Auteur : Dr Sandrine Bercier. Directeur : Pr Claude Attali. Mémoire pour le DIU de Pédagogie Médicale. Année 2007/2008

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Auteur : Dr Sandrine Bercier. Directeur : Pr Claude Attali. Mémoire pour le DIU de Pédagogie Médicale. Année 2007/2008"

Transcription

1 Appropriation du livret de certification de la compétence à exercer la médecine générale, par les internes de médecine générale de Paris XII et par leurs tuteurs Mémoire pour le DIU de Pédagogie Médicale Année 2007/2008 Auteur : Dr Sandrine Bercier Directeur : Pr Claude Attali

2 Introduction Depuis quelques années, tous les départements de médecine générale (ou presque) ont adopté un cadre pédagogique basé sur le modèle constructiviste. Ce modèle est centré sur l interaction enseignant enseigné, avec une vision la plus systémique possible, à partir de situations authentiques. A Paris XII, les compétences, définies comme «un savoir agir en situation complexe» sont issues de la réflexion de la WONCA et du CNGE. Au département de Créteil, l équipe dirigeante a choisi 7 domaines de compétences autour desquels s articulent un certain nombre de tâches à réaliser (des gestes à savoir réaliser, des travaux de récits cliniques, des items du journal de bord, des actions de santé publique ) Ces travaux sont, tout d abord, évalués sur les lieux de leurs réalisations : 1 par les chargés d enseignement en stage?? pour les travaux réalisés lors des stages (journal de bord et récits cliniques en situation authentique) 2 par les enseignants «théoriques» pour les travaux facultaires Il existe un lien étroit entre tous ces travaux. L évaluation finale de ces apprentissages est le plus souvent réalisée par les tuteurs. La création du DES de médecine générale a accéléré la mise en route de la certification des compétences. Le mémoire du DES réunit l ensemble des travaux. Dans cette logique, il semblait essentiel d avoir un outil servant de guide aux internes afin de repérer les différents travaux, voir leurs avancées et avoir à disposition l ensemble des grilles d évaluation utilisées par leurs enseignants. C est le Dr Laurence Compagnon qui a crée cet outil : le livret de certification. Il est proposé aux internes en version papier et se divise en trois parties. -La première partie «certification des compétences» reprend l ensemble des travaux avec leur validation (tampon ou signature) par les tuteurs, ECA ou chargés d enseignement en stage. -La deuxième partie «autoévaluation» permet à l interne d évaluer toute tâche réalisée. Il s agit d un tableau incluant en ordonnée l ensemble des travaux, et en abscisse un déroulé des 3 ans du DES découpés en 6 semestres. Ce tableau permet à l interne d avoir une vue «panoramique» des tâches réalisées et donc de celles qui restent à faire. Il a aussi l objectif de lui permettre de prendre une place active dans sa propre expertise. Son remplissage est facultatif. -Enfin, la troisième partie présente l ensemble des grilles de validation utilisées par les ECA ou les tuteurs, concernant les gestes et techniques, les travaux de santé publique, les récits cliniques et les items du journal de bord. Le livret a plusieurs objectifs. Il est évidemment au cœur de la validation du DES, permettant une lecture synthétique de l ensemble des travaux réalisés à mettre dans le mémoire. Il est une aide lors des entretiens avec le tuteur. Il veut rendre l interne responsable de ses apprentissages : ce dernier peut s auto évaluer régulièrement pour gérer son temps et son investissement. C est à lui de choisir et de faire valider les travaux qu il juge représentatifs de ses apprentissages. Vœu pieux ou réalité? En , lors du séminaire d accueil de T1 et T2, le livret de certification a été remis aux internes. Une séance plénière d explication et une séance en atelier pour la manipulation et l appropriation de l outil ont été programmées à ce moment. Les tuteurs et ECA avaient été sensibilisés puis initiés au livret l année précédente, avec un rappel lors du séminaire «tutorat» en février La nécessité d évaluer l utilisation de cet outil au bout d un an de mise en pratique a motivé ce 1

3 travail. Le thème est l appropriation du livret de certification par les internes et par leurs tuteurs. L objectif n est pas de juger de la satisfaction mais du niveau d appropriation, premier préalable à une critique objective et constructive. La méthode choisie est une enquête qualitative. L intérêt est de recueillir des avis pour analyser les freins, les blocages ou les intérêts de chacun. Au départ, une étude par entretien de groupe type focus group avait été prévue mais n a pas pu être réalisé par manque de participants volontaires et représentatifs. Il a donc été finalement réalisé l envoi d un questionnaire par courriel, l un destiné aux internes (annexe 1), le second aux tuteurs (annexe 2). Ils ont été réalisés avec des questions similaires pour essayer de récolter une image en miroir des perceptions des uns et des autres. Le questionnaire reprend les trois chapitres du livret de certification puis demande une évaluation globale. Des questions plus théoriques sur les définitions de compétence ou d autoévaluation ont aussi été posées. Il était composé de questions fermées et ouvertes (avec, le plus souvent, propositions d items et avec réponse libre). Il a été adressé début juillet 2008, date à laquelle les entretiens avec les tuteurs d octobre, février et juin ont (ou auraient) dus être réalisés. Les populations étudiées étaient les T1, T2 et leurs tuteurs. Résultats Participants Le taux de participation est d un tiers des internes, 11 étudiants de T1/34 dont 2 étudiants militaires, 9 étudiants de T sur 33 dont 1 militaire. Dix tuteurs sur vingt ont répondus. Utilisation du livret Cinq internes de T1 n avaient eu que l entretien d accueil et deux internes de T2 n avaient eu aucun entretien au cours de l année Ces étudiants n avaient donc pas eu l occasion d avoir un dialogue avec leurs tuteurs autour du livret de certification. Tous les autres ont eu l occasion de présenter leur livret de certification à leurs tuteurs. Les tuteurs déclarent en moyenne 4.1 entretiens par tuteur pour l année. (À noter que chaque tuteur a entre 1 et 4 internes et qu ont été exclu du questionnaire les entretiens collectifs annuels). Seuls cinq enseignants (n=10) déclarent avoir eu la présentation du livret de certification lors des entretiens individuels. Onze internes (n=20) ont déclaré n avoir jamais présenté leur livret à leur tuteur. Sur les neuf étudiants ayant présenté leur livret de certification à leur tuteur, huit l avaient fait remplir par les chargés d enseignement en stage, sept avaient rempli la partie autoévaluation, deux avaient fait remplir par les ECA, deux par l administration et deux par leur tuteur, un a présenté un livret vierge. Lors de l entretien, six internes ont déclaré avoir reçu des propositions ou des commentaires sur le livret de la part de leur tuteur (quatre ayant présenté leur livret et deux ne l ayant pas présenté). En revanche, seul un tuteur déclarait avoir fait des propositions. C est le même tuteur qui a fait des propositions dans la partie 1 «certification des compétences» et la partie 2 «autoévaluation». 2

4 Analyse de la première partie «certification des compétences» Validation du livret Rappelons que les différents travaux doivent être validés soit par les ECA, l administration, les chargés d enseignement ou les tuteurs. Seize étudiants n avaient pas fait validé leur livret de certification par l administration. Les causes évoquées étaient : la non connaissance de cette consigne (n=7), l existence de la liste d émargement validant leur présence (n=7), le refus des ECA de signer le livret pour valider leur présence (n=4), l absence de réclamation des ECA lors des cours (n=3), la non nécessité de validation pour le moment (n=3), le refus de la scolarité (n=2), le problème du aux horaires de la scolarité (n=2), ou l oubli de la consigne (n=1). Trois tuteurs (sur 5 ayant eu une présentation du livret de certification lors de l entretien) ont déclaré avoir vérifié la validation par l administration ou par les chargés d enseignement. Quatre tuteurs (n=10) ont déclaré trouver le repérage des différents modules difficile, évoquant un chapitre «trop compliqué», «trop complexe» ou «trop touffu». Un tuteur a précisé que «la complexité du document entrave son appropriation». Deux tuteurs ont validé sur le livret de certification les modules validables. Sur les huit tuteurs n ayant pas effectué de validation, seul un a évoqué la non présentation du livret par l interne. Rappelons que le livret de certification a été déclaré présenté lors des entretiens par seulement 5 tuteurs. Les causes de non remplissage évoquées par les tuteurs étaient : l oubli, tout en précisant que la validation administrative avait été faite (n=2) ou le manque d expérience (n=1), l absence de travaux à valider (n=3) ou la complexité, l aspect «fastidieux» du document (n=2). Le remplissage de la première partie Le remplissage est jugé «aisé» ou «plutôt aisé» par 10 internes (n=20) et par 7 tuteurs (n=10) Les raisons évoquées par les internes d un remplissage «difficile» ou «plutôt difficile» concernaient : 1 soit des problèmes liées à la «lisibilité» ou la «complexité» du livret de certification (n=3), un étudiant militaire a jugé les gestes inadaptés à sa pratique, 1 2 soit les problèmes techniques (n=6) cités ultérieurement (refus de la scolarité, refus des ECA, horaires d ouverture de la scolarité). Un étudiant a évoqué «la peur de perdre ou abîmer le document papier en se déplaçant avec lui sur les lieux de stage et à la faculté». 1 3 Enfin, un interne a évoqué la difficulté à «s évaluer soi-même». Les tuteurs, quant à eux, évoquaient, la complexité du livret, l aspect «fastidieux» du remplissage ou l incompréhension de l interne de l intérêt du livret. Intérêt de la première partie Cette partie est jugée intéressante pour l interne lui-même par 10 étudiants (n=20). Pour ceux qui avaient répondu favorablement, il leur était demandé de lister les intérêts. Les réponses évoquaient l aspect pratique de ce chapitre («récapitulatif», «être sûr d avoir validé une tâche ou un travail») pour 5 étudiants. D autres (n=3) s intéressaient à un aspect plus philosophique : définir «de manière précise» les compétences «nécessaires» ou «minimales» requises à l exercice professionnel. Pour certains ces compétences sont celles du médecin généraliste dans l absolu, pour d autres ce sont les compétences à atteindre en fin de cursus universitaire. Parallèlement, il a été demandé aux tuteurs de décrire les intérêts de cette première partie pour 3

5 l interne et pour eux-mêmes. Globalement, l intérêt pour leurs internes était «d avoir une vision globale des travaux leur permettant de faire le point» (n=4). Pour l un, l intérêt était purement administratif. Un tuteur ne trouvait aucun intérêt dans cette partie pour ses internes, trois étaient «sans opinion» et un n avait «aucun commentaire» à faire. Quant à l intérêt pour eux- mêmes, la première partie leur permettait «de suivre le cursus» de leur interne (n=3), en «contrôlant ses acquisitions» (n=1), en voyant «son évolution» (n=1). Cette partie pouvait être un «guide permettant de ne rien omettre» (n=1) car «regroupant l ensemble des validations en un seul document» (n=1). Pour un tuteur, cela lui a permis de «comprendre l énormité du travail demandé». Un autre utilisait le livret pour «structurer son entretien». Enfin, deux tuteurs n avaient soit pas d avis (n=1), soit aucun commentaire à faire (n=1). Compétence, mais finalement de quoi parle-t-on? Il a été demandé aux internes de définir ce qu est pour eux une compétence. Une seule définition s est approchée de la définition: «capacité à gérer une situation pour que le patient bénéficie d un soin offert par les données actuelles de la science et adapté aux besoins du patient.». La notion de savoir agir n est apparue que dans deux autres réponses : «capacité à avoir une réaction face à une situation donnée», «aptitude permettant au professionnel de répondre de façon adaptée et pertinente à une sollicitation». Autrement, on parlait volontiers de «savoir» (n=2), de «savoir faire» ou «savoir pratique» (n=3), de «connaissance» (n=2), voire de «connaissance pleine et définitive», d «acquisition» (n=2) ou de «capacité» (n=5). La notion de situation complexe était parfois sous entendue (n=3), comme dans la première citation, mais n est jamais apparue clairement. Le caractère transposable ou la notion de famille de situation n ont jamais été évoqués. Certains voyaient la compétence comme inhérente à leur statut d interne : la compétence est «ce qu on est censé faire (n=1), ou pouvoir faire (n=1)», c est «la capacité minimale requise pour être médecin généraliste» ou «c est une connaissance approfondie me donnant le droit de juger en la matière». A noter qu ils parlaient plus souvent de leur futur exercice en utilisant le mot «métier» que «profession» (ce qui est valable dans toutes les questions ouvertes). Enfin, il leur était demandé de préciser si ces différentes compétences étaient en adéquation avec la vision qu ils s étaient faite de leur exercice : 1 Dix trouvaient qu il y avait une adéquation. Trois se faisaient l idée d un champs de la médecin générale plus restreint, un ne savait pas ce qu était la médecine générale avant son entrée dans le DES. 1 2 Trois ont répondu des «plus ou moins» ou «à peu près», sans commentaires. 1 3 Trois ont déclaré qu il n y avait pas d adéquation, un seul a apporté des précisions, en jugeant les compétences requises comme en «inadéquation complète avec la réalité du terrain». Analyse de la deuxième partie «L autoévaluation» Utilisation de la partie autoévaluation Dix internes n avaient pas rempli le chapitre «autoévaluation», cinq l avaient rempli juste avant le(s) entretien(s) avec leur tuteur, trois une fois par semestre et deux tous les deux mois. 1 Ceux qui ne remplissait pas n y trouvaient «pas d intérêt» (n=5), n avaient «pas le temps» (n=4) ou le trouvaient «trop compliqué», ou «trop scolaire» (n=4). 4

6 1 2 Ceux qui le remplissaient avant l entretien avec le tuteur le faisaient pour «optimiser l entretien» et «parce qu ils n avaient pas le temps de le faire plus régulièrement». 1 3 Enfin, ceux qui l utilisaient une fois par semestre au moins avaient choisi ce rythme dans un but organisationnel «évaluation du temps pour réaliser une tâche» ou fonction du temps de disponible. Enfin, une interne signalait qu elle «s y plongeait très régulièrement car c était déprimant de voir tout ce qu il restait à faire». Trois tuteurs ont vérifié le remplissage de la partie autoévaluation. Les tuteurs n ayant jamais ou pas systématiquement vérifié cette partie le justifiaient par l absence de présentation du livret par l interne ou l absence d entretien (n=2), par «oubli» ou «absence d appropriation de l outil» (n=2) ou par la durée de l entretien («c est prévu pour un autre entretien» ou «pas assez de temps pour tout aborder») (n=2). Un seul tuteur a déclaré avoir fait des propositions à son tuteuré : «remplir au fur à mesure pour gagner du temps et ne rien oublier». Intérêt de la deuxième partie Six internes ne trouvaient aucun intérêt à cette partie, deux précisaient qu «ils s estiment adultes» et «que leur réflexion personnelle suffit à s autoévauler», «le transcrire ne sert à rien». Une interne a soulevé le paradoxe entre exigence de prouver ses compétences au sein de la faculté alors qu «on laisse seul un interne gérer des patients pendant ses gardes». Pour les autres, cette partie leur permettait de faire l «état de leurs connaissances actuelles» (n=4), de les «remettre en question» (n=3), de faire «le point sur les compétences à acquérir» (n=6) et ainsi d «avoir une vue d ensemble» sur leurs apprentissages (n=5). Un interne a précisé que pour lui, ce chapitre avait plus d intérêt que le premier car il était «plus concret». Les tuteurs pensaient que ce chapitre permettait à leurs internes d «évaluer l état de leurs connaissances» ou «compétences» (n=3), de «s habituer à la certification» (n=1), «de prendre conscience» (n=1). Enfin, deux tuteurs pensaient que ce chapitre n était pas compris (n=1) ou pas utilisé par leurs internes (n=1). L intérêt retiré par les tuteurs était de pouvoir «évaluer la progression ou l état actuel des connaissances» (n=6), de «voir ce que l interne pense de lui» (n=1) et d améliorer le dialogue avec les seniors (n=3), tuteurs (n=2) et ECA (n=1). Autoévaluation et Intérêt Il a été demandé aux internes de définir l autoévaluation et d en donner les intérêts. On retrouve ici la notion «état des lieux» (n=5), de «remise en question» (n=6), de«mesure des connaissances à acquérir» (n=6) comme précédemment. L autoévaluation est une évaluation régulière (n=3) (pour un interne «quotidienne») de «soi par soi» (n=3). Apparaît aussi la notion de «se noter» (n=1) ou «se juger» soi même (n=1), avec une consonance morale (n=2) : «une évaluation franche et honnête», «se juger en son âme et conscience». Elle permet, grâce à une «remise en question» (n=5) de «progresser» (n=9) et de «savoir où on en est» (n=3), pour «mieux se connaître» (n=1) et «avoir confiance en soi» (n=1) C est un travail «indispensable» (n=1), une «formation active» (n=1), qui permet d «organiser la mise à jour des connaissances» (n=1) et qui est la «base de la formation continue» (n=1). Analyse de la troisième partie «Les annexes» Recours et intérêt des internes 5

7 Quatorze internes ont déclaré avoir eu recours aux annexes, avec une grande inadéquation entre les T 1 (10 recours sur 11 T1) et les T2 (4 recours sur 9 T2). Ceux qui y avaient eu recours l avaient fait par curiosité (n=8), avant la réalisation de leurs travaux (n=8, avec 6T1 et 2 T2), avant la présentation aux enseignants (n=8, avec 6T1 et 2 T2) ou après demande de leur ECA ou tuteur (n=3). Ceux qui n y avaient pas eu recours trouvaient le chapitre «trop compliqué» (n=2), «inutile» (n=2), ou «inadapté» (n=1). Ce chapitre leur apporte «une description précise des travaux à réaliser» (n=7), leur permet de «réviser» (n=5) et de «s autoévaluer» (n=1) grâce aux grilles de gestes et techniques. C est «une aide» (n=1). Il donne «les consignes» (n=1). Il permet de «mieux cadrer» (n=1) et de «reprendre l ensemble des travaux» (n=1) «surtout en Santé Publique» (n=1) et pour le journal de bord (n=1). Recours et intérêt des tuteurs Sept tuteurs ont eu recours aux annexes : quatre par curiosité, cinq avant la lecture des travaux, trois suite à une questionnement, un suite à des réflexions faites sur un travail par un ECA. Les trois tuteurs ne l ayant pas utilisé le justifient par l absence d entretien, le manque de temps, ou l absence de nécessité à ce jour. Les tuteurs jugent ce chapitre intéressant pour eux car c est «un guide de travail» (n=1) permettant de «comprendre ce qui est demandé aux internes» (n=1) avec «un accès facile aux grilles» (n=1), grilles qui favorisent «l harmonisation des évaluations» (n=2). Deux tuteurs le jugent «compliqué» et un tuteur l estime «sans intérêt». Vision globale du livret de certification Pour qui le livret de certification est-il un outil utile? Le tableau décrit les réponses à cette question. D après les internes tuteurs interne 11 8 ECA 5 5 tuteurs 8 8 Jury DES 7 6 aucun 4 0 Plusieurs réponses étaient possibles. Aucune combinaison n était prédominante chez les internes. En revanche, 5 tuteurs ont choisi les 4 possibilités et trois le couple interne tuteur. Propositions Propositions des internes (14 internes sur les 20): 1 Supprimer le livret de certification (n=5): «encore une contrainte administrative», «inutile pour le jury du DES, car le mémoire suffit», proposition d entretien biannuel entre l interne, le tuteur et le chargé d enseignement du lieu de stage. 1 2 Améliorer la lisibilité ou «simplifier» (n=8), proposition d un «découpage» (n=2) avec un livret annuel (n=1). 1 3 A l inverse, un interne propose la réalisation d un seul document recueil de l ensemble des livrets remis aux internes. 1 4 Supprimer la validation par les ECA ou par l administration (n=7). 1 5 Introduire le Journal de bord (n=3), dans la partie «autoévaluation» (n=1). 6

8 1 6 Ne pas préciser les dates exactes des gestes réalisés (n=1). 1 7 Modifier certains actes incompatibles à l exercice de la médecine militaire (n=2). Propositions des tuteurs (sept tuteurs sur 10): 1 «Simplifier» (n=4) ou «changer la structure» (n=2) car «nombreux allers retours» (n=2), «utilisation complexe» (n=3) 1 2 Faire un récapitulatif annuel des taches pour améliorer la lisibilité (n=2) 1 3 Faire un format plus facile à transporter (n=1) 1 4 Expliquer plus concrètement les objectifs du livret (n=1) 1 5 «Revoir les gestes et techniques» (n=1) Commentaires Commentaires des internes : Peu de commentaires sur le livret: deux internes ont précisé que les parties autoévaluation et annexes sont plus intéressantes que la première. Trois internes ont relaté l absence d investissement des seniors, chargés d enseignement hospitaliers (n=2) ou tuteur (n=1). Le reste des commentaires concerne une critique sur la surcharge de travail (n=6), particulièrement pour le journal de bord (n=3). Deux internes tiennent à préciser l intérêt du module gestes et techniques. Commentaires des tuteurs : Le livret est jugé «essentiel». Il est un «guide remarquable», nécessaire à la mise en place du DES (n=2). Deux tuteurs jugent que trop de travaux sont demandés aux internes, impliquant «un bâclage des travaux» (n=1), dénonçant la réalité de la prise en charge des internes par leur tuteur nécessitant un minimum de 15 à 20h par an. Enfin, un tuteur s est déclaré «perdu» et a avoué «vouloir renoncer à son rôle de tuteur». Discussion Choix d un travail qualitatif Il permet d avoir une vision plus globale des opinions des internes et de leurs tuteurs. L objectif était de pouvoir cerner au plus près l appropriation du livret de certification. Il était donc nécessaire de recueillir un florilège de commentaires, d avis ou de critiques permettant de s approcher au mieux des représentations de l outil «livret de certification», et à travers lui, le choix de la méthode d évaluation. Le choix méthodologique initial s était porté sur l utilisation de focus group. Toutefois, la constitution de groupe homogène, volontaire a été délicate. Nous avons donc opté pour une enquête par questionnaire. Elle permet d avoir une parole plus libre même si le questionnaire ne se nourrit pas de la dynamique d une réflexion collective. Un certain nombre d items à questions fermées a été introduit, permettant d évaluer l investissement et la réalité de l utilisation du livret de certification. Il est d ailleurs intéressant de noter que nombre de participants avaient une vision très définitive du livret, des opinions très arrêtées ; ils déclaraient par ailleurs ne l avoir jamais lu, jamais rempli ni présenté aux enseignants. Cette notion est fondamentale à intégrer, pour voir que le premier frein à l utilisation d un outil est l à priori, la représentation négative que l on s en fait. Limite de cette étude Le choix de la date a été dicté par la contrainte de la présentation de ce mémoire. Il était probablement un peu tôt, huit mois après l introduction du livret. De nombreux internes n avaient eu qu un ou deux entretiens avec leur tuteur et la plupart n avaient pas de travaux 7

9 validés, réduisant ainsi la familiarisation avec l outil. Le nombre de participants est aussi limité, un tiers des internes et la moitié des tuteurs. Il n en demeure pas moins que, pour une étude qualitative, ce taux de participation permet un recueil suffisamment diversifié. Cette première étude pourra servir de préalable à un travail plus approfondi pour évaluer l adhésion au mode d évaluation et à ses outils. L évaluation, un enjeu pédagogique Finalement peut-on comprendre ou adhérer à une méthode d évaluation si on ne comprend ou n adhère pas au paradigme d apprentissage? Ce questionnaire a servi de tribune à un certain nombre de critiques plus sur le fond que sur l outil. Il est culturellement ou socialement difficile de sortir d un modèle d enseignement classique des études médicales débutées et ponctuées par des évaluations sanctionnantes. Devenir interne implique un nouveau rôle social. Il passe brutalement du statut d étudiant à celui de professionnel face au patient, aux familles et face à l institution. Il doit se convaincre d être capable, pour assumer cette responsabilité. Et dans ses efforts de réassurance, il n est pas toujours enclin à adhérer à un apprentissage qui lui demande de s évaluer, de se remettre en cause et faire preuve de ses compétences. Se persuadant d être médecin, il rechigne à prouver qu il peut être docteur. Dans cette période de changement et de doutes, la réflexivité n est pas toujours un fonctionnement spontané. C est tout l enjeu que d initier ce phénomène de «destruction reconstruction» pour pouvoir obtenir une adhésion des enseignés, mais aussi des enseignants au modèle d apprentissage. Par ailleurs, il ressort de certaines réponses, une dissociation entre ce qui est demandé à la faculté et l exercice hospitalier ou universitaire. Le modèle d apprentissage se base sur des situations authentiques. Il est difficile pour eux d intégrer que l apprentissage peut résider uniquement dans l analyse de leur pratique et non plus sur un travail «académique». Ils voient donc la traçabilité des apprentissages comme un travail en plus et ne l intègrent pas spontanément dans leur processus de formation. Ils revendiquent leur statut d «adulte» et trouve l apprentissage «trop scolaire» (alors que stricto sensu c est bien le contraire d un travail scolaire qui leur est demandé). Malgré tout, la place de l autoévaluation est jugée essentielle, de manière unanime. Elle est perçue comme constructive, permettant de se situer dans le temps présent par rapport à l avancée des apprentissages. Bien que ce chapitre soit jugé souvent «trop vaste», il remporte une bonne adhésion. Il est peut-être le chapitre le plus important du livret et devrait donc se situer en première partie, la validation des différents travaux étant finalement l aboutissement de ce travail personnel. Appropriation, clé de la qualité de l évaluation Il est sans doute trop tôt pour juger de la réelle appropriation du livret ; il n en demeure pas moins que son utilisation à ce jour reste modeste. Les déclarations des internes et des tuteurs sont concordantes : la moitié des étudiants ont présenté leur livret de certification à leur tuteur lors de l entretien individuel. De même, un seul tuteur a déclaré avoir fait des propositions et six internes ont déclaré avoir eu des commentaires ou des validations de la part de leur tuteur. On peut en tirer deux types d enseignement : -Tout d abord, les enseignants et enseignés ne sont pas encore familiarisés avec l outil, ce qui ressort nettement des commentaires des tuteurs. Cette introduction est nouvelle. Le document est épais et nécessite une lecture approfondie pour se l approprier. 8

10 -Ensuite, il est probable qu un certain nombre d internes mais aussi de tuteurs ne sont pas convaincus de l intérêt du livret lors des entretiens en tant qu outil de suivi et recueil de validation. La motivation des tuteurs est sans doute à renforcer, car ils sont les premiers promoteurs de l outil auprès des étudiants. Le préalable de l appropriation est la bonne compréhension de l outil et de son intérêt. La répartition des travaux à présenter se fait par compétence et non de façon chronologique. Ce choix est en parfaite adéquation avec l évaluation des apprentissages qui admet l autoévaluation, la collaboration des pairs et l absence de contrainte de temps. Cela oblige à une compréhension claire de la notion de «compétence», d «évaluation des apprentissages». Il apparaît que la notion de «compétence» est très confuse et est souvent résumée à une acquisition à obtenir, s intégrant dans une liste d objectifs à réaliser, retombant dans un paradigme d enseignement par objectif. On retrouve cette représentation chez les internes qui décrivent le livret comme «un carnet de note» ou «une liste des travaux obligatoires». Toutefois, l ensemble des compétences est en adéquation avec l image qu ils se faisaient de leur futur exercice. Ce n est pas la qualité des compétences mais la quantité de travaux à fournir qui pose problème pour un grand nombre d internes et la moitié des tuteurs. C est un des freins majeurs, évoqué pour justifier l absence d intérêt du livret. Une évaluation pertinente nécessite du temps : internes et tuteurs se plaignent d en manquer pour mener à bien cette tâche et présenter des travaux et des évaluations de qualité. Livret de certification, l outil En effet, les freins concernent plutôt le contenu. L intérêt du livret comme «guide» ou «récapitulatif» est souvent cité. D après Jouquan, «les étudiants s adaptent à ce que l on attend d eux ( ). Il n est pas acceptable que les étudiants soient placés en situation divinatoire par rapport aux intentions des enseignants» 1. Le livret de certification a pour objectif de rendre à l évaluation la place centrale qui est la sienne. Les objectifs de l évaluation 1 sont de motiver l étudiant, dépister les erreurs et les corriger, faire progresser les apprentissages, orienter les stratégies et permettre la promotion. Hormis le dernier point, toutes ces notions ont été évoquées dans les réponses, pour qualifier les intérêts portés aux deux premières parties, essentiellement pour la partie «autoévaluation». Les critiques sont clairement orientées sur la première partie jugée «redondante» par rapport à la seconde et finalement «plus administrative». Il est possible, comme précédemment évoqué, qu elle prenne plus la place de validation et face suite à la partie «autoévaluation». Finalement, la conclusion du questionnaire est relativement optimiste. Le livret est jugé utile pour les internes en premier lieu, pour leur tuteur et la validation du DES. Pari gagné? Malgré des freins notables et une résistance inébranlable de certains, la place de l outil semble être établie. Il est donc nécessaire de renforcer la motivation des internes et des tuteurs pour améliorer l adhésion et donc favoriser l appropriation. Critiques sur la forme du document Le qualificatif le plus souvent associé au livret de certification est «compliqué», c est tout autant imprécis que significatif. Tous veulent un livret «simplifié». Il est probable qu il faille 1 Jean JOUQUAN : l évaluation des apprentissages des étudiants en formation médicale initiale, Pédagogie Médicale, février 2002, vol 3, n 1, pp

11 modifier la première partie: faire un récapitulatif annuel, limiter le nombre de validation pour certains modules (cumul du cachet de la scolarité, de la signature de l ECA et de celle du tuteur), améliorer la lisibilité avec des tableaux moins fournis, être peut-être moins exhaustif pour certaines tâches. La consigne de validation de la participation active aux cours (avec présentation d un travail) par l administration et par les ECA n a pas été comprise par les internes car ils signaient déjà la liste d émargement dans le même but., D autant que, pour la même raison, les ECA et la scolarité ont refusé de signer les livrets de certification. Sur un plan pratique, il semble chronophage et soumis au risque d oubli du livret, de faire valider lors des cours. Les problèmes d horaire de la scolarité sont aussi un frein au remplissage régulier et risque de dériver vers un cumul de signatures en fin de cursus qui ne renseignerait sur rien. Peut-être est-il préférable de supprimer ces deux paramètres et laisser les validations du tuteur et du chargé d enseignement lors des stages. La place du journal de bord sous forme d items pose problème aux internes qui estiment qu il représente l essentiel du travail à fournir et mérite sa place à part entière. Un descriptif trop précis risque d alourdir encore le document et ne semble pas pertinent. Le risque d endommagement ou de perte du livret de certificat en version papier, format A4 est réel. Une réflexion sur une version informatique est en cours. Conclusion L appropriation du livret de certification par les internes et leurs tuteurs est encore incertaine. Toutefois, l intérêt porté à l outil est indéniable. Il est fondamental de renforcer l éducation des enseignants aussi bien sur l aspect central de l évaluation dans le processus d apprentissage que sur l aspect pratique de familiarisation de l outil afin de pouvoir le communiquer aux étudiants. Il mérite sans doute d être remanié afin d améliorer sa lisibilité. Ce travail a permis de mettre en avant un certain nombre de freins. Il faudra certainement reprendre un certain nombre de concepts pédagogiques ; justifier leur intérêt mais surtout en expliquer les modalités et la finalité afin de limiter les réticences liées à la traçabilité des apprentissages. Il faudra sans doute entendre la problématique de manque de temps pour pouvoir trouver une place plus importante à la formation lors des stages et un statut des tuteurs plus valorisé. Toutefois, cet outil reste une avancée notable dans l évaluation de la certification des compétences. 10

12 Annexes 11

13 Annexe 1 : Questionnaire des internes Réponse (texte libre) : Nom : Prénom: Nom de votre tuteur : A. Année d inscription 1 T1 1 2 T2 B. Précisez les dates d entretiens individuels déjà réalisés : - - C. Avez-vous présenté votre livret de certification à votre tuteur lors de chaque entretien individuel? 1 2 Non, pas lors de tous les entretiens 1 3 Non, lors d aucun entretien D. Si oui, aviez vous (plusieurs réponses possibles): 1 Fait remplir la première partie par vos chargés d enseignants facultaires (ECA) 1 2 Fait remplir la première partie par vos chargés d enseignement sur vos lieux de stage 1 3 Fait remplir la première partie par l administration 1 4 Fait remplir la première partie par votre tuteur 1 5 Rempli vous même la deuxième partie concernant l autoévaluation 1 6 Fait remplir ou rempli vous même aucune des deux parties E. Votre tuteur a-t-il fait des demandes, proposé des corrections ou demandé des explications concernant votre livret de certification? 1 2 Non F. Si oui, précisez : 12

14 La première partie : «certification des compétences» G. Avez-vous présenté votre livret de certification à l administration pour valider votre présence aux différents modules facultaires? 1 2 Parfois 1 3 Non G1 Si non ou parfois, pourquoi? H. Trouvez-vous le remplissage de cette partie? 1 Aisée 1 2 Plutôt aisée 1 3 Plutôt difficile 1 4 Difficile H1 Si vous avez répondu difficile ou plutôt difficile, précisez quelles sont vos difficultés? I. Pensez vous que cette première partie du livret de certification soit intéressante pour vous 1 2 Non I1Dans ce cas veuillez lister leurs intérêts que vous y voyer J. Dans cette partie, il est question de domaine de compétence, qu est-ce, pour vous, une compétence? K. Dans cette partie, les capacités du futur médecin généraliste que vous êtes, tournent autour de sept domaines de compétences. Est-ce l image que vous vous faisiez de votre futur exercice? 13

15 La deuxième partie : «autoévaluation» L. Remplissez-vous régulièrement la partie autoévaluation 1 jamais 1 2 une fois, à la fin du stage 1 3 quelques fois, avant les entretiens avec mon tuteur 1 4 mensuellement 1 5 de manière hebdomadaire 1 6 autre, précisez : M. Pourquoi avez-vous choisi ce rythme? N. Trouvez-vous le remplissage de cette partie? 1 Aisée 1 2 Plutôt aisée 1 3 Plutôt difficile 1 4 Difficile O. Si vous avez répondu difficile ou plutôt difficile, précisez quelles sont vos difficultés? P. Décrivez les intérêts qu a pour vous le chapitre «l autoévaluation» du livret de certification? Q. Dans cette partie, il est question d autoévaluation, qu est-ce pour vous l autoévaluation? R. Dites nous les intérêts que vous avez à vous auto évaluer? La troisième partie : «annexes» S. Avez-vous déjà eu recours à la troisième partie «annexes» du livret de certification? 1 2 Non S1.Si non, pourquoi? 14

16 S2.Si oui, dans quelles circonstances, l avez-vous utilisées (plusieurs réponses possibles):? 1 Par curiosité 1 2 Avant la réalisation d un travail 1 3 Après la réalisation d un travail, avant la présentation à un enseignant ou au tuteur 1 4 Après une demande de correction d un enseignant ou d un tuteur T. Décrivez les intérêts qu a le chapitre «annexes» du livret de certification pour vous? Globalement U. Trouvez vous que le livret de certification est un outil utile (plusieurs réponses possibles) : 1 Pour vous 1 2 Pour vos enseignants 1 3 Pour votre tuteur 1 4 Pour le jury du DES 1 5 Pour aucun des intervenants V. Auriez vous des propositions à faire pour améliorer ce livret? W. Commentaires libres 15

17 Annexe 2 : Questionnaire pour les tuteurs Réponse (texte libre) : Nom : Prénom: Administratif Pour chaque de vos tuteurés, précisez son année et les dates des entretiens individuels déjà réalisés depuis la rentrée 2007 NOM de l interne Année T1 ou T2 Dates des entretiens individuels A. Avez-vous un exemplaire du livret de certification? 1 2 Non B. En avez déjà pris connaissance? 1 2 Non B1. Si oui, pour quel(s) motif(s)? B2. Si non pour quel(s) motif(s)? C. Lors des entretiens individuels, les internes vous présentent-ils leur livret de certification :, tous les internes 1 2 Oui, certains : précisez en le nombre : 1 3 Jamais 16

18 La première partie : «Certification des compétences» D. Avez-vous vérifié l ensemble des modules normalement validés (par les ECA ou chargés d enseignement en stage)? 1 2 Partiellement 1 3 Non E. Avez vous trouvé que les modules qui devaient être validés par les enseignants ou par l administration, étaient facilement repérables? 1 2 Non E1. Si non, précisez : F. Avez-vous validé sur le livret de certification les travaux validables dans le cadre du DES? 1 2 Non F1. Si non, pourquoi? G. Trouvez-vous le remplissage de cette partie? 1 Aisée 1 2 Plutôt aisée 1 3 Plutôt difficile 1 4 Difficile G1. Si vous avez répondu difficile ou plutôt difficile, précisez quelles sont vos difficultés? H. A votre avis quel est l intérêt pour votre interne de la première partie du livret de certification? I. Décrivez les intérêts qu a la première partie du livret de certification pour vous, en tant que tuteur? 17

19 J. À la suite de l entretien avec votre tuteuré(e), lui avez-vous fait des commentaires, des demandes de corrections sur le remplissage de la première partie du livret de certification? 1 2 Non J1. Si oui, précisez lesquelles ou quels types de propositions : La deuxième partie : «autoévaluation» K. Avez-vous vérifié que votre interne avait rempli la partie «autoévaluation»? 1 2 Oui, mais pas systématiquement 1 3 Non K1. Si oui, mais pas systématiquement et non, pourquoi? L. Trouvez-vous que le remplissage par votre interne de cette partie est : 1 Aisée 1 2 Plutôt aisée 1 3 Plutôt difficile 1 4 Difficile L1. Si vous avez répondu difficile ou plutôt difficile, précisez quelles sont ses difficultés? M. A votre avis quel est l intérêt pour votre interne du chapitre «l autoévaluation» dans le livret de certification? N. Décrivez les intérêts qu a, pour vous, le chapitre «l autoévaluation» dans le livret de certification? O. A la suite de l entretien avec votre tuteuré, lui avez-vous fait des commentaires, des demandes de corrections sur le remplissage de la première partie du livret de certification? 1 2 Non O1. Si oui, précisez lesquelles : 18

20 La troisième partie : «annexes» P. Avez-vous déjà eu recours à la troisième partie «annexes» du livret de certification? 1 2 Non P1. Si non, pourquoi? P2.Si oui, dans quelles circonstances, l avez-vous utilisées (plusieurs réponses possibles)? 1 Par curiosité 1 2 Avant la lecture d un travail d un de vos tuteurés 1 3 Après la réalisation d un travail, pour trouver une réponse à un questionnement 1 4 Après une demande de correction d un enseignant Q. Décrivez les intérêts qu a le chapitre «annexes» du livret de certification pour vous? Globalement R. Trouvez vous que le livret de certification est un outil utile (plusieurs réponses possibles)? 1 Pour votre interne 1 2 Pour les enseignants 1 3 Pour vous-même, en tant que tuteur 1 4 Pour le jury du DES 1 5 Pour aucun des intervenants S. Auriez vous des propositions à faire pour améliorer ce livret? T. Commentaires libres 19

Université de Lorraine Licence AES LIVRET DE STAGE LICENCE 2014-2015

Université de Lorraine Licence AES LIVRET DE STAGE LICENCE 2014-2015 Université de Lorraine Licence AES LIVRET DE STAGE LICENCE 2014-2015 1 LA REDACTION DU RAPPORT DE STAGE Le mémoire ne doit pas consister à reprendre tels quels des documents internes de l entreprise ou

Plus en détail

Portefeuille. Bénévolat. de compétences. Modes d emploi pour. Tout bénévole Les jeunes Les actifs Les responsables d associations

Portefeuille. Bénévolat. de compétences. Modes d emploi pour. Tout bénévole Les jeunes Les actifs Les responsables d associations Bénévolat Portefeuille de compétences Modes d emploi pour Tout bénévole Les jeunes Les actifs Les responsables d associations Tout bénévole Votre mode d emploi Le Portefeuille de compétences vous aide

Plus en détail

Livret du Stagiaire en Informatique

Livret du Stagiaire en Informatique Université François-Rabelais de Tours Campus de Blois UFR Sciences et Techniques Département Informatique Livret du Stagiaire en Informatique Licence 3ème année Master 2ème année Année 2006-2007 Responsable

Plus en détail

Stages de recherche dans les formations d'ingénieur. Víctor Gómez Frías. École des Ponts ParisTech, Champs-sur-Marne, France

Stages de recherche dans les formations d'ingénieur. Víctor Gómez Frías. École des Ponts ParisTech, Champs-sur-Marne, France Stages de recherche dans les formations d'ingénieur Víctor Gómez Frías École des Ponts ParisTech, Champs-sur-Marne, France victor.gomez-frias@enpc.fr Résumé Les méthodes de l ingénierie ont été généralement

Plus en détail

Evaluation des stages hospitaliers par les étudiants en médecine

Evaluation des stages hospitaliers par les étudiants en médecine Evaluation des stages hospitaliers par les étudiants en médecine A partir du lundi 28 octobre, vous devrez évaluer votre stage d externe du premier trimestre effectué entre le 01/08/2013 et le 27/10/201.

Plus en détail

www.u-bordeaux3.fr Master 2 professionnel Soin, éthique et santé Mention Philosophie

www.u-bordeaux3.fr Master 2 professionnel Soin, éthique et santé Mention Philosophie www.u-bordeaux3.fr Master 2 professionnel Soin, éthique et santé Mention Philosophie Une formation approfondie à la réflexion éthique appliquée aux secteurs du soin et de la santé En formation continue,

Plus en détail

LIVRET DE SUIVI DE STAGE

LIVRET DE SUIVI DE STAGE Lycée Professionnel Pierre MENDES FRANCE BRUAY BARLIN 3ième Préparatoire aux Formations Professionnelles PÉRIODES DE DECOUVERTE EN MILIEU PROFESSIONNEL LYCÉE PIERRE MENDES FRANCE Rue de Saint-OMER 62700

Plus en détail

AGRÉMENT DES PROGRAMMES DE FORMATION D INFIRMIÈRE PRATICIENNE SPÉCIALISÉE (IPS) DOCUMENT DE PRÉSENTATION

AGRÉMENT DES PROGRAMMES DE FORMATION D INFIRMIÈRE PRATICIENNE SPÉCIALISÉE (IPS) DOCUMENT DE PRÉSENTATION AGRÉMENT DES PROGRAMMES DE FORMATION D INFIRMIÈRE PRATICIENNE SPÉCIALISÉE (IPS) DOCUMENT DE PRÉSENTATION NOVEMBRE 2010 PRÉAMBULE L agrément des programmes constitue un exercice important qui permet non

Plus en détail

M2S. Formation Management. formation. Animer son équipe Le management de proximité. Manager ses équipes à distance Nouveau manager

M2S. Formation Management. formation. Animer son équipe Le management de proximité. Manager ses équipes à distance Nouveau manager Formation Management M2S formation Animer son équipe Le management de proximité Manager ses équipes à distance Nouveau manager Coacher ses équipes pour mieux manager Déléguer et Organiser le temps de travail

Plus en détail

Animer une association

Animer une association FICHE PRATIQUE N 7 www.animafac.net gestion de projet Animer une association Une association vit mieux si elle est composée de plusieurs membres partageant un projet collectif. Si la loi 1901 est une loi

Plus en détail

Guide du mémoire de fin d études

Guide du mémoire de fin d études Guide du mémoire de fin d études à destination des enseignants et des étudiants Septembre 2011 AVERTISSEMENT Ce document rassemble les dispositions réglementaires d une part, le cadre des dispositions

Plus en détail

À l attention des parents (Le conseil étudiant travaillera à produire un questionnaire pour les élèves de l école.)

À l attention des parents (Le conseil étudiant travaillera à produire un questionnaire pour les élèves de l école.) À l attention des parents (Le conseil étudiant travaillera à produire un questionnaire pour les élèves de l école.) REMETTRE CE DOCUMENT AU SECRÉTARIAT DE L ÉCOLE OU NOUS LE FAIRE PARVENIR PAR COURRIEL

Plus en détail

La Validation des Acquis de l Expérience. avec l IFPASS. www.ifpass.fr

La Validation des Acquis de l Expérience. avec l IFPASS. www.ifpass.fr La Validation des Acquis de l Expérience avec l IFPASS www.ifpass.fr Le Pôle Orientation et VAE de l IFPASS Le Pôle Orientation et VAE de l IFPASS est au service des professionnels de l assurance, qu ils

Plus en détail

Dossier de suivi de stage d observation en entreprise en classe de 3 ème

Dossier de suivi de stage d observation en entreprise en classe de 3 ème Année scolaire 2014 2015 Dossier de suivi de stage d observation en entreprise en classe de 3 ème STAGE 3 ème Du 02/02/2015 au 06/02/2015 Nom et prénom de l élève : Classe de : Projet d orientation : Nom

Plus en détail

NOM:.. PRENOM:... CLASSE:.. STAGE EN ENTREPRISE. des élèves de...ème Du../../.. au./../.. Collège...

NOM:.. PRENOM:... CLASSE:.. STAGE EN ENTREPRISE. des élèves de...ème Du../../.. au./../.. Collège... NOM:.. PRENOM:... CLASSE:.. STAGE EN ENTREPRISE des élèves de...ème Du../../.. au./../.. Collège......... SOMMAIRE Avant le stage Le cahier de stage. 2 Conseil au stagiaire. 3 Fiche d identité de l élève

Plus en détail

Les instruments d une bonne gestion financière: budget et prévisions

Les instruments d une bonne gestion financière: budget et prévisions Chapitre 9 Les instruments d une bonne gestion financière: budget et prévisions Savoir utiliser son argent est un art et un art qui paie. Comme toutes les ressources, l argent peut être utilisé à bon ou

Plus en détail

Charte des Maîtres de Stage des Universités (MSU), en médecine générale

Charte des Maîtres de Stage des Universités (MSU), en médecine générale 1 Charte des Maîtres de Stage des Universités (MSU), en médecine générale Préambule L objectif du stage de deuxième cycle en médecine générale est d appréhender les grands principes et les spécificités

Plus en détail

Introduction à l évaluation des besoins en compétences essentielles

Introduction à l évaluation des besoins en compétences essentielles Introduction à l évaluation des besoins en compétences essentielles Cet outil offre aux conseillers en orientation professionnelle : un processus étape par étape pour réaliser une évaluation informelle

Plus en détail

EU Careers Mode d emploi de l inscription en ligne

EU Careers Mode d emploi de l inscription en ligne EU Careers Mode d emploi de l inscription en ligne Juillet 2015 Contenu 1) Votre compte EPSO 2) Auto-évaluation 3) Dossier de candidature 4) Communication 5) Attachez votre CV 2 1) Votre compte EPSO Votre

Plus en détail

LE STAGE EN ENTREPRISE

LE STAGE EN ENTREPRISE LE STAGE EN ENTREPRISE 1. Le stage : un projet à part entière Le stage est un projet qui s étale sur une longue période d environ dix mois (de la recherche de l entreprise à la soutenance) avec des objectifs,

Plus en détail

LIVRET DE SUIVI EN ENTREPRISE

LIVRET DE SUIVI EN ENTREPRISE LIVRET DE SUIVI EN ENTREPRISE Nom du tuteur Nom du stagiaire Formation préparée POUR LES EMPLOYEURS, À PARTAGER AVEC LEURS COLLABORATEURS! Le rôle du tuteur dans l entreprise est primordial Le tuteur est

Plus en détail

Fiche pratique n 12. Evaluation de la formation. Finalité. Mode opératoire. De quoi s agit-il? Quelle évaluation pour quels besoins?

Fiche pratique n 12. Evaluation de la formation. Finalité. Mode opératoire. De quoi s agit-il? Quelle évaluation pour quels besoins? Finalité De quoi s agit-il? Evaluer la formation est nécessaire pour toute entreprise qui souhaite connaître le «retour sur investissement» des actions de formation qu elle a initiées. Il convient de distinguer

Plus en détail

BTS MANAGEMENT DES UNITES COMMERCIALES GUIDE DU TUTEUR

BTS MANAGEMENT DES UNITES COMMERCIALES GUIDE DU TUTEUR BTS MANAGEMENT DES UNITES COMMERCIALES GUIDE DU TUTEUR Vous êtes tuteur d un étudiant en BTS management des unités commerciales. Ce guide vous est destiné : il facilite votre préparation de l arrivée du

Plus en détail

2.2 Objet du contrôle Il y a lieu de vérifier les points suivants de manière individuelle ou combinée.

2.2 Objet du contrôle Il y a lieu de vérifier les points suivants de manière individuelle ou combinée. Protection des données; examen périodique des applications informatiques; CONDITIONS GÉNÉRALES (également valables lors de recours à des sociétés d audit) 1 Quiconque souhaite charger une société d audit

Plus en détail

PHP 2 Pratique en santé publique fondée sur des données probantes

PHP 2 Pratique en santé publique fondée sur des données probantes PHP 2 Pratique en santé publique fondée sur des données probantes But Les professionnels de la santé publique suivent de plus en plus une approche fondée sur des données probantes lorsqu il s agit de planifier,

Plus en détail

GUIDE DU FORMATEUR INTERNE «L Animation de formation»

GUIDE DU FORMATEUR INTERNE «L Animation de formation» GUIDE DU FORMATEUR INTERNE «L Animation de formation» CEFOR Ressources humaines Version Février 2013 SOMMAIRE INTRODUCTION... 4 OBJECTIFS ET ORGANISATION DE LA FORMATION... 5 Les bénéficiaires de la formation...

Plus en détail

GUIDE DE CONSTITUTION DE DOSSIER EN VUE DE LA RECONNAISSANCE ET/OU DE L EQUIVALENCE DES DIPLOMES, TITRES ET GRADES DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR

GUIDE DE CONSTITUTION DE DOSSIER EN VUE DE LA RECONNAISSANCE ET/OU DE L EQUIVALENCE DES DIPLOMES, TITRES ET GRADES DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR CONSEIL AFRICAIN ET MALGACHE POUR L'ENSEIGNEMENT SUPERIEUR (C. A. M. E. S.) 01 B.P. 134 OUAGADOUGOU 01 (BURKINA FASO) Tél. : (226) 50.36.81.46 - Fax : (226) 50.36.85.73 Email : cames@bf.refer.org GUIDE

Plus en détail

QUELQUES CONSEILS AU PROFESSEUR STAGIAIRE POUR ASSEOIR SON AUTORITE

QUELQUES CONSEILS AU PROFESSEUR STAGIAIRE POUR ASSEOIR SON AUTORITE QUELQUES CONSEILS AU PROFESSEUR STAGIAIRE POUR ASSEOIR SON AUTORITE Le premier contact avec vos élèves est déterminant, il y a de nombreux éléments à prendre en compte pour le réussir. Un professeur doit

Plus en détail

DOSSIER D INSCRIPTION PÉDAGOGIQUE 2015-2016

DOSSIER D INSCRIPTION PÉDAGOGIQUE 2015-2016 1 UNIVERSITÉ PIERRE & MARIE CURIE LABORATOIRE DE PROBABILITÉS ET MODÈLES ALÉATOIRES Adresse Postale : 4, Place Jussieu Boîte courrier 188 75252 PARIS CÉDEX 05 Téléphone : 01.44.27.53.20. - Télécopie :

Plus en détail

PROTOCOLE POUR L ACCUEIL DES STAGIAIRES D ÉCOLES DE TRAVAIL SOCIAL

PROTOCOLE POUR L ACCUEIL DES STAGIAIRES D ÉCOLES DE TRAVAIL SOCIAL Actualisation 07/2009 PROTOCOLE POUR L ACCUEIL DES STAGIAIRES D ÉCOLES DE TRAVAIL SOCIAL Partie 1 : LE CADRE GENERAL I. OBJECTIFS DE L INSTITUTION DANS LA FORMATION PROFESSIONNELLE Participer à l effort

Plus en détail

LES CONDITIONS D ACCÈS AUX SERVICES BANCAIRES DES MÉNAGES VIVANT SOUS LE SEUIL DE PAUVRETÉ

LES CONDITIONS D ACCÈS AUX SERVICES BANCAIRES DES MÉNAGES VIVANT SOUS LE SEUIL DE PAUVRETÉ 3. Les crédits 3.1 Les crédits en cours 3.1.1 Les ménages ayant au moins un crédit en cours Un peu plus du quart, 31%, des ménages en situation de déclarent avoir au moins un crédit en cours. Il s agit

Plus en détail

SOCLE COMMUN: LA CULTURE SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE. alain salvadori IA IPR Sciences de la vie et de la Terre 2009-2010 ALAIN SALVADORI IA-IPR SVT

SOCLE COMMUN: LA CULTURE SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE. alain salvadori IA IPR Sciences de la vie et de la Terre 2009-2010 ALAIN SALVADORI IA-IPR SVT SOCLE COMMUN: LA CULTURE SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE alain salvadori IA IPR Sciences de la vie et de la Terre 2009-2010 ALAIN SALVADORI IA-IPR SVT SOCLE COMMUN ET PROGRAMMES La référence pour la rédaction

Plus en détail

Le nouveau dispositif sur l intermédiation

Le nouveau dispositif sur l intermédiation Le nouveau dispositif sur l intermédiation Une directive européenne du 9 décembre 2002 sur l intermédiation en assurance vient d être transposée en droit français par la loi du 15 décembre 2005. Un décret

Plus en détail

INTERNET ET SANTÉ. Proposition de titre : La certification : un moyen d améliorer la qualité des sites dédiés à la santé

INTERNET ET SANTÉ. Proposition de titre : La certification : un moyen d améliorer la qualité des sites dédiés à la santé QUESTIONS REPONSES INTERNET ET SANTÉ Proposition de titre : La certification : un moyen d améliorer la qualité des sites dédiés à la santé LE CONTEXTE Dispose t-on de données relatives à la fréquentation

Plus en détail

Acheter des actions de formation

Acheter des actions de formation L achat, quel enjeu? Acheter une action, c est acheter une prestation de services intellectuels qui nécessite un certain formalisme pour optimiser l achat au regard des enjeux. C est pourquoi, en complément

Plus en détail

Guide de l inscription en ligne des étudiants

Guide de l inscription en ligne des étudiants Bienvenue sur le site de l EDHEC. Cette inscription en ligne va vous permettre de renseigner votre dossier scolaire en indiquant les données utiles, telles que civilité et adresses, et le mode de règlement

Plus en détail

Ligne directrice du cours menant à une qualification additionnelle. Musique instrumentale (deuxième partie)

Ligne directrice du cours menant à une qualification additionnelle. Musique instrumentale (deuxième partie) Ligne directrice du cours menant à une qualification additionnelle Musique instrumentale (deuxième partie) Annexe D Règlement 184/97 Qualifications requises pour enseigner Mai 2005 This document is available

Plus en détail

PRET DE LISEUSES EN BIBLIOTHEQUE Les principaux enseignements de l expérimentation

PRET DE LISEUSES EN BIBLIOTHEQUE Les principaux enseignements de l expérimentation PRET DE LISEUSES EN BIBLIOTHEQUE Les principaux enseignements de l expérimentation CARACTERISTIQUES DU PROJET DE PRET DE LISEUSES Les partenaires : la BDY, bibliothèques des Yvelines, le MOTif, observatoire

Plus en détail

Cours Informatique de base INF-B101-2. Alphabétisation

Cours Informatique de base INF-B101-2. Alphabétisation Cours Informatique de base INF-B101-2 Alphabétisation Présentation du cours Informatique de base «La curiosité mène à tout : parfois à écouter aux portes, parfois à découvrir l'amérique.» José Maria Eça

Plus en détail

LIVRET DE FORMATION DU CERTIFICAT DE FORMATION A LA GESTION ASSOCIATIVE. Ce livret est remis au candidat lors de l inscription à la formation

LIVRET DE FORMATION DU CERTIFICAT DE FORMATION A LA GESTION ASSOCIATIVE. Ce livret est remis au candidat lors de l inscription à la formation LIVRET DE FORMATION DU CERTIFICAT DE FORMATION A LA GESTION ASSOCIATIVE Ce livret est remis au candidat lors de l inscription à la formation Livret de formation à la gestion associative Page 1 sur 5 Présentation

Plus en détail

CONSTRUIRE UNE QUESTION ET ELABORER UN QUESTIONNAIRE?

CONSTRUIRE UNE QUESTION ET ELABORER UN QUESTIONNAIRE? Déchets : outils et exemples pour agir Fiche méthode n 3 www.optigede.ademe.fr CONSTRUIRE UNE ET ELABORER UN NAIRE? Origine et objectif de la fiche : Les retours d expérience des collectivités locales

Plus en détail

Différencier, d accord oui mais comment organiser sa classe.

Différencier, d accord oui mais comment organiser sa classe. Différencier, d accord oui mais comment organiser sa classe. Quand on est convaincu que l on ne peut pas travailler tout le temps avec toute sa classe en même temps et que l on souhaite mettre en place

Plus en détail

Vers l amélioration continue

Vers l amélioration continue Vers l amélioration continue Devis d évaluation et planification des travaux sur l assurance qualité Document recommandé par le comité de suivi du Plan stratégique, le comité de Régie interne et la Commission

Plus en détail

PRÉPARER LA PREMIÈRE ÉPREUVE ORALE D ADMISSION OPTION EPS. DEVOIRS SUPPLÉMENTAIRES 1 et 2

PRÉPARER LA PREMIÈRE ÉPREUVE ORALE D ADMISSION OPTION EPS. DEVOIRS SUPPLÉMENTAIRES 1 et 2 CONCOURS DE RECRUTEMENT DE PROFESSEURS DES ÉCOLES PRÉPARER LA PREMIÈRE ÉPREUVE ORALE D ADMISSION OPTION EPS DEVOIRS SUPPLÉMENTAIRES 1 et 2 Rédaction Jean-Pierre GUICHARD Conseiller pédagogique en EPS Ministère

Plus en détail

Les allocataires des minima sociaux: CMU, état de santé et recours aux soins

Les allocataires des minima sociaux: CMU, état de santé et recours aux soins études résultats et N 603 octobre 2007 Les allocataires des minima sociaux: CMU, état de santé et recours aux soins Une enquête a été effectuée par la DREES au deuxième trimestre 2006 auprès de personnes

Plus en détail

Guide Convention de stage obligatoire

Guide Convention de stage obligatoire Guide Convention de stage obligatoire Bureau d aide à l insertion professionnelle (BAIP) http://pari.univ-ag.fr Courriel: baip@univ-ag.fr INFOS + Le bureau d aide à l insertion professionnelle Le bureau

Plus en détail

RÉSUMÉ DES NORMES ET MODALITÉS D ÉVALUATION AU SECONDAIRE

RÉSUMÉ DES NORMES ET MODALITÉS D ÉVALUATION AU SECONDAIRE , chemin de la côte Saint-Antoine Westmount, Québec, HY H7 Téléphone () 96-70 RÉSUMÉ DES NORMES ET MODALITÉS D ÉVALUATION AU SECONDAIRE À TRANSMETTRE AU PARENTS Année scolaire 0-0 Document adapté par Tammy

Plus en détail

Un contrat de respect mutuel au collège

Un contrat de respect mutuel au collège Apprentissage du respect - Fiche outil 01 Un contrat de respect mutuel au collège Objectifs : Décrire une action coopérative amenant élèves et adultes à s interroger sur leurs propres comportements en

Plus en détail

CECOP. Centre d études et de connaissances sur l opinion publique LES FRANCAIS ET LEUR RETRAITE. Une enquête CECOP/CSA pour Le Cercle des épargnants

CECOP. Centre d études et de connaissances sur l opinion publique LES FRANCAIS ET LEUR RETRAITE. Une enquête CECOP/CSA pour Le Cercle des épargnants Centre d études et de connaissances sur l opinion publique LES FRANCAIS ET LEUR RETRAITE Une enquête /CSA pour Le Cercle des épargnants Note d analyse Février 2009 S.A. au capital de 38.112,25 euros Siège

Plus en détail

S ONDAGE SUR LA SCOLARIS ATION E N MILIE U ORDINAIRE DES ENFANTS E N S ITUATION DE HANDICAP EN ELEMENTAIRE ET AU COLLEGE

S ONDAGE SUR LA SCOLARIS ATION E N MILIE U ORDINAIRE DES ENFANTS E N S ITUATION DE HANDICAP EN ELEMENTAIRE ET AU COLLEGE S ONDAGE SUR LA SCOLARIS ATION E N MILIE U ORDINAIRE DES ENFANTS E N S ITUATION DE HANDICAP EN ELEMENTAIRE ET AU COLLEGE - Sondage de l'institut CSA - - Note des principaux enseignements - N 1001198 Février

Plus en détail

RAPPORT DE STAGE NUMERIQUE : Aide-mémoire PREPARATION DU RAPPORT AU COURS DU STAGE

RAPPORT DE STAGE NUMERIQUE : Aide-mémoire PREPARATION DU RAPPORT AU COURS DU STAGE Collège Denecourt de Bois Le Roi 3 ème STAGE DE DÉCOUVERTE D UN MILIEU PROFESSIONNEL (SÉQUENCES D OBSERVATION) RAPPORT DE STAGE NUMERIQUE : Aide-mémoire PREPARATION DU RAPPORT AU COURS DU STAGE La règle

Plus en détail

Rapport candidat. John Sample. 6 juillet 2012 CONFIDENTIEL

Rapport candidat. John Sample. 6 juillet 2012 CONFIDENTIEL 6 juillet 2012 CONFIDENTIEL Introduction 6 juillet 2012 Introduction Toutes les informations contenues dans ce rapport sont confidentielles et uniquement destinées à la personne ayant rempli le questionnaire.

Plus en détail

EVALUATION DU DISPOSITIF DEPARTEMENTAL EDUCATIF DE FORMATION ET D INSERTION (D 2 EFI)

EVALUATION DU DISPOSITIF DEPARTEMENTAL EDUCATIF DE FORMATION ET D INSERTION (D 2 EFI) EVALUATION DU DISPOSITIF DEPARTEMENTAL EDUCATIF DE FORMATION ET D INSERTION (D 2 EFI) Note méthodologique relative à l outil de suivi en continu du projet de formation et du projet professionnel La direction

Plus en détail

Mon mémento Page 3. 1/ Pourquoi ce mémento? Page 4. 2/ Pourquoi s évaluer? Page 4. 3/ Comment utiliser ce mémento? Page 5

Mon mémento Page 3. 1/ Pourquoi ce mémento? Page 4. 2/ Pourquoi s évaluer? Page 4. 3/ Comment utiliser ce mémento? Page 5 «STAJ PRATIC BAFA» KIT PEDAGOGIQUE «STAJ PRATIC BAFA» MEMENTO ANIMATEUR Sommaire : Mon mémento Page 3 1/ Pourquoi ce mémento? Page 4 2/ Pourquoi s évaluer? Page 4 3/ Comment utiliser ce mémento? Page 5

Plus en détail

Enquête auprès des personnes favorables au don d organes

Enquête auprès des personnes favorables au don d organes Enquête auprès des personnes favorables au don d organes Cécile BAZIN - Jacques MALET Centre d étude et de recherche sur la Philanthropie Objectifs de l enquête L enquête s adresse exclusivement aux personnes

Plus en détail

Techniques de l informatique 420.AC. DEC intensif en informatique, option gestion de réseaux informatiques

Techniques de l informatique 420.AC. DEC intensif en informatique, option gestion de réseaux informatiques Plan de cours Techniques de l informatique 420.AC DEC intensif en informatique, option gestion de réseaux informatiques 420-691-MA Stage en entreprise Site du stage en entreprise : http://stages.cmaisonneuve.qc.ca/evaluation/1748/

Plus en détail

COLLEGE ANDRE LAHAYE

COLLEGE ANDRE LAHAYE COLLEGE ANDRE LAHAYE 1, Avenue de l Espérance 33510 ANDERNOS Tél : 05 56 82 07 23 CAHIER DE STAGE Année scolaire 2014-2015 CLASSE DE L ELEVE : 3 NOM :.. PRENOM :.. Date de naissance : / / Adresse :. Commune

Plus en détail

Livret de Stage en entreprise

Livret de Stage en entreprise Livret de Stage en entreprise Votre dossier est composé - de la présente notice explicative - d une convention de stage - d une fiche d évaluation NOTICE EXPLICATIVE POUR UN STAGE A- LA CONVENTION DE STAGE

Plus en détail

THEME : L ACCIDENT DE TRAVAIL

THEME : L ACCIDENT DE TRAVAIL THEME : L ACCIDENT DE TRAVAIL DÉFINITION DE L ACCIDENT DU TRAVAIL Il faut rappeler que tout ce qui arrive sur le lieu du travail n est pas constitutif d un accident du travail au sens légal du terme. La

Plus en détail

Préparation au concours d assistant des bibliothèques GUIDE DU STAGIAIRE

Préparation au concours d assistant des bibliothèques GUIDE DU STAGIAIRE GUIDE DU STAGIAIRE Préparation à distance à l épreuve écrite du concours d assistant des bibliothèques 1/12 SOMMAIRE I - Présentation générale... 3 1. Comment utiliser ce guide :... 3 2. Date de la préparation

Plus en détail

FORMATION AUX PREMIERS SECOURS

FORMATION AUX PREMIERS SECOURS Evènements FORMATION AUX PREMIERS SECOURS Mission Locale du Charolais - 17 rue Jean Bouveri - 71 130 GUEUGNON Structure support du projet Rappel de la mise en place et des objectifs de cette action. L

Plus en détail

Carnet de stage. en vue de l obtention du certificat de culture générale. Domaine socio-éducatif. Nom :... Prénom :... Classe : 3...

Carnet de stage. en vue de l obtention du certificat de culture générale. Domaine socio-éducatif. Nom :... Prénom :... Classe : 3... Ecole de culture générale Fribourg ECGF Fachmittelschule Freiburg FMSF Avenue du Moléson 17, 1700 Fribourg T +41 26 305 65 65, F +41 26 305 65 70 www.ecgffr.ch Carnet de stage en vue de l obtention du

Plus en détail

Organisation de la fin d année du Master 2 de stratégie de communication globale

Organisation de la fin d année du Master 2 de stratégie de communication globale Organisation de la fin d année du Master 2 de stratégie de communication globale Dossiers de suivi de stage - Rapport intermédiaire de Mission A rendre courant février (date précisée sur le site et sur

Plus en détail

ANNEXE 4. Réaliser un diagnostic de sécurité Principales méthodes de collecte d information. (Module 3, partie I, section 2.5)

ANNEXE 4. Réaliser un diagnostic de sécurité Principales méthodes de collecte d information. (Module 3, partie I, section 2.5) ANNEXE 4 Réaliser un diagnostic de sécurité Principales méthodes de collecte d information (Module 3, partie I, section 2.5) Dans les pages qui suivent, nous présentons neuf méthodes de collecte d information.

Plus en détail

FICHE 9 TECHNIQUE DU CHANGEMENT LE PLUS SIGNIFICATIF

FICHE 9 TECHNIQUE DU CHANGEMENT LE PLUS SIGNIFICATIF FICHE 9 TECHNIQUE DU CHANGEMENT LE PLUS SIGNIFICATIF COTA asbl 7, rue de la révolution 1000 Bruxelles www.cota.be COTA asbl Fiche 9 - Technique du changement le plus significatif Cette fiche s inscrit

Plus en détail

5. ACTEURS OBLIGATOIRES ET LEUR RÔLE

5. ACTEURS OBLIGATOIRES ET LEUR RÔLE 5. ACTEURS OBLIGATOIRES ET LEUR RÔLE 5.1. ÉTUDIANT OU STAGIAIRE EN FPI Personne qui suit des cours de FPI et/ou diplômé d un établissement de FPI depuis moins d un an. 5.1.1. Profil et exigences minimales

Plus en détail

Licence professionnelle Commerce en banque-assurance

Licence professionnelle Commerce en banque-assurance Formations et diplômes Rapport d'évaluation Licence professionnelle Commerce en banque-assurance Université Jean Moulin Lyon 3 Campagne d évaluation 2014-2015 (Vague A) Formations et diplômes Pour le HCERES,

Plus en détail

Projet Pédagogique. - Favoriser la curiosité intellectuelle par le partage des connaissances, des cultures et des échanges.

Projet Pédagogique. - Favoriser la curiosité intellectuelle par le partage des connaissances, des cultures et des échanges. Projet Pédagogique La scolarité vise à aborder les apprentissages en prenant en compte les compétences de chacun afin de permettre l épanouissement de tous. La communauté éducative propose donc un enseignement

Plus en détail

LICENCE PROFESSIONNELLE ASSURANCE BANQUE - FINANCE

LICENCE PROFESSIONNELLE ASSURANCE BANQUE - FINANCE LICENCE PROFESSIONNELLE ASSURANCE BANQUE - FINANCE Spécialité: Gestion Clientèle Particuliers Arrêté d habilitation : 20090979 REGLEMENT DU CONTRÔLE DES CONNAISSANCES 2013-2015 VU la loi 84-52 du 26 janvier

Plus en détail

GUIDE POUR AGIR. Comment RÉALISER. un bon C.V. J ORGANISE MA RECHERCHE. Avec le soutien du Fonds social européen

GUIDE POUR AGIR. Comment RÉALISER. un bon C.V. J ORGANISE MA RECHERCHE. Avec le soutien du Fonds social européen GUIDE POUR AGIR Comment RÉALISER un bon C.V. J ORGANISE MA RECHERCHE Avec le soutien du Fonds social européen Comment rédiger un C.V.? Vous démarrez votre recherche d emploi? Vous voulez mettre toutes

Plus en détail

Livret de suivi de la période de formation en milieu professionnel Certificat d Aptitude Professionnelle Réalisation en Chaudronnerie Industrielle

Livret de suivi de la période de formation en milieu professionnel Certificat d Aptitude Professionnelle Réalisation en Chaudronnerie Industrielle PROJET VERSION DU 20-03-2009 Livret de suivi de la période de formation en milieu professionnel Certificat d Aptitude Professionnelle Réalisation en Chaudronnerie Industrielle MAI 2009 DIRECTION GÉNÉRALE

Plus en détail

Rapport de stage Nom de l entreprise. Date du stage. Rapport de stage Nom de l entreprise. Date du stage. Nom du professeur principal

Rapport de stage Nom de l entreprise. Date du stage. Rapport de stage Nom de l entreprise. Date du stage. Nom du professeur principal RAPPORT DE STAGE 3 ème Quels conseils méthodologiques pour la réalisation de votre rapport Voilà des conseils et des questions pour vous aider dans la réalisation de votre rapport. Ils vous sont proposés

Plus en détail

Le livret. de formation. de la Fédération Française de Rugby. Photos I. Picarel - P. Rouzières - P. Capelle

Le livret. de formation. de la Fédération Française de Rugby. Photos I. Picarel - P. Rouzières - P. Capelle Le livret de formation de la Fédération Française de Rugby Photos I. Picarel - P. Rouzières - P. Capelle Fiche de renseignements Photo Numéro d affiliation éducateur :... Date d entrée en formation :...

Plus en détail

SUPPLEMENT AU DIPLOME

SUPPLEMENT AU DIPLOME SUPPLEMENT AU DIPLOME Préambule : «Le présent supplément au diplôme suit le modèle élaboré par la Commission européenne, le Conseil de l Europe et l UNESCO/CEPES. Le supplément vise à fournir des données

Plus en détail

UN DISPOSITIF DE FORMATION PARENTALE DANS UN MUSEE

UN DISPOSITIF DE FORMATION PARENTALE DANS UN MUSEE N 31 - AILINCAI Rodica [docteur en sciences de l éducation. Laboratoire Éducation & Apprentissages, Université Paris 5 1 ] UN DISPOSITIF DE FORMATION PARENTALE DANS UN MUSEE 1. Contexte et questions de

Plus en détail

LE DOSSIER PHARMACEUTIQUE

LE DOSSIER PHARMACEUTIQUE LE DOSSIER PHARMACEUTIQUE Septembre 2011 Arnaud ZEGIERMAN Amandine MESSINA www.institut-viavoice.com Viavoice Tel : +33(0)1 40 54 13 71 Mieux comprendre l opinion pour agir 9 rue Huysmans 75006 Paris +33

Plus en détail

RAPPORT FONCTION COMMERCIALE Philippe Dupont 30/10/13 Toute l information contenue dans ce rapport est confidentielle.

RAPPORT FONCTION COMMERCIALE Philippe Dupont 30/10/13 Toute l information contenue dans ce rapport est confidentielle. RAPPORT FONCTION COMMERCIALE Toute l information contenue dans ce rapport est confidentielle. Gordon - Exclusive Rights ECPA. SOSIE is a trademark of ECPA in France and/or other countries. INTRODUCTION

Plus en détail

ISBN-13 : 978-2-922325-43-0 Dépôt légal : Bibliothèque et Archives nationales du Québec, 2009

ISBN-13 : 978-2-922325-43-0 Dépôt légal : Bibliothèque et Archives nationales du Québec, 2009 REMERCIEMENTS AUX PARTENAIRES Cette étude a été réalisée grâce à la participation financière de la Commission des partenaires du marché du travail et du ministère de l Éducation, du Loisir et du Sport.

Plus en détail

MASTER DROIT, ECONOMIE, GESTION Mention DROIT PUBLIC

MASTER DROIT, ECONOMIE, GESTION Mention DROIT PUBLIC Adopté par le conseil d UFR le 10 juillet 2013 Voté au CA du 1 er octobre 2013 Adopté par la CFVU du 09 septembre 2013 MASTER DROIT, ECONOMIE, GESTION Mention DROIT PUBLIC Master année 1 Arrêté d habilitation

Plus en détail

L OBSERVATOIRE LCL EN VILLE - RÉALISÉ PAR BVA L ÉCONOMIE DU PARTAGE, ZOOM SUR LES JEUNES URBAINS. Juin 2014

L OBSERVATOIRE LCL EN VILLE - RÉALISÉ PAR BVA L ÉCONOMIE DU PARTAGE, ZOOM SUR LES JEUNES URBAINS. Juin 2014 L OBSERVATOIRE LCL EN VILLE - RÉALISÉ PAR BVA L ÉCONOMIE DU PARTAGE, ZOOM SUR LES JEUNES URBAINS Juin 2014 Contacts BVA : Céline BRACQ Directrice BVA Opinion Lilas BRISAC Chargée d études 01 71 16 88 00

Plus en détail

1. Présentation générale du volet «Recherche» du projet PASS

1. Présentation générale du volet «Recherche» du projet PASS 1. Présentation générale du volet «Recherche» du projet PASS Parallèlement aux activités d échange et d organisation des rencontres et du séminaire thématique, nous avons réalisé durant les premières phases

Plus en détail

GUIDE DU TUTEUR ACCUEIL D UN ETUDIANT EN BTS MUC. Management des Unités Commerciales. Stage de 1ère année

GUIDE DU TUTEUR ACCUEIL D UN ETUDIANT EN BTS MUC. Management des Unités Commerciales. Stage de 1ère année GUIDE DU TUTEUR Ce guide est complété par le tuteur durant la première année de BTS. Une copie doit être fournie au professeur et à l étudiant ACCUEIL D UN ETUDIANT EN BTS MUC Management des Unités Commerciales

Plus en détail

b) Fiche élève - Qu est-ce qu une narration de recherche 2?

b) Fiche élève - Qu est-ce qu une narration de recherche 2? Une tâche complexe peut-être traitée : Gestion d une tâche complexe A la maison : notamment les problèmes ouverts dont les connaissances ne sont pas forcément liées au programme du niveau de classe concerné

Plus en détail

Rédiger et administrer un questionnaire

Rédiger et administrer un questionnaire Rédiger et administrer un questionnaire Ce document constitue une adaptation, en traduction libre, de deux brochures distinctes : l une produite par l American Statistical Association (Designing a Questionnaire),

Plus en détail

L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES

L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES CONTEXTE 1. Pourquoi avoir élaboré un guide sur l éducation thérapeutique du En réponse à la demande croissante des professionnels de santé

Plus en détail

Les dossiers de l enseignement scolaire. l Éducation nationale et la formation professionnelle en France

Les dossiers de l enseignement scolaire. l Éducation nationale et la formation professionnelle en France Les dossiers de l enseignement scolaire 2010 l Éducation nationale et la formation professionnelle en France ministère éducation nationale L Éducation nationale et la formation professionnelle en France

Plus en détail

COMPTE RENDU DE LA RÉUNION DU 25/11/2014 RÉNOVATION DU BTS COMPTABILITÉ GESTION DES ORGANISATIONS

COMPTE RENDU DE LA RÉUNION DU 25/11/2014 RÉNOVATION DU BTS COMPTABILITÉ GESTION DES ORGANISATIONS COMPTE RENDU DE LA RÉUNION DU 25/11/2014 RÉNOVATION DU BTS COMPTABILITÉ GESTION DES ORGANISATIONS Ce document n a aucune valeur réglementaire et ne se substitue pas aux textes officiels INTRODUCTION La

Plus en détail

Université de Haute Alsace. Domaine. Sciences Humaines et Sociales. MASTER Mention Éducation, Formation, Communication UHA, ULP, Nancy 2

Université de Haute Alsace. Domaine. Sciences Humaines et Sociales. MASTER Mention Éducation, Formation, Communication UHA, ULP, Nancy 2 Centre Universitaire de Formation des Enseignants & des Formateurs Laboratoire Interuniversitaire de Sciences de l Education et de la Communication Université de Haute Alsace Domaine Sciences Humaines

Plus en détail

Plates-formes de téléformation et modèles pédagogiques

Plates-formes de téléformation et modèles pédagogiques POYET Françoise, (7095) Introduction Plates-formes de téléformation et modèles pédagogiques Depuis quelques années, on assiste à une stabilisation informatique des Technologies de l Information et de la

Plus en détail

MON LIVRET DE COMPETENCES EN LANGUE (Socle commun) Niveau A1/A2 / B1

MON LIVRET DE COMPETENCES EN LANGUE (Socle commun) Niveau A1/A2 / B1 Nom : Prénom :.. MON LIVRET DE COMPETENCES EN LANGUE (Socle commun) Niveau A1/A2 / B1 Récapitulatif pour la validation du Diplôme National du Brevet (Attestation du Niveau A2 en Langue Vivante) : ACTIVITES

Plus en détail

Etude Afci Andrh Inergie sur la communication managériale (3 ème édition)

Etude Afci Andrh Inergie sur la communication managériale (3 ème édition) Etude Afci Andrh Inergie sur la communication managériale (3 ème édition) L appropriation de la stratégie et sa démultiplication par les managers Juillet 2011 Contact Inergie Luc Vidal DGA Directeur associé

Plus en détail

Questionnaire sur la formation PLC2 en mathématiques (NOVEMBRE 2005)

Questionnaire sur la formation PLC2 en mathématiques (NOVEMBRE 2005) Questionnaire sur la formation PLC2 en mathématiques (NOVEMBRE 2005) Ces résultats correspondent à 18 questionnaires parmi les 26 stagiaires du groupe Amiens. Le total des réponses ne fait pas toujours

Plus en détail

Formations de formateurs

Formations de formateurs Formations de formateurs Document élaboré lors du séminaire en ingénierie de la formation au CREFECO (10-14 octobre 2011) animé par Michel Boiron, directeur du CAVILAM Alliance française Contenu Définition

Plus en détail

DOSSIER DE CANDIDATURE POUR LA RENTRÉE DE SEPTEMBRE 2012 MASTER GRANDE ECOLE POUR LES PROFESSIONNELS. Adresse permanente...

DOSSIER DE CANDIDATURE POUR LA RENTRÉE DE SEPTEMBRE 2012 MASTER GRANDE ECOLE POUR LES PROFESSIONNELS. Adresse permanente... Photo (à coller) DOSSIER DE CANDIDATURE POUR LA RENTRÉE DE SEPTEMBRE 2012 MASTER GRANDE ECOLE POUR LES PROFESSIONNELS Mme Mlle M. Nom.................................. Prénom................................

Plus en détail

DEMANDE D ÉVALUATION DES DIPLÔMES INTERNATIONAUX

DEMANDE D ÉVALUATION DES DIPLÔMES INTERNATIONAUX WES_BrochureFrench.qxd:WES_brochure.qxd 12-11-27 10:01 AM Page 1 Des évaluations de diplôme crédibles Faire évaluer vos diplômes par WES peut vous donner l avantage sur les autres étudiants. Votre rapport

Plus en détail

Consultation 2014-2015

Consultation 2014-2015 Consultation 2014-2015 Synthèse des résultats de la consultation nationale sur le projet de socle commun de connaissances, de compétences et de culture MINISTÈRE DE L ÉDUCATION NATIONALE, DE L ENSEIGNEMENT

Plus en détail

GUIDE POUR AGIR. Comment identifier ses. SAVOIR-FAIRE et. ses QUALITÉS J ORGANISE MA RECHERCHE. Avec le soutien du Fonds social européen

GUIDE POUR AGIR. Comment identifier ses. SAVOIR-FAIRE et. ses QUALITÉS J ORGANISE MA RECHERCHE. Avec le soutien du Fonds social européen GUIDE POUR AGIR Comment identifier ses SAVOIR-FAIRE et ses QUALITÉS J ORGANISE MA RECHERCHE Avec le soutien du Fonds social européen Identifier ses savoir-faire et ses qualités, pour quoi faire? Vous ne

Plus en détail

LIVRET DE SUIVI DE SCOLARITE EN SEGPA RELEVE DE COMPETENCES

LIVRET DE SUIVI DE SCOLARITE EN SEGPA RELEVE DE COMPETENCES Académie d Aix-Marseille Année scolaire LIVRET DE SUIVI DE SCOLARITE EN SEGPA RELEVE DE COMPETENCES NOM : Prénom : Livret de suivi de scolarité en SEGPA Préambule à l attention des enseignants L objectif

Plus en détail