N 97 BULLETIN DE LIAISON DE L UNION DES CHIRURGIENS DENTISTES RETRAITÉS. Décembre. Chers Amis, Que de changements en si peu de temps!

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1 N 97 Décembre 2010 BULLETIN DE LIAISON DE L UNION DES CHIRURGIENS DENTISTES RETRAITÉS Chers Amis, Que de changements en si peu de temps! Changement de présentation de notre journal, «Le Trait d Union», qui paraît désormais en couleur; nous comptions le faire à l occasion du N 100, mais nous avons pensé qu à nom nouveau, devait correspondre une nouvelle présentation. La nouvelle appellation ne vous surprendra pas, puisque je vous l avais annoncée dans le précédent TU N 96. Il n est pas question, à travers ces modifications de rejeter l héritage de nos prédécesseurs, mais notre Association, créée en 1955 avait besoin de retrouver quelques. «couleurs» précisément. L Assemblée Générale extraordinaire du 11 juin dernier a voté à une importante et large majorité, les différents changements proposés. Je tiens d ailleurs à remercier les consœurs et les confrères qui, répondant à notre appel, ont assisté en grand nombre à cette Assemblée, prouvant par là le dynamisme de notre mouvement. Nous sommes donc devenus depuis cette date : UNION des CHIRURGIENS-DENTISTES RETRAITÉS U.C.D.R Il est toujours délicat de bouleverser les habitudes d une institution «vieille» de 55ans comme notre UCDN, mais il nous est apparu que cette nouvelle appellation présentait l avantage, en ne changeant qu une seule lettre à notre sigle, de mieux nous identifier, et de mieux nous faire connaître auprès de nos interlocuteurs. (Ce qui vient de se vérifier au Congrès de l ADF, comme vous pourrez le lire en pages intérieures). Nous pensons en particulier aux futurs retraités, et aux différents partenaires professionnels et sociaux. Ils ne pourront plus ignorer que nous sommes des Chirurgiens-Dentistes, et des «Retraités», puisque ces qualificatifs figurent dans notre nouvelle appellation. L autre modification statutaire importante est la transformation des Délégations Régionales, en «Associations Régionales», plus autonomes et surtout dotées d une existence juridique que les anciennes Délégations ne possédaient pas. Cette étape franchie, nous avons poursuivi la restructuration de notre Association, notamment en faisant travailler les différentes commissions, du Trait d Union, et du Recrutement. Les résultats sont encourageants, puisque à l issue de la 2 ème rétrocession 2010, concernant la moitié des Régions seulement, le nombre d adhérents est nettement supérieur au total des adhésions de toute l année (suite page 2)

2 ( suite) LE MOT DU PRÉSIDENT Ce travail de restructuration et de réorganisation, se traduisant par l augmentation de nos effectifs, a pour but, en étant de plus en plus nombreux, de nous rendre plus crédibles et plus efficaces dans la défense de nos régimes de retraite C est aussi pour cela, que nous avons rencontré les Présidents Nationaux de l Ordre, de la CNSD et de la CARCDSF. Au sein de cette dernière, nous avons été reçus à plusieurs reprises par Guy Morel ainsi que par son Bureau, notamment pour s informer de la prochaine réforme du Régime Complémentaire, à laquelle le Vice-Président Jean-Marie Massy consacre un article dans les pages intérieures de ce TU. La défense de nos allocations n est pas chose aisée dans le contexte actuel, où chacun défend son pré carré pour tenter de limiter les effets négatifs de la crise. Nous ferons tout pour que nos représentants au Conseil d Administration de la Caisse obtiennent une augmentation de la valeur du point dans le Régime Complémentaire, proche de l inflation. (Nous vous ferons part, en dernière minute, de cette valeur, si le vote à la Caisse intervient avant l impression du TU) Vous pouvez compter sur l UCDR pour vous défendre, mais nous comptons aussi sur vous pour attirer de nouveaux adhérents au sein de notre Association, où continuent de régner l amitié, la convivialité et la confraternité. Je ne voudrais pas terminer cet éditorial sans vous souhaiter, au nom du Bureau National, et en mon nom personnel, une Bonne et Heureuse Année 2011, à l abri des soucis de santé, remplie de Joies et de Bonheur, souhaits que vous voudrez bien partager avec toute votre Famille. Soyez assurés, Chers Amis, de mes sentiments confraternels, amicaux et dévoués les meilleurs. n Yves ROUSSEL, Président de l UCDR Sommaire du N 97 NOVEMBRE 2010 Le mot du Président 1 Le mot du Président (suite) 2 Procès verbal de la réunion de l Assemblée Générale Extraordinaire 3 L Assemblée Générale Ordinaire 3 Rapport Financier ASN 7 Congrès ADF 9 Numérus Clausus 10 La dépendance et les niches fiscales 11 CARCDSF et Commission des Affaires Economiques de la CNSD 12 En mission humanitaire dans le Siné-saloum au Sénégal 13 L Ile de France sur le Danube 14 L Odontologie Médico-Légale 15 Décès de Bernard CURTILLAT 16 Solutions Mots croisés TU N Mots croisés 17 Recette «Ananas» 17 Bloc-Notes 18 2 TU

3 PROCÈS VERBAL de l Assemblée Générale Extraordinaire du 11 juin 2010 Le vendredi 11 juin 2010, à 9 h 45 heures, les membres de l Union Confraternelle Dentaire Nationale, se sont réunis en Assemblée Générale Extraordinaire, dans la salle Clémenceau du Sénat, 15 ter rue de Vaugirard, à Paris, sur convocation du Président National, Yves Roussel, effectuée par lettre, conformément à l article 7 des statuts. Le projet de rédaction des nouveaux Statuts proposés aux adhérents de l UCDN avait été préalablement porté à la connaissance de ces derniers dans sa publication : «Le Trait d Union» n 96. A l ordre du jour figuraient donc la présentation et l adoption de ces nouveaux statuts. Il a été dressé une feuille de présence qui a été signée par tous les membres de l Assemblée Générale Extraordinaire, présents ou représentés, lors de leur entrée en séance. Le Dr Roussel présidait la séance, assisté du Secrétaire Général, le Dr Gounant secrétaire de séance, et des Drs Prolhac et Guez comme scrutateurs. A la suite de cette Assemblée Générale Extraordinaire les nouveaux statuts ont été adoptés par 219 voix et une voix contre. L Union Confraternelle Dentaire Nationale devient, à la suite de cette Assemblée Générale Extraordinaire : L Union des Chirurgiens Dentistes Retraités : UCDR n Yves ROUSSEL, Président de l UCDR ASSEMBLÉE GÉNÉRALE ORDINAIRE Cette Assemblée a eu lieu au Sénat, Salle Clemenceau, le vendredi 11 juin Le Président, Yves ROUSSEL, ouvre la séance après l Assemblée Générale Extraordinaire où les nouveaux statuts de l UCDR viennent d être adoptés. Suivant la tradition, le Président demande une minute de silence à la mémoire des confrères décédés au cours de l année écoulée. Puis le Président remercie les personnalités, représentantes des actifs, qui ont accepté de participer à cette Assemblée : Guy MOREL, Président de la Caisse de Retraite, Alain ZATTI, Secrétaire Général Adjoint de la CARCDSF, André MICOULEAU, Vice-président du Conseil National de l Ordre, Roland LHERON, Président de la CNSD, qui devrait nous rejoindre pour le déjeuner. Le Président se dit heureux de cette présence des membres actifs de notre profession avec lesquels le dialogue est indispensable. Ils pourront, s ils le veulent, intervenir au cours de nos débats. Il se réjouit également de constater qu il y a 134 participants, qui ont fait l effort de se déplacer, ce qui prouve que notre UCDN est toujours bien vivante, et il les en remercie. Il donne la parole au Secrétaire Général, Jean GOUNANT, pour son rapport d activités. RAPPORT D ACTIVITÉS Yves ROUSSEL a pris la Présidence de l UCDN il y a tout juste huit mois en manifestant le désir de continuer la politique de ses prédécesseurs, mais en ayant cependant besoin d outils neufs pour mener à bien sa politique. C est pourquoi il a été décidé de revoir les statuts, et de faire entrer quelques têtes nouvelles dans le Bureau : Albert KLEIN, à la Vice Présidence, Guy ROBERT comme conseiller auprès du Président, et Victor GUEZ au poste de Rédacteur du «Trait d Union». Comme vous l avez constaté, ces statuts que vous avez adoptés ce matin au cours de l Assemblée Générale Extraordinaire sont plus en TU

4 ASSEMBLÉE GÉNÉRALE ORDINAIRE adéquation avec l action politique à entreprendre dans la situation actuelle : information, recrutement, dialogue. Pour améliorer le recrutement et en accord avec Guy MOREL, il a été décidé d organiser des réunions d information, dans plusieurs Régions au cours de l année Une, a déjà eu lieu en Rhône Alpes en avril dernier. Tous les allocataires des quatre départements de cette Région ont été invités à participer à une réunion d information. Tous les retraités y étaient conviés et ce fut l occasion de rappeler l existence de notre Association à ceux d entre eux qui bien souvent ne la connaissaient pas. Les membres locaux de l UCDN en ont profité pour faire une moisson de nouveaux adhérents. Il est en effet nécessaire d être très nombreux si nous voulons être entendus. C est pourquoi il est regrettable de constater les tentatives de divisions, voire même de scissions, fomentées par certains. Ils desservent la profession toute entière et les retraités en particulier. Aplanir ces divergences, ouvrir le dialogue, sont les grandes préoccupations d Yves ROUSSEL, mais il a aussi d autres priorités pour défendre les retraites. Pour être reconnu, il faut se faire connaître davantage. C est pourquoi Victor GUEZ a été nommé Rédacteur du «Trait d Union». dans lequel vous avez, sans doute, trouvé une amélioration dès les deux derniers numéros. Parallèlement au «Trait d Union», Victor GUEZ et Bernard CURTILLAT relancent notre site free.fr auquel sont appelés à collaborer les Présidents délégués de Région pour informer les adhérents de ce qui se passe chez eux. Nous vous invitons vivement à visiter ce site : Mais, il n y a pas eu que la 4 TU réorganisation de la maison UCDN. Yves ROUSSEL, et tout son Bureau, s affairaient à propager la bonne parole : interview dans le CDF et rencontre des Présidents des différentes organisations professionnelles. De son côté, Jean-Claude TEMPLIER, notre Président d honneur, poursuit son combat au sein de la CARCDSF tout en déplorant que deux représentants des allocataires (sur six) se soient abstenus lors du vote demandant une augmentation de 2,17 % du régime complémentaire l année dernière alors qu ils ont accepté la faible augmentation de 0,22 % cette année. Où est la cohérence de ces exmembres de l UCDN qui s imaginent avoir des solutions à tout? Enfin, pour clore ce bilan des activités : une partie du bureau a assisté au 1er symposium de la CNRPL (Confédération Nationale des Retraités des Professions Libérales) où siègent Emile TENET, Jean-Claude CHARDON et Guy ROBERT. Des représentants de 22 professions libérales assistaient à ce symposium, lui aussi axé sur l année 2010, année de la retraite. Voilà chers amis, un bref aperçu du travail effectué au cours des huit premiers mois de la Présidence d Yves ROUSSEL. Certes, il reste encore beaucoup à faire, mais l équipe que vous avez élue en octobre 2009 est là pour 3 ans. L année prochaine, en 2011, nous en serons à la moitié du parcours. Vous aurez droit, comme aujourd hui, à un nouveau bilan. Vous aurez alors plus de recul pour juger le travail accompli et vous serez mieux en mesure d approuver ou de rejeter l action ainsi que les directives du Président pour l orientation qu il entend donner à sa politique. D ici là, nous continuerons à lutter pour sauvegarder nos droits et le maintien d allocations décentes qui nous permettront de continuer à vivre dignement et surtout de profiter de cette convivialité confraternelle qui fait la force de notre nouvelle UCDR. Rapport approuvé à l unanimité. RAPPORT MORAL DU PRESIDENT Le Secrétaire Général vous a donné un large aperçu de ce que fut notre action au cours de l année passée. Je savais en acceptant la Présidence de l UCDN que la tâche serait difficile, et ce pour différentes raisons: réforme des retraites, turbulence au sein de notre Association, comportement de certains actifs à notre égard. Notre préoccupation principale étant la défense de nos retraites, il fallait s en donner les moyens, et d abord s appuyer sur des bases solides; ce sont les statuts que vous venez d adopter et nous vous en remercions. Les deux modifications importantes sont les suivantes: Les délégations deviennent des Associations, ce qui leur donne une reconnaissance juridique L autre modification étant le changement de titre de notre Association qui devient l UCDR Seule une lettre change, ce qui ne perturbera pas nos adhérents, et permettra de mieux faire comprendre à qui s adresse notre association : aux retraités. Recruter, réunifier, redynamiser, renouer le dialogue avec les actifs, voilà les objectifs que nous nous sommes fixés pour les mois à venir. Pour recruter il faut être connu, et donc accroître notre notoriété pour pouvoir attirer les futurs retraités. Nous avons donc entrepris un certain nombre de démarches pour atteindre ce but : nous faire mieux connaître. Publication d un article sur le

5 ASSEMBLÉE GÉNÉRALE ORDINAIRE CDF, rencontres des Présidents de la CARCDSF, de l Ordre et de la CNSD, qui nous ont promis de faire passer des articles sur l UCDN dans leur publication. Ces démarches ont toutes le même objectif : nous faire connaître, pour que les gens viennent vers nous. Il faut que les représentants des allocataires à la Caisse de Retraite et dans les différentes instances officielles aient derrière eux un nombre important de retraités pour les soutenir. Pour cela il faut recruter. Pour ce faire, nous organiserons des réunions d information, conjointement avec la Caisse. C est ainsi que, grâce à Guy MOREL, une réunion a eu lieu dans la région Rhône Alpes en avril dernier. D autres sont prévues d ici la fin de l année afin de faire connaître l UCDR à des gens qui souvent ne la connaissent pas, et dont certains viendront s inscrire chez nous. Dans cette optique, nous souhaitons également reprendre contact avec certaines régions qui nous ont quittées, afin de réunifier notre association car, en étant divisés, nous n arriverons à rien. Nous voulons aussi redynamiser certaines régions qui somnolent un peu. Trois d entre elles, viennent de porter à leur tête des Présidents plus jeunes ; cela s est traduit par une augmentation d adhérents nouveaux. Recruter, redynamiser, réunifier, et enfin dialoguer avec les actifs. Le dialogue est nécessaire pour dissiper certains malentendus entre les retraités et les actifs ; il faut en effet les persuader que nous ne sommes pas les «nantis» qu ils s imaginent. Il va falloir essayer de combler ce fossé qui se creuse petit à petit entre cotisants et allocataires. C est aussi pour cela que nous avons rencontré les Présidents de l Ordre et du Syndicat pour leur exposer notre point de vue, et aborder d autres sujets comme le Numerus Clausus, le PCV, l AID. La CNSD, contrairement au Conseil de l Ordre, n est pas pour l augmentation du numerus clausus. Elle est pour son maintien au chiffre actuel. Par contre, le Conseil de l Ordre est favorable à l augmentation du numerus clausus à d ici Certains voudraient voir descendre le nombre de Chirurgiens-dentistes à alors qu il est actuellement de , ce qui est impensable quand on voit les délais d attente pour avoir un rendez-vous dans un Cabinet dentaire. C est une question de santé publique! En ce qui concerne le PCV, la CNSD n est pas favorable à une indexation du point et à propos de la réversion, elle pensait, comme l Ordre, que la mesure concernant les 140 premiers points était appliquée, ce qui n est pas le cas. Avec le Président du CNO, nous avons abordé l Aide Immédiate au Décès. Nous n avons pas eu de réponse précise sur ce sujet. Nous avons donc contacté M. VILLANOVA, Responsable à la Médicale de France de cette Aide, qui a reconnu que sans renouvellement du nombre des adhérents le système risquait de disparaître. Nous organiserons une réunion tripartite avec le CNO et la Médicale pour avoir plus de précisions. Vous le constatez, sur certains points, il y a donc divergence de vues entre les cotisants Ce n est pas de bon augure pour les discussions qui vont s ouvrir, quand on sait que nous les aurons en face de nous pour parler du Financement des retraites. En effet, quand on parle de réforme des retraites, on pense surtout au problème de leur financement qui va se poser pour tous les régimes, y compris pour notre Régime Complémentaire et notre PCV. Face aux mesures qui seront prises quelle sera la position de l UCDR, et disposera-t-elle de moyens suffisants pour se défendre? Nos retraites dépendant de trois régimes différents, et donc de plusieurs interlocuteurs, il faudra adapter notre discours en fonction de ceux-ci. En ce qui concerne la retraite de base, la RBL, nous n avons aucun moyen de pression. C est l affaire du gouvernement, c est lui qui décide des augmentations Par contre, pour ce qui est de la retraite complémentaire et du PCV, nos interlocuteurs appartiennent à la Profession. Le PCV est en relation directe avec la Convention et c est la CNSD et les autres Syndicats signataires qui en discutent ; notre souhait serait une indexation du PCV. La retraite complémentaire dépend de notre Caisse de Retraite et Guy MOREL est notre interlocuteur principal. L entente avec Guy Morel est bonne mais l augmentation de 0,22 % accordée cette année nous semble vraiment minime, et je le lui ai dit plusieurs fois ; mais, force est de constater qu il est obligé de composer avec certains représentants des cotisants à la Caisse, qui ne nous sont pas très favorables. Guy MOREL, dès son arrivée à la Caisse en 1997, a eu la sagesse de constituer des réserves, en prévision du «Papy Boom», et bien lui en a pris, car, en 2010 nous y sommes: confrères vont prendre leur retraite et ils ne seront remplacés que par 700 dentistes dont certains n exerceront pas en libéral et donc ne cotiseront pas à notre Caisse de Retraite. TU

6 ASSEMBLÉE GÉNÉRALE ORDINAIRE Grâce aux réserves, que nous avons aussi alimentées, nous, retraités, nous n avons pas d inquiétudes à avoir pour les dix ans à venir. Qu en sera-t-il après, avec la réforme à l étude en ce moment, et qui s appliquera en 2012? Nous avons accepté que nos allocations soient peu augmentées pour pouvoir constituer des réserves qui serviront aussi aux cotisants actuels afin qu ils aient une retraite décente. Il faudrait donc que nos confrères en exercice admettent nos sacrifices, et fassent preuve de compréhension à notre égard. Par ailleurs, nous appartenons à une génération où un seul conjoint travaillait, et où il n y a qu une retraite. Si nous ne nous défendons pas, les réversions aux conjoints survivants seront ridicules ; nous ne devons donc pas laisser nos retraites se dégrader ne serait ce que pour cela. Pour terminer et bien loin de la retraite, nous voudrions vous soumettre l idée de tenir la prochaine Assemblée Générale ailleurs qu à Paris. En Bretagne, à Saint-Malo par exemple. Nous pourrions étaler cette Assemblée sur deux jours. C est une idée que nous vous proposons. Réfléchissez-y et on en reparlera. En attendant, nous avons décidé d être attentifs et vigilants pour défendre nos retraites. Nous vous en informerons par le «Trait d Union»: (prochain numéro à l automne 2010), et aussi sur notre site Internet Ce site est le vôtre. Vous devez contribuer à le rendre vivant et attractif. J espère vous retrouver aussi nombreux l année prochaine pour faire un nouveau bilan. Merci de nous avoir sagement écouté; nous allons maintenant entendre le Rapport Financier de notre ami, Michel Prolhac, Trésorier National. (Applaudissements) J.M. MASSY : pour être parfaitement dans la légalité, nous devons d abord procéder à l élection de deux vérificateurs aux comptes : 2 candidats : ZIMMERMANN et LOURME Ils sont élus à l unanimité La parole est donnée à Michel PROLHAC pour le Rapport Financier. n Jean Gounant, Secrétaire général. RAPPORT FINANCIER POUR L ANNÉE 2009 Quelques chiffres pour vous permettre de connaître l état des finances de notre association : Recettes : ,60 Elles proviennent essentiellement des rétrocessions des régions. Dépenses : ,87 Elles proviennent essentiellement : des remboursements de la part des régions : ,00 des frais de gestion : ,00 des frais du journal Le Trait d Union : ,00 des frais du Bureau National, réunions de bureau et Conseils d Administration : ,00 des frais d Assemblée Générale : ,00 du solde qui est constitué des frais liés à la solidarité et surtout des transferts du compte courant vers le livret bleu Solde : 192,73 Il n est pas tenu compte des revenus de nos placements soit 1 683,00. Le solde positif du compte courant est volontairement modeste car nous avons privilégié l épargne systématiquement tout au long de l année en opérant des transferts du Compte Courant vers le Livret Bleu et inversement ce qui nous a permis d augmenter nos réserves. Le Trésorier National : Michel Prolhac 6 TU

7 A propos de l ASN Chères Consoeurs, Chers Confrères, Certains de nos adhérents ont reçu il y a quelque temps une lettre, non datée et signée «Bureau National», émanant d une «Association Syndicale», dans laquelle, à travers la personne de mon prédécesseur à la Présidence, l UCDN, est nommément mise en cause. Dans ce courrier figurent des affirmations qui sont loin de refléter la réalité, imposant un droit de réponse, et une mise au point destinée à rétablir la vérité. Le titre d abord, reprochant à l ancien Président de l UCDN d avoir apposé sa signature, à un texte qui réformait une ASV moribonde; mais, d une part, chacun sait que les décisions concernant l ASV ont été prises par la CNSD, organisme signataire, en accord avec notre Caisse de retraite, et d autre part, chacun sait aussi, que si rien n avait été fait, cela aurait entraîné la faillite inéluctable de ce Régime, dès 2010, se traduisant alors par une perte irrémédiable de l ordre de 38% de nos allocations.) * Prenant prétexte de cette signature, certains en ont profité pour se porter à la tête d une «Association Syndicale», qui n a, depuis sa création fin 2007, jamais obtenu aucun résultat, malgré des effets d annonce répétés. ----Ensuite, dans ce courrier, il est dit que cette Association, promeut : «Une politique œcuménique» alors que la lettre commence par la mise en accusation de l UCDN. La meilleure façon de réaliser l oecuménisme ne consiste-telle pas à éviter la scission au sein d un organisme créé il y a des décennies par des responsables éclairés qui souhaitaient l union des retraités pour mieux les représenter et les défendre. ----Cette Association, prétend également pratiquer : «Une politique démocratique» alors que la décision de quitter l UCDN a été prise sans jamais donner la parole aux représentants de notre Association, qui se sont vus refuser l accès à l Assemblée Générale de la Région décidant de quitter notre structure. La démocratie impose que chacun respecte la majorité et que l on ne se serve pas de prétextes pour quitter un mouvement lorsqu on est mis en minorité. L esprit démocratique aurait dû pousser nos confrères dissidents qui ont quitté l UCDN, à respecter les statuts de notre Association précisant qu avant tout départ du mouvement un représentant du Bureau National soit entendu par l Assemblée Générale de la Région en cause. Or notre demande a toujours été rejetée. Que penser aussi des dirigeants de cette «Association», sensée défendre mieux que d autres, les retraités, et qui ont voté en 2010 une augmentation insuffisante de la valeur du point de rente R.C. de 0,22 % alors qu ils se sont abstenus en 2009 quand une augmentation de 2,17% avait été obtenue grâce à l action de l UCDN? Il est dit aussi que cet organisme promeut : «Une politique indépendante. libre de toutes sujétions» (Syndicats, CARCDSF), pour affirmer un peu plus loin vouloir «participer en union avec les organisations professionnelles.», ce qui est pour le moins contradictoire. La politique de l UCDN a, par contre, toujours été de privilégier de bonnes TU

8 A propos de l ASN relations avec l Ordre, les Syndicats, et la CARCDSF, sans l aide desquels aucune revendication ne peut aboutir. ----«L Association Syndicale», «étudie et recherche des propositions..», mais depuis décembre 2007, qu a-t-elle obtenu comme résultats? Aucun, car dans le cas contraire, elle n aurait pas manqué de le faire savoir. Bien mieux, alors qu elle reproche à l UCDN d avoir accepté une baisse de la valeur du point PCV, elle admet que les «mesures prévisibles pour les prochaines années entraîneront inéluctablement de fortes dégradations du pouvoir d achat des retraités actuels et futurs.» Si c est inéluctable, pourquoi reprocher aux autres ce que l on semble accepter d emblée sans combattre? Nous vous rappelons que l UCDN est devenue au cours de sa dernière Assemblée Générale extraordinaire, l UCDR, Union des Chirurgiens - Dentistes Retraités. Un nouveau Bureau a été élu, que je préside depuis octobre Nous continuerons de défendre pied à pied vos conditions d existence et apporterons secours à toutes et à tous, ainsi qu à vos conjoints. Les chirurgiens-dentistes retraités et leurs ayants droit sont dans une situation délicate et ne doivent pas se désunir. On ne peut que regretter ces tentatives de division qui nuisent à la cause de tous les retraités de la Profession, alors que des batailles difficiles nous attendent. Cette mise au point était nécessaire; il n y en aura pas d autre car je ne veux pas perdre mon temps en vaines polémiques. Mais je ne pouvais pas laisser attaquer impunément l UCDN (devenue UCDR) qui défend depuis plus de 50 ans la grande majorité des retraités de la Profession dentaire; je suis ouvert à toutes propositions aboutissant au regroupement de toutes nos forces, et j ai ainsi renoué le dialogue avec certains dirigeants qui nous étaient opposés, et qui commencent à regretter l impasse dans laquelle ils se sont engagés. Seul le dialogue permettra de mieux se comprendre et de dissiper les malentendus qui ont abouti à cette déplorable scission qui ne peut être que néfaste à la cause que nous défendons. Je vous prie de croire, chères Consœurs, chers Confrères, à l assurance de mes sentiments confraternels et dévoués les meilleurs. n Yves ROUSSEL Président National UCDR et le BUREAU NATIONAL * Pour se convaincre du bien fondé de la décision prise par le Président de l UCDN en 2007, il suffit de lire un des derniers éditoriaux du Dr Maudrux, Président de la CARMF, Caisse de retraite des Médecins, adressé à ses allocataires. «Dans l ASV, en 2010, les cotisations seront de 477 millions d euros, et les prestations de 542 millions. Il manque 65 millions, soit 14 % ; à ce rythme les réserves vont fondre en 3 ans. Il faudrait augmenter les cotisations de 14 %, puis de 10% par an, tout en gelant les retraites, pour éviter la cessation de paiement.» Dernière minute : Quoi qu en disent certains, l action menée par NOS représentants a porté ses fruits. En effet, à la suite du vote intervenu fin novembre, la valeur du point R.C. (Régime Complémentaire) est de 23,38. 8 TU

9 CONGRÈS ADF : 23 novembre - 27 novembre 2010 Dans le cadre du congrès de l ADF, l Union des Chirurgiens dentistes Retraités a étrenné son nouveau sigle: UCDR. Sur le stand mis gracieusement à notre disposition par le Comité d organisation de l ADF. (qu il en soit ici vivement remercié) nous avons éré unanimes pour reconnaître que l introduction du mot «Retraité» a incontestablement attiré l œil et l attention des confrères qui passaient devant notre stand et qui étaient ravis de découvrir l existence de notre Association. Bien entendu, nos représentants, présents sur le stand pendant toute la durée du congrès, s empressaient de répondre à leurs questions et les informaient sur la vie de la CARCDSF et le devenir et l évolution de nos prestations. De nombreux confrères approchant de l âge de la retraite sont venus spontanément nous trouver pour des demandes de renseignements. C est ainsi que nous avons pu recueillir plusieurs nouvelles adhésions dont une en Martinique et une autre à la Réunion. Ceci prouve bien que l UCDR continue à se bien porter et que son action pour la défense de la Retraite est de plus en plus reconnue par un grand nombre de nos confrères qu ils soient retraités ou futurs retraités. La plaquette mise au point par la Commission de recrutement, dont vous trouverez un exemplaire dans les pages suivantes a été largement diffusée. n Jean Gounant, Secrétaire général. A l occasion du Congrès de l ADF, le Trésorier, Michel Prolhac, a réuni les Trésoriers Régionaux, pour leur présenter le fichier informatique mis au point par Victor Guez. Nous espérons qu à la suite de ces différentes activités, chacun est reparti dans sa Région plein de courage et de dynamisme pour travailler au développement de notre Association Notez dès maintenant la date de la prochaine l Assemblée Générale de l UCDR : le jeudi 16 juin 2011 à Saint Malo TU

10 NUMERUS CLAUSUS : quelques éléments de réflexion S il est un sujet qui revient désormais régu-lièrement comme un marronnier à la une des gazettes professionnelles, c est bien celui de la démographie. Etre démographe est un métier à temps plein et pourtant que l on soit praticien, enseignant, syndicaliste, étudiant ou retraité, chacun pense que la démographie se doit de n être appréhendée qu à travers ses propres expériences. Il est vrai que l on ne dispose que depuis très récemment de chiffres incontestables et de recoupements officiels fiables. Le sujet comporte une multitude de paramètres (revenus par habitants, catégories sociales, temps de déplacement.) mais certains focalisent l attention de la profession: le Numerus Clausus (NC) et les méandres de la détermination de sa valeur. Selon les travaux de la Direction de la Recherche, des Etudes, de l Evaluation et des Statistiques (DRESS), la densité des chirurgiens dentistes qui est aujourd hui de 67 praticiens pour habitants passerait à 45 praticiens pour habitants en 2030 si le chiffre de 1154 diplômés par an était pérennisé, 100 diplômés supplémentaires génèrent 3 points de densité supplémentaire à l horizon de 2030 et 5 points à l horizon Ce sont donc au moins 2000 étudiants qu il conviendrait de former afin de retrouver en 2030 la densité professionnelle actuelle. Cette valeur est évidemment théorique, elle se doit d être modulée. Mais pourquoi cette nécessité de modulation? - D un point de vue pratique les facultés sont incapables financièrement, pédagogiquement et matériellement d absorber cette masse d étudiants. - La demande, suscitée par l évolution des techniques et des matériaux (implants, paro ) associée à des considérations esthétiques nouvelles (blanchiment, orthodontie adulte..) évolue. - La densité moyenne n est par définition qu une approche théorique d un problème beaucoup plus complexe qui touche aux disparités territoriales. Ce sont ces dernières qui interpellent les pouvoirs publics et alimentent toutes leurs réflexions touchant la démographie de notre profession. Quelle peut être notre propre réflexion à propos de l évolution du Numerus Clausus? La diminution de la carie (en moyenne statistique ignorantes des situations extrêmes) reste un violent sujet de débat. Pour Denis BOURGEOIS (Professeur à la faculté d odontologie de l université de Lyon) la carie est une maladie du 20ème siècle en voie de disparition (indice CAO denture mixte à 6 ans : 3,73 en ,38 en 2006) entraînant la baisse en proportion du nombre de praticien. («Il est de notre responsabilité de permettre à un étudiant sortant de la faculté d exercer son métier rentablement pendant 40 ans» ) Pour Nicolas MAILHAC ancien candidat malheureux à la présidence de la CNSD l efficacité au fauteuil peux être stimulée par l embauche d une assistante dont le nombre est en France particulièrement bas (0,4 par cabinet). Ce développement permettrait d absorber les nouvelles demandes de soins réduisant d autant les besoins en praticiens. En parallèle la CARDSF verrait ses finances se rééquilibrer (malgré la baisse de ses membres) grâce à l augmentation substantielle des chiffres d affaires et donc du montant des cotisations! Les partisans d une politique prônant la hausse du NC pensent que les effets bénéfiques de la prévention s atténuent avec l âge 10 TU adulte. La Suède qui fut le pays pilote en matière de prévention dentaire signe dans un rapport d une commission d enquête ministérielle de la santé que : «les besoins de santé dentaires augmentent au fur et à mesure que la santé dentaire s améliore. C est ce qu on appelle le paradoxe dentaire : le besoin de réparation et d entretien augmente avec le nombre de dents propres dans la bouche» La France terre d accueil voit la santé dentaire de sa population immigrée particulièrement dégradée avec des besoins en soins difficilement quantifiables. Le débat n est donc pas tranché d autant que ni la hausse ni la baisse du NC ne résoudront les problèmes de répartition territoriale. Il risque cependant de l être depuis la création des ARS (agences régionales de santé) Ces dernières regroupent sous une seule entité les directions départementales et régionales des affaires sanitaires et sociales (DRASS,DDASS), les agences régionales d hospitalisation (ARH), les groupements régionaux de santé public(grsp), les unions régionales des caisses d assurance maladie (URCAM), les missions régionales de santé(mrs), une partie du personnel des caisses régionales d assurance maladie (CRAM), du régime social des indépendants (RSI), de la mutualité sociale agricole (MSA) et des directions régionales du service médical (DRSM). Les ARS vont complètement transformer les débats sur le NC car l une des tâches que les pouvoirs publics lui ont assignée est de gérer les besoins de la population en matière de santé. La démographie médicale fait donc partie intégrante de ses prérogatives. Il conviendra alors, dans un territoire donné, d être en mesure de répondre avec précision aux demandes de la population en matière de qualité et de disponibilité des professionnels de santé Cette évolution est déjà en place depuis peu avec l augmentation modulée du nombre d étudiants dans les régions en sous effectifs médicaux et sa stabilisation dans les zones de forte densité professionnelle (+1 à Nice, +15 à Lille entre 2007 et 2008) Le NC national sera alors la somme des chiffrages régionaux présentés par chaque ARS et nous entrerons dans une nouvelle ère. n Albert KLEIN Vice-Président de l UCDR

11 LA DEPENDANCE ET LES NICHES FISCALES «Créer un organisme dont le but sera de préparer notre pays au défi de la dépendance et veiller à ce que, sur tout le territoire, de manière égale, il existe des structures suffisantes pour prendre en charge les personnes les personnes en perte d autonomie.» Ce projet était inscrit dans le programme de N. SARKOZY, candidat en 2007 à la présidence de la République. Lors de son entretien télévisé du 12/07/2010, 3 ans après, il a annoncé que la prise en charge de la dépendance serait le dernier grand projet de la législature, après la réforme des retraites. La Commission des affaires sociales de l Assemblée Nationale a présenté en juillet dernier un rapport limité à la prise en charge «des personnes âgées dépendantes». Elle propose «un dispositif s appuyant sur un système d assurance et non basé sur un principe de solidarité générale, reposant sur un financement public». Le rapport de Mme V. ROS- SO-DEBORD (UMP. Meurthe et Moselle) consiste à rendre obligatoire, à 50 ans, une assurance contre la perte d autonomie auprès d organismes de prévoyance ou d assurance. «Il s agit d un système mixte d assurance garanti par la puissance publique, qui remplacerait progressivement l APA, créée en 2001, «qui s est révélée nettement insuffisante pour faire face aux besoins». En 2003, 1,1 million de personnes se sont partagées 5,1 milliards d euros. Une récupération sur succession est proposée aux bénéficiaires de l APA, disposant d un patrimoine de euros : réduction de moitié contre non-recours sur la succession ou allocation à taux plein permettant la récupération jusqu à sur la succession. Le rapport prévoit une augmentation, sur les pensions, de la CSG. «Selon le montant de la pension, celle-ci peut être totalement exonérée de CSG ou soumise à un taux de 3,8% ou de 6,6% pour les revenus d activité». Il envisage de porter le taux à 7,5% «pour les montants les plus élevés»... sans préciser le seuil. Les citoyens ne participant pas à la CSA (la «journée de solidarité») seraient priés d y participer : artisans, professions libérales, retraités. La Commission constate que «le financement public est désormais incapable de procurer les milliards de dépenses que coûtera dans un avenir proche la dépendance des personnes âgées». Actuellement ce financement est de 22 milliards d euros (13,4 par la S.S., 4,9 par les départements, 2,9 par la CNSA. (Caisse Nationale pour l Autonomie). Les députés socialistes n ont pas approuvé le rapport : «la promesse de la création d un cinquième risque est en fait remplacée, trois ans après l élection présidentielle. par un recours à l assurance privée C est inacceptable». LES ECHOS - 18/08/2010 (article transmis par n JC CHARDON Conseiller d administration élu) L IGF (Inspection générale des finances) dénonce «l incohérence» des dispositifs visant à encourager l épargne des français (assurance-vie, livret A, épargne salariale, épargne retraite, plan d actions et épargne-logement). Coût pour 1 Etat: 11,5 milliards d euros. BERCY envisagerait de réaliser 6 milliards d euros d économies sur ces niches fiscales et sociales. TU

12 CARCDSF et Commission des Affaires Economiques de la CNSD Le jeudi 23 octobre dernier, Guy Morel, Président de la CARCDSF, accompagné de Franck Lefevre, Secrétaire Général, Alain Zatti, Secrétaire Général Adjoint et Jean-Marie Massy, Administrateur sont venus présenter à la Commission 3 de la CNSD les projets de réforme du Régime Complémentaire de notre Caisse de Retraite. Jean Gounant, Secrétaire Général de l UCDR et membre de la Commission participait également à cette réunion d information. En effet, même si la très bonne gestion de la Caisse a permis à celle-ci de conforter ses réserves à hauteur de plus de deux milliards d euros, il ne faut pas se cacher que celle-ci connaîtra 12 TU des difficultés financières dans un avenir maintenant très proche en raison d un rapport démographique défavorable. Une étude actuarielle poussée, engagée depuis plus d un an, a permis d envisager un certain nombre de mesures réglementaires et statutaires. Ces mesures seront définitivement arrêtées lors d un prochain Conseil d Administration pour une mise en œuvre dès Parmi ces principales mesures envisagées citons : le recul de l âge de liquidation à taux plein (augmentation régulière de l espérance de vie), la modification des années de réduction ou d exonération après la première année, l abaissement du seuil de cotisation, la baisse du rendement etc Ces différentes mesures, difficiles mais indispensables seront donc l objet d une prochaine application. Cette réforme du Régime RC avec une projection à l horizon de 2040 permettra, moyennant bien entendu un ajustage régulier, de passer le cap difficile des prochaines années. En tout état de cause, les allocataires actuels ne seront pas directement impactés par les dispositions envisagées, (au grand dam de certains peut- être). Toutefois, la vigilance ne doit pas être relâchée. Soyez assuré que vos administrateurs allocataires sauront être attentifs et responsables, aujourd hui et tout au long du déroulement de l application de la réforme afin d assurer la pérennité de ce bien commun à toute notre profession, la Retraite. n J.M.Massy Administrateur CARCDSF, collège allocataire Vice Président UCDR

13 EN MISSION HUMANITAIRE DANS LE SINÉ-SALOUM AU SÉNÉGAL J ai eu l opportunité de partir avec Voiles Sans Frontières du 18 février au 15 mars 2010, dans ce vaste delta formé par la confluence de deux fleuves, le Siné et le Saloum à une centaine de kms au sud de Dakar : paysage de bôlons (îles) et de mangrove d où émergent quelques grands baobabs ; les hérons bleutés, aigrettes, ibis s y réfugient, les crabes violonistes envahissent les bancs de sable et regagnent rapidement leur trou à notre approche, les sternes plongent sans relâche, les rapaces pécheurs frôlent la surface de l eau prêts à enserrer un poisson imprudent. Nous embarquons à Dakar à bord de voiliers dont les propriétairesskippers offrent leur concours. Ces bateaux de plaisance sont parfaitement adaptés pour transporter le matériel et accueillir l équipe médicale composée de médecins, sage-femme, chirurgien-dentiste, infirmière et opticienne. Ainsi préparés, nous pouvons aborder les villages de Dionewar, Niodior et Falia inaccessibles par voie terrestre. Les habitants, les Sérères sont traditionnellement pécheurs ; les coquillages, le poisson séché sont partout, chèvres et poulets chétifs peuplent les ruelles où les anciens palabrent à l ombre d un eucalyptus tout en égrenant leur chapelet musulman. Les femmes, habillées de longues tuniques aux couleurs vives, de retour du puits, s affairent d un port altier, une bassine d eau sur la tête, tandis que n Par Jean-François DEMOL, Chirurgien-dentiste retraité Vice président UCDN Région Nord- Pas de Calais les enfants, joyeux, accourent vers nous en criant : «bonjour, toubab toubab, comment tu t appelles?», auxquels il faut répondre invariablement : «Je m appelle et toi? Comment ça va?». Ils nous entourent, se disputant gentiment pour nous prendre la main. Là, pas de voiture ni de vélomoteur, seulement le ronronnement des moteurs des longues pirogues colorées. Notre matériel est transporté par charrette attelée jusqu au dispensaire où chaque professionnel de santé, en accord avec l infirmier chef de poste, installe son cabinet. Aussitôt surgissent jeunes hommes, jeunes femmes pour nettoyer le sol à l aide d une balayette faite de quelques petites brindilles, pour nous installer soit une petite table, soit un tissu propre sur un vieux lit qui recevra nos boites d instruments. Le cabinet dentaire s est transporté de village en village. Assisté par l intendante de l équipe et un (ou une) interprète local, j ai déployé mon fauteuil pliable, ouvert ma valise Trans Care Satelec et stérilisé ma petite instrumentation dans une cocotte minute ; pour le reste l eau de javel faisait l affaire, et très diluée pour les bains de bouche! Equipé de gants, masque, lunettes et lampe frontale, il m a été possible de faire quelques soins conservateurs sans pulpectomie, sinon je devais recourir à l extraction. Des dépistages ont été organisés dans les écoles. Résultats : 5 jours par semaine, à raison de 7 heures par jour et parfois par fortes chaleurs, j ai reçu 180 patients dont 45 enfants. Ils se répartissent ainsi : 140 pour des extractions (190 dents extraites!) et 40 soins conservateurs. J ai eu la chance d intégrer une équipe sympathique ; il faut savoir que chacun d entre nous offre de son temps pour améliorer l état sanitaire des populations et supporte totalement les frais de voyage et de nourriture. En échange, nous recevons l immense reconnaissance des habitants qui, comparés à nous, n ont pas accès aux soins médicaux si ce n est que la présence d un infirmier local faisant office de docteur et pharmacien pour le coutumier et des matrones indispensables pour les naissances et le suivi des bébés. Seules les personnes disposant d un peu d argent peuvent consulter «en ville» à quelques heures de pirogue! Une prothèse dentaire ne peut être posée qu à Dakar! Cette expérience a été très enrichissante, autant sur le plan professionnel que humain. On ne revient pas vers notre société moderne avec le même regard. Je renouvelle mes remerciements envers les confrères de notre région qui m ont confié un peu de matériel (petite instrumentation de chirurgie et contre-angles) complétant ainsi ou renouvelant notre dotation fournie par Voiles Sans Frontières. A la prochaine saison (de nov. à avril), de nouvelles équipes repartiront vers ces mêmes villages et poursuivront le travail commencé par les missions précédentes. TU

14 Sur dix pays qui constituent l europe centrale, en dix jours de navigation nous en avons visités sept sur les eaux vertes et calmes du Danube bleu, aux rives bordées des omniprésents saules argentés. Découvrant au fil des 2200 kms ensoleillés les nombreux lacs et confluents magnifiques à bâbord et tribord. Sur le «Vivaldi», notre bateau, tout est confort, calme et bonne humeur. Dès le départ une sympathique symbiose s établit dans le groupe UCDR et elle ne fera que se renforcer au cours des jours Impossible de résumer en quelques lignes tout l enrichissement culturel qui nous a été proposé Vienne visite de la Capitale du Danube son art et ses splendides monuments et le soir Vienne avec Mozart et Strauss; grâce à un orchestre symphonique dans un cadre romantique à l acoustique parfaite. Le mélancolique charme slave L ILE DE FRANCE SUR LE DANUBE n Compte rendu par André BLIDACH (Poitou-Charentes) «Si je n étais pas allé sur le Danube, je l aurais toujours regretté» (Jakob PRANDTAUR 18 éme siècle) des plaines de Hongrie avec les cavaliers surprenants par leur agilité et leur virtuosité à manier leurs longs fouets qui claquent sec dans le froid de la plaine. Budapest, la perle du Danube avec, en plus, un spectacle folklorique étonnant. Et partout de nombreux concerts, des spectacles de danses régionales. Difficile d oublier le tourbillon des jupes colorées et brodées d or des danseuses d Europe Centrale! Des conférences de qualité ont jalonné notre parcours soit à bord soit dans les villes traversées. Pour les plus audacieux, la périlleuse ascension qui les a conduit jusqu à une chapelle troglodytique Ils en sont tous revenus ; épuisés mais ravis. Plus loin, sous un ciel sans nuage, tout le monde était sur le pont supérieur pour mitrailler (pacifiquement) les «Portes de Fer».Long défilé de plusieurs kilomètres, beauté sauvage de la nature, aux très hautes parois verticales abruptes entre Carpates et Balkans. Très impressionnant! La dynamique de l Europe de l ouest et du sud, nous la connaissons; quant à la dynamique de l Europe Centrale, dont les jeunes parlent avec beaucoup d espoir, c est à chacun d apprécier son activité, selon son approche et sa perception. Le tourisme est florissant mais reste tout le secteur industriel qui souffre des retards dus hélas.aux récents conflits qui les ont divisés. Les idées qui germent dans l imagination de nôtre chère Présidente sont bonnes et bien venues, Ce fût une croisière apaisante, organisée, sécurisée et confraternelle. Si bien que parodiant le «penseur» du début je peux dire : «Si je n étais pas venu à l UCDR, je l aurais toujours regretté.» 14 TU

15 L ODONTOLOGIE MÉDICO-LÉGALE L odontologie médico-légale a pour objet l application des sciences odontologiques au domaine juridique. En France, après une longue période d existence confidentielle, elle est devenue une discipline autonome et reconnue. C est pourquoi l odontologiste médico-légal doit être initié aussi aux disciplines du droit (droit pénal, droit médical, criminologie...) et des sciences (anatomie comparée, anthropologie, paléontologie...). L apport de l odontologie à l identification ne peut d ailleurs exister que dans la mesure où chacune des disciplines de l art dentaire est repensée avec une approche médico-légale. Il est nécessaire d identifier une victime et c est pour cela que cette discipline prend de plus en plus d importance dans notre monde actuel monde en mouvement et exposé à de nombreux risques pouvant attenter à la vie humaine. Dès lors l identification des victimes répond à des nécessités sociales et juridiques. En apportant la certitude du décès d une personne disparue, elle permet à sa famille de réaliser la sépulture et de commencer son travail de deuil. Elle ouvre des droits civils en matière d héritage, d assurance, de remariage. Au plan pénal, elle est essentielle à l enquête et permet que la justice s applique. Ainsi en matière criminelle, l identification d une victime est intimement liée à la découverte de l identité de l auteur. Les indices bucco-dentaires représentent l ensemble des données anatomiques, physiologiques, pathologiques ou thérapeutiques relevés dans la cavité buccale d un cadavre. Ils permettent d identifier les restes humains. Ces indices sont nombreux et d une grande variété. La résistance des dents les préserve et favorise leur exploitation même lorsque les restes anatomiques ont subis des dégradations importantes. Pour rester schématique, l identification des personnes par le système dentaire utilise deux grandes méthodes selon les possibilités offertes. Lorsqu il existe des éléments ante mortem de comparaison à mettre en face des données post-mortem retrouvées lors de l examen d autopsie, l identification est dite comparative. La logique de cette méthode passe par trois stades. L expert recherche sur le cadavre ou ses restes des données post-mortem ou indices. Il collecte ensuite dans les documents médicaux (fiches de soins, radiographies, fiches de traçabilité prothétique, devis, moulages dentaires, photographies...)les données ante mortem ou supports. Enfin, il analyse les analogies et les incompatibilités entre indices et supports. L appréciation du nombre, de la fiabilité des similitudes permet à l expert de conclure et de préciser le risque d erreur dans une identification positive. Lorsque aucune identité n est présumée, ou lorsqu une identification comparative n aboutit pas, la nécessité d identifier persiste. A partir du matériel disponible, une fois l origine humaine des restes établie, le travail de l expert consiste à recueillir suffisamment d éléments pour orienter les enquêteurs par ce qui s apparente à l esquisse d une fiche signalétique: sexe, âge, habitudes de vie, milieu socioprofessionnel... Nombre de ces renseignements sont inscrits dans les dents et les maxillaires. A côté de ce grand schéma d identifications applicable à la découverte de personnes isolées ou lors des catastrophes majeures, l odontologiste médico-légal peut être amené à expertiser des traces de morsures sur des victimes vivantes ou décédées afin d identifier l agresseur. Face à des traces de lèvres laissées sur des supports tels que des verres, il peut être amené à rechercher les correspondances entre empreinte et dessin des lèvres par les méthodes chéléoscopiques. Enfin, l identification reconstructive, limitée à la reconstruction du visage à partir du squelette cranio-facial peut être de mise dans certains cas particuliers. Ces trois dernières méthodes attribuées à l exercice de l odontologiste médico-légal reste cependant dans le domaine spécialisé. L odontologiste médico-légal, expert près les tribunaux, se doit donc d être très disponible du fait de la soudaineté des événements. S il est amené à quitter ses patients quelques heures, le temps d une autopsie, il peut tout aussi bien être requis pour des missions bien plus longues qui peuvent l emmener à l autre bout de la France ou du monde pendant quelques semaines comme ce fut le cas pour le tsunami en Thaïlande, l accident aérien des Comores, les exemples étant nombreux. n Dr Charles GEORGET, Odontologiste médico-légal. TU

16 «Nous avons la grande tristesse de vous annoncer le décès de notre collaborateur essentiel Bernard CURTILLAT, survenu brusquement à son domicile. Nous avons toujours apprécié ses qualités de photographe, sa conscience professionnelle et son extrême gentillesse. Il était le concepteur de notre bulletin de liaison (le Trait d Union). A son épouse, ses enfants et petits enfants nous présentons nos très sincères condoléances, avec notre profonde sympathie» XXI e congrès Société Française d Histoire de l art dentaire PARIS 1-2 avril 2011 Université Paris-Descartes, salle du Conseil 12, rue de l École de médecine, En partenariat avec la BIUM (bibliothèque interuniversitaire de médecine et d odontologie) Commémoration du 250 e anniversaire de la mort de Pierre Fauchard ( ) Renseignements : Micheline Ruel-Kellermann Tel : ruelkellermann@free.fr!à découper suivant les pointillés. COUPON D ADHÉSION Pensez à votre avenir, adhérez à l UCDR, unique association des Ainés et Retraités de la Profession. 54, rue Ampère Paris Cedex 17 Les Infos des Régions sur le site internet provisoire de l UCDR SOLUTIONS MOTS CROISÉS N I E D U L C O R A N T II M E N U I S E R I E III E N T O L E S E S IV T I E R S T I N T V T E L E M A N T A VI R E S A X E M VII I S O B A R E R E VIII C B T R E P A N IX E N R A I A I T X S E R I N E T T E S 16 TU

17 MOTS CROISÉS HORIZONTALEMENT I - Se complaît dan sle mélo II - Ont retrouvé leurs racines III - De vive voix - Dédaignent les jupons IV - Mélangeâmes - A lui V - Le plus fort - Assimiler VI - Divinité mécanique - Réputé facile dans son enfance VII - En deux mots : je m excuse (j ) VIII - Non préparés IX - Ile - Fétides, ces résines X - Aération du violon - Placées VERTICALEMENT 1 - Vaisseau ensablé 2 - Très recherchés 3 - On ne le répétera - Religieux 4 - Abritait des lépreux 5 - Coup violent - Sautez! 6 - Unité d angle - Enlevas le germe 7 - Mort bousculé à Blois - 5 ème d un alphabet privée de lon 8 - Gorge ronde - Patates 9 - eau chaude à goog - Râpé 10 - Débroussaillas I II III IV V VI VII VIII IX X Pour 6 personnes - Ananas 2 demi-boîtes de tranches nature - Ail quelques gousses dégermées - Curry «saveur brute» ou sélection 1 cuillerée à café - Piment d Espelette une bonne pincée - Orange 1 - Citron 1/2 - Huile (olive ou pépins de raisin) 1 cuillerée à soupe - Beurre 30 gr - Sucre roux en poudre 4 cuillerées à soupe GASTRONOMIE Ananas en garniture Cette garniture pourra accompagner un gigot ou une selle d agneau, ou des magrets de canard, ou même donner du caractère à des escalopes de dinde. Presser l orange et le 1/2 citron Ouvrir les boîtes et égoutter les tranches d ananas. Conserver le jus 1 ) Dans une poêle, chauffer légèrement l huile, y jeter les gousses d ail, une bonne cuillerée à café de curry, une cuillerée à soupe de sucre roux et le jus de l orange. Laisser cuire quelques minutes. Ajouter les morceaux d ananas(1 boîte ) et cuire à feu doux 10 à 15 minutes. Si nécessaire, ajouter un peu du jus d ananas que vous avez conservé. 2 ) Dans une poêle,, faire fondre le beurre et y verser 3 cuillerées à soupe de sucre roux et le jus du 1/2 citron. Ajouter les ananas (1 boîte ) et une pincée de piment d Espelette. Cuire à feu doux pendant 10 à 15 minutes. Servir ces garnitures dans deux plats séparés. Vous pouvez y ajouter une préparation de riz, ou un bon bocal de marrons entiers beurrés et réchauffés,qui se marient très bien avec le sucré-salé et sont très appréciés des convives. TU

18 BLOC-NOTES Mme BALLU Simone 60 rue de Longchamp NEUILLY Dr et Mme BELOU Michel/Celine 1 avenue F.Mitterand SAINT BENOIT Dr BERG Shullamit-Celine 14 allée Spach STRASBOURG Dr BLANC Aimée 15 impasse Pommier LYON Drs BOUVRESSE Claude et Françoise 2 rue du Dr Decorse SAINT MAURICE Dr CARAYON Georges 34 rue de la Part-Dieu LYON Dr CARPENTIER Fernand 12 place Alsace-Lorraine 7100 ANNONAY Mme CASPARD-FRUTSH 7,rue de la Tour Dauphine SAINT CIRGUES SUR SIOULE Dr CHAPPELLET Jacqueline 2 rue du Président Paul Doumer MEUDON Dr DEMANGE Yves 3 chemin du Chaillot SOUVIGNE Dr DESPOTES Yves 55 rue Chazière LYON Dr DESRUES Claude 204 Rue Saint Cyr LYON Dr DOUCET-BON Henri 4 place Aristide Briand VALENCE Dr DUCLERMORTIER Maryse 109 Bd de la Liberté LILLE Drs ERHART/LAILE Anne/Michel 2 rue Sédillot STRASBOURG Dr et Mme FAGOUR Henry/Chantal 26 batiment»les Pitons»Balata FORT DE FRANCE Dr GAURON Alain 35 rue des Cosses MIGNE-AUXANCES Dr HAELE Paul 11 rue du 19 Novembre SAVERNE Dr HANSS André 40 rue de la Montagne MULHOUSE Dr HUGONIAT Madeleine 29 rue de Créqui LYON Dr HUSSON François 11 rue Brown Sequard PARIS Dr JAMET Louise 251 Bd Jean Jaurès BOULOGNE Dr JOBST Raymond 5 rue du Parc OSTHOFFEN Dr JUMELLES Claude 22 rue Claude Badou BRON Drs KAESS Bernard et Epouse 1 rue de Niderhausbergen MUNDOLSHEIM Dr KOCH René 3 rue du Raisin CERNAY Mme LALANE Edmée 100 Bd Clémenceau LE HAVRE Drs LEDOUX Bernard et Sylvette 2 avenue du Maréchal Juin MONCOUTANT Mr LEMARREC Pierre Le Pont Fourché PAIMPONT Dr LENGES Jean-Pierre 10 rue du Dr Schweitzer MUNDOLSHEIM Dr et Mme MASSONNAUD Jacques 29 rue Lecesve POITIERS Dr et Mme MOCHEL Daniel 340 avenue de Colmar STRSBOURG Dr MONTAIGNE Madeleine 26c, «La Laiterie» avenue Jean Jaurès ROUBAIX Dr et Mme MOREAU Gérard 12 rue de la Chaume SAINT BENOIT Dr MULLIER Huguette 17 rue Verlaine VILLEURBANNE Dr MUSSARD DUMAYE Janine 8 allée du Souvenir SCHILTIGHEIN Dr PIERRARD Christiane 50 rue Philippe de Lassalle LYON Dr PUJOL Monique 37 rue Paul Déroulède CROISSY SUR SEINE Mr REMINISE Jean-Pierre 14 rue Pierre Flaux DOL DE BRETAGNE Dr RIVAULT Jack Veniers chemin les Plants LOUDUN MR SAINT JEAN Roger 85 rue Blatin CLERMONT FERRAND Drs SCHWEICH Daniel et Danielle 23 rue Balaclava NIORT Dr SOUCHAL Jean-Claude 36 rue Font Sainte CEYRAT Dr STEYER Bernard 3A rue des Prés ZIMMERBACH Dr VERDIER Martine 7 rue Halifax JOINVILLE LE PONT Dr VERMAERE Claude 4 chemin du Postier SAINT DIDIER AU MONT D OR Mme VRAC Domaine Saint Martin FLASSANS SUR ISSOLE 18 TU ADHÉSIONS

19 BLOC-NOTES DÉCÈS CHANGEMENTS D ADRESSE Mme ALLEGRE Roger CHAMALIERES M. ARMANGAU Louis PERPIGNAN Dr AYMONIER Henry TALANT Mme BARBE CHAUVET Louise CARCANS Dr BETHUNE Jacques SAINT MALO Mme BOUCHARD Jeannine BRASSY Mme BOUDRY Jean CALAIS Mme CALLENS Lucie SOLESMES M. CAMUS Guy RENNES Dr COURBET Jacques MEAUX M. CURTILLAT Bernard, collaborateur principal du Trait d Union Le CHESNAY Dr DEFRANOUX Christian SAUMUR Mme DUCELIER Henriette SAINTE FOY LA GRANDE Dr DUCRUET ELOY Nicole CALAIS M. ESPINASSE Paul CLERMONT FERRAND Dr FEILLAULT Jacques JOIGNY M. GAUTHIER Pierre ISSOIRE Mme GRIMARD M.Louise CEYRAT Mme JOUHANNAUD Lucienne BENEVENT M. KLEINHANS Henri MULHOUSE Mme LABANSAT BASCOU Raymonde MARSEILLE Mme LAURET PLOUGASTEL- DAOULAS Mme LE FALHER Marie-Noëlle BREST Dr MADRU Jean DIJON Mme MAHE Marie-Thérèse SAINT BRIEUC Dr MANCIAUX Jean-Claude SEZANNE Mme MARTIN Henriette MONTBRON Mme MORVAN Marie-Josée PLOUGUERNEAU M. PIDOU Yves PAIMPOL Dr PORZIER Jean LA MORLAY M. ROUDET Etienne GLAY Dr SAINT VINCENT André LAVAL M. SCHOCH Bernard CHAMALIERES Mme VIGIER Suzanne CLERMONT FERRAND Mme WEYLAND Geneviève NANCY Dr ZIMMERMANN Gérard MULHOUSE M. Bernard CURTILLAT collaborateur principal du Trait d Union Mr. BARJHOUX Louis 31 rue Anna Janin BOULOGNE Mme BOURCIER Marie -Thérèse 94 rue St Galais NIORT Dr et Mme COUSIN Jacques 9 rue Magellan SAINT BRIEUC Mme DEBEAUMONT Paulette 18 rue Flatters AMIENS Mr. DELEAU Vital 18 rue Blanqui MONTCEAU-LES-MINES Dr DURIEZ Richard 135 rue du faubourg de Roubaix LILLE Dr et Mme DUTAILLY Maurice 16 chemmin de l Eglise «Lieu dit les Merles» LE PIAN SUR GARONNE Mme FRANCOIS Michèle Rés.Arpage. 1rue Claudine Darras SAINT OMER Drs GRAFTIAUX Marcel/Raymonde 5 rue Raoul Ponchon PLENEUF- VAL ANDRE Dr LEDEME Bernard - 41rue des Erables MORDELLES Drs SPIESS Georges/France 11 rue Principale PITHON Mme THOMAS Suzanne - «Res.Edylis» 2 allée de la goëlette»la Vallée» SAINT MALO Dr THUILLIER Thérèse 11 rue Saint Bitou BEZIERS Mme VARAINE Nicole Apt 6, 1 rue des Capucins COMPIEGNE Cotisations 2011 Cotisation Statutaire (Membres actifs) Chirurgiens-Dentistes retraités et tous allocataires inscrits à la CARDCD. Cotisation individuelle ou couple (un seul retraité) 60 Cotisation Couple (deux praticiens retraités) 75 Cotisation Membres associés Chirurgiens-dentistes en exercice et sympathisants, (cotisation minimum) 60 Cotisation Réduite Membres statutaires à très bas revenus (une cotisation pour un couple) 41 Tous les chèques doivent être libellés au nom de l UCDR et rien d autre. TU

20 L UCDR COMITÉ D HONNEUR PRÉSIDENTS D HONNEUR = Dr Maurice PROTEAUX, = DrJean-Pierre BLANCHET, = DrJacques ZOUTE VICE-PRÉSIDENTS D HONNEUR Dr Robert SISSAKIAN, DrHenri JUPPÉ,= Dr Raymond LAURET SECRÉTAIRE GÉNÉRAL D HONNEUR = Dr Adolphe ROMIEUX BUREAU PRÉSIDENT D HONNEUR CHARGÉ DE MISSION Dr Jean-Claude TEMPLIER jean.templier@sfr.fr 10, Bd des Belges NANTES & PRÉSIDENT Dr Yves ROUSSEL mylac.roussel@free.fr Le Bois Colin rue de la Chézine SAUTRON & VICE-PRÉSIDENTS Dr Jean-Marie MASSY jm.massy@wanadoo.fr 260 rue Solférino Lille & Dr Albert KLEIN klein.albert@sdv.fr 19 rue de Weitbruch BISCHWILLER & CONSEILLER AUPRÈS DU PRÉSIDENT Dr Guy ROBERT guy.robert@interfimo.fr 4 rue Turgot DIJON & SECRÉTAIRE GÉNÉRAL Dr Jean GOUNANT jean.gounant@free.fr 14 square Dunois PARIS & SECRÉTAIRE GÉNÉRAL ADJOINT Dr Maurice SERGENT sergent@altern.org 101 rue J.Bodereau LE MANS & TRÉSORIER NATIONAL Dr Michel PROLHAC michel.prolhac@free.fr 27 rue de Nantes BLAIN & TRÉSORIER ADJOINT Dr Jacques BOIGEY boigey.jacques@neuf.fr 11 rue Louis Thubeuf ROUEN & RÉDACTEUR EN CHEF Dr Victor GUEZ ucdn.tu@gmail.com 10 rue Marie Laurencin CHAMBRAY LES TOURS & CONSEILLERS D ADMINISTRATION ÉLUS Dr Jean-Claude ASFAUX jc.asfaux@orange.fr 8 rue Saint-Thierry REIMS & Dr Jean-Claude CHARDON jcc.chardon@orange.fr 14 boulevard Jean Mermoz NEUILLY & Dr Jean-Claude LAFFORGUE aga.pmp@sfr.fr 86 Avenue Trespoey PAU & Dr Michel MORIN micheletanne.morin@wanadoo.fr 46 bd de la Chezine SAINT HERBLAIN & Dr Yves PERNOT ypernot@wanadoo.fr 12 chemin de la Côte ETOILE SUR RHÔNE & Dr Émile TENET emiletenet@free.fr 21, Villa Deshayes PARIS & PRÉSIDENTS DÉLÉGUÉS DE RÉGIONS ALSACE (67-68) Dr Albert KLEIN klein.albert@sdv.fr 19 rue de Weitbruch BISCHWILLER & AQUITAINE et OUTRE-MER ( ) Dr Raoul GUERIN raoul.guerin@neuf.fr Appart 8,7 Av Tourelles de Charlin MERIGNAC & AUVERGNE ( ) Dr Albert COULAMY 20,place de Jaude CLERMONT-FERRAND & BOURGOGNE ( ) Dr Guy ROBERT guy.robert@interfimo.fr 4, rue Turgot DIJON & BRETAGNE ( ) Dr Jacques COUSIN jjacques.cousin3@wanadoo.fr 95 rue Mathurin Méheut ST-BRIEUC & CENTRE ( ) Dr Victor GUEZ hyvictor@hotmail.fr 10 rue Marie Laurencin CHAMBRAY-LES-TOURS & CHAMPAGNE-ARDENNE ( ) Dr Jacques CHAMPAGNAT jacques.champagnat@orange.fr 3, rue de l Abreuvoir SUIPPES & LANGUEDOC-ROUSSILLON ( ) Dr Jean-Louis GRAS jeanlouis.gras@free.fr SaintRoch CASTELNAUDARY & LORRAINE ( ) Mme Bernadette BOUR 102,rue Jean Jaurès NEUVES-MAISONS & MIDI-PYRÉNÉES ( ) Dr André LUBESPERE a.lre@wanadoo.fr 17,rue de Lorraine AUCH & NORD-PAS DE CALAIS (59-62) Dr Jean-Marie MASSY jm.massy@wanadoo.fr 260,rue Solférino Lille & NORMANDIE ( ) Dr Jacques BOIGEY boigey.jacques@neuf.fr 11,rue Louis Thubeuf ROUEN & PARIS-Ile de France ( ) Dr Thérèse PONS therese.pons@club-internet.fr 162, rue de Silly BOULOGNE & PAYS DE LA LOIRE ( ) Dr Michel PROLHAC michel.prolhac@free.fr 27 rue de Nantes BLAIN & PICARDIE ( ) Dr Serge VADUREL servadu@free.fr 23, rue de Birmingham ALBERT & POITOU-CHARENTES ( ) Dr André BROUSMICHE Cf > philippe.blin24@wanadoo.fr Le Maraudeau CHASSENEUIL DU POITOU & RHÔNE-ALPES ( ) Dr Yves PERNOT ypernot@wanadoo.fr 12 Chemin de la Côte ETOILE SUR RHÔNE & , rue Ampère Paris Cedex 17 site internet : Directeur de la Publication : Yves ROUSSEL Rédacteur en Chef : Victor GUEZ Maquette : Bernard CURTILLAT Impression : IMPRIMEDIA, MONTAIGU cedex

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