Innervation pelvi-périnéale

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Innervation pelvi-périnéale"

Transcription

1 11/02/2015 WINNICKI Camille CR : INGHILTERRA Jérôme RVUAGM Pr.PIRRO 14 pages Innervation pelvi-périnéale Plan A. Introduction B. Plexus hypogastrique supérieur C. Rapports rétro-péritonéaux des structures nerveuses D. Plexus hypogastrique inférieur E. Systématisation de l'innervation des organes pelviens F. Possibilités lésionnelles de l'innervation pelvienne G. Imagerie Note : PHS = Plexus Hypogastrique Supérieur PHI = Plexus Hypogastrique Inférieur A. Introduction L'innervation pelvi-périnéale est une innervation particulièrement complexe et finalement assez mal connue. Cette innervation est végétative et somatique, sur le plan moteur et sensitif. Elle est responsable à la fois de la continence des différents réservoirs pelviens et de la vidange/exonération de ces mêmes organes pelviens (qui sont la vessie en avant, le rectum en arrière et éventuellement l'utérus au moment de l'accouchement) L'innervation pelvienne est quasiment exclusivement végétative et dépend donc des systèmes sympathiques et parasympathiques. Cette innervation pelvienne est principalement sous l'action des plexus hypogastriques inférieurs ( PHI) qui sont des lames nerveuses situées latéralement par rapport au rectum. 1/14

2 Vue antérieure Rectum Sphincter de l'anus Plexus hypogastrique inférieur Plexus hypogastrique supérieur Bifurcation aortique Aorte abdominale Racines ventrales sacrées Fibres parasympathiques des racines sacrées Nerf hypogastrique droit Latéralement au rectum, se trouvent les plexus hypogastriques inférieurs (3), ils sont constitués principalement de fibres sympathiques et parasympathiques. Les fibres sympathiques proviennent du plexus hypogastrique supérieur (4) (situé au niveau de la bifurcation aortique) : il va donner deux nerfs qui sont les nerfs hypogastriques (9) droit et gauche et qui vont gagner les PHI. Les fibres parasympathiques (8) du PHI proviennent des racines ventrales sacrées S2, S3, S4 (7) qui sont principalement somatiques). Les PHI sont donc sympathique et parasympathique. Ils vont donner des fibres pour les organes pelviens principalement. Ces fibres sont principalement dirigées vers les organes pelviens pour permettre la vidange et la contraction du réservoir. Il y a également des fibres dirigées vers les sphincters notamment au niveau des sphincters lisses (rectum et vessie) Toute la chirurgie carcinomateuse pelvienne moderne est basée sur le concept de préservation nerveuse et donc le respect de ces plexus hypogastriques notamment le inférieur. Grande particularité à connaître entre le système nerveux volontaire et le système nerveux involontaire ( = végétatif) : Pour le système volontaire : l'innervation est différente pour les muscles agonistes et antagonistes. Par exemple, l'innervation pour la flexion de l'avant bras se fait par le nerf musculo-cutané alors que pour l'extension elle se fait par le nerf radial. Pour le système nerveux végétatif : Un même muscle va être la cible de 2 innervations différentes (sympathique et parasympathique), notamment une qui va favoriser la vidange et l'autre la réplétion. La différence entre ces deux systèmes est donc que le somatique a des cibles différentes alors que le végétatif a la même cible pour deux innervations différentes. 2/14

3 B. Plexus hypogastrique supérieur : Vue antérieure du rachis thoracique : le plexus hypogastrique supérieur 3/14

4 Vue antérieure rachis thoracique : le plexus hypogastrique supérieurs 1. Promontoire ( disque intervertébral entre L5-S1 ) 2. Arcade du muscle psoas 3. Arcade du muscle carré des lombes 4. Pilier de l'aorte ( Le droit s'insère sur L1, L2, L3 et le gauche sur L1/L2) 5. Ligament arqué médian (niveau disque T11/T12) 6. Faisceau oesophagien 7. Aorte 8. Artère illiaque primitive 9. Tronc coeliaque 10. Artère mésentérique supérieure 11. Artère mésentérique inférieure 12. Artère rénale droite 13. Artère rénale gauche 14. Plexus hypogastrique supérieur 15. Chaine lombaire sympathique 16. Ganglions sympathiques 17. Ganglion de la chaine sacrée sympathique 18. Ganglions coeliaques ( semi-lunaires) 19. Nerfs grands splanchniques 20. Ganglions mésentériques supérieurs 21. Ganglions aortico-rénaux 22. Nerf petit splanchnique / Nerf splanchnique imus Le PHS est situé en avant et juste en dessous de la bifurcation aortique. Il recouvre la région du promontoire et reçoit des fibres provenant du plexus pré-aortique et des ganglions splanchniques lombaires. L'arcade du muscle psoas (3) s'insère sur le corps de L2 et se termine sur le sommet du processus transverse de L1. En dehors du muscle psoas se place l'arcade du muscle carré des lombes (4). On remarque également les faisceaux œsophagiens notamment le pilier droit (7). L'aorte (8) se termine au niveau de L4 où elle se bifurque en deux artères iliaques primitives droite et gauche. Les collatérales les plus volumineuses de l'aorte abdominale sont : Au niveau des collatérales antérieures viscérales Tronc coeliaque (10) en Th12 qui est la première à naitre L'artère mésentérique supérieure (11) au niveau de L1 (grosse artère d'environ 1cm de diamètre ) L'artère mésentérique inférieure (12) au niveau de L3, beaucoup plus petite. Au niveau des collatérales latérales Artères rénales droite (13) et gauche (14) naissent en L1, la droite étant plus basse que la gauche à cause du décalage entre le rein droit (plus bas) et le gauche. Ce PHS (15) est une lame nerveuse (très peu systématisée) qui va recevoir des fibres sympathiques qui proviennent de la chaine lombaire sympathique (16) (faisant suite à la chaine thoracique). Celle-ci peut, soit traverser le diaphragme en passant sous l'arcade du psoas, soit passer dans l'interstice du faisceau œsophagien. La configuration la plus classique (cf schéma) : Le sympathique arrive dans la région rétro péritonéale en passant sous l'arcade du muscle psoas. Cette chaine sympathique a des renflements nerveux appelés ganglions sympathiques (17) (terme anatomique) qui sont des structures nerveuses (à ne pas confondre avec les nœuds lymphatiques appelés aussi ganglions en clinique). 4/14

5 Il y a normalement 4 ou 5 ganglions sympathiques lombaires. Cette chaine sympathique passe en arrière des vaisseaux iliaques pour se continuer par la chaine sympathique sacrée (18). Souvent le 5eme ganglion sympathique situé sous l'artère iliaque se continue par la chaine sympathique sacrée. Ces ganglions sympathiques lombaires vont donner des fibres pour le PHS notamment le 3e et 4e ganglion. Un petit peu plus haut, on retrouve les ganglions sympathiques situés le long de l'aorte abdominale dont les ganglions cœliaques (19) droit et gauche qui ont une forme classique semi-lunaire. Ces ganglions coeliaques reçoivent les fibres sympathiques du sympathique thoracique par les nerfs grands splanchniques (20). A connaître car ils véhiculent la sensibilité des douleurs du pancréas (Ces nerfs, en cas de cancer de pancréas non curable, sont détruits chirurgicalement ou injectés. Leur destruction a un effet antalgique très important). On retrouve également des ganglions mésentériques supérieurs ainsi que des ganglions aortico-rénaux, autour de l'origine des artères rénales. Ces deux types ganglionnaires reçoivent des fibres sympathiques provenant du thoracique lombaire par des nerfs splanchniques : nerf petit splanchnique ou splanchnique imus ainsi qu' un lascis nerveux entre les différentes structures ganglionnaires. Sous la mésentérique supérieure, il va y avoir un encroisement de fibres végétatives jusqu'au PHS. Les 1er et 2eme ganglions vont donner des fibres pour le plexus nerveux pré aortique. Il faut donc retenir qu'il n'y a aucune systématisation très nette, tout ce système nerveux végétatif se situe en avant de l'aorte abdominale, il provient de la chaine sympathique lombaire et de la chaine thoracique et va se continuer en bas par le Plexus hypogastrique supérieur. Le PHS est ainsi majoritairement sympathique. 5/14

6 C. Rapports rétro-péritonéaux des structures nerveuses Coupe transversale du rétro péritoine passant par L1 1. Muscle psoas 2. Chef antérieur du muscle psoas 3. Chef postérieur du muscle psoas 4. Veine cave inférieure 5. Rein droit 6. Rein gauche 7. Bassinet 8. Muscle carré des lombes 9. Muscles transverses 10. Artère rénale gauche 11. Veine rénale gauche 12. Artère mésentérique supérieure 13. Pince aorto-mésentérique 14. Ganglions sympathiques 15. Deuxième duodénum 16. Pancréas 17. Péritoine 18. Noeuds lymphatiques 19. Veine mésentérique supérieure Ao : Aorte L1 : Première vertèbre lombaire 6/14

7 On repère L1 grâce à la morphologie de son corps rénifome et son trou vertébral triangulaire. Le muscle psoas (2) s'insère soit indirectement sur les disques inter vertébraux soit directement au niveau du corps vertébral (cf schéma). Il s'insère par deux chefs : antérieur (3) et postérieur (4). Au niveau de L1 on trouve l'aorte légèrement sur le bord gauche du rachis et de diamètre vraiment circulaire. A droite, on trouve la veine cave inférieure (4) plus aplatie. On trouve latéralement à L1, les deux reins (5) et (6), qui regardent en avant (avec leur hile, les deux lèvres antérieure et postérieure et leur face latérale). On peut également placer les bassinets ou pelvis (7) au niveau du hile. La paroi postérieure est constituée du muscle carré des lombes (8) et latéralement les muscles transverses (9). Les branches collatérales de l'aorte abdominale sont les artères rénales (10) : élément le plus postérieur du pédicule rénal. En avant se trouvent la veine rénale (11) qui se forme par la convergence de deux branches antérieure et postérieure. On a une différence de longueur entre veine rénale droite (très courte) et veine rénale gauche ( à retenir ++). L'artère rénale droite a normalement un trajet rétro cave avant de se terminer dans le hile du rein. En avant de la veine rénale, on a l'artère mésentérique supérieure (12) (niveau de L1) qui nait de la face antérieure de l'aorte abdominale. Elle va descendre et former avec l'aorte, la pince aortomésentérique (13) où passe la veine rénale gauche. Cette pince est parfois tellement serrée qu'elle peut entrainer une gène du retour veineux de la veine rénale gauche. Les ganglions sympathiques (14) sont en avant du rachis lombaire (/!\ différents des nœuds lympathiques). Ils sont soit en position inter aortico-cave, soit pré-cave, soit rétro-cave, soit latéro-cave. Les noeuds lymphatiques (18) sont plutôt situés autour de la veine cave. Rappel : Ganglions structures nerveuses ou ganglions noeuds lymphatiques. Toutes ces structures sont en situation rétro péritonéale (tous les organes intra peritonéaux sont situés en avant). Au niveau de L1, on a le premier duodénum puis le deuxième duodénum (15). La tête du pancréas (16) est encastrée au niveau de celui-ci. Le péritoine (17) tapisse la face postérieure du duodéno-pancréas, de la rate, passe dans l'espace entre le pancréas et le rein et se continue. Il y a aussi des nœuds lymphatiques autour de l'artère et de la veine mésentérique supérieure. 7/14

8 D. Plexus hypogastrique inférieur Schéma de «moitié systématisation et moitié topographique»: Le Plexus hypogastrique inférieur et ses branches efférentes 1. Sacrum vue de ¾ 2. Foramen sacré 3. Rectum 4. Vessie 5. Prostate 6. Corps érectiles 7. Bifurcation aortique 8. Plexus hypogastrique supérieur 9. Nerf hypogastrique gauche 10. Plexus hypogastrique inférieur Lame nerveuse 11. Chaine sympathique sacrée 12. Ganglion impar 13. Racine parasympathique sacrée 14. Nerfs parasympathiques érecteurs 15. Nerfs splanchniques 16. Plexus rectal supérieur 17. Plexus rectal inférieur 18. Plexus rectal prostatique (ou vésico prostatique) 19. Plexus rectal vésical (ou vésical supérieur) 20. Nerfs érectiles En avant du promontoire se trouve le PHS (8) qui va donner deux nerfs hypogastriques (9) droit et gauche. Ils vont rejoindre la corne postérieure et supérieure des PHI qui sont situés latéralement par rapport au rectum. On place également la chaine sympathique sacrée (11) : elle passe en dedans des foramen sacrés et se réunie par un ganglion median : le ganglion impar (12) à la face antérieure de S5. La chaine parasympathique sacrée (13) nait des racines ventrales de S2, S3, et S4. De ces racines naissent les nerfs parasympathiques érecteurs qui gagnent le PHI. 8/14

9 Latéralement par rapport au rectum (3), on trouve une lame nerveuse qui est le PHI (10). Il est formé à la fois du sympathique et du parasympathique et reçoit des branches afférentes par l'arrière. Ces branches sont Fibres Sympathiques par Le nerf hypogastrique (9) ( le plus facilement identifiable. Ici représenté : Nerf hypogastrique gauche qui gagne l'angle postéro-supérieur du PHI) Les ganglions sacrés via les nerfs splanchniques sacrés Des fibres parasympathiques Les nerfs érecteurs (14) Par la face postérieure du PHI, il y a donc tout un ensemble de fibres nerveuses qui amènent le contingent de fibres végétatives à ce PHI. Il va ensuite donner des branches efférentes qui sont sympathiques et parasympathiques. Elles vont gagner : Le rectum via un plexus rectal supérieur (16) (ce n'est pas le nerf rectal car il n'y a pas qu'un seul nerf identifié mais des fibres) un plexus rectal inférieur (17) qui va se diriger vers l'ampoule rectale. La vessie via Un plexus rectal vésical (19) ou vésical supérieur La prostate via Un plexus prostatique (18) ou vésico-prostatique Des nerfs érectiles (20) (vers la verge ou le clitoris) Le PHI est ainsi plus un mixage de fibres sympathiques, parasympathiques et somatiques. 9/14

10 E. Systématisation de l'innervation des organes pelviens Schéma de systématisation de l'innervation des organes pelviens ( sans orientation) 1. Sphincter vésical lisse 2. Sphincter vésical strié 3. Substance grise de la moelle spinale sacrée 4. Corne ventrale motrice 5. Corne dorsale sensitive 6. Fibres motrices parasympathiques 7. Fibres sensitives parasympathiques 8. Fibres motrices sympathiques 9. Fibres sensitives sympathiques 10. Fibres de la sensibilité cutanée 11. Fibres motrices volontaires 12. Detrusor 13. Arc réflexe La vessie a deux sphincters : un sphincter lisse, le sphincter vésical situé au niveau du col de la vessie et constitué de fibres musculaires lisses et un sphincter volontaire constitué de fibres musculaires striées. La vessie va avoir une innervation parasympathique et sympathique : Les centres parasympathiques se situent au niveau des myélomères S2, S3, S4 de la moelle spinale. Le parasympathique a une action activatrice au niveau du detrusor vidange. Le médiateur de cette voie est l' Ach. C'est pour cette raison que lorsqu'on donne des anti-cholinegiques, il y a un risque de rétention vésicale (défaut de contraction de la vessie par blocage de la voie motrice) Il y a les centres nerveux parasympathiques moteurs : situés au niveau de la base de la corne ventrale (au niveau des myélomères). A partir de ces centres nerveux, les fibres parasympathiques vont sortir par la corne ventrale, gagner les PHI et ensuite se terminer au 10/14

11 niveau du muscle vésical appelé détrusor Centres nerveux parasympathiques de la voie sensitive : elle est moins connue et est mise en doute par certains. Il semble qu'elle existe et qu'elle soit responsable d'une certaine sensibilité vésicale. Les fibres vont se terminer au niveau de la base de la corne dorsale. Il existe des fibres réflexes entre les centres sensitifs et moteurs qui vont former un arc réflexe. Celui-ci est responsable de la vidange vésicale. Par exemple chez le NN, pas de sensation de besoin volontaire qui se développe un petit peu plus tard. Les centre nerveux sympathiques se situent un peu plus haut, entre les myélomères Th11 et L2. Les fibres sympathiques sont médiées par la Noradrénaline. Voie motrice : les fibres vont gagner le detrusor où elles sont inhibitrices mais également le sphincter lisse de la vessie où elles sont activatrices continence. Voie sensitive: les fibres vont gagner les centres nerveux de la moelle, ensuite remonter vers l'encéphale pour devenir consciente (elle ne semble ne pas exister pour le parasympathique) Le sympathique est responsable de la continence alors que le parasympathique est responsable de l'évacuation et de la vidange. Ces deux systèmes sont inclus dans le système VEGETATIF. Pour l'innervation somatique, les fibres volontaires motrices vont gagner les sphincters striés et sont activatrices. Les fibres sensitives de la sensibilité cutanée périnéale vont remonter jusqu'au niveau de la substance grise de la corne dorsale et gagner les centres supérieurs. Lorsqu'un malade a une section de la moelle spinale entre les centres sympathiques et parasympathiques, au dessus des centres parasympathiques sacrés, ces centres ne marchent plus. La contraction du detrusor de façon volontaire ne fonctionne plus. C'est donc l'arc réflexe qui intervient : on dit que la vessie est autonome. (Les paraplégiques activent mécaniquement la contraction du detrusor par activation de l'arc réflexe en tapant sur la région pubienne). 11/14

12 F. Possibilités lésionnelles de l'innervation pelvienne Schéma de systématisation sur des endroits de possibles lésions de l'innervation pelvienne Les innervations sympathique et parasympathique gagnent par les branches afférentes le PHI. Et du PHI partent les branches efférentes, vers les différents organes avec leurs plexus respectifs. Si un malade a une section du sympathique en amont du PHI : (lésion complète ou curage complet des éléments rétro péritonéaux dans le cadre des cancers du testicule notamment). En cas de curage complet, on enlève les nœuds lymphatiques ainsi que les structures nerveuses sympathiques. Tout le parasympathique fonctionne (pas de troubles de l'érection) mais éjaculation non fonctionnelle (plus de vidange des vésicules séminales). Cela donne des anajéculations (= éjaculations sèches) ou des éjaculations rétrogrades (dans la vessie). On les voit le plus souvent lors de curages lombo-aortiques dans les cancers des testicules. Chaque fois qu'on va léser le PHI (chirurgie du rectum), on risque d'entrainer des lésions vésicales (rétention vésicales), des troubles de l'éjaculation et des troubles de l'érection. En cas de cisto-prostatectomie (ablation vessie + prostate), la continence fécale va être préservée (aucune lésion des nerfs en arrière) par contre il y aura forcement des troubles de l'éjaculation et de l'érection par lésion des plexus correspondants. En cas de prostatectomie isolée, il y aura des troubles de l'éjaculation ainsi qu'un risque d'avoir des troubles de l'érection (lésion des nerfs érectiles). Le concept de la chirurgie moderne pelvienne est basé sur la préservation des structures nerveuses. Rappel cours précédent : Tous les ganglions rectaux sont dans le fascia du rectum, les nerfs sont en dehors et recouverts par l'aponévrose pelvienne. Le mésorectum est un terme utilisé en clinique mais ne désigne pas une lame portevaisseaux comme d'habitude, c'est en fait de la graisse située entre le rectum et les PHI. En cas de tumeur localisée, il faut passer entre le fascia du rectum et le fascia pelvien pour préserver l'innervation pelvienne en enlevant de façon correcte tous les ganglions. Pour les cancers du rectum, en restant au contact du fascia rectal, on peut traiter correctement les malades c'est à dire enlever les nœuds lymphatiques et préserver l'innervation nerveuse. 12/14

13 Dans les années 90, par peur de résidus tumoraux on incisait très latéralement. Cependant on lésait l'innervation pelvienne alors que le taux de récidives restait toujours très haut. A partir de là, le prof a passé des imageries scanner ainsi qu'une vidéo en les commentant. C'était plus à titre pédagogique que dans le cours réellement. Voici quelques unes des images scanner G. Imagerie Scanner injecté avec produit de contraste. On est au niveau d'une vertèbre thoracique (diamètre antéro postérieur ( Th12). On peut voir 1. foie 2. vésicule biliaire 3. muscle psoas 4. Reins 5. Aorte ( après injection ) 6. Veine Cave ( non opacifiée ) 7. artère rénale droite 8. veine rénale gauche ( passe dans la pince aorto-mésentérique) 13/14

14 Scanner d'un patient jeune suite à un accident de la voie publique. Fracture du rein gauche + contusion rein gauche Medullaire rénale Corticale rénale Sang autour du rein Aorte avec en avant l'artère mésentérique supérieure contusion pariétale Situs inversus 14/14

TUTORAT UE 5 2012-2013 Anatomie Correction Séance n 6 Semaine du 11/03/2013

TUTORAT UE 5 2012-2013 Anatomie Correction Séance n 6 Semaine du 11/03/2013 TUTORAT UE 5 2012-2013 Anatomie Correction Séance n 6 Semaine du 11/03/2013 Appareil respiratoire-organogénèse de l appareil digestif Cours du Pr. PRUDHOMME Séance préparée par Anissa BARAKAT, Caroline

Plus en détail

SOCIETE ANATOMIQUE DE PARIS 45 75270 PARIS CEDEX

SOCIETE ANATOMIQUE DE PARIS 45 75270 PARIS CEDEX SOCIETE ANATOMIQUE DE PARIS 45 rue des Saints-Pères 75270 PARIS CEDEX 06 Séance du Vendredi 29 mai 2015 amphithéâtre Giroud (3 ème étage) 17h Les communications sont de 10 minutes suivies de 10 minutes

Plus en détail

IRM du Cancer du Rectum

IRM du Cancer du Rectum IRM du Cancer du Rectum quels CHOIX TECHNIQUES pour quels OBJECTIFS THERAPEUTIQUES? Frank Boudghène, T. Andre, A. Stivalet, I. Frey, L. Paslaru, V. Ganthier, M. Tassart Hopital Tenon - Université Paris

Plus en détail

TUTORAT UE5 spé PB 2010-2011 Anatomie Séance n 1 CORRECTION.

TUTORAT UE5 spé PB 2010-2011 Anatomie Séance n 1 CORRECTION. FACULTE De PHARMACIE TUTORAT UE5 spé PB 2010-2011 Anatomie Séance n 1 CORRECTION. ANATOMIE BASSIN OSSEUX ET ARTICULATIONS Séance préparée par Anne G. et Nicolas T. QCM n 1 :C. Après la naissance... Au

Plus en détail

Table des matières. Remerciements...v. Préface... vii. Avant-propos... xi. Mode d utilisation du manuel et du DVD... xv

Table des matières. Remerciements...v. Préface... vii. Avant-propos... xi. Mode d utilisation du manuel et du DVD... xv Remerciements...v Préface... vii Avant-propos... xi Mode d utilisation du manuel et du DVD... xv Nomenclature française traditionnelle et terminologie anatomique officielle...xvii Table des matières...

Plus en détail

Mise au point sur l IRM l troubles de la statique pelvienne chez la femme

Mise au point sur l IRM l troubles de la statique pelvienne chez la femme Mise au point sur l IRM l et les troubles de la statique pelvienne chez la femme V.FAUTH P.MESTDAGH M.COSSON J.P.LUCOT E.PONCELET Service d imagerie d médicalem Hôpital Jeanne de Flandres - CHRU Lille

Plus en détail

LE RACHIS : UNE ENTITE COMPLEXE IMPORTANTE A PRESERVER

LE RACHIS : UNE ENTITE COMPLEXE IMPORTANTE A PRESERVER LE RACHIS : UNE ENTITE COMPLEXE IMPORTANTE A PRESERVER I : INTRODUCTION Dans le cadre de la Semaine Européenne de la Construction il est utile de se remémorer ou de prendre simplement conscience que notre

Plus en détail

LE LARYNX VUE ANTERIEURE DU LARYNX : Décembre 2007 Sources Étudiantes. Faculté de Médecine Montpellier-Nîmes

LE LARYNX VUE ANTERIEURE DU LARYNX : Décembre 2007 Sources Étudiantes. Faculté de Médecine Montpellier-Nîmes LE LARYNX Le larynx est un conduit aérien qui joue un rôle essentiel dans la phonation mais aussi dans la respiration. Suite au larynx, se trouve la glotte, une zone rétrécie qui délimite les voies aériennes

Plus en détail

Incontinence anale du post-partum

Incontinence anale du post-partum Incontinence anale du post-partum Laurent Abramowitz Unité de proctologie médico-chirurgicale de l hôpital Bichat, Paris Et cabinet libéral Prévalence Inc anale France (1) : 11% > 45 ans Damon et al (2):Pop

Plus en détail

PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris

PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases

Plus en détail

L opéré de PROSTATECTOMIE RADICALE TOTALE

L opéré de PROSTATECTOMIE RADICALE TOTALE 1 L opéré de PROSTATECTOMIE RADICALE TOTALE Informations concernant la chirurgie et la rééducation fonctionnelle destinées aux patients Yves CASTILLE Docteur en Réadaptation et Kinésithérapie Service de

Plus en détail

Cancers de l hypopharynx

Cancers de l hypopharynx Cancers de l hypopharynx A- GENERALITES 1) Epidémiologie Cancer fréquent et de pronostic grave du fait de son évolution insidieuse et de son caractère lymphophile. C est quasiment toujours un carcinome

Plus en détail

LA HERNIE DISCALE LOMBAIRE

LA HERNIE DISCALE LOMBAIRE Feuillet d'information complémentaire à l attention du patient LA HERNIE DISCALE LOMBAIRE Madame, Monsieur, Suite aux examens, une hernie discale au niveau du rachis lombaire a été diagnostiquée, il faudrait

Plus en détail

Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT

Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie

Plus en détail

Allégez la charge! Dossier d enseignement: Soulever et porter des charges Exercices de consolidation niveau 2

Allégez la charge! Dossier d enseignement: Soulever et porter des charges Exercices de consolidation niveau 2 Allégez la charge! Dossier d enseignement: Soulever et porter des charges Exercices de consolidation niveau 2 Objectif Les apprenants soulèvent et portent des charges correctement. Public-cible - Des apprenants

Plus en détail

Articulations du coude et de l avant-bras

Articulations du coude et de l avant-bras Articulations du coude et de l avant-bras 1 Articulation du coude 1.1 Définition Le coude est l articulation intermédiaire du membre supérieur. Elle comprend trois articulations distinctes entre l humérus,

Plus en détail

ANATOMIE DE L AVANT-BRAS

ANATOMIE DE L AVANT-BRAS ANATOMIE DE L AVANT-BRAS Marc Revol, Jean-Marie Servant Compris entre le coude et le poignet, l'avant-bras (forearm) possède 2 os reliés entre eux par une membrane interosseuse. Il présente donc 2 loges

Plus en détail

.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203 .(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3 .( @.*" '!%2"+ %#(30! &' 4!!% .+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!

.( /.*!0) %1 2+ %#(3004) 05' 203 .(.*0+ ) '!2+ %#(30+ 0!%) 4!%2) 3 .( @.* '!%2+ %#(30! &' 4!!% .+.*0%!!'!(!%2+ 16 3047! !"#! $ %#&' (!"#$!% & % ' (!%' ) )''! *)+* *! %#"+, ' ( ', -) " *.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203.(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3.( -.* %)!(2"+ %#(30! &' 4!!%.+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!%(%' 0.(89.*

Plus en détail

Ceinture Home Dépôt. Orthèse lombaire et abdominale. Mother-to-be (Medicus)

Ceinture Home Dépôt. Orthèse lombaire et abdominale. Mother-to-be (Medicus) Orthèse lombaire et abdominale Mother-to-be (Medicus) Prévention Soutient courbe lombaire Supporte poids du ventre Ajustable Soulage les maux de dos en position debout (Beaty et al. 1999) Ceinture Home

Plus en détail

HERNIE DISCALE LOMBAIRE

HERNIE DISCALE LOMBAIRE Feuillet d'information complémentaire à l'attention du patient HERNIE DISCALE LOMBAIRE Madame, Monsieur, Suite aux examens, une hernie discale au niveau du rachis lombaire a été diagnostiquée ; il faudrait

Plus en détail

le bilan urodynamique Dr René Yiou, CHU Henri Mondor

le bilan urodynamique Dr René Yiou, CHU Henri Mondor le bilan urodynamique Dr René Yiou, CHU Henri Mondor Bilan urodynamique Continence et miction = résultat d'un rapport de forces vessie/urètre: 1. Pression vésicale de remplissage (compliance): doit rester

Plus en détail

Fonction de conduction de la moelle épinière. Dr F. TOUMI

Fonction de conduction de la moelle épinière. Dr F. TOUMI Fonction de conduction de la moelle épinière Dr F. TOUMI I. GENERALITES : Communication Moelle avec les centres supra spinaux Communication Intra segmentaire (ipsilatérale / controlatérale) Communication

Plus en détail

INCONTINENCE URINAIRE

INCONTINENCE URINAIRE INCONTINENCE URINAIRE Généralités Perte involontaire d'urine par l'urètre. Symptôme fréquent (2,5 millions de personnes en France). Nombre sous estimé. Risque 2 fois plus élevé pour les femmes que pour

Plus en détail

EXAMEN CLINIQUE D UN TROUBLE DE LA STATIQUE PELVIENNE

EXAMEN CLINIQUE D UN TROUBLE DE LA STATIQUE PELVIENNE EXAMEN CLINIQUE D UN TROUBLE DE LA STATIQUE PELVIENNE Pr Claude Hocké Pôle Gynécologie- Obstétrique-Reproduction Hôpital Pellegrin CHU Bordeaux 1 INTERROGATOIRE IL RESTE FONDAMENTAL ET PEUT ÊTRE DIVISÉ

Plus en détail

Le cliché thoracique

Le cliché thoracique Le cliché thoracique Date de création du document 2008-2009 Table des matières * Introduction... 1 1 Nomenclature radiologique... 1 2 Le cliché thoracique de face... 2 2. 1 Qualité du cliché... 1 2. 2

Plus en détail

Incontinence urinaire : trop souvent taboue

Incontinence urinaire : trop souvent taboue Incontinence urinaire : trop souvent taboue Tous concernés! De quoi s agit-il? C est une perte accidentelle ou involontaire des urines, qu il s agisse de quelques gouttes à une fuite plus conséquente :

Plus en détail

TRAITEMENT DE L INCONTINENCE URINAIRE. Dr B Pogu Urologue FMC Sud Marne

TRAITEMENT DE L INCONTINENCE URINAIRE. Dr B Pogu Urologue FMC Sud Marne TRAITEMENT DE L INCONTINENCE URINAIRE Dr B Pogu Urologue FMC Sud Marne DEFINITION! Incontinence urinaire (IU) : perte involontaire des urines par l urètre, survenant en dehors de la miction et pouvant

Plus en détail

TUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE

TUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE 1 Plan de cours I - TUMEURS PRIMITIVES DE LA VESSIE c1 - Tumeurs papillaires non infiltrantes c2 - Tumeurs papillaires infiltrantes c3 - Carcinome in-situ en muqueuse plane D - Pronostic : II - TUMEURS

Plus en détail

La langue, constituant la majeure partie de la partie inférieure de la cavité orale,

La langue, constituant la majeure partie de la partie inférieure de la cavité orale, LES «ANNEXES» DE LA CAVITE ORALE La Langue La langue, constituant la majeure partie de la partie inférieure de la cavité orale, occupe l espace dans cette cavité orale, dans la concavité de l arche mandibulaire,

Plus en détail

MON DOS AU QUOTIDIEN COMPRENDRE, ÉVITER ET SOULAGER LE MAL DE DOS

MON DOS AU QUOTIDIEN COMPRENDRE, ÉVITER ET SOULAGER LE MAL DE DOS MON DOS AU QUOTIDIEN COMPRENDRE, ÉVITER ET SOULAGER LE MAL DE DOS COMPRENDRE, ÉVITER ET SOULAGER LE MAL DE DOS Le mal de dos? Nous sommes pratiquement tous concernés! En effet, plus de 80% de la population

Plus en détail

dos La qualité au service de votre santé Avenue Vinet 30 1004 Lausanne - Suisse p r e n d r e s o i n d e s o n

dos La qualité au service de votre santé Avenue Vinet 30 1004 Lausanne - Suisse p r e n d r e s o i n d e s o n dos p r e n d r e s o i n d e s o n Avenue Vinet 30 1004 Lausanne - Suisse La qualité au service de votre santé Cette information, éditée par l Institut de physiothérapie de la Clinique de La Source, vous

Plus en détail

HERNIE DISCALE LOMBAIRE

HERNIE DISCALE LOMBAIRE Service de Chirurgie orthopédique et Traumatologique Hôpital Beaujon 100, boulevard du général Leclerc 92110 CLICHY Accueil : 01 40 87 52 53 Consultation : 01 40 87 59 22 Feuillet d information complémentaire

Plus en détail

LES COURBURES DE LA COLONNE VERTEBRALE

LES COURBURES DE LA COLONNE VERTEBRALE LES COURBURES DE LA COLONNE VERTEBRALE La colonne vertébrale présente des courbures normales (physiologiques) : lordoses et cyphoses qu'il convient de différencier de courbures pathologiques (cyphose accentuée,

Plus en détail

Prolapsus génital et incontinence urinaire chez la femme Professeur Pierre BERNARD Septembre 2002

Prolapsus génital et incontinence urinaire chez la femme Professeur Pierre BERNARD Septembre 2002 Prolapsus génital et incontinence urinaire chez la femme Professeur Pierre BERNARD Septembre 2002 Pré-Requis : Connaissance de bases : Anatomie du pelvis Classification des troubles de la statique génitale

Plus en détail

TVP fémorale. Systématisation. La TVP : écho-doppler JP Laroche Unité de Médecine Vasculaire CHU Montpellier. Thrombus mobile

TVP fémorale. Systématisation. La TVP : écho-doppler JP Laroche Unité de Médecine Vasculaire CHU Montpellier. Thrombus mobile Systématisation VCI Fémorale Superf. 3/4 Iliaque Poplitée La TVP : écho-doppler JP Laroche Unité de Médecine Vasculaire CHU Montpellier Mars 2015 Fémorale Sural Difficultés et Pièges: écho-doppler Veineux

Plus en détail

La douleur est une mauvaise habitude.

La douleur est une mauvaise habitude. La douleur est une mauvaise habitude. Vous pourriez avoir envie de dire : "non, c'est impossible! Je ne peux pas me faire du mal à moi-même!" et vous auriez en partie raison. Comme exemple de douleurs

Plus en détail

CENTRE D UROLOGIE PRADO-LOUVAIN. Prolapsus génital

CENTRE D UROLOGIE PRADO-LOUVAIN. Prolapsus génital CENTRE D UROLOGIE PRADO-LOUVAIN Prolapsus génital Qu est-ce que c est? Le prolapsus génital est une affection féminine. Il se définit par une saillie des organes pelviens (vessie, utérus, rectum) à travers

Plus en détail

Athénée Royal d Evere

Athénée Royal d Evere Athénée Royal d Evere Prévention des hernies discales en milieu scolaire et dans la vie de tous les jours Présenté par Didier Vanlancker LEVAGE DE CHARGES POSITION INITIALE Levage de charges Jambes légèrement

Plus en détail

CEPHALEES POST-BRECHE DURALE. Post Dural Puncture Headache (PDPH)

CEPHALEES POST-BRECHE DURALE. Post Dural Puncture Headache (PDPH) CEPHALEES POST-BRECHE DURALE Post Dural Puncture Headache (PDPH) G. Buzançais Dr E. Morau 6 Mars 2013 Plan Introduction Physiopathologie Traitements Conclusion Définitions Brèche durale Ponction de dure-mère

Plus en détail

Comment Ne Plus Souffrir. Du Mal Au Dos

Comment Ne Plus Souffrir. Du Mal Au Dos Guide pratique pour apprendre comment soigner ses maux de dos Comment Ne Plus Souffrir Du Mal Au Dos Daniela Vannuchi Experte en Biokinétiques (C.S.C.S) Je ne veux Plus Souffrir! Table des matières MAL

Plus en détail

Apport de l IRM dans le bilan préthérapeutique du cancer du rectum

Apport de l IRM dans le bilan préthérapeutique du cancer du rectum Apport de l IRM dans le bilan préthérapeutique du cancer du rectum Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE PLAN Introduction Matériel

Plus en détail

K I N é S I T H é R A P I E & D B C

K I N é S I T H é R A P I E & D B C KINéSITHéRAPIE & DBC KINéSITHéRAPIE & DBC Informations T (+352) 23 666-810 kine@mondorf.lu Rééducation Individuelle Le service de de Mondorf Domaine Thermal propose une gamme complète de traitements individuels

Plus en détail

1985, 169, n 7, 1071-1075,séancedu 22 octobre1985. ALBARÈDE et Jean-Claude DARRAS

1985, 169, n 7, 1071-1075,séancedu 22 octobre1985. ALBARÈDE et Jean-Claude DARRAS Bull. Acad.NatleMéd., 1985, 169, n 7, 1071-1075,séancedu 22 octobre1985 Etude des méridiens d'acupuncture Par les traceurs radioactifs Pierre de VERNEJOUL *, Pierre ALBARÈDE et Jean-Claude DARRAS On sait

Plus en détail

Les différentes maladies du coeur

Les différentes maladies du coeur Auteur : Dr Pascal AMEDRO Les différentes maladies du coeur 1. Le cœur normal L oxygène capté dans l air va dans les poumons, où le sang «bleu» est alors oxygéné et devient «rouge». Il est conduit par

Plus en détail

QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE?

QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE? QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE? Vous allez être opéré(e) à la clinique Saint-pierre d une fistule anale par l équipe chirurgicale des docteurs Bardou, Ben brahem

Plus en détail

Traumatismes pelviens

Traumatismes pelviens Traumatismes pelviens Baptiste Vallé Desc Mu Nov 2012 GENERALITES Traumatismes fréquents, graves, violents et générés à haute énergie: Polytraumatisme: AVP, chute de grande hauteur Pronostic vital en jeu

Plus en détail

Cette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise.

Cette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise. Qu est-ce qu une arthroscopie? Il s agit d une intervention chirurgicale mini-invasive dont le but est d explorer l articulation du genou et de traiter la lésion observée dans le même temps. Comment se

Plus en détail

MANUEL DE CHIRURGIE PÉDIATRIQUE (chirurgie viscérale) Année 1998

MANUEL DE CHIRURGIE PÉDIATRIQUE (chirurgie viscérale) Année 1998 Collège Hospitalo-Universitaire de Chirurgie Pédiatrique MANUEL DE CHIRURGIE PÉDIATRIQUE (chirurgie viscérale) Année 1998 TRAUMATISMES DE L ABDOMEN. J.M. GUYS INTRODUCTION I - LE MECANISME DES LESIONS

Plus en détail

LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique

LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique Caroline Karras-Guillibert Rhumatologue, Hôpital Saint Joseph, Marseille La lombalgie chronique : le «mal du siècle»?

Plus en détail

quelques rappels indispensables

quelques rappels indispensables DOSSIER ACTIVITÉS POSTURE ET ANATOMIE : quelques rappels indispensables 7 Position neutre du bassin Les attitudes corporelles Position A : alignement correct avec une courbure physiologique respectée Position

Plus en détail

Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express

Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des

Plus en détail

Module digestif. II. Prévention du reflux gastro-œsophagien :

Module digestif. II. Prévention du reflux gastro-œsophagien : Module digestif Pathologie œsophagique I. Rappel anatomique : Etendu de 15 à 40 cm des arcades dentaires. D environ 25 cm de long. Constitué de 2 types de muscles. Recouvert par une muqueuse malpighienne

Plus en détail

La déchirure. Les risques. Troubles périnéaux du post-partum. La déchirure

La déchirure. Les risques. Troubles périnéaux du post-partum. La déchirure Troubles périnéaux du post-partum La déchirure T. Linet La déchirure Les risques Entre 2 et 6 % de périnée complet mais TRES sous diagnostiqué car ± rupture du sphincter interne sur périnée semblant intact

Plus en détail

Risques liés à l'activité physique au travail Hyper sollicitation articulaire

Risques liés à l'activité physique au travail Hyper sollicitation articulaire Risques liés à l'activité physique au travail Hyper sollicitation articulaire Mireille Loizeau Cours DIUST Paris Descartes-20 janvier 2015 1 Définition et facteurs de risque 2 Définition Contraintes bio-mécaniques,

Plus en détail

RACHIS ET PAROI ABDOMINALE

RACHIS ET PAROI ABDOMINALE RACHIS ET PAROI ABDOMINALE 1. ANATOMIE Le rachis, ou colonne vertébrale, est constitué de vertèbres issues du mésoderme entourant la corde dorsale (axe de symétrie cartilagineux des premiers vertébrés

Plus en détail

La fonction respiratoire

La fonction respiratoire La fonction respiratoire Introduction Fonction vitale : Au-delà de 3 min = atteintes graves Après 5 min = très altérés On parle de 3 phénomènes : Ventilation : respiration visible, échanges aériens intérieur

Plus en détail

Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques

Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques T Smayra, L Menassa-Moussa, S Slaba, M Ghossain, N Aoun Hôtel-Dieu de France, Université

Plus en détail

Lombosciatalgie aigue et chronique Quelle prise en charge? Dr Azizi Fatima Rabat

Lombosciatalgie aigue et chronique Quelle prise en charge? Dr Azizi Fatima Rabat Lombosciatalgie aigue et chronique Quelle prise en charge? Dr Azizi Fatima Rabat rappeler l examen clinique du rachis Reconnaître les signes d alertes(red flags) Distinguer la lombalgie commune d une lombalgie

Plus en détail

Leucémies de l enfant et de l adolescent

Leucémies de l enfant et de l adolescent Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE

Plus en détail

I. EXERCICES POUR LA CERVICALGIE CHRONIQUE. Exercice 1 : Posture

I. EXERCICES POUR LA CERVICALGIE CHRONIQUE. Exercice 1 : Posture 148 l e x a m e n m u s c u l o s q u e l e t t i q u e I. EXERCICES POUR LA CERVICALGIE CHRONIQUE Faites les exercices suivants au moins 2 fois par jour, tous les jours. Faites l effort de maintenir une

Plus en détail

Traitement chirurgical du reflux gastro-œsophagien et de la hernie hiatale

Traitement chirurgical du reflux gastro-œsophagien et de la hernie hiatale Relecture scientifique Société française Relecture juridique Médecins experts Relecture déontologique Médecins Conseil national de l ordre des médecins (CNOM) Relecture des patients Confédération interassociative

Plus en détail

EVALUATION D UN OUTIL NUMERIQUE : LA TABLETTE GRAPHIQUE EN ENSEIGNEMENT DIRIGE MEMOIRE DIPLOME INTER-UNIVERSITAIRE UNIVERSITES PARIS V, VI, XI ET XII

EVALUATION D UN OUTIL NUMERIQUE : LA TABLETTE GRAPHIQUE EN ENSEIGNEMENT DIRIGE MEMOIRE DIPLOME INTER-UNIVERSITAIRE UNIVERSITES PARIS V, VI, XI ET XII Année universitaire 2010-2011 MEMOIRE pour l obtention du DIPLOME INTER-UNIVERSITAIRE DE PEDAGOGIE MEDICALE UNIVERSITES PARIS V, VI, XI ET XII EVALUATION D UN OUTIL NUMERIQUE : LA TABLETTE GRAPHIQUE EN

Plus en détail

TECHNIQUES DE RENFORCEMENT MUSCULAIRE SOUS LA DIRECTION DE A. A. BELKHIRIA

TECHNIQUES DE RENFORCEMENT MUSCULAIRE SOUS LA DIRECTION DE A. A. BELKHIRIA TECHNIQUES DE RENFORCEMENT MUSCULAIRE SOUS LA DIRECTION DE A. A. BELKHIRIA OBJECTIF : Cette formation a pour objectif de favoriser la capacité de l étudiant à maitriser les fondamentaux du renforcement

Plus en détail

ANALYSE DU MOUVEMENT EXEMPLE : LE SQUAT

ANALYSE DU MOUVEMENT EXEMPLE : LE SQUAT PACOUIL Christophe1 Option culturisme 2012-2013 ANALYSE DU MOUVEMENT 1. Nous étudions les articulations concernées 2. Nous analysons la mécanique 3. Nous cherchons les muscles sollicités au plan moteur,

Plus en détail

schémas du by-pass gastrique pour obésité morbide

schémas du by-pass gastrique pour obésité morbide Femme de 58 ans, opérée d un by-pass gastrique 2 ans auparavant. Depuis 10jours, nausées et vomissements. Quels sont les éléments sémiologiques significatifs à retenir sur ls images scanographiques après

Plus en détail

Os Hyoïde. Cartilage thyroïde. Cartilage Cricoïde. Cartilage Trachéal. S ouvre à la déglutition et à l expiration

Os Hyoïde. Cartilage thyroïde. Cartilage Cricoïde. Cartilage Trachéal. S ouvre à la déglutition et à l expiration MUSCULEUSE OESOPHAGIENNE : 1/3 supérieur : Musculeuse striée longitudinale (Paroi) + S.S.O 1/3 moyen : Musculeuse striée externe longitudinale + circulaire lisse interne 1/3 inférieur : Musculeuse circulaire

Plus en détail

Pseudotumor cerebri. Anatomie Le cerveau et la moelle épinière baignent dans un liquide clair, appelé le liquide céphalo-rachidien (LCR).

Pseudotumor cerebri. Anatomie Le cerveau et la moelle épinière baignent dans un liquide clair, appelé le liquide céphalo-rachidien (LCR). Hypertension intracrânienne idiopathique Pseudotumor cerebri Votre médecin pense que vous pouvez souffrir d hypertension intracrânienne idiopathique connue aussi sous le nom de «pseudotumeur cérébrale».

Plus en détail

Respiration abdominale d effort encore appelée respiration abdominale inversée

Respiration abdominale d effort encore appelée respiration abdominale inversée Respiration abdominale d effort encore appelée respiration abdominale inversée Intérêt dans la prévention et le traitement des LOMBALGIES, SCIATIQUES et RACHIALGIES et dans les MANUTENTIONS DE CHARGES

Plus en détail

Le périnée féminin de la superficie à la profondeur

Le périnée féminin de la superficie à la profondeur UNIVERSITE DE NANTES FACULTE DE MEDECINE MAITRISE EN SCIENCES BIOLOGIQUES ET MEDICALES M.S.B.M MEMOIRE POUR LE CERTIFICAT D ANATOMIE, D IMAGERIE ET DE MORPHOGENESE 2002-2003 UNIVERSITE DE NANTES Le périnée

Plus en détail

Chapitre 7: Dynamique des fluides

Chapitre 7: Dynamique des fluides Chapitre 7: Dynamique des fluides But du chapitre: comprendre les principes qui permettent de décrire la circulation sanguine. Ceci revient à étudier la manière dont les fluides circulent dans les tuyaux.

Plus en détail

La musculation en période hivernaleeeee

La musculation en période hivernaleeeee Centre de formation CR4C Roanne Flash performance n 2 (entraînement, biomécanique, nutrition, récupération ) Réalisé par Raphaël LECA & Jean-Charles ROMAGNY www.culturestaps.com La musculation en période

Plus en détail

L ATROPHIE DU SPHINCTER ANAL EXTERNE en ENDOSONOGRAPHIE TRIDIMENSIONNELLE. Vincent de PARADES PARIS

L ATROPHIE DU SPHINCTER ANAL EXTERNE en ENDOSONOGRAPHIE TRIDIMENSIONNELLE. Vincent de PARADES PARIS L ATROPHIE DU SPHINCTER ANAL EXTERNE en ENDOSONOGRAPHIE TRIDIMENSIONNELLE Vincent de PARADES PARIS INTRODUCTION L incontinence anale du post-partum partum relève de deux mécanismes : la déchirure de l

Plus en détail

personne sur cinq présente ces troubles en association. prise en considération. Les moyens palliatifs pour le maintien des personnes

personne sur cinq présente ces troubles en association. prise en considération. Les moyens palliatifs pour le maintien des personnes 1. INTRODUCTION D après une enquête réalisée en 1989 par P.MINAIRE (1) auprès de 3000 femmes, 37% d entre elles déclarent présenter des troubles mictionnels, avec un taux à peu près équivalent entre les

Plus en détail

Reprise de la marche chez le blessé médullaire Etat actuel, nouvelles perspectives

Reprise de la marche chez le blessé médullaire Etat actuel, nouvelles perspectives Reprise de la marche chez le blessé médullaire Etat actuel, nouvelles perspectives Professeur Bernard BUSSEL Service de Rééducation Neurologique, Hôpital Raymond Poincaré 92380 GARCHES Tel. 01 47 10 70

Plus en détail

REEDUCATION DU POST-PARTUM

REEDUCATION DU POST-PARTUM Communauté Périnatale de l Agglomération Versaillaise Association Loi 1901 n 0784014641 29 rue de Versailles - 78150 Le Chesnay Tel : 01.39.43.12.04 Fax : 01.39.43.13.58 E-Mail : cpav@medical78.com Web:

Plus en détail

MINI-SÉANCE D EXERCICES POUR LE DOS ET LA POSTURE

MINI-SÉANCE D EXERCICES POUR LE DOS ET LA POSTURE MINI-SÉANCE D EXERCICES POUR LE DOS ET LA POSTURE Avertissement : Ce document n a pas la prétention de tout dire sur les maux de dos car il faudrait pour cela qu il ait la taille d un livre. Les exercices

Plus en détail

FONCTION DU POUCE. Pr Gilbert VERSIER Service de chirurgie orthopédique HIA Begin 94160 ST-MANDE

FONCTION DU POUCE. Pr Gilbert VERSIER Service de chirurgie orthopédique HIA Begin 94160 ST-MANDE FONCTION DU POUCE Pr Gilbert VERSIER Service de chirurgie orthopédique HIA Begin 94160 ST-MANDE L iconographie est notamment issue des ouvrages de Mr Netter et Kapandji. LA COLONNE DU POUCE Constituée

Plus en détail

Stages APOR B de GASQUET. Nos experts invités en 2010. Formation continue masseurs-kinésithérapeutes et ostéopathes

Stages APOR B de GASQUET. Nos experts invités en 2010. Formation continue masseurs-kinésithérapeutes et ostéopathes Formation continue masseurs-kinésithérapeutes et ostéopathes Stages APOR B de GASQUET Stage 1 Abdominaux arrêtez le massacre (niveau 1) Stage 2 Dossier périnéal (sans pré-requis) Stage 3 Maternité : travail

Plus en détail

d une Dr Ei Eric Peterman

d une Dr Ei Eric Peterman d une Dr Ei Eric Peterman Implantations de MDM MALI: 1994-2010 TCHAD: 2009-2010 - 2-3 millions de fistules obstétricales dans le monde - 90% en Afrique (source OMS) MDM Yaoundé 2010 MOPTI MDM BERLIN 2010

Plus en détail

MEMOIRE DE FIN DE FORMATION A LA METHODE MEZIERES. Les abdominaux n ont plus la pression!

MEMOIRE DE FIN DE FORMATION A LA METHODE MEZIERES. Les abdominaux n ont plus la pression! MEMOIRE DE FIN DE FORMATION A LA METHODE MEZIERES Les abdominaux n ont plus la pression! AMIK PROMOTION 2010-2012 ALEXANDRE Valérie Remerciements Je souhaite remercier toutes les personnes qui m ont aidé

Plus en détail

DENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR

DENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR DENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR C Andreux et F L Huillier H Guerini, A Feydy, X Poittevin, F Thevenin, R Campagna, JL Drapé, A Chevrot Hôpital COCHIN, Paris, France OBJECTIF Proposer

Plus en détail

Incontinence urinaire. DR.L.PEYRAT C.H.U. Tenon, Paris

Incontinence urinaire. DR.L.PEYRAT C.H.U. Tenon, Paris Incontinence urinaire DR.L.PEYRAT C.H.U. Tenon, Paris INCONTINENCE URINAIRE : DEFINITION 2002 ICS (Internationnal Contience Society) : perte involontaire d urine, on distingue Symptôme : élément décrit

Plus en détail

Définitions. MALADIES GRAVES Protection de base Protection de luxe. PROTECTION MULTIPLE pour enfant

Définitions. MALADIES GRAVES Protection de base Protection de luxe. PROTECTION MULTIPLE pour enfant Définitions MALADIES GRAVES Protection de base Protection de luxe PROTECTION MULTIPLE pour enfant Voici les définitions des maladies graves et non critiques que vous pouvez retrouver dans les garanties

Plus en détail

Lexique. ADN Type Classe 1 Tests réalisés en utilisant les techniques ADN pour déterminer le type HLA- A,B,C, d'un individu au niveau allélique.

Lexique. ADN Type Classe 1 Tests réalisés en utilisant les techniques ADN pour déterminer le type HLA- A,B,C, d'un individu au niveau allélique. Lexique Le glossaire suivant a été établi par de nombreux pays européens impliqués dans le projet Eurocet, dans le but d'harmoniser la terminologie utilisée dans le domaine du don et de la transplantation

Plus en détail

introduction & sommaire

introduction & sommaire introduction & sommaire 3 MT* - MALE TO SOMETHING est une brochure pour les personnes assignées hommes par les sciences biomédicales et qui sont en transition vers une identité fluide ou féminisée et toutes

Plus en détail

Résultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants.

Résultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants. Résultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants. P. Fajadet, L. Carfagna, O. Loustau, J. Vial, J. Moscovici, J.J. Railhac, N. Sans. Radiologie Interventionnelle

Plus en détail

Apport de l IRM dans la

Apport de l IRM dans la Apport de l IRM dans la caractérisation tissulaire préopératoire des tumeurs rectales Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE PLAN Introduction

Plus en détail

Le dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient!

Le dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient! Le dépistage du cancer de la prostate une décision qui VOUS appartient! Il existe un test de dépistage du cancer de la prostate depuis plusieurs années. Ce test, appelé dosage de l antigène prostatique

Plus en détail

Le mal de dos est décrit par de nombreux auteurs

Le mal de dos est décrit par de nombreux auteurs Carrière et mal de dos, la nécessaire prévention Les professionnels des métiers de la petite enfance sont particulièrement confrontés au fléau social qu est le mal de dos. Touchant près de 80 % de la population

Plus en détail

UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire

UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire Imagerie Imagerie de Gamma Caméra Tomographie d émission monophotoniqueou TEMP: radiopharmaceutiqueémetteurs de rayonnement Gamma Imagerie de Caméra TEP

Plus en détail

Ergonomie au bureau. Votre santé avant tout

Ergonomie au bureau. Votre santé avant tout Ergonomie au bureau Votre santé avant tout L individu est unique, sa morphologie aussi. L aménagement ergonomique de la place de travail doit tenir compte des spécificités de chacun. Il permet d éviter

Plus en détail

9e Colloque SST Sherbrooke, 14 mai 2014. ASFETM Ergonomie - TMS - Prévention des maux de dos

9e Colloque SST Sherbrooke, 14 mai 2014. ASFETM Ergonomie - TMS - Prévention des maux de dos 9e Colloque SST Sherbrooke, 14 mai 2014 ASFETM Ergonomie - TMS - Prévention des maux de dos par Charbel Mawad, M.Sc. Hygiéniste industriel / Ergonome ASFETM Association sectorielle - Fabrication d équipement

Plus en détail

La prévention c est pour la vie! LES MAUX DE DOS. La colonne vertébrale : un assemblage bien pensé

La prévention c est pour la vie! LES MAUX DE DOS. La colonne vertébrale : un assemblage bien pensé D O S S I E R S P É C I A L LES MAUX DE DOS La colonne vertébrale : un assemblage bien pensé La source du mal Éviter les maux de dos Écouter son corps Quand la douleur demeure : les maux de dos chroniques

Plus en détail

Biométrie foetale. Comité éditorial pédagogique de l'uvmaf. Date de création du document 01/071011. - Support de Cours (Version PDF) -

Biométrie foetale. Comité éditorial pédagogique de l'uvmaf. Date de création du document 01/071011. - Support de Cours (Version PDF) - Biométrie foetale Comité éditorial pédagogique de l'uvmaf Date de création du document 01/071011 Table des matières I Techniques de biométrie...3 I.1 Mesure de la longueur cranio-caudale...3 I.2 Mesure

Plus en détail

Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés

Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique

Plus en détail

Les postures, l appareillage Point de vue du médecin MPR. Dr. P. LUBLIN MOREL CMPR de COUBERT 2011

Les postures, l appareillage Point de vue du médecin MPR. Dr. P. LUBLIN MOREL CMPR de COUBERT 2011 Les postures, l appareillage Point de vue du médecin MPR Dr. P. LUBLIN MOREL CMPR de COUBERT 2011 Introduction Le rôle du médecin MPR : poser les indications Réflexion pluridisciplinaire Définir les objectifs

Plus en détail

Prostate Une petite glande de grande importance

Prostate Une petite glande de grande importance Prostate Une petite glande de grande importance Informations sur les maladies les plus fréquentes, à l intention des patients et des personnes intéressées Société Suisse d Urologie (SSU) Votre partenaire

Plus en détail

Claude Karger Anne Sophie Kesseler

Claude Karger Anne Sophie Kesseler Claude Karger Anne Sophie Kesseler Docteur, j ai mal au dos!! Faites de la natation, ça va passer Mythe ou réalité? Les poissons souffrent-ils du dos? A priori, non. Pourquoi? Ne sont pas soumis à la pesanteur!!

Plus en détail

Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques?

Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? L Fournier, D Balvay, CA Cuénod Service de radiologie, Hôpital Européen Georges Pompidou Laboratoire de Recherche en Imagerie, Equipe

Plus en détail

MOUVEMENTS DE BASE (global) EN MUSCULATION. bphiver2013 Hamrouni Samy 1

MOUVEMENTS DE BASE (global) EN MUSCULATION. bphiver2013 Hamrouni Samy 1 MOUVEMENTS DE BASE (global) EN. bphiver2013 Hamrouni Samy 1 Squat Développé Couché Traction Traction bphiver2013 Hamrouni Samy 2 Un travail de ces mouvements sur appareils guidés est plus sécurisant mais

Plus en détail