NON. mon île dit. à la violence. SENSIBILISATION DES COLLéGIENS à LA JOURNéE INTERNATIONALE DE LA LUTTE CONTRE LES VIOLENCES FAITES AUX FEMMES
|
|
- Hélène Boutin
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 SENSIBILISATION DES COLLéGIENS à LA JOURNéE INTERNATIONALE DE LA LUTTE CONTRE LES VIOLENCES FAITES AUX FEMMES Lundi 25 novembre 2013 Collège Bois de Nèfles - Saint-Denis Dossier de presse Communication du Conseil Général Tél. : Fax :
2 PROGRAMME n 9h15 : rassemblement des professeurs et élèves dans la cour de récréation n 9h15-9h28 : discours des officiels n 9h28 : lecture du manifeste n 9h30 : minute de silence POURQUOI L ORGANISATION de cette manifestation? Les collégiens sont La Réunion de demain. Il est essentiel de les associer à cette Journée Internationale et de les sensibiliser. Une minute de silence sera respectée en hommage et en mémoire des femmes battues, violentées, tuées, partout dans le monde et particulièrement à La Réunion. La Journée Internationale de lutte contre les violences faites aux femmes a été instituée en 1960 pour marquer l assassinat des sœurs Mirabal en République dominicaine, qui militaient pour leurs droits. 53 ans après, des femmes sont toujours quotidiennement frappées, torturées, notamment par leurs conjoints. Trop de femmes en sont aussi victimes à La Réunion où en 2012, 5 d entre elles sont mortes et 3 auteurs de violences conjugales se sont suicidés. En 2013, 2 femmes sont décédées et 4 autres personnes victimes d agressions dont 2 enfants. Le Conseil Général est un acteur majeur dans la lutte contre les violences intrafamiliales mais il ne peut pas tout faire : un changement de mentalités, un changement de société sont nécessaires. «C est ENSEMBLE que nous construirons une Réunion plus harmonieuse, en paix avec elle-même, où les mots Respect, Égalité, Fraternité seront inscrits dans les actes quotidiens.» Nassimah DINDAR 2
3 LE CONSEIL GéNéRAL, acteur majeur dans la lutte contre les violences familiales 5 millions d euros par an investis LE CONTEXTE LOCAL 15 % des femmes sont victimes de violences conjugales contre 9 % en Métropole > 8 % dénoncent des violences sexuelles contre 10 % en métropole > 9 % des femmes sont harcelées psychologiquement par leur conjoint contre 7, 7 % en Métropole > des femmes déclarent avoir fait l objet d un harcèlement ou d insultés soit 20 % des femmes réunionnaises Le nombre de victimes de violences intrafamiliales de 2009 à 2012 En 2010, 6 femmes ont été assassinées et 6 enfants sont morts. En 2011, 6 femmes ont été assassinées. En 2012, 5 femmes sont mortes et 3 auteurs de violences conjugales ses sont suicidés. En 2013, 2 femmes décédées et 4 autres personnes victimes d agressions dont 2 enfants. En octobre 2011, le Ministère de l intérieur a rendu public son étude nationale annuelle sur les victimes mortelles de violences conjugales. L île de La Réunion se classe 19 e, avec 4 décès en 2011, sur 25 départements, au même niveau que l Auvergne et l Alsace. Ce triste palmarès est remporté par la Région Ile de France avec 24 morts, suivi de la Provence-Alpes-Côtes d Azur (21 décès), La Guyanne se classant 24 e avec 2 morts et la Guadeloupe au 26 e rang avec 1 mort. Si l on compare le nombre de personnes mortes au regard du nombre d habitant par région, La Réunion se classe à la 5 e place. 3
4 LA POLITIQUE DéPARTEMENTALE n En 2004, une priorité politique inscrite par la Présidente du Conseil Général dans le Plan Départemental de Cohésion sociale devant l ampleur du fléau que constituent les violences conjugales. n En 2005, le Conseil Général et l État s engagent ensemble dans un plan d actions commun d envergure, pour lutter contre les violences conjugales. > Financement par le Conseil Général de la réhabilitation de 2 villas qui font partie de son patrimoine immobilier pour l hébergement des femmes victimes de violences. Elles ont été mises à disposition de l association «Mouvement de Soutien pour Femmes en Grande Détresse». Ces 17 places ont été agréées dès 2006 au titre du relais familial et financées par le Conseil Général pour un montant total de > Mise en place par la Collectivité de la veille sociale le 115 en partenariat avec l État avec une participation financière de cet outil de 2005 à 2011, à hauteur de 70 % du coût global. Le coût du dispositif pour 2010 a été de financé à hauteur de par le Conseil Général et à par l État. Pour 2011, le coût du 115 a été de dont pour l État et pour le Conseil Général. n Depuis 2005, le Conseil Général conventionne avec : > les structures hôtelière, afin d assurer a mise à l abri des femmes victimes de violences, en l absence de places dans les centres d hébergement d urgence. Coût en 2010 : Coût en 2011 : Coût en 2012 :
5 > les taxiteurs pour garantir l éloignement de la victime et de ses enfants dans les délais les plus rapides. Coût en 2010 : Coût en 2011 : Coût en 2012 : n De 2006 à 2009 : des formations communes à l ensemble des acteurs (Police, Gendarmerie, associations, travailleurs sociaux) ont été mises en place. Elles ont eu pour but d identifier les partenaires, de développer une dynamique de réseau, de définir les types de violences n En 2007, au nom des élus de la majorité, la Présidente du Conseil Général dépose une motion relative à la lutte contre les violences conjugales au Gouvernement n En 2007, l État, le Conseil Général et les Autorités Judiciaires signent une convention départementale précisant les engagements de chaque partenaire dans ce domaine. Les partenaires ont réaffirmé leur volonté commune de coordonner les moyens pour une meilleure assistance et accompagnement. n En 2010, l État, le Conseil Général, la Police et la Gendarmerie signent une convention pour la mise en place d un assistant social dans les services de Police et de gendarmerie. Ce dispositif est effectif depuis le 1 er Janvier 2011, avec 2 assistantes sociales du Conseil Général mises à disposition des forces de l ordre : 1 à la gendarmerie du Tampon et 1 au commissariat Malartic. Le coût 2012 de ces deux personnes a été de , cofinancé par l État à hauteur de
6 Les missions de ces assistantes sociales se décomposent comme suit : > accueillir des personnes victimes de violences intrafamiliales et conjugales, > recevoir toutes personnes en situation de détresse, > assurer l orientation de ces personnes > et assurer la liaison avec le 115 et les autres partenaires n 2012 : signature d une convention État / Conseil Général pour la mise en place de deux autres assistantes sociales : 1 à la gendarmerie de Saint-Paul et une autre au commissariat de Saint-André. Depuis mai/ juin 2013, 2 autres assistantes sociales complètent l équipe : 1 est affectée au commissariat de Saint-André et une autre à la gendarmerie de Saint-Paul. Le coût prévisionnel 2013 est évalué à sur la base des mêmes cofinancements. n Novembre 2012 : motion en Assemblée Plénière sur les violences conjugales et intrafamiliales. n Juin 2013 : motion du groupe Avancées Sociales et Développement présentée en SP du 28 juin déclarant «cause départementale la problématique relative aux violences conjugales et intrafamiliales», affirmant que cette situation relève de l intervention de l autorité publique, décidant de l inscrire dans les orientations de la collectivité. n Financement des associations qui interviennent dans le dispositif de lutte contre les violences intrafamiliales Le Conseil Général cofinance depuis plusieurs années des associations qui assurent l hébergement d urgence et temporaire des femmes victimes de violences et des personnes en situation d exclusion, l accompagnement des victimes de violences intrafamiliales ou en situation de fragilité sociale. Les financements accordés en 2013, en intégrant celle du CEVIF, se sont élevés à contre en
7 > Dans le cadre de l hébergement d urgence (cofinancement des 2 centres d hébergement d urgence gérés par l association la «Halte Père Etienne Griennenberger» : 2012 : : > Dans le cadre de l hébergement temporaire (APAL et Soutien Solidarité Santé) : 2012 : : > Dans le cadre de l accompagnement des victimes et l accès aux droits : 2012 : dont pour l ARAJUFA 2013 : dont pour l ARAJUFA, pour Momom Papa lela, 4000 pour l ARIV, 2000 pour AFFECT et 4000 pour l AREL. n Le renforcement du partenariat avec le Collectif pour l Elimination des Violences Intrafamiliales (CEVIF) Le CEVIF regroupant des associations intervenant, tant dans le domaine des violences que de la santé, le Conseil Général s appuie sur ce collectif pour mettre en place un plan d actions visant à renforcer la lutte contre les violences intrafamiliales. La subvention de 2013 a été de > Mise en place d une action de formation intitulée «Prévention et lutte contre les violences intrafamiliales et les violences faîtes aux personnes pilotée par le CEVIF et cofinancée par l Etat et le Département, associant les différents acteurs intervenant dans la lutte contre les violences. 7
8 Les objectifs : > Former des professionnels capables d accompagner et de soutenir des victimes > Accompagner les auteurs de violences en lien avec les services compétents > Élaborer des outils pour détecter les violences et fournir un accompagnement adapté. > Accompagner les auteurs volontaires en partenariat avec les services concernés. Participation 2012 du Département : Participation 2013 du Département : n Élaboration d un projet intitulé «Réseau d Agent de Cohésion Familiale dans les collèges d agents de cohésion sociale : Il s agit d apporter une réponse à l urgence sociétale qu est le combat contre les violences intrafamiliales, en accentuant les efforts de prévention et de sensibilisation dès le plus jeune âge. Pour lancer ce réseau d agents de cohésion familiale et démultiplier les interventions dans les collèges de ce collectif moteur et pivot du milieu associatif local, le CEVIF a obtenu une subvention de en décembre 2011 car ce projet est axé sur la cohésion familiale, priorité majeure de la mandature et est mené dans le cadre de la promotion de la lutte contre les violences intrafamiliales comme grande cause départementale de l année Ces agents de cohésion familiale ont bénéficié d une formation sur la problématique de la violence, les différents protagonistes de l acte violent, les techniques d intervention et la connaissance du réseau. Ils interviennent auprès de jeunes, plus particulièrement de collégiens, dans le cadre de la prévention primaire ; et auprès de parents, d adultes, afin de sensibiliser ce public, aux risques et aux conséquences, qui résultent, de la dégradation des relations au sein du couple et au sein des familles, tant pour eux-mêmes que pour leurs proches et leur environnement. La subvention accordée en 2013 a été de
9 n Un doublement de la participation financière du Conseil Général en 2012 pour les actions de prévention et de sensibilisation : L association a bénéficié d une subvention de , contre en 2011, pour renforcer les actions de sensibilisation, de prévention et d accompagnement et de suivi des victimes, mais également des auteurs en mettant en place une écoute individualisée, des groupes de paroles ainsi qu un accompagnement dans les démarches administratives et judiciaires. En 2013, cette subvention a été de n Les Relais familiaux Le Conseil Général assure le financement intégral les Relais familiaux au titre de l Aide Sociale à l Enfance. Ces structures permettent d accueillir des femmes en situation de rupture familiale ou victimes de violences conjugales, avec enfants : 108 places réparties sur l ensemble du territoire peuvent être mobilisées : > Nord : Rose des Bois (25 places) géré par l association «MFSD» et un lieu d accueil pour les mères mineurs (32 places) géré par l association AMARE. > Ouest : une structure de 12 places gérée par l association Père Favron. > Est : une structure de 15 places gérée par l association Père Favron. > Sud : une structure de 24 places gérée par l association «SOS Détresse». Coût en 2012 : Coût en 2013 :
10 Communication Attachée de presse Michèle Bénard michele.benard@cg974.fr
PRESENTATION DU RAPPORT DU GROUPE DE TRAVAIL DU CONSEIL NATIONAL DE L AIDE AUX VICTIMES SUR LA PRISE EN CHARGE DES VICTIMES EN URGENCE
PRESENTATION DU RAPPORT DU GROUPE DE TRAVAIL DU CONSEIL NATIONAL DE L AIDE AUX VICTIMES SUR LA PRISE EN CHARGE DES VICTIMES EN URGENCE SYNTHESE Le 15 septembre 2003, Madame Anne D HAUTEVILLE, professeur
Plus en détailProtection individuelle
Protection individuelle Franchise annuelle Ce plan n'est plus offert 200 $ 900 $ depuis le 1er mars 2015 1 006 $ / / 18-24 87,88 $ 71,71 $ - 39,35 $ 37,08 $ 63,91 $ 25-29 91,38 $ 74,47 $ - 41,04 $ 38,86
Plus en détailComment s exerce l autorisation parentale de sortie de l enfant du territoire national ou l opposition à cette sortie?
Comment s exerce l autorisation parentale de sortie de l enfant du territoire national ou l opposition à cette sortie? En cas d autorité parentale exclusive, c est la liberté ; le parent la détenant pouvant
Plus en détailUnis contre la violence conjugale et intrafamiliale. Plan d action stratégique en matière de violence conjugale et intrafamiliale 2013-2017
Unis contre la violence conjugale et intrafamiliale Plan d action stratégique en matière de violence conjugale et intrafamiliale 2013-2017 Mise en contexte Au SPVM Environ 18 000 appels de service au 911
Plus en détailOrientations. gouvernementales. en matière. d agression. sexuelle. Plan d action
Orientations gouvernementales en matière d agression sexuelle Plan d action Édition produite par : La Direction des communications du ministère de la Santé et des Services sociaux Pour obtenir d autres
Plus en détailMajeurs et mineurs mis en cause par les services de Police en 2013
La criminalité en France Rapport annuel 2014 de l ONDRP Premier ministre Majeurs et mineurs par les services de Police en 2013 Antoine le graët, Chargé d études statistiques à l ONDRP 2 Principaux enseignements
Plus en détail4 e plan interministériel
4 e plan interministériel de prévention et de lutte contre les violences faites aux femmes 2014-2016 MINISTÈRE DES DROITS DES FEMMES 4 e plan interministériel de prévention et de lutte contre les violences
Plus en détailLes violences conjugales
MINISTÈRE le point sur Femmes/égalité Lutte contre les violences envers les femmes Les violences conjugales Les victimes de violences craignent le plus souvent de s exprimer. Paralysées par la peur, une
Plus en détailVous divorcez, vous vous séparez?
Service Com&Doc - Crédit image : drx - Fotolia.com - Imprimerie Caf35 - Mars 2014 Vous divorcez, vous vous séparez? 5 questions pour mieux comprendre Vous informer et vous aider dans vos démarches Vous
Plus en détailLUTTER CONTRE LE HARCÈLEMENT
LUTTER CONTRE LE HARCÈLEMENT Prix À «Mobilisons-nous L ÉCOLE : L AFFAIRE contre DE le TOUS! harcèlement» 2ème édition 2014/2015 Préambule Dans le cadre de la politique conduite pour diminuer le harcèlement
Plus en détailLES VIOLENCES AU SEIN DU COUPLE. Françoise GUYOT Vice-Procureure, Chargée de mission au Cabinet du Procureur de la République de Paris
LES VIOLENCES AU SEIN DU COUPLE Françoise GUYOT Vice-Procureure, Chargée de mission au Cabinet du Procureur de la République de Paris 2 DEFINITION La lutte contre les violences faites aux femmes s'inscrit
Plus en détailINDEMNITES POUR FRAIS DE DEPLACEMENT
INDEMNITES POUR FRAIS DE DEPLACEMENT RÉFÉRENCES : Décret n 2001-654 du 19 juillet 2001 modifié (JO du 21 juillet 2001) ; décret n 2006-781 du 3 juillet 2006 (JO du 4 juillet 2006) ; arrêté du 3 juillet
Plus en détailAction sociale. Nos actions dans le domaine du handicap. L Action sociale vous accompagne dans les moments importants de votre vie
Action sociale Nos actions dans le domaine du handicap L Action sociale vous accompagne dans les moments importants de votre vie Assumer au quotidien une situation de handicap est difficile pour une famille
Plus en détailObjectif de progression Actions Indicateurs chiffrés. Diligenter une enquête auprès des salariés pour connaitre précisément leurs besoins
Articulation entre la vie professionnelle et l exercice de la responsabilité parentale (ces exemples visent à accompagner les partenaires sociaux dans leur négociation, ils ne sont pas exhaustifs des bonnes
Plus en détailL hébergement d urgence en Loire-Atlantique
18/02/2015 Dossier de presse L hébergement d urgence en Loire-Atlantique M. Henri-Michel COMET, préfet de la région Pays de la Loire, préfet de Loire-Atlantique a rencontré le mercredi 18 février 2015
Plus en détailsolidarité www.aulnay-sous-bois.fr
bureau d aide aux solidarité www.aulnay-sous-bois.fr Violences conjugales Vol avec violence Accidents de circulation Harcèlement Viol Agression Agression, Viol, Vol avec violence, Discriminations, Violences
Plus en détailGuide d intervention sur. l intimidation. destiné aux intervenants - 1 -
Guide d intervention sur l intimidation destiné aux intervenants - 1 - Rédaction Linda Laliberté : Mélanie Blais : Michèle Gariépy : Joanie Charrette : Espace Bois-Francs InterVal Pacte Bois-Francs organisme
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE Contacts presse
DOSSIER DE PRESSE Contacts presse : Bureau de la communication interministérielle - 02.48.67.34.36 pref-communication@cher.gouv.fr Préfecture du Cher - Place Marcel Plaisant CS 60022-18020 BOURGES Cedex
Plus en détailMise en œuvre d'un dispositif de vidéosurveillance nocturne du cœur de ville
CONSEIL MUNICIPAL 1 Séance du 06 décembre 2012 Mise en œuvre d'un dispositif de vidéosurveillance nocturne du cœur de ville Direction Solidarité Urbaine - Tranquillité Publique - Rapporteur(s) M. Christophe
Plus en détailPOINT FINAL. Option. Programme d encadrement en violence conjugale En collaboration avec. alternative à la violence conjugale et familiale
POINT FINAL Programme d encadrement en violence conjugale En collaboration avec Option Une alternative à la violence conjugale et familiale Personne condamnée à un délit en matière de violence conjugale
Plus en détailPlan d actions «Gérer la crise C est. anticiper la reprise»
Plan d actions «Gérer la crise C est anticiper la reprise» 1 Préambule La décélération de l activité économique observée en 2008 s est approfondie en 2009, les principaux indicateurs sont au rouge. Chômage
Plus en détailCHARTE DE QUALITE DE LA MEDIATION PAR LES PAIRS POUR LES
ET DE LA LUTTE CONTRE LES VIOLENCES EN MILIEU SCOLAIRE CHARTE DE QUALITE DE LA MEDIATION PAR LES PAIRS POUR LES INTERVENANTS DANS LES ECOLES, COLLEGES, LYCEES Août 2013 PREAMBULE L École est un lieu d
Plus en détail1/ LES CARACTÉRISTIQUES DU CYBER-HARCÈLEMENT
LE CYBER-HARCÈLEMENT Avec l utilisation massive des nouvelles technologies, le harcèlement entre élèves peut se poursuivre, voire débuter, en dehors de l enceinte des établissements scolaires. On parle
Plus en détailCOMMUNE DE CANNES-ECLUSE REGLEMENT DU RESTAURANT SCOLAIRE
COMMUNE DE CANNES-ECLUSE REGLEMENT DU RESTAURANT SCOLAIRE Le présent règlement définit les relations entre les enfants, les accompagnateurs et le personnel du restaurant scolaire. Il a pour finalité de
Plus en détailDirectives du programme Ontario au travail
Directives du programme Ontario au travail 3.11 Immigrants parrainés Compétence législative Paragraphes 13 (1) et 71 (1), et article 72 de la Loi. Articles 6, 13, 15, 17 et 51 du Règlement 134/98. Exigences
Plus en détailQu est-ce que le Fastt?
Qu est-ce que le Fastt? Des services et aides pour les intérimaires Logement Location véhicules Action sociale Conseils crédit Garde d enfants Mutuelle Un besoin à financer? Un accompagnement, un diagnostic
Plus en détailDu 1 er juillet 2014 au 30 juin 2015
Place Vignioboul Mon Pass Loisirs Du 1 er juillet 2014 au 30 juin 2015 Prénom : / Nom : Ma date de naissance : / / Téléphone (domicile) : / Mon portable : / Mon mail : / Cocher 1 possibilité : (OBLIGATOIRE)
Plus en détailTarif. Ligne Analogique. 1. Mise en service. Les prix sont indiqués en euro hors taxes.
Tarif Analogique Les prix sont indiqués en euro hors taxes. 1. Mise en service La mise en service inclut, au cas où l installation du Client n en possède pas, la fourniture : - d une (ou 2) prise(s) téléphonique
Plus en détailANNEXE 3 ASSISTANCE MÉDICALE
ANNEXE 3 ASSISTANCE MÉDICALE - 30 - ANNEXE N 3 ASSISTANCE MÉDICALE (Mutuelle Assistance International, Mutuelle Assistance France) I. CONDITIONS GÉNÉRALES En cas de besoin, chaque bénéficiaire peut, 24
Plus en détailLe divorce. Procédures
Vos droits Institutions Acteurs F i c h e P r a t i q u e Le divorce Procédures Le divorce Les procédures de divorce sont aujourd hui pacifiées et simplifiées. Toutefois, les conséquences restent les mêmes
Plus en détailAIDES FORMATION / ACCES A LA QUALIFICATION. Région Département 04 05 06 13 83 84 Local
AIDES FORMATION / ACCES A LA QUALIFICATION Bourse d études Conseil régional Provence-Alpes-Côte d Azur Mise à jour : Février 2011 (Réf. FO00001) Secteur géographique concerné Région Département 04 05 06
Plus en détailGUIDE PRATIQUE déplacements professionnels temporaires en France et à l étranger
GUIDE PRATIQUE déplacements professionnels temporaires en France et à l étranger SOMMAIRE GUIDE PRATIQUE déplacements professionnels temporaires en France et à l étranger o o o o o o o o o o o o
Plus en détailLa sécurité sur Internet
La sécurité sur Internet si on en parlait en famille? Petit guide à l usage des parents Internet pour tous Internet de demain Réalisé avec l aide du ministère de l Enseignement supérieur et de la Recherche
Plus en détailPolitique Institutionnelle. Politique de protection de l enfance. Direction Générale Fédérale 2007 PI 01
Politique Institutionnelle Politique de protection de l enfance Direction Générale Fédérale 2007 PI 01 Politique Institutionnelle Politique de protection de l enfance 2 1. PRINCIPES : PRÉVENTION DES ABUS
Plus en détailMutualité Française Ile-de-France
Mutualité Française Ile-de-France Représentation régionale de la Fédération Nationale de la Mutualité Française Acteur de l économie sociale et solidaire 280 mutuelles adhérentes 5.5 millions de personnes
Plus en détailL Académie des Dalons
L L est un projet expérimental d insertion sociale et professionnelle dans un dispositif global de soutien de jeunes en difficulté. Il s adresse aux volontaires âgés de 18 à 25 ans qui, sans formation
Plus en détailPrésentation renouveau école Georges Pamart
MAIRIE DE QUERENAING DEPARTEMENT DU NORD REPUBLIQUE FRANCAISE LIBERTE EGALITE FRATERNITE Arrondissement de Valenciennes - Canton de Valenciennes Sud www.querenaing.fr Présentation renouveau école Georges
Plus en détaild hébergement pour pour femmes violentées et et en en difficulté
Alliance Alliance des des maisons d hébergement pour pour femmes violentées et et en en difficulté Une écoute et une aide à portée de main 24 heures par jour, 7 jours et ce, 365 jours par année. Historique
Plus en détailRapport d'activité. http://clasches.fr contact@clasches.fr
2009 2010 Rapport d'activité http://clasches.fr contact@clasches.fr Sommaire 1. Présentation de l association...3 a. Historique...3 b. Objectifs de l association...3 c. Adhérent e s...4 d. Membres du bureau...4
Plus en détailN 1799 ASSEMBLÉE NATIONALE
N 1799 ASSEMBLÉE NATIONALE CONSTITUTION DU 4 OCTOBRE 1958 TREIZIÈME LÉGISLATURE Enregistré à la Présidence de l Assemblée nationale le 7 juillet 2009. RAPPORT D INFORMATION FAIT AU NOM DE LA MISSION D
Plus en détailUne école bienveillante face aux situations de mal-être des élèves. Guide à l attention des équipes éducatives des collèges et des lycées
Une école bienveillante face aux situations de mal-être des élèves Guide à l attention des équipes éducatives des collèges et des lycées Ce guide constitue l une des mesures annoncées lors du Comité interministériel
Plus en détailEvolution de la collecte des RPU Réseau OSCOUR
Evolution de la collecte des RPU Réseau OSCOUR Vanina BOUSQUET InVS St MAURICE 20 Mai 2014 Journée plénière de la FEDORU SOMMAIRE Etat des lieux des remontée de RPU Etat des lieux des structures régionales
Plus en détailINTERODAS 2014 HORS-SERIE BULLETIN D INFORMATION ET DE LIAISON ORGANISATION D AIDE AUX SANS-EMPLOI (ODAS-MONTRÉAL)
INTERODAS 2014 HORS-SERIE BULLETIN D INFORMATION ET DE LIAISON ORGANISATION D AIDE AUX SANS-EMPLOI (ODAS-MONTRÉAL) TESTEZ VOS CONNAISSANCES SUR L AIDE SOCIALE VRAI ou FAUX? 1. Le ministère de l Emploi
Plus en détailECOLE PRIMAIRE QUERAL ECOLE MATERNELLE CHARLES PERRAULT ECOLE DU CHAT PERCHE SAINT-ROCH
COMMUNE DE PONTCHATEAU REGLEMENT INTERIEUR DES RESTAURANTS SCOLAIRES MUNICIPAUX ECOLE PRIMAIRE QUERAL ECOLE MATERNELLE CHARLES PERRAULT ECOLE DU CHAT PERCHE SAINT-ROCH Le présent règlement, adopté par
Plus en détailCOMITE INTERMINISTERIEL DES DROITS DES FEMMES ET DE L ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES
MINISTÈRE DE LA DÉFENSE Ministère de la Défense COMITE INTERMINISTERIEL DES DROITS DES FEMMES ET DE L ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES FEUILLE DE ROUTE Bilan 2014 Programme d actions 2015 1 COMITE
Plus en détail10 ENGAGEMENTS, 30 PROPOSITIONS DE LA MAJORITÉ DÉPARTEMENTALE «Avec vous, une Saône et Loire innovante et attractive»
10 ENGAGEMENTS, 30 PROPOSITIONS DE LA MAJORITÉ DÉPARTEMENTALE «Avec vous, une Saône et Loire innovante et attractive» Préambule Si l actuelle majorité peut indéniablement se prévaloir d un très bon bilan,
Plus en détailREPUBLIQUE FRANÇAISE. REGLEMENT DES SERVICES PERISCOLAIRES 2013/2014 (RESTAURANT SCOLAIRE et GARDERIE et CENTRE D ANIMATION)
REPUBLIQUE FRANÇAISE M A I R I E DE P O N T H E V R A R D 5, PLACE DE LA MAIRIE 78730 PONTHEVRARD TELEPHONE : 01.30.41.22.13 - TELECOPIE : 01.30.88.20.26 EMAIL : PONTHEVRARD@ORANGE.FR REGLEMENT DES SERVICES
Plus en détailDe la violence au tiers à la parole au pair
De la violence au tiers à la parole au pair devenir auteur de parole dans le cadre de l obligation de soins Eve Montalti, psychologue clinicienne Mathieu Lacambre, psychiatre via voltaire via voltaire
Plus en détailPlan régional pour la réussite et l insertion des jeunes
Plan régional pour la réussite et l insertion des jeunes Mobilité, formation, apprentissage, aides à l installation, à l équipement, au remboursement du prêt étudiant, bourses... Des dispositifs régionaux
Plus en détailUn partenariat de long terme
Le fonds d épargne au service des collectivités territoriales Créateur de solutions durables Un partenariat de long terme pour développer vos territoires Outre son offre de prêt en faveur de la politique
Plus en détailQue ressentirais-tu si la victime était un(e) de tes camarades de classe, un(e) voisin(e) ou un(e) ami(e)?
Que ferais-tu si quelqu un de ton lycée, de ton entourage, de ton quartier était agressé, verbalement ou physiquement, en raison de son look, de son sexe, de son accent, de sa religion ou de sa couleur
Plus en détailRèglement intérieur. I - Conditions générales. 1. Conditions d admission et de séjour
MODÈLE TYPE DE RÈGLEMENT INTÉRIEUR DES TERRAINS DE CAMPING OU DE CARAVANAGE AINSI QUE DES PARCS RÉSIDENTIELS DE LOISIRS I - Conditions générales 1. Conditions d admission et de séjour Règlement intérieur
Plus en détailDISPOSITIF FEMMES EN TRES GRAND DANGER BILAN D UNE ANNÉE D EXPÉRIMENTATION
DISPOSITIF FEMMES EN TRES GRAND DANGER BILAN D UNE ANNÉE D EXPÉRIMENTATION 30 téléphones portables disponibles 27 femmes ont été admises au dispositif. Le bénéfice du TGD pendant une durée de 6 mois a
Plus en détailLa République fédérale d Allemagne est composée de
La criminalité en France Rapport annuel 2014 de l ONDRP Premier ministre La criminalité enregistrée en Allemagne en Olivier gourdon, Chargé d études à l ONDRP Présentation du système policier allemand
Plus en détailDemande de logement social Article R. 441-2-2 du code de la construction et de l habitation
Ministère chargé du logement Cadre réservé au service Demande de logement social rticle R. 44-2-2 du code de la construction et de l habitation Numéro de dossier : N 4069*0 demande de logement locatif
Plus en détailLe tribunal de la famille et de la jeunesse
Le tribunal de la famille et de la jeunesse Le tribunal de la famille et de la jeunesse (*) est opérationnel dans tout le pays depuis le 1 er septembre 2014. C est désormais ce tribunal qui est compétent
Plus en détailBien-être et Performance Collective Des risques psychosociaux au modèle de management et au bien vivre ensemble
Des risques psychosociaux au modèle de management et au bien vivre ensemble Comment concilier «bienêtre» et «performance collective»? Comment aider les opérationnels à assumer leur responsabilité managériale,
Plus en détailUn seul droit de la famille pour toutes les femmes.
2 Protection de l enfance et droit de la famille FR 002 LE DROIT DE LA FAMILLE ET LES FEMMES EN ONTARIO Un seul droit de la famille pour toutes les femmes. Renseignez-vous sur vos droits. Protection de
Plus en détailDroits des femmes 2012-2013. comité interministériel aux droits des femmes et à l égalité entre les femmes et les hommes. les actions menées
Droits des femmes 2012-2013 les actions menées comité interministériel aux droits des femmes et à l égalité entre les femmes et les hommes édito La politique des droits des femmes que je conduis repose
Plus en détailCHARTE D HEBERGEMENT DES SITES INTERNET SUR LA PLATE-FORME DE L ACADEMIE DE STRASBOURG
CHARTE D HEBERGEMENT DES SITES INTERNET SUR LA PLATE-FORME DE L ACADEMIE DE STRASBOURG Version Octobre 2014 Rectorat de l académie de Strasbourg 6 Rue de la Toussaint 67975 Strasbourg cedex 9 1 Page 1/14
Plus en détailPASS sports vacances. Sommaire
PASS sports vacances Sommaire PREAMBULE Article 1 : Modalités d inscription Article 2 : Modalités de fonctionnement Article 3 : Les infrastructures Article 4 : Tarification Article 5 : Sécurité et secours
Plus en détailConseils sur la conduite à tenir en cas de suicide d un salarié sur le lieu de travail
Conseils sur la conduite à tenir en cas de suicide d un salarié sur le lieu de travail Document réalisé avec l aide de Philippe BIELEC, Ingénieur Conseil à la Direction des risques professionnels de la
Plus en détailGuide pratique pour lutter contre le cyber-harcèlement entre élèves
Guide pratique pour lutter contre le cyber-harcèlement entre élèves AVANT-PROPOS A l occasion des premières Assises Nationales sur le harcèlement à l École des 2 et 3 mai 2011, Luc CHATEL, ministre de
Plus en détailLE HARCELEMENT A L ECOLE
1 05/05/2014 LE HARCELEMENT A L ECOLE l'essentiel : Selon une statistique nationale, un élève sur 10 est victime de harcèlement à l'école. Pour la moitié ce sont des cas de harcèlement sévère. Le harcèlement
Plus en détailLe couple. et l argent
LES FICHES PRATIQUES DE FINANCES & PÉDAGOGIE Le couple Mariage, PACS, ou concubinage, la vie à deux implique le plus souvent des choix mais aussi des obligations. Alors, qu en est-il en matière de gestion
Plus en détailI. - LES FAITS NÉCESSITANT LA MISE EN ŒUVRE DE LA PROCÉDURE SPÉCIFIQUE D URGENCE A.
MINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES, DU TRAVAIL ET DE LA SOLIDARITÉ Délégation générale à l emploi et à la formation professionnelle Sous-direction des formations en alternance et de l insertion des jeunes
Plus en détailLe VIGOR L inventaire des victimes de leurs objectifs, options et risques
Le VIGOR L inventaire des victimes de leurs objectifs, options et risques Un outil de planification de la sécurité pour aider les personnes victimes de violence à évaluer les risques et décider comment
Plus en détailDossier Pédagogique Mercredis du Pass Âge (11-14 ans) 2014-2015
Maison de l Enfance et de la Jeunesse 2 route de Keroumen 29480 Le Relecq Kerhuon 02 98.28.38.38 02.98.28.41.11 E-Mail : mej@mairie-relecq-kerhuon.fr Dossier Pédagogique Mercredis du Pass Âge (11-14 ans)
Plus en détailComplément pédagogique
Complément pédagogique L intimité de son corps La violence verbale Le racket L égalité L amour L intimité de son corps L enfant, comme l adulte, est maître de son corps et seul juge de ses sentiments.
Plus en détailServices Aux Victimes
Services Aux Victimes I n i t i a t i v e s Plan de sécurité personnel Directives à l intention des personnes victimes de relations abusives Plan de sécurité personnel Qu est-ce qu un plan de sécurité?
Plus en détailLe projet de loi 133. Une mesure pour assurer la sécurité des victimes de violence
Le projet de loi 133 Une mesure pour assurer la sécurité des victimes de violence Comité logement pour les droits des victimes de violence conjugale 6 décembre 2005 Présentation Le Comité logement pour
Plus en détailAccompagnement pédagogique du concours de haïkus sur Twitter
Accompagnement pédagogique du concours de haïkus sur Twitter Concours de haïkus sur Twitter organisé par la Cantine numérique, les Champs Libres et Livre et Lecture en Bretagne en partenariat avec La Ligue
Plus en détailCAPITAINE D EQUIPE : Quel est votre rôle à jouer? Félicitations!
24H DE MOBILISATION CONTRE LE CANCER Une manifestation de la ligue contre le cancer CAPITAINE D EQUIPE : Quel est votre rôle à jouer? Félicitations! Vous venez de créer votre équipe pour participer au
Plus en détailMaison du droit et de la médiation www.ville-stains.fr
www.ville-stains.fr SOMMAIRE page 4 INFORMATION ET ORIENTATION page 6 ACCES AU DROIT page 8 AIDE AUX VICTIMES page 10 MEDIATION page 12 ECRIVAIN PUBLIC page 14 LEXIQUE + NOS PARTENAIRES EDITO Pour la Municipalité,
Plus en détailAppel pour une politique stratégique et coordonnée de l'aide aux sans-abri 2014-2019
Cet appel sollicite les responsables des gouvernements afin qu'ils s'engagent à relever ces enjeux dès l entrée en fonction de la nouvelle législature. Appel pour une politique stratégique et coordonnée
Plus en détailPôle de compétence en promotion de la santé région Centre en Promotion de la Santé en Région Centre. Salon des formations en promotion de la santé
Fédération Régionale des Acteurs FRAPS Pôle de compétence en promotion de la santé région Centre en Promotion de la Santé en Région Centre Salon des formations en promotion de la santé Mardi 20 janvier
Plus en détailArrêté royal du 27 mars 1998 relatif à la politique du bien-être des travailleurs lors de l exécution de leur travail (M.B. 31.3.
Arrêté royal du 27 mars 1998 relatif à la politique du bien-être des travailleurs lors de l exécution de leur travail (M.B. 31.3.1998) Modifié par: (1) arrêté royal du 3 mai 1999 relatif aux missions et
Plus en détailORDINE DEGLI AVVOCATI D IVREA
ORDINE DEGLI AVVOCATI D IVREA Introduction Les italiens divorcent depuis peu de temps. En effet le divorce a été introduit dans la législation italienne par la loi n 898 du 1er décembre 1970 sur la dissolution
Plus en détailMise en place d une action de prévention Lutte contre le harcèlement entre élèves
Mise en place d une action de prévention Lutte contre le harcèlement entre élèves Objectif général : Dans cette séance de prévention, il s agit de sensibiliser les élèves au harcèlement afin d'éviter la
Plus en détailBOURSE AU PERMIS DE CONDUIRE
Paris, le 5 février 2008 BOURSE AU PERMIS DE CONDUIRE Le dispositif consiste dans la prise en charge par la commune d une partie du coût du permis de conduire en échange d une activité bénévole d intérêt
Plus en détailLutter contre les exclusions
D 2 COHESION SOCIALE ENTRE LES POPULATIONS, LES TERRITOIRES, LES GENERATIONS Si, globalement, la population vélizienne semble peu exposée au risque d exclusion (taux d emploi élevé, revenu médian moyen,
Plus en détailApprenez à votre enfant la Règle «On ne touche pas ici».
1. Apprenez à votre enfant la Règle «On ne touche pas ici». Près d un enfant sur cinq est victime de violence sexuelle, y compris d abus sexuels. Vous pouvez empêcher que cela arrive à votre enfant. Apprenez
Plus en détailL attitude : la nouvelle compétence désormais reconnue dans le sport
Communiqué de presse Rolle, le 13.11.13 L attitude : la nouvelle compétence désormais reconnue dans le sport Education 4 Peace, Fondation Suisse basée à Rolle, en collaboration avec l UEFA, publie le premier
Plus en détailREGLEMENT INTERIEUR SERVICE DE RESTAURATION SCOLAIRE. Pris en application de la délibération du Conseil Municipal du 10 mars 2011
REGLEMENT INTERIEUR SERVICE DE RESTAURATION SCOLAIRE Pris en application de la délibération du Conseil Municipal du 10 mars 2011 Modifié par délibérations des 9 juin et 15 décembre 2011 NOM et Prénom de
Plus en détailDISPOSITIFS Accompagnement
DISPOSITIFS Accompagnement JUILLET 2014 SOCIÉTÉ D'INVESTISSEMENT FRANCE ACTIVE /fr/outils/sifa.php Type d'aide : Accompagnement ; Prêt Financement remboursable /// Nature : prêt participatif ou compte
Plus en détailRèglement Intérieur. Restauration scolaire Centres de loisirs et d accueil périscolaire
Règlement Intérieur Restauration scolaire Centres de loisirs et d accueil périscolaire Service de la Restauration Scolaire Tél : 02 96 71 05 20 Restaurant Scolaire Règlement intérieur Pour la plupart des
Plus en détailAVIS DE LA FÉDÉRATION QUÉBÉCOISE DE L AUTISME DANS LE CADRE DE LA CONSULTATION PUBLIQUE SUR LA LUTTE CONTRE L INTIMIDATION
AVIS DE LA FÉDÉRATION QUÉBÉCOISE DE L AUTISME DANS LE CADRE DE LA CONSULTATION PUBLIQUE SUR LA LUTTE CONTRE L INTIMIDATION NOVEMBRE 2014 La Fédération québécoise de l'autisme (FQA) est un regroupement
Plus en détailRèglement d Ordre Intérieur du service «Accueil Assistance» Remplacement de personnel dans les milieux d accueil
Règlement d Ordre Intérieur du service «Accueil Assistance» Remplacement de personnel dans les milieux d accueil A. Utilité Le Règlement d Ordre Intérieur proposé informe chaque partie des différents aspects
Plus en détailPromouvoir des synergies entre la protection des enfants et la protection sociale en Afrique de l Ouest et du Centre
inégalité Note de Synthèse Protection sociale pour les Enfants Réduction de la pauvreté q protection sociale Février 2009 exclusion sociale Politiques Sociales atteindre les OMD sécurité stratégies politiques
Plus en détailREGLEMENT INTERIEUR du RESTAURANT SCOLAIRE de la COMMUNE de LINXE 05.58.73.89.58
REGLEMENT INTERIEUR du RESTAURANT SCOLAIRE de la COMMUNE de LINXE 05.58.73.89.58 Préambule La Commune de Linxe, organise un service de restauration pour son groupe scolaire. Ce service est ouvert à tous
Plus en détailCOMMISSION HYGIENE ET SECURITE DOSSIER : la gestion des risques d agression dans la fonction d accueil du public
COMMISSION HYGIENE ET SECURITE DOSSIER : la gestion des risques d agression dans la fonction d accueil du public L accueil de public est une fonction stratégique et transversale au sein de la collectivité,
Plus en détailLE SAMU SOCIAL DE BRUXELLES
LE SAMU SOCIAL DE BRUXELLES Le SAMU SOCIAL DE BRUXELLES Un dispositif de lutte contre l exclusion : 24h/24, 365j/an : 1) Une permanence téléphonique le N vert : 080099/340 2) Des équipes mobiles d aide
Plus en détailAUTORISATION PARENTALE RAPPELS JURIDIQUES
FFVoile Ligue Ile de France Formation Arbitres Régionaux Formalités avant course Autorisation Parentale AUTORISATION PARENTALE RAPPELS JURIDIQUES Le mineur est la personne de moins de dix-huit ans révolus
Plus en détail«LUTTER CONTRE LE HARCÈLEMENT À L ÉCOLE ET CONTRE LE CYBER-HARCÈLEMENT»
«LUTTER CONTRE LE HARCÈLEMENT À L ÉCOLE ET CONTRE LE CYBER-HARCÈLEMENT» Ministère de l Éducation Nationale Protection Judiciaire de la Jeunesse Théâtre Liberté Contact : Betty Le Mellay, Responsable de
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE. Améliorer l hébergement des plus défavorisés : Un plan triennal pour réduire le recours aux nuitées hôtelières
DOSSIER DE PRESSE Améliorer l hébergement des plus défavorisés : Un plan triennal pour réduire le recours aux nuitées hôtelières Paris, le mardi 3 février 2015 Contact presse Ministère du Logement, de
Plus en détailAVANT-PROJET DE LOI. Portant diverses dispositions relatives au droit de la famille. Chapitre 1er Dispositions relatives à l autorité parentale
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE NOR : [ ] AVANT-PROJET DE LOI Portant diverses dispositions relatives au droit de la famille Chapitre 1er Dispositions relatives à l autorité parentale L article 372-2 du code civil
Plus en détailMinistère délégué à la Sécurité sociale, aux Personnes âgées, aux Personnes handicapées et à la Famille Dossier de presse
Ministère délégué à la Sécurité sociale, aux Personnes âgées, aux Personnes handicapées et à la Famille Dossier de presse Les logiciels de contrôle parental mercredi 26 avril 2006 Ministère délégué à la
Plus en détailCinzia Grassi, Loredana Ceccacci, Anna Elisa D Agostino Observatoire pour le contraste de la pédophilie et de la pornographie enfantine
14. La collecte de données sur la violence envers les enfants Cinzia Grassi, Loredana Ceccacci, Anna Elisa D Agostino Observatoire pour le contraste de la pédophilie et de la pornographie enfantine Introduction
Plus en détailAides pour restaurer les parties communes des immeubles en copropriété. Aides pour restaurer un logement locatif
DISPOSITIONS PRATIQUES OPAH COPROPRIETE RENNES Dans le cadre de l Opération programmée d amélioration de l habitat engagée par la Ville de Rennes sur le centre depuis mars 2007, pour une durée de cinq
Plus en détailRèglement de Fonctionnement
Règlement de Fonctionnement Service Mandataire Judiciaire à la Protection des Majeurs Le règlement de fonctionnement est établi conformément aux dispositions du décret N 2008-1504 du 30 décembre 2008.
Plus en détail