Coalition PLUS lance sa nouvelle campagne pour la PrEP partout
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- Jérôme Sévigny
- il y a 7 ans
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1 Coalition PLUS lance sa nouvelle campagne pour la PrEP partout Communiqué de presse : p.2 Témoignages : p. 4 Idées reçues sur la PrEP : p.5
2 PrEParons un monde sans sida! Coalition PLUS lance sa campagne pour la PrEP partout Communiqué de presse jeudi 14 avril 2016 A l occasion de la Conférence internationale francophone sur le VIH et les hépatites qui se tiendra à Bruxelles du 20 au 23 avril, Coalition PLUS, union internationale d associations communautaires de lutte contre le sida dans 15 pays, lance sa campagne pour un accès à la PrEP partout. La PrEP : c est quoi? La prophylaxie pré-exposition (PrEP) est un traitement préventif 1 qui empêche le virus du sida de se développer dans l organisme et protège ainsi de l infection à VIH. Elle est destinée aux personnes séronégatives mais exposées à un risque élevé d infection, telles que les hommes ayant des relations sexuelles avec d autres hommes, les travailleurses du sexe, les personnes transgenres ou encore les usageres de drogues par voie intraveineuse. Ce traitement préventif, lorsqu il est correctement utilisé, présente un taux de protection contre le VIH similaire à celui du préservatif. La PrEP n a pas pour but de se substituer aux autres moyens de prévention, mais vient se combiner à ceux déjà existants. La PrEP se destine aux personnes fortement exposées au VIH et qui, pour diverses raisons, n utilisent pas, ou pas systématiquement, le préservatif. Bintou Dembele, médecin et directrice de l association de lutte contre le sida ARCAD-SIDA au Mali, et administratrice de Coalition PLUS ajoute : «Prévenir aujourd hui, c est avoir moins de malades à traiter demain. L Organisation mondiale de la santé recommande d offrir la PrEP aux personnes à fort risque d infection. Combiné au préservatif, cet outil peut permettre d empêcher des millions de contaminations, si tant est qu il soit disponible partout. Les populations les plus vulnérables dans nos pays ne doivent pas être laissées pour compte!». La PrEP a fait ses preuves Depuis 2012, plus de 25 essais cliniques ont été lancés dans divers pays du Nord et du Sud, tels que IPREX 2 en Afrique du Sud et sur le continent américain ou PrEP Partners 3 en Ouganda et au Kenya. Leurs résultats ont prouvé l efficacité préventive de la PrEP. En France, l essai Ipergay 4 a révélé que le risque de contamination baissait de 86% chez les personnes sous PrEP. Aurélien Beaucamp, président de AIDES, membre français de Coalition PLUS, rappelle : «Les résultats de l essai Ipergay mené conjointement par l ANRS et AIDES et nos efforts auprès des autorités de santé [ministère et agence du médicament] ont permis de rendre accessible ce nouvel outil de prévention qui protège considérablement du risque de contamination à VIH». 1 La PrEP est une combinaison antirétrovirale de tenofovir disoproxil fumarate (TDF) et emtricitabine (FTC). 2 L étude IPREX a été réalisée au Pérou, Brésil, Equateur, Etats- Unis, Afrique du Sud et Thaïlande auprès de hommes ayant des relations sexuelles avec les hommes et femmes trans, et a montré une réduction de la transmission de 92% chez les personnes prenant le traitement quotidiennement. 3 L étude PrEP Partners, menée auprès de couples sérodiscordants au Kenya et Ouganda, a montré une efficacité de 90% chez les personnes adhérentes 4 L essai Ipergay a été mené à partir de 2012 par l ANRS (Agence nationale de recherche sur le sida et les hépatites virales) et AIDES, auprès de 414 hommes ayant des relations sexuelles avec d autres hommes (HSH)
3 La PrEP : on la veut partout! En tant qu union d organisations communautaires de lutte contre le sida basées au Nord et au Sud, Coalition PLUS considère que la PrEP est un outil de prévention indispensable pour parvenir à la fin de l épidémie d ici à 2030 comme s y est engagée la communauté internationale 5. Pourtant, elle n est aujourd hui disponible qu en France, aux Etats-Unis, au Canada et au Kenya. La PrEP, au même titre que les traitements et les autres moyens de prévention, doit être disponible partout. Non seulement dans les pays riches, mais aussi dans les pays en développement et en particulier en Afrique subsaharienne où se concentrent 66% des nouvelles infections 6. Dans un article publié dans la revue scientifique du Lancet 7, chercheurs et médecins de Coalition PLUS l affirment : l Afrique subsaharienne est prête à l introduction de la PrEP dans le cadre de centres de santé sexuelle communautaires proposant une offre de prévention globale, illimitée et gratuite aux populations les plus vulnérables au VIH. La PrEP : un investissement pour en finir avec le sida En réduisant les nouvelles infections, l introduction de la PrEP dans la gamme des outils de prévention disponibles au Nord comme au Sud permettrait de faire des économies substantielles sur le long terme. Coalition PLUS appelle tous les Etats à autoriser la PrEP et à mobiliser les investissements financiers nécessaires pour un monde sans sida d ici «Nous exigeons que la PrEP soit disponible au Nord comme au Sud, pour toutes les personnes qui sans cet outil risquent d être contaminées par le virus», interpelle Hakima Himmich, présidente de Coalition PLUS. «A l automne prochain, les Etats développés devront annoncer leur contribution au Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme : une occasion unique pour augmenter les investissements financiers internationaux et permettre, en plus de l accessibilité aux traitements, la mise en place de dispositifs de prévention dont la PrEP fait partie». 5 La fin du sida fait partie des Objectifs du Développement Durable adoptés l an dernier par l ONU, succédant aux Objectifs du Millénaire pour le Développement. 6 Données ONUSIDA 7 «Is sub- Saharan Africa ready for pre- exposure prophylaxis?», Adeline Bernier, Jeanne Gapiya, Aliou Sylla, Camille Anoma, Martine Somda, Elias Dah, Jorge Flores Aranda, Hakima Himmich, Lancet, avril 2016,
4 Témoignages Thibault France : volontaire pour l essai Ipergay : «Prendre un comprimé et être protégé du VIH, cela paraissait impossible, beaucoup trop simple pour être vrai Et puis est venu ce jour de novembre où j ai reçu du Truvada Ne plus avoir peur lors des relations sexuelles a changé ma vie. Mon regard sur les personnes vivant avec le VIH est maintenant très différent, le statut sérologique n a plus d importance. Il est urgent que ceux qui en ont besoin ait accès à ce traitement, je réalise la chance que j ai d en disposer aujourd hui en France. Tout le monde mérite une sexualité débarrassée du risque d infection par le VIH». Serge Douomong Yotta Cameroun : directeur exécutif d Affirmative (association de lutte contre le sida auprès des groupes vulnérables au VIH) et porte-parole du réseau Africagay (comptant 18 associations identitaires et de lutte contre le sida basées dans 10 pays d Afrique) : «C est injuste que les homosexuels au Nord aient accès à plusieurs outils de prévention alors qu au Sud, nous n avons que le préservatif pour nous protéger du VIH. Pourtant, nous avons la même sexualité, les mêmes pratiques et revendiquons les mêmes droits. Dans la communauté gay du Cameroun, et notamment parmi ceux qui ont une sexualité très intense, on se rend compte que le préservatif n est plus autant utilisé qu avant. Il y a une certaine lassitude. Or, le risque d infection au VIH reste très élevé. A Yaoundé, 44% des hommes ayant des relations sexuelles avec d autres hommes sont porteurs du VIH. Un taux qui ne baisse plus depuis C est donc en offrant une alternative au préservatif, telle que la PrEP, qu on sera capable de réduire les nouvelles infections. Il est urgent d agir pour sauver des vies». Fodié Diallo Mali : médecin à ARCAD-SIDA, association de lutte contre le VIH au Mali : «Dans le cadre d un projet clinique en partenariat avec l hôpital parisien de la Salpêtrière où j accompagnais sur 3 ans une vingtaine de couples sérodifférents en désir d enfants, j ai prescrit la PrEP aux partenaires séronégatifs après avoir fait chuter la baisse virale chez le partenaire séropositif au point de la rendre indétectable. Le protocole était précis. La prise de la PrEP devait s effectuer deux jours avant le rapport sexuel non protégé et deux jours après. Résultat, aucune infection n a été constatée et seuls deux couples n ont pas réussi à avoir d enfant. Cela m a convaincu de l utilité de la PrEP. Il y a une réelle demande notamment du côté des hommes qui fréquentent régulièrement les professionnelles du sexe. Après en avoir parlé à l occasion de la Journée mondiale contre le sida, nous avons reçu beaucoup de questions sur notre site internet. J ai même eu des patients qui m ont avoué qu ils s étaient procuré de la PrEP et m ont demandé ce que j en pensais. Ils sont arrivés dans mon bureau avec les boîtes de médicament vides! Je pense qu il est urgent de légaliser la PrEP et d encadrer sa prescription pour qu elle soit délivrée dans de bonnes conditions à ceux qui ont en besoin». Alou Coulibaly - Mali : médecin à ARCAD- SIDA «Dans le cadre d une étude clinique, j accompagne 200 hommes séronégatifs ayant des relations sexuelles avec d autres hommes. En moins d un an, 4 ont été infectés au VIH et sont désormais mis sous traitement. Avec la PrEP, ces contaminations auraient pu être évitées. Les méthodes classiques de prévention ne sont pas suffisantes. Mieux vaut investir en amont dans la prévention innovante et ciblée que de payer à vie des traitements»
5 Idées reçues sur la PrEP La PrEP va entraver les efforts déjà réalisés sur les méthodes de prévention traditionnelles et perturber les patients. La PrEP est simplement un outil de prévention supplémentaire qui s inscrit dans le cadre d une prévention combinée. Il n est pas question de substituer la PrEP au préservatif et de faire arrêter le préservatif à ceux qui l utilisent et à qui il convient. La PrEP se destine aux personnes qui, pour diverses raisons, n utilisent actuellement pas le préservatif ou pas systématiquement (par exemple: professionnelles du sexe subissant des contraintes dans le port du préservatif en raison de pressions policières ou de la part de clientes, pressions à la non-utilisation du préservatif par des partenaires dont le statut n est pas connu, réticences à l utilisation chez des couples sérodiscordants ou HSH8 pour des raisons de confort). Les médecins ne doivent pas être en retard par rapport aux patients : la PrEP est désormais connue et est disponible de manière «sauvage», par détournement de l usage d antirétroviraux (ART) (obtenus par des séropositifs sous traitement Truvada) ou directement sur internet. L utilisation de la PrEP sauvage comporte des risques, qu il faut devancer en proposant un cadre sécurité et un suivi adapté des personnes. La PrEP est une incitation à la prise de risque qui va favoriser les IST9 La mise en place de la PrEP s accompagne d un cadre de santé sexuelle : prescription, visites médicales régulières (au minimum une fois par trimestre), counselling et dépistage VIH et IST. Les patients s approprient les limites de la PrEP, et le dépistage fréquent permet de prendre en charge tôt les IST éventuelles. L étude Ipergay10 n a pas montré une désinhibition sexuelle chez les participants11. La PrEP est un confort qui coûte cher. Dans des contextes où le traitement antirétroviral n est pas toujours disponible, il n est ni prioritaire ni éthique de prescrire la PrEP. Le coût de la PrEP est un problème distinct qui ne doit pas constituer un argument d arbitrage entre prévention et traitement. Les deux doivent aller de pair si l on veut aller vers la fin de l épidémie. La PrEP bon-marché peut être obtenue par négociation des prix et management de la propriété intellectuelle pour l accès à des versions génériques. La PrEP générique est déjà largement disponible et coûte autour de 60 euros par patient et par an. Selon les études, la PrEP ciblée pour les populations à haut risque permettrait en réalité des économies sur le long-terme12 : la PrEP est coût-effective si elle est offerte aux personnes diagnostiquées avec une IST durant les trois mois précédents, et permet des économies si elle est offerte à ceux qui ont eu au moins 5 rapports sexuels non-protégés durant une période de 8 Hommes ayant des relations sexuelles avec d autres hommes Infections sexuellement transmissibles 10 L étude Ipergay a été menée dès 2012 par l ANRS (France Recherche Nord&Sud Sida- HIV Hépatites) et AIDES, sur 414 HSH. 11 Sagaon- Teyssier, AIDS Care Cambiano V et al. Is pre- exposure prophylaxis for HIV prevention cost- effective in men who have sex with men who engage in condomless sex in the UK? BASHH, Glasgow Contacts presse : Sophie Baillon : sbaillon@coalitionplus.org Camille Sarret : csarret@coalitionplus.org
6 trois mois au cours de l année précédente (1 900 millions d euros minimum économisés sur 80 ans). Le Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme réunira cet automne tous les Etats développés pour qu ils annoncent le montant de leur contribution financière pour les trois prochaines années. Le Fonds mondial est le principal financeur des traitements et de la prévention contre le sida dans les pays à revenu faible et intermédiaire. Prévenir aujourd hui c est avoir moins de patients à traiter demain. Tous les acteurs doivent augmenter leurs investissements financiers contre le sida. Tous les Etats développés doivent contribuer à rendre accessibles les nouveaux outils de prévention et de soin contre le sida, dont la PrEP à toutes celles et ceux qui en besoin, au Nord comme au Sud, à l instar de la Commission européenne qui a annoncé une contribution au Fonds mondial en hausse de 27% sur les trois prochaines années. La PrEP c est bien, mais pas pour tout le monde. Elle n est pas adaptée aux contextes au Sud. L offre de PrEP est adaptable aux différents contextes. Après avoir recommandé la PrEP uniquement aux HSH, l Organisation mondiale de la santé (OMS) a élargi en novembre dernier sa recommandation à toutes les populations à haut risque de contracter le VIH afin de «permettre à une plus large gamme de populations de bénéficier de la PrEP et à l'offre de PrEP d être basée sur l'évaluation personnelle»13. C est parce que les contextes sont différents, et que ce qui fonctionne chez l un ne fonctionne pas forcément chez l autre, qu il est recommandé par l OMS de mettre en place des projets de recherche opérationnelle sur la PrEP, pour voir comment la PrEP peut être mise en place, pour quelles populations, et évaluer son acceptabilité. C est en essayant que nous aurons les réponses. Le contexte ne doit pas constituer un argument pour refuser la PrEP, les populations les plus vulnérables au VIH au Sud ne doivent pas être laissées pour compte et doivent bénéficier des mêmes outils que les pays du Nord. La PrEP est un médicament qui peut entraîner des effets secondaires, le risque zéro n existe pas. Il est déraisonnable de prescrire un traitement préventif à la légère alors que d autres moyens de prévention existent. La PrEP s accompagne d un suivi régulier qui permet de suivre la réaction des patients au traitement. Les effets secondaires sont connus et réversibles dès l arrêt de la prise du traitement. Bientôt nous aurons des traitements moins lourds. Des études sont en train de tester d autres antirétroviraux pour utilisation en traitement préventif. Les arguments anti-prep sont similaires à ceux qui étaient avancés contre la pillue contraceptive. Or, aujourd hui on ne s oppose plus à la pilule en raison de l immense ratio bénéfice/coût pour la santé publique. 13 OMS, Lignes directrices consolidées sur l utilisation d ARV pour traiter et prévenir l infection à VIH, novembre Contacts presse : Sophie Baillon : sbaillon@coalitionplus.org Camille Sarret : csarret@coalitionplus.org
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