LES CHANGEMENTS FUTURS DE LA MOUSSON AFRICAINE

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "LES CHANGEMENTS FUTURS DE LA MOUSSON AFRICAINE"

Transcription

1 LES CHANGEMENTS FUTURS DE LA MOUSSON AFRICAINE MONERIE P.-A. 1,2, FONTAINE B. 1,3, ROUCOU P. 1,4 1 Centre de Recherches de Climatologie (CRC), Biogéosciences, 6 Boulevard Gabriel, Dijon 2 paul-arthur.monerie@u-bourgogne.fr ; 3 bernard.fontaine@u-bourgogne.fr ; 4 pascal.roucou@u-bourgogne.fr Résumé : Nous analysons l effet du changement climatique sur la mousson d Afrique de l ouest par l utilisation de huit modèles CMIP5 sous scénario RCP4.5, la réalisation d un multi-modèle et l approche «one model, one vote». Les résultats montrent l apparition d un contraste pluviométrique zonal entre le centre et l ouest du Sahel. Une mousson plus intense permettrait une hausse de la convergence d humidité et des précipitations au centre du Sahel. Un renforcement du jet d est africain et de la subsidence sur l ouest du Sahel y permettrait en revanche une baisse de la pluviométrie. Mots clefs : Sahel, changement climatique, CMIP5, rcp4.5. Abstract: The climate change effect on the West African monsoon is analyzed with eight CMIP5 models under the RCP4.5 emission scenario and through the one model, one vote and the multimodel approaches. We obtain a zonally contrasted response between the western and the central part of the Sahel. A more intense monsoon allows moisture flux convergence increases and more rainfall amounts over the central Sahel. A strengthening of the African Easterly Jet and the subsidence at mid-level over the western part of the Sahel prevents the development of precipitations. Key words : Sahel, climate change, CMIP5, rcp4.5. Introduction Un grand nombre d étude a été réalisée sur la question du changement climatique en Afrique de l ouest. Une tendance ne s en dégage pas puisque certains arrivent à la conclusion que le Sahel deviendrait plus sec, et les autres qui obtiennent au contraire une hausse future des précipitations. Le quatrième rapport du GIEC conclut ainsi qu aucun consensus ne peut être défini en ce qui concerne l évolution des précipitations associées à la mousson d Afrique de l ouest (Randall et al., 2007). Nous revisitons cette question selon une nouvelle méthode et avec des modèles CMIP5. 1. Données et méthodes Nous réalisons une étude en multi-modèle (MM) qui permet une diminution des incertitudes liées à la représentation de l échantillon (Gillet et al., 2002) et assure une représentation plus proche de l observation que le sorties issues d un unique modèle (Randall et al., 2007). Le MM sert à filtrer les erreurs que font individuellement certains modèles, seuls les biais récurrents à tous les modèles persisteront. Une telle méthode suppose que les modèles utilisés soient indépendants afin d éviter une surreprésentation de certains types de configurations liés aux choix des équipes de modélisateurs. Certains modèles montrent des similarités importantes avec dans un premier lieu les modèles issus d une même centre de calcul (Penelle et Reichler, 2011). Nous limitons ainsi volontairement l utilisation de simulations montrant de trop fortes similarités par la sélection d un modèle par centre de calcul. La sélection des modèles est faite sans à priori et se base sur ceux disponibles au moment de cette étude (juillet 2011). Nous utilisons de plus le même nombre d ensembles pour chacun des modèles (un). Nous utilisons les simulations de huit modèles CMIP5 (disponibles via les portails du PCMDI cnrm_cm5, inmcm4, hadgem2-es, giss_e2_r, canesm2, ipsl_cm5a_lr, csiro_mk3_6_0, mri_cgcm3. Nous utilisons deux périodes temporelles. La première pour représenter le climat moyen sur une période «actuelle» définie entre 1960 et 1999 avec le scénario «historical». La seconde, «future» est définie entre 2031 et 2070 sous scénario RCP4.5, un scénario moyennement optimiste d émission en gaz à effet de serre indiquant une hausse du forçage radiatif de 4,5 W.m -2 (une augmentation moyenne de la température de 3 C) d ici la fin du 21 ième siècle (Meinshausen et al., 2011). 421

2 L effet du changement climatique sur la mousson africaine sera analysé par la différence «future» moins «actuelle». Pour compléter la réalisation du multi-modèle modèle à partir de ces huit modèles nous utilisons l approche «one model, one vote» de Santer et al. (2009) qui permet d attribuer le même poids à chacun des modèles et de s assurer que le résultat n est pas dû à un modèle «extrême». Nous réalisons pour ce faire des cartes d occurrences indiquant le nombre de modèles en accord sur les anomalies calculées dans le multi-modèle. modèle. Cette méthode est définie et utilisée dans les études de Fontaine et al. (2011) oumonerie et al. (2012, 2013). Nous utilisons les données d observations CRU (ClimateResearch arch Unit, Mitchell et Jones, 2005) afin d évaluer les simulations de la pluviométrie des modèles CMIP5 sur la période «actuelle». 2. Résultats 2.1. Température et précipitation Le MM ainsi que tous les modèles qui le composent produisent un futur plus chaud, spécialement au-dessus des continents. En Afrique de l ouest la hausse la plus importante de température se produit au-dessus du Sahara (de 2,5 à 3 C), permettant ainsi un renforcement du gradient de température entre le désert et le golfe de Guinée (figure 1a). On pourrait ainsi s attendre à une mousson plus intense et à une hausse des précipitations en Afrique de l ouest. Entre juillet et septembre nous obtenons en effet une hausse des précipitations sur le centre du Sahel (figure 1b). En revanche la pluviométrie diminuerait sur l ouest du Sahel (Sénégal et sur de la Mauritanie). Ce contraste pluviométrique et significatif et robuste puisqu il apparait dans la plupart des modèles (pour 7 à 8 modèles sur 8). Ces résultats sont en accord avec Fontaine et al. 2011) et Monerie et al. (2013). Figure 1 : Différences «futures» moins «actuelles» (a) de température moyenne de surface (K) et (b) de précipitations. Les valeurs négatives (positives) sont symbolisées par des lignes discontinues (continues). Les carrés barrés sont ajoutés lorsque les différences sont significatives à p=0.10 selon un test de Student. (c) Nombre de modèles simulant un déficit (valeurs négatives, hachures) ou un excès (valeurs positives, aplats) par point de grilles. Période : Juillet-août-septembre. 422

3 2.2. Modification des flux de convergence Nous calculons les flux d humidité intégrés entre la surface et 850 hpa et entre 850 et 400 hpa ainsi que leur convergence dans le but d appréhender les modifications obtenues au sein de la circulation de mousson. La figure 2a montre les zones principales de convergence, audessus de l Atlantique nord et entre le flux de mousson et le flux de nord en provenance de la mer Méditerranée. Dans le futur la convergence devrait augmenter au nord du Sahel (au nord de 15 N), indiquant un renforcement des flux d humidité et une position plus au nord de la cellule de mousson (figure 2b). Dans les couches moyennes es la zone de divergence est associée au jet d est africain (JEA, figure 2d). Dans la période «future» le renforcement du JEA sur l ouest de l Afrique permet des valeurs plus importantes de divergence des flux d humidité : un export d humidité. Cette modification semble de plus associée à un renforcement et une migration au nord de la circulation anticyclonique située en climat moyen au-dessus du Maroc et de l Algérie. Les cartes d occurrences montrent que ces résultats sont robustes à la fois sur l ouest et le centre du Sahel (figure 2c, f). Figure 2. Convergence des flux d humidité intégrés dans la verticale (en 10-4 g.kg -1.s -1 ) et flux d humidité intégrés dans la verticale (g.kg -1.m.s -1 ) entre (a) la surface et 850 hpa et (d) 850 et 400 hpa pour la période «actuelle». Différences «futures» moins «actuelle» pour (b) la surface et 850 hpa et (e) 850 et 400 hpa. Les valeurs négatives (positives) sont symbolisées par des lignes discontinues (continues).les valeurs significatives selon un test de Student et à p=0.05 sont représentées par des aplats gris. (c et f) Nombre de modèles simulant un déficit (valeurs négatives, hachures) ou un excès (valeurs positives, aplats) par point de grilles. Période : Juillet- août-septembre Mouvements verticaux Les conditions plus sèches à l ouest du Sahel peuvent être dues à la divergence des flux d humidité dans les couches moyennes mais aussi à des processus de plus petites échelles, tels que les mouvements verticaux au sein de la troposphère. La figure 3 représente les valeurs moyennes du champ omega à 400 hpa (O400), qui sont associées au processus de convection humide. Les régions où les valeurs d O400 sont les plus faibles sont aussi celles où la convection profonde est la plus intense et où la pluviométrie est forte (figure 3a). Au contraire les valeurs positives au-dessus du bassin méditerranéen sont associées à de la subsidence et à 423

4 la cellule de Hadley nord. La circulation méridionale qui résulte de ces zones d ascension et de subsidence influence nce les vents de surfaces et donc la convergence des flux d humidité. Les modifications d'o400 montrent un contraste tout au long de la bande sahélienne avec (i) des différences positives indiquant des anomalies de subsidence à l ouest du méridien de Greenwich et au sud du Sahel, et (ii) des valeurs négatives au centre et à l est du Sahel (figure 3b). Cette réponde est encore une fois reproduite par une majorité de modèles (figure 3c). Le contraste méridien de l anomalie (négative au nord du Sahel et positive au sud) montre une remontée plus au nord de la mousson. Les valeurs positives à l ouest du Sahel indiquent que l export d humidité serait également dû à des anomalies de subsidence, tel qu il a pu être montré dans Monerie et al. (2013) via la circulation de type Walker. Cette hypothèse est cohérente avec Hagos et Cook (2008) qui montrent avec les réanalyses que le déplacement des zones de subsidences liées à la circulation zonale pourrait avoir permis à la fois une reprise des précipitations au centre du Sahel et une baisse des précipitations à l ouest, telle qu observé par Lebel et Ali (2009) dans l observation. Figure 3. (a) O400 hpa (Pa.s -1 ) pour la période «actuelle» et (b) différences «futures» moins «actuelles». Les valeurs négatives (positives) sont symbolisées par des lignes discontinues (continues).les carrés barrés sont ajoutés lorsque les différences sont significatives selon un test de Student et à p=0.05. (c) Nombre de modèles simulant un déficit (valeurs négatives, hachures) ou un excès (valeurs positives, aplats) par point de grilles. Période : Juillet-août-septembre. Le contraste oust/centre de précipitations est reproduit par une majorité des modèles utilisés. En plus des précipitations, le consensus dans les modifications des flux d humidité et leur convergence, dans les valeurs d O400 et du gradient de température montre que ce contraste est robuste. De plus le fait qu il est été obtenu avec les modèles CMIP3 (Fontaine et al., 2011 ; Monerie et al., 2013) ajoute du poids à ce résultat. 424

5 2.4. Un indice spatial des précipitations africaines. Nous suggérons que le contraste ouest/centre soit une réponse robuste du changement climatique sur la mousson d Afrique de l ouest. Nous définissons donc un indice, nommé ARPI (AfricanRainfall Pattern Index) en prenant compte des réponses opposées avec deux indices sahéliens. L'indice Sahel Ouest (SO) correspond à la région [20 W-0, 10 N-20 N], l'indice Sahel Centre (SC) à [0-25 E, 10 N-20 N]. L indice est donné par la relation ARPI = stan(stan (CS) stan (SO)) oùstan(cs) et stan(so) sont les indices sahéliens centre et ouest standardisés. ARPI est donc un indice standardisé. Nous avons calculé l indice ARPI sur la période «actuelle» avec le MM et les données du CRU, les résultats sont donnés dans la table 1. Indice calculé dans : Tendance CRU -0,54 +0,55 +1,09* MM -0,46 +0,48 +0,94* Table 1 : valeurs de la projection pour l année 1960 et 1999 depuis l équation de la droite de régression linéaire de l indice ARPI calculée sur la période ( ), pour le CRU (pente de par ans) et le MM(pente de par ans). La tendance correspond à la différence entre la valeur de projection obtenue pour l année 1999 moins celle obtenue pour l année Une étoile est ajoutée lorsque la tendance est significative selon un test de Spearman et à p=0.05. Une tendance positive et significative est obtenue dans le CRU (MM), avec une tendance de +1,09 (+0,94) et une pente de 0,028 (0,024) par année. MM et CRU enregistrent donc une tendance similaire entre 1960 et Le renforcement du contraste zonal ouest/centre est donc présent dans les simulations historiques et dans les observations. 425

6 Figure 4. Signal basse fréquence (extrait par filtre passe-bas et une coupe à 20 ans) de l indice de température (en K, ligne discontinue noire) et pour l indice ARPI pour tous les modèles (a-d, f-i) et pour le MM (e) (ligne discontinue grise). La droite de régression linéaire de l indice ARPI est représentée par une ligne continue grise. Nous calculons les indices ARPI du multi-modèle modèle et des huit modèles entre 1901 et 2099 (avec le scénario historical pour la période et RCP4.5 pour la période ). Les données sont filtrées sur 20 ans et la droite de régression linéaire associée à chacun des modèles est représentée. Nous ajoutons un indice de température, calculé à partir de la température de surface moyennée entre 30 S et 30 N. Entre 1901 et 2009 la température augmente pour le MM et tous les modèles, et fortement à partir des années 80 (figure 4). En même temps que le climat se réchauffe l indice ARPI se renforce (la tendance de l indice ARPI est positive pour 7 modèles sur 8). Ce contraste pluviométrique pourrait donc apparaître plus fréquemment dans le futur. Conclusion En se basant sur le calcul d un MM et sur l approche «one model, one vote» de Santer et al. (2009) cette étude analyse l effet du changement climatique sur la mousson africaine entre une période «actuelle» ( ) et «future» ( ). 2070). Nous retrouvons avec des modèles CMIP5 le contraste zonale ouest/centre de la pluviométrie obtenue par Fontaine et al. (2011) et Monerie et al. (2013) avec des données CMIP3. Le renforcement de la mousson permet une hausse de la convergence des flux d humidité sur le centre du Sahel et donc une hausse des précipitations. A l ouest des processus se produisant dans les couches moyennes permettent d expliquer la baisse des précipitations : une hausse de la subsidence, un renforcement et une remontée vers le nord de la circulation anticyclonique et un jet d est africain plus intense permettent un export d humidité au-dessus de l ouest du Sahel. Ce 426

7 contraste est lié au changement climatique et pourrait se renforcer au fur et à mesure que le climat se réchaufferait. Bibliographie Fontaine, B., Roucou P. et Monerie P.-A., 2011 : Changes in the African monsoon region at medium-term time horizon using 12 AR4 coupled models under the A1b emissions scenario, Atmospheric Science Letters, 12(1), Gillett N. P., Arora V. K., Flato G. M., Scinocca J. F. et von Salzen K., 2012: Improved constraints on 21stcentury warming derived using 160 years of temperature observations, Geophysical Research Letters, 39(1), L Hagos S. M. and Cook K. H., 2008: Ocean Warming and Late-Twentieth-Century Sahel Drought and Recovery, Journal of Climate, 21(15), Lebel T. and Ali A., 2009: Recent trends in the Central and Western Sahel rainfall regime ( ), Journal of Hydrology, 375(1-2), Meinshausen M., Smith S., Calvin K., Daniel J., Kainuma M., Lamarque J. F., Matsumoto K., Montzka S., Raper S., Riahi K., Thomson A., Velders G. and van Vuuren D. P., 2011: The RCP greenhouse gas concentrations and their extensions from 1765 to 2300, Climatic Change, 109(1), Mitchell T.D et DJones P., 2005: An improved method of constructing a database of monthly climate observations and associated high-resolution grids,international Journal of Climatology25: doi: /joc Monerie P.-A., Fontaine B. et P. Roucou, 2012 : Expected future changes in the African monsoon between 2030 and 2070 using some CMIP3 and CMIP5 models under a medium-low RCP scenario, Journal of Geophysical Research: Atmospheres, 117(D16), D Monerie P.-A., Roucou P. and Fontaine B., 2013: Mid-century effects of Climate Change on African monsoon dynamics using the A1B emission scenario, International Journal of Climatology, 33, Pennell C. et Reichler T., 2011: On the Effective Number of Climate Models, 10 pp., American Meteorological Society, Boston, MA, ETATS-UNIS. Randall D. A., Wood, R.A., Bony, S., Colman, R., Fichefet, T., Fyfe, J., Kattsov, V., Pitman, A., Shukla, J., Srinivasan, J., Stouffer, R.J., Sumi, A., Taylor, K.E.,2007 : Climate Models and Their Evaluation. Climate Change 2007: The Physical Science Basis. Contribution of York, NY, USA. Santer B. D., Taylor K. E., Gleckler P. J., Bonfils C., Barnett T. P., Pierce D. W., Wigley T. M. L., Mears C., Wentz F. J., Brüggemann W., Gillett N. P., Klein S. A., Solomon S., Stott P. A. and Wehner M. F., 2009 : Incorporating model quality information in climate change detection and attribution studies, Proceedings of the National Academy of Sciences, 106(35),

M. F. PITA Departamento de Geografía Física. Universidad de Sevilla. C/ María de Padilla s.n. 41.002-SEVILLA (Espagne). mfpita@cica.

M. F. PITA Departamento de Geografía Física. Universidad de Sevilla. C/ María de Padilla s.n. 41.002-SEVILLA (Espagne). mfpita@cica. Un nouvel indice de sécheresse pour les domaines méditerranéens. Application au bassin du Guadalquivir (sudo-uest de l Espagne). En: Un nouvel indice de sécheresse pour les domaines méditerranéens. Application

Plus en détail

Synthèse SYNTHESE - 1 - DIRECTION GENERALE DE L ENERGIE ET DU CLIMAT. Service du climat et de l efficacité énergétique

Synthèse SYNTHESE - 1 - DIRECTION GENERALE DE L ENERGIE ET DU CLIMAT. Service du climat et de l efficacité énergétique DIRECTION GENERALE DE L ENERGIE ET DU CLIMAT Service du climat et de l efficacité énergétique Observatoire national sur les effets du réchauffement climatique Synthèse SYNTHESE Prise en compte de l'élévation

Plus en détail

FAITS SAILLANTS : 1. CONDITIONS CLIMATIQUES ET ENVIRONNEMENTALES EN AFRIQUE

FAITS SAILLANTS : 1. CONDITIONS CLIMATIQUES ET ENVIRONNEMENTALES EN AFRIQUE African Centre of Meteorological Application for Development Centre Africain pour les Applications de la Météorologie au Développement N 5, Mai 2015 FAITS SAILLANTS : Les zones favorables à une vigilance

Plus en détail

PROJET ACCLIMATE ETUDE SIM-CLIM THEME 3 Etude bilan des possibilités d une simulation climatique régionale

PROJET ACCLIMATE ETUDE SIM-CLIM THEME 3 Etude bilan des possibilités d une simulation climatique régionale Commission de l Océan Indien Projet ACCLIMATE 1 PROJET ACCLIMATE ETUDE SIM-CLIM THEME 3 Etude bilan des possibilités d une simulation climatique régionale Résumé Commission de l Océan Indien Projet ACCLIMATE

Plus en détail

Real-time Monitoring and forecast of IntraSeasonal Variability over Africa (MISVA)

Real-time Monitoring and forecast of IntraSeasonal Variability over Africa (MISVA) Real-time Monitoring and forecast of IntraSeasonal Variability over Africa (MISVA) R. Roehrig 1,*, F. Couvreux 1, E. Poan 1, P. Peyrillé 1, J.-P. Lafore 1, O. Ndiaye 2, A. Diongue-Niang 2, F. Favot 1,

Plus en détail

Rôle des nuages dans l'anomalie de température de l'hiver 2007 en Europe

Rôle des nuages dans l'anomalie de température de l'hiver 2007 en Europe Rôle des nuages dans l'anomalie de température de l'hiver 2007 en Europe Meriem Chakroun Marjolaine Chiriaco (1) Sophie Bastin (1) Hélène Chepfer (2) Grégory Césana (2) Pascal Yiou (3) (1): LATMOS (2):

Plus en détail

Profils verticaux de la couverture nuageuse, de ses propriétés et des aérosols: données du lidar CALIOP et du radar CLOUDSAT (DARDAR) de 2006 à 2012

Profils verticaux de la couverture nuageuse, de ses propriétés et des aérosols: données du lidar CALIOP et du radar CLOUDSAT (DARDAR) de 2006 à 2012 T1.3 (Tropics) Diurnal cycle of cloud cover in the tropical regions: combined use of geostationary satellite, A-Train measurements and lidar/radar ground station measurements. Coordination : G. Sèze (LMD)

Plus en détail

Modélisation couplée des processus de surface et souterrains pour prédire la distribution spatiale de l'évapotranspiration.

Modélisation couplée des processus de surface et souterrains pour prédire la distribution spatiale de l'évapotranspiration. Contacts : jean-martial.cohard@ujf-grenoble.fr AMA Fall Meeting 2013 Toulouse, 22-24 janvier Modélisation couplée des processus de surface et souterrains pour prédire la distribution spatiale de l'évapotranspiration.

Plus en détail

L inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques

L inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques L inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques I/ Objectif : Dans la partie 2 du programme de seconde «enjeux planétaires contemporains : énergie et sol», sous partie

Plus en détail

IV.1 Descente d échelle dynamique... 11 IV.2 Descente d échelle statistique... 14

IV.1 Descente d échelle dynamique... 11 IV.2 Descente d échelle statistique... 14 Table des matières Rapport de l étude «Evaluation des changements climatiques futurs au niveau des zones oasiennes marocaines»... 1 élaborée pour le projet... 1 «Adaptation aux changements climatiques

Plus en détail

Royaume du Maroc Secrétariat d État auprès du Ministère de l Énergie, des Mines, de l Eau et de l Environnement, Chargé de l Eau et de l Environnement Direction de la Météorologie Nationale Variabilité

Plus en détail

CONCOURS EXTERNE DE RECRUTEMENT DE PROFESSEURS CERTIFIÉS ET CONCOURS D ACCÈS À DES LISTES D APTITUDE (CAFEP)

CONCOURS EXTERNE DE RECRUTEMENT DE PROFESSEURS CERTIFIÉS ET CONCOURS D ACCÈS À DES LISTES D APTITUDE (CAFEP) Repère à reporter sur la copie SESSION DE 28 CONCOURS EXTERNE DE RECRUTEMENT DE PROFESSEURS CERTIFIÉS ET CONCOURS D ACCÈS À DES LISTES D APTITUDE (CAFEP) Section : SCIENCES DE LA VIE ET DE LA TERRE COMPOSITION

Plus en détail

Contrôle de la convection profonde par les processus sous-nuageux dans LMDZ5B

Contrôle de la convection profonde par les processus sous-nuageux dans LMDZ5B Contrôle de la convection profonde par les processus sous-nuageux dans LMDZ5B C. Rio, J.-Y. Grandpeix, F. Hourdin, F. Guichard, F. Couvreux, J.-P. Lafore, A. Fridlind, A. Mrowiec, S. Bony, N. Rochetin,

Plus en détail

La modélisation, un outil pour reconstituer (et prédire) climat et végétation

La modélisation, un outil pour reconstituer (et prédire) climat et végétation La modélisation, un outil pour reconstituer (et prédire) climat et végétation Quels rôles jouent les surfaces continentales dans le système climatique? Nathalie de Noblet-Ducoudré nathalie.de-noblet@lsce.ipsl.fr

Plus en détail

Évolution du climat et désertification

Évolution du climat et désertification Évolution du climat et désertification FACTEURS HUMAINS ET NATURELS DE L ÉVOLUTION DU CLIMAT Les activités humaines essentiellement l exploitation de combustibles fossiles et la modification de la couverture

Plus en détail

Synthèse des travaux réalisés par la DMN dans le cadre du projet ACCMA

Synthèse des travaux réalisés par la DMN dans le cadre du projet ACCMA Synthèse des travaux réalisés par la DMN dans le cadre du projet ACCMA Fatima Driouech et Atika Kasmi Le travail effectué par l équipe de la DMN, dans le cadre du projet et durant cette première période,

Plus en détail

4. Résultats et discussion

4. Résultats et discussion 17 4. Résultats et discussion La signification statistique des gains et des pertes bruts annualisés pondérés de superficie forestière et du changement net de superficie forestière a été testée pour les

Plus en détail

1. L'été le plus chaud que la France ait connu ces cinquante dernières années.

1. L'été le plus chaud que la France ait connu ces cinquante dernières années. 1. L'été le plus chaud que la France ait connu ces cinquante dernières années. La figure ci-dessous présente la moyenne sur la France des températures minimales et maximales de l'été (période du 1 er juin

Plus en détail

Etudes des nuages et de la convection autour des dépressions intenses des moyennes latitudes

Etudes des nuages et de la convection autour des dépressions intenses des moyennes latitudes Etudes des nuages et de la convection autour des dépressions intenses des moyennes latitudes Jérôme DREANO 28 Février 2014 1 Introduction Dans le modèle LMDZ, les paramétrisations physiques des nuages

Plus en détail

Les effets d une contrainte de crédit sur la convergence économique : Le cas des pays de l UEMOA

Les effets d une contrainte de crédit sur la convergence économique : Le cas des pays de l UEMOA Les effets d une contrainte de crédit sur la convergence économique : Le cas des pays de l UEMOA Auteurs : Abdoulaye DIAGNE et Abdou-Aziz NIANG Introduction Ceci devrait contribuer à réduire l écart entre

Plus en détail

NOTE SUR LA MODELISATION DU RISQUE D INFLATION

NOTE SUR LA MODELISATION DU RISQUE D INFLATION NOTE SUR LA MODELISATION DU RISQUE D INFLATION 1/ RESUME DE L ANALYSE Cette étude a pour objectif de modéliser l écart entre deux indices d inflation afin d appréhender le risque à très long terme qui

Plus en détail

Cartographie des Hotspots Démographiques et du Changement Climatique: Pérou

Cartographie des Hotspots Démographiques et du Changement Climatique: Pérou Pérou - Besoin de planification familiale non satisfait, 2011 Au Pérou, six pour cent des femmes mariées ont un besoin non satisfait de planification familiale. A l intérieur du pays ces taux varient suivant

Plus en détail

Frédéric Hourdin, avec la collaboration de Françoise Guichard, Romain Roehrig, Dominique Bouniol et Lidia Mellul. 31 juillet 2013

Frédéric Hourdin, avec la collaboration de Françoise Guichard, Romain Roehrig, Dominique Bouniol et Lidia Mellul. 31 juillet 2013 Escape ANR D3.5: Evaluation des simulations de contrôle Cordex et Cmip5. Nouveaux résultats d évaluations mis à disposition au travers de Amma-mip. M24 (LOCEAN) Frédéric Hourdin, avec la collaboration

Plus en détail

VI.1) Description de la QBO Observation du vent zonal en moyenne zonale à l'équateur Données UARS (Swinbak et Orland)

VI.1) Description de la QBO Observation du vent zonal en moyenne zonale à l'équateur Données UARS (Swinbak et Orland) Z(km)= 112 96 80 64 48 32 16 0 VI.1) Description de la QBO Observation du vent zonal en moyenne zonale à l'équateur Données UARS (Swinbak et Orland) Thermosphère Mésosphère Stratosphère Troposphère Dans

Plus en détail

Où sont les Hommes sur la Terre

Où sont les Hommes sur la Terre Où sont les Hommes sur la Terre Introduction : Notre planète est constituée de régions peuplées et d autres qui sont presque vides, ainsi 90% de la population vit dans l hémisphère nord. Dans certains

Plus en détail

Efficacité énergétique des logements à haute performance énergétique, HPE : Application au site de Béchar

Efficacité énergétique des logements à haute performance énergétique, HPE : Application au site de Béchar Revue des Energies Renouvelables Vol. 15 N 2 (2012) 357-364 Efficacité énergétique des logements à haute performance énergétique, HPE : Application au site de Béchar S. Sami-Mécheri 1*, D. Semmar 2 et

Plus en détail

Prospective: Champ de gravité, méthodes spatiales

Prospective: Champ de gravité, méthodes spatiales Prospective: Champ de gravité, méthodes spatiales Richard Biancale Conseil Scientifique du GRGS Observatoire de Paris, 10 avril 2008 L état de l art des modèles CHAMP: modèles 50 fois moins précis que

Plus en détail

Modèle de troncature gauche : Comparaison par simulation sur données indépendantes et dépendantes

Modèle de troncature gauche : Comparaison par simulation sur données indépendantes et dépendantes de troncature gauche : Comparaison par simulation sur données indépendantes et dépendantes Zohra Guessoum 1 & Farida Hamrani 2 1 Lab. MSTD, Faculté de mathématique, USTHB, BP n 32, El Alia, Alger, Algérie,zguessoum@usthb.dz

Plus en détail

METEOROLOGIE. Aéroclub Besançon La Vèze. Cours MTO - Ivan TORREADRADO 1. F-SO au FL65 over LFQM

METEOROLOGIE. Aéroclub Besançon La Vèze. Cours MTO - Ivan TORREADRADO 1. F-SO au FL65 over LFQM METEOROLOGIE Aéroclub Besançon La Vèze F-SO au FL65 over LFQM Cours MTO - Ivan TORREADRADO 1 L air L atmosphère terrestre L humidité La stabilité, l instabilité La convection/l advection Les masses d air

Plus en détail

Régionalisation des régimes de perturbations et implications pour l aménagement dans un contexte de changement climatique

Régionalisation des régimes de perturbations et implications pour l aménagement dans un contexte de changement climatique Régionalisation des régimes de perturbations et implications pour l aménagement dans un contexte de changement climatique Sylvie Gauthier, Chercheuse scientifique, successions forestières RNCan-SCF-CFL

Plus en détail

Post-processing of multimodel hydrological forecasts for the Baskatong catchment

Post-processing of multimodel hydrological forecasts for the Baskatong catchment + Post-processing of multimodel hydrological forecasts for the Baskatong catchment Fabian Tito Arandia Martinez Marie-Amélie Boucher Jocelyn Gaudet Maria-Helena Ramos + Context n Master degree subject:

Plus en détail

The Tropical Warm Pool-International Cloud Experiment TWP-ICE

The Tropical Warm Pool-International Cloud Experiment TWP-ICE The Tropical Warm Pool-International Cloud Experiment TWP-ICE Darwin, Australie Du 20 janvier au 13 fevrier 2006 radiosondages Flux radiatifs de surface Flux turbulents de surface Radar CPOL Forçages déduits

Plus en détail

Simulation d application des règles CNAV AGIRC ARRCO sur des carrières type de fonctionnaires d Etat

Simulation d application des règles CNAV AGIRC ARRCO sur des carrières type de fonctionnaires d Etat CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 10 avril 2014 à 9 h 30 «Carrières salariales et retraites dans les secteurs et public» Document N 9 Document de travail, n engage pas le Conseil Simulation

Plus en détail

Pourquoi étudier l aérosol atmosphérique?

Pourquoi étudier l aérosol atmosphérique? Pourquoi étudier l aérosol atmosphérique? Impact Climatique Impact sanitaire Les particules atmosphériques sont avant tout étudiées pour leurs impacts sur le climat et sur la santé humaine. 39 Réchauffement

Plus en détail

ASSURER LA QUALITE DES RESULTATS D ESSAI ET D ETALONNAGE Assuring the quality of test and calibration results

ASSURER LA QUALITE DES RESULTATS D ESSAI ET D ETALONNAGE Assuring the quality of test and calibration results ASSURER LA QUALITE DES RESULTATS D ESSAI ET D ETALONNAGE Assuring the quality of test and calibration results Soraya Amarouche Armelle Picau Olivier Pierson Raphaël Deal Laboratoire National de Métrologie

Plus en détail

TABLE DES MATIERES. C Exercices complémentaires 42

TABLE DES MATIERES. C Exercices complémentaires 42 TABLE DES MATIERES Chapitre I : Echantillonnage A - Rappels de cours 1. Lois de probabilités de base rencontrées en statistique 1 1.1 Définitions et caractérisations 1 1.2 Les propriétés de convergence

Plus en détail

ÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE

ÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE ÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE ANALYSIS OF THE EFFICIENCY OF GEOGRIDS TO PREVENT A LOCAL COLLAPSE OF A ROAD Céline BOURDEAU et Daniel BILLAUX Itasca

Plus en détail

Vers une approche Adaptative pour la Découverte et la Composition Dynamique des Services

Vers une approche Adaptative pour la Découverte et la Composition Dynamique des Services 69 Vers une approche Adaptative pour la Découverte et la Composition Dynamique des Services M. Bakhouya, J. Gaber et A. Koukam Laboratoire Systèmes et Transports SeT Université de Technologie de Belfort-Montbéliard

Plus en détail

La gestion du risque chez AXA

La gestion du risque chez AXA Séminaire International de la Presse Suduiraut 21 & 22 juin 2006 La gestion du risque chez AXA François Robinet Chief Risk officer Groupe AXA Sommaire I. La Gestion du Risque : Définition D II. III. La

Plus en détail

IMPACT DES SYSTEMES NUAGEUX DANS L HUMIDIFICATION DE LA TROPOSHERE LIBRE TROPICALE

IMPACT DES SYSTEMES NUAGEUX DANS L HUMIDIFICATION DE LA TROPOSHERE LIBRE TROPICALE Lemaître Cyndie Master 2 ème année ICE Année 2006-2007 UVSQ IMPACT DES SYSTEMES NUAGEUX DANS L HUMIDIFICATION DE LA TROPOSHERE LIBRE TROPICALE Remerciements Je remercie tout d abord Hervé de Feraudy et

Plus en détail

Projet évaluation : précipitation et

Projet évaluation : précipitation et Projet évaluation : précipitation et nuages du Global-Meso Groupe Global-Meso Meso: Stéphane Bélair,, Michel Roch,, Anne- Marie Leduc, Paul Vaillancourt Objectifs du projet d évaluation Développer des

Plus en détail

Objectifs présentés. Discussion générale

Objectifs présentés. Discussion générale Risque de feux et productivité forestière, de part et d autre de la limite nordique d attribution des forêts dans un contexte de changements climatiques Sylvie Gauthier Collaborateur : Yves Bergeron, Martin

Plus en détail

Technical Assistance for Sustainable National Greenhouse Gas Inventory Management Systems in West Africa (West Africa GHG Project)

Technical Assistance for Sustainable National Greenhouse Gas Inventory Management Systems in West Africa (West Africa GHG Project) Technical Assistance for Sustainable National Greenhouse Gas Inventory Management Systems in West Africa (West Africa GHG Project) Dr. Sabin Guendehou, Regional Project Coordinator Cluster Francophone

Plus en détail

Science et technologie : Le truc de Newton

Science et technologie : Le truc de Newton Science et technologie : Le truc de Newton Une caractéristique fondamentale de la science c est le lien étroit qui l unit à la technologie. La science cherche les règles du monde matériel et la technologie

Plus en détail

Du Thermostat à l ordinateur climatique. Vincent Aubret Hortimax

Du Thermostat à l ordinateur climatique. Vincent Aubret Hortimax Du Thermostat à l ordinateur climatique Vincent Aubret Hortimax 1 Introduction 2 Régulateurs de type thermostat Applications : Idéal pour la régulation simplifiée de type Tunnels, Hall Alarme haute et

Plus en détail

Contrôle par commande prédictive d un procédé de cuisson sous infrarouge de peintures en poudre.

Contrôle par commande prédictive d un procédé de cuisson sous infrarouge de peintures en poudre. Contrôle par commande prédictive d un procédé de cuisson sous infrarouge de peintures en poudre. Isabelle Bombard, Bruno da Silva, Pascal Dufour *, Pierre Laurent, Joseph Lieto. Laboratoire d Automatique

Plus en détail

Equation LIDAR : exp 2 Equation RADAR :

Equation LIDAR : exp 2 Equation RADAR : Contexte scientifique Systèmes LIDAR/RADAR Equation LIDAR : exp Equation RADAR : p (r) : puissance rétrodiffusée r : altitude ou profondeur. C : constante instrumentale. β : coefficient de rétrodiffusion

Plus en détail

Le projet DRIAS : premières études et documents

Le projet DRIAS : premières études et documents Le projet DRIAS : premières études et documents Julien Lémond CNRM / GAME, Météo-France, CNRS Direction de la Climatologie Réunion Comité Utilisateurs, le 29 juin 2010 Plan de la présentation 1 ) Les services

Plus en détail

PRODIGUER un noeud français de distribution de données GIEC/IPCC

PRODIGUER un noeud français de distribution de données GIEC/IPCC PRODIGUER un noeud français de distribution de données GIEC/IPCC Sébastien Denvil et Olivier Marti Pôle de Modélisation, IPSL Prodiguer - Mercredi 18 juin 2008 1 Le contexte : le compte à rebours du rapport

Plus en détail

TABLE DES MATIÈRES. Bruxelles, De Boeck, 2011, 736 p.

TABLE DES MATIÈRES. Bruxelles, De Boeck, 2011, 736 p. STATISTIQUE THÉORIQUE ET APPLIQUÉE Tome 2 Inférence statistique à une et à deux dimensions Pierre Dagnelie TABLE DES MATIÈRES Bruxelles, De Boeck, 2011, 736 p. ISBN 978-2-8041-6336-5 De Boeck Services,

Plus en détail

NON-LINEARITE ET RESEAUX NEURONAUX

NON-LINEARITE ET RESEAUX NEURONAUX NON-LINEARITE ET RESEAUX NEURONAUX Vêlayoudom MARIMOUTOU Laboratoire d Analyse et de Recherche Economiques Université de Bordeaux IV Avenue. Leon Duguit, 33608 PESSAC, France tel. 05 56 84 85 77 e-mail

Plus en détail

Sub-Saharan African G-WADI

Sub-Saharan African G-WADI Sub-Saharan African G-WADI Regional chapter of the Global network on Water and Development Information for Arid Lands Prof. Cheikh B. Gaye G-WADI Workshop 20-21 April 2010 Dakar, Senegal 35 participants

Plus en détail

Transition énergétique Les enjeux pour les entreprises

Transition énergétique Les enjeux pour les entreprises Transition énergétique Les enjeux pour les entreprises Alain Grandjean Le 26 novembre 2014 Contact : alain.grandjean@carbone4.com Le menu du jour L énergie dans l économie : quelques rappels Les scénarios

Plus en détail

BASE DE DONNÉES DES ASPECTS SOCIOÉCONOMIQUES EN MÉDITERRANÉE OCCIDENTALE

BASE DE DONNÉES DES ASPECTS SOCIOÉCONOMIQUES EN MÉDITERRANÉE OCCIDENTALE BASE DE DONNÉES DES ASPECTS SOCIOÉCONOMIQUES EN MÉDITERRANÉE OCCIDENTALE CETMO-ASE Version 08.01 Année de référence 2008 Février 2013 BASE DE DONNÉES DES ASPECTS SOCIOÉCONOMIQUES EN MÉDITERRANÉE OCCIDENTALE

Plus en détail

Intérêt du découpage en sous-bandes pour l analyse spectrale

Intérêt du découpage en sous-bandes pour l analyse spectrale Intérêt du découpage en sous-bandes pour l analyse spectrale David BONACCI Institut National Polytechnique de Toulouse (INP) École Nationale Supérieure d Électrotechnique, d Électronique, d Informatique,

Plus en détail

Comparaison des enjeux énergétiques de la France et de l Allemagne

Comparaison des enjeux énergétiques de la France et de l Allemagne Comparaison des enjeux énergétiques de la France et de l Allemagne Dans la perspective de la première conférence franco-allemande sur l énergie qui se tiendra le 2 juillet prochain à Paris 1, il paraît

Plus en détail

Le réchauffement climatique, c'est quoi?

Le réchauffement climatique, c'est quoi? LE RECHAUFFEMENT CLIMATIQUE Le réchauffement climatique, c'est quoi? Le réchauffement climatique est l augmentation de la température moyenne à la surface de la planète. Il est dû aux g az à effet de serre

Plus en détail

Météo Marine. Benjamin Aymard. Cours CNIF 18 Février 2014 Université Pierre et Marie Curie. ./IMAGES/logo-n

Météo Marine. Benjamin Aymard. Cours CNIF 18 Février 2014 Université Pierre et Marie Curie. ./IMAGES/logo-n Météo Marine Benjamin Aymard Cours CNIF 18 Février 2014 Université Pierre et Marie Curie 1/41 18 Février 2014, UPMC aymard@ann.jussieu.fr Météo Marine Cours Météo pratique Pourquoi les prévisions météo

Plus en détail

REVITALIZING THE RAILWAYS IN AFRICA

REVITALIZING THE RAILWAYS IN AFRICA REVITALIZING THE RAILWAYS IN AFRICA Contents 1 2 3 4 GENERAL FRAMEWORK THE AFRICAN CONTINENT: SOME LANDMARKS AFRICAN NETWORKS: STATE OF PLAY STRATEGY: DESTINATION 2040 Contents 1 2 3 4 GENERAL FRAMEWORK

Plus en détail

CHANGEMENTS CLIMATIQUES 2013

CHANGEMENTS CLIMATIQUES 2013 CHANGEMENTS CLIMATIQUES 2013 Les éléments scientifiques Résumé à l intention des décideurs GT I CONTRIBUTION DU GROUPE DE TRAVAIL I AU CINQUIÈME RAPPORT D ÉVALUATION DU GROUPE D EXPERTS INTERGOUVERNEMENTAL

Plus en détail

Application à l astrophysique ACTIVITE

Application à l astrophysique ACTIVITE Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.

Plus en détail

Modèle de Climat de Titan

Modèle de Climat de Titan Planétologie - GSMA - Université de Reims Champagne-Ardenne Modèle de Climat de Titan Le contexte général : Titan, le plus gros satellite de Saturne, possède une atmosphère dense de 1.4 bar essentiellement

Plus en détail

www.iavs-energie.org

www.iavs-energie.org Notes de recherche de l IAVS www.iavs-energie.org ---------------- administration@iavs-energie.org iavsmail@gmail.com ---------------- Cadre de référence indicatif pour la promotion de l efficacité énergétique

Plus en détail

VERS UNE COMMUNAUTÉ EURO- MÉDITERRANÉENNE DE L ÉNERGIE : Passer de l'import-export à un nouveau modèle énergétique régional

VERS UNE COMMUNAUTÉ EURO- MÉDITERRANÉENNE DE L ÉNERGIE : Passer de l'import-export à un nouveau modèle énergétique régional VERS UNE COMMUNAUTÉ EURO- MÉDITERRANÉENNE DE L ÉNERGIE : Passer de l'import-export à un nouveau modèle énergétique régional Avril 2013 En 2011, pour la première fois, la Commission européenne parle d une

Plus en détail

Impacts potentiels du changement climatique sur les indices agroclimatiques dans les régions du sud de l Ontario et du Québec

Impacts potentiels du changement climatique sur les indices agroclimatiques dans les régions du sud de l Ontario et du Québec Impacts potentiels du changement climatique sur les indices agroclimatiques dans les régions du sud de l Ontario et du Québec A. Bootsma, D. Anderson et S. Gameda Centre de recherches de l'est sur les

Plus en détail

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices : Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur

Plus en détail

Auscultation par thermographie infrarouge des ouvrages routiers

Auscultation par thermographie infrarouge des ouvrages routiers Journée «Thermographie infrarouge pour le bâtiment et les travaux publics» Auscultation par thermographie infrarouge des ouvrages routiers Jean Dumoulin (LCPC) Mario Marchetti (LRPC Nancy) Frédéric Taillade

Plus en détail

SCHOLARSHIP ANSTO FRENCH EMBASSY (SAFE) PROGRAM 2015-2 APPLICATION FORM

SCHOLARSHIP ANSTO FRENCH EMBASSY (SAFE) PROGRAM 2015-2 APPLICATION FORM SCHOLARSHIP ANSTO FRENCH EMBASSY (SAFE) PROGRAM 2015-2 APPLICATION FORM APPLICATION FORM / FORMULAIRE DE CANDIDATURE Note: If there is insufficient space to answer a question, please attach additional

Plus en détail

$SSOLFDWLRQGXNULJHDJHSRXUOD FDOLEUDWLRQPRWHXU

$SSOLFDWLRQGXNULJHDJHSRXUOD FDOLEUDWLRQPRWHXU $SSOLFDWLRQGXNULJHDJHSRXUOD FDOLEUDWLRQPRWHXU Fabien FIGUERES fabien.figueres@mpsa.com 0RWVFOpV : Krigeage, plans d expériences space-filling, points de validations, calibration moteur. 5pVXPp Dans le

Plus en détail

Projets en cours sur l archivage et la diffusion des simulations climatiques et de leurs produits, en liaison avec le projet DRIAS

Projets en cours sur l archivage et la diffusion des simulations climatiques et de leurs produits, en liaison avec le projet DRIAS Projets en cours sur l archivage et la diffusion des simulations climatiques et de leurs produits, en liaison avec le projet DRIAS Serge Planton (MF/CNRM-GAME), Robert Vautard (IPSL), Maryvonne Kerdoncuff,

Plus en détail

MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE UNIVERSITE ABDELHAMID IBN BADIS MOSTAGANEM TUNISIE MAROC ALGERIE

MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE UNIVERSITE ABDELHAMID IBN BADIS MOSTAGANEM TUNISIE MAROC ALGERIE TUNISIE MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE UNIVERSITE ABDELHAMID IBN BADIS MOSTAGANEM MAROC ALGERIE FACULTES Sciences Economiques, Commerciales et de Gestion Sciences

Plus en détail

Investir sur les marchés de taux au sein des pays émergents

Investir sur les marchés de taux au sein des pays émergents Gestion obligataire Investir sur les marchés de taux au sein des pays émergents Nous pensons que la répression financière se prolongera encore plusieurs années. Dans cet intervalle, il sera de plus en

Plus en détail

Application de l'analyse multifractale à l'estimation des crues extrêmes en Tunisie

Application de l'analyse multifractale à l'estimation des crues extrêmes en Tunisie Hydrology of die Mediterranean and Semiarid Regions (Proceedings of an inlernational symposium held at Montpellier.' April 2003). IAHS Publ. no. 278. 2003. 251 Application de l'analyse multifractale à

Plus en détail

Projet ClimSec. Impact du changement climatique en France sur la sécheresse et l eau du sol

Projet ClimSec. Impact du changement climatique en France sur la sécheresse et l eau du sol Projet ClimSec Impact du changement climatique en France sur la sécheresse et l eau du sol Rapport final du projet Mai 2011 Réalisé par la Direction de la Climatologie de Météo-France (1) En partenariat

Plus en détail

Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière

Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,

Plus en détail

Tests de sensibilité des projections aux hypothèses démographiques et économiques : variantes de chômage et de solde migratoire

Tests de sensibilité des projections aux hypothèses démographiques et économiques : variantes de chômage et de solde migratoire CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 16 décembre 2014 à 14 h 30 «Actualisation des projections» Document N 5 Document de travail, n engage pas le Conseil Tests de sensibilité des projections

Plus en détail

Stéphane Lefebvre. CAE s Chief Financial Officer. CAE announces Government of Canada participation in Project Innovate.

Stéphane Lefebvre. CAE s Chief Financial Officer. CAE announces Government of Canada participation in Project Innovate. Stéphane Lefebvre CAE s Chief Financial Officer CAE announces Government of Canada participation in Project Innovate Montreal, Canada, February 27, 2014 Monsieur le ministre Lebel, Mesdames et messieurs,

Plus en détail

Township of Russell: Recreation Master Plan Canton de Russell: Plan directeur de loisirs

Township of Russell: Recreation Master Plan Canton de Russell: Plan directeur de loisirs Township of Russell: Recreation Master Plan Canton de Russell: Plan directeur de loisirs Project Introduction and Stakeholder Consultation Introduction du projet et consultations publiques Agenda/Aperçu

Plus en détail

De la mesure à l analyse des risques

De la mesure à l analyse des risques De la mesure à l analyse des risques Séminaire ISFA - B&W Deloitte Jean-Paul LAURENT Professeur à l'isfa, Université Claude Bernard Lyon 1 laurent.jeanpaul@free.fr http://laurent.jeanpaul.free.fr/ 0 De

Plus en détail

A quels élèves profite l approche par les compétences de base? Etude de cas à Djibouti

A quels élèves profite l approche par les compétences de base? Etude de cas à Djibouti A quels élèves profite l approche par les compétences de base? Etude de cas à Djibouti Hamid Mohamed Aden, Directeur du CRIPEN, Djibouti Xavier Roegiers, Professeur à l Université de Louvain, Directeur

Plus en détail

Projet Institutional Support to African Climate Initiative (ISACIP) ATELIER DE RENFORCEMENT DE CAPACITÉS Niamey, 17 au 25 mars 2014

Projet Institutional Support to African Climate Initiative (ISACIP) ATELIER DE RENFORCEMENT DE CAPACITÉS Niamey, 17 au 25 mars 2014 Projet Institutional Support to African Climate Initiative (ISACIP) ATELIER DE RENFORCEMENT DE CAPACITÉS Niamey, 17 au 25 mars 2014 Par Amadou Idrissa Bokoye, Ph. D. Contact: abokoye@gmail.com Environnement

Plus en détail

SARM: Simulation of Absorption Refrigeration Machine

SARM: Simulation of Absorption Refrigeration Machine Revue des Energies Renouvelables Vol. 11 N 4 (2008) 587 594 SARM: Simulation of Absorption Refrigeration Machine S. Kherris 1*, M. Makhlouf 1 et A. Asnoun 2 1 Laboratoire des Matériaux et des Systèmes

Plus en détail

Chapitre 6 La lumière des étoiles Physique

Chapitre 6 La lumière des étoiles Physique Chapitre 6 La lumière des étoiles Physique Introduction : On ne peut ni aller sur les étoiles, ni envoyer directement des sondes pour les analyser, en revanche on les voit, ce qui signifie qu'on reçoit

Plus en détail

Les pratiques de simulation de crise: enquête auprès de quarante-trois grands établissements financiers

Les pratiques de simulation de crise: enquête auprès de quarante-trois grands établissements financiers Ingo Fender (+41 61) 280 9458 ingo.fender@bis.org Michael S. Gibson (+1 202) 452 2495 michael.s.gibson@frb.gov Les pratiques de simulation de crise: enquête auprès de quarante-trois grands établissements

Plus en détail

Soumission des articles pour l ICOFOM Study Series

Soumission des articles pour l ICOFOM Study Series Soumission des articles pour l ICOFOM Study Series Procédure Les articles seront soumis à un comité de lecture pour une évaluation en double aveugle. A la suite des recommandations, si l article est accepté,

Plus en détail

Enjeux et Perspectives de la composante «Environnement Santé» du Plan d Action de l Initiative Environnement du NEPAD

Enjeux et Perspectives de la composante «Environnement Santé» du Plan d Action de l Initiative Environnement du NEPAD PRÉSENTATION POWER POINT Enjeux et Perspectives de la composante «Environnement Santé» du Plan d Action de l Initiative Environnement du NEPAD Cheikh FOFANA, Assistant au Secrétaire Exécutif, Secrétariat

Plus en détail

Mémoire d actuariat - promotion 2010. complexité et limites du modèle actuariel, le rôle majeur des comportements humains.

Mémoire d actuariat - promotion 2010. complexité et limites du modèle actuariel, le rôle majeur des comportements humains. Mémoire d actuariat - promotion 2010 La modélisation des avantages au personnel: complexité et limites du modèle actuariel, le rôle majeur des comportements humains. 14 décembre 2010 Stéphane MARQUETTY

Plus en détail

Équations non linéaires

Équations non linéaires Équations non linéaires Objectif : trouver les zéros de fonctions (ou systèmes) non linéaires, c-à-d les valeurs α R telles que f(α) = 0. y f(x) α 1 α 2 α 3 x Equations non lineaires p. 1/49 Exemples et

Plus en détail

ETUDE AFRIQUE AUPRES DU RESEAU BPIFRANCE EXCELLENCE

ETUDE AFRIQUE AUPRES DU RESEAU BPIFRANCE EXCELLENCE NOTE INTERNE DIRECTION DE L INTERNATIONAL ET DE L UNIVERSITE POLE AFRIQUE ET MEDITERRANEE DECEMBRE 2014 ETUDE AFRIQUE AUPRES DU RESEAU BPIFRANCE EXCELLENCE Bpifrance accompagne le développement des entreprises

Plus en détail

Data issues in species monitoring: where are the traps?

Data issues in species monitoring: where are the traps? Data issues in species monitoring: where are the traps? French breeding bird monitoring : Animations locales : - dealing with heterogenous data - working with multi-species multi-sites monitoring schemes

Plus en détail

INSCRIPTION, CLASSEMENT ET EMBALLAGE. Communication de l expert de l Afrique du Sud

INSCRIPTION, CLASSEMENT ET EMBALLAGE. Communication de l expert de l Afrique du Sud NATIONS UNIES ST Secrétariat Distr. GÉNÉRALE ST/SG/AC.10/C.3/2005/47 13 septembre 2005 FRANÇAIS Original: ANGLAIS COMITÉ D EXPERTS DU TRANSPORT DES MARCHANDISES DANGEREUSES ET DU SYSTÈME GÉNÉRAL HARMONISÉ

Plus en détail

Christophe SANNIER christophe.sannier@sirs-fr.com

Christophe SANNIER christophe.sannier@sirs-fr.com Systèmes d Information à Référence Spatiale Utilisation d un Estimateur de Régression avec des Données Landsat pour l Estimation de l Etendu et des Changements du Couvert Forestier du Gabon de 1990 à 2010

Plus en détail

Epargne et investissement

Epargne et investissement Epargne et investissement Nature du sujet : Sujet de type «mise en relation». Mots-clés / Définitions : Tous! «Epargne» : Part du revenu qui n est pas consommée Epargne des ménages : - Concept le plus

Plus en détail

Lindab Poutres climatiques. Terminaux à eau. Avantages Larges gammes de poutres certifiées EUROVENT

Lindab Poutres climatiques. Terminaux à eau. Avantages Larges gammes de poutres certifiées EUROVENT lindab poutres Avantages Larges gammes de poutres certifiées EUROVENT Eco-énergétique Applications Tertiaires (bureaux, hôpitaux, hôtels...) Modularité et design Neuf et rénovation Simplicité de montage

Plus en détail

Le Langage SQL version Oracle

Le Langage SQL version Oracle Université de Manouba École Supérieure d Économie Numérique Département des Technologies des Systèmes d Information Le Langage SQL version Oracle Document version 1.1 Mohamed Anis BACH TOBJI anis.bach@isg.rnu.tn

Plus en détail

OPTIMISATION DE LA MAINTENANCE DES EQUIPEMENTS DE MANUTENTION DU TERMINAL A CONTENEURS DE BEJAIA (BMT)

OPTIMISATION DE LA MAINTENANCE DES EQUIPEMENTS DE MANUTENTION DU TERMINAL A CONTENEURS DE BEJAIA (BMT) OPTIMISATION DE LA MAINTENANCE DES EQUIPEMENTS DE MANUTENTION DU TERMINAL A CONTENEURS DE BEJAIA (BMT) LAGGOUNE Radouane 1 et HADDAD Cherifa 2 1,2: Dépt. de G. Mécanique, université de Bejaia, Targa-Ouzemour

Plus en détail

Performances énergétiques de capteurs solaires hybrides PV-T pour la production d eau chaude sanitaire.

Performances énergétiques de capteurs solaires hybrides PV-T pour la production d eau chaude sanitaire. Performances énergétiques de capteurs solaires hybrides PV-T pour la production d eau chaude sanitaire. Patrick DUPEYRAT 1,2*, Yu BAI 3,4, Gérald KWIATKOWSKI 5, Gilles FRAISSE 3 Christophe MENEZO 2,3 et

Plus en détail

La méthode de régression par discontinuité et l évaluation des politiques de l emploi

La méthode de régression par discontinuité et l évaluation des politiques de l emploi La méthode de régression par discontinuité et l évaluation des politiques de l emploi Thomas Lemieux University of British Columbia Le 24 novembre 2009 Plan de la présentation La méthode de régression

Plus en détail

La Recherche du Point Optimum de Fonctionnement d un Générateur Photovoltaïque en Utilisant les Réseaux NEURO-FLOUS

La Recherche du Point Optimum de Fonctionnement d un Générateur Photovoltaïque en Utilisant les Réseaux NEURO-FLOUS Rev. Energ. Ren. : Chemss 2000 39-44 La Recherche du Point Optimum de Fonctionnement d un Générateur Photovoltaïque en Utilisant les Réseaux NEURO-FLOUS D.K. Mohamed, A. Midoun et F. Safia Département

Plus en détail

Recherche De Coalescences Binaires Étalonnage Du Détecteur

Recherche De Coalescences Binaires Étalonnage Du Détecteur Recherche De Coalescences Binaires Étalonnage Du Détecteur Fabrice Beauville Journées Jeunes Chercheurs 18/12/2003 Les Coalescences Binaires & VIRGO Système binaire d objets compacts (étoiles à neutrons,

Plus en détail