Eléments de langage. Semaine expérimentale du dépistage rapide du VIH «Flash test» 23 au 29 septembre 2013

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1 Ministère des affaires sociales et de la santé Direction générale de la santé Sous direction : Prévention des risques infectieux Bureau : Infections par le VIH, IST et hépatites DGS/SDRI2/ N Paris le 25 novembre I. Contexte Eléments de langage Semaine expérimentale du dépistage rapide du VIH «Flash test» 23 au 29 septembre 2013 A l occasion du 1 er décembre 2012, La Ministre chargée de la santé a annoncé l expérimentation d une semaine de dépistage rapide du VIH par TROD dans les 4 régions les plus concernées par l épidémie (Guyane, Ile de France, Provence Alpes Côte d Azur et Rhône Alpes). En effet, un des enjeux majeurs du plan national de lutte contre le VIH et les IST est d améliorer le dépistage, notamment le dépistage précoce. Les données de dépistage en 2011 montrent pour la première fois depuis cinq ans, que le nombre total de sérologies réalisées a augmenté de +4% entre 2010 et 2011 avec 5 millions de sérologies. Mais il est encore trop tôt pour observer leur impact sur l augmentation du nombre de diagnostics d infection à VIH, notamment chez des personnes n ayant aucun symptôme et testées en routine. Néanmoins, le nombre de personnes ignorant leur séropositivité est toujours estimé à Ce constat justifie de continuer à promouvoir la démarche de dépistage en diversifiant les occasions et les moyens de se faire tester, tout en concentrant les efforts en faveur des personnes les plus exposées au VIH ou éloignées du système de santé. Cette expérimentation s inscrit dans la lignée des deux appels à projets organisés par la DGS en partenariat avec la CNAMTS et qui ont abouti à la sélection de 63 projets associatifs sur 24 régions. Ces deux appels à projets avaient pour objectif d étendre l utilisation des TROD dans les structures de prévention ou structures associatives, conformément aux dispositions du plan VIH-IST Environ dépistages par TROD ont ainsi été réalisés en auprès de publics fortement exposés au VIH. Grâce à une mobilisation croissante des acteurs associatifs impliqués, ce dispositif prend de l ampleur progressivement. Depuis 2012, il est observé une diversification des publics touchés par ces opérations de dépistage rapide. En 2012, 40% du public dépisté sont des HSH. La part des migrants (30%), des usagers de drogue (7%), des personnes prostituées (2%), et d autres publics n appartenant pas à ces publics cibles (21%) augmentent en même temps que se diversifient les acteurs associatifs engagés. En 2012, 10,4 pour 1000 TRODS réalisés (soit 331 tests), se sont avérés positifs. La moitié de ces découvertes a été effectuée dans le cadre des opérations hors-les-murs auprès des publics prioritaires. 30% des personnes dépistées par TROD en 2012 n avaient jamais fait de dépistage au cours de leur vie. La semaine expérimentale de dépistage rapide du VIH s inspire de l opération «Flash test» organisée par Sidaction en Ile de France en avril L opération menée par Sidaction avait permis d expérimenter sur une semaine une proposition de dépistage du VIH par tests rapides d orientation diagnostique (TROD) auprès des hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes (HSH) dans une quarantaine de lieux d Ile-de-France. L action avait réuni acteurs associatifs et personnels soignants. Plus de 550 personnes ont été dépistées et huit d entre elles ont découvert leur séropositivité. 1

2 II. Méthodologie de l expérimentation 1. Objectifs de la semaine expérimentale du dépistage VIH par TROD Les objectifs étaient les suivants : Principalement Améliorer le recours au dépistage des populations les plus exposées au VIH ou éloignées du système de santé. Réduire les retards au diagnostic du VIH. Secondairement Améliorer la visibilité des dispositifs de dépistage par TROD et des dispositifs de dépistage classique. Améliorer l accessibilité au dépistage en allant au devant des publics ne se rendant pas dans les dispositifs dédiés. Faire évoluer les pratiques et les représentations des différents opérateurs. Créer des liens et partenariats entre associations et professionnels de santé. 2. Les populations ciblées pour cette expérimentation Les hommes qui ont des rapports sexuels avec des hommes (HSH) Les personnes qui se prostituent Les personnes migrantes Les usagers de drogue par voie intra veineuse Les populations éloignées du système de soin 3. Les dates de l expérimentation Dans les 3 régions de Métropole : du 23 au 29 septembre 2013 En Guyane : du 2 au 8 décembre Pilotage et coordination Un comité de pilotage national (COPIL) sous la responsabilité de la DGS, auquel ont participé les représentants des quatre ARS, de la CNAMTS, de la DSS, de l INPES et de l InVS. La coordination au niveau régional a été assurée par les ARS en lien avec les Coordinations régionales de lutte contre le VIH (COREVIH) ou le Centre régional d information et de prévention du sida (CRIPS). 5. Le financement L enveloppe allouée par la CNAMTS est de euros pour les 4 régions sur les crédits du FNPEIS sur la ligne VIH de la Convention d objectif et de gestion entre l Etat et la Sécurité sociale (COG-Etat- CNAMTS ). Des compléments financiers ont été ajoutés par les ARS, COREVIH ou collectivités locales 6. La communication «Flash test» - Afin d informer les publics destinataires de l action, l INPES a mis en place un dispositif de communication en proposant aux ARS des outils de base à télécharger (affiches, flyers, visuels, agendas) et à compléter pour fournir des informations locales sur le dispositif. - Une page Internet «Flash test» sur le site de Sida Info Service donnait des informations de tous les agendas régionaux : lieux, horaires, dates. - Des axes de communication ont été mis en place par les régions : dossier de presse, site internet, affiches, interview radio et presse écrite 7. Le bilan de l expérimentation - L InVS avait mis à disposition un auto-questionnaire anonyme à remplir par chaque personne dépistée par TROD et à compléter par les intervenants au moment de la réalisation du test. Cet auto-questionnaire sert de base à l évaluation des objectifs de cette semaine expérimentale. - Parallèlement, une évaluation qualitative du processus est réalisée par la DGS. 2

3 a) Résultats préliminaires de l évaluation de la semaine expérimentale 1- Les TROD réalisés : Au total 8215 TROD ont été réalisés pendant la semaine expérimentale du 23 au 29 septembre 2013 dans 3 régions de la Métropole. Parmi ces tests, 49 ont donné des résultats positifs dont 3 personnes déjà connues séropositives et un test faussement positif qui n a pas été confirmé en laboratoire, soit 45 nouvelles découvertes de séropositivité (ce qui correspond à 5,5 pour 1000 tests). Tableau 1 : nombre de TROD réalisés Régions Nombre de TROD réalisés Dont nombre de TROD positifs Dont nombre de nouvelles découvertes de séropositivité IDF (7,5 ) PACA (1,8 ) RA (2,1 ) Total (5,5 ) 2- Les nouvelles découvertes de séropositivité : 45 soit 5,5 ) Au total, 45 personnes ont découvert leur séropositivité au VIH (39 en Ile-de-France, 3 en région PACA et 3 en région Rhône-Alpes) (60%) étaient de sexe masculin, 13 (29%) de sexe féminin et 5 (11%) transgenres. - La médiane d âge était de 41 ans avec une moyenne à 43 ans (moyenne de 47 ans pour les hommes et 35 ans pour les femmes) (64%) avaient déjà réalisé un test de dépistage du VIH et 16 (36%) réalisaient là leur premier test. Parmi les personnes qui n avaient jamais été testées auparavant, 44% comptaient recourir à un test avant de rencontrer le dispositif flash-test. - Parmi les 27 hommes séropositifs, 17 (63%) avaient eu des relations avec des hommes au cours des 12 derniers mois (HSH) dont un était né en Afrique subsaharienne et deux avaient consommé une drogue par voie injectable dans les 5 ans. Les 10 (37%) autres hommes déclaraient des rapports hétérosexuels. Six (22%) étaient nés en France, 4 (15%) étaient nés en Afrique subsaharienne, 1 au Maroc, 1 en Roumanie et 1 dans un pays non précisé. - Parmi les 13 femmes, toutes étaient hétérosexuelles. Aucune femme ne déclarait d usage de drogue injectable. Quatre étaient nées en France, 5 nées en Afrique subsaharienne, 2 en Europe, 1 au Maroc et 1 dans un pays non précisé. Deux femmes avaient déjà eu des rapports tarifés. - Toutes les personnes transgenres déclaraient avoir déjà eu des rapports tarifés. Au total, sur 45 personnes retrouvées positives durant la semaine, 33 (73%) étaient HSH, nés en Afrique subsaharienne, transgenres ou avec un antécédent de prostitution. 3- Les structures impliquées et les lieux d actions : 238 associations et 342 lieux Près de 240 associations ou structures de prévention et de soins se sont mobilisées sur près de 342 lieux et ont participé sur une semaine à l expérimentation d un dépistage rapide du VIH : ce sont les associations habilitées à réaliser des TROD, des CDAG/CIDDIST, des centres de planning familial, des CSAPA, des centres hospitaliers, des centres de santé, COREVIH, CRIPS, conseils généraux et collectivités locales. 3

4 Tableau 2 : nombres de structures impliquées et de lieux d actions Régions Nombre de structures impliquées Nombre de lieux d interventions IDF PACA RA Total Les interventions réalisées pendant l expérimentation : 545 actions hors les murs Près de 545 actions, en majorité «hors les murs» ont été menées dans les 3 régions métropolitaines, dont environ 60% réalisées dans le cadre de partenariat entre deux ou plusieurs associations ou structures de santé. Tableau 3 : nombre d interventions réalisées Types d actions Ile de France PACA Rhône Alpes Total Actions réalisées avec partenariat 122 (63%) 108 (55%) 89 (58%) 319 (59%) Actions réalisées sans partenariat 72 (37%) 88 (45%) 65 (42% 225 (41%) Total des actions réalisées 194 (100%) 196 (100%) 154 (100%) 544 (100%) b) Analyse qualitative du dispositif expérimental en métropole La mise en œuvre opérationnelle préconisée pour la semaine «Flash test» consistait à aller au devant des populations les plus exposées au VIH ou éloignées du système de santé, leur proposer un dépistage en se rendant dans leurs lieux de vie. Il s agissait ainsi de contribuer à la réduction des inégalités de santé observées dans ces populations. Au total 8215 dépistages par TROD ont été réalisés sur 3 régions alors que le nombre prévisionnel était de 5400 pour les 4 régions engagées (soit une participation supplémentaire de 52% par rapport à la cible initiale sur 3 régions, ce taux n étant pas définitif la Guyane organisant sa semaine début décembre). 49 personnes ont été dépistées positives pour le VIH parmi lesquelles 45 nouvelles découvertes de séropositivité (soit 5,5 ). Bien que les données soient difficilement comparables entre une semaine et une année, la proportion de sérologies positives pendant la semaine «Flash test» est plus élevée que celle des CDAG (3,5 parmi les sérologies anonymes et 2,0 parmi les sérologies non anonymes en 2012) mais reste inférieure à celle du dispositif expérimental des appels à projets FNPEIS (10,5 positifs sur TROD réalisés en 2012), sous réserve des résultats de la Guyane Mais au-delà de ces résultats chiffrés la semaine expérimentale a connu une réussite pour plusieurs raisons : - La forte mobilisation du public qui a manifesté son adhésion au dispositif et un réel intérêt à l approche du dépistage par TROD. En effet, des retours positifs du public sur ce type d actions ont été enregistrés. Cet intérêt pourrait favoriser l acceptabilité du dépistage du VIH par les populations cibles : plus de 8000 participants - Une participation importante des acteurs de terrain (représentants associatifs, professionnels de santé) qui, malgré la diversité de leurs fonctions, ont pu collaborer ensemble, partager expériences et pratiques et créer 4

5 de nouveaux partenariats qui inéluctablement serviront à améliorer le lien entre le dépistage et la prise en charge de personnes infectées par le VIH : 238 structures mobilisées et 545 actions hors les murs. - Cette semaine aura également servi à redynamiser les équipes de terrain et à inciter de nouveaux acteurs à être formés au dépistage par TROD. De plus, la diversité des structures participantes (associatives, CDAG/CIDDIST, centre de santé, CSAPA), parmi lesquelles les centres hospitaliers, facilitera probablement la divulgation des TROD parmi les stratégies de dépistage du VIH dans les populations ciblées : 319 actions avec partenariat - L implication des CDAG-CIDDIST, qui dans le cadre de leur projet de réforme, auraient pour mission de coordonner des actions de prévention et de dépistage «hors les murs», devra contribuer à leur donner davantage de visibilité pour développer ce type de missions. Enfin, l investissement de nouveaux lieux de dépistage «hors les murs» par les associations et autres structures de prévention permettra d atteindre d autres publics et certainement de mieux cibler certains groupes de population plus exposées au risque VIH. Par ailleurs, l ensemble des acteurs de terrain a demandé la reconduite de cette semaine de dépistage rapide mais cependant sous certaines conditions. Les représentants des ARS et coordinateurs régionaux ont en effet fait remonter un certain nombre de difficultés liées à l organisation et au déroulement de la semaine expérimentale «Flash test» ainsi que des suggestions d amélioration : Difficultés logistiques dues à la lourdeur de l organisation et au délai de préparation trop court demande d un délai d annonce plus long. Choix de la bonne semaine qui devra se faire en fonction des conditions climatiques favorables, loin des périodes de vacances et d autres activités évènementielles comme le 1 er décembre proposition de certains acteurs de faire une semaine «Flash test» tous les 2 ans et pas annuelle. Nécessité d associer au TROD VIH des dépistages d autres pathologies (VHC, autres IST) pour une offre globale de dépistage «hors les murs». Mieux définir les objectifs de la semaine: dépistage ciblé sur certaines populations ou dépistage en population générale. Et ainsi mieux adapter les outils de communications en fonction de ces objectifs afin d éviter une trop forte mobilisation de public «non concerné» engendrant des temps d attente trop longs (ex : Ile de France). La place des COREVIH et CRIPS doit être mieux définie afin de favoriser les collaborations entre ces acteurs de la coordination régionale. Simplifier le montage financier de la semaine. Bénéficier d un accès à l interprétariat au cours de cette semaine. Impliquer d autres services de l Etat comme le Ministère de l Intérieur (pour minimiser la lourdeur des procédures d autorisation par les préfectures). Impliquer les médecins généralistes dans ce type d évènement. Les résultats complets de l expérimentation, comprenant les données à venir pour la Guyane, sont attendus pour le premier trimestre 2014 avec l analyse complète des auto-questionnaires par l InVS, qui pourra fournir l information sur le public réellement touché (et le pourcentage de personnes ayant fait leur premier dépistage à cette occasion). Si l expérimentation se révèle alors concluante : - Elle pourrait être reconduite en 2014 ou 2015 sur ces 4 régions qui présentent les taux de prévalence les plus élevés, en tenant compte des points forts et des difficultés observés pendant cette édition inaugurale. - Elle pourrait s enrichir d une offre d autres tests de dépistage rapide (quand ils seront évalués et modalités de mise en œuvre précisées) notamment pour les hépatites qui touchent le plus souvent les mêmes publics. - Elle pourrait s appuyer sur le nouveau dispositif rénové des CDAG et CIDDIST en cours de réforme qui en assurerait le pilotage opérationnel. - Elle pourrait se dérouler simultanément avec la semaine européenne de dépistage qui est une nouvelle initiative lancée au niveau européen pour la 1 ère fois en 2013 par une association danoise "HIV in Europe" pour être organisée la semaine précédant le 1 er décembre, bien que cette période ne corresponde pas aux demandes des ARS sur une météo clémente pour les actions «hors les murs». 5

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