Les accidents de désaturation
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- Corentin Noël
- il y a 7 ans
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1 Formation Guide de Palanquée Les accidents de désaturation Codep Helene Thomas Pourquoi ce cours? Avec les barotraumatismes, environ 300 à 350 accidents en France tous les ans Pour vous: un meilleur comportement dans votre pratique et dans la préparation de votre examen Pour les plongeurs que vous encadrerez dans l espace 0-40m Pour mieux comprendre les accidents de désaturation, Le mécanisme Les symptômes Les facteurs favorisants La conduite à tenir Mais surtout, la prévention = Améliorer votre Savoir Faire mais surtout votre Savoir Etre
2 Petits rappels Principe de saturation et désaturation A la surface, pour une Pabs de1b: PpN2 0.8b + PpO2 0.2b A 40m, Pabs de 5b: PpN2 4b (0.8b x 5) + PpO2 1b (0.2b x 5) L azote est un gaz inerte qui circule dans le corps A la descente, la pression augmente, ce gaz circule sous forme dissoute A la remontée, la pression absolue diminue, l azote reprend sa forme gazeuse et circule partout dans le corps sous forme de petites bulles IL est donc nécessaire de faire des paliers pour éliminer cet azote progressivement Mais celui-ci n est jamais entièrement éliminé à la sortie de la plongée «A température donnée et à saturation, la quantité de gaz dissout dans un liquide est proportionnelle à la pression qu exerce ce gaz sur le liquide» Rappel: La dissolution d un gaz dans un liquide dépend de: la pression (profondeur), du temps d exposition (durée de plongée), de l agitation
3 Le mécanisme Certains tissus saturent plus vite que d autres parce qu ils sont plus vascularisés: Les vaisseaux (le sang): endothélium vasculaire: tissu qui tapisse l intérieur de l appareil circulatoire (donc le cerveau) La peau = grande surface et grande capacité de stockage 1 - Comment se forment ces bulles? Le N2 se combine au CO2 La paroi des vaisseaux sanguins n est pas lisse Dans les creux, des poches de gaz, surtout du CO2 Ces bulles de CO2 s enrichissent de gaz inertes (N2) et forment des noyaux gazeux
4 2 - Comment s évacuent-elles, normalement? Par échanges gazeux 3 - Comment favoriser leur évacuation? En continu pendant la remontée Adopter une vitesse plus rapide au fond jusqu à environ 20m, puis un ralentissement en approchant la surface? (comme les algorithmes des ordi) Aux paliers Une remontée au 1 er palier (9, 6 ou 3m) Un palier à mi-profondeur? permet d éliminer déjà une quantité d azote, de désaturer le tissus rapides. (Discutable, selon les plongeurs) Avec de l O2 Pour une plongée classique, 1 nitrox permet de limiter la saturation. Attention à la toxicité de l O2. Calculer la Profondeur Maximum d Utilisation. Pour les plongées profondes, on peut utiliser un mélange Nitrox de plus en plus riche à l approche de la surface, ce qui diminue la durée des paliers On peut également faire un palier à l O2 pur. Attention aux risques d hyperoxie. PPO2 max: 1.6b donc 6m maximum. La durée du palier est alors diminuée d 1/3 pour les paliers dont la durée est supérieure à 5 minutes
5 4 - Dans quel cas ne sont-elles pas évacuées? Quand les plongées s enchainent au cours d un séjour de plongée: Plongées successives 2 ou 3 plongées par jour pendant une semaine Quand les procédures de décompression ne sont pas respectées: Paliers interrompus ou non effectués En cas de profils atypiques Plongées consécutives, profils inversés, yoyo Quand le filtre pulmonaire est engorgé: En cas de remontée rapide, les bulles enrichies en N2 ne s éliminent pas au niveau du filtre pulmonaire. Elles repassent dans la grande circulation. Quand il y a un shunt pulmonaire: En cas de yoyo: remontées, redescentes. Les bulles sont à nouveau compressées et repassent dans la grande circulation
6 A cause d un FOP: En équilibrant les oreilles avec Valsalva En cas de yoyo, on force et on peut provoquer l ouverture d un FOP Les lésions
7 Au niveau de la moelle épinière Probablement au niveau des veines, si les bulles grossissent, elles obstruent certaines veines au niveau de la moelle épinière. Ce sont des veines terminales. D autres veines prennent la relève mais celles qui sont bouchées, n étant plus vascularisées, des toxines (CO2 et autres acides) s accumulent et provoquent des lésions Au niveau du cerveau: Une fois dans la grande circulation, ces bulles obstruent les artères et empêchent l oxygénation au niveau cérébral (Accidents centraux) Au niveau de l oreille interne: accidents cochléo-vestibulaires
8 Au niveau des os, des articulations et des muscles: Les micro bulles enrichies en N2 sont transportées par les artères autour des articulations. Au niveau des tissus, elles compriment des nerfs vascularisés Les symptômes Délais d apparition 50% dans de 10 à 30 min 75% en moins d une heure 90% en moins de 2h 100% en moins de 24h D autant plus graves que les délais sont courts p g q Importance de la sortie de l eau, du retour au club, de l apéro ( + ou 2h)
9 Les symptômes 1 - Les médullaires Lésion sur une symétrie horizontale 1 paresthésie: troubles de la sensibilité 1 paralysie: trouble de la motricité Plus la lésion est haute plus elle est grave Tétraplégie Paraplégie Comment les détecter? Troubles du sphincter. Problème pour uriner Douleurs lombaires ou dorsales brutales. Coup de poing dans le dos. (Parfois confondu avec douleurs quand mauvaise manipulation du bloc). Concernent: Les plongées profondes Plus les signes apparaissent tôt, plus les lésions sont graves Plus la prise en charge est précoce, plus il y a de chance de récupération
10 2 - Les cochléo-vestibulaires: de + en + fréquents: yoyo, successives Lésions au niveau du nerf auditif (vestibulaire ou cochléaire) Le vestibule: Vertiges, nausées, vomissement Impossible de rester debout ou assise Se couche au sol mais quand même vertige La cochlée: Baisse d audition, acouphènes délais vertiges audition douleur durée BT oreille moyenne Immédiat dans l eau non à 24h BT oreille interne Immédiat dans l eau Selon position Plusieurs mois Vertige alternobarique Immédiat dans l eau ++ non non 15 min Vertige thermodifférentiel Immédiat dans l eau ++ non non 1 min Mal de mer variable +/- non non?
11 3 - Les ostéo-arthro-musculaires: OAM ou Bend Lésions au niveau des articulations ou des tissus (tendons ) Douleur vive au niveau des grosses articulations: épaule, genou, hanche Douleur progressive et croissante, sans impression de traumatisme Apparaît parfois après 2h Aggravée par la montée en altitude Paracétamols et anti-inflammatoires peu efficaces. Ne se calme pas au repos Surtout chez les plongeurs professionnels: les dégâts osseux peuvent être irrécupérables 4 - Les ADD centraux ou cérébraux: Lésions selon une symétrie verticale Dû à un passage d air dans les veines pulmonaires: FOP ou SP Paresthésie, hémiplégie, Troubles de la paroles, Troubles visuels Séquelles graves car le cerveau souffre d anoxie
12 6 - Les accidents cutanés: Interviennent après 24h Très rares Petites boursouflures sous la peau Après des plongées successives, ou en altitude Pas de séquelles mais peut être très douloureux Les facteurs favorisants 1 les facteurs physiologiques La déshydratation: Nous respirons de l air sec Que nous humidifions par nos voies aériennes + diurèse (causée par le froid, causée par la pression) Le sang est moins fluide, s écoule moins bien. PREVENTION: Il faut bien boire avant la plongée
13 L essoufflement: Augmentation du taux de CO2: hyperventilation + vasodilatation Augmente la diffusion et la saturation des tissus Après la plongée, le taux de CO2 diminue, vasoconstriction donc désaturation difficile Attention à l effort en plongée, Attention à une mauvaise condition physique, Attention au matériel mal adapté (lestage, combi, détendeur ) PREVENTION: Eviter les efforts pendant la plongée, ne pas faire d efforts après. Ayez une bonne condition physique! La fatigue : Favorise l essoufflement et le froid Elle est souvent liée à une déshydratation On zappe souvent la plongée de réadaptation Si le plongeur manque de technique, il compense dans l effort PREVENTION: plonger en étant reposer, en bonne santé, bien s alimenter, bien s hydrater, éviter le stress.
14 Le froid Même mécanisme que l essoufflement. Augmentation du taux de CO2 + vasoconstriction due au froid, Donc la peau est moins vascularisée Elle sature peu mais le corps a la même quantité de N2 pour moins de surface. Les autres tissus saturent donc davantage. PREVENTION: bien se couvrir avant la plongée, le corps, la tête et les extrémités Eviter d aller dans l eau avant. Certaines personnes sont plus sensibles au froid que d autres Le stress Une monté d adrénaline provoque une accélération cardiaque et respiratoire Le taux de CO2 augmente et la consommation de O2 aussi. PREVENTION: Eviter tout facteur de stress avant la plongée
15 La sédentarité: Non pas lié forcément à l âge mais au manque d activité Si la personne est sédentaire, difficultés au niveau cardiaque, pulmonaire, musculaire La personne doit faire davantage d efforts. Elle sature donc davantage. PREVENTION: avoir une activité physique régulière L obésité: Phénomène lié à la sédentarité Mais pas à la quantité de graisse, donc pas à l obésité directement Au contraire, la graisse est un réservoir tampon pour stocker le N2 Résiste, de plus, mieux au froid PREVENTION: avoir une activité physique régulière L âge: pas un facteur favorisant les ADD sauf si la personne est sédentaire PREVENTION: avoir une activité physique régulière Le shunt pulmonaire Concerne environ 10% des plongeurs Détectable par doppler (bulles injectées par intraveineuses remontent dans le crâne après un Valsalva forcé) Responsables d accidents centraux ou cochléo-vestibulaires PREVENTION: éventuellement une détection. Faire des plongées raisonnables, ne pas faire de Valsalva forcé.
16 Le FOP Peut se confondre avec un shunt pulmonaire Chez le fœtus, le FOP est ouvert car les poumons ne sont pas encore en fonction Il se ferme lentement chez l enfant, reste ouvert chez certains adultes (30%) Il peut s ouvrir si la pression augmente. Ex: un Valsalva forcé Détectable par échographie mais en introduisant une sonde. Désagréable Favorise aussi les accidents centraux. PREVENTION: détection très désagréable. Eviter les Valsalva forcés et répétés. Eviter tout ce qui pourrait provoquer une surpression. 2 - les facteurs «extérieurs» L altitude Augmente le gradient de N2 PREVENTION: Ne pas monter un col en voiture, ni prendre l avion. (attention. La notion No Fly est différente selon les ordi) Le tabac Le filtre pulmonaire est abîmé Les alvéoles sont plus petites Plus de risques de shunt pulmonaire PREVENTION: arrêter de fumer et mettre l argent de côté pour un beau voyage en mer chaude
17 3 Les facteurs liés au profil de plongée Les yoyo Les plongées consécutives Les plongées successives Les profils inversés Les remontées rapides La panne d air, entrainant une rupture de palier PREVENTION: Plonger raisonnablement en évitant les profils à risques Bien planifier sa plongée et prévoir la quantité d air nécessaire Synthèse Le corps sature en azote au cours de la plongée (profondeur, temps d exposition, agitation, froid ) surtout dans les parties du corps les plus vascularisées Cet azote ne s évacue jamais complètement en fin de plongée Il s évacue d autant plus mal Si non respect des procédures de décompression Si profil de plongée à risque Si engorgement du filtre pulmonaire ou FOP Les noyaux gazeux qui en résultent, peuvent provoquer des lésions graves Au niveau médullaire: paralysie ou paresthésie Au niveau cochléo-vestibulaire: perte d audition, vertiges, nausées, Au niveau des articulations et des muscles: douleurs très vives Au niveau cérébral: éb paralysie, paresthésie, troubles de la parole, de la vision i Ces accidents sont favorisés par la déshydratation, l essoufflement, la fatigue, le froid, le stress, la sédentarité, un profil de plongée à risque un FOP ou shunt pulmonaire
18 Conduite à tenir Très rapide, urgente!! Oxygène 15l/min. Administrer de l O2 impérativement jusqu à l arrivée des secours Attention les symptômes disparaissent très rapidement Peu connu des secouristes ou médecins non plongeurs L importance de l O2 Mode de délivrance: Par inhalation si la personne peut ventiler seule. Ne pas oublier les autres membres de la palanquée Par insufflations si la personne ne ventile pas seule En caisson après évacuation de la personne Intérêt de l O2 au caisson: Délivré à 2,8b. Risque d hyperoxie mais la personne n est plus dans l eau et est sous contrôle médical. L O2 sous pression prend une forme dissoute et circule mieux dans le corps Il permet de diminuer la PPN2: «dénitrogénation» Il permet de favoriser l oxygénation des tissus, surtout cérébraux, privé d oxygène suite à l obstruction des certains vaisseaux.
19 Conduite à tenir Alerter (Bas Rhin: Samu) Importance de la rapidité de la prise en charge Signaler qu il s agit d un accident de plongée, accident de décompression Demander immédiatement une prise en charge en caisson hyperbare (Procédure particulière dans le Bas Rhin) Si la personne est transportée par les plongeurs, la laisser sous oxygène Radio VHF Téléphone Conduite à tenir En attendant les secours Installer la personne confortablement, à l abris. La sécher, la réchauffer. L hydrater: proposer à boire (sauf alcool) l) Lui proposer de l aspirine Attention, le plongeur ne signalera pas forcément les symptômes Importance du déni, du refus de l accident Responsable de 50% des retards de prise en charge
20 Conduite à tenir Faire transférer ou transférer vous-même vers le caisson le plus proche Informer votre médecin fédéral Importance de développer un bon comportement chez un plongeur, un comportement responsable Importance pour vous et les plongeurs encadrés d avoir une bonne qualité de vie (repos, alimentation, hydratation, activités physiques ) C EST VOTRE TACHE ET VOTRE RESPONSABILITE EN TANT QUE GUIDE DE PALANQUEE!
21 Votre rôle de guide de palanquée Avant la plongée: Prévention en se renseignant Accueillir sa palanquée: instaurer un dialogue. Se renseigner sur leur niveau (dialogue, carte de niveau, carnet de plongée ) Se rendre compte de l état physique et psychique des plongeurs (Ont-il voyagé juste avant? Ont-ils bien dormi? Ont-ils mangé? Sont-ils enrhumés, fatigués, stressés?) Se renseigner sur les conditions de plongée: météo, courant, température de l eau Avant la plongée: Prévention en vérifiant Vérifier le matériel de secours: Son emplacement, son accessibilité Le contenu de la mallette (quantité d O2, équipement ) Vérifier son propre matériel Sa bouteille, ses détendeurs, son lestage Prendre du matériel pédagogique: plombs, phare Vérifier le matériel des plongeurs encadrés Leur bouteille, leurs détendeurs Le gréage des blocs Leur lestage
22 Juste avant la plongée: Prévention en s adaptant Adapter la plongée à soi-même selon son expérience selon sa pratique selon son propre état physique selon son propre état psychique Adapter les caractéristiques en fonction des plongeurs et des conditions On peut réduire la profondeur On peut réduire la durée On peut réduire le nombre de plongeurs On peut refuser une plongée Pendant la plongée: Observer et s adapter encore Observer et adapter la plongée en fonction de soi En cas de problèmes physiologiques: oreilles, sinus En cas d incertitude, d inconfort Observer et adapter la plongée en fonction des plongeurs et des conditions En cas de problèmes physiologiques: oreilles, sinus Si un plongeur n a pas le niveau technique attendu: stabilisation Si un plongeur n a pas un matériel adapté Si la visibilité est mauvaise Si l eau est froide S il y a trop de courant Selon l envie des plongeurs encadrés
23 Après la plongée: certaines précautions L azote n est pas complètement évacué donc Eviter tout effort Ne pas prendre l avion ou monter en altitude après la plongée Ne pas faire d apnée Valable pour vous Valable pour les plongeurs que vous avez encadrés (les surveiller ou les informer) Après la plongée: Plaisir, dialogue, observation Commenter la plongée, échanger avec les plongeurs: Notion de PLAISIR! L intérêt de la plongée, ses joies, les difficultés ressenties Ecouter les plongeurs Ceci vous permet aussi d évaluer ce que vous venez de faire Dialoguer et observer: Le plongeur s isole t-il? (Il ne boit pas, ne mange pas. Il a du mal à uriner) Réagit-il de façon inhabituelle? Se plaint-il de quelque chose?...ou ou pas! Attention au déni! Ressent-il des douleurs dans le dos, la tête, fourmillements, vertiges, nausées
24 Votre rôle de guide de palanquée: Synthèse Avant la plongée: PREVENTION Se renseigner: sur le site, les conditions de plongée, les plongeurs à encadrer Vérifier: la sécurité, son propre matériel, leur matériel, l embarcation Adapter la plongée: à soi, aux plongeurs encadrés selon le nombre, le niveau, les conditions Pendant la plongée: OBSERVATION ET ADAPTATION En fonctions des conditions réelles de plongée En fonction de soi En fonction du niveau réel, du ressenti, de l envie des plongeurs encadrés Après la plongée: PRECAUTIONS.. PLAISIR, DIALOGUE, OBSERVATION Eviter de faire des efforts, partir en altitude, faire de l apnée Echanger et parler de la plongée, des découvertes, du ressenti Observer les plongeurs et les écouter Bonnes plongées à tous!! Et faites vous plaisir!!
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