Lycée Clemenceau. PCSI 1 - Physique. PCSI 1 (O.Granier) Lycée. Clemenceau. Etude descriptive du corps pur diphasé en équilibre.
|
|
- Arnaud Champagne
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Lycée Cleenceau PCSI 1 (O.Granier) Etude descriptive du corps pur diphasé en équilibre
2 I Définitions générales sur les changeents d états 1 Vocabulaire : Subliation Fusion Solide liquide gaz Solidification Vaporisation Liquéfaction Condensation L état condensé : l état solide et l état liquide. L état fluide : l état liquide et l état gazeux.
3 2 Conditions d équilibre : On sybolise l équilibre entre deux phases par : Φ 1 Φ 2 C est un équilibre réversible, qui s effectue à P et T constantes. Exeples : pour l eau, sous 1 bar pour l eau, sous 0,55 bar T T fusion = 0 C vaporisation = 100 C (soet du Mont-Blanc) T T fusion 0 C vaporisation 85 C
4 3 Courbe d équilibre : La courbe d équilibre indique les tepératures et les pressions pour lesquelles les changeents d états se produisent. La courbe suivante donne la courbe d équilibre de l eau (courbe de fusion de pente négative). Pour tous les autres corps, la courbe de fusion a une pente positive. Coent tracer cette courbe?
5 Pression P Lycée Cleenceau PCSI Courbe 1 - Physique de fusion Construction de la courbe d équilibre 0 C 100 C Doaine du liquide C 1 bar Doaine du solide A B D E F T Courbe de subliation Courbe de vaporisation Doaine de la vapeur Tepérature θ
6 LycéePression Cleenceau P PCSI Courbe 1 - Physique de fusion (très raide) Courbe d équilibre (de l eau) Point critique pour l eau : P c = 218 bar et T c =647 K Doaine du liquide C Point critique Doaine du solide Courbe de vaporisation T Point triple Courbe de subliation Doaine de la vapeur Tepérature θ
7 LycéePression Cleenceau P PCSI Courbe 1 - Physique de fusion Contourneent du Point critique D E Doaine du solide Doaine du liquide A C Point critique A B Courbe de vaporisation T Point triple Courbe de subliation Doaine de la vapeur Tepérature θ
8 Lycée Pression Cleenceau P PCSI Courbe 1 - Physique de fusion Application : la lyophilisation Doaine du liquide C Point critique Doaine du solide Jus d orange Courbe de vaporisation T Point triple Courbe de subliation Doaine de la vapeur Tepérature θ
9 Point triple : les trois phases coexistent en équilibre. Le point triple est le point d intersection des trois courbes de vaporisation, de fusion et de subliation.
10 Deux expériences : Le bouillant de Franklin Retard à la surfusion Une vidéo Une vidéo de surfusion de l eau
11
12
13
14 II Étude énergétique 1 Enthalpie de changeents d états : On considère le changeent de phase réversible, qui s effectue à P et T déterinées (avec P = P(T), donnée par la courbe d équilibre) : Φ 1 Φ 2 On appelle enthalpie assique de changeent d états la quantité : l 1 2, = h2, h1, = h A pression constante (c est le cas ici), l 1 2, s interprète coe étant la chaleur nécessaire à fournir lors du changeent d états : q = l 1 2, = h 2, h 1, = h
15 Exeples : l l vaporisation, fusion, = 539 cal. g = 80 cal. g 1 1 = = 334 J. g 1 J. g 1 ( eau, ( eau, 100 C, 1 bar) 0 C, 1bar) Rearques : l l liquéfaction, solidification, = l = l vaporisation, fusion, < 0 < 0 ( liquéfaction exotherique) ( solidification exotherique) Si désigne la asse initiale de la phase (1), alors Applications : exercice n 1 H = l1 2, = Q ( à P cste)
16 2 Variations des fonctions d états : Φ 1 ( P, T ) asse Φ 2 l 1 2, H = = Q S = Q T = l 1 2, T U = ( H PV ) = H P V U = l 1 2, P( v2, v1, ) Applications : exercice n 1
17 3 Expérience ; le cryophore de Wollaston : (A) (B) Ouate Mélange eau-glace à 0 C exercice n 7
18 III Étude de l équilibre liquide - vapeur 1 Vaporisation dans le vide ; pression de vapeur saturante : Présentation de «l appareil» à SF 6 Aspect du tube de copression
19 Si on introduit un liquide pur dans un récipient vide et feré (en quantité suffisante), ce liquide se vaporise partielleent. Cette vaporisation s arrête lorsque la pression au dessus du liquide (pression de la phase gazeuse) atteint une certaine valeur, appelée «pression de vapeur saturante», donnée par la courbe de vaporisation. Cette pression P s (T) ne dépend que de la tepérature. Exeple (pour l eau) : P s ( T ) : 0,92 c Hg 1,75 c Hg 9,25 c Hg 1 bar (10 C) (20 C) (50 C) (100 C)
20 Application (asse critique) Therostat à T Masse de liquide Récipient rigide de volue V, initialeent vide < c > c Vapeur sèche Pvap < P s (T ) P vap = P s (T ) Vapeur saturante Hyp : vapeur GP v P vap V = RT Ps ( T ) V = RT M M Liquide ( v )
21 Déterination de la «asse critique» : C est la asse de liquide qui peret d obtenir de la vapeur sèche «tout juste saturante», c est-à-dire à une pression égale à P s (T) ais avec une quantité de liquide négligeable. Par conséquent : P c Ps ( T ) V ( T ) V RT c = M M RT s = Expériences La canette écrasée La boîte de fuel écrasée Une vidéo prise en TP Une autre vidéo prise en TP
22 2 Vaporisation en atosphère gazeuse liitée : Therostat à T Masse de liquide Récipient rigide de volue V, contenant de l air à la pression P air < c > c Vapeur sèche + air P vap < P P = P vap + P air s (T ) P vap = P (T ) v P vap V = RT Pv ( T ) V = RT M M s P = P ( T ) + s P air Vapeur saturante + air Liquide ( v )
23 Applications : exercices n 2 et 3 3 Évaporation et Ébullition : Évaporation : si le récipient précédent est ouvert, la pression de vapeur saturante ne peut être atteinte (quelle que soit la quantité de liquide) : tout le liquide s évapore. Ébullition : un liquide se et à bouillir lorsque la pression de vapeur saturante à la tepérature T considérée est égale à la pression P que supporte le liquide. La pression de vapeur est suffisante pour que des bulles de vapeur se forent au sein êe du liquide. Pour l eau : Téb (1 bar) = 100 C ; Téb (0,5 bar) = 85 C ; Téb (1,4 bar) = 110 C
24 4 Courbe de saturation, isotheres d Andrews : Therostat (T = cste) Vapeur sèche Vapeur sèche 1 goutte de liquide Vapeur huide avec du liquide Liquide 1 bulle vapeur Liquide Copression isothere de la vapeur Point de rosée Palier de liquéfaction Point d ébullition Copression du liquide
25 Dispositif expériental : appareil à SF 6 Aspect du tube de copression
26 On trace un réseau d'isotheres d'andrews, constitué de courbes donnant, pour une tepérature donnée, l'évolution de la pression du gaz enferé dans l'éprouvette en fonction du volue qu'il occupe. Preière anipulation (à tepérature abiante, 19 C) :on coprier lenteent le gaz à partir d'une pression de l'ordre de 10 bars en notant à chaque fois le volue occupé par le fluide. On observe le changeent d'état gaz-liquide puis l'élévation rapide de la pression du liquide (ne pas dépasser 45 bars!). On dresse un tableau de valeurs P (bar) - V (c3) et on trace la 1ère isothere avec Regressi. Manipulations suivantes : on et la circulation d'eau en fonctionneent et on augente la tepérature (25 C, 35 C, 41 C et 48 C). Pour chaque tepérature, on refait les esures de (P,V) et on coplète les isotheres d'andrews. Bien s'assurer que l'équilibre therique est atteint avant de coencer une série de esures.
27 Isotheres d Andrews (SF 6 )
28 Sur les courbes expérientales fournies : *** Relier les points sur les différentes isotheres (palier de vaporisation ou de liquéfaction, point d ébullition A, point de rosée B). *** Tracer les courbes de rosée et d'ébullition, puis la courbe de saturation. *** Que se passe-t-il au-delà d une certaine tepérature (de l ordre de 45,5 C? *** Déteriner les coordonnées (P C,T C,V C ) du point critique C (soet de la courbe de saturation). Le point critique est un point d inflexion de l isothere à la tepérature critique T c : P V T = T ( C) = 0 ; 2 P 2 V T = C T C ( C) = 0
29 Isotheres d Andrews et courbe de saturation
30 Contourneent du point critique E Fluide La courbe de saturation et l'isothere critique déliitent, dans le diagrae de Clapeyron, quatre zones différentes : l'état liquide, l'état gaz, l'état diphasé liquide-gaz et un état fluide où l'on ne peut plus affirer que le SF 6 est sous l'état liquide ou gazeux. L'expérience suivante (contourneent du point critique) ontre ce résultat : F G A B D C - Trajet (ABC) : détente le long de l'isothere 42 C, à partir d'un point (A) à l'intérieur de la courbe de saturation (état diphasé) vers un point (C) extérieur. Au point (B), le énisque disparaît vers le bas de l'éprouvette, indiquant la disparition de la phase liquide.
31 E Fluide F A G B D C Trajet (CD) : élévation de tepérature à volue constant (2,3 c3) au-delà du point critique (jusqu'à 48 C). - Trajet (DE) : copression isothere à 48 C jusqu'à une pression de 45 bars. - Trajet (EF) : diinution de tepérature à volue constant (0,7 c3), en dessous du point critique (jusqu'à 42 C). - Trajet (FGA) : retour au point initial le long de l'isothere 42 C. Au point (G), le énisque réapparaît vers le haut, indiquant la présence de la phase liquide dans le tube. Pendant le parcours (BCDEFG), le fluide aura été successiveent à l'état de gaz, à l'état hypercritique (état fluide) et à l'état liquide sans que l'on puisse à aucun oent observer une transition entre ces états.
32 Copléent : développeent du viriel On se liite aux tepératures inférieures à celle du point critique afin de définir, sans abiguïté, l'état gazeux du SF 6. Plusieurs types de diagraes sont utilisés pour ettre en évidence l'écart à un gaz parfait : - Diagrae d'aagat : on représente le produit PV en fonction de P. - Diagrae où l'on représente le produit PV en fonction de 1/V. L'équation d'état du gaz SF 6 peut alors s'écrire (développeents du Viriel) : *** Au preier ordre en P : PV = nrt(1+bp) *** Au preier ordre en 1/V : PV = nrt(1+b'/v) Dans la suite, on se placera à des pressions "pas trop élevées", pour pouvoir se liiter à un développeent du viriel au 1 er ordre. *** Tracer, pour les différentes tepératures obtenues plus haut, la courbe PV=f(P). Déteriner l'ordonnée à l'origine (nrt) et la pente (nrtb). En déduire l'évolution de B en fonction de T. (sous fore d'un tableau de valeurs) *** Tracer, pour les différentes tepératures obtenues plus haut, la courbe PV=g(1/V). Déteriner l'ordonnée à l'origine (nrt) et la pente (nrtb'). En déduire l'évolution de B' en fonction de T. (sous fore d'un tableau de valeurs)
33 PV en fonction de 1/V 6,00E+00 5,50E+00 5,00E+00 PV 4,50E+00 4,00E+00 3,50E+00 T=20 C T=35 C T=40 C T=53 C Linéaire (T=20 C) Linéaire (T=35 C) Linéaire (T=40 C) Linéaire (T=53 C) 3,00E+00-1,00E+05 0,00E+00 1,00E+05 2,00E+05 3,00E+05 4,00E+05 5,00E+05 6,00E+05 1/V
34 PV en fonction de P 6,00E+00 5,50E+00 5,00E+00 PV 4,50E+00 T=20 C T=35 C 4,00E+00 3,50E+00 T=40 C T=53 C Linéaire (T=20 C) Linéaire (T=35 C) Linéaire (T=40 C) Linéaire (T=53 C) 3,00E+00-5,00E+05 0,00E+00 5,00E+05 1,00E+06 1,50E+06 2,00E+06 2,50E+06 P
35 Evolution des paraètres A et B en fonction de la tepérature 0,00E ,00E ,00E-08-2,00E-08-1,00E-07-1,50E-07 A (3) -4,00E-08 A (3) -2,00E-07-2,50E-07 B (Pa-1) -6,00E-08 B (Pa-1) -3,00E-07-8,00E-08-3,50E-07-4,00E-07-1,00E-07-4,50E-07 T (K) -1,20E-07
36 5 Fonctions d états du systèe diphasé : Titres assiques (ou olaires) : On note l et v les asses de liquide et de vapeur sur le palier de changeent d état (systèe diphasé). + = l v Soit la asse totale du systèe diphasé : x l l = ; sont respectiveent les titres assiques en liquide et en vapeur du systèe diphasé. x v = v
37 On a évideent : x l + x v = 1 «Théorèe» des oents : v, v, Soient l et v les volues assiques du liquide et de la vapeur et v le volue assique total occupé par le systèe diphasé : v v = x l v v l, + l, x v v = ( 1 x ) v + x v, v v v, On en déduit : x v v l, v = = vv, vl, LE LV
38 Fonctions d états du systèe diphasé : Avec des notations évidentes : v = ( 1 xv ) vl, + xvvv, h = ( 1 xv ) hl, + xvhv, u = ( 1 xv ) ul, + xvuv, s = ( 1 xv ) sl, + xvsv, Pour un systèe de asse : V = v ; U = u ; H = h ; S = s
39 Quelques relations entre ces grandeurs : h = u + Pv s l, s v, = h l, T h v,
40
41
42
THERMODYNAMIQUE: LIQUEFACTION D UN GAZ
THERMODYNAMIQUE: LIQUEFACTION D UN GAZ B. AMANA et J.-L. LEMAIRE 2 LIQUEFACTION D'UN GAZ Cette expérience permet d'étudier la compressibilité et la liquéfaction d'un fluide en fonction des variables P,
Plus en détailMASSE, VOLUME ET QUANTITE DE MATIERE
MASSE, OLUME ET QUANTITE DE MATIERE Exercices du Livre Microega Hatier (004 Correction L acide sulfurique 1. Calculons la asse olaire de l acide sulfurique : M(H SO 4 xm(h + M(S + 4xM(O M(H SO 4 x1,00
Plus en détailMécanique : Cinématique du point. Chapitre 1 : Position. Vitesse. Accélération
2 e B et C 1 Position. Vitesse. Accélération 1 Mécanique : Cinéatique du point La écanique est le doaine de tout ce qui produit ou transet un ouveent, une force, une déforation : achines, oteurs, véhicules,
Plus en détailExemples d utilisation de G2D à l oral de Centrale
Exemples d utilisation de G2D à l oral de Centrale 1 Table des matières Page 1 : Binaire liquide-vapeur isotherme et isobare Page 2 : Page 3 : Page 4 : Page 5 : Page 6 : intéressant facile facile sauf
Plus en détailOBJECTIFS. I. A quoi sert un oscilloscope?
OBJECTIFS Oscilloscope et générateur basse fréquence (G.B.F.) Siuler le fonctionneent et les réglages d'un oscilloscope Utiliser l oscilloscope pour esurer des tensions continues et alternatives Utiliser
Plus en détailEXERCICE II : LE TELEPHONE "POT DE YAOURT" (5 points)
USA 2005 EXERCICE II : LE TELEPHONE "POT DE YAOURT" (5 points) A l'ère du téléphone portable, il est encore possible de couniquer avec un systèe bien plus archaïque L'onde sonore produite par le preier
Plus en détail2.1 Comment fonctionne un site?
Coent fonctionne un site? Dans ce chapitre, nous allons étudier la liste des logiciels nécessaires à la création d un site ainsi que les principes de base indispensables à son bon fonctionneent. 2.1 Coent
Plus en détailPremier principe : bilans d énergie
MPSI - Thermodynamique - Premier principe : bilans d énergie page 1/5 Premier principe : bilans d énergie Table des matières 1 De la mécanique à la thermodynamique : formes d énergie et échanges d énergie
Plus en détailEtudier le diagramme température-pression, en particulier le point triple de l azote.
K4. Point triple de l azote I. BUT DE LA MANIPULATION Etudier le diagramme température-pression, en particulier le point triple de l azote. II. BASES THEORIQUES Etats de la matière La matière est constituée
Plus en détailVoyez la réponse à cette question dans ce chapitre. www.alternativesjournal.ca/people-and-profiles/web-exclusive-ela-alumni-make-splash
Une personne de 60 kg est à gauche d un canoë de 5 de long et ayant une asse de 90 kg. Il se déplace ensuite pour aller à droite du canoë. Dans les deux cas, il est à 60 c de l extréité du canoë. De cobien
Plus en détailLes bases de données. Historique
1 Les bases de données Aujourd hui indispensables dans tous les systèes de gestion de l inforation, les bases de données sont une évolution logique de l augentation de la deande de stockage de données.
Plus en détailMesures calorimétriques
TP N 11 Mesures calorimétriques - page 51 - - T.P. N 11 - Ce document rassemble plusieurs mesures qui vont faire l'objet de quatre séances de travaux pratiques. La quasi totalité de ces manipulations utilisent
Plus en détailArrondissage des résultats de mesure. Nombre de chiffres significatifs
BUREAU NATIONAL DE MÉTROLOGIE COMMISSARIAT À L'ÉNERGIE ATOMIQUE LABORATOIRE NATIONAL HENRI BECQUEREL Note technique LNHB/04-13 Arrondissage des résultats de esure Nobre de chiffres significatifs M.M. Bé,
Plus en détailProduction d eau chaude sanitaire thermodynamique, que dois-je savoir?
COURS-RESSOURCES Production d eau chaude sanitaire thermodynamique, que Objectifs : / 1 A. Les besoins en eau chaude sanitaire La production d'eau chaude est consommatrice en énergie. Dans les pays occidentaux,
Plus en détailMesure du volume d'un gaz, à pression atmosphérique, en fonction de la température. Détermination expérimentale du zéro absolu.
Mesure du volume d'un gaz, à pression atmosphérique, en fonction de la température. Détermination expérimentale du zéro absolu. Auteur : Dr. Wulfran FORTIN Professeur Agrégé de Sciences Physiques TZR -
Plus en détailÉquations générales des milieux continus
Équations générales des ilieux continus Jean Garrigues 1 ai 212 ii Avant-propos L objectif de ce cours est d établir les équations générales régissant tous les ilieux continus, qu ils soient solides ou
Plus en détailEPFL 2010. TP n 3 Essai oedomètrique. Moncef Radi Sehaqui Hamza - Nguyen Ha-Phong - Ilias Nafaï Weil Florian
1 EPFL 2010 Moncef Radi Sehaqui Hamza - Nguyen Ha-Phong - Ilia Nafaï Weil Florian 11 Table de matière Ø Introduction 3 Ø Objectif 3 Ø Déroulement de l eai 4 Ø Exécution de deux palier de charge 6 Ø Calcul
Plus en détailMESURE DE LA TEMPERATURE
145 T2 MESURE DE LA TEMPERATURE I. INTRODUCTION Dans la majorité des phénomènes physiques, la température joue un rôle prépondérant. Pour la mesurer, les moyens les plus couramment utilisés sont : les
Plus en détailÉJECTEURS. CanmetÉNERGIE Juillet 2009
ÉJECTEURS CanmetÉNERGIE Juillet 2009 ÉJECTEURS 1 ÉJECTEURS INTRODUCTION Les éjecteurs sont activés par la chaleur perdue ou la chaleur provenant de sources renouvelables. Ils sont actionnés directement
Plus en détailLA MESURE DE PRESSION PRINCIPE DE BASE
Page 1 / 6 LA MESURE DE PRESSION PRINCIPE DE BASE 1) Qu est-ce qu un sensor de pression? Tout type de sensor est composé de 2 éléments distincts : Un corps d épreuve soumit au Paramètre Physique φ à mesurer
Plus en détailU-31 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES
Session 200 BREVET de TECHNICIEN SUPÉRIEUR CONTRÔLE INDUSTRIEL et RÉGULATION AUTOMATIQUE E-3 SCIENCES PHYSIQUES U-3 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES Durée : 2 heures Coefficient : 2,5 Durée conseillée Chimie
Plus en détailChapitre 5: Oscillations d un pendule élastique horizontal
1 re B et C 5 Oscillations d'un pendule élastique horizontal 40 Chapitre 5: Oscillations d un pendule élastique horizontal 1. Définitions a) Oscillateur écanique * Un systèe écanique qui effectue un ouveent
Plus en détailIFUCOME Sciences et Technologie en Cycle 3 6 0
IFUCOME Sciences et Technologie en Cycle 3 6 0 La fusion gourmande... ou comment fondre de plaisir! Quitterions-nous le domaine des sciences pour une nouvelle rubrique culinaire? Ce serait, pour le moins,
Plus en détailUtiliser Internet Explorer
5 Utiliser Internet Explorer 5 Utiliser Internet Explorer Internet Explorer est le plus utilisé et le plus répandu des navigateurs web. En effet, Internet Explorer, couraent appelé IE, est le navigateur
Plus en détailF411 - Courbes Paramétrées, Polaires
1/43 Courbes Paramétrées Courbes polaires Longueur d un arc, Courbure F411 - Courbes Paramétrées, Polaires Michel Fournié michel.fournie@iut-tlse3.fr http://www.math.univ-toulouse.fr/ fournie/ Année 2012/2013
Plus en détailChapitre 4 Le deuxième principe de la thermodynamique
Chapitre 4 Le deuxième principe de la thermodynamique 43 4.1. Evolutions réversibles et irréversibles 4.1.1. Exemples 4.1.1.1. Exemple 1 Reprenons l exemple 1 du chapitre précédent. Une masse est placée
Plus en détailSUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION)
Terminale S CHIMIE TP n 2b (correction) 1 SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION) Objectifs : Déterminer l évolution de la vitesse de réaction par une méthode physique. Relier l absorbance
Plus en détailExercice 1. Exercice n 1 : Déséquilibre mécanique
Exercice 1 1. a) Un mobile peut-il avoir une accélération non nulle à un instant où sa vitesse est nulle? donner un exemple illustrant la réponse. b) Un mobile peut-il avoir une accélération de direction
Plus en détailÀ propos d ITER. 1- Principe de la fusion thermonucléaire
À propos d ITER Le projet ITER est un projet international destiné à montrer la faisabilité scientifique et technique de la fusion thermonucléaire contrôlée. Le 8 juin 005, les pays engagés dans le projet
Plus en détailLYCEE TECHNIQUE PIERRE EMILE MARTIN - 18 026 BOURGES ETUDE D UN TRAITEMENT DE SURFACE
TP. TET LYCEE TECHNIQUE PIERRE EMILE MARTIN - 18 026 BOURGES GENIE ELECTROTECHNIQUE Durée : 3 heures Tp relais statique 10-11 RELAIS STATIQUE S.T.I. Pré-requis : Laboratoire des systèmes Cours sur les
Plus en détailLes droites (d 1 ) et (d 2 ) sont sécantes en A Le point A est le point d intersection des 2 droites
I Droites perpendiculaires Lorsque deux droites se coupent, on dit qu elles sont sécantes Les droites (d 1 ) et (d 2 ) sont sécantes en A Le point A est le point d intersection des 2 droites Lorsque deux
Plus en détailPropriétés thermodynamiques du mélange. Eau-Ammoniac-Hélium
International Renewable Energy Congress November 5-7, 2010 Sousse, Tunisia Propriétés thermodynamiques du mélange Eau-Ammoniac-Hélium Chatti Monia 1, Bellagi Ahmed 2 1,2 U.R. Thermique et Thermodynamique
Plus en détailL étalonnage par traceur Compton, une nouvelle méthode de mesure primaire d activité en scintillation liquide
PH. CASSEE L étalonnage par traceur Copton, une nouvelle éthode de esure priaire d activité en scintillation liquide he Copton source efficiency tracing ethod, a new standardization ethod in liquid scintillation
Plus en détailINTRODUCTION AU DATA MINING
INTRODUCTION AU DATA MINING 6 séances de 3 heures mai-juin 2006 EPF - 4 ème année - Option Ingénierie d Affaires et de Projets Bertrand LIAUDET TP DE DATA MINING Le TP et le projet consisteront à mettre
Plus en détailPerrothon Sandrine UV Visible. Spectrophotométrie d'absorption moléculaire Étude et dosage de la vitamine B 6
Spectrophotométrie d'absorption moléculaire Étude et dosage de la vitamine B 6 1 1.But et théorie: Le but de cette expérience est de comprendre l'intérêt de la spectrophotométrie d'absorption moléculaire
Plus en détailChapitre 1 Régime transitoire dans les systèmes physiques
Chapitre 1 Régime transitoire dans les systèmes physiques Savoir-faire théoriques (T) : Écrire l équation différentielle associée à un système physique ; Faire apparaître la constante de temps ; Tracer
Plus en détailPHANTOM 3. Guide de démarrage rapide PROFESSIONAL V1.0
PHANTOM 3 PROFESSIONAL Guide de déarrage rapide V.0 Phanto 3 Professional Découvrez votre Phanto 3 Professional. La caéra du Phanto 3 Professional vous peret d'enregistrer des vidéos en 4K et de prendre
Plus en détaile-commerce+ Passez au e-commerce pour simplifier vos process de vente! RENCONTREZ-NOUS Salon E-commerce 23-25 septembre - Paris
e-coerce+ agazine d inforation d Octave N 11 Juin 2014 TO Passez au e-coerce pour siplifier vos process de vente! RENCONTREZ-NOUS Salon E-coerce 23-25 septebre - Paris Salon #vad.conext 21-23 octobre -
Plus en détailTP 3 diffusion à travers une membrane
TP 3 diffusion à travers une membrane CONSIGNES DE SÉCURITÉ Ce TP nécessite la manipulation de liquides pouvant tacher les vêtements. Le port de la blouse est fortement conseillé. Les essuie tout en papier
Plus en détailÉQUILIBRES LIQUIDE-VAPEUR DANGERS LIÉS AU COMPORTEMENT DES FLUIDES
Ingénieurs en Sécurité Industrielle Connaissance et Maîtrise des Phénomènes Physiques et Chimiques ÉQUILIBRES LIQUIDE-VAPEUR DANGERS LIÉS AU COMPORTEMENT DES FLUIDES I - PRESSION RÉGNANT DANS UNE CAPACITÉ...
Plus en détail«Des places de jeux pour tous» Formulaire de demande
«Des places de jeux pour tous» Forulaire de deande Ce questionnaire infore quant à la place de jeu en projet et ne constitue pas une grille d évaluation. Les renseigneents doivent donner une ipression
Plus en détailDOSSIER SUR LE SECTEUR DES NOMS DE DOMAINE VOLUME 11 - NUMÉRO 4 - JANVIER 2015
DOSSIER SUR LE SECTEUR DES NOMS DE DOMAINE VOLUME 11 - NUMÉRO - JANVIER 2015 RAPPORT DE VERISIGN SUR LES NOMS DE DOMAINE LEADER MONDIAL DU SECTEUR DES NOMS DE DOMAINE ET DE LA SÉCURITÉ D'INTERNET, VERISIGN
Plus en détailEstimations d erreur a priori de la méthode de Lagrange Galerkin pour les équations de type Kazhikhov Smagulov
Estiations d erreur a priori de la étode de Lagrange Galerkin pour les équations de type Kazikov Sagulov Jocelyn Étienne b,a Pierre Saraito a a LMC-IMAG, BP 53, 3841 Grenoble cedex b Adresse actuelle:
Plus en détailLOT 10 PLOMBERIE SANITAIRES
10-1 LOT 10 PLOMBERIE SANITAIRES SOMMAIRE 00 GENERALITES 2 00.01 CONSISTANCE DES OVRAGES 2 00.02 DISPOSITIONS ADMINISTRATIVES 2 00.03 DISPOSITIONS TECHNIQES GENERALES 4 01 DESCRIPTIF TECHNIQE 16 01.01
Plus en détailChapitre 4: Dérivée d'une fonction et règles de calcul
DERIVEES ET REGLES DE CALCULS 69 Chapitre 4: Dérivée d'une fonction et règles de calcul Prérequis: Généralités sur les fonctions, Introduction dérivée Requis pour: Croissance, Optimisation, Études de fct.
Plus en détailDÉVERSEMENT ÉLASTIQUE D UNE POUTRE À SECTION BI-SYMÉTRIQUE SOUMISE À DES MOMENTS D EXTRÉMITÉ ET UNE CHARGE RÉPARTIE OU CONCENTRÉE
Revue Construction étallique Référence DÉVERSEENT ÉLASTIQUE D UNE POUTRE À SECTION BI-SYÉTRIQUE SOUISE À DES OENTS D EXTRÉITÉ ET UNE CHARGE RÉPARTIE OU CONCENTRÉE par Y. GALÉA 1 1. INTRODUCTION Que ce
Plus en détailPhysique : Thermodynamique
Correction du Devoir urveillé n o 8 Physique : hermodynamique I Cycle moteur [Véto 200] Cf Cours : C P m C V m R relation de Mayer, pour un GP. C P m γr γ 29, 0 J.K.mol et C V m R γ 20, 78 J.K.mol. 2 Une
Plus en détailSARM: Simulation of Absorption Refrigeration Machine
Revue des Energies Renouvelables Vol. 11 N 4 (2008) 587 594 SARM: Simulation of Absorption Refrigeration Machine S. Kherris 1*, M. Makhlouf 1 et A. Asnoun 2 1 Laboratoire des Matériaux et des Systèmes
Plus en détailCompte-rendu technique complet et détaillé des cookies
Copte-rendu technique coplet et détaillé des cookies Site Web audité : Date de l audit : 01 Aug 2015 http://www.sd-france.co/ Ce docuent est fourni pour accopagner la gestion du consenteent de MSD France
Plus en détailMesures du coefficient adiabatique γ de l air
Mesures du oeffiient adiabatique γ de l air Introdution : γ est le rapport des apaités alorifiques massiques d un gaz : γ = p v Le gaz étudié est l air. La mesure de la haleur massique à pression onstante
Plus en détailPROPRIETES ELASTIQUES DU PLI UNIDIRECTIONNEL APPROCHE MICROMECANIQUE
Cours Matériau Coposites Fiche 2 PROPRITS LASTIQUS DU PLI UNIDIRCTIONNL APPROCH MICROMCANIQU A. Chateauinois RSUM : Cette iche présente des approches sipliiées perettant d'éaluer le odule longitudinal
Plus en détailFctsAffines.nb 1. Mathématiques, 1-ère année Edition 2007-2008. Fonctions affines
FctsAffines.nb 1 Mathématiques, 1-ère année Edition 2007-2008 Fonctions affines Supports de cours de mathématiques de degré secondaire II, lien hpertete vers la page mère http://www.deleze.name/marcel/sec2/inde.html
Plus en détail1 Mise en application
Université Paris 7 - Denis Diderot 2013-2014 TD : Corrigé TD1 - partie 2 1 Mise en application Exercice 1 corrigé Exercice 2 corrigé - Vibration d une goutte La fréquence de vibration d une goutte d eau
Plus en détailCOURS DE THERMODYNAMIQUE
I.U.T. de Saint-Omer Dunkerque Département Génie Thermique et énergie COURS DE THERMODYNAMIQUE eme Semestre Olivier PERROT 010-011 1 Avertissement : Ce cours de thermodynamique présente quelques applications
Plus en détailRÉPUBLIQUE ET CANTON DE GENÈVE Echelle des traitements 2015 Valable dès le 01.01.2015 Office du personnel de l'etat Indexation de 0.
04 00 52 378.00 4 029.10 0.00 25.20 23.25 1.95 207.50 44.35 1.70 36.30 3 739.25 01 52 960.00 4 073.85 582.00 25.50 23.55 1.95 209.85 44.85 1.70 36.70 3 780.75 02 53 542.00 4 118.65 582.00 25.75 23.80 1.95
Plus en détailOM 1 Outils mathématiques : fonction de plusieurs variables
Outils mathématiques : fonction de plusieurs variables PCSI 2013 2014 Certaines partie de ce chapitre ne seront utiles qu à partir de l année prochaine, mais une grande partie nous servira dès cette année.
Plus en détailDÉRIVÉES. I Nombre dérivé - Tangente. Exercice 01 (voir réponses et correction) ( voir animation )
DÉRIVÉES I Nombre dérivé - Tangente Eercice 0 ( voir animation ) On considère la fonction f définie par f() = - 2 + 6 pour [-4 ; 4]. ) Tracer la représentation graphique (C) de f dans un repère d'unité
Plus en détailAutomatique Linéaire 1 Travaux Dirigés 1A ISMIN
Automatique Linéaire 1 Travaux Dirigés Travaux dirigés, Automatique linéaire 1 J.M. Dutertre 2014 TD 1 Introduction, modélisation, outils. Exercice 1.1 : Calcul de la réponse d un 2 nd ordre à une rampe
Plus en détailLE CHAUFFAGE. Peu d entretien. Entretien. fréquent. Peu d entretien. Pas d entretien. Pas d entretien. Entretien. fréquent. Peu d entretien.
LE CHAUFFAGE 1. LE CHAUFFAGE ELECTRIQUE Le chauffage électrique direct ne devrait être utilisé que dans les locaux dont l isolation thermique est particulièrement efficace. En effet il faut savoir que
Plus en détailLe théorème de Thalès et sa réciproque
Le théorème de Thalès et sa réciproque I) Agrandissement et Réduction d une figure 1) Définition : Lorsque toutes les longueurs d une figure F sont multipliées par un même nombre k on obtient une autre
Plus en détailI- Définitions des signaux.
101011011100 010110101010 101110101101 100101010101 Du compact-disc, au DVD, en passant par l appareil photo numérique, le scanner, et télévision numérique, le numérique a fait une entrée progressive mais
Plus en détailL offre DualSun pour l eau chaude et le chauffage (SSC)
L offre DualSun pour l eau chaude et le chauffage (SSC) SSC signifie : Système Solaire Combiné. Une installation SSC, est une installation solaire qui est raccordée au circuit de chauffage de la maison,
Plus en détailNotions d asservissements et de Régulations
I. Introduction I. Notions d asservissements et de Régulations Le professeur de Génie Electrique doit faire passer des notions de régulation à travers ses enseignements. Les notions principales qu'il a
Plus en détailPremier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie
Chapitre 5 Premier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie 5.1 Bilan d énergie 5.1.1 Énergie totale d un système fermé L énergie totale E T d un système thermodynamique fermé de masse
Plus en détailL E BILAN DES ACTIVITÉS
L E BILAN DES ACTIVITÉS Activité 1 Des volcans en éruption Mots-clés Il existe deux types d éruptions volcaniques : les éruptions explosives, caractérisées par des explosions plus ou moins importantes,
Plus en détailO, i, ) ln x. (ln x)2
EXERCICE 5 points Commun à tous les candidats Le plan complee est muni d un repère orthonormal O, i, j Étude d une fonction f On considère la fonction f définie sur l intervalle ]0; + [ par : f = ln On
Plus en détailObserver TP Ondes CELERITE DES ONDES SONORES
OBJECTIFS CELERITE DES ONDES SONORES Mesurer la célérité des ondes sonores dans l'air, à température ambiante. Utilisation d un oscilloscope en mode numérique Exploitation de l acquisition par régressif.
Plus en détailLa mémoire C HAPITRE S EPT. 7.1 Qu est-ce que la mémoire? 166. 7.2 L utilisation de la mémoire à court terme 169
La éoire C HAPITRE S EPT 7.1 Qu est-ce que la éoire? 166 Les types de éoires 166 Vue d enseble des processus éoriels 168 7.2 L utilisation de la éoire à court tere 169 La éoire iconique 169 La éoire à
Plus en détailOptimisation des systèmes énergétiques Master 1 : GSI Génie Energétique et Thermique
Optimisation des systèmes énergétiques Master 1 : GSI Génie Energétique et Thermique Année 2009-2010 2008-09 Stéphane LE PERSON Maître de Conférences Université Joseph Fourier Jean-Paul THIBAULT LEGI UMR
Plus en détailTolérance aux fautes-2 Serveurs à haute disponibilité
École Doctorale de Grenoble Master 2 Recherche Systèes et Logiciel Disponibilité des s Tolérance aux fautes-2 Serveurs à haute disponibilité Sacha Krakowiak Université Joseph Fourier Projet Sardes (INRIA
Plus en détailTHESE. Applications des algorithmes d'auto-organisation à la classification et à la prévision
UNIVERSITE PARIS I PANTHEON SORBONNE U.F.R. DE MATHEMATIQUES et INFORMATIQUE Année 999 THESE Pour obtenir le rade de DOCTEUR DE L'UNIVERSITE PARIS I Discipline : Mathéatiques Présentée et soutenue publiqueent
Plus en détailBien lire l énoncé 2 fois avant de continuer - Méthodes et/ou Explications Réponses. Antécédents d un nombre par une fonction
Antécédents d un nombre par une fonction 1) Par lecture graphique Méthode / Explications : Pour déterminer le ou les antécédents d un nombre a donné, on trace la droite (d) d équation. On lit les abscisses
Plus en détailA chaque couleur dans l'air correspond une longueur d'onde.
CC4 LA SPECTROPHOTOMÉTRIE I) POURQUOI UNE SUBSTANCE EST -ELLE COLORÉE? 1 ) La lumière blanche 2 ) Solutions colorées II)LE SPECTROPHOTOMÈTRE 1 ) Le spectrophotomètre 2 ) Facteurs dont dépend l'absorbance
Plus en détailUnion générale des étudiants de Tunisie Bureau de l institut Préparatoire Aux Etudes D'ingénieurs De Tunis. Modèle de compte-rendu de TP.
Union générale des étudiants de Tunisie Modèle de compte-rendu de TP Dipôle RC Ce document a été publié pour l unique but d aider les étudiants, il est donc strictement interdit de l utiliser intégralement
Plus en détailInitiation à la Mécanique des Fluides. Mr. Zoubir HAMIDI
Initiation à la Mécanique des Fluides Mr. Zoubir HAMIDI Chapitre I : Introduction à la mécanique des fluides 1 Introduction La mécanique des fluides(mdf) a pour objet l étude du comportement des fluides
Plus en détailBAREME sur 40 points. Informatique - session 2 - Master de psychologie 2006/2007
BAREME ur 40 point Informatique - eion 2 - Mater de pychologie 2006/2007 Bae de donnée PRET de MATERIEL AUDIO VISUEL. Remarque : Le ujet comporte 7 page. Vérifier qu il et complet avant de commencer. Une
Plus en détailÉTUDE BDC LES CINQ FACTEURS CLÉS ET LES CINQ PIÈGES À ÉVITER POUR RÉUSSIR EN AFFAIRES
ÉTUDE BDC LES CINQ FACTEURS CLÉS ET LES CINQ PIÈGES À ÉVITER POUR RÉUSSIR EN AFFAIRES Seaine de la PME BDC 2014 Résué --------------------------------------------------------------------------------------
Plus en détailGamme et conseils de mise en œuvre
ENVELOPPE DU BÂTIMENT Gae et conseils de ise en œuvre BATIROC COMPLÉMENT DE GAMME, nous consulter PROFILS DE BARDAGE BATIBAC 4-25BV BATIBAC 6-25BH BATIBAC 5-35BH 25 267,5 FACE B (extérieur) 25 80,8 FACE
Plus en détailBaccalauréat ES Polynésie (spécialité) 10 septembre 2014 Corrigé
Baccalauréat ES Polynésie (spécialité) 10 septembre 2014 Corrigé A. P. M. E. P. Exercice 1 5 points 1. Réponse d. : 1 e Le coefficient directeur de la tangente est négatif et n est manifestement pas 2e
Plus en détailTP : Suivi d'une réaction par spectrophotométrie
Nom : Prénom: n groupe: TP : Suivi d'une réaction par spectrophotométrie Consignes de sécurité de base: Porter une blouse en coton, pas de nu-pieds Porter des lunettes, des gants (en fonction des espèces
Plus en détailDéveloppement des saveurs. Contenu 2015-02-24
Développement des saveurs Présenté par : Raymond Nadeau, conseiller acéricole au CQABA Club Qualité acéricole Beauce Appalaches et Sève, santé des érablières Contenu Évolution de la production; Problématiques
Plus en détailQuel Sont les 7 couleurs de l arc en ciel?
Quel Sont les 7 couleurs de l arc en ciel? Rouge, orange, jaune, vert, bleu, indigo et violet Pourquoi a on défini 7 couleurs pour l arc an ciel A cause de l'analogie entre la lumière et le son, la gamme
Plus en détailÉchangeurs de chaleur à contact direct
Échangeurs de chaleur à contact direct par Alain BRICARD Ingénieur du Conservatoire National des Arts et Métiers Ingénieur de Recherche au Centre d Études Nucléaires de Grenoble et Lounès TADRIST Docteur
Plus en détailPROCÈS VERBAL DE CONSTAT D'ÉTAT DES LIEUX
Maître N d'étude : Tél. : Fax : email : @ PROCÈS VERBAL DE CONSTAT D'ÉTAT DES LIEUX Référence du dossier : xxxxxxxxxxxxxx Page 1/8 PROCÈS VERBAL DE CONSTAT L'AN DEUX MILLE DOUZE ET LE VENDREDI NEUF NOVEMBRE
Plus en détailSimulation numérique de la réponse d un pieu en cours de battage
Siulation nuérique e la réponse un pieu en cours e battage Philippe LEPERT Ingenieur Division Géotechnique et Mécanique es Chaussées Laboratoire Central es Ponts et Chaussées Daniel MEIGNEN Technicien
Plus en détailT.P. FLUENT. Cours Mécanique des Fluides. 24 février 2006 NAZIH MARZOUQY
T.P. FLUENT Cours Mécanique des Fluides 24 février 2006 NAZIH MARZOUQY 2 Table des matières 1 Choc stationnaire dans un tube à choc 7 1.1 Introduction....................................... 7 1.2 Description.......................................
Plus en détailBabcock Wanson. Bienvenue. L expertise thermique au service de l environnement dans l industrie
Babcock Wanson Bienvenue L expertise thermique au service de l environnement dans l industrie BABCOCK WANSON INTERNATIONAL L expertise thermique au service de l environnement dans l industrie Le Groupe
Plus en détailvéhicule hybride (première
La motorisation d un véhicule hybride (première HERVÉ DISCOURS [1] La cherté et la raréfaction du pétrole ainsi que la sensibilisation du public à l impact de son exploitation sur l environnement conduisent
Plus en détailLogiciel EV3 LEGO MINDSTORMS Education
Robot éducateur : LEGO Education a le plaisir de vous présenter Robot éducateur, une sélection d'activités pédagogiques vous permettant de prendre en main votre EV3 LEGO MINDSTORMS Education de façon structurée
Plus en détailBaccalauréat ES Antilles Guyane 12 septembre 2014 Corrigé
Baccalauréat ES Antilles Guyane 12 septembre 2014 Corrigé EXERCICE 1 5 points Commun à tous les candidats 1. Réponse c : ln(10)+2 ln ( 10e 2) = ln(10)+ln ( e 2) = ln(10)+2 2. Réponse b : n 13 0,7 n 0,01
Plus en détail2 LE MODELE NÉOCLASSIQUE
2 Le modèle de Solow 22 Rôle de l épargne 23 Tests du modèle néoclassique 2 LE MODELE NÉOCLASSIQUE Ce chapitre présente un rappel synthétique du modèle de Solow (956 Ce modèle, avec celui de Ramsey, constitue
Plus en détailLES ESCALIERS. Du niveau du rez-de-chaussée à celui de l'étage ou à celui du sous-sol.
LES ESCALIERS I. DÉF I NIT I O N Un escalier est un ouvrage constitué d'une suite de marches et de paliers permettant de passer à pied d'un niveau à un autre. Ses caractéristiques dimensionnelles sont
Plus en détailSaisie des chauffe-eau thermodynamiques à compression électrique
Fiche d application : Saisie des chauffe-eau thermodynamiques à compression électrique Date Modification Version 01 décembre 2013 Précisions sur les CET grand volume et sur les CET sur air extrait 2.0
Plus en détailTP 7 : oscillateur de torsion
TP 7 : oscillateur de torsion Objectif : étude des oscillations libres et forcées d un pendule de torsion 1 Principe général 1.1 Définition Un pendule de torsion est constitué par un fil large (métallique)
Plus en détailP7669 MACHINE A VAPEUR MINIATURE P7669R A mouvement alternatif P7669T Turbine
P7669 MACHINE A VAPEUR MINIATURE P7669R A mouvement alternatif P7669T Turbine Caractéristiques Modèle de démonstration d un système à vapeur représentatif d un Système d Alimentation Industriel Appareil
Plus en détailLes nouveautés de Femap 11.1
Siemens PLM Software Les nouveautés de Femap 11.1 Amélioration de la productivité des Ingénieurs calcul Avantages Manipulation plus rapide des modèles grâce à des performances graphiques améliorées Flexibilité
Plus en détail315 et 495 sont dans la table de 5. 5 est un diviseur commun. Leur PGCD n est pas 1. Il ne sont pas premiers entre eux
Exercice 1 : (3 points) Un sac contient 10 boules rouges, 6 boules noires et 4 boules jaunes. Chacune des boules a la même probabilité d'être tirée. On tire une boule au hasard. 1. Calculer la probabilité
Plus en détailFonctions homographiques
Seconde-Fonctions homographiques-cours Mai 0 Fonctions homographiques Introduction Voir le TP Géogébra. La fonction inverse. Définition Considérons la fonction f définie par f() =. Alors :. f est définie
Plus en détail1 Thermodynamique: première loi
1 hermodynamique: première loi 1.1 Énoncé L énergie d un système isolé est constante, L énergie de l univers est constante, de univers = de syst + de env. = 0 1 L énergie d un système est une fonction
Plus en détailCirculation générale et météorologie
Circulation générale et météorologie B. Legras, http://www.lmd.ens.fr/legras I Instabilités convectives de l'atmosphère humide (supposés connues: les notions de température potentielle sèche et d'instabilité
Plus en détail