DÉPARTEMENT DE BIOLOGIE ET PHYSIOLOGIE VEGETALES DEPARTMENT OF PLANT BIOLOGY
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- Valérie Michaud
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1 UNIVERSITE DE YAOUNDE I UNIVERSITY OF YAOUNDE I FACULTY OF SCIENCE FACULTE DES SCIENCES DÉPARTEMENT DE BIOLOGIE ET PHYSIOLOGIE VEGETALES DEPARTMENT OF PLANT BIOLOGY ÉVALUATION DE LA PRODUCTION AGRICOLE, VARIATIONS ET RELATIONS DE QUELQUES INDICES ECOLOGIQUES ET STOCK DE CARBONE DES FORETS COTIERES SOUS UN SYSTEME D AGRICULTURE SUR BRULIS DANS LE FUTUR PARC NATIONAL DE DOUALA-EDEA, REGION DU LITTORAL Mémoire rédigé et présenté en vue de l obtention d un Master Professionnel en Sciences Forestières/ Option : Agroforesterie Rédigé par : DMAPO WEMBE Jasmine Licence ès Science Matricule : 04Q115 Sous la supervision de : Dr. AJONINA Gordon Nwutih (PhD) Coordonnateur National de CWCS et du Réseau Camerounais pour la Conservation de l Ecosystème de Mangrove (RCM) Et la direction de : Dr. Annie Claude NSOM-PIAL (PhD) Chargée de cours Université de Yaoundé I
2 UNIVERSITE DE YAOUNDE I UNIVERSITY OF YAOUNDE I FACULTY OF SCIENCE FACULTE DES SCIENCES DÉPARTEMENT DE BIOLOGIE ET PHYSIOLOGIE VEGETALES DEPARTMENT OF PLANT BIOLOGY ÉVALUATION DE LA PRODUCTION AGRICOLE, VARIATIONS ET RELATIONS DE QUELQUES INDICES ECOLOGIQUES ET STOCK DE CARBONE DES FORETS COTIERES SOUS UN SYSTEME D AGRICULTURE SUR BRULIS DANS LE FUTUR PARC NATIONAL DE DOUALA-EDEA, REGION DU LITTORAL Mémoire rédigé et présenté en vue de l obtention d un Master Professionnel en Sciences Forestières/ Option : Agroforesterie Rédigé par : DMAPO WEMBE Jasmine Licence ès Science Matricule : 04Q115 Sous la supervision de : Dr. AJONINA Gordon Nwutih (PhD) Coordonnateur National de CWCS et du Réseau Camerounais pour la Conservation de l Ecosystème de Mangrove (RCM) Et la direction de : Dr. Annie Claude NSOM-PIAL (PhD) Chargée de cours Université de Yaoundé I
3 DEDICACES A ma très chère maman, Madame NANA épouse WEMBE, pour son amour, sa disponibilité, sa patience. Que ce travail reflète une partie des valeurs que tu m as inculquées. A toutes les parties prenantes impliquées dans la mise en place du processus REDD, tant sur le plan national qu international, pour leur contribution dans le renforcement des capacités à tous les niveaux et la valorisation des capacités acquises par les communautés dans la gestion du mécanisme REDD. Trouvez ici ma reconnaissance à votre égard et ma détermination à apporter ma modeste contribution dans la réalisation de ce processus. iii
4 REMERCIEMMENTS Les encouragements et l assistance que j ai reçus de part et d autre, des parents, des enseignants, des personnes ressources et différentes institutions, des amis et connaissances ont grandement contribués à la réalisation de ce travail. J exprime mon entière reconnaissance au Dieu Tout Puissant sans qui rien n aurait été possible, et surtout parce qu Il a toujours été là pour me montrer Sa lumière pendant les moments les plus sombres. J adresse mes sincères remerciements au Professeur AMOUGOU AKOA, Chef de Département de Biologie et Physiologie Végétales, pour avoir initié le programme de formation professionnelle en Sciences Forestières, et à tout le staff enseignant dudit Département, pour leur indispensable contribution à ma formation. Ma profonde gratitude va en particulier au Dr. Annie-Claude PIAL pour avoir accepté de diriger ce travail. Sa simplicité, sa chaleur, sa patience et son dynamisme au travail ont fortement contribué à ma formation, tant sur le plan académique, professionnel que moral. Ce travail de recherche a été soutenu avec le concourt du Global Change System for Analysis, Research & Training (START) sur le sujet «Reducting Tropical Deforestation and the Protection of Ecosystem Services to Support Food Security in Southwest Cameroon». Je leur adresse ici ma profonde reconnaissance à travers la CWCS. Ma totale reconnaissance va à l endroit du Dr. AJONINA Gordon Nwutih, Coordonateur National de la Cameroon Wildlife Conservation Society (CWCS) et du Réseau Camerounais pour la Conservation des Ecosystèmes de Mangrove (RCM) et à toute sa famille, pour m avoir admise comme stagiaire dans sa structure. Son agréable compagnie, sa précieuse et indéniable contribution et ses conseils emprunts de paternité ont facilité l aboutissement de ce travail. Je ne saurais trouver les mots adéquats pour prouver ma reconnaissance à Madame Camille JAPANG : sans savoir qui je suis, vous n avez ménagé aucun effort pour me recommander dans cette merveilleuse structure d accueil. Madame, moi aussi je ne vous ai vu qu une fois, mais votre simplicité et votre éloquence dans le partage des connaissances a fait de vous mon idéal. Recevez ici l expression de ma profonde gratitude. Qu il me soit permis de remercier l administration de la Faculté d Agronomie et des Sciences Agricoles (FASA) de l Université de Dschang, en particulier le Pr. MVONDO ZE Antoine, Chef du Laboratoire des Sols et de l Environnement et tout son staff, qui ont tout mis en œuvre pour facilité l analyse des échantillons de sol pour l aboutissement de ce travail. iv
5 Je viens par la même occasion remercier le Pr. TCHAMBA Martin, pour m avoir orienté et soutenu dans la compréhension de ce travail. Mes sincères remerciements vont aussi à tout le staff du CWCS, spécialement LAISIN Bruno, DIYOUKE Eugène, NGOSSANDJO Emilienne «Ma Belle-Mère», EKINDI Jean, NDOUMBE Alexandre, TIMBA Martin, SAME Patricia, MOUTO Natacha, GARSIA Arthur, IGRI Jean qui a su donner de son temps, de son énergie, de sa disponibilité et de son expertise pour la réalisation de ce travail. Je remercie spécialement tous les chefs des villages et les cultivateurs des parcelles sélectionnées pour leur indispensable collaboration et leur contribution à la réussite de ce travail. Mercie également aux partenaires de la CWCS au niveau local : conservateur, chefs services et autres rencontrés dans les conférences pour leurs différentes contribution à la réalisation de ce travail. Je remercie tous mes frères et sœurs, Géraldine WEMBE, Cathérine WEMBE, Josiane WEMBE, Bertille WEMBE, Christian WEMBE et Jörguen WEMBE pour le soutien moral, financier et matériel. Je souhaite à chacun de vous tout le bonheur qui puisse être. Une pensée toute particulière se dirige vers mes cousins et neveux Paule, Texton, Weaston, Greaston, Batiston, Manuella, Leonella, Loïc, Ornella, July, Celest, Prince qui ont toujours été là pour m apporter joie, amour sincère pendant mes moments de joies et surtout de peines. Qu ils trouvent en ce travail une opportunité d inspiration, d engagement, de patience et de détermination dans la réalisation de tous leurs projets. Merci aux familles GNIA, DJOKO, KUICHI, CHASIM, LAMBOU, TEPA, MBIEKOP, MOUTCHOU, MONTHE, TCHIENTEU, KINNE qui n ont jamais cessé de me soutenir spirituellement, moralement et matériellement. Merci à tous mes amis, Hermine GOUEPEGEU, Marie-Louise TUEDJO, Géraldine LUM, Nadine MEGAPTCHE, Patrick KAMGA, Sandrine NGOUFACK, Hecna NGAYAM, Frère Jean-Claude, Père Franck, Lucie-Claire DJIOFACK, Thomas TCHIENTEU, M. Christophe LOABE, M. GOLEMBE, Thierry MOKAM, Angèle IPEM, Pélagie, Fani MOMO, Abertine KENGNE, Antoinette, dont la présence toujours joyeuse me réconfortait et renforçait mon dynamisme. Merci à tous mes camarades de promotion, l expérience d une vie ensemble n a pas toujours été facile. Votre présence quotidienne et votre engagement au travail m ont formée à l assiduité et à la résistance face aux difficultés. Que tous ceux qui, de près ou de loin ont contribué à la réalisation de ce document trouvent ici un signe de remerciement. Merci! Thank you! Masoma! Me Lapte! Tchia mba! v
6 TABLE DES MATIERES DEDICACES... i REMERCIEMMENTS... iv TABLE DES MATIERES... vi LISTE DES FIGURES... ix LISTE DES TABLEAUX... x LISTE DES ACRONYMES... xi RESUME... xiii ABSTRACT... xiv CHAPITRE I : GENERALITE INTRODUCTION Contexte et justification Problématique Objectifs de l étude Objectif général Objectifs spécifiques Hypothèses et questions de recherche Justification de l étude Délimitation de l étude Revue de littérature Définition des concepts Présentation du site d étude Situation géographique et administrative La flore La faune Le peuplement humain Activités économiques Généralités sur les forêts Généralité sur les forêts du bassin du Congo Les forêts du Cameroun Potentialités et importance des forêts Les menaces sur les forêts Adaptation aux changements climatiques Séquestration du carbone La captation de carbone dans les systèmes agricoles et forestiers La gestion durable des terres (GDT) vi
7 L agroforesterie Les mécanismes d atténuation Le programme REDD CHAPITRE 2 : MATERIELS ET METHODES Matériel Description de la zone d étude Matériel biologique Equipement sur le terrain Méthodologie de l étude Collecte des données Collecte des données secondaires Critère de choix du site Collecte des données primaires Enquête pilote Stratégie d échantillonnage et sélection des champs Enquête proprement dite et mesure des paramètres primaires Paramètres agronomiques Paramètres forestiers Paramètres pédologiques et de litière Méthode d analyse des données collectées Analyse laboratoire / Paramètres pédologiques et de litière Détermination des paramètres secondaires Analyse par tableau Paramètres agronomiques Paramètres forestiers Paramètres de biodiversité Méthode de calcule de la biomasse : équations prises en comptes Analyse statistique CHAPITRE 3 : RESULTATS ET DISCUSSION Résultats Nature et distribution des champs et caractéristiques socioéconomiques Nature et distribution des champs Caractéristiques socioéconomiques des cultivateurs Perception des cultivateurs sur les notions de gestion des ressources et des terres Résumé des données de terrain Paramètres forestiers vii
8 Paramètres agricoles (production) Paramètres de litière Paramètres de bois mort Relation entre les différents paramètres étudiés Corrélation entre les paramètres forestiers et les paramètres agricoles Relation entre les paramètres forestiers et les paramètres de sol Relation entre les paramètres forestiers et les paramètres de litière Relation entre les paramètres forestiers et les paramètres de bois mort Répartition du stock de carbone suivant différents niveau de perturbation agricole Approche multi varié d analyse de la déforestation et de la dégradation des forêts Etablissement d un modèle carbone pour la forêt à différent niveau de perturbation agricole DISCUSSION Identification des cultures et caractérisation des différents types de champs Présentation des niveaux de perturbation agricole de la forêt Simulation des rendements des cultures et des seuils de la fertilité des sols Mesures de la production du sol par rapport à la densité des arbres et l évolution des régimes de couverture forestière avec d autres mesures de la dégradation des forêts Séquestration du carbone en fonction du type de champ et modélisation de l écosystème agricole suivant différent niveau de perturbation Les applications de l étude Options pour maximiser les rendements des cultures et le stockage du carbone au-dessus du sol sous des conditions minimales de perturbation agricole Mesures de gestion durable des terres et suggestions pour augmenter les évaluations des résultats dans les programmes REDD CHAPITRE IV : CONCLUSION ET RECOMMANDATIONS Conclusion Recommandations REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUE ANNEXES viii
9 LISTE DES FIGURES Figure 1.1 : Emplacement des forêts, par région Figure 2.1 : Photos d interviews, d inventaires et de caractérisation des champs Figure 3.1 : Distribution des champs et des cultures autours de la Reserve de Faune, Douala- Edéa Figure 3.2 : Caractéristiques socioéconomiques des cultivateurs propriétaires des différents types de champs Figure 3.3 : Variation des principaux paramètres forestiers indicateurs de perturbation agricole en fonction du type, de la taille et de l âge des champs Figure 3.4 : Histogramme de la distribution des classes de diamètre des arbres, selon les types de champs et le niveau de dégradation Figure 3.5 : Variation de la production dans les différents de champs par rapport au type, à la taille et à l âge des champs Figure 3.6 : Proportion et tendance du ph du sol dans les différents champs en fonction du type, de la taille et de l âge du champ Figure 3.7 : Proportion et tendance de la densité apparente du sol dans les différents champs en fonction du type, de la taille et de l âge du champ Figure 3.8 : Proportion et tendance de la matière organique (MO) du sol dans les différents champs en fonction du type, de la taille et de l âge du champ Figure 3.9 : Proportion et tendance de l azote du sol dans les différents champs en fonction du type, de la taille et de l âge du champ Figure 3.10 : Proportion et tendance du phosphore dans les différents champs en fonction du type, de la taille et de l âge du champ Figure 3.11 : Proportion et tendance des bases échangeables du sol dans les différents champs en fonction du type, de la taille et de l âge du champ Figure 3.12 : Proportion et tendance des éléments de litière dans les différents champ Figure 3.13 : Courbes de tendance de la répartition du volume de bois mort dans les types de champs Figure 3.14 : Régression entre la couverture foliaire et la production agricole Figure 3.15 : Répartition et contribution relative des composantes du carbone total dans les différents types de champs ix
10 LISTE DES TABLEAUX Tableau 1.1 : Les forêts du monde : superficie par région, Tableau1.2 : Les catégories de services environnementaux assurés par la forêt Tableau 2.1. : Zonage du futur Parc National Douala-Edéa modifié et répartition des champs d observation Tableau 2.2 : Classification des différentes composantes d une parcelle Tableau 3.1: Récapitulatif des types de champs en fonction de l âge et de la taille des champs dans le Futur Parc National de Douala-Edéa Tableau 3.2 : Paramètres forestiers dans les différents types de champ Tableau 3.3 : Description des différents paramètres de production dans les différents types de champs Tableau 3.4 : Description de quelques paramètres du sol dans les différents types de champs Tableau 3.5 : Description de quelques paramètres de litière dans les différents types de champs Tableau 3.6 : Bois mort dans les différents types de champs Tableau 3.7 : Description de la répartition du carbone dans les différentes composantes Tableau 3.8 : Répartition moyenne du stock de carbone dans les types de champs pour chaque composante du carbone Tableau 3.9 : Propriétés statistiques d établissement d une équation de détermination du stock de carbone résiduel dans les écosystèmes de forêt perturbée Reserve de faune de Douala- Edéa Tableau 3.10 : Comparaison des valeurs du stock de carbone à différents niveau de perturbation par rapport au stock moyen dans les forêts naturelles du Cameroun x
11 LISTE DES ACRONYMES AF AIB ANAFOR ANOVA CARPE CC CCNUCC CDB CEC CIRAD CMA CRDI CV CWCS DENP Dhp FAO FAO FASA FRA GDT GES GIEC GPS GRET IPCC LULUCF MAE MARP MDP NU Agroforesterie Agriculture Itinérante sur brûlis Agence Nationale pour le Développement Forestier Analyse de Variance Central Africa Regional Programm for Environment Changements Climatiques Convention Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques Convention Cadre sur la Diversité Biologique Capacité d Echanges Cationique Centre de Coopération Internationale en Recherche Agronomique pour le Développement Centre Mondial pour l Agroforesterie Centre de Recherche pour le Développement International Couverture Foliaire ou Végétale Cameroon Wildlife Conservation Society Douala-Edea National Park Diamètre à Hauteur de Poitrine Organisation des Nations Unies pour l alimentation et l agriculture Food and Agriculture Organization Faculté d Agronomie et des Sciences Agricoles Forest Resources Assessment Gestion Durable des Terres Gaz à Effet de Serre (soit CO2, CH4, N2O, HFC, PFC et SF6) Groupe d Experts Intergouvernemental sur l Evolution du Climat Global Positionning Systèm Groupe de Recherche et d Echanges Technologiques Intergovernmental Panel on Climate Change Land Use, Land-use Change and Forestry Ministère des Affaires Etrangères Méthode Active de Recherche Participative Mécanisme pour un Développement Propre Nations Unies xi
12 ONG PIB PNDE PNDE PNUE RCA RDC REDD REDD+ RFDE : SAF SCEQE SPSS ST UICN UNCCD UNEP UN-REDD Organisation Non Gouvernemental Produit Intérieur Brut Parc National Douala-Edéa Programme National de Développement Environnemental Programme des Nations Unis pour l Environnement République Centrafricaine République Démocratique du Congo Réduction des Emissions liées à la Déforestation et à la Dégradation des forêts Réduction des Emissions liées à la Déforestation et à la Dégradation des forêts et renforcement des stocks de carbone forestier Reserve de la Faune de Douala Edéa Système Agroforestier Système Communautaire d Echange de Quotas d Emission Statistical Package for Social Sciences Surface Terrière Union Internationale pour la Conservation de la Nature Convention des Nations Unies sur la Lutte Contre la Désertification United Nation for Environmental Program Programme des Nations Unies sur la Réduction des émissions résultant du Déboisement et de la Dégradation forestière dans les pays en développement xii
13 RESUME Dans le contexte actuel de gestion durable et efficiente des ressources naturelles, les questions liées à la protection de l environnement et à la sécurité alimentaire sont essentielles et vitales. Or, les forêts sont fortement dégradées à cause des facteurs anthropiques, notamment l agriculture de subsistance. Une évaluation de la production, des variations et relations de quelques indices écologiques et stock de carbone sous un système d agriculture sur brûlis, a été réalisée dans les forêts côtières du Futur Parc National de Douala-Edéa. Les données ont été collectées dans 75 champs de la zone d étude dont 64% de type à culture annuelle, 11% à culture biannuelle et 25% à culture pérenne, appartenant à 49% de femmes et 51% d hommes dans une localité où la pêche (41,3%) et l agriculture (48,0%) sont les principales activités pratiquées. Les résultats montrent qu il y a une différence significative des paramètres forestiers par rapport au type de champ (F= 5,75 ; dll = 1, 73 ; P < 0,05), et à l âge des champs (F= 2,75 ; dll = 6, 68 ; P < 0,05), mais non significative par rapport à la taille des champs (F= 0,61 ; dll = 2, 72 ; P < 0,54). La production agricole varie très peu par rapport au type de champ (F= 0,29 ; dll = 1, 72 ; P = 0,59), à la taille des champs (F= 0,33 ; dll = 2,71 ; P = 0,72), et à l âge des champs (F= 0,66 ; dll = 6, 67 ; P = 0,68). Les propriétés du sol varient beaucoup par rapport au type de champ (F=3,394; dll = 1, 73 ; P= 0,05) et à la taille des champs (F= 4,865 ; dll = 2, 72 ; P = 0,01), mais sont très peu variables par rapport à l âge des champs (F=1,13 ; dl = 6, 68 ; P= 0,35). Cette même tendance de résultat s observe pour ce qui est des propriétés de la litière. Il faut relever qu il y avait une forte corrélation intra-type de paramètre (forestiers, agricole, sol, litière, bois-mort), qu inter-type de paramètre. Cette faible corrélation générale observée entre les différents paramètres étudiés indiquerait un fort niveau de dégradation, qui s explique ici par l inégale répartition des classes de diamètre dans les différents types de champs, donnant à la structure du peuplement une allure quelconque, autre que l inverse J. Le carbone total est plus élevé en culture pérenne (84,75 ± 9,94 t/ha), suivit du type à culture biannuelle (77,29 ± 19,71 t/ha), puis du type à culture annuelle (61,56 ± 7,39 t/ha), mais étant au dessous du stock publiée pour ce type de forêt (moyenne : 146,7 t/ha), réduisant le stock de carbone de 58,0 47,3 et 42,3% respectivement dans les systèmes à cultures annuelles, cultures biannuelles et cultures pérennes. Ces résultats ont permis de développer un model carbone pour cette forêt côtière dégradée sous agriculture itinérantes sur brûlis qui semble très consistent (R² = 0,999). Cependant, beaucoup de choses restent encore à faire dans le développement des stratégies de conciliation de la dégradation des forêts avec l agriculture de subsistance dans le futur PNDE. Mots clés : Dégradation, sécurité alimentaire, stock de carbone, gestion durable, REDD. xiii
14 ABSTRACT In the current context of sustainable and efficient management of natural resources, issues related to the protection of the environment and food security are essential and vital. However, forests are highly degraded due to anthropogenic factors, including subsistence agriculture. An appraisal of food production, change and relationships of some ecological indices and carbon stock under a system of shifting cultivation was carried out within the coastal forests of the future Douala-Edea National Park. The data were collected from 75 farms with 64% under annual crops, 11% under biennial crops and 25% under perennial crops belonging to 49% of women and 51% men in a locality where fishing (41.3%) and agriculture (48.0%) are the main activities. The results show a significant difference in the forest parameters with farm type (F = 5.75; dll = 1, 73, P <0.05), and farm age (F = 2,75; dll = 6, 68, P <0.05) but not compared to farm size (F = 0.61, dll = 2, 72, P <0.54). Agricultural production varies very little from farm type (F = 0.29, dll = 1, 72, P = 0.59), farm size (F = 0.33, dll = 2.71; P = 0.72), and farm age (F = 0.66, dll = 6, 67, P = 0.68). Soil properties vary greatly with cropping type (F = 3.394; dll = 1, 73, P = 0.05) and farm size (F = 4.865; dll = 2, 72, P = 0, 01), but very few variables in relation to farm age (F = 1.13, df = 6, 68, P = 0.35). The same trend is observed for litter properties. There were highly correlated relationships within parameter type (forest, agricultural, soil, litter, dead wood), than between parameter type. This low overall correlation observed between the different parameters studied indicate a high level of degradation, which is further explained by large departure from the usual inverse J-shape distribution of stem diameter classes in the different farms. The total carbon is higher in perennial crop (84.75 ± 9.94 t / ha), followed by the biennial crop type (77.29 ± t / ha) and annual crop type (61, 56 ± 7.39 t / ha), but below the mean stock reported for this type of forest (mean t / ha) giving a reduction in carbon stock of 58.0, 47.3 and 42.3 % respectively in annual, perennial crops and biannual cropping systems. These results were used to develop a carbon stock model for the degraded coastal forest due to subsistence agriculture which seems very consistent (R² = 0.999). However, much remains to be done in the development of strategies for reconciling forest degradation with subsistence agriculture in the future DENP. Keywords: Degradation, food security, carbon stocks, sustainable management; REDD xiv
15 CHAPITRE I : GENERALITE 1.1. INTRODUCTION Contexte et justification Depuis quelques décennies la notion d'environnement et les problèmes qui en découlent ont occupé une place de plus en plus importante dans les préoccupations de tous les pays du monde. En effet, les facteurs qui composent l'environnement immédiat de l'homme ont connu et connaissent des modifications qui affectent de plus en plus négativement la satisfaction des besoins et le bien être humain en général. Cet équilibre de l'environnement a été rompu un peu partout dans le monde et particulièrement en Afrique sous les effets conjugués des facteurs démographiques, des facteurs économiques, ainsi que des facteurs climatiques (Anonyme, 1994). La communauté internationale, en réponse à la Convention de Rio de 1992, a adopté la signature de certaines conventions : la Convention sur les zones humides et les migrations des espèces (Ramsar) ; la Convention sur la Diversité Biologique (CDB) ; le Protocole de Kyoto (PK) et la Convention Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques (CCNUCC) qui s intéresse spécifiquement aux changements climatiques et à la gestion durable des ressources et des terres. La nouvelle politique forestière et environnementale définie par la loi N 94/01 du 20 janvier 1994 portant régime des forêts, de la faune et de la pêche et la loi cadre de 1996, relative à la gestion de l environnement constituent la concrétisation des orientations politiques. Les forêts tropicales couvrent 7 à 10% de la superficie mondiale, et sont capable de stocker 40 à 50% de carbone dans la végétation terrestre et de traiter annuellement environ six fois plus de carbone par la photosynthèse et la respiration que les humains émettent de l'utilisation de combustibles fossiles (Lewis et al., 2009). Les écosystèmes forestiers, en particulier dans les tropiques, influencent le climat mondial en tant que contributeurs majeurs aux puits de carbone terrestre mondial, et absorbe environ 30% de l'ensemble des émissions de CO 2 chaque année (Canadell et Raupach, 2008). La conversion de ces forêts par le déboisement et la dégradation est une source d environ 20% des émissions de gaz à effets de serre dans le monde et représente la deuxième cause du réchauffement de la planète, faisant ainsi de la perte et de l appauvrissement des forêts une question majeure aux changements climatiques (Gordon et al., 2010). Ces changements à venir auront un impact fort sur les ressources naturelles dont dépendent des communautés, à travers une multitude d'effets primaires et secondaires dans les deux systèmes naturels et sociaux (Adger, 2003). Les gens qui sont déjà pauvres et marginalisés, subiront les impacts du changement climatique avec 1
16 plus d'acuité (Dixon et al., 2003; Toulmin, 2009 ; Demetriades et Esplen, 2010). En termes absolus, les estimations de la déforestation globale annuelle varient entre et hectares (Ndoye, 1998). Le taux annuel de déforestation au Cameroun (0,14% par an) est parmi les plus élevés des pays de l Afrique Centrale (FAO,1997). Ceci devrait être apprécié sur la base que la forêt camerounaise possède une faune qui est parmi les plus riches et les plus diversifiées d Afrique au Sud du Sahara (Tchoungui et al., 1995). Comme indiqué dans un rapport de la FAO, (1993), les produits alimentaires issus de la forêt sont une assurance contre la malnutrition ou la famine pendant les périodes de pénurie alimentaire saisonnière. Une perte importante du couvert forestier supprimerait ces opportunités pour les populations rurales. Les enjeux méthodologiques de la mesure et de la compensation ultérieure des efforts nationaux dédiés à la «Réduction des émissions dues à la déforestation et la dégradation» (REDD) sont devenus une composante majeure de la poursuite des négociations en vertu de la Convention cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC). Toutefois, en Afrique tropicale, la déforestation est en grande partie attribuable aux pratiques de culture itinérante de petits exploitants ruraux (FAO, 2009), qui sont devenus insoutenables en raison de la croissance démographique (Regmi et Weber, 2000). Cette pratique agricole contribue à 80-95% de déforestation au Cameroun (CARPE, 2005) malgré qu elle soit la source majeure de production agricole. En Afrique, la production agricole et rural des petites exploitations agricoles a toujours été faible et correspond à une sécurité alimentaire catastrophique réduite (Sanchez, 2002). La fertilité des sols dégradés est une des causes sous-jacentes de la faible productivité et est un pilote pour la déforestation liée à l'agriculture. Le GIEC a estimé en (2007) qu en Afrique tropicale le changement d affectation des terres a entraîné l'émission de 0,3 Gt de CO 2 par an comme le principal contributeur à la déforestation. L'agriculture durable est essentiel à la fois pour la déforestation évitée et la sécurité alimentaire (Foley et al., 2005). Par conséquent, la technologie agroforestière fait l objet d'une attention particulière comme étant une approche vers l'utilisation durable des terres (Eliasch, 2008; WAC, 2009). En Afrique sub-saharienne, Vagen et al., (2005) ont constaté que la séquestration du carbone dans le sol, grâce à l'agroforesterie ou des systèmes de jachères naturelles peut varier de 0,1 Mg C à 5,3 Mg C par hectare et par an. En Inde, Ravindranath et Somashekhar (1995) a établi que la mise en œuvre d'un scénario de compensation d'environ 50% des émissions de carbone peut séquestrer jusqu'à 78 Mt C par an, principalement grâce à l'agroforesterie. Au cours des trois dernières décennies, l'agroforesterie a été largement promu dans les tropiques comme une stratégie de gestion des ressources naturelles qui tente de concilier les 2
17 objectifs de développement agricole avec la conservation des sols, l'eau, le climat local et régional et, plus récemment, la biodiversité (Schroth et al., 2004). Les services environnementaux que les pratiques d agroforesteries peuvent fournir à la société locale et même mondiale, y compris le maintien des fonctions des bassins versants, retenir le carbone dans le système sol-plante, et, en soutenant la conservation de la diversité biologique, ont récemment attiré l'attention du grand public parmi les scientifiques de la conservation et l'agroforesterie (McNeely et Scherr, 2003; Schroth et al., 2004;. McNeely et Schroth, 2006). Au vu de tout ce qui précède, la recherche des solutions efficaces, économiquement, socialement et écologiquement favorables pour une bonne implication des communautés à la gestion des ressources naturelles s avère impérative. Il est important de réorienter le développement agricole dans son sens le plus large pour une production soutenue qui puisse assurer l autosuffisance alimentaire aux populations et la protection des ressources naturelles Problématique L'accroissement des concentrations de gaz à effet de serre (GES) dans l atmosphère est maintenant reconnu comme principale cause des changements climatiques qui, selon plusieurs études, se traduiront par une augmentation de la température terrestre et de la fréquence d événements météorologiques extrêmes, ainsi que par une élévation du niveau des océans (Boer et al., 2000). Afin de diminuer les coûts des engagements des pays industrialisés, le Protocole de Kyoto s est doté d un mécanisme de flexibilité, appelé le mécanisme pour un développement propre (MDP), permettant d instaurer un marché mondial du carbone (CCNUCC, 2005). Cette réalité entraîne un intérêt grandissant pour les projets de séquestration du carbone basés sur des espèces ligneuses qui emmagasinent dans leur biomasse, via la photosynthèse, une quantité considérable de cet élément (Montagnini et al., 2004). Les augmentations de captation les plus importantes ont lieu lorsque l on passe d un système à faible biomasse (cultures annuelles, prairies, jachères) à un système d arbres (Palm et al., 2000). Dans le passé, la conservation de la biodiversité a été la plupart du temps comprise en termes de gestion des aires protégées et des forêts naturelles, en ignorant le rôle possible des zones agricoles et les moyens par lesquels les communautés rurales ont fait la promotion de la biodiversité dans leurs systèmes de production agricole de subsistance (Acharya, 2006). De nombreux auteurs ont montré que les pratiques agroforestières traditionnelles contribuent à la conservation de la biodiversité par la conservation in situ des espèces d'arbres sur les exploitations agricoles, la réduction de la pression sur les forêts restantes, et la fourniture d'un 3
18 habitat convenable pour un certain nombre d'espèces végétales et animales sur les terres agricoles (Atta- Krah et al., 2004 ; Ouinsavi et al., 2005 ; Acharya, 2006 ; McNeely et Schroth, 2006). Parallèlement à cela, il a été reconnu qu une part considérable des émissions de GES (plus de 80-95% de deforestation totale au Cameroon) est attribuable à l agriculture itinérante sur brûlis, système très répandu dans les zones tropicales (CARPE, 2005). En raison de ses impacts environnementaux élevés (libération de GES, dégradation des sols, etc.), de nombreuses recherches et projets tentent de trouver des systèmes de culture amélioré plus durables. Or, l implantation d une agriculture à la fois productive, rentable et respectueuse de l environnement, pose un problème particulièrement ardu (Getahun et al., 1980). Une approche intégrée et prospective pourrait contribuer à identifier les politiques qui seront nécessaires pour concilier le développement économique et la déforestation limitée à l'avenir (Mosnier et al., 2010). La question est donc de déterminer un système de gestion des terres qui apportera des solutions efficaces, économiquement, socialement et écologiquement favorables pour faciliter la transition des agriculteurs vers une utilisation durable des terres et des ressources naturelles. La réduction éventuelle des superficies faisant partie d un cycle d agriculture itinérante sur brûlis, permettrait d augmenter la couverture en espèces ligneuses et de réduire l émission de carbone causée par le brûlis et l abattage des forêts. En effet, ces formes de changements d'utilisation des terres sont des moteurs importants du changement climatique régional qui doivent être conciliées dans le processus REDD. Cependant, REDD est confrontée à plusieurs défis politiques et techniques y compris les préoccupations concernant la souveraineté nationale et les droits fonciers des usagers de la forêt (par exemple les communautés autochtones, système de fuites lorsque des mesures de conservation dans un demain déplace déforestation ou dégradation des forets à l autre et la création des lignes de base appropriées de déforestation (Myers, 2007 ; Miles and Kapos, 2008). Les efforts visant à gérer ces forêts ont largement été documentés, mais les informations pertinentes sur les stratégies de conciliation de la dégradation de ces forêts avec l agriculture de subsistance sont souvent manquantes pour développer les stratégies de gestion durable. La plupart de recherche se penche sur l aspect socioéconomique (Bellassen et al., 2008; Butler et al., 2009), mais aborder ces questions socioéconomique de la production alimentaire du point de vue de l approche écosystémique à travers l identification des mécanismes de soutiens écologiques à partir des paramètres essentiels qui détermine les conditions de sol et de la végétation dans ces agro-forêts sera plus indiquer pour concilier la dégradation des forêts et la production agricole de subsistance. Au Cameroon et en particulier dans les agro-forêts adjacentes au futur Parc National de Douala-Edéa il est question donc de voir dans le cadre du programme Cameroon 4
19 Wildlife Conservation Society (CWCS) à travers son projet «Reducing Tropical Deforestation and the Protection of Ecosystem Services to Support Food Security in Littoral Cameroon» comment répondre à ces myriades de compromis entre le maintien des puits de carbone terrestre et la riche biodiversité dans les forêts côtières, avec la réalisation du développement économique et la sécurité alimentaire, la fourniture de services écosystémiques pour les moyens de subsistance durables dans cette zone côtière qui est a l interface avec les forêts tropicales et les forêts de mangroves. Ceci nous permettra de déterminer les habitudes agricoles des populations et de leurs proposer des solutions écologiques adaptables aux techniques existantes visant à protéger les ressources naturelles du futur parc, l'environnement et améliorer la production agricole Objectifs de l étude Objectif général L objectif général est de faire une évaluation de la production agricole, de la variation de quelques indices écologiques et le maintien de stock de carbone dans les forêts côtières dégradées du futur parc national de Douala-Edéa, en vue de proposer des mesures de conciliation dans la relation entre la dégradation de la forêt et la sécurité alimentaire pour une gestion durable des ressources naturelles Objectifs spécifiques Il s agit spécifiquement dans une approche écosystémique : d identifier et caractériser les différents types de systèmes de cultures de subsistance ; d évaluer les rendements de ces systèmes de culture de subsistances en corrélation avec les stocks de carbone et quelques indices écologiques de dégradation des écosystèmes de forêts côtières ; de déterminer les options pour maximiser les rendements des cultures et le stockage du carbone au-dessus du sol sous des conditions minimales de perturbation des forêts ; de proposer quelques mesures de gestion durable des terres et des suggestions pour augmenter les évaluations des résultats dans les programmes REDD et associés Hypothèses et questions de recherche La principale hypothèse de recherche de cette étude est la question de savoir : si il peut exister un compromis entre l agriculture itinérante sur brûlis et la dégradation des forêts et, 5
20 si on peut maximiser la production de l agriculture de subsistance et le stock de carbone forestier en minimisant la dégradation des forêts. D autres questions de recherche peuvent inclure: Est-ce que la couverture des arbres a une influence sur la production et/ou le stock du carbone? Peut-on déterminer un seuil de couverture végétale dans une exploitation agricole qui permet la mise en œuvre de l initiative REDD? Peut-on identifier un système d agroforesterie de subsistance qui pourra être mis en œuvre pour réduire la déforestation, améliorer la productivité des sols, maintenir la biodiversité élevée et s adapter aux changements climatiques? Y a-t-il des mesures de gestion durable des terres permettant d établir un équilibre entre la dégradation des forêts et des terres et une bonne production agricole? Justification de l étude Cette étude peut être justifiée sur trois plans : Sur le plan politique Une grande partie des terres agricoles, en particulier dans les zones écologiquement fragiles, sont cultivées par des petits exploitants agricoles qui fournissent ainsi de notables services environnementaux. Mais, pour des raisons économiques et par manque de connaissances, leur utilisation des ressources disponibles fait souvent appel à des technologies et des méthodes inappropriées. Ces exploitants doivent dès lors recevoir un soutien beaucoup plus efficace (Anonyme, 2009a). L investissement dans les zones rurales et dans la gestion durable des terres représente ainsi une préoccupation locale, un intérêt national et une obligation mondiale. Cette étude pourra ainsi permettre d établir une collaboration suffisante entre les acteurs, notamment le service de la conservation du futur parc, les ONG environnementales nationales et les populations riveraines. Elle permettra en outre une formulation efficace des politiques au niveau national par l'intégration du mécanisme REDD dans le programme de développement national et par l'analyse des conflits d'intérêts et des compromis. Sur le plan de la recherche La connaissance indigène est fondée sur une longue expérience, mais peut ne pas être adaptée aux changements de conditions. Pour répondre aux changements, des informations importantes concernant l adaptation des méthodes de gestion des sols et les meilleures 6
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