Introduction. Définitions. Faculté de Médecine Montpellier-Nîmes
|
|
- Lucile Mongeau
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Introduction Un des objectifs de la politique de santé est actuellement La réduction de la mortalité prématurée et évitable I - GENERALITES SUR LES INTERVENTIONS DE DEPISTAGE (application aux dépistage des cancers) Cours MB Département d Information Médicale, Bio statistiques et Épidémiologie CHU Montpellier 1 Cet objectif nécessite une panoplie d interventions où les actions de dépistage ont un rôle essentiel. Les actions de dépistage sont une forme d action de santé publique qui engage des mécanismes d adhésion, impliquent des processus de décision et l élaboration de stratégies qui sont en rupture complète avec le comportement usuel des médecins et du public Leur organisation et leur évaluation sont multidisciplinaires sous la responsabilité d institution(s) sanitaire(s) dont la mission est alors de répondre à un problème de santé publique Initialement développé au profit de maladies génétiques telles que la phénylcétonurie, trisomie 21 Le champ actuel où le développement des actions de dépistage est important est la cancérologie 2 Dépistage Définitions Action de santé publique de prévention secondaire : vise à l aide de test(s) adapté(s) à identifier des sujets atteints de la maladie dépistée, au sein d une population apparemment indemne de cette affection. Pouvoirs publics et les organisateurs doivent développer une action d efficacité démontrée, de qualité, qui minimise les effets négatifs et les coûts Action qui ne vise en aucun cas à porter un diagnostic mais à distinguer dans la population les sujets en bonne santé apparente - mais probablement atteints de la maladie - de ceux qui en sont probablement exempts. Les sujets dits POSITIFS au test de dépistage doivent alors réaliser secondairement un bilan diagnostique destiné à trancher sur l état de santé et le cas échéant entamer un traitement dans les meilleurs délais. 3 On différencie : le dépistage organisé (de masse) qui s adresse à l ensemble des individus d une population cible pré définie (souvent sur le sexe et l âge) du dépistage individuel (spontané) réalisé dans le cadre de la relation médecin/malade à visée curative. Ce dépistage spontané est alors réalisé à la demande du patient ou du médecin (ce n est pas toujours du dépistage : symptôme(s) ± facteur de risque, ± ATCD familial) Le dépistage intervient avant l apparition de la maladie, alors que le sujet (et son médecin) se sent en bonne santé. Il n est donc justifiable que si l on a démontré au préalable que la maladie répond à certaines caractéristiques précisément définies (Critères OMS). 4
2 Caractéristiques de l Affection cible Affections fréquentes, problème de santé publique Histoire naturelle évolue par étape avec lésion pré-cancéreuse puis phase localisée assez longue pour que dépistage et diagnostic soient utiles. Histoire de la maladie connue : pour fixer le moment le plus pertinent pour le dépistage La maladie doit être diagnostiquable et curable au moment du dépistage Existence de traitements efficaces Pas de prévention primaire coût-efficace possible Caractéristiques du test Test reproductible sensible et spécifique (peu de faux positifs et faux négatifs) Acceptable pour le sujets, simple et non douloureux Pas ou peu d effets secondaires Test d un coût le moins élevé possible Différentes étapes du développement d un dépistage organisé Évaluation de l intérêt d une procédure de dépistage dans la mise en place éventuelle d un dépistage organisé : Objectif : Démontrer par des essais randomisés (à chaque fois que c est possible) l efficacité du dépistage Ex : cancer du sein (Essais randomisés États-Unis, Suède, Canada ) cancer prostate (Essais randomisés États-Unis, Europe ) Si efficacité démontrée : développement du dépistage dans la population cible Évaluation régulière et standardisée du programme en population Objectif : Démontrer que ces programmes respectent les conditions dans lesquelles on peut attendre les effets démontrés par les essais Ex : évaluation InVs des programmes de dépistages en cours : Sein, colon-rectum, utérus Efficacité démontrée, Balance Bénéfices > Risques 5 6 II -EVALUATION D UNE PROCEDURE DE DEPISTAGE (application aux dépistages des cancers) Objectifs Dépistage : Identification dans une population a priori en bonne santé, de porteurs de maladie dans le but de confirmer ou infirmer le diagnostic, de prendre des mesures thérapeutiques Avantages amélioration du pronostic Diminution incidence de la maladie (dépistage de l état de pré-maladie) Allégement des thérapeutiques Inconvénients Allongement du temps de maladie sans retard du décès? Effets iatrogènes (faux positifs..) Fausse réassurance des tests négatifs, risques liés au test Conséquences psychologiques et sociales du dépistage 7 Le dépistage est-il bénéfique? Ne pas dépister des cas de maladie qui n auraient jamais évolué, ou auraient régressé Ne pas dépister pour augmenter la durée de maladie sans influer sur son pronostic 8
3 Évaluation de l examen de dépistage Performance diagnostique de l examen de dépistage* : Simplicité, rapidité, acceptabilité, reproductibilité Validité : Sensibilité (FN), spécificité (FP), valeurs prédictives Performance diagnostique de la procédure Indicateurs calculés sur l ensemble de la procédure «P» : dépistage+bilan diagnostique Sensibilité : Prob (P+/M+), taux de cancers de l intervalle Spécificité : Prob (P -/M-), taux de faux positifs Valeurs prédictives : positive Prob (M+/P+), négative : Prob (M-/P-) Critère diagnostique utilisé : référence de l état de santé : reconnu, consensuel, pratiqué sur TOUS les sujets de l étude S assurer que les performances du test ont été évaluées dans le cadre d une étude valide (recrutement, taille échantillon,méthode de référence pour porter le diagnostic, insu, choix du seuil de «positivité»..) dans un sous-groupe représentatif de la population cible * : cf. cours validation diagnostique d un examen 9 Durée du suivi : Tests positifs : durée du bilan jusqu au diagnostic (surveillance comprise) Tests négatifs : intervalle inter-dépistage, ensemble des «vagues» sur durée pré-définie Cas particulier : comparaison de tests/procédures Randomisation des groupes ou de l ordre des examens (sujet propre témoin) Lecture des examens en insu, si possible contrôle du biais de surveillance 10 différentielle Évaluation de l efficacité de l intervention Etudes à haut niveau de preuve : essais randomisés contrôlés, consensus international 1 groupe expérimental effectue le dépistage et 1 groupe contrôle n est pas soumis au dépistage ; prospectif : suivi souvent long (cancers) Parfois études observationnelles (cas-témoins) (contrôle difficile des biais, des facteurs intercurrents..) Critère de jugement principal +++ Dépistage en vue d une réduction des décès Mortalité spécifique : nb décès lié à la maladie/ nb sujets dans chaque groupe Dépistage en vue d une réduction des cas de maladie : Incidence (si détection d une pré-maladie) : cancer du colon (adénomes), col 11 de l utérus (dysplasie) Évaluation de l efficacité de l intervention : les biais Risque de biais lié au critère choisi, aux formes cliniques, Schéma du dépistage Début Maladie Dépistage Symptômes Décès Avance au diagnostic Survie après dépistage Biais de lead-time (avance au diagnostic) : survie plus longue peut-être liée seulement à l avance du diagnostic, alors que la date du décès est inchangée Survie = mauvais indicateur Préférer la mortalité Survie après diagnostic 12
4 Biais de sélection des cas de meilleur pronostic : length time bias les formes lentes de meilleur pronostic ont plus de chances d être présentes au moment du dépistage. Effet maximum lors des vagues de dépistage prévalentes Dépistage Dépistage formes lentes : 5/5 (plus longtemps dans un état «dépistable») Dépistage formes rapides : 2/4 Autres biais possibles : Sur diagnostic : dépistage sélectionne des cancers qui n auraient peut être jamais évolué Biais de sélection lié au dépistage de sujets par définition volontaires dont l état de santé est souvent meilleur que l état de santé de ceux qui ne participent pas Biais d indication: patients adressé au dépistage parce qu ils ont un symptôme 13 En réalité : essais complexes Faisabilité Suivi souvent long (examens, traitements deviennent obsolètes ) Suivi lourd (nb sujets élevé) Taille échantillon souvent élevée, calcul NSN délicat Performance de la procédure ne dépend pas que des performances du test, notamment Sensibilité (Se) de la procédure dépend aussi : o de la Participation, de sensibilité des examens diagnostiques, de l intervalle inter-dépistage (réduction de l intervalle augmente la sensibilité) Facteurs de variabilité difficiles à contrôler Maintien de la randomisation, perdus de vue Contamination : sujets contrôles qui effectuent le dépistage (ex: cancer du sein, prostate) interventions intercurrentes 14 Résultats des essais des principaux dépistages de cancers Dépistages d intérêt non démontré / Perspectives Dépistage du cancer du sein Objectif : diagnostic précoce du cancer Test : Mammographie, 2 incidences, intervalle :2 ans Essais randomisés américains et suédois : Réduction de mortalité : 25% à 30% (femmes ans). Femmes ans : controversé (NS) Dépistage du cancer du colo-rectal Objectif : diagnostic précoce cancer ou lésion précancéreuses Test : Recherche de sang occulte dans les selles (Hemocult ) Essais randomisés américains, danois : réduction de mortalité : 12% à 33% (50-74 ans, ans..). Méta-analyse (Towler, 1998) : réduction de 16% ( 40 ans) Dépistage du cancer col utérin Objectif : diagnostic précoce cancer ou lésion précancéreuses Test : frottis cervico-utérin (FCU) Etudes non randomisées : cas-témoins géographiques : réduction de incidence et mortalité chez les femmes ans : >80% (Hakama, 1986) 15 Dépistage du cancer de la prostate Objectif : diagnostic précoce cancer Test : PSA±TR (sensible, peu spécifique++) Résultats controversés des essais randomisés Recommandations HAS 2004 inchangées : pas de dépistage organisé, dépistage individuel décision médecin traitant +patient informé sur les bénéfices/risques Dépistage du cancer du poumon Objectif : diagnostic précoce cancer Test : radiographie ± cytologie, ou scanner spiralé Essais randomisés : National Lung Screening Trial (USA, en cours) Pas de réduction de mortalité. En attente des résultats essai américain NLST Perspectives Ovaire (CA échographie transvaginale), Mélanome (examen clinique), Cavité buccale (Examen clinique), Estomac (photofluorographie), Cavum (Anticorps anti-ebv) 16
5 Organisation : généralités Pilotage : Ministère de la santé, INCa III EVALUATION DES PROGRAMMES DE DEPISTAGE ORGANISE EN POPULATION (application aux dépistages des cancers) Financement : Maladie Mise en place : départementales Ministère de la santé, Assurance- Structures de gestion Evaluation (Arrêté ministériel 2006, Plan Cancer) Épidémiologique : InVS : participation, qualité, efficacité, délais Technologique : AFFSAPS (critère de qualité : installations, matériel) 17 Protocole, référentiels pour l évaluation : Direction Générale de la Santé Référentiels internationaux & français : précisent les indicateurs + 18 valeurs attendues Organisation : missions de la structure de gestion Respect du cahier des charges par les professionnels impliqués (ex: radiologues dans le dépistage du cancer du sein) Etapes de l évaluation des programmes Information : population à dépister But : obtenir une participation maximale, ne pas majorer (corriger) les inégalités sociales de santé. Invitation des personnes concernées Mise en place des moyens du suivi des sujets dépistés du recueil des résultats des examens diagnostiques, délais de réalisation (tests positifs) du recueil exhaustif des cas de maladie (tests négatifs) Formation des professionnels de santé généralistes +++ : formation à l optimisation de la participation Spécialistes +++ : formation régulière à la lecture/interprétation des tests de dépistage 19 Participation : Participation au programme de dépistage organisé, Qualité du programme Efficacité du programme Indicateurs d organisation (notamment délais) 20
6 Taux de participation Indicateurs de qualité Définition Taux de référence : Nb de sujets dépistés rapportés àla population cible de référence (ex cancers : population définie par le recensement INSEE) Autre : Nb de sujets dépistés / nb de sujets invités au dépistage : surestimation* Informations complémentaires (évaluation de la sous-estimation du taux rapporté au recensement INSEE) Nb de sujets décédés pendant la période, Nombre de sujets n habitant pas à l adresse indiquée (NPAI) Nb de sujets devant être exclus du dépistage (cancer, facteurs de risques spécifiques, examen de dépistage spontané ) : dépistage cancer colorectal++ * Bases d invitation souvent incomplètes 21 Taux de tests déclarés «non analysables» ex : dépistage cancers utérus, colon Taux de rappel =nb de sujet ayant un test «positif» /nb de sujets dépistés Valeur prédictive du test de dépistage =nb de cancers (ou maladie) /nb de tests de dépistage «positifs» Taux d examen réalisé dans le bilan diagnostique ex : cancer du sein : Taux de biopsies chirurgicales, cancer du colon : Taux de coloscopies Valeur prédictive des examens du bilan diagnostique ex : cancer du sein : valeur prédictive de la biopsie chirurgicale =nb de cancers /nb de biopsies réalisées Taux de cancers de l intervalle (indicateur de qualité/efficacité) cancers diagnostiqués dans l intervalle entre 2 tests de dépistage Si trop élevé : perte du bénéfice du dépistage 22 Indicateurs d efficacité Indicateurs précoces (intermédiaires) Taux de cancers détectés =nb cancers détectés rapporté nb de sujets dépistés Taux de cancers invasifs /In Situ détectés (rapporté nb de cancers détectés) Taux de cancers détectés de bon pronostic Taux de cancers invasifs, sans envahissement ganglionnaire Taux de cancers de taille (stade ) seuil (ex:dépistage cancer sein : 10mm) ± Taux de lésions précancéreuses détectées (ex: adénomes dans le dépistage du cancer colo-rectal) Autres Indicateurs Indicateurs d organisation : évaluation des délais à respecter Indispensable pour atteindre le bénéfice attendu du programme en terme d efficacité Délai entre test de dépistage/ envoi du résultat, test / bilan diagnostique, test / traitement Évaluation des effets psychologique et sociaux du dépistage But : optimiser le dépistage par une meilleure participation Indicateurs à long terme taux de mortalité spécifique (décès liés à la maladie dépistée) Rarement dans les programmes en population (recul nécessaire trop long) 23 Évaluation médico-économique Place dans les priorités de santé 24
7 Exemple 1 : dépistage du cancer du sein Exemple 2 : dépistage du cancer colo-rectal 1 ère cause de mortalité par cancer chez les femmes, nouveaux cas (2000), décès 2 eme cause de mortalité par cancer, nouveaux cas par an, décès (2006) Organisation 1ères expériences pilotes : 1988 Généralisation nationale : 2004 Femmes ans sur invitation personnelle Mammographie 2 incidences (numériques en 2008) +ex. clinique Tous les 2 ans, Double lecture Bilan diagnostique (mammographie, échographie, biopsie) en cas de tests positif Résultats (extrait 2006) Activité Participation : 49.8% Qualité Tx de tests «positifs» 3.7% Efficacité * Vagues incidentes, vague prévalente=3.5xincidence Tx de cancers détectés : 6.7 Tx de cancers in situ : 13.8% Tx de cancers invasifs 37.0% < 10mm Tx de cancers invasifs & N0 : 71.4% 70% <5% Référentiel 1.5 x Incidence * 10% 25% >70% 25 Organisation 23 départements pilotes Généralisation nationale 2009 Sujets ans Après consultation chez le généraliste ou relance directe des sujets Tous les 2 ans Détection sang selles (Hemocult puis test immunologiques ) Coloscopie complète en cas de test positif Résultats (extrait ) Activité sujets Participation : 42% Qualité Tx de tests «non analysables» 3.2% Tx de tests «positifs» : 2.7% Tx de coloscopie après un test + 87% VPP coloscopie (cancer) 9.3% Efficacité Tx de cancers détectés : 2.2 Tx d adénomes détectés : 7.5 Tx de cancers in situ : 24 % Tx de cancers «bon pronostic» 66 % * Tx de cancers invasifs stade I 42% * Tx de cancers invasifs stade II 24 % Référentiel (en cours) 50% 26 Exemple 3 : dépistage du cancer du col utérin 12 eme cause de mortalité par cancer chez les femmes, 3068 nouveaux cas par an, 1067 décès (2005) Organisation Pas de dépistage organisé national Recommandé HAS-Anaes 5 expériences pilotes depuis 1990, 3 en 2008 : Alsace, Isère, Martinique Dépistage individuel important : taux de couverture en : 60% (25-54 ans), <50% (55 ans et +) Organisation différente selon les départements Femmes de ans ou ans Toutes les femmes ou seules celles sans FCU depuis 3 ans FCU tous les 2 ans ou 3 ans, après 2 frottis normaux à un an d intervalle Résultats (extrait ) Activité Taux de Participation (/population Insee) : 13.8% à 17.8% Taux de couverture (=Nb femmes ayant eu un FCU depuis 3 ans /Population Insee de la tranche d âge 52.6% à 71% Qualité Tx de frottis de qualité «non satisfaisante» 0.2% à 1.2% Tx de frottis anormaux ( tests «positifs» ) 1.1% à 9.9% Efficacité Tx de cancers invasifs (/ femmes dépistées) 15.8 à Tx de lésions précancéreuses à 1952,1 (/ femmes dépistées) 27 Conclusion Le développement d un programme de dépistage organisé ne se pose que si La maladie est un problème de santé publique L histoire naturelle de la maladie le permet On dispose d un test diagnostique de haute performance puis d un traitement La balance bénéfice/risque est favorable pour le patient L efficacité d un dépistage doit être démontrée par des essais randomisés Difficultés de maintenir la randomisation car contamination des groupes, perdus de vue, modification des examens et critères diagnostiques Critère de référence pour l efficacité du dépistage des cancers : mortalité (sinon lead-time bias) les résultats du développement du programme en population dépendent Des choix organisationnels (choix du test, rythme..), du respect du cahier des charges D évaluation régulières des programmes basée sur des référentiels D une participation élevée, pérenne et traduisant l équité d accès au dépistage De la formation des professionnels impliqués 28
8 Conclusion Le dépistage est une action de santé publique difficile, coûteuse (action à long terme avec répétition régulière des vagues de dépistage), qui n induit pas que des bénéfices Il cherche à concilier le bénéfice individuel, souvent faible et aléatoire, avec l intérêt collectif le plus souvent important si l action est justifiée et correctement réalisée Il est encore souvent gêné en France par un dépistage individuel élevé pas toujours dans les groupes de population les plus à risque 29 Bibliographie «Guide méthodologique : comment évaluer a priori un programme de dépistage?» ANAES, Mai 2004 «European Guidelines for quality assurance in breast cancer screening and diagnosis», 4th Edition, Europe Against Cancer, 2006 «Réduction in mortality from breast cancer after mass screening with mammography» Tabar L et al, The Lancet 1981;April 13: «Dépistage du cancer du sein : que peut-on dire aujourd hui des bénéfices attendus?» Inca/InVS Sept 2006 «Randomised controlled trial of faecal-occult-blood screening for colorectal cancer» Hardcastle JD, et al Lancet 1996; 348: «Dépistage organisé du cancer du col de l utérus». Guide du format des données et définitions des indicateurs de l évaluation épidémiologiques. N. Duport, D. Serra. Maladies chroniques & traumatismes, InVS 2008 «Evaluation des programmes de dépistage des cancers», InVS 2010 «Programme de dépistage du cancer du colon et du rectum en France», H. Goulard, InVS 2009 «Programme de dépistage du cancer du sein en France : résultats 2006», M. Gorza et al, InVS 2009 «Screening for prostate cancer : systematic review & meta-analyse of randomised trials», M. Djulbegovic, BMJ 2010 «Systematic review of the effects of screening for colorectal cancer using the faecal occult blood test, hemoccult», B. Towler, BMJ 1998 «Screening for cancer of the uterine cervix», IARC Sci Publ, M. Hakama,
Programme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention
Programme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention Indicateur n 2-3 : Indicateurs sur le dépistage du cancer 1 er sous-indicateur : taux de participation au
Plus en détailDépistage du cancer colorectal :
Dépistage du cancer colorectal : Quels enjeux? Robert Benamouzig Gastro-entérologie Hôpital Avicenne Bobigny Le cancer colorectal dans le monde 3ème cause de cancer Augmentation 1975 : 500 000 cas 1990
Plus en détailLe dépistage des cancers
Le dépistage des cancers G R A N D P U B L I C Octobre 2009 Le dépistage des cancers Détecter tôt certains cancers permet de les traiter mieux, c'est-à-dire de proposer des traitements moins lourds, et
Plus en détailCancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes
Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes Pr Jean Trédaniel Service de pneumologie et oncologie thoracique Groupe Hospitalier Paris Saint Joseph Université Paris Descartes Sources Données
Plus en détailLe dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient!
Le dépistage du cancer de la prostate une décision qui VOUS appartient! Il existe un test de dépistage du cancer de la prostate depuis plusieurs années. Ce test, appelé dosage de l antigène prostatique
Plus en détailVolume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques
2 V o l u m e Volume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques Volume 2 : Epidémiologie - Situation et actions Recherche des données d incidence estimée des cancers au Maroc Recherche des données
Plus en détailL axe 5 du Cancéropole Nord Ouest
L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu id & Société L état des lieux d un pari Le Rapport Cordier 1 Biomarqueurs prédictifs 2 L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu & Société
Plus en détailObjectifs pédagogiques Lecture critique d article
Objectifs pédagogiques Lecture critique d article groupe V Evaluer les applications cliniques Evaluer les applications cliniques 21 ) Discuter la ou les décisions médicales auxquelles peuvent conduire
Plus en détailINTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper
INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper Pourquoi proposer un TTT adjuvant? Probabilité de survie à 10 ans en fonction
Plus en détailLes soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio
Les soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio Grandes lignes Pourquoi les soins en cancérologie sont-ils un enjeu de santé important? Les
Plus en détailItem 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve
Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes
Plus en détailRAPPORT D ORIENTATION. Dépistage du cancer de la prostate. Analyse critique des articles issus des études ERSPC et PLCO publiés en mars 2009
RAPPORT D ORIENTATION Dépistage du cancer de la prostate Analyse critique des articles issus des études ERSPC et PLCO publiés en mars 2009 Juin 2010 Ce rapport d orientation est téléchargeable sur www.has-sante.fr
Plus en détailStatistiques Canadiennes sur le Cancer, et HMR sur le poumon
Statistiques Canadiennes sur le Cancer, et HMR sur le poumon Bernard Fortin Mars 2014 Source: Comité consultatif de la Société canadienne du cancer : Statistiques canadiennes sur le cancer 2013. Toronto
Plus en détailÉtudes épidémiologiques analytiques et biais
Master 1 «Conception, évaluation et gestion des essais thérapeutiques» Études épidémiologiques analytiques et biais Roxane Schaub Médecin de santé publique Octobre 2013 1 Objectifs pédagogiques Connaitre
Plus en détailDépistage par mammographie : feuille d information
feuille d information Dépistage par mammographie : feuille d information Le dépistage par mammographie consiste à faire passer à intervalles réguliers, dès l âge de 50 ans, des radiographies des seins
Plus en détailRecherche documentaire et autoformation. Lecture critique d un article médical. Recommandations pour la pratique. Les maladies orphelines
18. Recherche documentaire et autoformation. Lecture critique d un article médical. Recommandations pour la pratique. Les maladies orphelines KARILA LAURENT - APPRENTISSAGE DE L EXERCICE MÉDICAL + Objectifs
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailValidation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste. Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon
Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon Marqueur prédictif - Définition Un marqueur prédictif est un marqueur qui prédit le bénéfice
Plus en détailEvidence-based medicine en français
Evidence-based medicine en français MÉDECINE FACTUELLE (Office de la langue française) Médecine fondée sur des faits démontrés Médecine fondée sur des preuves Médecine fondée sur des données probantes
Plus en détailMETHODOLOGIE GENERALE DE LA RECHERCHE EPIDEMIOLOGIQUE : LES ENQUETES EPIDEMIOLOGIQUES
Enseignement du Deuxième Cycle des Etudes Médicales Faculté de Médecine de Toulouse Purpan et Toulouse Rangueil Module I «Apprentissage de l exercice médical» Coordonnateurs Pr Alain Grand Pr Daniel Rougé
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailEssais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009
17 èmes Journées des Statisticiens des Centres de Lutte contre le Cancer 4 ème Conférence Francophone d Epidémiologie Clinique Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009 Q Picat, N
Plus en détailIncontinence anale du post-partum
Incontinence anale du post-partum Laurent Abramowitz Unité de proctologie médico-chirurgicale de l hôpital Bichat, Paris Et cabinet libéral Prévalence Inc anale France (1) : 11% > 45 ans Damon et al (2):Pop
Plus en détailINFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT
INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT QUELS RÉSULTATS POUR LE RECEVEUR? QUELS RISQUES POUR LE DONNEUR? DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT CONCERNER CHACUN /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Plus en détailDépistage du cancer du sein: Doit-on réévaluer son efficacité?
Dépistage du cancer du sein: Doit-on réévaluer son efficacité? Jean-Luc Bulliard, Fabio Levi Unité d épidémiologie du cancer, Institut de médecine sociale et préventive, Centre Hospitalier Universitaire
Plus en détailG U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailTRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir?
TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? H Le Hors-Albouze Urgences pédiatriques Timone enfants Marseille Traumatismes crâniens (TC) de l enfant Grande fréquence même si incidence réelle mal
Plus en détailLA PROPOSITION DE LA VACCINATION ANTI-PAPILLOMAVIRUS: INFORMATIONS TRANSMISES ET VECU DE LA PROPOSITION
LA PROPOSITION DE LA VACCINATION ANTI-PAPILLOMAVIRUS: INFORMATIONS TRANSMISES ET VECU DE LA PROPOSITION ETUDE QUALITATIVE REALISEE AUPRES DE MEDECINS GENERALISTES DU JURA ET DE COUPLES ADOLESCENTES/ REPRESENTANTS
Plus en détailLa recherche clinique de demain ne se fera pas sans les paramédicaux
La recherche clinique de demain ne se fera pas sans les paramédicaux Marc Beaumont, kinésithérapeute - 5ème journée inter régionale GIRCI - Tours, 3 juin 2015 Qu est ce que la recherche clinique? «une
Plus en détailL analyse documentaire : Comment faire des recherches, évaluer, synthétiser et présenter les preuves
L analyse documentaire : Comment faire des recherches, évaluer, synthétiser et présenter les preuves Cet atelier portera sur 1. la recherche dans la documentation de sources pertinentes; 2. l évaluation
Plus en détailTraitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse
Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt
Plus en détailProgramme de dépistage du cancer colorectal : quelles recommandations pour quelle efficacité? Tour d'horizon de pays occidentaux.
UCL - RESO Unité d Education pour la Santé Ecole de santé Publique Centre «Recherche en systèmes de santé» Programme de dépistage du cancer colorectal : quelles recommandations pour quelle efficacité?
Plus en détailLe dépistage du cancer du sein par mammographie dans la population générale
Le dépistage du cancer du sein par mammographie dans la population générale Mars 1999 Étude d évaluation technologique Tous droits de traduction, d'adaptation et de reproduction par tous procédés, réservés
Plus en détailNouveau plan greffe : Axes stratégiques pour l avenir
Extrait Communiqué de presse Saint-Denis, le 12 avril 2012 Nouveau plan greffe : Axes stratégiques pour l avenir La dynamique du plan greffe 2000-2003 a généré un essor sans précédent de près de 50 % de
Plus en détailRéférentiel Officine
Référentiel Officine Inscrire la formation dans la réalité et les besoins de la pharmacie d officine de demain - Ce référentiel décrit dans le cadre des missions et des activités du pharmacien d officine
Plus en détailDossier communicant de cancérologie (DCC) et dossier médical personnel (DMP)
Dossier communicant de cancérologie (DCC) et dossier médical personnel (DMP) Cadre national Octobre 2010 Mesure 18 : Personnaliser la prise en charge des malades et renforcer le rôle du médecin traitant
Plus en détailPLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détailLECTURE CRITIQUE 1 ER PAS
1 LECTURE CRITIQUE D UN ARTICLE SCIENTIFIQUE 1 ER PAS FORUM PCI 20,05,14 MJ Thévenin / Inf. EPIAS/ SMPH BUTS ET ORGANISATION DE LA PRÉSENTATION Utiliser une grille de lecture critique d un article Comprendre
Plus en détailRevue de la littérature
Résultats à long terme des anévrysmes traités Revue de la littérature Cours de DES de neurochirurgie Inter-région Rhône-Alpes / Auvergne Vendredi 22/04/11 Méthode (1): sélection bibliographique en fonction
Plus en détailÉTAT DES LIEUX. Niveau de preuve et gradation des recommandations de bonne pratique
ÉTAT DES LIEUX Niveau de preuve et gradation des recommandations de bonne pratique Avril 2013 Les recommandations et leur synthèse sont téléchargeables sur www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé Service
Plus en détailLa survie nette actuelle à long terme Qualités de sept méthodes d estimation
La survie nette actuelle à long terme Qualités de sept méthodes d estimation PAR Alireza MOGHADDAM TUTEUR : Guy HÉDELIN Laboratoire d Épidémiologie et de Santé publique, EA 80 Faculté de Médecine de Strasbourg
Plus en détailHEL-01298-de-0513-0001-21494. Des maladies dépistées grâce aux examens préventifs
HEL-01298-de-0513-0001-21494 Des maladies dépistées grâce aux examens préventifs Sommaire 1. Pourquoi des examens préventifs? 3 2. Examens préventifs pour le dépistage des facteurs de risque/maladies du
Plus en détailEssais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire
Essais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire Sylvie CHABAUD Direction de la Recherche Clinique et de l Innovation : Centre Léon Bérard - Lyon Unité de Biostatistique
Plus en détailCANCERS ET RAYONNEMENTS IONISANTS Fortes doses: seconds cancers après radiothérapie
CANCERS ET RAYONNEMENTS IONISANTS Fortes doses: seconds cancers après radiothérapie Rencontres Nucléaire et Santé 08/02/2013 Pierre BEY Professeur émérite de Cancérologie;Radiothérapie Université de Lorraine
Plus en détailFirst Line and Maintenance in Nonsquamous NSCLC: What Do the Data Tell Us?
Dr Jean-Charles Soria : Bonjour et bienvenue dans ce programme. Je suis Jean Charles Soria, Professeur de Médecine et Directeur du programme de développement précoce des médicaments à l université Paris
Plus en détailRAPPORT D ACTIVITE AIDEA 2008. Sommaire
Sommaire 1. Introduction 2. Attentes exprimées 3. Les questions fréquentes 4. Les statistiques 5. Les enquêtes 6. Retours et témoignages 7. Evaluations et indicateurs Notre MISSION : Informer, Conseiller
Plus en détailCependant, les étapes de préparation des budgets et leur analyse sont maintenues et continueront à être réalisées par le niveau régional.
Annexe 4 : Règles de financement des structures de gestion en charge des programmes de dépistage organisé des cancers du sein et du colorectal pour l année 2007 A partir des remontées des budgets 2006,
Plus en détailELABORATION DU PLAN DE MONITORING ADAPTE POUR UNE RECHERCHE BIOMEDICALE A PROMOTION INSTITUTIONNELLE
Référence HCL : Titre de l étude : ELABORATION DU PLAN DE MONITORING ADAPTE POUR UNE RECHERCHE BIOMEDICALE A PROMOTION INSTITUTIONNELLE Investigateur Coordonnateur : Méthode. Définition du niveau de risque
Plus en détailPour l'instant, les connaissances actuelles ne permettent pas d'empêcher un cancer du sein de survenir.
Dépistage Pour l'instant, les connaissances actuelles ne permettent pas d'empêcher un cancer du sein de survenir. Par contre, nous pouvons tenter de le dépister plus tôt afin d'avoir plus de chances de
Plus en détailTests de détection de l interféron γ et dépistage des infections tuberculeuses chez les personnels de santé
Tests de détection de l interféron γ et dépistage des infections tuberculeuses chez les personnels de santé Réunion GERES du 6 juillet 2007 : D Abiteboul,, E Bouvet, A Buonaccorsi,, G Carcelain,, M Domart-Rançon,
Plus en détailCE QU IL FAUT SAVOIR PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT
CE QU IL FAUT SAVOIR PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT Sommaire Comment se fait la recherche sur un nouveau médicament? (page 1) A quoi sert la recherche sur un nouveau médicament? (page
Plus en détailRépondre à un appel à projet - Vie d un projet
Répondre à un appel à projet - Vie d un projet Carine Coffre 1, Nathalie Juteau 1, Ken Haguenoer 2,3 16 décembre 2011 1. Centre d Investigation Clinique - Inserm 202 CHRU de Tours 2. Laboratoire de Santé
Plus en détailRecommandations 2005. Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO
Recommandations 2005 Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO Recommandations pour la Pratique Clinique : Standards, Options et Recommandations 2005 pour la prise en charge
Plus en détailMéthodologie documentaire spécifique au repérage d actions de terrain
Méthodologie documentaire spécifique au repérage d actions de terrain Journée de la préventions 2014 Atelier : «Repérer des actions de prévention : l exemple du tabac» Céline DEROCHE, Sandra KERZANET -
Plus en détailDocteur José LABARERE
UE7 - Santé Société Humanité Risques sanitaires Chapitre 3 : Epidémiologie étiologique Docteur José LABARERE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailASSOCIATION MEDICALE MONDIALE DECLARATION D HELSINKI Principes éthiques applicables à la recherche médicale impliquant des êtres humains
ASSOCIATION MEDICALE MONDIALE DECLARATION D HELSINKI Principes éthiques applicables à la recherche médicale impliquant des êtres humains Adoptée par la 18e Assemblée générale de l AMM, Helsinki, Finlande,
Plus en détailRévision des descriptions génériques Comment monter un dossier?
DISPOSITIFS MEDICAUX Révision des descriptions génériques Comment monter un dossier? Guide pour le dossier déposé par les fabricants/distributeurs Adopté en séance de la CEPP* le 13 juillet 2005 *CEPP
Plus en détailInsuffisance cardiaque
Insuffisance cardiaque Connaître son évolution pour mieux la vivre Guide d accompagnement destiné au patient et ses proches Table des matières L évolution habituelle de l insuffisance cardiaque 5 Quelles
Plus en détailLes plateformes de génétique
Thérapies ciblées : de l anatomopathologie th l à la biothérapie i Les plateformes de génétique moléculaire PO Schischmanoff UF Génétique moléculaire et oncogénétique CHU Avicenne ACP FHF 29 mars 2012
Plus en détailFormat de l avis d efficience
AVIS D EFFICIENCE Format de l avis d efficience Juillet 2013 Commission évaluation économique et de santé publique Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service documentation
Plus en détailLe cancer dans le canton de Fribourg
Le cancer dans le canton de Fribourg Le cancer du poumon dans le canton de Fribourg, analyses statistiques réalisées sur la base des données récoltées par le Registre fribourgeois des tumeurs depuis début
Plus en détailCréation de procédures inter-services pour la gestion des essais de phase I à l Institut Gustave Roussy
Création de procédures inter-services pour la gestion des essais de phase I à l Institut Gustave Roussy A.A. MOUSSA D. SCHWOB Institut de cancérologie Gustave-Roussy 94805 Villejuif cedex - FRANCE Plan
Plus en détailRevue des données probantes l utilité et les limites des différentes approches
Revue des données probantes l utilité et les limites des différentes approches LES REVUES SYSTÉMATIQUES Projet financé par l Agence de la santé publique du Canada Affilié à l Université McMaster Donna
Plus en détailL approche populationnelle : une nouvelle façon de voir et d agir en santé
Trousse d information L approche populationnelle : une nouvelle façon de voir et d agir en santé Novembre 2004 L approche populationnelle : une nouvelle façon de voir et d agir en santé L approche populationnelle
Plus en détailQU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE?
QU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE? TABLES DES MATIÈRES Publié par la Fédération mondiale de l hémophilie (FMH) Fédération mondiale de l hémophilie, 2014 La FMH encourage la traduction et la redistribution de
Plus en détailMontréal, 24 mars 2015. David Levine Président et chef de la direction DL Strategic Consulting. DL Consulting Strategies in Healthcare
Montréal, 24 mars 2015 David Levine Président et chef de la direction DL Strategic Consulting 1 RSSPQ, 2013 2 MÉDECINE INDIVIDUALISÉE Médecine personnalisée Médecine de précision Biomarqueurs Génomique
Plus en détailMai 2004. Service évaluation technologique Service évaluation économique
ÉVALUATION DE L INTÉRÊT DE LA RECHERCHE DES PAPILLOMAVIRUS HUMAINS (HPV) DANS LE DÉPISTAGE DES LÉSIONS PRÉCANCÉREUSES ET CANCÉREUSES DU COL DE L UTÉRUS Mai 2004 Service évaluation technologique Service
Plus en détailProgramme AcSé. Accès Sécurisé aux Innovations Thérapeutiques Deux études pilotes : AcSé - crizotinib et AcSé - vémurafenib
Programme AcSé Accès Sécurisé aux Innovations Thérapeutiques Deux études pilotes : AcSé - crizotinib et AcSé - vémurafenib G. Vassal, J.Y. Blay, C. Cailliot, N. Hoog-Labouret, F. Denjean, M. Jimenez, A.L.
Plus en détailSupplément du BDK 24 : Aide à la recherche bibliographique
Supplément du BDK 24 : Aide à la recherche bibliographique 1- Introduction 2- Les différentes études 3- Les bases de données 4- Comment chercher un article 5- Lecture critique d article Rédaction : Antoine
Plus en détaile-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé
e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,
Plus en détailFaut-il encore modifier nos pratiques en 2013?
Anti-agrégants, anticoagulants et Endoscopie digestive Faut-il encore modifier nos pratiques en 2013? Christian Boustière, Marseille ANGIOPAS Essai de phase II randomisé multicentrique évaluant l efficacité
Plus en détailLe dispositif d annonce. Information destinée aux patients atteints de cancer. édition actualisée Octobre 2009
Le dispositif d annonce Information destinée aux patients atteints de cancer G R A N D P U B L I C 2 édition actualisée Octobre 2009 Sommaire Introduction 1 Le dispositif d annonce 2 Le temps médical L
Plus en détailSujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT
ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie
Plus en détailGestion éthique des banques de recherche
Gestion éthique des banques de recherche Jean-Marie Therrien, Ph.D. Président du Comité d éthique de la recherche, CHU Sainte-Justine 30 octobre 2012 Plan Justification éthique et scientifique Principes
Plus en détail«Adaptation de la mise en œuvre des bonnes pratiques cliniques en fonction des caractéristiques de certaines recherches»
Synthèse de la table ronde 2- Giens XXI -octobre 2005 «Adaptation de la mise en œuvre des bonnes pratiques cliniques en fonction des caractéristiques de certaines recherches» Pierre-Henri.Bertoye, Soizic.Courcier-Duplantier,
Plus en détailIschémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète.
Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète. A propos d un cas clinique, sont rappelés: - les caractères cliniques et pronostiques de l IMS chez le diabétique, - la démarche de l identification de
Plus en détailPrise en charge des déchirures périnéales obstétricales sévères. Courjon M, Ramanah R, Eckman A, Toubin C, Riethmuller D.
Prise en charge des déchirures périnéales obstétricales sévères Courjon M, Ramanah R, Eckman A, Toubin C, Riethmuller D. Introduction Incidence : 0,5 à 3 % Importance de la reconnaissance et d un traitement
Plus en détailProjet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer
DOCUMENT D INFORMATION POUR LES PROFESSIONNELS Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer Septembre 2009 DÉFINITION ET OBJECTIF Dès lors qu ils expriment un projet de
Plus en détailStructure typique d un protocole de recherche. Préparé par Johanne Desrosiers dans le cadre d une formation au réseau FORMSAV
Structure typique d un protocole de recherche Préparé par Johanne Desrosiers dans le cadre d une formation au réseau FORMSAV Introduction Planification et développement d une proposition de recherche Étape
Plus en détailDépistage du cancer de la prostate : vers un outil d aide à la décision pour le citoyen et le médecin
Dépistage du cancer de la prostate : vers un outil d aide à la décision pour le citoyen et le médecin Rapport de mission N 1 9 février 2005 Daniel Oberlé, Arnauld Villers, Dominique Decherf, Jean Christophe
Plus en détailService évaluation des actes professionnels
TRAITEMENT DES AGÉNÉSIES DENTAIRES MULTIPLES LIÉES AUX DYSPLASIES ECTODERMIQUES OU À D'AUTRES MALADIES RARES, CHEZ L ENFANT ATTEINT D OLIGODONTIE, AVEC POSE DE 2 IMPLANTS (VOIRE 4 MAXIMUM) UNIQUEMENT DANS
Plus en détailF JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010
F JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010 Une anomalie ACR5 n est pas synonyme de malignité (VPP>95%) Quelle CAT après un
Plus en détailCharte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco
Réseau Régional de Cancérologie ONCOPACA-Corse Charte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco 1. CONTEXTE ET OBJECTIF Contexte : Cette présente charte a été définie
Plus en détail3 ème plan autisme : Point d étape, un an après son annonce
3 ème plan autisme : Point d étape, un an après son annonce «Le 3 ème plan autisme vise à répondre à la faiblesse criante de la prise en charge de l autisme en France tout en laissant le choix aux familles
Plus en détailPrésenté par Mélanie Dessureault, inf. clin. et Caroline Fortin, AIC radio-oncologie
Présenté par Mélanie Dessureault, inf. clin. et Caroline Fortin, AIC radio-oncologie Quiz de la radio-oncologie Rôle de l infirmière en radio-oncologie Mise en contexte (création des outils) Premier outils:
Plus en détailCONTROVERSE : IDR OU QUANTIFERON LORS D'UN CONTAGE EN EHPAD?
CONTROVERSE : IDR OU QUANTIFERON LORS D'UN CONTAGE EN EHPAD? Hélène MANGEARD François MALADRY Tuberculose : infection mycobactérienne Infection mycobactérienne chronique (M. Tuberculosis ++ ou bacille
Plus en détailLE RAISONNEMENT ET LA DECISION EN MEDECINE : LES BASES EN ASSURANCE MALADIE
LE RAISONNEMENT ET LA DECISION EN MEDECINE : LES BASES EN ASSURANCE MALADIE Dr J. BEZ, Médecin Conseil Chef du Service Médical de la Haute-Garonne CNAMTS Le Service du Contrôle Médical de l Assurance Maladie
Plus en détailDroits des patients et indemnisation des accidents médicaux
Droits des patients et indemnisation des accidents médicaux Etablissement public sous la tutelle du Ministère chargé de la santé Les recours possibles pour les patients OBTENIR DES EXPLICATIONS Si un patient
Plus en détailDroits des patients et indemnisation des accidents médicaux
Droits des patients et indemnisation des accidents médicaux Etablissement public sous la tutelle du Ministère chargé de la santé Lorsqu il estime avoir été victime, de la part d un établissement ou d un
Plus en détailPRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS
PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS Dr Mourot cardiologue Hôpital d Auxerre le 31 mars 2012 PLAN DE LA PRESENTATION ASSOCIATION
Plus en détailREFLEXIONS POUR LE DEVELOPPEMENT D UNE PRATIQUE DE CONCERTATION PROFESSIONNELLE ENTRE MEDECINS ET PHARMACIENS DANS L INTERET DES MALADES
REFLEXIONS POUR LE DEVELOPPEMENT D UNE PRATIQUE DE CONCERTATION PROFESSIONNELLE ENTRE MEDECINS ET PHARMACIENS DANS L INTERET DES MALADES Le médecin et le pharmacien bien que fréquentant souvent des facultés
Plus en détailRecommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés
Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailEtat des lieux de l accès aux plateformes de génétique moléculaire
12 juin 2014 Etat des lieux de l accès aux plateformes de génétique moléculaire CONTEXTE ET OBJECTIFS DE l ETUDE : L action 6.2 du plan cancer 3 «conforter l accès aux tests moléculaires» stipule en particulier
Plus en détailGASTRO-ENTEROLOGIE. Variabilité. A des entrées. B des sites anatomiques. C inter-individuelle. D intra-individuelle
GASTRO-ENTEROLOGIE Variabilité A des entrées B des sites anatomiques 2 l externe + 2 l interne 15 litres sécrétion-absorption entrée 2 l duodénum 4 l grêle 3 l côlon 0,3 l anus 0,3 l œsophage 10" estomac
Plus en détailPLEINS FEUX SUR LE RC EXAMENS SYSTEMATIQUES ET PREVENTION
PLEINS FEUX SUR LE RC SFMG - 2009 EXAMENS SYSTEMATIQUE ET PREVENTION est le résultat de consultation le plus fréquemment relevé par les médecins généralistes de l OMG. Voir là. Pour mieux vous familiariser
Plus en détailL ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES
L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES CONTEXTE 1. Pourquoi avoir élaboré un guide sur l éducation thérapeutique du En réponse à la demande croissante des professionnels de santé
Plus en détailSOIXANTE-SEPTIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ A67/18 Point 13.5 de l ordre du jour provisoire 21 mars 2014. Psoriasis. Rapport du Secrétariat
SOIXANTE-SEPTIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ A67/18 Point 13.5 de l ordre du jour provisoire 21 mars 2014 Psoriasis Rapport du Secrétariat 1. Le Conseil exécutif, à sa cent trente-troisième session,
Plus en détailLa recherche clinique au cœur du progrès thérapeutique
2 èmes Assises de l Innovation Thérapeutique Paris, 05-11-2014 La recherche clinique au cœur du progrès thérapeutique Pr. Jean-François DHAINAUT Président du Groupement Inter-régional de la Recherche Clinique
Plus en détail