +++) Il repose sur un traitement parentéral de vitamine B12 en 2 temps. Le premier pour reconstituer le stock et le deuxième pour empêcher la carence de se reproduire. Traitement d attaque : 1000γ intra musculaire, 10 injections au total ( cyanocobalamine) Le traitement d entretien repose sur l injection par voie IM de Vitamine B12 4 fois par an, à vie. En cas d intolérance on peut utiliser la Vitamine B12 en sub-lingual B) Traitement des carences en folates Il repose sur la prise de 1 comprimé de foldine per os : SPECIAFOLDINE à 5 mg pendant 2 à 3 mois, jusqu'à normalisation des réserves ou en prophylactique chez les femmes enceintes. Il est inutile d augmenter la dose, la foldine est absorbée à 100% par le tube digestif. Les formes apportant de l acide folinique : OSFOLATE per os ou LERDERFOLINE en ampoule ne doivent être prescrites que dans : Les malabsorptions digestives Les alimentations parentérales
34 Syndromes Myélodysplasiques Prolifération clonale acquise d un progéniteur hématopoïétique multiligné : Hématopoïèse inefficace Cytopénies Transformation leucémique (35% des cas) Age médian : ans Incidence : 3 5 / nx cas / an
35 Epidémiologie des SMD Incidence selon l âge nx cas par an en Europe Prévalence estimée à cas 60 to to to to to85 85 to to 60 Age 50 to 55 Cases per 100,000
36 Définitions Groupe très hétérogène Maladies acquises de la cellule souche hématopoïétique Trois caractéristiques communes Cytopénies périphériques (1,2, ou 3) Moelle osseuse de richesse normale ou augmentée Dysplasie des lignées hématopoïétiques (1,2, ou 3) Dysérythropoièse Dysgranulopoièse Dysmégacaryopoièse Etats préleucémiques Dysmyélopoïèse
37 Etiologies des SMD Généralement inconnue Connue pour 10% des patients: 1) predisposition génétique 2) Exposition à des agents toxiques exogènes Radiothérapie Chimiothérapie
38 Circonstances du diagnostic Hémogramme systématique Macrocytose Cytopénie(s) Syndrome d insuffisance médullaire Anémie normochrome macrocytaire arégénérative Signes fonctionnels Thrombopénie Signes hémorragiques Neutropénie Infections
39 Examens complémentaires NFS, Frottis sanguin, Myélogramme voire BOM (si moelle pauvre ou non aspirable) INDISPENSABLES Hémogrammes antérieurs Aspiration médullaire (myélogramme) Caryotype médullaire PARFOIS NECESSAIRES Dosage de l EPO
40 SMD: Classification OMS Anémies Réfractaires pures Avec sidéroblastes en couronnes Sans sidéroblastes en couronnes Cytopenies Réfractaires avec dysplasies multilignées Avec sidéroblastes en couronnes Sans sidéroblastes en couronnes Anémies Réfractaires avec excès de blastes (AREB) AREB 1 (< 10% blastes) AREB 2 (> 10% blastes) Syndrome 5q SMD inclassables RAEB-t LAM (Blastes 20%) LMMC SMP/SMD
41 IPSS International Prognostic Scoring System Variable pronostique Valeur du Score % blastes moelle < Caryotype * Good Interm. Poor Cytopénies 0/1 2/3 Scores Bas 0 Int Int Elevé 2.5 Bon Mauvais Int. * Caryotype Normal y del(5q) del(20q) Complexe ( 3 anomalies) Anomalies du 7 Ni bon, ni mauvais
42 IPSS Evolution en LAM Survie Bss 235 pts Bas 267 pts Percent Int pts Int pts Elevé 58 pts Percent Int pts Int pts Elevé 56 pts Greenberg P et al. Blood. 1997;89:
43 SMD: «Haut» vs «Bas» Risque Haut risque (20 25%) IPSS intermediaire-2 ou élevé Blastes médullaires >10% Bas risque (75-80%) IPSS Bas ou intermediaire-1 Blastes médullaires <10%
44 Objectifs thérapeutiques Retarder l'évolution leucémique Prolonger la survie Réduire les cytopénies Améliorer la qualitée de vie Anémie 90% des patients
45 EPO dans les SMD EPO béta ou alpha: % de réponses 60% de réponses si EPO sérique < 500 et IPSS faible ou int1 Doses élevées d EPO nécessaires (30000 à U/j),en 1 à 3injections/semaine Darbopoiétine (forme retard) N accélère pas l évolution et n augmente pas le risque de décès
46 Chélation du fer dans les SMD Indications SMD de risque faible ou int 1 Ferritinémie > à 30 CG transfusés Desféroxamine Sous cutané prolongé (30-50mg/kg/j) Sous cutané direct (1 à 2g/jour) Chélateurs par voie orale Deferiprone Deferasirox ++++ (Exjade )
47 Nouvelles thérapeutiques Agents démethylants Azacytidine Décitabine Histones déacéthylases Depakine et analogues Thalidomide, lenalidomide
ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER
ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER Dr Michael Hummelsberger, Pr Jean-Gabriel Fuzibet, Service de Médecine Interne, Hôpital l Archet, CHU Nice 1. ANEMIE L étiologie de l anémie
Plus en détail3 - Les SMD, notamment les SMD débutants, présentent souvent des difficultés de diagnostic pour le biologiste (cytologie).
1 Myélodysplasies (ou dysmyélopoïèses) Item n 161 :diagnostiquer une dysmyélopoïèse Les syndromes myélodysplasiques (SMD) sont des affections clonales des cellules souches hématopoïétiques, caractérisées
Plus en détailL HEMOGRAMME un examen pas cher et qui peut rapporter gros
L HEMOGRAMME un examen pas cher et qui peut rapporter gros Joël X. CORBERAND Service d Hématologie Biologique Hôpital Rangueil CHU de Toulouse L hémogramme est en tête des demandes d examens biologiques
Plus en détailTRAITEMENT DE L ANÉMIE AU COURS DE L INSUFFISANCE RÉNALE CHRONIQUE DE L ADULTE
TRAITEMENT DE L ANÉMIE AU COURS DE L INSUFFISANCE RÉNALE CHRONIQUE DE L ADULTE RECOMMANDATIONS Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé, mai 2005 Afssaps - 143/ 147, bd Anatole France
Plus en détailModule Biologie Humaine S5 Cours d Hématologie du Pr Nouzha Bouamoud TD2
Module Biologie Humaine S5 Cours d Hématologie du Pr Nouzha Bouamoud TD2 Hémoglobinopathies Drépanocytose, Thalassémie Anomalies du nombre de cellules sanguines Augmentation du nombre de cellules Maladie
Plus en détailL anémie chez le patient âgé de plus de 75 ans : des particularités à connaître pour le biologiste
L anémie chez le patient âgé de plus de 75 ans : des particularités à connaître pour le biologiste P. LEMAIRE 1, T. BELLEVILLE 1, S. ROBINET 1, E. PAUTAS 2,3, V. SIGURET 1,3 résumé L anémie est fréquente
Plus en détailLes syndromes myélodysplasiques: Information aux patients
Les syndromes myélodysplasiques: Information aux patients the myelodysplastic syndromes foundation, inc. Publié par le Groupe Francophone des Myélodysplasies, la Société Française d Hématologie et la Myelodysplastic
Plus en détailHématologie et soins infirmiers. Dr Stéphane MOREAU Hématologie clinique CHU LIMOGES
Hématologie et soins infirmiers Dr Stéphane MOREAU Hématologie clinique CHU LIMOGES Diaporama confectionné en collaboration avec : Pr Bordessoule, Pr Jaccard, Dr Girault, Dr Turlure Réseau Hématolim Plan
Plus en détailStratégies pour aider les patients et leurs aidants à VIVRE avec le SMD
Édition canadienne Stratégies pour aider les patients et leurs aidants à VIVRE avec le SMD par Sandra Kurtin Initiative internationale de la MDS Foundation pour la défense des intérêts des patients en
Plus en détailLes syndromes myelodysplasiques
INFORMATION AUX PATIENTS Les syndromes myelodysplasiques Publié par le Groupe Français des Myélodysplasies, la Société Française d'hématologie et la Myelodysplastic Syndromes Foundation (Fondation Internationale
Plus en détailINFORMATIONS AUX PATIENTS ATTEINTS DE LEUCEMIE AIGUE MYELOBLASTIQUE
Livret LAM page 1 INFORMATIONS AUX PATIENTS ATTEINTS DE LEUCEMIE AIGUE MYELOBLASTIQUE Dans certains cas les symptômes et le traitement peuvent différer de ce que y est présenté dans ce livret. A tout moment
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailLes syndromes myélodysplasiques
INFORMATION AUX PATIENTS Les syndromes myélodysplasiques Publiés par le Groupe Francophone des Myélodysplasies, la Société Française d Hématologie et la Myelodysplastic Syndromes Foundation (Fondation
Plus en détailL EMEA accepte d évaluer la demande d autorisation de mise sur le marché de la LENALIDOMIDE
L EMEA accepte d évaluer la demande d autorisation de mise sur le marché de la LENALIDOMIDE NEUCHATEL, Suisse, 7 avril/prnewswire/ -- - LA LENALIDOMIDE est évaluée par l EMEA comme thérapie orale pour
Plus en détailCONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE
Ministère de l enseignement supérieur et de la recherche Ministère de la santé et des sports CONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE Valeurs biologiques usuelles Edition de Novembre 2009 (6 pages) Conseil
Plus en détailDossier «Maladies du sang» Mieux les connaître pour mieux comprendre les enjeux liés au don de sang
Dossier «Maladies du sang» Mieux les connaître pour mieux comprendre les enjeux liés au don de sang Maladies du sang Objectif de ce dossier Les demandes des médias portent régulièrement sur les usages
Plus en détailUniversité Pierre et Marie Curie. Hématologie. Niveau DCEM3. Polycopié National. Mise à jour : 22 juin 2006
Université Pierre et Marie Curie Hématologie Niveau DCEM3 2006 Polycopié National Mise à jour : 22 juin 2006 2/120 Hématologie - Polycopié National 2006 Sommaire Sommaire 3 Sommaire 11 Chapitre 1 : Agranulocytose
Plus en détailINTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES
INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES QU EST-CE QUE LE MDRD? Il s agit d une formule permettant d estimer le débit de filtration glomérulaire et donc la fonction rénale La formule est la suivante :
Plus en détailSyndromes myélodysplasiques
Syndromes myélodysplasiques LEUCÉMIE LY M P H O M E MYÉLOM E PS22 50M 3/08 Table des matières Introduction 2 Sang et moelle osseuse normaux 3 Syndromes myélodysplasiques 5 Incidence 6 Causes et facteurs
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.
PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions
Plus en détailInterpréter un résultat d hémogramme
Interpréter un résultat d hémogramme Dr Albert Steffen Médecine Interne Montpellier* Dr Yves Le Noc - MG SFDRMG Montreuil* *Aucun lien d intérêt 08/10/210 JNMG- Paris 1 Pourquoi cet atelier? Dix premiers
Plus en détailMYELOFIBROSE PRIMITIVE (MP)
MYELOFIBROSE PRIMITIVE (MP) La myélofibrose primitive (MP) est le plus rare des syndromes myéloprolifératifs (600à 800 patients en France, de 3 à 7 nouveaux cas/million d habitants/an) ; elle touche habituellement
Plus en détailDON DE SANG. Label Don de Soi
DON DE SANG Label Don de Soi 2015 SOMMAIRE Les différents types de dons p.3 Le don de sang total Le don de plasma Le don de plaquettes Le don de moelle osseuse Que soigne-t-on avec un don de sang? p.7
Plus en détailL incompatibilité immunologique érythrocytaire
Fiches techniques des Effets Indésirables Receveurs L incompatibilité immunologique érythrocytaire Qu est ce que l incompatibilité immunologique erythrocytaire et quels en sont les mécanismes physiopathologiques?
Plus en détailL anémie hémolytique auto-immune
L anémie hémolytique auto-immune La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à
Plus en détailLes facteurs de croissance lignée blanche Polynucléaires neutrophiles Grastims
Les facteurs de croissance lignée blanche Polynucléaires neutrophiles Grastims 12 2014 HEMATOPOIESE Progéniteurs puis précurseurs Stimulation par facteur : activation spécifique de leur récepteur Moelle
Plus en détailAnémies par carence martiale 1 Item 222 : Diagnostiquer une anémie par carence martiale l'attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient.
Anémies par carence martiale 1 Item 222 : Diagnostiquer une anémie par carence martiale l'attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. - Argumenter Introduction - Les anémies par carence martiale
Plus en détailHVC CHRONIQUE MOYENS THERAPEUTIQUES ET BILAN PRE-THERAPEUTIQUE CHAKIB MARRAKCHI. http://www.infectiologie.org.tn
HVC CHRONIQUE MOYENS THERAPEUTIQUES ET BILAN PRE-THERAPEUTIQUE CHAKIB MARRAKCHI LES MOYENS THERAPEUTIQUES Les interférons La ribavirine Les nouveaux produits INTERFERONS 1957: activité antivirale Interférence
Plus en détailLe traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence
Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en
Plus en détailThérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin
Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller
Plus en détailFiche Produit Profils Médicalisés PHMEV
Guide méthodologique développé par l équipe de projets ci-dessous : Fiche Produit Profils Médicalisés PHMEV EQUIPE PROJET Chef de projet : Maryline CHARRA, Pharmacien Conseil Responsable de la mission
Plus en détailQUELLES SONT LES OPTIONS DU TRAITEMENT DE LA LMC?
QUELLES SONT LES OPTIONS DU TRAITEMENT DE LA LMC? On vous a diagnostiqué une leucémie myéloïde chronique (LMC) et il se peut que vous ayez déjà débuté un traitement. Le traitement de la LMC dépend largement
Plus en détailLaurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE
Laurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE Service Régional Universitaires des Maladies Infectieuses et du Voyageur, Hôpital Gustave Dron 59208 TOURCOING
Plus en détailAtelier N 2. Consultation de patientes porteuses d une maladie générale
Atelier N 2 Consultation de patientes porteuses d une maladie générale Contre indica,ons à la grossesse Hypertension artérielle pulmonaire >30mmHg Maladie de Marfan (dilatation aortique>4 cm) Rétrécissement
Plus en détailLa drépanocytose. Sikkelcelziekte (Frans)
La drépanocytose Sikkelcelziekte (Frans) Qu est-ce que la drépanocytose? La drépanocytose est une maladie causée par un changement héréditaire du pigment rouge dans les globules rouges : l hémoglobine.
Plus en détailInfection à CMV et allogreffe de cellules souches hématopoïétiques : Expérience du Centre National de Greffe de Moelle Osseuse, Tunis.
Infection à CMV et allogreffe de cellules souches hématopoïétiques : Expérience du Centre National de Greffe de Moelle Osseuse, Tunis. Tarek Ben Othman Congrès de la STPI, 24 avril 2009 Plan Introduction
Plus en détailPROGRAMME. Qu est ce que la sélection? Médicale Non médicale. Tarification et compensation Mortalité, surmortalité Loi des grands nombres
COMPRENDRE LA SELECTION ET LA TARIFICATION DES RISQUES B1 Durée : 1 journée Niveau Retenir les principes et définitions de base Comprendre les raisons de la sélection et les principes de tarification Faciliter
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailItem 127 : Transplantation d'organes
Item 127 : Transplantation d'organes Date de création du document 2008-2009 Table des matières * Introduction... 1 1 Allogreffe de moelle ou de cellules souches...1 2 Transplantation d'organes... 2 3 Diagnostic...3
Plus en détailL allogreffe de Cellules Souches Hématopoïétiques
L allogreffe de Cellules Souches Hématopoïétiques L historique 1960 - Pr Jean DAUSSET Découverte des groupes HLA 1970 - Pr Georges MATHE Première greffe de moelle osseuse allogénique 1974 - Pr Donald THOMAS
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 3 septembre 2008
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 3 septembre 2008 PRIVIGEN 100 mg/ml, solution pour perfusion Flacon en verre de 50 ml (CIP: 572 790-7 Flacon en verre de 100 ml (CIP: 572 791-3) Flacon en verre de 200
Plus en détailLe RIVAROXABAN (XARELTO ) dans l embolie pulmonaire
Le RIVAROXABAN (XARELTO ) dans l embolie pulmonaire Dr Florence Parent Service de Pneumologie et Soins Intensifs de Pneumologie Hôpital Bicêtre, AP-HP Inserm U999. Université Paris-Sud Traitement anticoagulant
Plus en détailIntroduction générale
Introduction générale Touchant près de 600 nouvelles personnes chaque année en France, la leucémie myéloïde chronique est une maladie affectant les cellules du sang et de la moelle osseuse (située au cœur
Plus en détailINSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES»
INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES» v On ne guérit pas ( en général ) d une insuffisance cardiaque, mais on peut la stabiliser longtemps, très longtemps à condition v Le patient insuffisant cardiaque
Plus en détailLivret des nouveaux anticoagulants oraux. Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation
Livret des nouveaux anticoagulants oraux Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation DONNÉES DU PATIENT Nom Adresse Tél MÉDECIN TRAITANT Nom Adresse Tél SPÉCIALISTE Nom Hôpital Tél MÉDICAMENT
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailsous-estimée et sous-diagnostiquée
La carence en vitamine B 12 sous-estimée et sous-diagnostiquée Lucie Bergeron et Francine Pouliot Les nutritionnistes du CHSLD Ladouceur ont présenté au D r Léveillé, omnipraticien, les résultats de l
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 mai 2007 SUTENT 12,5 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 265-0) SUTENT 25 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 266-7) SUTENT 50 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 267-3)
Plus en détailSang, plasma, plaquettes...
Guide des dons Sang, plasma, plaquettes... et vous, que donnerez-vous? Le don de sang, un geste incontournable En donnant votre sang, vous aidez par exemple une femme qui a perdu beaucoup de sang lors
Plus en détailS o m m a i r e 1. Sémiologie 2. Thérapeutique
Sommaire 1. Sémiologie... 1 Auscultation cardiaque... 1 Foyers d auscultation cardiaque... 1 Bruits du cœur... 1 Souffles fonctionnels... 2 Souffles organiques... 2 Souffle cardiaque chez l enfant... 3
Plus en détailE04a - Héparines de bas poids moléculaire
E04a - 1 E04a - Héparines de bas poids moléculaire Les héparines de bas poids moléculaire (HBPM) sont un mélange inhomogène de chaînes polysaccharidiques obtenues par fractionnement chimique ou enzymatique
Plus en détailF.C.O.P. Formation Continue des Ostéopathes Professionnels BILAN BIOLOGIQUE ET BIOCHIMIQUE. (examens de laboratoire) Dr Rodrigue PIGNEL Alain BEDOUET
Formation Continue des Ostéopathes Professionnels BILAN BIOLOGIQUE ET BIOCHIMIQUE (examens de laboratoire) Dr Rodrigue PIGNEL Alain BEDOUET Février 2008 Les examens de laboratoires sont multiples et souvent
Plus en détailAnémies hémolytiques auto-immunes
² GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DUREE Anémies hémolytiques auto-immunes Protocole national de diagnostic et de soins Octobre 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé
Plus en détailLe don de moelle osseuse
Le don de moelle osseuse Enfant, je rêvais de sauver des vies. Aujourd hui, je le fais. Grande cause nationale 2009 Olivier, 4 ans Olivier, 32 ans Établissement relevant du ministère de la santé Le don
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détail27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013
27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NACO) dans la maladie thrombo embolique veineuse INTRODUCTION Thrombose veineuse
Plus en détailHTA et grossesse. Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice
HTA et grossesse Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice Définition HTA gravidique: Après 20 SA Systole> 140mmHg et/ou Diastole>90mmHg A 2 reprises séparées de plus de 6 heures Résolutive
Plus en détailNous avons tous un don qui peut sauver une vie. D e v e n i r. donneur de moelle. osseuse
Nous avons tous un don qui peut sauver une vie D e v e n i r donneur de moelle osseuse Pourquoi s inscrire comme donneur de moelle osseuse? Pour des personnes atteintes de maladies graves du sang, la greffe
Plus en détailRÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES
CHAPITRE VI RÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES I - Situation juridique La notion de références médicales opposables (RMO) est apparue dans la convention nationale des médecins de 1993. La réforme
Plus en détailMONOGRAPHIE DE PRODUIT
MONOGRAPHIE DE PRODUIT Pr Aranesp MD (darbépoétine alfa) Fioles unidoses (15, 25, 40, 60, 100, 200, 325 et 500 µg/fiole) Seringues préremplies SingleJect MD (10, 15, 20, 30, 40, 50, 60, 80, 100, 130, 150,
Plus en détailINAUGURATION LABORATOIRE DE THERAPIE CELLULAIRE 16 FEVRIER 2012 DOSSIER DE PRESSE
INAUGURATION LABORATOIRE DE THERAPIE CELLULAIRE 16 FEVRIER 2012 DOSSIER DE PRESSE Contact presse : Cathy Josse 03 22 66 87 83 / 06 86 30 46 57 josse.cathy@chu-amiens.fr 1 COMMUNIQUE DE SYNTHESE Le 16 février
Plus en détailCRITERES DE REMPLACEMENT
ANATOMIE ET CYTOLOGIE PATHOLOGIQUES - 7 semestres dans des services agréés pour le DES d anatomie et cytologie pathologiques, dont au moins 5 doivent être accomplis dans des services hospitalouniversitaires
Plus en détailLEUCEMIE MYELOÏDE CHRONIQUE (LMC)
LEUCEMIE MYELOÏDE CHRONIQUE (LMC) La leucémie myéloïde chronique (LMC) est une hémopathie maligne appartenant au groupe des syndromes myéloprolifératifs. Elle est caractérisée par la présence d un marqueur
Plus en détailL alpha-thalassémie. La maladie. l Qu est-ce que l alpha-thalassémie? l Qui peut en être atteint? Est-elle présente partout dans le monde?
La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer sur l alphathalassémie.
Plus en détailDon de moelle osseuse. pour. la vie. Agence relevant du ministère de la santé. Agence relevant du ministère de la santé
Don de moelle osseuse Engagez-VOUS pour la vie 1 Pourquoi devenir veilleur de vie? Le don de moelle osseuse peut sauver des vies La greffe de moelle osseuse représente une chance importante de guérison
Plus en détailSERVICE PUBLIC FEDERAL, SANTE PUBLIQUE, SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT COMMISSION DE BIOLOGIE CLINIQUE RAPPORT GLOBAL
SERVICE PUBLIC FEDERAL, SANTE PUBLIQUE, SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT COMMISSION DE BIOLOGIE CLINIQUE SERVICE DES LABORATOIRES DE BIOLOGIE CLINIQUE COMITE DES EXPERTS RAPPORT GLOBAL
Plus en détailALLOGREFFE DE CELLULES SOUCHES HEMATOPOÏETIQUES (CSH) CHEZ 26 PATIENTS ATTEINTS DE β THALASSEMIES MAJEURES
ALLOGREFFE DE CELLULES SOUCHES HEMATOPOÏETIQUES (CSH) CHEZ 26 PATIENTS ATTEINTS DE β THALASSEMIES MAJEURES R. Belhadj, R.Ahmed Nacer, F.Mehdid, M.Benakli, N.Rahmoune, M.Baazizi, F. Kaci, F.Harieche, F.Zerhouni,
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailL hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015
L hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015 Objectifs de la présentation Décrire l évolution clinique et la prise en charge d
Plus en détailchronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé
Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression
Plus en détailLe Don de Moelle Ça fait pas d mal!
Le Don de Moelle Ça fait pas d mal! J ai de 18 à 50 ans Le Don de Moelle Osseuse Ça m intéresse -1 je demande des infos, je réfléchis. -2 je contacte le centre EFS le plus proche de chez moi. 3- je suis
Plus en détailFrench Version. Aciclovir Labatec 250 mg (For Intravenous Use Only) 02/2010. Product Information Leaflet for Aciclovir Labatec i.v.
Product Information Leaflet for Aciclovir Labatec i.v. 250 mg French Version Aciclovir Labatec i.v. Composition Principe actif: Aciclovirum ut Acicloviri natricum (Praeparatio cryodesiccata). Excipients:
Plus en détailLe don de moelle osseuse :
DON DE MOELLE OSSEUSE Le don de moelle osseuse : se décider aujourd hui, s engager pour longtemps LA MOELLE OSSEUSE ET SA GREFFE La moelle osseuse C est le tissu mou dans le centre du corps des os qui
Plus en détailHEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas
HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron
Plus en détailGUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge des leucémies aiguës de l adulte
GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge des leucémies aiguës de l adulte Mars 2012 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour faciliter la discussion sur
Plus en détailBonne lecture!! et si vous souhaitez consulter le document de l AFEF dans son intégralité, c est ici
Un résumé des recommandations éditées par l AFEF le 1 er juin 2015 Les recommandations de l AFEF vont plus loin que celles de l EASL. Le Pr Victor De Lédinghen, du CHU de Bordeaux, et secrétaire général
Plus en détailOrientation diagnostique devant une éosinophilie 1
Orientation diagnostique devant une éosinophilie 1 Introduction L hyperéosinophilie est définie par la présence de polynucléaires éosinophiles circulants à plus de 0,5 G/l (500/µl) (quel que soit leur
Plus en détailFibrillation atriale chez le sujet âgé
Dr Benoit Blanchard LE HAVRE Le 18 MARS 2014 Fibrillation atriale chez le sujet âgé Le plus fréquent des trouble du rythme cardiaque, 750,000 personnes atteintes de FA en France, 100,000 nouveaux cas chaque
Plus en détailPlan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or
Plan Introduction Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Introduction NACO: une actualité brûlante! AVK: Plus forte incidence
Plus en détailInnovations thérapeutiques en transplantation
Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010
Plus en détailDossier de presse. Le don de sang sur les lieux fixes de collecte. Juin 2013. Contact presse :
Dossier de presse Le don de sang sur les lieux fixes de collecte Juin 2013 Contact presse : EFS Île-de-France Pôle Relations institutionnelles et communication d image Audrey Larquier : audrey.larquier@efs.sante.fr
Plus en détailUTILISATION DES C.C.P DANS LES HEMORRAGIES SOUS AVK ET SOUS NACO : RECOMMANDATIONS DE L HAS COPACAMU 2014
UTILISATION DES C.C.P DANS LES HEMORRAGIES SOUS AVK ET SOUS NACO : RECOMMANDATIONS DE L HAS SYMPOSIUM CSL BEHRING COPACAMU 2014 PROFESSEUR François BERTRAND CHU DE NICE CHRONOLOGIE DES RECOMMANDATIONS
Plus en détailLeucémie Lymphoïde Chronique
Sur la Leucémie Lymphoïde Chronique Coordination : Pierre Feugier, Nancy Avec le soutien de Sur la Leucémie Lymphoïde Chronique Sommaire Qu est-ce que la leucémie lymphoïde chronique?..........................
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailPharmacologie des «nouveaux» anticoagulants oraux
Pharmacologie des «nouveaux» anticoagulants oraux Apixaban, Dabigatran, Rivaroxaban Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046 et CIC 9301 INSERM-CHRU, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailActualisation de la prescription en biologie rhumatologie
Actualisation de la prescription en biologie rhumatologie Pathologies inflammatoires et connectivites Pathologies dégénératives Exclusion du métabolisme phosphocalcique et des marqueurs du remodelage osseux
Plus en détailCordarone et Thyroïde par François Boustani
Physiologie de la thyroïde : l hormonosynthèse thyroïdienne se fait à partir de l iode essentiellement d origine digestive et de la thyroglobuline qui est une protéine synthétisée par la thyroïde à partir
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailRevue microscopique du frottis sanguin : propositions du Groupe Francophone d Hématologie Cellulaire (GFHC)
Revue microscopique du frottis sanguin : propositions du Groupe Francophone d Hématologie Cellulaire (GFHC) F. GENEVIÈVE 1, A.C. GALOISY 2, D. MERCIER-BATAILLE 3, O. WAGNER-BALLON 4, F. TRIMOREAU 5, O.
Plus en détailSpondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil
Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE
Plus en détailCas clinique n 1. Y-a-t-il plusieurs diagnostics possibles? Son HTA a t elle favorisé ce problème?
Cas clinique n 1 Michel que vous suivez de longue date a l impression depuis quelques jours, d entendre des battements irréguliers le soir en se couchant ; il va parfaitement bien par ailleurs et rapporte
Plus en détailLE PSORIASIS ET SES CO-MORBIDITES PARTICULIEREMENT LE DIABETE
LE PSORIASIS ET SES CO-MORBIDITES PARTICULIEREMENT LE DIABETE Le psoriasis est apparu longtemps comme une maladie de peau isolée mais des études épidémiologiques internationales ces dernières années ont
Plus en détailMaladie hémolytique du nouveau né. Dr Emmanuel RIGAL Unité d hématologie transfusionelle GENEVE Présentation du 13 janvier 2012.
Maladie hémolytique du nouveau né. Dr Emmanuel RIGAL Unité d hématologie transfusionelle GENEVE Présentation du 13 janvier 2012. HISTORIQUE Période de DESCRIPTION : -Ictère, Anasarque 1609 Louyse BOURGEOIS
Plus en détailObservation. Merci à l équipe de pharmaciens FormUtip iatro pour ce cas
Cas clinique M. ZAC Observation Mr ZAC ans, 76 ans, 52 kg, est admis aux urgences pour des algies fessières invalidantes, résistantes au AINS. Ses principaux antécédents sont les suivants : une thrombopénie
Plus en détailLes définitions des saignements ACS/PCI
Les définitions des saignements ACS/PCI Les définitions classiques et leurs limites Les nouvelles définitions Des éléments pour de futures définitions François SCHIELE, CHU de BESANCON Définition «classique»,
Plus en détailGUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE APLASIES MÉDULLAIRES
GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE APLASIES MÉDULLAIRES Protocole national de diagnostic et de soins pour une maladie rare Février 2009 Ce guide médecin est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité
Plus en détailComplications de la transfusion
Complications de la transfusion Traditionnellement, les accidents transfusionnels sont décrits selon leur cause, immunologique, infectieuse, autre. Il est cependant plus didactique de les étudier selon
Plus en détailSang, plasma, plaquettes...
Sang, plasma, plaquettes... Le don de sang, un geste incontournable En donnant votre sang, vous aidez par exemple une femme qui a perdu beaucoup de sang lors de son accouchement à reprendre des forces,
Plus en détail