La greffe rénale chez le diabétique de type 2. Bruno Moulin Service de Néphrologie et Transplantation CHU Strasbourg
|
|
- Guillaume Breton
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 La greffe rénale chez le diabétique de type 2 Bruno Moulin Service de Néphrologie et Transplantation CHU Strasbourg
2 A la Réunion, on ne perd pas de temps, (3h après l arrivée ) merci aux organisateurs merci (et à T Dervaux ) 2
3 Données épidémiologiques
4 D
5 France Prévalence 2012 D n = (56%) n = (44%)
6 Des variations régionales d incidence et de prévalence de l IRT Dialyse + Greffe
7 Prévalence du diabète parmi les nouveaux patients démarrant un traitement par dialyse (2013) Population nouveaux Dialysés (Rein 2013) Population Générale De 33 à 64% des patients dialysés selon les régions
8 Incidence cumulée accès à la liste incidents en DIALYSE Inscription préemptive
9 Incidence cumulée accès à la liste incidents DIABETIQUES en dialyse
10 Devenir sur 15 ans des patients incidents ans NON diabétiques (prédiction basée sur les données observées ) Distribution des patients (%) Sur les 15 premières années, temps passé : 9% avec greffon donneur vivant 61% avec greffon donneur DCD Délai depuis le 1 traitement (mois) DPA ass DPA aut DPCA ass DPCA aut AutoD Centre HD dom UDM TX dcd TX viv DCD
11 Devenir sur 15 ans des patients incidents ans diabétiques (prédiction basée sur les données observées) ) Distribution des patients (%) Sur les 15 premières années, temps passé : 1% avec greffon donneur vivant 59% avec greffon donneur DCD Délai depuis le 1 traitement (mois) DPA ass DPA aut DPCA ass DPCA aut AutoD Centre HD dom UDM TX dcd TX viv DCD
12 Devenir sur 15 ans des patients incidents ans NON diabétiques (prédiction basée sur les données observées ) Distribution des patients (%) Sur les 15 premières années, temps passé : 2% avec greffon donneur vivant 49% avec greffon donneur DCD Délai depuis le 1 traitement (mois) DPA ass DPA aut DPCA ass DPCA aut AutoD Centre HD dom UDM TX dcd TX viv DCD
13 Devenir sur 15 ans des patients incidents ans diabétiques (prédiction basée sur les données observées ) Distribution des patients (%) Sur les 15 premières années, temps passé : 1% avec greffon donneur vivant 23% avec greffon donneur DCD Délai depuis le 1 traitement (mois) DPA ass DPA aut DPCA ass DPCA aut AutoD Centre HD dom UDM TX dcd TX viv DCD
14 Devenir sur 15 ans des patients incidents >=70 ans NON diabétiques (prédiction basée sur les données observées ) Distribution des patients (%) Sur les 15 premières années, temps passé : 0% avec greffon donneur vivant 3% avec greffon donneur DCD Délai depuis le 1 traitement (mois) DPA ass DPA aut DPCA ass DPCA aut AutoD Centre HD dom UDM TX dcd TX viv DCD
15 100 Devenir sur 15 ans des patients incidents >=70 ans diabétiques (prédiction basée sur les données observées ) Distribution des patients (%) Sur les 15 premières années, temps passé : 0% avec greffon donneur vivant 1% avec greffon donneur DCD Délai depuis le 1 traitement (mois) DPA ass DPA aut DPCA ass DPCA aut AutoD Centre HD dom UDM TX dcd TX viv DCD
16 Diabète = 1 er cause de mise en dialyse 2-8. Distribution des patients incidents selon la maladie rénale initiale et le sexe Registre Rein 2012
17 Néphropathie diabétique : une tendance à l augmentation Registre Rein 2012
18 Diabète de type 2 >> diabète de type 1 DIABETE Type 1 DIABETE Type 2 Registre Rein 2012
19 comorbidités +++ (Registre Rein 2012) Registre Rein 2012
20 Survie médiocre des patients diabétiques en dialyse Diabétiques Non diabétiques 60% à 3 ans 45% à 5 ans 24% à 10 ans Registre Rein 2012 Rodriguez JA, NDT 1997;2501
21 Faible Prévalence de patients diabétiques transplantés Registre Rein 2012
22 Homme 57 ans, chauffeur de poids lourd A l âge de 45 ans, découverte d un DT2, d une hypercholestéromie et d une HTA Autres FDR : tabagisme sevré, obésité (32 kg/m 2 ), sédentaire ATCD : Cas Clinique AIT il y a 2 ans Coronaropathie connue avec pose d un stent CD, il y a deux ans Amputation d un orteil il y a 3 ans Découverte d une IRC au stade terminal Freine pour débuter la dialyse Vous demande s il peut bénéficier d une transplantation rénale
23 Vous lui répondez? 1. Que son espérance de vie sera meilleure en hémodialyse compte-tenu de ses comorbidités 2. Que la greffe comporte un risque cardio-vasculaire péri-opératoire important 3. Que la 1 ere cause de décès après greffe est d origine cardio-vasculaire 4. Que si vous l envisagiez, le bilan pré-greffe comporterait une nouvelle coronarographie 5. Que si vous l envisagiez, le bilan pré-greffe devrait comporter une artériographie des membres inférieurs 6. Qu il vaut mieux d abord dialyser 1 ou 2 ans pour être à distance de l évènement coronarien
24 Vous lui répondez? 1. Que son espérance de vie sera meilleure en hémodialyse compte-tenu de ses comorbidités 2. Que la greffe comporte un risque cardio-vasculaire péri-opératoire important 3. Que la 1 ere cause de décès après greffe est d origine cardio-vasculaire 4. Que si vous l envisagiez, le bilan pré-greffe comporterait une nouvelle coronarographie 5. Que si vous l envisagiez, le bilan pré-greffe devrait comporter une artériographie des membres inférieurs 6. Qu il vaut mieux d abord dialyser 1 ou 2 ans pour être à distance de l évènement coronarien
25 Risque de maladie cardio-vasculaire après transplantation rénale > 600 patients suivis 4 ans 6% d événements CV/an 13% diabétiques 4,5% non diabétiques 1,6% DC/an (3,4 vs. 1,2) Risque post opératoire ++ Gill, JASN 2005
26 Mortalité CV après la greffe Maladies cardio-vasculaires = 1 ere cause de mortalité après greffe 4,6% de décès la première année 27% de DC d origine CV FDR de mortalité cardiaque Diabète RR = 2,17 Coronaropathie RR = 2,15 Artérite RR = 1,6 Tabac > 25 PA RR = 2, patients de + de 60 ans Diabète RR x 3,3 Mortalité à M12 de 11% Kasiske JASN 2000 Gill, Transplantation 2003 Kauffman, Transplantation 2007
27 Risque d IDM après la greffe majoré chez le diabétique (+50%) UNOS LA Incidence cumulée d IDM RR= 3.57 RR= 2.81 RRR = 17% 8,7% 6,1% 4,2% RR=0, mois sur LA ou après TR 24 Kasiske et al, JASN
28 Risque observé et attendu (Framingham) de cardiopathie ischémique après TxR 10-year survival without IHD Expected survival (95% CI) Actual survival Old Young Old Young Old Young Old Young Diabetic Non-diabetic Diabetic Non-diabetic Smoker Non-smoker Kasiske, JASN
29 NEANMOINS: Baisse de la mortalité CV après greffe par rapport aux patients dialysés Amélioration de la survie des diabétiques après greffe Espérance de vie en liste d attente Espérance de vie après greffe Bénéfice Diabète 5,4 ans 11,4 ans 6 ans ans + diabète 8 ans 25 ans 17 ans Brunkhorst R Transplantation 2003; 115 DT ans + diabète ans + diabète 8 ans 22 ans 14 ans 5 ans 8 ans 3 ans DT1 Wolfe RA NEJM 1999; 1725 Gill Kidney Int 2005, USRDS Ojo AO, Transplantation 2001; 82
30 Comment transplanter ces patients dans les meilleures conditions?
31 1. Transplanter ces patients diabétiques vite et si possible avant la mise en dialyse Survie du patient Meier Kriesche HU, KI 2000; 1311 Becker BN, Arch Intern Med 2006; 44
32 2. Réduire les risques cardiovasculaires péri et post opératoires Bilan pré-greffe «approfondi» Prise en charge de la coronaropathie et de la maladie vasculaire avant la greffe
33 Quel bilan vasculaire proposer à notre patient dans le cadre du bilan pré-greffe? 1. Doppler artériel membres inférieurs 2. Angioscanner des axes iliaques 3. Artériographie 4. Scanner des axes iliaques 5. IRM des axes iliaques
34 Quel bilan vasculaire proposer à notre patient dans le cadre du bilan pré-greffe? 1. Doppler artériel membres inférieurs 2. Angioscanner des axes iliaques 3. Artériographie 4. Scanner des axes iliaques 5. IRM des axes iliaques
35 Quel bilan vasculaire proposer? Scanner ou angioscanner des axes iliaques Recherche de calcifications pariétales Recherche de sténoses Si patient non dialysé : scanner sans injection + écho Doppler axes iliaques par un angiologue expérimenté Echo Doppler artériel des membres inférieurs IRM Recherche de sténoses iliaques Exploration de la périphérie Pas performante pour les calcifications Artériographie Supplantée par le scanner
36 Homme 57 ans, chauffeur de poids lourd A l âge de 45 ans, découverte d un DT2, d une hypercholestéromie et d une HTA Autres FDR : tabagisme sevré, obésité (32 kg/m 2 ), sédentaire ATCD : Cas Clinique AIT il y a 2 ans Coronaropathie connue avec pose d un stent CD, il y a deux ans Amputation d un orteil il y a 3 ans Echo: Découverte cardiomyopathie d une IRC au dilatée stade terminal modérément hypokinétique (FE: 45%) Epreuve Freine pour d effort débuter (cycloergomètre): la dialyse 73% de la FMT (fatigue musculaire) Vous Pas demande troubles s il peut ventriculaires, bénéficier d une bonne transplantation adaptation cardiovasculaire rénale EE sous maximale négative cliniquement et électriquement FC maxi atteinte 112 FMT =163/mn 112/152 = 68% Le test est-il concluant? Si non, que demandez vous? et pourquoi?
37 Quel bilan cardiaque (coronarien) proposer à ce patient dans le cadre de son bilan pré-greffe? 1. ECG d effort? 2. Scintigraphie à la Persantine? 3. Echographie de Stress? 4. Scanner multibarettes? 5. IRM cardiaque? 6. Coronarographie?
38 Quel dépistage pour une cardiopathie ischémique : une épreuve d effort? Tapis roulant, cycloergomètre Surveillance continue ECG et TA repos, effort, récupération Objectif : atteindre FMT ( âge) Contre-indication : Angor instable Obstacle à l éjection du VG Troubles du rythme Notre candidat: 68% de la FMT 85% de la FMT non atteinte Avantages : test physiologique, innocuité, peu coûteux Limites : rarement au maximum de la FMT - patient épuisable, anémie - artériopathie, rhumatisme Sensibilité :60 à 70 % variable selon l étendue des lésions
39 Quel meilleur test? la scintigraphie myocardique de stress? Traceur de perfusion + effort - test physiologique limité par l effort Traceur de perfusion + dipyridamole si effort impossible ou non contributif CI : angor instable, bronchospasme, asthme Evaluation de la réserve coronaire - déficit de perfusion: territoire ischémique - FEVG Traceur de perfusion + dipyridamole + effort - meilleur test Diagnostic de la maladie coronaire Sensibilité pour des sténoses > 50 % = 90 % Spécificité = 80 % VPN = 98 % chez l hémodialysé Dahan, Am J Kidney Dis 2002
40 Quel meilleur test? Une échocardiographie de stress? Pharmacologique : dobutamine Objectifs : détection de la maladie coronaire Avantages : non invasif, peu coûteux sensibilité : 80 %, spécificité : 84 % VPN : 85 % Inconvénients : durée 45 mn opérateur expérimenté, salle adaptée patient échogène
41 Scanner coronaire? Avantages : précisions sur les calcifications, l importance des plaques Bonne valeur prédictive négative Inconvénients: Le calcaire bloque les rayons X : fausse interprétation Ne montre pas l ischémie Segments mal analysés accessibilité
42 Quel bilan cardiaque (coronarien) proposer à ce patient dans le cadre de son bilan pré-greffe? 1. ECG d effort? 2. Scintigraphie à la Persantine? 3. Echographie de Stress? 4. Scanner multibarettes? 5. IRM cardiaque? 6. Coronarographie?
43 Quel bilan coronarien faire? Test de dépistage d une coronaropathie Scintigraphie myocardique d effort ± Persantine Sensibilité 29 à 92%, spécificité 67 à 89% 1 Echographie de Stress Sensibilité 44 à 89%, spécificité 71 à 94% 1 Coronarographie +++ Si IRC non dialysé possible avec peu d iode et une bonne préparation ECG d effort Souvent sous maximal Scanner multibarettes Mise en évidence des calcifications, sténoses difficiles à évaluer Utile pour le dépistage des populations à faible risque 1 Manoushagian AJT 2014; 2228
44 Coronarographie pré-greffe chez le diabétique 105 diabétiques (77 type 1, 28 type 2, 43 ± 12 ans) avec coronarographie systématique pré-greffe 1 38 patients (36%) avec coronaropathie significative dont 11 avec revascularisation Clinique et ECG ne permettaient pas de prédire l atteinte coronaire 97 diabétiques type 1 et type % des DT1 et 48% des DT2 ont une sténose >70% 1 Koch M, NDT 1997; Ramanathan Transplantation 2005; 1453
45 Risque faible < 50 ans Non diabétique Pas d anomalie ECG Pas d ATCD cardiaque Risque intermédiaire Echo dobu ou scintigraphie Risque élevé Suspicion clinique, ECG, Echo 2 FDR Diabète Test fonctionnel négatif Test fonctionnel positif Normale Echo dobu ou scintigraphie optionnelles Coronarographi e Anormale Inscription Liste d Attente TR Revascularisation Pas de revascularisation Contre-indication à la transplantation 46
46 Revascularisation coronaire chez le diabétique Pontage à privilégier chez le diabétique en cas d atteinte multitronculaire dont IVA (Etude Freedom 2012) Sinon: angioplastie par stent actif de nouvelle génération Everolimus Zotarolimus Biolimus 6 à 12 mois de double AAP Flaherty JD, JAMA 2005;1501 Hlatky MA, Lancet 2009;1190 Farkouh N Engl J Med 2012;367:
47 PROTOCOLE (théorique) DT2 (Epargne en CS) SIMULECT PROGRAF CELLCEPT CORTICOIDES 20 mg J0 20 mg J4 A débuter dès J0 0,1 à 0,2 mg/kg/j en 2 prises 1 ère dose pré-opératoire, 2 ème dose post-opératoire T0 cibles Jusqu à M6 : 10 à 12 ng/ml Après M6 : 5 à 10 ng/ml A partir de J0 2 fois 1 g/j Jusqu au résultat de l AUC faite à J10 cible 40 ng/ml J0 : Solumédrol 250 mg à l entrée au bloc et 250 mg en fin d intervention Puis arrêt Ref : protocole «Carmen» FG
48 Conclusions Augmentation du nombre de patients diabétiques en dialyse (D2>D1) Mauvaise survie en dialyse Risque de MCV après greffe mais survie meilleure après transplantation Prise en charge ++ de la coronaropathie et l artériopathie avant greffe Intérêt d un bilan pré-greffe exhaustif Traitement adapté
Farzin Beygui Institut de Cardiologie CHU Pitié-Salpêtrière Paris, France. Probability of cardiovascular events. Mortalité CV
Nouveautés dans le diagnostique et le traitement de la maladie coronaire du dialysé Farzin Beygui Institut de Cardiologie CHU Pitié-Salpêtrière Paris, France Probability of cardiovascular events Mortalité
Plus en détailIschémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète.
Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète. A propos d un cas clinique, sont rappelés: - les caractères cliniques et pronostiques de l IMS chez le diabétique, - la démarche de l identification de
Plus en détailUN PATIENT QUI REVIENT DE LOIN. Abdelmalek AZZOUZ GRCI 29/11/2012 Service de Cardiologie A2 CHU Mustapha. Alger Centre. Algérie
Abdelmalek AZZOUZ GRCI 29/11/2012 Service de Cardiologie A2 CHU Mustapha. Alger Centre. Algérie Mr A.A. âgé de 55ans. Facteurs de risque: Diabétique depuis 5ans. Antécédents: aucun. Fumeur 15paquets/année.
Plus en détailÉpreuve d effort électrocardiographique
Épreuve d effort électrocardiographique J. Valty Diagnostic des coronaropathies. Pronostic après infarctus du myocarde. Indications particulières. Risques de l épreuve d effort? 1- Épreuve positive : segment
Plus en détailLes bonnes indications de l ECG d effort. Méthodologie et dépistage de l insuffisance coronaire. F DAVID AMMPPU METZ 14 février 2013
Les bonnes indications de l ECG d effort Méthodologie et dépistage de l insuffisance coronaire F DAVID AMMPPU METZ 14 février 2013 L ECG d effort (EE) dans 3 grandes indications 1 DIAGNOSTIC de l ischémie
Plus en détailPRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS
PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS Dr Mourot cardiologue Hôpital d Auxerre le 31 mars 2012 PLAN DE LA PRESENTATION ASSOCIATION
Plus en détailS o m m a i r e 1. Sémiologie 2. Thérapeutique
Sommaire 1. Sémiologie... 1 Auscultation cardiaque... 1 Foyers d auscultation cardiaque... 1 Bruits du cœur... 1 Souffles fonctionnels... 2 Souffles organiques... 2 Souffle cardiaque chez l enfant... 3
Plus en détailDr Pierre-François Lesault Hôpital Privé de l Estuaire Le Havre
Dr Pierre-François Lesault Hôpital Privé de l Estuaire Le Havre «Il faut toujours prendre le maximum de risques avec le maximum de précautions» R. Kipling??? Geste d angioplastie en 2014 plus de limites
Plus en détailREPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Première Journée du Centre Intégré Nord Francilien de prise en charge de l obésité de l adulte et de l enfant REPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Plus en détailchronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé
Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression
Plus en détailControverse UDM télésurveillée Pour. P. Simon Association Nationale de Télémédecine
Controverse UDM télésurveillée Pour P. Simon Association Nationale de Télémédecine Controverse Peut-on être en 2013 opposé au développement de la télémédecine? Pourquoi les patients en insuffisance rénale
Plus en détailINFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT
INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT QUELS RÉSULTATS POUR LE RECEVEUR? QUELS RISQUES POUR LE DONNEUR? DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT CONCERNER CHACUN /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Plus en détailÉvaluation du risque cardiovasculaire dans le contexte de l hypertension artérielle et de son traitement
Évaluation du risque cardiovasculaire dans le contexte de l hypertension artérielle et de son traitement DIU HTA François Gueyffier Service de pharmacologie clinique UMR CNRS 5558 CIC 201, LYON francois.gueyffier@chu-lyon.fr
Plus en détailTraitement de l insuffisance rénale chronique terminale: Place de la greffe de donneur vivant
Traitement de l insuffisance rénale chronique terminale: Place de la greffe de donneur vivant Pr Maryvonne Hourmant Service de Néphrologie-Immunologie clinique. CHU de Nantes Le constat Coût du traitement
Plus en détailNotions de base Gestion du patient au bloc opératoire
Notions de base Gestion du patient au bloc opératoire Vieillissement de la population Augmentation du nombre de patients porteurs de stimulateurs cardiaques et défibrillateurs implantables Augmentation
Plus en détailBilan avant un marathon:
Bilan avant un marathon: leçons de 5 études de terrain. Epidémio, ECG, EE, Echo, marqueurs. Jean-Michel Chevalier Bordeaux Armées Mise à jour juin 2010 1- Facteurs de risque CV chez 4037 marathoniens 3209
Plus en détailcompaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte
Influence des paramètres de non compaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte C. Defrance, K. Warin-Fresse, G. Fau, P. Guérin, B. Delasalle, P.D. Crochet La non compaction
Plus en détailTronc Artériel Commun
Tronc Artériel Commun Cardiopathie congénitale conotroncale. 1.4% des cardiopathie congénitales. (1/10000) CIV Diagnostic anténatal Souvent associé à un 22q11. Anomalies associées Définition EMBRYOLOGIE
Plus en détailPrise en charge du patient porteur d un dispositif implantable. Dr Philippe Gilbert Cardiologue CHU pavillon Enfant-Jésus
Prise en charge du patient porteur d un dispositif implantable Dr Philippe Gilbert Cardiologue CHU pavillon Enfant-Jésus Objectifs Expliquer le fonctionnement des stimulateurs et défibrillateurs Identifier
Plus en détailLa prise en charge de votre artérite des membres inférieurs
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre artérite des membres inférieurs Vivre avec une artérite des membres inférieurs Novembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014
Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Un AVC toutes les 4 minutes 1 130 000 AVC par an en France 1 770 000 personnes ont été victimes
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailPlanification d une substitution rénale: que faut-il savoir?
CURRICULUM Forum Med Suisse 8;8:7 74 7 Planification d une substitution rénale: que faut-il savoir? Hanno Elsässer a, Nick Hoyer b, Michael Dickenmann a a Klinik für Transplantationsimmunologie und Nephrologie,
Plus en détailReprise du travail après un événement cardiaque
Reprise du travail après un événement cardiaque Regard du médecin du travail Fabrice Locher Rôle et Missions du médecin du travail «Rôle exclusivement préventif consistant à éviter toute altération de
Plus en détailActivité physique et diabète de type 2
Activité physique et diabète de type 2 D après le référentiel de la Société francophone du diabète : Duclos M et al, Médecine des maladies Métaboliques. 2011; 6 : 80-96 Forum Santé Vertolaye Le 10/10/2013
Plus en détailLa mesure de la réserve coronaire
Revues Générales Qu est-ce que la FFR? Comment l utiliser? réalités Cardiologiques # 291_Janvier/Février 2013 Résumé : La mesure de la réserve coronaire (FFR : Fractional Flow Reserve) s est imposée depuis
Plus en détailLe VIH et votre cœur
Le VIH et votre cœur Le VIH et votre cœur Que dois-je savoir au sujet de mon cœur? Les maladies cardiovasculaires représentent une des cause les plus courante de décès, elles incluent: les maladies coronariennes,
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailLa prise en charge de votre insuffisance cardiaque
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre insuffisance cardiaque Vivre avec une insuffisance cardiaque Décembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant
Plus en détailJ. Goupil (1), A. Fohlen (1), V. Le Pennec (1), O. Lepage (2), M. Hamon (2), M. Hamon-Kérautret (1)
J. Goupil (1), A. Fohlen (1), V. Le Pennec (1), O. Lepage (2), M. Hamon (2), M. Hamon-Kérautret (1) (1) Pôle d Imagerie, service de Radiologie, CHU Caen (2) Pôle Cardio-thoracique, service de Chirurgie
Plus en détailComment évaluer. la fonction contractile?
Comment évaluer la fonction contractile? Pr Xavier MONNET Service de réanimation médicale Hôpital de Bicêtre Assistance publique Hôpitaux de Paris Conflit d intérêt Pulsion Medical Systems CAP PiCCO Echocardiographie
Plus en détailFibrillation atriale chez le sujet âgé
Dr Benoit Blanchard LE HAVRE Le 18 MARS 2014 Fibrillation atriale chez le sujet âgé Le plus fréquent des trouble du rythme cardiaque, 750,000 personnes atteintes de FA en France, 100,000 nouveaux cas chaque
Plus en détailParcours du patient cardiaque
Parcours du patient cardiaque Une analyse HAS à partir de la base QualHAS, des Indicateurs Pour l Amélioration de la Qualité & Sécurité des Soins (IPAQSS)- Infarctus du myocarde Linda Banaei-Bouchareb,
Plus en détailDéfinitions. PrioritéVie Enfant MC. Assurance contre le risque de maladie grave
Définitions PrioritéVie Enfant MC Assurance contre le risque de maladie grave Le présent document ne constitue qu un exemple de libellé et n a aucune force exécutoire. En cas de divergence entre les renseignements
Plus en détailÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE
ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE 23 ÉVALUATION DE
Plus en détailINSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES»
INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES» v On ne guérit pas ( en général ) d une insuffisance cardiaque, mais on peut la stabiliser longtemps, très longtemps à condition v Le patient insuffisant cardiaque
Plus en détaile-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé
e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,
Plus en détailCas clinique n 1. Y-a-t-il plusieurs diagnostics possibles? Son HTA a t elle favorisé ce problème?
Cas clinique n 1 Michel que vous suivez de longue date a l impression depuis quelques jours, d entendre des battements irréguliers le soir en se couchant ; il va parfaitement bien par ailleurs et rapporte
Plus en détailPREMIERE CAUSE DE MORTALITE: 180.000/an
DEFINITION APPAREIL CARDIO-VASCULAIRE Buts : apporter aux organes ce dont ils ont besoin(o2 ) eliminer les déchets(co2.) APPAREIL : Pompe=cœur Tuyaux=artéres/veines PREMIERE CAUSE DE MORTALITE: 180.000/an
Plus en détailLe compte rendu de scanner et d IRM du cœur. DIU Imagerie CV 2007
Le compte rendu de scanner et d IRM du cœur DIU Imagerie CV 2007 Importance de la communication Interface entre secrétariats de radiologie et de cardiologie Adaptation du schéma proposé par l ESC (07/06)
Plus en détailSOMMAIRE RECOMMANDATIONS DE LA SFC I. ÉVALUATION DU RISQUE D ÉVÉNEMENTS APRÈS IDM 698 II. THÉRAPEUTIQUES MÉDICAMENTEUSES 705
SOMMAIRE RECOMMANDATIONS DE LA SFC I. ÉVALUATION DU RISQUE D ÉVÉNEMENTS APRÈS IDM 698 A. Évaluation non invasive... 700 1. Recherche d une ischémie myocardique... 700 a. Épreuve d effort b. Scintigraphie
Plus en détailLes Jeudis de l'europe
LE DIABETE SUCRE EST DEFINI EN DEHORS DE TOUT EPISODE DIABETOGENE : 1.26 g/l SOIT 7 mmol/l PREVALENCE DU DIABETE DE TYPE 2 EN FRANCE METROPOLITAINE 3.4 % AGE = 63 ANS HOMMES = 54% 25% > 75 ans OUTRE MER
Plus en détailPATHOLOGIE CARDIO VASCULAIRE DES VOYAGEURS D. HOROVITZ
PATHOLOGIE CARDIO VASCULAIRE DES VOYAGEURS D. HOROVITZ Les étapes du transport Y a - t - il un cardiaque dans l avion? CONTRAINTES CX VX L HYPOXIE LES ACCELERATIONS EFFETS DE L ALTITUDE LOI MARIOTTE PV
Plus en détailNouveaux anticoagulants oraux : aspects pratiques
Nouveaux anticoagulants oraux : aspects pratiques Christelle MARQUIE CHRU de Lille Clinique de Cardiologie L i l l e 2 Université du Droit et de la Santé Les NOAG: QCM 1. ont les mêmes indications que
Plus en détailSyndromes coronaires aigus
CONGRES American College of Cardiology J.P. COLLET Service de Cardiologie, Hôpital Pitié-Salpêtrière, PARIS. Syndromes coronaires aigus L American College of Cardiology a encore montré le grand dynamisme
Plus en détailInnovations thérapeutiques en transplantation
Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010
Plus en détailEvaluation du risque Cardio-vasculaire MOHAMMED TAHMI
Evaluation du risque Cardio-vasculaire MOHAMMED TAHMI La pression artérielle normale n existe plus. L hypertension artérielle n existe plus. On soigne un risque cardiovasculaire. Plus celui-ci est élevé
Plus en détailQUEL PROTOCOLE DE REENTRAINEMENT PROPOSER AUX PATIENTS INSUFFISANTS CARDIAQUES?
QUEL PROTOCOLE DE REENTRAINEMENT PROPOSER AUX PATIENTS INSUFFISANTS CARDIAQUES? Cliquez pour modifier le style des sous titres du masque MARIE CHRISTINE MERSCH MASSEUR KINESITHERAPEUTE Service de Réadaptation
Plus en détailMONITORING PÉRI-OPÉRATOIRE DE L'ISCHÉMIE CARDIAQUE. Dary Croft 9 mai 2013
MONITORING PÉRI-OPÉRATOIRE DE L'ISCHÉMIE CARDIAQUE Dary Croft 9 mai 2013 Plan Épidémiologie en chir. non-cardiaque Aspects techniques de l ECG Rappel critères ECG de l'ischémie Principe de monitoring per-op
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux (NAC)
Les nouveaux anticoagulants oraux (NAC) Dr Jean-Marie Vailloud Cardiologue libéral/ salarié (CHU/clinique) Pas de lien d'intérêt avec une entreprise pharmaceutique Adhérent à l'association Mieux Prescrire
Plus en détailGuide des définitions des maladies graves
Guide des définitions des maladies graves Assurance maladies graves Sun Life La vie est plus radieuse sous le soleil Guide des définitions des maladies graves Ce guide vous aidera à comprendre les maladies,
Plus en détailB06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs
B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue
Plus en détailGuide du médecin traitant. L invalidité. dans le Régime de rentes du Québec. Édition 2015
Guide du médecin traitant L invalidité dans le Régime de rentes du Québec Édition 2015 Remerciements Ce guide a été réalisé par la Direction des communications de la Régie des rentes du Québec avec la
Plus en détailDéfinitions. MALADIES GRAVES Protection de base Protection de luxe. PROTECTION MULTIPLE pour enfant
Définitions MALADIES GRAVES Protection de base Protection de luxe PROTECTION MULTIPLE pour enfant Voici les définitions des maladies graves et non critiques que vous pouvez retrouver dans les garanties
Plus en détailGUIDE AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Artériopathie oblitérante des membres inférieurs
GUIDE AFFECTION DE LONGUE DURÉE Artériopathie oblitérante des membres inférieurs Mars 2007 Ce guide médecin est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé Service communication 2 avenue
Plus en détailLes différentes maladies du coeur
Auteur : Dr Pascal AMEDRO Les différentes maladies du coeur 1. Le cœur normal L oxygène capté dans l air va dans les poumons, où le sang «bleu» est alors oxygéné et devient «rouge». Il est conduit par
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailDr Marie-Pierre CRESTA. Agence de la biomédecine SRA Sud-Est/Océan Indien. Juin 2014
Dr Marie-Pierre CRESTA Agence de la biomédecine SRA Sud-Est/Océan Indien Juin 2014 Que savoir en tant que citoyen? Les LBE La greffe, ça marche Que savoir en tant que professionnel? Pénurie, contexte épidémiologique
Plus en détailNEPHROGRAMME ISOTOPIQUE EXPLORATION DE L HYPERTENSION RENO-VASCULAIRE
NEPHROGRAMME ISOTOPIQUE EXPLORATION DE L HYPERTENSION RENO-VASCULAIRE D r Eric OUHAYOUN Service de Médecine Nucléaire - P r J.P. Esquerré CHU Purpan Toulouse - France Néphrogramme isotopique Principe :
Plus en détailAssurance maladie grave
ASSURANCE COLLECTIVE Le complément idéal à votre assurance collective Assurance maladie grave Votre partenaire de confiance. Assurance maladie grave La tranquillité d esprit à votre portée Les progrès
Plus en détailDr Agnès Caillette-Beaudoin, Medecin-directeur, Calydial (Lyon)
Dr Agnès Caillette-Beaudoin, Medecin-directeur, Calydial (Lyon) Intervention personnalisée à tous les stades de la Maladie Rénale Chronique Prévention de la progression de la maladie rénale Consultation
Plus en détailMarchés des groupes à affinités
Marchés des groupes à affinités Guide du produit destiné aux conseillers Régime d assurance maladies graves Chèque-vie MD de base La Compagnie d Assurance-Vie Manufacturers Le produit en bref Nul n aime
Plus en détailThérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin
Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller
Plus en détail1 La scintigraphie myocardique au Persantin ou Mibi Persantin
La scintigraphie myocardique au Persantin ou Mibi Persantin Pour mieux connaître l état de votre cœur, votre médecin vous a demandé de passer une scintigraphie myocardique au Persantin. Cette fiche explique
Plus en détailINTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES
INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES QU EST-CE QUE LE MDRD? Il s agit d une formule permettant d estimer le débit de filtration glomérulaire et donc la fonction rénale La formule est la suivante :
Plus en détailLES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS
LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS Pr. Alessandra Bura-Rivière, Service de Médecine Vasculaire Hôpital Rangueil, 1 avenue Jean Poulhès, 31059 Toulouse cedex 9 INTRODUCTION Depuis plus de cinquante ans, les héparines
Plus en détailLa maladie de Takayasu
La maladie Le diagnostic Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer sur la maladie de Takayasu. Elle ne se substitue
Plus en détailDonneurs vivants Risques à long terme. Cours de transplantation Univ. Montréal et McGill 5 avril 2013
Donneurs vivants Risques à long terme Michel R. Pâquet MD, PhD Unité de Transplantation Le Centre Hospitalier de l Université de Montréal Hôpital Notre-Dame Montréal Hôtel-Dieu Hôpital Notre-Dame Cours
Plus en détailTITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire»
TITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire» MC Iliou, R Brion, C Monpère, B Pavy, B Vergès-Patois, G Bosser, F Claudot Au nom du bureau du GERS Un programme de réadaptation
Plus en détailPROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ. Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé
PROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé À chacun son stade! Votre profil est unique, votre réponse à l exercice physique
Plus en détailQUI PEUT CONTRACTER LA FA?
MODULE 1 : COMPRENDRE LA FIBRILLATION AURICULAIRE 16 QUI PEUT CONTRACTER LA FA? La FA est plus fréquente chez les personnes âgées. Par contre, la FA dite «isolée» (c.-à-d. sans qu il y ait de maladie du
Plus en détailNouvelles caméras CZT cardiaques: une seconde vie pour le thallium 201?
Symposium Covidien, Nice, 10 mai 2010 Nouvelles caméras CZT cardiaques: une seconde vie pour le thallium 201? Bernard Songy Centre Cardiologique du Nord St-Denis Thallium 201: Le thallium 201 présente
Plus en détailCas clinique: Mr A.M. 1940 A.M. 1940. A.M. 1940;Resynchro avant-après. Resynchronisation avant et après 12 mois: RX thorax.
Cas clinique: Mr A.M. 1940 A.M,1940, 2 ans près son infarctus malaise lors d une marche, syncope et choc électrique Infarctus antérieur : FEVG 30% Coro:Recanalisation / l IVA ECG: sinusal QRS 0.10, inf.
Plus en détailProgramme de prise en charge et de suivi en anticoagulothérapie
Programme de prise en charge et de suivi en anticoagulothérapie (PEACE) Médecins réviseurs : Dr Steve Brulotte, cardiologue, CSSSAD-Lévis Dr Daniel D Amours, cardiologue, CHU Dr Guy Boucher, cardiologue,
Plus en détailInsuffisance Cardiaque de l Adulte.
Insuffisance Cardiaque de l Adulte. Pr. Laurent FOURCADE, Service de Cardiologie, HIA Laveran, Marseille. IFSI Croix Rouge, Marseille, 25 mars 2013 Plan I - Insuffisance cardiaque chronique.définitions.généralités,
Plus en détailVille : Province : Code postal : Date de naissance : jour mois année Date de naissance : jour mois année
Assurance médicale Choix du voyageur L assurance est souscrite auprès de la Compagnie d Assurance Générale CUMIS, l une des sociétés du Groupe Co-operators. Proposition d assurance page 1 2015-2016 Bureau
Plus en détailMarche à suivre pour importer votre base de données Guide santé CV MC ) (Réservé à l usage de Clinemetrica)
December 1, 2010 Klick Inc. Marche à suivre pour importer votre base de données Guide santé CV MC ) (Réservé à l usage de Clinemetrica) Les utilisateurs de l application Guide santé CV MC qui souhaitent
Plus en détailDE SCINTIGRAPHIE MYOCARDIQUE DE PERFUSION :
ROYAUME DU MAROC UNIVERSITE SIDI MOHAMMED BENABDELLAH FACULTE DE MEDECINE ET DE PHARMACIE FES UNIVERSITESIDI MOHAMMED BEN ABDELLAH FES UNITE DE SCINTIGRAPHIE MYOCARDIQUE DE PERFUSION : EXPERIENCE DES 30
Plus en détailDON ET GREFFE D ORGANES EN TUNISIE. Dr Mylène Ben Hamida Centre National pour la Promotion de la Transplantation d Organes
DON ET GREFFE D ORGANES EN TUNISIE Dr Mylène Ben Hamida Centre National pour la Promotion de la Transplantation d Organes Les besoins sont importants Insuffisance Organique Terminale en Tunisie Rein :
Plus en détailTélé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale :
Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Docteur DARY Patrick, Cardiologue, Praticien Hospitalier Centre Hospitalier de St YRIEIX - Haute Vienne 87500 Situé
Plus en détailEtat des lieux du prélèvement et de la greffe d organes, de tissus et de cellules MAROC
1 Etat des lieux du prélèvement et de la greffe d organes, de tissus et de cellules MAROC Dr A. BOUDAK / Dr M.H Trabelssi Dir Hôpitaux et dessoins Ambulatoires/M. Santé 6ème colloque France Maghreb sur
Plus en détailIMR PEC-5.51 IM V2 19/05/2015. Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES
DOSSIER D ADMISSION 1/6 Date d'admission souhaitée : Date de la demande : Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES Renseignements administratifs
Plus en détailDon d organes et mort cérébrale. Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper
Don d organes et mort cérébrale Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper La mort cérébrale Cessation irréversible de toute fonction cérébrale
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailInsuffisance cardiaque et télémédecine: Exemple du Projet E care : prise en charge à domicile des insuffisants cardiaques en stade III
Insuffisance cardiaque et télémédecine: Exemple du Projet E care : prise en charge à domicile des insuffisants cardiaques en stade III de la NYHA Emmanuel ANDRES et Samy TALHA Service de Médecine Interne,
Plus en détailLes reins sont foutus
Les reins sont foutus quelles sont les avenues? F O R M A T I O N C O N T I N U E Vous voyez en relance M me Bouthillier, 83 ans, atteinte d insuffisance cardiaque ischémique, d hypertension artérielle,
Plus en détailLIRE UN E.C.G. Formation sur le langage et la lecture d un ECG destinée aux techniciens ambulanciers de la région Chaudière-Appalaches
LIRE UN E.C.G. Formation sur le langage et la lecture d un ECG destinée aux techniciens ambulanciers de la région Chaudière-Appalaches Denise Hébert, chargée de projet UCCSPU Février 2006 Le langage et
Plus en détailMÉTHODES DIAGNOSTIQUES DE STÉNOSE DE L ARTÈRE RÉNALE
MÉTHODES DIAGNOSTIQUES DE STÉNOSE DE L ARTÈRE RÉNALE Mai 2004 Service Évaluation Technologique - 1 - Pour recevoir la liste des publications de l Anaes, il vous suffit d envoyer vos coordonnées à l adresse
Plus en détailDirection générale de l offre de soin
Apport de la télémédecine en matière de coopération territoriale 1. Une nouvelle organisation de l offre sanitaire pour mieux répondre aux besoins des populations 2. Comment organiser des activités de
Plus en détailDéfinitions. PrioritéVie MC. Votre assurance contre le risque de maladie grave
Définitions PrioritéVie MC Votre assurance contre le risque de maladie grave Le présent document ne constitue qu un exemple de libellé et n a aucune force exécutoire. En cas de divergence entre les renseignements
Plus en détailActualité sur la prise en charge de l arrêt cardiaque
Actualité sur la prise en charge de l arrêt cardiaque 24 ème Congrès de la Coordination des Infirmiers Anesthésistes et de Réanimation de Caen et sa Région Dr Buléon Clément Pôle Réanimation-Anesthésie-SAMU,
Plus en détailAméliorer la qualité du système de santé et maîtriser les dépenses : propositions de l Assurance Maladie pour 2014
Améliorer la qualité du système de santé et maîtriser les dépenses : propositions de l Assurance Maladie pour 2014 RAPPORT AU MINISTRE CHARGÉ DE LA SÉCURITÉ SOCIALE ET AU PARLEMENT SUR L ÉVOLUTION DES
Plus en détailPLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détailArtéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques
Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques T Smayra, L Menassa-Moussa, S Slaba, M Ghossain, N Aoun Hôtel-Dieu de France, Université
Plus en détailsoins va changer et quelle est la place des TIC?
Pourquoi l organisation des soins va changer et quelle est la place des TIC? Docteur Pierre Simon Président de l Association Nationale de Télémédecine (ANTEL) Luxembourg 15 avril 2010 UN RAPPORT «La place
Plus en détailColette Franssen Département d Anesthésie Réanimation CHU Sart Tilman LIEGE
Colette Franssen Département d Anesthésie Réanimation CHU Sart Tilman LIEGE La mise au point préopératoire par un anesthésiste permet de mieux planifier l organisation de la salle d opération, d éviter
Plus en détailLa prise en charge de l AVC ischémique à l urgence
La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de
Plus en détailRELPAX. hydrobromure d élétriptan
RELPAX hydrobromure d élétriptan * Pharmacocinétique * Toxicologie * Formulation galénique * Essais cliniques * Conclusion * Pharmacocinétique * Toxicologie * Formulation galénique * Essais cliniques *
Plus en détailEffets sur la pression artérielle rielle des traitements non-médicamenteux
Effets sur la pression artérielle rielle des traitements non-médicamenteux PF Plouin, ESH Hypertension Excellence Center, Hôpital Européen Georges Pompidou, Paris La prise en charge de l hypertendu l concerne
Plus en détailDr Laurence FAYARD- JACQUIN Cœurs du Forez 2008. Mise à jour 24-06-08
Diabète de type 2 et Sport Dr Laurence FAYARD- JACQUIN Cœurs du Forez 2008 Mise à jour 24-06-08 L activité physique est recommandée depuis longtemps aux patients diabétiques Dès la fin du 19 ème siècle,
Plus en détail