A PROPOS DES RECOMMANDATIONS FRANÇAISES
|
|
- Louis Mercier
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 OSTEOPOROSE A PROPOS DES RECOMMANDATIONS FRANÇAISES SAERM MAI 2004 Professeur H. DJOUDI EHS DOUERA
2
3 L ostéoporose est une maladie diffuse du squelette, caractérisée par une diminution de la résistance osseuse entraînant un risque accru de fracture
4 Fractures ostéoporotiques surviennent après un traumatisme de faible énergie. (Chute de sa hauteur) Crâne, os de la face, rachis cervical, 3 premières vertèbres thoraciques le + souvent tumorales ou traumatiques DEUX TYPES DE FACTURE.
5 FRACTURES SEVERES ESP, ESH,Fémur distal, Tibia proximal, 3 côtes simultanées, Bassin, Vertèbres. ( associées à une augmentation significative de la mortalité) - Bliuc D et al. Mortality risk associated with low trauma osteoporo tic fracture and subsequent fracture in men and women. Jama 2009;301: Cooper C, et al. 1993;Am J Epidemiol 137(3):1001
6 FRACTURES NON SEVERES, AUTRES Avant bras (poignet) et autres sites
7 EN ABSENCE DE FRACTURE EVALUATION DU RISQUE DE FRACTURE AGE ANTECEDENTS PERSONNELS DE FRACTURE FACTEURS DE RISQUE DE CHUTES + DMO FACTEURS DE RISQUE DE L OSTEOPOROSE
8 EN DEHORS DE FRACTURE EVALUATION DU RISQUE DE FRACTURE AGE ANTECEDENTS PERSONNELS DE FRACTURE FACTEURS DE RISQUE DE CHUTES + DMO FACTEURS DE RISQUE DE L OSTEOPOROSE
9 Prévalence des fractures 1 femme / 3 après 50 ans 1 femme / 2 après 60 ans augmentation exponentielle du risque avec l âge : 100% des femmes >90 ans ont au moins une fracture
10 Taux de fracture par 1000 Personne-année Nombre de fractures PREVALENCE DES FRACTURES EN FONCTION DE LA DMO 1/3 Des fractures surviennent chez des sujets ostéopéniques Taux de fractures Nombre absolu de fractures Ostéopénie Siris et al. Arch Intern Med. 2004; 164: Intervention de facteurs autres que la DMO dans la survenue de la maladie ostéoporotique
11 EN DEHORS DE FRACTURE EVALUATION DU RISQUE DE FRACTURE AGE ANTECEDENTS PERSONNELS DE FRACTURE +++ FACTEURS DE RISQUE DE CHUTES + DMO FACTEURS DE RISQUE DE L OSTEOPOROSE
12 ANTECEDENTS PERSONNELS DE FRACTURE +++ Facteur le plus important de nouvelles fractures Risque conséquent dans les 2 à 3 ans suivant la fracture
13 Risque relatif (RR) Cascade fracturaire 2 EME fracture : avant 5 ans ( 80% ). 3 EME fracture : avant 3 ans ( 80% ). Les fractures vertébrales existantes constituent un facteur de risque de fractures ultérieures 8 RR 7, RR 4,7 RR 5, Ettinger 3 ans Black 3,7 ans Ross 3 ans Ettinger B, et al. JAMA 1999 Black DM, et al. J Bone Miner Res 1999 Ross PD, et al. Osteoporos Int 1993
14 ANTECEDENTS PERSONNELS DE FRACTURE +++ Possible jusqu à 10 à 15 ans en cas de fractures de ESF, humérus, vertèbre
15 Recherche de fractures vertébrales Evaluation morphologique - Radiographies standards - VFA par absorptiométrie biphotonique à rayons X - dorsalgies - Perte de taille ± = 4cm (/ âge de 20ans) Perte de taille ± 2 cm - atcd fracture vertébrale
16 Recherche de fractures vertébrales Evaluation morphologique - Radiographies standards - VFA par absorptiométrie biphotonique à rayons X - dorsalgies - Perte de taille ± = 4cm (/ âge de 20ans) Perte de taille ± 2 cm - atcd fracture vertébrale
17 Recherche de fractures vertébrales Evaluation morphologique - Radiographies standards - VFA par absorptiométrie biphotonique à rayons X - dorsalgies - Perte de taille ± = 4cm (/ âge de 20ans) Perte de taille ± 2 cm - atcd fracture vertébrale
18 EN DEHORS DE FRACTURE EVALUATION DU RISQUE DE FRACTURE AGE ANTECEDENTS PERSONNELS DE FRACTURE FACTEURS DE RISQUE DE CHUTES + DMO FACTEURS DE RISQUE DE L OSTEOPOROSE
19 En l absence d antécédents de chute dans l année précédente Rechercher
20 FACTEURS DE RISQUE DE CHUTES
21 TESTS DE DEPISTAGE - Get up and go 20 secondes - Appui uni podal 5 secondes - Test de la poussée sternale
22 EN DEHORS DE FRACTURE EVALUATION DU RISQUE DE FRACTURE AGE ANTECEDENTS PERSONNELS DE FRACTURE FACTEURS DE RISQUE DE CHUTES FACTEURS DE RISQUE DE L OSTEOPOROSE + DMO
23 FACTEURS DE RISQUE DE FRACTURE
24 EN DEHORS DE FRACTURE EVALUATION DU RISQUE DE FRACTURE AGE ANTECEDENTS PERSONNELS DE FRACTURE FACTEURS DE RISQUE DE CHUTES FACTEURS DE RISQUE DE L OSTEOPOROSE + DMO
25 INDICATIONS REMBOURSEES DE LA DMO
26 Estimation du risque absolu de fracture. Outil FRAX - Quantification du risque de fracture
27 OUTIL FRAX 12 items Probabilité de survenue d une fracture de l ostéoporose majeure (fémur, poignet, humérus, tassement vertébral) dans les dix ans à venir
28
29 Insuffisances de FRAX Pas de dose réponse pour différents facteurs Pas de prise en compte du risque plus élevé des fractures vertébrales Pas de prise en compte de la densité au rachis lombaire Pas de prise en compte de certains facteurs de risque en particulier du risque de chute Pas de prise en compte des marqueurs du remodelage Applicabilité à tous les pays
30 Valeur de FRAX justifiant un traitement Fonction du niveau de ressource du pays et du coût du traitement En Grande Bretagne, en utilisant l alendronate générique, on estime que le traitement est justifié économiquement pour un FRAX > 7% pour toutes fractures ostéoporotiques Pas de seuil validé
31 Valeur de FRAX justifiant un traitement Fonction du niveau de ressource du pays et du coût du traitement En Grande Bretagne, en utilisant l alendronate générique, on estime que le traitement est justifié économiquement pour un FRAX > 7% pour toutes fractures ostéoporotiques Pas de seuil validé
32 Valeur de FRAX justifiant un traitement Fonction du niveau de ressource du pays et du coût du traitement En Grande Bretagne, en utilisant l alendronate générique, on estime que le traitement est justifié économiquement pour un FRAX > 7% pour toutes fractures ostéoporotiques Pas de seuil validé
33 Seuil d intervention
34 Valeur de FRAX qui correspond au risque calculé des femmes de même âge ayant fait une fracture Risque de fracture Majeure % Seuil d intervention thérapeutique Seuil d intervention en fonction de la valeur du FRAX pour fracture majeure de l ostéoporose selon l âge pour la France
35 SITUATIONS PARTICULIERES - CHIFFRES LIMITES
36 Utilisation de FRAX en fonction de l âge Risque de fracture Majeure % Seuil d intervention thérapeutique Seuil d intervention en fonction de la valeur du FRAX pour fracture majeure de l ostéoporose selon l âge pour la France
37 SITUATIONS PARTICULIERES - PAS DE FRAX
38 AUTRE OUTIL TBS
39 TBS MED IMAPS TBS
40 TBS r=-0.66 r=0.76 r=0.86 BMD = 1 BMD = 1 BMD = 1 TBS1 < TBS2 < TBS3
41 TBS INPUT DXA_TBS OUTPUT TBS algorithm TBS mapping AP spine Examination Image processing TBS index TBS L1-L4 = TBS MED IMAPS
42 TBS TBS scale Relative risk scale Normative curve TBS=f(Age) +/- 1 SD around the mean value Doubled risk line Patient s TBS value
43 TRAITEMENT Molécules (études contrôlées,randomisées contre placebo)
44 OBJECTIF DU TRAITEMENT Prévenir la survenue de FRACTURES dans les 5 à 10 ans
45
46 Nouvelles classes de molécules. Anticorps monoclonal humain anti RANK-L. Dénosumab Odanacatib ( produit inhibiteur de la Catepsine K) Bloquerai la résorption osseuse et augmenterai la densité osseuse lombaire et hanche (testé chez femmes ménopausées ostéoporotiques ou ostéopéniques). Calcilytiques: bloquent les récepteurs du Ca des cellules parathyroïdiennes Ronacalceret Anticorps anti-dkk1 antisclérostine
47
48 STRATEGIE THERAPEUTIQUE
49 FRACTURE NON TRAUMATIQUE D ORIGINE OSTEOPOROTIQUE Fractures sévères: ESP, ESH,Fémur distal, Tibia proximal, 3 côtes simultanées, Bassin, Vertèbres. Fractures non sévères: poignet et autres sites FACTEURS DE RISQUE D OSTEOPOROSE OU FACTEURS DE RISQUE ELEVE DE CHUTE
50 FRACTURE NON TRAUMATIQUE D ORIGINE OSTEOPOROTIQUE Fractures sévères: ESP, ESH,Fémur distal, Tibia proximal, 3 côtes simultanées, Bassin, Vertèbres. Fractures non sévères: poignet et autres sites FACTEURS DE RISQUE D OSTEOPOROSE OU FACTEURS DE RISQUE ELEVE DE CHUTE
51
52 Bisphosphonates : - Acide zolédronique (en première intention chez des patients avec FESF) - Alendronate, Risédronate, Denosumab (en 2 ème intention en relais des bisphosphonates) Ranélate de strontium Tériparatide (remboursé si présence d au moins 2 fractures vertébrales) Lyles KW, Colon-EmericCS, Magaziner JS, et al. Zoledronic acid and clinical fractures and mortality after hip fracture. N Engl J Med 2007;357:
53 FRACTURE NON TRAUMATIQUE D ORIGINE OSTEOPOROTIQUE Fractures sévères: ESP, ESH,Fémur distal, Tibia proximal, 3 côtes simultanées, Bassin, Vertèbres. Fractures non sévères: poignet et autres sites FACTEURS DE RISQUE D OSTEOPOROSE OU FACTEURS DE RISQUE ELEVE DE CHUTE
54
55 Bisphosphonates : - Acide zolédronique, Alendronate, Risédronate. - Ibandronate réservé aux sujets à faible risque de fracture périphérique âge <70 ans ou. absence des facteurs de risque suivants :. T score fémoral -3,. risque élevé de chutes,. antécédent de fracture non vertébrale. Denosumab (2ème intention en relais des bisphosphonates) Raloxifène : à réserver aux sujets à faible risque de fracture périphérique : âge <70 ans ou absence des facteurs de risque suivants : T score fémoral - 3, risque élevé de chutes, antécédent de fracture non vertébrale) Ranélate de strontium Tériparatide (si présence d au moins de 2 fractures vertébrales)
56 Bisphosphonates : - Acide zolédronique, Alendronate, Risédronate. - Ibandronate réservé aux sujets à faible risque de fracture périphérique : âge <70 ans ou absence des facteurs de risque suivants : T score fémoral -3, risque élevé de chutes, antécédent de fracture non vertébrale) Denosumab (2ème intention en relais des bisphosphonates) Raloxifène : à réserver aux sujets à faible risque de fracture périphérique : âge <70 ans ou absence des facteurs de risque suivants : T score fémoral -3, risque élevé de chutes, antécédent de fracture non vertébrale) Ranélate de strontium Tériparatide (si présence d au moins de 2 fractures vertébrales)
57 Bisphosphonates : - Acide zolédronique, Alendronate, Risédronate. - Ibandronate réservé aux sujets à faible risque de fracture périphérique : âge <70 ans ou absence des facteurs de risque suivants : T score fémoral -3, risque élevé de chutes, antécédent de fracture non vertébrale) Denosumab (2ème intention en relais des bisphosphonates) Raloxifène : à réserver aux sujets à faible risque de fracture périphérique : âge <70 ans ou absence des facteurs de risque suivants : T score fémoral -3, risque élevé de chutes, antécédent de fracture non vertébrale. Ranélate de strontium Tériparatide (si présence d au moins de 2 fractures vertébrales)
58 Bisphosphonates : - Acide zolédronique, Alendronate, Risédronate. - Ibandronate réservé aux sujets à faible risque de fracture périphérique : âge <70 ans ou absence des facteurs de risque suivants : T score fémoral -3, risque élevé de chutes, antécédent de fracture non vertébrale) Denosumab (2ème intention en relais des bisphosphonates) Raloxifène : à réserver aux sujets à faible risque de fracture périphérique : âge <70 ans ou absence des facteurs de risque suivants : T score fémoral -3, risque élevé de chutes, antécédent de fracture non vertébrale) Ranélate de strontium Tériparatide (si présence d au moins de 2 fractures vertébrales)
59 Bisphosphonates : - Acide zolédronique, Alendronate, Risédronate. - Ibandronate réservé aux sujets à faible risque de fracture périphérique : âge <70 ans ou absence des facteurs de risque suivants : T score fémoral -3, risque élevé de chutes, antécédent de fracture non vertébrale) Denosumab (2ème intention en relais des bisphosphonates) Raloxifène : à réserver aux sujets à faible risque de fracture périphérique : âge <70 ans ou absence des facteurs de risque suivants : T score fémoral -3, risque élevé de chutes, antécédent de fracture non vertébrale) Ranélate de strontium Tériparatide (si présence d au moins de 2 fractures vertébrales)
60 Traitement hormonal de la ménopause (THM) (50 à 60 ans), si - troubles du climatère et - ménopause récente et - intolérance ou - échec des autres traitements Si doses < aux doses recommandées pour protection osseuse, possibilité d ajouter un traitement anti ostéoporotique, si DMO reste basse ( 2 à 3 ans de traitement).
61 Traitement hormonal de la ménopause (THM) (50 à 60 ans), si - troubles du climatère et - ménopause récente et - intolérance ou - échec des autres traitement Si doses < aux doses recommandées pour protection osseuse, possibilité d ajouter un traitement anti ostéoporotique, si DMO reste basse ( 2 à 3 ans de traitement).
62 FRACTURE NON TRAUMATIQUE D ORIGINE OSTEOPOROTIQUE Fractures sévères: ESP, ESH,Fémur distal, Tibia proximal, 3 côtes simultanées, Bassin, Vertèbres. Fractures non sévères: poignet et autres sites FACTEURS DE RISQUE D OSTEOPOROSE OU FACTEURS DE RISQUE ELEVE DE CHUTE
63
64 ET EN L ABSENCE DE FRACTURE
65
66 OBJECTIF : Réduire le risque de première fracture dans les 5 à 10 ans
67 Fractures non sévères: poignet et autres sites ABSENCE DE FRACTURE DMO
68 T score < ou = -3 Traitement recommandé.
69
70
71 Bisphosphonates : acide zolédronique, alendronate, risédronate. - Ibandronate à réserver aux sujets à faible risque de fracture périphérique : âge <70 ans ou absence des facteurs de risque suivants : T score fémoral -3, risque élevé de chutes, antécédent de fracture non vertébrale) Denosumab (2ème intention en relais des bisphosphonates) Raloxifène : à réserver aux sujets à faible risque de fracture périphérique : âge <70 ans ou absence des facteurs de risque suivants : T score fémoral -3, risque élevé de chutes, antécédent de fracture non vertébrale) Ranélate de strontium Tériparatide (si présence d au moins de 2 fractures vertébrales) Traitement hormonal de la ménopause (THM) si troubles du climatère et ménopause récente.
72 T score > -3. Calcul de FRAX et Seuil d intervention en fonction de l âge.
73
74 Bisphosphonates : acide zolédronique, alendronate, risédronate. - Ibandronate à réserver aux sujets à faible risque de fracture périphérique : âge <70 ans ou absence des facteurs de risque suivants : T score fémoral -3, risque élevé de chutes, antécédent de fracture non vertébrale) Denosumab (2ème intention en relais des bisphosphonates) Raloxifène : à réserver aux sujets à faible risque de fracture périphérique : âge <70 ans ou absence des facteurs de risque suivants : T score fémoral -3, risque élevé de chutes, antécédent de fracture non vertébrale) Ranélate de strontium Tériparatide (si présence d au moins de 2 fractures vertébrales) Traitement hormonal de la ménopause (THM) si troubles du climatère et ménopause récente.
75 DURÉE DU TRAITEMENT
76 Durée du traitement Théorique. Age Rémanence d effet du traitement Tolérance osseuse et générale du traitement Evolution sous traitement
77 Durée du traitement Théorique. Age Rémanence d effet du traitement Tolérance osseuse et générale du traitement Evolution sous traitement
78 Durée du traitement Théorique. Age Rémanence d effet du traitement Tolérance osseuse et générale du traitement Evolution sous traitement
79 Durée du traitement Théorique. Age Rémanence d effet du traitement Tolérance osseuse et générale du traitement Evolution sous traitement
80 Durée du traitement Théorique. 10 ans Alendronate 7 ans Risedronate 10 ans Ranélate de strontium 8 ans Raloxifène 6 ans Acide zolédronique 18 mois Tériparatide 5 ans Denosumab
81 Durée du traitement Théorique. 10 ans Alendronate 7 ans Risedronate 10 ans Ranélate de strontium 8 ans Raloxifène 6 ans Acide zolédronique 18 mois Tériparatide 5 ans Denosumab
82 Durée du traitement Théorique. 10 ans Alendronate 7 ans Risedronate 10 ans Ranélate de strontium 8 ans Raloxifène 6 ans Acide zolédronique 18 mois Tériparatide 5 ans Denosumab
83 Durée du traitement Théorique. 10 ans Alendronate 7 ans Risedronate 10 ans Ranélate de strontium 8 ans Raloxifène 6 ans Acide zolédronique 18 mois Tériparatide 5 ans Denosumab
84 Durée du traitement Théorique. 10 ans Alendronate 7 ans Risedronate 10 ans Ranélate de strontium 8 ans Raloxifène 6 ans Acide zolédronique 18 mois Tériparatide 5 ans Denosumab
85 Durée du traitement Théorique. 10 ans Alendronate 7 ans Risedronate 10 ans Ranélate de strontium 8 ans Raloxifène 6 ans Acide zolédronique 18 mois Tériparatide 5 ans Denosumab
86 Durée du traitement Théorique. 10 ans Alendronate 7 ans Risedronate 10 ans Ranélate de strontium 8 ans Raloxifène 6 ans Acide zolédronique 18 mois Tériparatide 5 ans Denosumab
87 EVALUATION DU TRAITEMENT Indication de poursuite basée sur arguments - Cliniques : âge, survenue de fracture sous traitement, nouveaux facteurs de risque, perte de taille - Mesure DMO de fin de traitement/ début - Evaluation morphologique du rachis ( radio rachidienne, VFA en cas de dorsalgies ou de perte de taille 2cm - Dosage marqueurs de résorption(+/-)
88 EVALUATION DU TRAITEMENT Indication de poursuite basée sur arguments - Cliniques : âge, survenue de fracture sous traitement, nouveaux facteurs de risque, perte de taille - Mesure DMO de fin de traitement/ début - Evaluation morphologique du rachis ( radio rachidienne, VFA en cas de dorsalgies ou de perte de taille 2cm - Dosage marqueurs de résorption(+/-)
89 EVALUATION DU TRAITEMENT Indication de poursuite basée sur arguments - Cliniques : âge, survenue de fracture sous traitement, nouveaux facteurs de risque, perte de taille - Mesure DMO de fin de traitement/ début - Evaluation morphologique du rachis ( radio rachidienne, VFA en cas de dorsalgies ou de perte de taille 2cm - Dosage marqueurs de résorption(+/-)
90 EVALUATION DU TRAITEMENT Indication de poursuite basée sur arguments - Cliniques : âge, survenue de fracture sous traitement, nouveaux facteurs de risque, perte de taille - Mesure DMO de fin de traitement / début - Evaluation morphologique du rachis ( radio rachidienne, VFA en cas de dorsalgies ou de perte de taille 2cm - Dosage marqueurs de résorption(+/-)
91 EVALUATION DU TRAITEMENT Indication de poursuite basée sur arguments - Cliniques : âge, survenue de fracture sous traitement, nouveaux facteurs de risque, perte de taille - Mesure DMO de fin de traitement/ début - Evaluation morphologique du rachis - Radio rachidienne, - VFA en cas de - dorsalgies ou - perte de taille 2cm - Dosage marqueurs de résorption(+/-)
92 EVALUATION DU TRAITEMENT Indication de poursuite basée sur arguments - Cliniques : âge, survenue de fracture sous traitement, nouveaux facteurs de risque, perte de taille - Mesure DMO de fin de traitement/ début - Evaluation morphologique du rachis ( radio rachidienne, VFA en cas de dorsalgies ou de perte de taille 2cm - Dosage marqueurs de résorption(+/-)
93 EN PRATIQUE ARRET POSSIBLE APRES 5 ANS SI : Pas de fracture sous traitement Pas de nouveaux facteurs de risque Pas de diminution significative de DMO et en cas de fracture ostéoporotique sévère, Tscore fémoral de fin de traitement supérieur à -2,5
94 EN PRATIQUE ARRET POSSIBLE APRES 5 ANS SI : Pas de fracture sous traitement Pas de nouveaux facteurs de risque Pas de diminution significative de DMO et en cas de fracture ostéoporotique sévère, Tscore fémoral de fin de traitement supérieur à -2,5
95 EN PRATIQUE ARRET POSSIBLE APRES 5 ANS SI : Pas de fracture sous traitement Pas de nouveaux facteurs de risque Pas de diminution significative de DMO et en cas de fracture ostéoporotique sévère, Tscore fémoral de fin de traitement supérieur à -2,5
96 EN PRATIQUE ARRET POSSIBLE APRES 5 ANS SI : Pas de fracture sous traitement Pas de nouveaux facteurs de risque Pas de diminution significative de DMO En cas de fracture ostéoporotique sévère, T score fémoral de fin de traitement supérieur à -2,5
97 EN PRATIQUE ARRET POSSIBLE APRES 5 ANS SI : Pas de fracture sous traitement Pas de nouveaux facteurs de risque Pas de diminution significative de DMO En cas de fracture ostéoporotique sévère, T score fémoral de fin de traitement supérieur à -2,5
98 EN PRATIQUE CAS PAR CAS Réévaluation après 1 à 2 ans
99 Bisphosphonates? Quelle durée - Prise en compte des bénéfices et risques de continuer un traitement ou de l arrêter. Bisphosphonate therapy for osteoporosis: The long and short of it. Compston JE, Bilezikian JP J Bone Miner Res 2012, 27:
100 Quelle durée pour les traitements par bisphosphonates? Durée optimale du traitement ALN et RIS Traitement initial de 5 ans raisonnable Réévaluation du risque fracturaire à l issue, ( histoire de fracture et la DMO. -Si un congé thérapeutique est décidé, : Réévaluation du risque après 1 à 2 ans pour l ALN, après 1 an pour le RIS. ZOL Traitement 3 ans suffisant Réévaluation du besoin de traiter après 2 à 3 ans. Bisphosphonate therapy for osteoporosis: The long and short of it. Compston JE, Bilezikian JP J Bone Miner Res 2012, 27:
101 Quelle durée pour les traitements par bisphosphonates? Durée optimale du traitement ALN et RIS Traitement initial de 5 ans raisonnable Réévaluation du risque fracturaire à l issue, ( histoire de fracture et la DMO. -Si un congé thérapeutique est décidé, : Réévaluation du risque après : 1 à 2 ans ALN, 1 an pour RIS. ZOL Traitement 3 ans suffisant Réévaluation du besoin de traiter après 2 à 3 ans. Bisphosphonate therapy for osteoporosis: The long and short of it. Compston JE, Bilezikian JP J Bone Miner Res 2012, 27:
102 Quelle durée pour les traitements par bisphosphonates? Durée optimale du traitement ALN et RIS Traitement initial de 5 ans raisonnable Réévaluation du risque fracturaire à l issue, ( histoire de fracture et la DMO. -Si un congé thérapeutique est décidé, : Réévaluation du risque après : 1 à 2 ans ALN, 1 an RIS. ZOL Traitement 3 ans suffisant Réévaluation du besoin de traiter après 2 à 3 ans. Bisphosphonate therapy for osteoporosis: The long and short of it. Compston JE, Bilezikian JP J Bone Miner Res 2012, 27:
103 Quelle durée pour les traitements par bisphosphonates? Durée optimale du traitement ALN et RIS Traitement initial de 5 ans raisonnable Réévaluation du risque fracturaire à l issue, ( histoire de fracture et la DMO. -Si un congé thérapeutique est décidé, : Réévaluation du risque après 1 à 2 ans pour l ALN, après 1 an pour le RIS. ZOL Traitement 3 ans suffisant Réévaluation du besoin de traiter après 2 à 3 ans. Bisphosphonate therapy for osteoporosis: The long and short of it. Compston JE, Bilezikian JP J Bone Miner Res 2012, 27:
104 Quelle durée pour les traitements par bisphosphonates? Durée optimale du traitement ALN et RIS Traitement initial de 5 ans raisonnable Réévaluation du risque fracturaire à l issue, ( histoire de fracture et la DMO. -Si un congé thérapeutique est décidé, : Réévaluation du risque après 1 à 2 ans pour l ALN, après 1 an pour le RIS. ZOL Traitement 3 ans suffisant Réévaluation du besoin de traiter après 2 à 3 ans. Bisphosphonate therapy for osteoporosis: The long and short of it. Compston JE, Bilezikian JP J Bone Miner Res 2012, 27:
105 Denosumab : effet anti-fracturaire - Résultats à 5 ans (FREEDOM) Traitement par Dmab pendant 5 ans: Maintient la diminution du remodelage Augmente la DMO Associé à des taux bas de fractures Bonne tolérance à long terme. Five years of denosumab exposure in women with postmenopausal osteoporosis: Results from the first two years of the FREEDOM extension. Papapoulos S et al. J Bone Miner Res. 2012; 27:
106 Seeman E, Delmas PD, Hanley DA, et al. (2010) Microarchitectural deterioration of cortical and trabecular bone: Differing effects of denosumab and alendronate. J Bone Miner Res 25: Denosumab Réversibilité de l effet du traitement par Dmab. Retour aux niveaux pré-traitement du remodelage osseux après arrêt du Dmab, la réversibilité de l effet du traitement par Dmab. Cummings SR, San Martin J, McClung MR, et al. (2009) Denosumab for Prevention of Fractures in Postmenopausal Women with Osteoporosis. N Engl J Med 361: Brown JP, Prince RL, Deal C, et al. (2009) Comparison of the Effect of Denosumab and Alendronate on BMD and Biochemical Markers of Bone Turnover in Postmenopausal Women With Low Bone Mass: A Randomized, Blinded, Phase 3 Trial. J Bone Miner Res 24:
107 Denosumab Réversibilité de l effet du traitement par Dmab. Retour aux niveaux pré-traitement du remodelage osseux après arrêt du Dmab, la réversibilité de l effet du traitement par Dmab. Cummings SR, San Martin J, McClung MR, et al. (2009) Denosumab for Prevention of Fractures in Postmenopausal Women with Osteoporosis. N Engl J Med 361: Brown JP, Prince RL, Deal C, et al. (2009) Comparison of the Effect of Denosumab and Alendronate on BMD and Biochemical Markers of Bone Turnover in Postmenopausal Women With Low Bone Mass: A Randomized, Blinded, Phase 3 Trial. J Bone Miner Res 24: Seeman E, Delmas PD, Hanley DA, et al. (2010) Microarchitectural deterioration of cortical and trabecular bone: Differing effects of denosumab and alendronate. J Bone Miner Res 25:
108 Denosumab DUREE RAISONNABLE : 5 ans REEVALUATION : 1 à 2 ANS Cummings SR, San Martin J, McClung MR, et al. (2009) Denosumab for Prevention of Fractures in Postmenopausal Women with Osteoporosis. N Engl J Med 361: Brown JP, Prince RL, Deal C, et al. (2009) Comparison of the Effect of Denosumab and Alendronate on BMD and Biochemical Markers of Bone Turnover in Postmenopausal Women With Low Bone Mass: A Randomized, Blinded, Phase 3 Trial. J Bone Miner Res 24: Seeman E, Delmas PD, Hanley DA, et al. (2010) Microarchitectural deterioration of cortical and trabecular bone: Differing effects of denosumab and alendronate. J Bone Miner Res 25:
109 TERIPARATIDE Dans tous les cas : 18 mois
110 APRES VACANCES THERAPEUTIQUES QUEL TRAITEMENT?
111 EN PLUS DANS TOUS LES CAS: - MAINTIEN DE L ACTIVITE PHYSIQUE - LUTTE CONTRE FACTEURS DE CHUTE - REGLES HYGIENO-DIETETIQUES (Calcium + Vit D )
112 EN PRATIQUE DANS TOUS LES CAS: - MAINTIEN DE L ACTIVITE PHYSIQUE - LUTTE CONTRE FACTEURS DE RISQUE DE CHUTE - REGLES HYGIENO-DIETETIQUES (Calcium + Vit D )
113 EN PRATIQUE DANS TOUS LES CAS: - MAINTIEN DE L ACTIVITE PHYSIQUE - LUTTE CONTRE FACTEURS DE RISQUE DE CHUTE - REGLES HYGIENO-DIETETIQUES (Calcium + Vit D )
114 CALCIUM Supplémentation calcique après évaluation de la ration calcique (Q Fardellone) Réduction significative de tous types de fractures ostéoporotiques chez 12% patients (63 897) Tang BM, Eslick GD, Nowson C. et al. Use of calcium or calcium in combination with vitamine D supplementation to prevent fractures and bone loss in people aged 50 years and older: a meta analysis. Lancet 2007;370:
115 Vitamine D et prévention des fractures : il n y a pas que l os, il y a aussi le muscle Administration de vitamine D permet d optimiser l action des bisphosphonates Combinaison alphacalcidol-alendronate associée à une diminution de l incidence des nouvelles fractures après deux ans (p < 0,02). Bénéfice imputable : à un effet osseux direct à une diminution significative du nombre de chute. De fait avec l âge, le nombre de chutes augmente avec la diminution de l expression des récepteurs à la vitamine D des myocytes. Un traitement par alpha-calcidol permet d augmenter le nombre et le diamètre des fibres musculaires de type II responsables des réactions rapides, de la force et de la fonction musculaires. Cet effet musculaire indiscutable contribue très certainement à la prévention des fractures en diminuant l incidence des chutes. Potential of alfacalcidol for reducing increased risk of falls and fractures. Ringe J.D, Schacht E Rheumatol Int 2009, 29,
116 Vitamine D et prévention des fractures : il n y a pas que l os, il y a aussi le muscle Administration de vitamine D permet d optimiser l action des bisphosphonates Combinaison alphacalcidol-alendronate associée à une diminution de l incidence des nouvelles fractures après deux ans (p < 0,02). Bénéfice imputable : à un effet osseux direct à une diminution significative du nombre de chute. De fait avec l âge, le nombre de chutes augmente avec la diminution de l expression des récepteurs à la vitamine D des myocytes. Un traitement par alpha-calcidol permet d augmenter le nombre et le diamètre des fibres musculaires de type II responsables des réactions rapides, de la force et de la fonction musculaires. Cet effet musculaire indiscutable contribue très certainement à la prévention des fractures en diminuant l incidence des chutes. Potential of alfacalcidol for reducing increased risk of falls and fractures. Ringe J.D, Schacht E Rheumatol Int 2009, 29,
117 Vitamine D et prévention des fractures : il n y a pas que l os, il y a aussi le muscle Administration de vitamine D permet d optimiser l action des bisphosphonates Combinaison alphacalcidol-alendronate associée à une diminution de l incidence des nouvelles fractures après deux ans (p < 0,02). Bénéfice imputable : à un effet osseux direct à une diminution significative du nombre de chute. De fait avec l âge, le nombre de chutes augmente avec la diminution de l expression des récepteurs à la vitamine D des myocytes. Un traitement par alpha-calcidol permet d augmenter le nombre et le diamètre des fibres musculaires de type II responsables des réactions rapides, de la force et de la fonction musculaires. Cet effet musculaire indiscutable contribue très certainement à la prévention des fractures en diminuant l incidence des chutes. Potential of alfacalcidol for reducing increased risk of falls and fractures. Ringe J.D, Schacht E Rheumatol Int 2009, 29,
118 Supplémentation en vitamine D : 1 fois par jour ou 1 fois par mois, vitamine D2 versus D3 Vitamine D3 semble plus efficace que vitamine D2 (pour augmenter les taux sériques de 25-OH vitamine D, même si la différence est faible.) La longue demi-vie de la 25-OH vitamine D permet son administration mensuelle. Le dosage de la 25-OH vitamine D doit se faire après la première semaine de l administration mensuelle, compte tenu du pic de concentration à jour 3 après chaque prise. Evaluation of Ergocalciferol or Cholecalciferol Dosing, 1,600 IU Daily or 50,000 IU Monthly in Older Adults. Binkley N, Gemar D, Engelke J et al. J Clin Endocrinol Metab. 2011;96(4):981-8.
119 Supplémentation en vitamine D : 1 fois par jour ou 1 fois par mois, vitamine D2 versus D3 Vitamine D3 semble plus efficace que vitamine D2 (pour augmenter les taux sériques de 25-OH vitamine D, même si la différence est faible.) La longue demi-vie de la 25-OH vitamine D permet son administration mensuelle. Le dosage de la 25-OH vitamine D doit se faire après la première semaine de l administration mensuelle, compte tenu du pic de concentration à jour 3 après chaque prise. Evaluation of Ergocalciferol or Cholecalciferol Dosing, 1,600 IU Daily or 50,000 IU Monthly in Older Adults. Binkley N, Gemar D, Engelke J et al. J Clin Endocrinol Metab. 2011;96(4):981-8.
120 Supplémentation en vitamine D : 1 fois par jour ou 1 fois par mois, vitamine D2 versus D3 Vitamine D3 semble plus efficace que vitamine D2 (pour augmenter les taux sériques de 25-OH vitamine D, même si la différence est faible.) La longue demi-vie de la 25-OH vitamine D permet son administration mensuelle. Le dosage de la 25-OH vitamine D doit se faire après la première semaine de l administration mensuelle, compte tenu du pic de concentration à jour 3 après chaque prise. Evaluation of Ergocalciferol or Cholecalciferol Dosing, 1,600 IU Daily or 50,000 IU Monthly in Older Adults. Binkley N, Gemar D, Engelke J et al. J Clin Endocrinol Metab. 2011;96(4):981-8.
121
122
123 Diminution de fréquence de la fracture de hanche Diminution de la fréquence des fractures de hanche Suède, Etats-Unis Canada, France notamment. Difficile de la rattacher de façon formelle à l utilisation des traitements. Hip fracture incidence is decreasing in the high incidence area of Oslo, Norway Stoen RO, Nordsletten L, Meyer HE et coll. Osteoporos Int DOI /s Jan 14.
124 «Tout faire pour éviter la 1 ère fracture» P-D DELMAS
125 «Tout faire pour éviter la 1 ère fracture» P-D DELMAS
126
Evaluer le risque fracturaire: l outil FRAX (Fracture Risk Assessment Tool)
Evaluer le risque fracturaire: l outil FRAX (Fracture Risk Assessment Tool) F. FLAISLER Service de Rhumatologie Groupe Hospitalo-Universitaire CAREMEAU, Nîmes OSTÉOPOROSE DEFINITION AFSSAPS «Maladie diffuse
Plus en détailTraitement de l ostéoporose post-ménopausique Janv ier 2006 TRAITEMENT MEDICAMENTEUX DE L OSTEOPOROSE POST-MENOPAUSIQUE RECOMMANDATIONS
TRAITEMENT MEDICAMENTEUX DE L OSTEOPOROSE POST-MENOPAUSIQUE RECOMMANDATIONS Actualisation 2006 Afssaps - 143/ 147, bd Anatole France F-93285 Sai nt-denis Cedex t él. +33 (0)1 55 87 30 00 www.afssaps.sante.fr
Plus en détailDENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR
DENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR C Andreux et F L Huillier H Guerini, A Feydy, X Poittevin, F Thevenin, R Campagna, JL Drapé, A Chevrot Hôpital COCHIN, Paris, France OBJECTIF Proposer
Plus en détailOstéoporose chez l homme
le point sur Ostéoporose Rev Med Suisse 2013 ; 9 : 1260-4 E. Biver B. Uebelhart Drs Emmanuel Biver et Brigitte Uebelhart Service des maladies s Département des spécialités de médecine HUG et Faculté de
Plus en détailMéthodes radiographiques d évaluation des fractures vertébrales ostéoporotiques Radiographic methods for evaluating osteoporotic vertebral fractures
Revue du Rhumatisme 76 (2009) 397 404 Mise au point Méthodes radiographiques d évaluation des fractures vertébrales ostéoporotiques Radiographic methods for evaluating osteoporotic vertebral fractures
Plus en détailL OSTÉOPOROSE INVOLUTIVE DE LA FEMME : STRATÉGIE THÉRAPEUTIQUE Un point de vue actualisé du Belgian Bone Club*
L OSTÉOPOROSE INVOLUTIVE DE LA FEMME : STRATÉGIE THÉRAPEUTIQUE Un point de vue actualisé du Belgian Bone Club* J.M. Kaufman (1), J.J. Body (2), S. Boonen (3), J.P. Devogelaer (4), F. Raeman (5), S. Rozenberg
Plus en détailTransplantation pulmonaire et mucoviscidose. Optimiser la prise en charge médicale
Transplantation pulmonaire et mucoviscidose Optimiser la prise en charge médicale Dr Isabelle Danner-Boucher CRCM adulte de Nantes Unité de Transplantation Thoracique 11èmes Journées Scientifiques de la
Plus en détailA. Ne u p r e z (1), H. Jo h a n s s o n (2), J.A. Ka n i s (2), E.V. McCl o s k e y (2), A. Od é n (2), O. Br u y è r e (3),
Rationalisation du remboursement des médicaments de l ostéoporose : de la mesure isolée de la densité osseuse à l intégration des facteurs cliniques de risque fracturaire. Validation de l algorithme FRAX
Plus en détailOstéoporose au cours des hépatopathies chroniques en 2006
Ostéoporose au cours des hépatopathies chroniques en 2006 Gérard Chalès Service de Rhumatologie, CHU Rennes Hôpital Sud, Rennes Points clés L ostéoporose et non l ostéomalacie est la complication la plus
Plus en détailCinq stratégies essentielles pour prendre soin de ses os après 50 ans. www.iofbonehealth.org
Cinq stratégies essentielles pour prendre soin de ses os après 50 ans www.iofbonehealth.org QU EST-CE QUE L OSTÉOPOROSE? L ostéoporose est une maladie qui fragilise les os, conduisant à une augmentation
Plus en détailPrévention osseuse dans le traitement du cancer de la prostate
73 Volume 1 - Février 11 - Supplément 1 Progrès en urologie (11) 1, supplément, S5-S Journées d Onco-Urologie Médicale : La pratique, les protocoles 5 et juin 1 ISSN 11-77 Prévention osseuse dans le traitement
Plus en détailEvaluation d un appareil quantitatif ultrasonore utilisant des matrices (Beam scanner):précision standardisée
Evaluation d un appareil quantitatif ultrasonore utilisant des matrices (Beam scanner):précision standardisée M-A Gomez, M Nasser-Eddin, M Defontaine, B Giraudeau, F Jacquot, F Patat INTRODUCTION L ostéoporose
Plus en détailConsolidation des fractures ostéoporotiques. oporotiques
Consolidation des fractures ostéoporotiques oporotiques Jean-Marc Féron Service de Chirurgie Orthopédique et Traumatologique Hôpital Saint Antoine Hôpitaux Universitaire Est Parisien UPMC-Sorbonne Universités,
Plus en détailLES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS
LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS Pr. Alessandra Bura-Rivière, Service de Médecine Vasculaire Hôpital Rangueil, 1 avenue Jean Poulhès, 31059 Toulouse cedex 9 INTRODUCTION Depuis plus de cinquante ans, les héparines
Plus en détailTRAITEMENT MEDICAMENTEUX DE L OSTÉOPOROSE CORTISONIQUE
Recommandation de Bonne Pratique TRAITEMENT MEDICAMENTEUX DE L OSTÉOPOROSE CORTISONIQUE RECOMMANDATIONS 1 GROUPE DE TRAVAIL Docteur Christian ROUX, Président, Rhumatologue, Paris Docteur Bertrand MOURA,
Plus en détailOSTÉOPOROSE PRÉVENIR ET AGIR À TOUT AGE
OSTÉOPOROSE PRÉVENIR ET AGIR À TOUT AGE www.grio.org L'ostéoporose est une maladie qui a été longtemps méconnue et dont les conséquences ont été sous estimées. On sait maintenant qu'il s'agit d'une maladie
Plus en détailL APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie.
1. Qu est-ce que le diabète? L APS ET LE DIABETE Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. Cette hyperglycémie est avérée si à 2 reprises
Plus en détailPierre OLIVIER - Médecine Nucléaire
Diplôme Universitaire Corrélations anatomo-physio-pathologiques en imagerie thoracique 25 mai 2011 Imagerie TEP et pathologie tumorale bronchique Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Détection en coincidence
Plus en détailNouveaux Anticoagulants. Dr JF Lambert Service d hématologie CHUV
Nouveaux Anticoagulants Dr JF Lambert Service d hématologie CHUV Plan Petit rappel d hémostase Anticoagulant oraux classiques Les nouveaux anticoagulants (NAC) Dosage? Comment passer de l'un à l'autre
Plus en détailQu avez-vous appris pendant cet exposé?
Qu avez-vous appris pendant cet exposé? Karl VINCENT, DC IFEC 2010 Diplôme Universitaire de Méthodes en Recherche Clinique Institut de Santé Publique d Epidémiologie et de développement ISPED Bordeaux
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailPRÉVENTION DES CHUTES CHEZ LES PERSONNES ÂGÉES
Société Scientifique de Médecine Générale Recommandations de Bonne Pratique PRÉVENTION DES CHUTES CHEZ LES PERSONNES ÂGÉES Synthèse de la mise à jour (mars 2008) Auteur Pierre Chevalier Supplément au n
Plus en détailLA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique
LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique Caroline Karras-Guillibert Rhumatologue, Hôpital Saint Joseph, Marseille La lombalgie chronique : le «mal du siècle»?
Plus en détailRevue du Rhumatisme 76 (2009) 222 226. Mise au point. Accepté le 19 septembre 2008 Disponible sur Internet le 14 février 2009
Revue du Rhumatisme 76 (2009) 222 226 Mise au point Impact de la contraception estroprogestative et progestative sur la densité minérale osseuse Impact of combined and progestogen-only contraceptives on
Plus en détailPLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détailTraitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée
Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Etude rétrospective de 45 cas Didier MAINARD, Jérôme DILIGENT Service de Chirurgie Orthopédique,
Plus en détail{ Introduction. Proposition GIHP 05/12/2014
Etude descriptive des accidents hémorragiques sous Nouveaux Anticoagulants Oraux au Service d Accueil des Urgences du CHU de Besançon entre janvier 2012 et janvier 2014 { Dr Claire KANY SAMU Besançon KEPKA
Plus en détailQui et quand opérer. au cours du traitement de l EI?
Qui et quand opérer au cours du traitement de l EI? Gilbert Habib Département de Cardiologie - Timone Marseille 7es JNI Bordeaux, 8 juin 2006 Université de la Méditerranée Faculté de Médecine de Marseille
Plus en détailLe traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a largement remplacé les amputations
FACE A FACE Péroné vascularisé / Péroné non vascularisé Reconstruction après résection tumorale Dr NOURI / Dr BEN MAITIGUE SOTCOT Juin 2012 Le traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a
Plus en détailL ostéoporose. Fiche 3.4.1. Saviez-vous que...
Fiche 3.4.1 L ostéoporose Santé des os et prévention des fracturesž Saviez-vous que... L'ostéoporose est un processus graduel qui entraîne à la longue une perte de masse osseuse. Comme son nom le suggère,
Plus en détailÉchographie normale et pathologique du grand pectoral
Échographie normale et pathologique du grand pectoral JL Brasseur, N Gault, B Mendes, D Zeitoun-Eiss, J Renoux, P Grenier G H Pitié-Salpêtrière Introduction La pathologie du grand pectoral est relativement
Plus en détailL Incontinence Urinaire au FEMININ. Examen paraclinique. Résidu Post Mictionnel. Examen pelvien
L Incontinence Urinaire au FEMININ Dr Isabelle Kaelin-Gambirasio Erika Vögele Dr Johanna Sommer Examen pelvien Inspection : Atrophie vulvovaginale Inflammation vaginale Pertes d urines à la toux Prolapsus
Plus en détailProgramme «DoSanté Lycée» Présentation et évaluation
Programme «DoSanté Lycée» Présentation et évaluation 1 1 Contexte - Public ciblé 1/3 des accidents du travail sont dus à des manutentions. Coût annuel : 1,5 milliards d euros. Les lombalgies représentent
Plus en détailTRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir?
TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? H Le Hors-Albouze Urgences pédiatriques Timone enfants Marseille Traumatismes crâniens (TC) de l enfant Grande fréquence même si incidence réelle mal
Plus en détailLes Jeudis de l'europe
LE DIABETE SUCRE EST DEFINI EN DEHORS DE TOUT EPISODE DIABETOGENE : 1.26 g/l SOIT 7 mmol/l PREVALENCE DU DIABETE DE TYPE 2 EN FRANCE METROPOLITAINE 3.4 % AGE = 63 ANS HOMMES = 54% 25% > 75 ans OUTRE MER
Plus en détailActivité physique et santé osseuse
L os est en remodelage perpétuel selon les contraintes auxquelles il est soumis. Activité physique et santé osseuse Avis du Comité scientifique de Kino-Québec Activité physique et santé osseuse Avis du
Plus en détailEssais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009
17 èmes Journées des Statisticiens des Centres de Lutte contre le Cancer 4 ème Conférence Francophone d Epidémiologie Clinique Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009 Q Picat, N
Plus en détailTraitement des hépatites virales B et C
Traitement des hépatites virales B et C GFMER Yaoundé 26 Novembre 2007 Dr José M Bengoa foie cirrhotique foie normal Vitesse de développement de la fibrose fibrose VHD VHB VHC années Indications au traitement
Plus en détailQuoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis?
Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis? Nathalie QUILES TSIMARATOS Service de Dermatologie Hôpital Saint Joseph Marseille Ce que nous savons Le psoriasis Affection dermatologique très fréquente,
Plus en détailImplantologie et Bisphosphonates
Société Française de Stomatologie et Chirurgie Maxillo-Faciale DD Implantologie et Bisphosphonates Recommandations de Bonne Pratique Juillet 2012 1 SOMMAIRE INTRODUCTION... 3 CONTEXTE... 5 BISPHOSPHONATES
Plus en détailPrésentation de l IPhEB
Présentation de l IPhEB L Institut Pharmaco-épidémiologique belge (IPhEB) est une asbl, cogérée par des représentants de médecins et de pharmaciens. Elle a pour objectif de contribuer à l interprétation
Plus en détailI. TECHNIQUES DE RÉÉDUCATION ET DE RÉADAPTATION 1. KINÉSITHÉRAPIE PASSIVE : PAS D ACTION MUSCULAIRE VOLONTAIRE DU PATIENT
CHAPITRE 1 PRINCIPALES TECHNIQUES DE RÉÉDUCATION ET DE RÉADAPTATION. SAVOIR PRESCRIRE LA MASSO-KINÉSITHÉRAPIE (ET L ORTHOPHONIE, NON TRAITÉ) Module 4. Handicap incapacité dépendance Question 53 Objectif
Plus en détailCharges virales basses sous traitement: définition impact virologique. Laurence Bocket Virologie CHRU de Lille
XVIIe Journée Régionale de Pathologie Infectieuse 12 octobre 2010 Charges virales basses sous traitement: définition impact virologique Laurence Bocket Virologie CHRU de Lille conflits d intérêts subventions,
Plus en détailLes formes cliniques. Maxime Breban
Reconnaître la Spondylarthrite en 2011 Les formes cliniques Maxime Breban maxime.breban@apr.aphp.fr Qu'est-ce que les rhumatismes inflammatoires? Inflammation chronique des articulations Maladies complexes
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux (NAC)
Les nouveaux anticoagulants oraux (NAC) Dr Jean-Marie Vailloud Cardiologue libéral/ salarié (CHU/clinique) Pas de lien d'intérêt avec une entreprise pharmaceutique Adhérent à l'association Mieux Prescrire
Plus en détailValidation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste. Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon
Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon Marqueur prédictif - Définition Un marqueur prédictif est un marqueur qui prédit le bénéfice
Plus en détailPrévention du déclin fonctionnel en EHPAD : rôle du massokinésithérapeute. Dr K.Sudres février 2015
Prévention du déclin fonctionnel en EHPAD : rôle du massokinésithérapeute Dr K.Sudres février 2015 Les résident d EHPAD sont majoritairement dépendants : aide complète pour l habillage (52.9%) et pour
Plus en détailItem 182 : Accidents des anticoagulants
Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome
Plus en détailCollection Soins infirmiers
Collection Soins infirmiers Une production du Université de Caen Basse-Normandie Traumatologie : traitements des fractures Dr. J-P de ROSA CH. AVRANCHES-GRANVILLE Fractures diagnostic 2 Fractures-diagnostic
Plus en détailActivité physique et diabète de type 2
Activité physique et diabète de type 2 D après le référentiel de la Société francophone du diabète : Duclos M et al, Médecine des maladies Métaboliques. 2011; 6 : 80-96 Forum Santé Vertolaye Le 10/10/2013
Plus en détailS. Kernéis, T. Ancelle, V. Naneix-Laroche, N. Amrane, JP. Leroy, T. Hanslik, O. Launay
Etude AMARCOR Tolérance et immunogénicité du vaccin contre la fièvre jaune chez des sujets recevant une corticothérapie par voie générale : étude de cohorte observationnelle S. Kernéis, T. Ancelle, V.
Plus en détailMON DOS AU QUOTIDIEN COMPRENDRE, ÉVITER ET SOULAGER LE MAL DE DOS
MON DOS AU QUOTIDIEN COMPRENDRE, ÉVITER ET SOULAGER LE MAL DE DOS COMPRENDRE, ÉVITER ET SOULAGER LE MAL DE DOS Le mal de dos? Nous sommes pratiquement tous concernés! En effet, plus de 80% de la population
Plus en détailrévention Pdes fractures
révention Pdes fractures liées à l ostéoporose nutrition de la personne âgée Groupe de travail La base rédactionnelle de ce guide a été élaborée à la demande de la Direction Générale de la Santé par un
Plus en détailRapport sur les nouveaux médicaments brevetés Iressa
Rapport sur les nouveaux médicaments brevetés Iressa Au titre de son initiative de transparence, le CEPMB publie les résultats des examens des prix des nouveaux médicaments brevetés effectués par les membres
Plus en détailAssurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments. Avis 2 23 Octobre 2012
Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments Avis 2 23 Octobre 2012 Titre I : Nom du médicament, DCI, forme pharmaceutique, dosage, présentation HUMIRA (DCI : Adalimumab
Plus en détailUne échelle d évaluation semistructurée. B. Gravier
Une échelle d évaluation semistructurée : la HCR-20 B. Gravier Exemple de jugement clinique structuré: The Historical Clinical Risk Management 20 item scale HCR - 20 Echelle utilisée par les cliniciens
Plus en détailCatherine Prost Squarcioni Centre de Références Maladies Rares NET-DBAI-IDF Hôpital Saint Louis et hôpital Avicenne
1 PREVENTION DES COMPLICATIONS DE LA CORTICOTHERAPIE GENERALE DANS LES PEMPHIGUS DE L ADULTE Catherine Prost Squarcioni Centre de Références Maladies Rares NET-DBAI-IDF Hôpital Saint Louis et hôpital Avicenne
Plus en détail*smith&nephew IV3000 Pansement pour cathéters réactif à l'humidité. Le pansement idéal pour cathéters
Le pansement idéal pour cathéters IV3000 diminue sensiblement le risque d infection en maintenant sec le site de ponction. IV3000 est jusqu à 8 fois plus efficace en terme d évaporation d humidité que
Plus en détailCOMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE
COMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE D APRES «THROMBOTIC COMPLICATIONS OF MYELOPROLIFERATIVE NEOPLASMS : RISK ASSESSMENT AND RISK-GUIDED MANAGEMENT
Plus en détailMedication management ability assessment: results from a performance based measure in older outpatients with schizophrenia.
Medication Management Ability Assessment (MMAA) Patterson TL, Lacro J, McKibbin CL, Moscona S, Hughs T, Jeste DV. (2002) Medication management ability assessment: results from a performance based measure
Plus en détailTraitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse
Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt
Plus en détailEssais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire
Essais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire Sylvie CHABAUD Direction de la Recherche Clinique et de l Innovation : Centre Léon Bérard - Lyon Unité de Biostatistique
Plus en détailTable des matières. Remerciements...v. Préface... vii. Avant-propos... xi. Mode d utilisation du manuel et du DVD... xv
Remerciements...v Préface... vii Avant-propos... xi Mode d utilisation du manuel et du DVD... xv Nomenclature française traditionnelle et terminologie anatomique officielle...xvii Table des matières...
Plus en détail23. Interprétation clinique des mesures de l effet traitement
23. Interprétation clinique des mesures de l effet traitement 23.1. Critères de jugement binaires Plusieurs mesures (indices) sont utilisables pour quantifier l effet traitement lors de l utilisation d
Plus en détailDr Pierre-François Lesault Hôpital Privé de l Estuaire Le Havre
Dr Pierre-François Lesault Hôpital Privé de l Estuaire Le Havre «Il faut toujours prendre le maximum de risques avec le maximum de précautions» R. Kipling??? Geste d angioplastie en 2014 plus de limites
Plus en détailNAVELBINE voie orale
DENOMINATION DU MEDICAMENT & FORME PHARMACEUTIQUE NAVELBINE voie orale CARACTERISTIQUES Dénomination commune : vinorelbine Composition qualitative et quantitative : Statut : A.M.M. A.T.U. Classe ATC :
Plus en détailAvis 23 avril 2014. BARITEKAL 20 mg/ml, solution injectable Boîte de 10 ampoules de 5 ml (CIP : 34009 585 896 3 8) Laboratoire NORDIC PHARMA
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 avril 2014 BARITEKAL 20 mg/ml, solution injectable Boîte de 10 ampoules de 5 ml (CIP : 34009 585 896 3 8) Laboratoire NORDIC PHARMA DCI Code ATC (2012) Motif de l
Plus en détailConsolidation osseuse et biotechnologies État des lieux. Prof. L. GALOIS Centre Hospitalier Universitaire de NANCY
Consolidation osseuse et biotechnologies État des lieux Prof. L. GALOIS Centre Hospitalier Universitaire de NANCY La problématique Tissu osseux : forte aptitude à se réparer MAIS Situations cliniques particulières
Plus en détailLe diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers
Le diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers Les spondylarthopathies 0.2% de la population en France Arthrites Réactionnelles rares S. Ankylosante
Plus en détailProgramme de réhabilitation respiratoire
Programme de réhabilitation respiratoire Dr Jean-Marc Perruchini Service de Réhabilitation R respiratoire, Clinique de Médecine Physique Les Rosiers 45, Bd Henri Bazin, 21002 DIJON Cedex Mle Carine Lopez
Plus en détailDr Ottaviani Service de Rhumatologie Hôpital Bichat Staff du 23 Mai 2014
Obésité et rhumatismes inflammatoires Dr Ottaviani Service de Rhumatologie Hôpital Bichat Staff du 23 Mai 2014 Obésité 1 Obesity Trends* Among U.S. Adults BRFSS, 1985 (*BMI 30, or ~ 30 lbs overweight for
Plus en détailPrise en Charge de la Fracture du Col du Fémur. Dr Christine LAFONT Service de Gériatrie C.H.U. TOULOUSE
Prise en Charge de la Fracture du Col du Fémur Dr Christine LAFONT Service de Gériatrie C.H.U. TOULOUSE Épidémiologie «Problème médical, social et économique» Incidence : France : 50/100 000 hab. Augmente
Plus en détailHépatite C, les nouveaux traitements
Hépatite C, les nouveaux traitements Dr Ghassan Riachi CHU de Rouen QDN 2014 Revue de presse p L hépatite C est une maladie curable Peginterferon + DAAs 2011 Standard Interferon 1991 + Ribavirin 1998 2001
Plus en détailCancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes
Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes Pr Jean Trédaniel Service de pneumologie et oncologie thoracique Groupe Hospitalier Paris Saint Joseph Université Paris Descartes Sources Données
Plus en détailL ATROPHIE DU SPHINCTER ANAL EXTERNE en ENDOSONOGRAPHIE TRIDIMENSIONNELLE. Vincent de PARADES PARIS
L ATROPHIE DU SPHINCTER ANAL EXTERNE en ENDOSONOGRAPHIE TRIDIMENSIONNELLE Vincent de PARADES PARIS INTRODUCTION L incontinence anale du post-partum partum relève de deux mécanismes : la déchirure de l
Plus en détailHENDRICH FALL RISK MODEL (HFRM)
HENDRICH FALL RISK MODEL (HFRM) Hendrich, A. L., Bender, P. S., & Nyhuis, A. (2003). Validation of the Hendrich II Fall Risk Model: a large concurrent case/control study of hospitalized patients. Appl.Nurs
Plus en détailCancer du rein métastatique Nouvelles approches thérapeutiques. Sophie Abadie-Lacourtoisie 20 mai 2006
Cancer du rein métastatique Nouvelles approches thérapeutiques Sophie Abadie-Lacourtoisie 20 mai 2006 Cancer du rein à cellules claires métastatique (CRM) Plus de 30 % des CR deviendront métastatiques
Plus en détailNeurologiques gq Centrales EMPR LE NORMANDY GRANVILLE
La Marche dans les Affections Neurologiques gq Centrales S Injeyan JL Isambert Y Bebin S Le Doze M Cano P Fages W Loisel La Marche Fonction complexe Organisée hiérarchiquement au niveau spinal Contrôlée
Plus en détailPROCEDURE D EVALUATION ET DE PREVENTION DU RISQUE DE CHUTE ET DE MAINTIEN DE LA MOBILITE
PROCEDURE D EVALUATION ET DE PREVENTION DU RISQUE DE CHUTE ET DE MAINTIEN DE LA MOBILITE Nb de pages : 8 Date de création 03/12/2013 Rédaction : Dr Robert ABADIE Dr Jean FAVAREL Date d application Vérification
Plus en détailCHAPITRE III : LA MENOPAUSE
CHAPITRE III : LA MENOPAUSE I- Définition II- Données démographiques III- Hormonologie de la péri et de la post-ménopause A- La péri-ménopause B- La ménopause C-La post-ménopause IV- La ménopause : savoir
Plus en détailSurveillance des troubles musculo-squelettiques dans les Bouches-du-Rhône
Santé travail Maladies chroniques et traumatismes Surveillance des troubles musculo-squelettiques dans les Bouches-du-Rhône Étude du syndrome du canal carpien opéré 2008-2009 Septembre 2011 F. Sillam 1,
Plus en détailLa dysplasie fibreuse des os
La dysplasie fibreuse des os La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous
Plus en détailSYNTHÈSE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES. Spondylarthrites. Décembre 2008
SYNTHÈSE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Spondylarthrites Décembre 2008 OBJECTIFS - Mieux identifier les patients atteints de spondylarthrite afin de raccourcir le délai entre l apparition des symptômes
Plus en détailLa réadaptation professionnelle des travailleurs lombalgiques : Présentation d'un modèle canadien
Hôpital Cochin Samedi 1 er avril 2006 Forum Saint Jacques La réadaptation professionnelle des travailleurs lombalgiques : Présentation d'un modèle canadien Dr Jean-Baptiste Fassier 1,2 Centre d Etude et
Plus en détailComprendre. son Psoriasis du Cuir Chevelu
Comprendre son Psoriasis du Cuir Chevelu Vous avez un psoriasis du cuir chevelu ou une personne de votre entourage en est atteinte. Cette brochure vous est destinée. Grâce aux informations transmises,
Plus en détailINTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper
INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper Pourquoi proposer un TTT adjuvant? Probabilité de survie à 10 ans en fonction
Plus en détailOrdonnance du DFI sur les prestations dans l assurance obligatoire des soins en cas de maladie
Ordonnance du DFI sur les prestations dans l assurance obligatoire des soins en cas de maladie (Ordonnance sur les prestations de l assurance des soins, OPAS) Modification du 14 juin 2010 Le Département
Plus en détailIncontinence urinaire. DR.L.PEYRAT C.H.U. Tenon, Paris
Incontinence urinaire DR.L.PEYRAT C.H.U. Tenon, Paris INCONTINENCE URINAIRE : DEFINITION 2002 ICS (Internationnal Contience Society) : perte involontaire d urine, on distingue Symptôme : élément décrit
Plus en détailIncontinence anale du post-partum
Incontinence anale du post-partum Laurent Abramowitz Unité de proctologie médico-chirurgicale de l hôpital Bichat, Paris Et cabinet libéral Prévalence Inc anale France (1) : 11% > 45 ans Damon et al (2):Pop
Plus en détailNouveaux anticoagulants oraux (NOAC)
Nouveaux anticoagulants oraux (NOAC) Mécanisme d action Suivi biologique: comment et quand? A.Demulder IRIS-Lab 15/05/2013 1 Anticoagulants «traditionnels»: HNF Parentéral Suivi biologique avec ajustement
Plus en détailLe VIH et votre cœur
Le VIH et votre cœur Le VIH et votre cœur Que dois-je savoir au sujet de mon cœur? Les maladies cardiovasculaires représentent une des cause les plus courante de décès, elles incluent: les maladies coronariennes,
Plus en détailLES CO-INFECTIONS VIH-VHC. EPIDEMIOLOGIE, INTERFERENCES. Patrice CACOUB La Pitié Salpêtrière, Paris
LES CO-INFECTIONS VIH-VHC. EPIDEMIOLOGIE, INTERFERENCES Patrice CACOUB La Pitié Salpêtrière, Paris 8 Avant l introduction des traitements antirétroviraux hautement actifs (HAART), la majorité des patients
Plus en détailRégionalisation des régimes de perturbations et implications pour l aménagement dans un contexte de changement climatique
Régionalisation des régimes de perturbations et implications pour l aménagement dans un contexte de changement climatique Sylvie Gauthier, Chercheuse scientifique, successions forestières RNCan-SCF-CFL
Plus en détail7- Les Antiépileptiques
7- Les Antiépileptiques 1 Définition L épilepsie est un trouble neurologique chronique caractérisé par la survenue périodique et imprévisible de crises convulsives dues à l émission de décharges électriques
Plus en détailProtocole pour l évaluation des patients inclus dans l'étude
LA SCOLIOSE DANS LE SYNDROME D ANGELMAN DIAGNOSTIC, TRAITEMENT ET SUIVI GUIDE PRATIQUE Ecrit par: Dr Anita Nogarol (Médecine de rééducation fonctionnelle); Michela Santin (Kinésithérapeute); Dr Giovanna
Plus en détailL exercice à la retraite. Dr. Bich-Han Nguyen Résidente II, Physiatrie Université de Montréal
L exercice à la retraite Dr. Bich-Han Nguyen Résidente II, Physiatrie Université de Montréal Buts de la conférence Vous renseigner sur les changements du corps qui avance en âge, avec emphase sur le système
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 mai 2007 SUTENT 12,5 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 265-0) SUTENT 25 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 266-7) SUTENT 50 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 267-3)
Plus en détailsur les fractures Didier Hannouche Service de Chirurgie Orthopédique Hôpital Lariboisière
Généralités sur les fractures Didier Hannouche Service de Chirurgie Orthopédique Hôpital Lariboisière Généralités Tissu vivant Constant renouvellement Trois fonctions principales Tissu de soutien (station
Plus en détail