Organes lymphoïdes secondaires (périphériques) Immuno-marquage: CD20 CD3. Rate (pulpe blanche) Année 2013/2014. David CAPPELLEN
|
|
- Claude Rivard
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Organes lymphoïdes secondaires (périphériques) Immuno-marquage: CD20 CD3 Rate (pulpe blanche) Année 2013/2014 David CAPPELLEN
2 Organes lymphoïdes Organes lymphoïdes primaires ou centraux (seront vus dans TP tissu sanguin) Production Maturation cellulaire / différenciation Reconnaissance du «soi» Réarrangements des gènes des récepteurs à l Ag Destruction des clones auto-réactifs Organes lymphoïdes secondaires ou périphériques Contact avec l antigène Sélection des lymphocytes immunocompétents Augmentation de l affinité Ag/Ac Multiplication Réaction immunitaire Production de cellules mémoires et colonisation des autres organes lymphoïdes secondaires
3 Ganglion lymphatique Filtre de la lymphe F F Cortex Paracortex Ganglion lymphatique : HES x 10 et schéma de la circulation lymphatique et sanguine Le ganglion est entouré par une capsule conjonctive sous laquelle l'espace clair correspond au sinus sous capsulaire où arrive la lymphe afférente. La lymphe diffuse dans le cortex (constitué par les follicules lymphoïdes - F) et le paracortex pour être drainée dans les sinus médullaires et ressortir du ganglion au niveau du hile par un vaisseau lymphatique. Le réseau sanguin arrive et repart du ganglion par le hile. Il amène des lymphocytes mémoires qui ont été produits dans d autres organes L II et qui vont coloniser ce ganglion en entrant par diapédèse au niveau des veinules post capillaires. Trajet de la lymphe Lymphatiques afférents Lymphatique efférent Médullaire Hile Artère Veine Trajet du sang Veinule postcapillaire
4 Ganglion lymphatique F F F Capsule Sinus sous-capsulaire Cortex F F Paracortex Médullaire Sinus médullaires
5 Ganglion lymphatique Sinus sous-capsulaire Lymphatiques afférents (avec valvules) Capsule Sinus sous-capsulaire HES x 100 Sinus sous-capsulaire dans lequel arrive la lymphe C : Caspule conjonctive du ganglion E : Endothélium continu qui tapisse la paroi externe de ce sinus. Le revêtement interne est plus lâche, discontinu. M : Macrophages qui vont capter les antigènes et les amener aux cellules lymphoïdes du cortex et du paracortex. Sinus sous-capsulaire E C HES x 400
6 Ganglion lymphatique Cortex - paracortex Ganglion : cortex - paracortex (HES x 100) Le cortex (zone B) est constitué par les follicules lymphoïdes à centre clair, cerné par une zone sombre : la zone du manteau Le paracortex (zone T) est constitué par les territoires lymphoïdes denses, plus homogènes, situés sous et entre les follicules. ZM : zone du manteau (cortex) Paracortex Cortex ZM Follicule Lymphoïde Répartition des lymphocytes T et B dans le ganglion: mise en évidence par immunohistochimie Anticorps anti-lymphocytes B : anti-cd20 Anticorps anti-lymphocytes T : anti-cd3 Paracortex Cortex Paracortex Cortex Anti-T Anti-B
7 Ganglion lymphatique Follicules lymphoïdes Follicule lymphoïde primaire Follicule lymphoïde secondaire Centre germinatif ou centre clair : Zone claire riche en lymphocytes B en cours d activation et en mitoses. Présence de quelques macrophages et cellules de soutien et présentatrices d antigène (cellules réticulaires dendritiques). Stimulation antigénique: transformation FI en F II Centre clair : Lymphocytes B activés Immunoblaste Centroblaste Centrocytes Follicule lymphoïde secondaire Mitose
8 Ganglion lymphatique Paracortex Paracortex HES x 400 Territoire densément cellulaire, homogène, riche en lymphocytes T. V: veinule post-capillaire à l endothéliurn cubique Repérez les noyaux des cellules interdigitées (cellules présentatrices d Ag) plus volumineux et plus rares que ceux des lymphocytes T. V Mise en évidence par immunohistochimie du réseau des cellules interdigitées. (x400) V: veinules post-capillaires à l endothéliurn cubique V V
9 Ganglion lymphatique Médullaire SM CM Médullaire (HES x 100) La médullaire du ganglion regroupe des sinus médullaires (SM) drainant la lymphe qui vient de traverser le ganglion. EIle est constituée par ce réseau de sinus séparés par les cordons médullaires (CM). SM SM CM SM CM Cordon médullaire (HES x 1000) Ces cordons comportent des lymphocytes, quelques macrophages et de nombreux plasmocytes(p) qui libèrent ici leurs immunoglobulines dans la lymphe. La lymphe rejoint ensuite la circulation sanguine et les Ig vont diffuser dans tout l'organisme. P P P P P P P Médullaire (HES x 200) Dans les sinus médullaires de ce ganglion, présence de nombreux macrophages pigmentés, ayant concentré des débris drainés par la circulation lymphatique (ici des goudrons inhalés).
10 Rate Filtre du sang Pulpe rouge Cordons de Bilroth : Cordons cellulaires Sinus veineux (Capillaires sinusoïdes) Capillaires à housse (obturés) Artérioles pénicillées Pulpe blanche Manchon lymphoïde péri artériel Artérioles radiaires Sinus péri-lymphoïdes de la zone marginale (Capillaires sinusoïdes) Artère centrale Veine trabéculaire Travées fibreuses Artère trabéculaire D après A.Stevens et J.Lowe Circulation ouverte dans la pulpe rouge : Les cellules sanguines quittent les vaisseaux au niveau des capillaires à housse et gagnent les sinus veineux en passant à travers les cordons de Bilroth. Les érythrocytes sénescents sont détruits ici. Circulation fermée dans la pulpe blanche : Le sang ralentit dans les sinus de la zone marginale. Les éventuels Ag circulants sont captés à ce niveau par des macrophages et présentées aux lymphocytes de la pulpe blanche.
11 Rate C C Pulpe rouge Pulpe blanche PB PB PB PR PB PR PB PR PR PB Rate faible grossissement (HES) C: capsule conjonctive PB: pulpe blanche PR: pulpe rouge
12 Rate Pulpe blanche: Organe lymphoïde secondaire A Pulpe blanche de la rate (HES x 100) : manchon lymphoïde périartériolaire. A: artériole F: follicule lymphoïde M: zone marginale ZM: zone du manteau A F ZM M Répartition des lymphocytes B et T dans la pulpe blanche (immunohistochimie x 100) Anti-T Anti-B
13 Rate Pulpe rouge: zone d hémolyse S Zone de circulation ouverte Pulpe rouge (HES x 400) AP: artériole pénicillée S: sinusoïdes B: cordons de Bilroth B AP S S S S Pulpe rouge (HES et imprégnation du réseau de réticuline x 1000) Le réseau de collagène 3 (réticuline) soutient la structure de chaque capillaire sinusoïde (ou sinus veineux) qui sont mieux visibles. S B S C: capillaires à housse S: sinusoïdes B: cordons de Bilroth S C
14 MALT: Tissu Lymphoïde Associé aux Muqueuses Quels sont ces tissus? De quel organe s agit-il? MALT : Éléments lymphoïdes présents dans les organes en relation avec le milieu extérieur : Tube digestif, appareil génitourinaire, appareil respiratoire. Existe sous 2 formes : -Éléments disséminés -LB et LT mémoire -Plasmocytes -Amas lymphoïdes denses Lymphocytes mémoires Plasmocytes Lymphocytes intraépithéliaux Amas lymphoïde
15 MALT: Tissu Lymphoïde Associé aux Muqueuses Muscle lisse Plaques de Peyer Glandes de Lieberkühn Follicule Lymphoïde (centre clair) ZM Lumière Appendice
16 MALT Tissu Lymphoïde Associé aux Muqueuses Amas lymphoïdes denses : Entrée de l antigène Antigènes nes Cellules M Antigènes Follicule Lymphoïde (centre clair) ZM Lame basale macrophage lymphocytes Les antigènes traversent par transcytose l épithélium de surface grâce à la présence de récepteurs spécifiques situé sur les cellules M (microfold) et sont amenés au contact des lymphocytes de la muqueuse.
17 MALT: Tissu Lymphoïde Associé aux Muqueuses Amas lymphoïdes denses : divers sites Épithélium (ici Malpighien non kératinisé (amyg. palatines et linguales); épithélium de type respiratoire pour amygdales pharyngées) Crypte Crypte Follicule Lymphoïde (centre clair) ZM Follicules Lymphoïdes Amas Lymphoïde Amygdale de l oropharynx Follicule lymphoïde du colon (appelés Plaque de Peyer pour iléon et appendice) Muqueuse bronchique
18 MALT: Tissu Lymphoïde Associé aux Muqueuses Production de lymphocytes immunocompétants Colonisation des muqueuses à distance Ag IgA Lymphocytes immunocompétents - Sélection - Différenciation - Multiplication Circulation des lymphocytes mémoires et colonisation par voie sanguine des autres organes lymphoïdes 2ndr Colonisation des muqueuses - Lymphocytes B et T mémoire - Plasmocytes à IgA
19 MALT: Tissu Lymphoïde Associé aux Muqueuses Éléments lymphoïdes disséminés : effecteurs Transcytose des IgA Dimères IgA + pièce sécrétoire Jonctions serrées Exocytose Transcytose Endocytose Récepteur Ig Lame basale IgA Lymphocytes mémoires (Anti- CD45) et plasmocytes dans une villosité du grêle Plasmocyte Chaine J Chorion
Fonctions non ventilatoires
UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 11 : Fonctions non ventilatoires Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailChapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie
Chapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie Le phénotype immunitaire d un individu caractérise sa capacité à répondre, grâce aux effecteurs de l immunité adaptative, aux différents agents
Plus en détailA Belarbi, ZC Amir, MG Mokhtech, F Asselah Service d Anatomie et de Cytologie Pathologique CHU Mustapha Alger
Apport de la cytoponction ganglionnaire dans le diagnostic des lymphomes A Belarbi, ZC Amir, MG Mokhtech, F Asselah Service d Anatomie et de Cytologie Pathologique CHU Mustapha Alger Introduction Large
Plus en détailEXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410
EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410 EXERCICE 1 PAGE 406 : EXPERIENCES A INTERPRETER Question : rôles respectifs du thymus et de la moelle osseuse dans la production des lymphocytes.
Plus en détailCytokines & Chimiokines
Cytokines & Chimiokines I. (D après Förster, R. et al. (1999) Cell 99:23) Dans le but d étudier la régulation de la circulation des leucocytes dans l organisme, des souris déficientes pour le récepteur
Plus en détailCytokines ; Chimiokines
Cytokines ; Chimiokines I. Dans le but d étudier la régulation de la circulation des leucocytes dans l'organisme, des souris déficientes pour le récepteur CCR7 de chimiokine ont été générées par recombinaison
Plus en détailLa filtration glomérulaire et sa régulation
UE3-2 - Physiologie rénale Chapitre 4 : La filtration glomérulaire et sa régulation Professeur Diane GODIN-RIBUOT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailTUTORAT UE 5 2012-2013 Anatomie Correction Séance n 6 Semaine du 11/03/2013
TUTORAT UE 5 2012-2013 Anatomie Correction Séance n 6 Semaine du 11/03/2013 Appareil respiratoire-organogénèse de l appareil digestif Cours du Pr. PRUDHOMME Séance préparée par Anissa BARAKAT, Caroline
Plus en détailTest direct à l Antiglobuline (TDA ou Coombs direct)
Test direct à l Antiglobuline (TDA ou Coombs direct) Mise en évidence par le réactif de Coombs polyspécifique d une fixation des anticorps (Igs) ou des fractions du complément (C3d) sur les hématies du
Plus en détailIMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques
IMMUNOLOGIE La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T Informations scientifiques L infection par le VIH entraîne des réactions immunitaires de l organisme qui se traduisent par la production
Plus en détailChapitre 2 : Respiration, santé et environnement.
Chapitre 2 : Respiration, santé et environnement. Rappels : L air qui nous entoure contient 3 gaz principaux: 71% d azote, 21% d oxygène, 0,03 % de CO2 et quelques gaz rares. L eau de chaux se trouble
Plus en détailLymphome non hodgkinien
Lymphome non hodgkinien Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca LYMPHOME NON HODGKINIEN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du cancer presque
Plus en détailActivité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme
Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme 1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie du programme : Fonctionnement de l organisme et besoin
Plus en détailExplorations des réponses Immunitaires. L3 Médecine
2012 Explorations des réponses Immunitaires L3 Médecine Rappel sur les réponses Immunitaires DIFFERENTS TYPES DE REPONSES IMMUNITAIRES Naturelle = innée Adaptative Non spécifique Spécifique Immédiate Barrière
Plus en détailPremière partie: Restitution + Compréhension (08 points)
Lycée M hamdia Année scolaire : 2011/2012 Prof : Saïd Mounir Date : 17/05/2012 Première partie: Restitution + Compréhension (08 points) EXERCIE N O 1: (4 points) : 1 : a-b 2 : b 3 : a-b 4 : d 5 : d 6 :
Plus en détailMaladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin
Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca MALADIE DE HODGKIN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du
Plus en détailSERVICE PUBLIC FEDERAL, SANTE PUBLIQUE, SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT COMMISSION DE BIOLOGIE CLINIQUE RAPPORT GLOBAL
SERVICE PUBLIC FEDERAL, SANTE PUBLIQUE, SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT COMMISSION DE BIOLOGIE CLINIQUE SERVICE DES LABORATOIRES DE BIOLOGIE CLINIQUE COMITE DES EXPERTS RAPPORT GLOBAL
Plus en détailDÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE
DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible
Plus en détailTHEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE
THEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE Introduction générale : L Homme, pour vivre, a besoin de se nourrir. La nutrition fait appel à différentes fonctions que sont l alimentation, la respiration
Plus en détailLASER DOPPLER. Cependant elle n est pas encore utilisée en routine mais reste du domaine de la recherche et de l évaluation.
LASER DOPPLER INTRODUCTION La technique qui utilise l effet Doppler à partir d un faisceau laser est l une des seules qui permette d enregistrer en continu le reflet de la perfusion superficielle de tissus
Plus en détailDES de Pathologie AFIAP
DES de athologie AFIA 21 novembre 2009 J. Audouin,, S. ain IMMUNOHISTOCHIMIE Introduction I - Différentes méthodes AC conjugués Enzyme - anti-enzyme : A, AAA rotéine conjuguée : avidine, streptavidine
Plus en détailDossier «Maladies du sang» Mieux les connaître pour mieux comprendre les enjeux liés au don de sang
Dossier «Maladies du sang» Mieux les connaître pour mieux comprendre les enjeux liés au don de sang Maladies du sang Objectif de ce dossier Les demandes des médias portent régulièrement sur les usages
Plus en détailLE LARYNX VUE ANTERIEURE DU LARYNX : Décembre 2007 Sources Étudiantes. Faculté de Médecine Montpellier-Nîmes
LE LARYNX Le larynx est un conduit aérien qui joue un rôle essentiel dans la phonation mais aussi dans la respiration. Suite au larynx, se trouve la glotte, une zone rétrécie qui délimite les voies aériennes
Plus en détail.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203 .(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3 .( @.*" '!%2"+ %#(30! &' 4!!% .+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!
!"#! $ %#&' (!"#$!% & % ' (!%' ) )''! *)+* *! %#"+, ' ( ', -) " *.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203.(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3.( -.* %)!(2"+ %#(30! &' 4!!%.+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!%(%' 0.(89.*
Plus en détailComprendre les lymphomes non hodgkiniens
France Lymphome Espoir Comprendre les lymphomes non hodgkiniens Un guide d information pour les patients et leurs proches En partenariat avec Edition septembre 2011 Préambule La première édition datant
Plus en détailSommaire de la séquence 8
Sommaire de la séquence 8 Nous avons découvert dans la séquence 7 que les micro-organismes sont présents partout dans notre environnement et qu à la faveur d une lésion, ils sont capables de franchir nos
Plus en détailTuberculose bovine. Situation actuelle
Tuberculose bovine Situation actuelle 21 mai 2013 Dr G. Peduto Vétérinaire cantonal Service de la consommation et des affaires vétérinaires 1 Tuberculose bovine La Suisse est indemne depuis 1959 Dernier
Plus en détailExposé sur la Transfusion Sanguine
Sommaire : I Histoire de la transfusion sanguine A/ Découverte des groupes sanguins B/ Premières transfusions sanguines C/ Les journées du sang II Les groupes sanguins A/ Les différents groupes B/ Déterminer
Plus en détailLe fonctionnement de l'organisme
Seconde partie Le fonctionnement de l'organisme 1 Le système cardio-pulmonaire...2 1.1 Anatomie et fonctionnement du coeur...2 1.2 La distribution du sang aux organes...4 2 Communication et intégration
Plus en détailANTICORPS POLYCLONAUX ANTI IMMUNOGLOBULINES
L OUTIL IDEAL POUR TOUTES LES DETECTIONS IMMUNOCHIMIQUES pour toutes les techniques immunodosages (EIA/ELISA) dot/ westernblot immunohistochimie immunocytochimie cytométrie en flux quel que soit le système
Plus en détailConseils aux patients* Lutter activement. *pour les patients ayant subi une opération de remplacement de la hanche ou du genou
Conseils aux patients* Lutter activement contre la thrombose *pour les patients ayant subi une opération de remplacement de la hanche ou du genou 2 Mentions légales Directeur de la publication : Bayer
Plus en détailCavité buccale et système dentaire
Cavité buccale et système dentaire I. Introduction La cavité buccale forme la 1 ère cavité du tube digestif. Les dents ont un rôle : Fonctionnel : mastication, déglutition, phonation Esthétique : expression
Plus en détailL eau dans le corps. Fig. 6 L eau dans le corps. Cerveau 85 % Dents 10 % Cœur 77 % Poumons 80 % Foie 73 % Reins 80 % Peau 71 % Muscles 73 %
24 L eau est le principal constituant du corps humain. La quantité moyenne d eau contenue dans un organisme adulte est de 65 %, ce qui correspond à environ 45 litres d eau pour une personne de 70 kilogrammes.
Plus en détailL anémie hémolytique auto-immune
L anémie hémolytique auto-immune La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à
Plus en détail5.5.5 Exemple d un essai immunologique
5.5.5 Exemple d un essai immunologique Test de grossesse Test en forme de bâtonnet destiné à mettre en évidence l'hormone spécifique de la grossesse, la gonadotrophine chorionique humaine (hcg), une glycoprotéine.
Plus en détailwww.gbo.com/bioscience 1 Culture Cellulaire Microplaques 2 HTS- 3 Immunologie/ HLA 4 Microbiologie/ Bactériologie Containers 5 Tubes/ 6 Pipetage
2 HTS 3 Immunologie / Immunologie Informations Techniques 3 I 2 ELISA 96 Puits 3 I 4 ELISA 96 Puits en Barrettes 3 I 6 en Barrettes de 8 Puits 3 I 7 en Barrettes de 12 Puits 3 I 8 en Barrettes de 16 Puits
Plus en détailLA MALADIE DE WALDENSTRÖM expliquée au néophyte
LA MALADIE DE WALDENSTRÖM expliquée au néophyte Comment comprendre sa maladie de Waldenström lorsque l'on est ni médecin, ni biologiste? Bernard Cornillon, biochimiste à l'inserm, a rédigé ce document
Plus en détailLa fonction respiratoire
La fonction respiratoire Introduction Fonction vitale : Au-delà de 3 min = atteintes graves Après 5 min = très altérés On parle de 3 phénomènes : Ventilation : respiration visible, échanges aériens intérieur
Plus en détailMécanisme des réactions inflammatoires
01/04/2014 THOMASSIN Guillaume L2 Revêtement Cutané Dr. Sophie Deplat-Jégo Relecteur 4 8 pages Revêtement cutané Mécanisme des réactions inflammatoires cutanés Mécanisme des réactions inflammatoires Plan
Plus en détailLe don de moelle osseuse :
DON DE MOELLE OSSEUSE Le don de moelle osseuse : se décider aujourd hui, s engager pour longtemps LA MOELLE OSSEUSE ET SA GREFFE La moelle osseuse C est le tissu mou dans le centre du corps des os qui
Plus en détailMaladie hémolytique du nouveau né. Dr Emmanuel RIGAL Unité d hématologie transfusionelle GENEVE Présentation du 13 janvier 2012.
Maladie hémolytique du nouveau né. Dr Emmanuel RIGAL Unité d hématologie transfusionelle GENEVE Présentation du 13 janvier 2012. HISTORIQUE Période de DESCRIPTION : -Ictère, Anasarque 1609 Louyse BOURGEOIS
Plus en détailDr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires
Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique
Plus en détailNotre système. Immunitaire
Notre système Immunitaire Notre système Immunitaire Edito L association I.R.I.S. salue l initiative de Sara Lebien, qui en écrivant cet ouvrage et en proposant une illustration gaie et coloré a rendu l
Plus en détailDON DE SANG. Label Don de Soi
DON DE SANG Label Don de Soi 2015 SOMMAIRE Les différents types de dons p.3 Le don de sang total Le don de plasma Le don de plaquettes Le don de moelle osseuse Que soigne-t-on avec un don de sang? p.7
Plus en détailManuel d hygiène bucco-dentaire Destiné à la formation de prophylaxistes
Manuel d hygiène bucco-dentaire Destiné à la formation de prophylaxistes élaboré pour le SDI par Graziella Secci hygiéniste dentaire g_secci@bluewin.ch SDI 2006 / 2007; Ed. n 1 La cavité buccale - Anatomie
Plus en détailTUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE
1 Plan de cours I - TUMEURS PRIMITIVES DE LA VESSIE c1 - Tumeurs papillaires non infiltrantes c2 - Tumeurs papillaires infiltrantes c3 - Carcinome in-situ en muqueuse plane D - Pronostic : II - TUMEURS
Plus en détailChapitre 7: Dynamique des fluides
Chapitre 7: Dynamique des fluides But du chapitre: comprendre les principes qui permettent de décrire la circulation sanguine. Ceci revient à étudier la manière dont les fluides circulent dans les tuyaux.
Plus en détailLes cytokines et leurs récepteurs. Laurence Guglielmi laurence.guglielmi@univ-montp1.frli
Les cytokines et leurs récepteurs Laurence Guglielmi laurence.guglielmi@univ-montp1.frli l i@ i 1 Les cytokines et leurs récepteurs 2 mécanismes principaux d interactions cellulaires : - contact membranaire
Plus en détailCoombs direct positif (et tout ce qui se cache derrière) : Gestion et interprétation. Dr J.C. Osselaer, Luxembourg, 14.12.2006
Coombs direct positif (et tout ce qui se cache derrière) : Gestion et interprétation Dr J.C. Osselaer, Luxembourg, 14.12.2006 Etiologie d'un Coombs Direct positif 1. Autoanticorps immunisation contre GR
Plus en détailLE CANCER C EST QUOI? QUELLE EST LA DIFFÉRENCE ENTRE UN ORGANE NORMAL ET UN ORGANE ATTEINT PAR LE CANCER? Organe normal Organe précancéreux Cancer
LE CANCER C EST QUOI? Généralement, le cancer se présente sous la forme d une tumeur, d une masse, qui se développe dans un organe. Les tumeurs solides, qui représentent 90% de tous les cancers, se distinguent
Plus en détailLA STOMATITE LYMPHOPLASMOCYTAIRE FELINE
ANNEE 2006 THESE : 06 TOU 3 4103 LA STOMATITE LYMPHOPLASMOCYTAIRE FELINE MECANISMES IMMUNOPATHOLOGIQUES ET APPLICATIONS THERAPEUTIQUES THESE pour obtenir le grade de DOCTEUR VETERINAIRE DIPLOME D ETAT
Plus en détailBilan d Activité du Don de Plaquettes par cytaphérèse Sur une Période d une année au Service Hématologie EHS ELCC Blida.
Bilan d Activité du Don de Plaquettes par cytaphérèse Sur une Période d une année au Service Hématologie EHS ELCC Blida. L.Aribi, F.Kaouane, S.Oukid, C.Boucherit, M.K.Benlabiod, Y.M.Bouchakor, M.T.Abad
Plus en détail1985, 169, n 7, 1071-1075,séancedu 22 octobre1985. ALBARÈDE et Jean-Claude DARRAS
Bull. Acad.NatleMéd., 1985, 169, n 7, 1071-1075,séancedu 22 octobre1985 Etude des méridiens d'acupuncture Par les traceurs radioactifs Pierre de VERNEJOUL *, Pierre ALBARÈDE et Jean-Claude DARRAS On sait
Plus en détailCancers de l hypopharynx
Cancers de l hypopharynx A- GENERALITES 1) Epidémiologie Cancer fréquent et de pronostic grave du fait de son évolution insidieuse et de son caractère lymphophile. C est quasiment toujours un carcinome
Plus en détailConcours d Internat et de Résidanat
Concours d Internat et de Résidanat Ce programme a pour but d aider à la préparation des concours d internat et de résidanat. Il ne constitue en aucun cas un répertoire de «questions d examen» mais une
Plus en détailGalerie de photos échantillons SB-910
Galerie de photos échantillons SB-910 Ce livret présente différentes techniques du flash SB-910 et des exemples de photographies. 1 Fr Franchissez un cap dans l univers de l éclairage créatif Révélez les
Plus en détailL AUTOGREFFE QUELQUES EXPLICATIONS
L AUTOGREFFE QUELQUES EXPLICATIONS Le traitement de votre maladie nécessite une Chimiothérapie intensive. Cette chimiothérapie qui utilise de fortes doses de médicaments antimitotiques est plus efficace
Plus en détailMesure du débit et volume sanguins. Cause des décès au Canada
Mesure du débit et volume sanguins Damien Garcia Damien.Garcia@ircm.qc.ca Laboratoire de génie biomédical IRCM, Montréal Cause des décès au Canada Autres ( 16% ) Respiratoire ( 9% ) Diabète ( 3% ) Cancer
Plus en détailTransplantation de cellules souches du sang
Transplantation de cellules souches du sang Rapport d Immersion en communauté NICOLAS BRANDT-DIT-GRIEURIN DAMIEN POLET PHILIPPE REYMOND EHTESHAM SHAMSHER Sous la supervision de : Mme L. Soguel Prof. C.
Plus en détailLe cliché thoracique
Le cliché thoracique Date de création du document 2008-2009 Table des matières * Introduction... 1 1 Nomenclature radiologique... 1 2 Le cliché thoracique de face... 2 2. 1 Qualité du cliché... 1 2. 2
Plus en détailAMINES BIOGENIQUES. Dopamine/Noradrénaline/Adrénaline (CATECHOLAMINES) Sérotonine/Histamine/Dopamine
AMINES BIOGENIQUES Dopamine/Noradrénaline/Adrénaline (CATECHOLAMINES) Sérotonine/Histamine/Dopamine Effets physiologiques des bioamines via le systeme nerveux autonome Cardiovasculaire: Augmentation du
Plus en détail*Test sur 20 femmes présentant des taches de sénescence sur les 2 mains et sur le visage. Age moyen 59 ± 1 an. Test par colorimétrie.
WHITE RESOLUTION SOIN ÉCLAIRCISSANT ANTI-TÂCHES, ANTI-ÂGE AU WHITESPHERE TM PREMIUM ET IPARZINE -4A PERFORMANCE PRODUIT Ce soin est une formule ultra-active qui permet de lutter efficacement contre les
Plus en détailLe trajet des aliments dans l appareil digestif.
La digestion. La digestion, c est la transformation des aliments en nutriments assimilables par l organisme. Dans le tube digestif, les aliments subissent une série de dégradations mécaniques et chimiques
Plus en détailL ANGINE. A Epidémiologie :
L ANGINE L angine est une inflammation aiguë des amygdales d origine essentiellement virale, et secondairement bactérienne. C est les streptocoque ß hémolytique du groupe A, qui est l agent responsable
Plus en détailUnité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané
Énoncés Unité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané N 109 Dermatoses faciales : acné, rosacée, dermatite séborrhéique Diagnostiquer l acné, la rosacée, la dermatite séborrhéique.
Plus en détailProphylaxie infectieuse après exposition professionnelle
1 Prophylaxie infectieuse après exposition professionnelle Introduction Le personnel soignant est régulièrement confronté au risque de contamination par le virus de l immunodéficience humaine (VIH) mais
Plus en détailChapitre 1 Œsophage. Embryologie
Chapitre 1 Œsophage 1. Embryologie 2. Anatomie 3. Radioanatomie 4. Histologie 5. Physiologie œsophagienne 6. Sémiologie œsophagienne 7. Reflux gastro-œsophagien 8. Examen clinique d un patient consultant
Plus en détailLes nouveaux traitements du psoriasis
Les nouveaux traitements du psoriasis Ci-après, vous trouverez 3 articles, parus récemment, parmi d'autres tout aussi intéressants, dans notre bulletin trimestriel Pso Magazine: - un extrait de l'exposé
Plus en détailL immunoenzymologie. Technique puissante couramment utilisée e en recherche et en diagnostic cificité des anticorps pour leurs nes
L immunoenzymologie Technique puissante couramment utilisée e en recherche et en diagnostic Basée e sur la très s grande spécificit cificité des anticorps pour leurs antigènes nes Test qualitatif Détection
Plus en détailPARI. KEFlRANOFACIENSR2C2
UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL ÉVALUATION DES PROPRIÉTÉS ANTI-INFLAMMATOIRES ET IMMUNOSTIMULANTES DE PRODUITS DE FERMENTATION DE LACTOSÉRUM PARI. KEFlRANOFACIENSR2C2 MÉMOIRE PRÉSENTÉ COMME EXIGENCE PARTIELLE
Plus en détailPlan d action mondial de l OMS pour le confinement des poliovirus sauvages en laboratoire
ORIGINAL : ANGLAIS DISTR. : GÉNÉRALE Plan d action mondial de l OMS pour le confinement des poliovirus sauvages en laboratoire DÉPARTEMENT VACCINS ET PRODUITS BIOLOGIQUES Organisation mondiale de la Santé
Plus en détailQUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE?
QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE? Vous allez être opéré(e) à la clinique Saint-pierre d une fistule anale par l équipe chirurgicale des docteurs Bardou, Ben brahem
Plus en détailInnovations thérapeutiques en transplantation
Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010
Plus en détailSéquence : La circulation sanguine
Séquence : La circulation sanguine Objectifs généraux : Amener l élève à Comprendre le rôle du cœur dans la circulation sanguine. Connaître le rôle du sang et ses composants. Connaître l anatomie du cœur.
Plus en détailUNE INTERVENTION CHIRURGICALE AU NIVEAU DU SEIN
UNE INTERVENTION CHIRURGICALE AU NIVEAU DU SEIN Informations générales Pour vous, pour la vie Cette brochure vise à vous fournir des informations générales concernant l intervention chirurgicale que vous
Plus en détailCellules souches hématopoïétiques
Cellules souches hématopoïétiques Pr Bernard Klein INSERM-UM1 U1040: BIOTHERAPY OF NORMAL AND CANCER STEM CELLS INSTITUTE FOR RESEARCH IN BIOTHERAPY http://irb.chu-montpellier.fr Hématopoïèse! Plaquettes
Plus en détailProfil médico-économique de plerixafor en remobilisation dans le myélome multiple
Profil médico-économique de plerixafor en remobilisation dans le myélome multiple Aline Voidey Soirée de la Société de Médecine de Franche-Comté Jeudi 27 novembre 2014 L hématopoièse Une seule et unique
Plus en détailLes Animaux habitent presque toutes les parties de la biosphère. La structure et la fonction chez les Animaux : principes fondamentaux.
40 La structure et la fonction chez les Animaux : principes fondamentaux Concepts clés- 40.1 Les lois de la physique et le milieu régissent la taille et la forme des Animaux 40.2 Il y a une corrélation
Plus en détailDépartement de chirurgie dentaire Service de parodontologie Dr ZAGHEZ M. Polycopies de parodontologie
Université BADJI Mokhtar Département de chirurgie dentaire Service de parodontologie Faculté de Médecine Dr ZAGHEZ M. Polycopies de parodontologie Introduction : 1. Définitions 2. Objectifs 3. Classification
Plus en détailLes gencives et la santé générale. Qu est-ce qu une maladie des gencives? d autres types de problèmes de santé ou en causer de nouveaux.
Les gencives et la santé générale Nous savons tous que la prévention est l une des clés du maintien de la santé générale. Nous faisons de l exercice et nous surveillons notre alimentation pour nous aider
Plus en détailL incompatibilité immunologique érythrocytaire
Fiches techniques des Effets Indésirables Receveurs L incompatibilité immunologique érythrocytaire Qu est ce que l incompatibilité immunologique erythrocytaire et quels en sont les mécanismes physiopathologiques?
Plus en détailDes déficiences présentes
Des déficiences présentes Comment se fait-il que dans certains cas, le système immunitaire ne fonctionne pas convenablement? Problèmes : 1. Pourquoi certains enfants sont-ils mis sous bulle plastique?
Plus en détailLa lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002.
Le diagnostic de la tuberculose bovine La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. 1. Tuberculination Dans la première phase d une infection de tuberculose bovine (Mycobacterium
Plus en détailTP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE
TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE OBJECTIFS : - Distinguer un spectre d émission d un spectre d absorption. - Reconnaître et interpréter un spectre d émission d origine thermique - Savoir qu un
Plus en détailCibles et mécanismes d action des traitements par cytokines et anti-cytokines
Cibles et mécanismes d action des traitements par cytokines et anti-cytokines Jean Daniel Lelièvre, Yves Lévy, Pierre Miossec I-Introduction... 2 II-Les interférons... 2 II-1.L interféron... 3 II-1-a.
Plus en détailNotre organisme détecte et essaye de détruire les micro-organismes qui tentent de l'envahir
Notre organisme détecte et essaye de détruire les micro-organismes qui tentent de l'envahir Si vous avez étudié le chapitre précédent, vous connaissez l incroyable vérité: nous respirons des microbes,
Plus en détailTransfusions sanguines, greffes et transplantations
Transfusions sanguines, greffes et transplantations Chiffres clés en 2008 La greffe d organes est pratiquée depuis plus de 50 ans. 4 620 malades ont été greffés. 1 563 personnes ont été prélevées. 222
Plus en détailÀ PROPOS DU. cancer colorectal. Les choix de traitement du cancer colorectal : guide du patient
À PROPOS DU cancer colorectal Les choix de traitement du cancer colorectal : guide du patient Table des matières Qu est-ce que le cancer colorectal?... 1 Les stades du cancer colorectal... 2 Quels sont
Plus en détailDépistage du cancer colorectal :
Dépistage du cancer colorectal : Quels enjeux? Robert Benamouzig Gastro-entérologie Hôpital Avicenne Bobigny Le cancer colorectal dans le monde 3ème cause de cancer Augmentation 1975 : 500 000 cas 1990
Plus en détailItem 116 : Maladies autoimmunes
Item 116 : Maladies autoimmunes COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Définition du concept d'auto-immunité...3
Plus en détailI. L asthme atopique
L allergie est la manifestation clinique d une réponse immune exagérée, impliquant la production d immunoglobulines de type E (IgE), à l encontre d un antigène normalement inoffensif {Cohn, 2004 #1}. En
Plus en détailParasites externes du chat et du chien
Parasites externes du chat et du chien Identification, prévention et traitement Les tiques Les tiques transmettent des maladies parfois mortelles. La prévention est la meilleure arme. 1 - Où les trouve-t-on?
Plus en détailSérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde
1 ETSL Sérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde TP 1 GABIN-GAUTHIER 13/11/2009 I. LA MALADIE... 2 II. TECHNIQUES QUALITATIVES... 2 1. PRINCIPE... 2 2. MODE OPERATOIRE... 3 2.1. WRST ou Waaler Rose
Plus en détailTITRE : On est tous séropositif!
PRÉPARER UNE «SITUATION COMPLEXE DISCIPLINAIRE», SITUATION D APPRENTISSAGE ET/OU D ÉVALUATION TITRE : On est tous séropositif! classe : 3 ème durée : 30 min I - Choisir des objectifs dans les textes officiels.
Plus en détailLA VIE APRES VOTRE INFARCTUS
Hôpital Privé d Antony LA VIE APRES VOTRE INFARCTUS Livret d information Hôpital Privé d Antony - OPC/KINE/268 Page 1 sur 5 Intervenants Rédigé par : C.DUPUY M.CERISIER Masseur Kinésithérapeute Masseur
Plus en détailAnticorps, vaccins, immunothérapies allergéniques tout savoir sur les progrès de l immunothérapie en 20 questions
Anticorps, vaccins, immunothérapies allergéniques tout savoir sur les progrès de l immunothérapie en 20 questions De quoi se compose le système immunitaire? Chaque jour, des substances étrangères, appelées
Plus en détailLes traitements du cancer invasif du col de l utérus
JUIN 2011 Les traitements du cancer invasif du col de l utérus Nom du chapitre COLLECTION GUIDES PATIENTS LE COL DE L UTÉRUS LE CHOIX DES TRAITEMENTS LA CHIRURGIE LA RADIOTHÉRAPIE LA CHIMIOTHÉRAPIE LES
Plus en détailCorrection ex feuille Etoiles-Spectres.
Correction ex feuille Etoiles-Spectres. Exercice n 1 1 )Signification UV et IR UV : Ultraviolet (λ < 400 nm) IR : Infrarouge (λ > 800 nm) 2 )Domaines des longueurs d onde UV : 10 nm < λ < 400 nm IR : 800
Plus en détailProcédés ciblés par le programme
Programme CMR 2014-2017 Fumées de soudage en chaudronnerie AIDE MEMOIRE TECHNIQUE Procédés ciblés par le programme Soudage TIG Soudage électrode enrobée Soudage semi-auto MIG/MAG 2/11 Dans un atelier qui
Plus en détail