Historique et bilan des démarches Contexte 2015 Choix des domaines d actions prioritaires 2015 Sur chaque thématique proposée: objectifs et
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- Matthieu Petit
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1 DISPOSITIF 2015 D AMELIORATION DE LA PERTINENCE DES SOINS Réunion de concertation 7 juillet
2 ORDRE DU JOUR Historique et bilan des démarches Contexte 2015 Choix des domaines d actions prioritaires 2015 Sur chaque thématique proposée: objectifs et démarche Perspectives 2
3 CONTEXTE Le constat d importantes variations des taux de recours entre les régions et les territoires de santé, non expliquées par les indicateurs démographiques ou sanitaires, a induit la démarche sur l amélioration de la pertinence. Cette problématique n est pas propre à la France : rapport de l OCDE en septembre
4 HISTORIQUE DES DEMARCHES Les travaux g 2013 : réalisation d un diagnostic régional global Travaux techniques sur le préchoix de 7 thèmes et des établissements par thèmes Fin novembre : deux réunions du comité régional de concertation g 2014: actions de formation / communication Deux journées de formation des acteurs médecins à l évaluation et l amélioration de la pertinence des soins : hospitalisation pour BPCO et décision d arthroplastie du genou g 2014 : réalisation d actions prévues sur 4 thématiques, réalisées sur 3 Césarienne programmée à terme (réalisé) BPCO (réalisé) Canal carpien (réalisé) Arthroplastie du genou (non réalisé) 4
5 HISTORIQUE DES DEMARCHES Pertinence de la prothèse du genou Un choix 2013 fondé sur: une atypie régionale avec un taux de recours de: 1,32/1000h (France: 1,2) une importante disparité régionale: de 1.16 à 1,46 / 1000h l existence d un référentiel national HAS 5
6 HISTORIQUE DES DEMARCHES Pertinence de la prothèse du genou Des limites apparues en 2014: Formation CEPPRAL: critères de pertinence de l acte imprécis et orientation vers un outil d Evaluation des Pratiques Professionnelles (EPP) complexe, le chemin clinique qui s intéresse aux modalités de prise en charge. Interférences avec les MSAP SSR et le déploiement de PRADO orthopédie. Avis d experts: le référentiel doit être mis à jour avec en particulier l orientation récupération rapide après chirurgie. La commission régionale de GDR valide d autres priorités en novembre 2014 en remplacement de ce thème. 6
7 HISTORIQUE DES DEMARCHES Pertinence de l hospitalisation pour BPCO exacerbée Une auto évaluation par revue de pertinence des soins réalisée par 4 établissements ciblés pour atypie: ICH >15% de la moyenne régionale. Une référentiel HAS - un outil: grille de pertinence réalisée par le CEPPRAL lors de la formation. Résultats: toutes les admissions ont été considérées comme pertinentes Les pneumologues et médecins ont trouvé cette revue de pertinence intéressante et informative (CF résultats partiels). Des difficultés de prise en charge en amont et en aval ont été mises en évidence avec élaboration de plans d action spécifiques 7
8 Grille de pertinence de l hospitalisation pour BPCO surinfectée A - Critères de sévérité clinique 1 Sujet âgé (> 70 ans) 2 Présence de comorbidités 3 BPCO stade III ou IV 4 Signes cliniques ou gazométriques de gravité immédiate 5 Nécessité d une oxygénothérapie 6 Dégradation rapide 7 Augmentation marquée des symptômes (Dyspnée de repos) Ou Dégradation majeure par rapport à l état de base (cyanose, œdèmes des MI, troubles de la conscience) 8 Exacerbations fréquentes ou épisode récent d évolution défavorable B Critères liés aux difficultés de prise en charge 1 Difficulté diagnostique 2 Patient isolé, aides à domicile insuffisantesnd
9 Pertinence de l hospitalisation pour BPCO exacerbée Résultats partiels sur 76 dossiers (3 Ets) Age moyen > 70 ans (de 70 à 78) 1 critère 100 % 3 critères 81 % (de 80 à 82 %) Stade III et IV 54 % (de 33 à 82 %) Urgence ou gravité immédiate 65 % ( de 60 à 71 %) Co-morbidité 50 % (de 32 à 70 %) Isolement social 8 % ( de 6 à 14 %) Pertinence de l hospitalisation 100 % 9
10 CADRE GENERAL DES TRAVAUX 2015 Axe du plan triennal présentant une dimension qualité forte, partagé ARS Assurance Maladie Mesure sur la pertinence des soins dans la LFSS pour 2015 Publication du décret en attente 7 sujets prioritaires nationaux en
11 CADRE GENERAL : LFSS 2015 Art. L du CSS : formalisation d un plan d actions pluriannuel régional d amélioration de la pertinence des soins élaboré par l ARS, définissant les domaines d actions prioritaires et les critères retenus pour identifier les établissements de santé faisant l objet d un contrat, Mise à disposition des ARS et de l Assurance Maladie d un panel d actions graduées pour permettre la mise en œuvre des actions définies dans le plan d action régional: contrat tripartite (ES / ARS / AM), MSAP, possibilité de sanctions 11
12 CADRE GENERAL Les modalités de contractualisation : Objectifs qualitatifs d amélioration de la pertinence des soins Objectifs quantitatifs en cas d écarts significatifs constatés : - par rapport à des moyennes régionales ou nationales, - en cas de proportion élevée d actes non conformes aux référentiels HAS. 12
13 CADRE GENERAL Ce dispositif est complété par l Art. L : procédure de mise sous accord préalable (MSAP) des établissements en application du plan d action pluriannuel régional d amélioration de la pertinence des soins. 13
14 CADRE GENERAL L objectif poursuivi est de maintenir en première intention une approche fondée sur l accompagnement et l implication des professionnels dans l amélioration des pratiques individuelles et collectives. Mais possibilité de sanction dans le cadre d une approche graduée En cas de refus de la contractualisation En cas de non-respect des objectifs fixés au contrat 14
15 Le choix des domaines d action prioritaires 33 priorités nationales identifiées pour des actes fréquents avec des variations importantes des taux de recours aux soins 7 thématiques prioritaires nationales pour lesquelles des outils nationaux sont disponibles en 2015 Césarienne programmée à terme Syndrome du canal carpien Cholécystectomie Appendicectomie Thyroïdectomie Chirurgie bariatrique (fin 2015) Amygdalectomies (décalé à 2016) 15
16 Le choix des domaines d action prioritaires g Deux types d indicateurs disponibles pour le choix des domaines d action prioritaires Hétérogénéité du niveau de recours au soins de la population domiciliée : ICH (indice comparatif d hospitalisation) Indicateurs établissement développés par la CNAMTS 16
17 Constats Rhône-Alpes Activités "Pertinence des soins" -Indice comparatif d'hospitalisation (ICH) Bassins hospitaliers canal carpien appendicectomie cholécystectomie A 1,23 1,16 1,21 1,24 0,93 1,16 B 0,84 0,99 1,20 1,19 0,89 0,86 C 0,67 0,76 1,09 1,27 0,93 0,97 D 1,04 0,96 1,11 1,22 0,99 1,02 E 1,09 1,04 1,07 1,07 1,19 1,06 F 0,77 0,81 1,18 1,18 1,23 1,23 G 1,32 1,22 1,17 1,30 1,12 1,00 H 1,10 1,11 0,98 1,06 0,95 0,94 I 1,01 1,02 1,13 1,14 1,04 1,05 J 0,90 0,98 1,05 1,02 1,28 1,28 K 1,14 1,03 1,11 1,13 0,95 1,05 L 0,77 0,78 1,41 1,44 1,18 1,25 M 1,02 1,06 1,09 1,20 1,14 1,16 Rhône-Alpes 0,95 0,97 1,14 1,18 1,07 1,09 Ecart min-max par BH 0,65 0,47 0,42 0,42 0,39 0,42 17
18 Constats Rhône-Alpes Activités "Pertinence des soins" -Indice comparatif d'hospitalisation (ICH) Bassins hospitaliers amygdalectomie thyroïdectomie chir. bariatrique A 0,96 1,21 0,74 0,81 1,09 1,11 B 0,59 0,58 1,16 1,31 0,53 0,60 C 0,55 0,73 0,80 0,88 0,85 0,81 D 0,67 0,77 0,76 0,80 0,56 0,53 E 0,89 0,67 1,15 0,94 0,78 0,90 F 0,73 0,77 0,98 0,92 1,16 1,00 G 0,99 1,20 0,99 0,90 1,23 1,27 H 0,87 0,82 0,93 0,94 0,52 0,58 I 1,00 1,15 0,93 0,83 1,23 1,31 J 0,74 0,73 1,00 1,04 1,44 1,40 K 0,73 0,73 0,83 0,75 0,87 0,91 L 1,40 1,38 0,80 0,79 1,00 1,02 M 0,90 0,91 0,72 0,87 1,26 1,05 Rhône-Alpes 0,84 0,88 0,92 0,94 0,98 0,97 Ecart min-max par BH 0,85 0,79 0,44 0,56 0,92 0,87 18
19 Cholécystectomie En région Rhône Alpes, taux de recours aux soins proche de la moyenne nationale mais en progression. Pas d établissements atypiques selon indicateurs de ciblage CNAMTS Référentiel HAS : janvier 2013 Outils disponibles : supports d accompagnement validés par la HAS à destination des professionnels et des patients Proposition : thème non retenu pour 2015 mais à suivre 19
20 Thyroïdectomie En région Rhône Alpes, taux de recours aux soins inférieur à la moyenne nationale pour la thyroïdectomie en cas de nodule thyroïdien sans hyperthyroïdie. Pas d établissements atypiques selon indicateurs de ciblage CNAMTS Référentiel : recommandations de la Société Française d Endocrinologie, septembre Outils disponibles : supports d accompagnement rédigés en collaboration avec les Sociétés Savantes et après avis de la HAS à destination des professionnels et des patients Proposition : thème non retenu 20
21 Chirurgie bariatrique et amygdalectomie Travaux en cours sur la chirurgie bariatrique et l amygdalectomie, avec ou sans adénoïdectomie, chez l enfant et l adolescent de moins de 18 ans Référentiels en cours d actualisation avec HAS et Sociétés Savantes Indicateurs et méthode de ciblage CNAMTS à valider Actions prévues d accompagnement des professionnels et des patients, contractualisation ou MSAP pour les établissements atypiques Proposition : thème non retenu 2015, à revoir en
22 Le choix des domaines d action prioritaires Les constats en Rhône-Alpes conduisent à proposer 3 thèmes parmi les 7 priorités nationales : césarienne programmée à terme (poursuite) syndrome du canal carpien (poursuite) appendicectomie un thème régional suite à un constat partagé des professionnels de parcours inadéquat des patients atteints d un AIT (Accident Ischémique Transitoire) un thème régional sur la pertinence des soins en SSR, à lancer 22
23 Césarienne programmée à terme Poursuite de l action
24 CESARIENNE PROGRAMMEE Pourquoi s intéresser à la césarienne? g Le taux de césarienne atteint 23 % en Europe, 35,6 % dans les Amériques et 24,1 % dans la région du Pacifique ouest. g En France, la tendance semble être à la stabilisation, autour de 21% : «le taux de césarienne (21,0 %) n a pas augmenté de manière significative entre les deux enquêtes [de 2003 et 2010]» (enquête nationale périnatale de 2010). Un taux de césariennes programmées qui varie entre 2 et 20% en France suivant les établissements Les variations inter-établissements semblent liées à leur statut (public/privé) et à leur type (1,2,3). g L'OMS recommande de limiter ce taux à 10-15%. 24
25 CESARIENNE PROGRAMMEE Bilan de la démarche 2014 g 32 maternités ont participé volontairement à la démarche, sur les 51 maternités de Rhône-Alpes, action mise en œuvre par les réseaux de périnatalité. g g Des difficultés à posteriori concernant l information donnée à la patiente (donnée? traçabilité? ), et un questionnement concernant les indicateurs pour un tel suivi? Peu de discussion collégiale sur les indications de césarienne Axes d amélioration retenus Discussion collégiale des indications a priori Sensibilisation / Age de réalisation Sensibilisation /Traçabilité de l information des patientes Information renforcée des patientes surtout en cas de demande maternelle de césarienne Quantification des pertes sanguines / compte rendu propositions VME si présentation siège au T3 25
26 CESARIENNE PROGRAMMEE Objectifs 2015 g Sélectionner 4 établissements dont les taux de césariennes programmées présentent les plus grandes variations g Contractualiser ces établissements afin de réduire les variations des pratiques médicales pour les actes de césariennes Diminuer le taux de césariennes programmées des établissements les plus atypiques Améliorer les pratiques médicales 26
27 CESARIENNE PROGRAMMEE Choix des établissements g Nous souhaitons retenir les quatre ES présentant les taux les plus importants g g Nous avons retenu l ensemble des maternités de Rhône-Alpes, et pas uniquement les ES ayant participé de façon volontaire à la phase 1 49 ES étudiés Premier tri effectué sur le taux de césariennes (total) de chaque ES comparé aux données du réseau Aurore (moyenne et taux minimum et maximum en fonction du type d ES) Césarienne 7 ES retenus Type 1 Type 2 Type 3 [Min-Max] [Min-Max] [Min-Max] 19, ,4 [15,6-25] [17,4-30,5] [21,3-21,5] 27
28 CESARIENNE PROGRAMMEE Choix des établissements (2) g Deuxième tri, nous avons éliminé les ES : Présentant un nombre d accouchements jugé trop faible Dont l actualité ne le permettait pas (fermeture) Dont le taux était important mais non préoccupant (moyenne supérieure à celle du réseau aurore, mais écart qui reste faible) g Choix des 4 ES a contractualiser Nous avons retenu les 4 ES ayant les taux de césariennes les plus élevés et/ou les taux de césariennes programmées les plus élevés. Contractualisation hors cadre du nouveau décret à venir (pour des questions de calendrier) 28
29 CESARIENNE PROGRAMMEE Choix des établissements (3) Propositions Taux de césariennes programmées Taux de césariennes Participation à la démarche 2014 moyenne AURORE tous Types (2013) 8,7% 21.3% Hôpital A (IIb) 12% 29,1% Partielle Hôpital B (I) 12% 25,2% Partielle Hôpital C (I) Pas de données 23,5% Oui Hôpital D (I) 10% 24,2% Oui Hôpital E (I) 12,5% 24,5% Oui 29
30 AMELIORER LA PERTINENCE DES APPENDICECTOMIES 30
31 Appendicectomie Contexte L appendicectomie est le 15 ème acte chirurgical pratiqué en France. Le taux d intervention reste élevé par rapport à d autres pays européens (publication OCDE), malgré une baisse régulière du nombre d appendicectomies en France et dans les autres pays. En France, le nombre d appendicectomies est passé de interventions en 1990 à en
32 APPENDICECTOMIES : Etude DREES fév 14 Référence : La longue diminution des appendicectomies en France Etudes et résultats n 868 fév.2014 DREES 32
33 Appendicectomie Pourquoi s intéresser à l appendicectomie? En région Rhône Alpes, taux de recours aux soins supérieur à la moyenne nationale et variabilité importante des pratiques au sein de la région pour l appendicectomie Taux de recours aux soins standardisé (nombre de séjours/1000 habitants) en 2014 : - 1,40 en Rhône Alpes et 1,19 au niveau national, - de 1,22 à 1,72 selon le bassin hospitalier, - de 0,42 à 2,10 selon la zone de soins de proximité. Indice comparé d hospitalisation s aggravant: - 1,14 en 2013 et 1,18 en 2014 (pour une moyenne nationale à 1) - Des écarts intra-régionaux conséquents jusqu à 0,42 33
34 APPENDICECTOMIE Objectifs 2015 Une approche par bassin pour 6 bassins hospitaliers avec un taux de recours à plus de 20% de la valeur nationale : - avec identification des établissements les plus contributeurs dans ces bassins : 25 établissements concernés - complétée par une analyse des établissements à partir des indicateurs CNAMTS. Dispositif d auto-évaluation à mettre en place dans les établissements des bassins concernés 34
35 Indicateurs de ciblage - Appendicectomie 1- Programme opératoire hebdomadaire : part relative de l activité concentrée sur le jour de la semaine le plus chargé 2 - Part relative des patients de moins de 20 ans 3 - Part relative des séjours 06C091, appendicectomies sans complications de niveau Part relative des appendicectomies dans l'activité de chirurgie digestive 5 - Taux d explorations par imagerie préalables à l intervention 6 - Durée moyenne des séjours 06C091, appendicectomies sans complications de niveau Taux d évolution du nombre d'appendicectomies depuis 3 ans 7bis - Taux d évolution du nombre d'appendicectomies depuis 5 ans 8 - Sex ratio (H/F) des patients opérés pour appendicectomie 8bis - Sex ratio (H/F) des patients de moins de 20 ans opérés pour appendicectomie 35
36 Démarche proposée Démarche d auto-évaluation dans un premier temps g g g Constituer un groupe d experts afin d adapter la grille CNAMTS à une démarche d auto-évaluation, et de définir les modalités du déploiement en établissement g g 1 expert par fédération 3 experts ARS (1 chirurgien, 1 anesthésiste, 1 radiologue) Réalisation de diagnostics partagés sur chacun des 6 bassins hospitaliers atypiques : ARS, Assurance Maladie, professionnels des établissements du bassin Réalisation de l auto-évaluation par les établissements, analyse des résultats et mise en œuvre des plans d action établissement. Dans un second temps, le cas échéant, contractualisation pour les établissements qui restent les plus atypiques 36
37 Syndrome du canal carpien Poursuite de l action
38 Syndrome du canal carpien Pourquoi s intéresser à la chirurgie du canal carpien? Actes chirurgicaux fréquents : l incidence des interventions chirurgicales pour syndrome du canal carpien a augmenté depuis le début des années 1990 jusqu en 2005 pour se stabiliser autour de interventions annuelles Plus de 75% des patients n ont pas eu recours à un traitement conservateur au préalable, pourtant recommandé par la HAS. 38
39 Syndrome du canal carpien En région Rhône Alpes, variabilité importante des pratiques au sein de la région pour la chirurgie du canal carpien Taux de recours aux soins standardisé (nombre de séjours pour 1000 habitants) en 2014 : - de 1,68 à 2,71 selon le bassin hospitalier, - de 0,96 à 3,24 selon la zone de soins de proximité. 39
40 Syndrome du canal carpien Bilan de la démarche 2014 Accompagnement des professionnels de santé et des établissements sur le parcours de soins pour syndrome du canal carpien, Sur la base des recommandations HAS : septembre 2012 et février 2013 Supports d accompagnement, élaborés par la CNAMTS après avis de l HAS, à destination des professionnels et des patients. 40
41 Syndrome du canal carpien Objectifs 2015 Sélection d établissements atypiques en fonction d indicateurs de ciblage élaborés par la CNAMTS (après avis d experts et test de la méthode) Proposition ciblage ARS / AM : prise en compte des atypies constatées (segment C et, sur le segment B, volume d activité), Mises sous accord préalable de ces établissements afin d améliorer les pratiques en évitant des soins inutiles. 41
42 METHODE DE CIBLAGE CNAMTS - Indicateurs de ciblage validés par le conseil scientifique de la CNAMTS - Indicateurs construits sur la base de recommandations et indicateurs construits sur les constats épidémiologiques - Calcul de seuils en fonction de la distribution de la valeur des indicateurs observée France entière, qui a permis de définir des niveaux d alerte à partir des valeurs des centiles - Classement des établissements en 3 catégories - Qualité de la méthode de ciblage testée par une analyse de dossiers médicaux au regard des référentiels HAS 42
43 Indicateurs de ciblage Chirurgie du syndrome du canal carpien g Taux d'évolution du nombre d'interventions pour un SCC sur les 5 dernières années g g g Part relative des patients de 65 ans et plus opérés pour un SCC Part relative des interventions pour SCC dans l'activité d'orthopédie Part des patients ayant réalisé un EMG dans les 12 mois avant l'intervention g Part relative des patients avec infiltrations avant intervention (12 mois) g Part relative de patients avec attelles avant intervention (12 mois) 43
44 Choix des établissements Taux d'évolution du nombre d'interventions pour un SCC sur les 5 dernières années Part relative des patients de 65 ans et plus opérés pour un SCC en 2013 Propositions Part relative des interventions pour SCC dans l'activité d'orthopédie en 2013 Part relative de patients ayant eu un EMG dans les 12 mois précédant l'intervention en 2013 Part relative des patients ayant eu des infiltrations dans les 12 mois avant une intervention en 2013 Part relative des patients ayant eu une attelle dans les 12 mois avant une intervention en 2013 Segment ,3% 50,00% 0,77% 76,47% 8,82% 2,94% C -9,5% 37,2% 7,19% 84,62% 6,41% 3,85% B 68,% 27,3% 25,88% 68,31% 5,46% 13,66% B -0,7% 30,8% 6,42% 87,50% 0,00% 14,17% B 34,2% 51,4% 8,25% 82,49% 9,04% 7,34% B 2 établissements ex DG et 3 établissements ex OQN dans 5 départements différents 44
45 AMELIORER LA PRISE EN CHARGE des AIT Groupe AIT Dr Odile SOUQUET Dr Laura MECHTOUFF 45
46 Contexte g En Rhône Alpes les AVC représentent séjours (PMSI 2013). g AMELIORER LA PRISE EN CHARGE DES AIT Les AIT 3200 séjours. g Ces AVC et AIT sont en augmentation de 3% par an depuis
47 AMELIORER LA PRISE EN CHARGE DES AIT Contexte Contexte g Réunion avec les professionnels du Territoire Centre en juin 2013 g Territoire Centre couvre 2 UNV: LYON, VIENNE g Un des objectifs de la filière du Territoire Centre est de travailler sur l accident ischémique transitoire. 47
48 Améliorer le délai de prise en charge de l AIT g DMS des AIT hospitalisés. Moyenne régionale de la DMS pour AIT est de 5.1 jours en Varie selon les établissements du centre de 1.5 jours à 12.3 jours. g Cette variation extrême entre les établissements interpelle. 48
49 AMELIORER LA PRISE EN CHARGE DES AIT Modalités de travail g Groupe de travail ARS-professionnels piloté par DR Odile SOUQUET ARS g Il existe en effet un référentiel HAS et des recommandations des sociétés savantes g 1 er travail du groupe: établir un chemin clinique idéal de prise en charge de l AIT 49
50 50
51 Améliorer la pertinence des soins - Taux de patient ayant bénéficié avis SOS AIT - Taux de patients recevant un bilan post AIT complet au cours des 24 premières heures - Taux de patients bénéficiant d une consultation neurologique - Taux de patients recevant un traitement antiagrégant plaquettaire 51
52 AMELIORER LA PRISE EN CHARGE DES AIT Point d avancement des travaux g Actuellement stade d analyse des différents dysfonctionnements g Etude établissement par établissement g Grace à grille d audit centralisée par ARS 52
53 Parcours de soin clinique appliqué à la prise en charge de l'ait Objectif clinique Appel SOS AIT/AVC Envoyé par Place à l UNV le plus proche Heure de début des symptômes (si connue) Heure de premier contact médical (si connue) Bilan biologique ECG Améliorer le délai de prise en charge des accidents ichémiques transitoires OUI NON Médecin Traitant Pompiers Présentation Spontanée OUI NON Donnée absente du dossier Heure d arrivée aux urgences Age du patient Actes Date Heure Jour et heure de réalisation Jour et heure de réalisation IRM cérébrale Scanner cérébral Préciser le jour et l heure de réalisation ci-contre. Imagerie cérébrale Si IRM non faite, dites pourquoi : Manque de disponibilité Contre indication Refus du radiologue, examen refusé Autres :. 53 Ne sait pas
54 Parcours de soin clinique appliqué à la prise en charge de l'ait Bilan vasculaire cervical Bilan vasculaire intracranien Y a t il avis spécialisé sur place par neurologue? Décision en fonction du bilan sus jacent Traitement mis en place Consultation neuro Echo cardiaque Echo Doppler des troncs supra aortiques (TSA) Angio IRM des troncs supra aortiques Angioscanner des TSA Doppler transcranien Angio IRM Angioscanner OUI NON Passage SAU seul Passage SAU+UHCD Retour à domicile Hospitalisation En UNV En service de neurologie autre Autres Antiagrégants : OUI NON Anticoagulants : OUI NON Autres : Préciser Demandée OUI NON Demandée OUI NON 54 Heure et date de retour à domicile
55 AMELIORER LA PRISE EN CHARGE DES AIT Modalités de l étude g Etude rétrospective sur 6 mois du 1er Janvier au 30 Juin 2013, des patients ayant présenté AIT g Critères d inclusion: AIT confirmé ou non (G45 en diagnostic principal) g Critères d exclusion: AIT non éligibles à une prise en charge active ( démence évoluée, grabataire, cancers terminaux ) 55
56 AMELIORER LA PRISE EN CHARGE DES AIT Modalités de l étude g Sensibilisation des Directions d établissement au résultat de l audit. g Rencontres ARS- Direction d établissement. g Nouvelle étude 6 mois après la diffusion des recommandations: étude avant - après g Permettra évaluation de l action 56
57 Etude des établissements du territoire Centre g Clinique du Tonkin, clinique de la Sauvegarde, Hôpital Desgenettes, hôpital Neuro, hôpital EHerriot, hôpital de la Croix Rousse, hôpital Lyon Sud, hôpital St Joseph St Luc, hôpital de Vienne, hôpital de Bourgoin g = établissements ayant totalisé plus de 10 AIT/ an en
58 AMELIORER PRISE EN CHARGE AIT Prochaines étapes g Poursuite de l étude sur dossiers dans les établissements du territoire Centre. Retour aux Directions d établissements et aux équipes soignantes (biofeed back) g En parallèle, diffusion des recommandations depuis juin
59 AMELIORER LA PRISE EN CHARGE DES AIT Diffusion des recommandations g Réunion régionale de neurologues juin 2014 g Etats Généraux de l AVC 16 oct 2014: Présentation+table ronde g Publication dans revue scientifique Revue des SAMU déc
60 AMELIORER LA PERTINENCE DES ADMISSIONS ET DES JOURNEES EN SSR 60
61 Objectif du SROS SSR g Fluidifier le parcours de soins du patient Trajectoire (Admission et raisons des non admissions) g Améliorer la structuration des filières pour faciliter le retour des patients en milieu de vie ordinaire ou institutionnel g Améliorer l efficience des SSR en promouvant le développement de l HDJ 61
62 Pertinence de l admission en SSR et GDR Plusieurs dispositifs contribuent à améliorer la pertinence des admissions en SSR : - sensibilisation des établissements sur les taux de transferts en SSR après 6 interventions de chirurgie orthopédique (MMH T2A), - MSAP SSR pour les établissements MCO dont le taux de transfert en SSR est élevé, - PRADO, le programme de retour à domicile : orthopédie mais aussi insuffisance cardiaque, BPCO, plaies chroniques. - Conventions EHPAD-SSR Ces différentes actions seront reconduites. 62
63 Analyse de la pertinence des journées SSR - Enjeux g Le patient reçoit-il le bon soin dans la structure la plus adaptée à l instant t? g Comment faire en sorte que le patient soit au moment opportun dans la structure la plus adaptée à son état de santé? 63
64 OUTIL Grille AEPf RéQua (Pays de Loire) g Identification des soins ou services reçus par le patient le jour de l hospitalisation g Identification de la structure d hébergement la mieux adaptée g Recherche de la cause principale expliquant la journée d hospitalisation non pertinente 64
65 Analyse des raisons de non pertinence des journées par cette grille g Prise en charge avant l hospitalisation en SSR g Prise en charge du patient au cours de l hospitalisation en SSR g Organisation de la sortie du patient g Raisons liées au patient ou à sa famille 65
66 Annexe qualité des CPOM Evaluation pour l indicateur relatif à la pertinence en SSR g Autoévaluation par les établissements g Coupe transversale annuelle ou tous les deux ans (en alternance avec les indicateurs IPAQSS SSR) g Un jour donné pour tous les SSR de la région g Analyse régionale et territoriale par l ARS 66
67 Modalités de travail g Groupe amélioration de la prise en charge du COTER SSR : pour la modalité de mise en œuvre de l évaluation pour identifier les actions à mener 67
68 PERSPECTIVES 68
69 Perspectives Actions 2015 Rhône-Alpes fin juillet: avis attendu des participants au groupe sur les propositions de ciblage des thématiques et des établissements, ainsi que sur les modalités de travail - Sept 2015: lancement des travaux sur les thématiques retenues Publication à venir du décret (septembre 2015) et mise en œuvre de la LFSS - Travaux régionaux d élaboration du diagnostic régional élargi - Concertation régionale sur le plan d action pluri-annuel Recueil par anticipation des propositions des participants au groupe sur les thématiques qu ils souhaitent voir abordées pour la suite du programme régional - Calendrier concertation : dépendant du décret et des modalités transitoires d application Poursuite de la mise à disposition d outils par le niveau national sur différentes thématiques (cf notamment points chirurgie bariatrique et amygdalectomies) 69
70 Annexe : liste des 33 activités pertinence nationales gendoscopie digestive diagnostique et anesthésie en ambulatoire, g- cholécystectomies sans exploration de la voie biliaire principale à l'exception des affections aigües, g- broncho-pneumopathies chroniques surinfectées, g- césariennes programmées à terme. g- affections des voies biliaires, gappendicectomies ; g- interventions transurétrales ou par voie transcutanée, g- chirurgie du rachis g- lithotritie extracorporelle de l'appareil urinaire, en ambulatoire, gthyroïdectomie, g- infections des reins et des voies urinaires, âge supérieur à 17 ans, g- oesophagectomie, g- libérations du canal carpien et d'autres nerfs superficiels, g- colectomie totale, g- prothèses de genou, g- exérèse de prostate pour hypertrophie bénigne de la prostate, g- prothèses de hanche pour des affections autres que des traumatismes récents, g- hystérectomie, g- arthroscopies d'autres localisations, g- pancréatectomie, g- interventions sur le cristallin avec ou sans vitrectomie, g- mise à plat d anévrisme de l aorte abdominale, g- amygdalectomies et/ou adénoïdectomies isolées, g- pontage coronaire, g- drains transtympaniques, âge inférieur à 18 ans, g- remplacement de la valve aortique, g- affections de la bouche et des dents avec certaines extractions, réparations et prothèses dentaires, g- chirurgie des veines saphènes (varices), g- endoprothèses vasculaires sans infarctus du myocarde, g- ligamentoplasties du genou g- infections et inflammations g- chirurgie bariatrique gbronchiolites, 70
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