Mark E. White, surintendant auxiliaire, Secteur de la réglementation Bureau du surintendant des institutions financières Canada
|
|
- Arsène Beauchamp
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Conscients du passé, tournés vers l avenir Mark E. White, surintendant auxiliaire, Secteur de la réglementation Bureau du surintendant des institutions financières Canada Forum sur invitation concernant l assurance multirisques Cambridge (Ontario) Le jeudi 13 mai 2010 LE TEXTE PRONONCÉ FAIT FOI Renseignements Jason LaMontagne Communications et consultations jason.lamontagne@osfi-bsif.gc.ca
2 Allocution de Mark E. White, surintendant auxiliaire, Secteur de la réglementation, Bureau du surintendant des institutions financières Canada, dans le cadre du Forum sur invitation concernant l assurance multirisques Cambridge (Ontario) Le jeudi 13 mai 2010 Conscients du passé, tournés vers l avenir Introduction Je vous remercie de votre invitation. S il y a une chose que nous n avons guère eu le temps de faire au cours des deux dernières années, c est bien de s ennuyer et, même si la prudence reste de mise, les nuages semblent commencer à se dissiper enfin. Les perturbations des deux dernières années ont sans doute incité le BSIF à accorder plus d importance aux banques, aux marchés de capitaux et aux risques systémiques, mais d importants faits nouveaux touchent le secteur des assurances multirisques, et c est ce dont je veux vous entretenir aujourd hui. État du secteur Premièrement, passons brièvement en revue les faits marquants de la dernière année pour faire le point sur la situation du secteur de l assurance multirisques. Les résultats financiers de 2009 ne sont pas très différents de ceux de Le revenu net est stable, à 2,5 milliards de dollars; Le rendement des capitaux propres est relativement stable mais certainement pas astronomique, à 7,5 %; Le ratio d exploitation combiné reste inchangé, à 100 %. Or, pour utiliser l image d un canard semblant nager tranquillement à contre-courant, il suffit de jeter un coup d œil juste sous la surface pour être témoin d une activité fébrile. Passons d abord en revue le rendement du secteur en
3 Capital Le Test du capital minimal / Test de suffisance de l actif des succursales (TCM/TSAS) s est établi à 250 % à la fin de 2009, soit 12 points de plus que l année précédente, et nous espérons qu il s agit du plancher du présent cycle. Les reculs du capital ces dernières années ont été peu de choses comparativement à la dégringolade observée au début des années C est évidemment une excellente nouvelle, mais en quoi est-ce différent cette fois? Permettez-moi de suggérer deux raisons. Premièrement, les résultats techniques du secteur ont moins souffert qu il y a sept ou huit ans, peut-être parce que le cycle de souscription n est pas au diapason avec le cycle économique. Deuxièmement, au cours du présent cycle de souscription, nous avons observé une amélioration générale du niveau et de la qualité de la gestion du capital à l échelle du secteur. La gestion améliorée du capital fait que le secteur se porte mieux. Pendant cette période de contraction, toutes les sociétés ont maintenu un niveau de capital supérieur aux cibles de surveillance ce qui n était certainement pas le cas en De plus, les autres éléments du résultat étendu associés aux placements disponibles à la vente ont rebondi, passant d une perte de 900 millions de dollars en 2008 à un gain de 1,8 milliard en Bien qu il n y ait pas eu d impact sur le revenu net, cela représente tout de même une hausse significative du capital global. Le secteur des assurances multirisques semble avoir eu raison de décliner l offre du BSIF en vue d exclure du capital les gains et les pertes sur titres de créance disponibles à la vente. Je note par contre que, tant que ces gains ne sont pas réalisés, les sociétés auraient avantage à ne pas miser dessus pour se développer. Revenu de placement Le revenu de placement avant gains la tranche que l on peut raisonnablement considérer comme relativement réalisable année après année a diminué l an dernier, tant en termes réels qu en termes nominaux. Le rendement s est établi à 3,7 %, en baisse de 70 points de base. Cela ne devrait surprendre personne puisque les actifs à rendement plus élevé viennent à échéance et doivent être remplacés par les actifs moins productifs d aujourd hui. Par ailleurs, les marchés de capitaux ont quelque peu rebondi en 2009 et le secteur a réalisé un gain net de 200 millions de dollars. Cela représente un redressement de 500 millions qui a suffi à compenser la baisse du revenu de placement au jour le jour. Le problème est que ces gains ne sont pas fiables et peuvent se transformer rapidement en pertes les années suivantes. 2
4 Au chapitre des placements, donc, la tranche de revenu prévisible diminue alors que d autres composantes ont nettement fait demi-tour l an dernier. Étant de nature prudente, nous avons surveillé de près les éléments prévisibles et nous atténuons la récurrence d une appréciation des actifs. En fait, une augmentation probable de l ensemble des taux d intérêt nous fait craindre une dévaluation des actifs. Résultats techniques Les résultats techniques trimestriels sont en baisse depuis plusieurs années. Cette tendance est habituellement interrompue à la fin de l année, avec l ajustement de la réserve des années précédentes pour l assurance contre les accidents. Cette tendance s est poursuivie à la fin de 2009; l ajustement de la réserve a reflété l évolution de contexte juridique des limites d indemnisation pour blessures mineures en assurance automobile en Alberta et en Nouvelle-Écosse, un phénomène dont nous pensons qu il s estompera bientôt. À la fin de 2009, la situation du secteur de l assurance automobile à l échelle du pays n avait guère changé. Or, si l on tient compte de l amélioration marquée en Alberta et en Nouvelle-Écosse, elle a continué de se détériorer en Ontario. Ce n est que dans quelques mois en septembre 2010 que les réformes de l assurance automobile en Ontario prendront effet. Cela dit, nous sommes heureux de constater que la hausse cumulative des taux des primes en Ontario dépasse maintenant la progression annuelle des frais de règlement. Les résultats techniques ne dépendent pas uniquement de l assurance automobile. Il y a d autres secteurs névralgiques. Nous sommes conscients du repli des marchés d assurance de biens, largement attribuable aux mauvaises conditions météorologiques. Pour le moment, après un hiver relativement doux (dans la plupart des régions du Canada, du moins), le secteur de l assurance des propriétaires-occupants semble marquer une pause. Autant quelques mois de conditions météo clémentes peuvent donner un coup de pouce aux ratios des sinistres, autant un retour aux «nouvelles conditions météo normales» aura l effet contraire. Ici, le secteur semble avoir pris les mesures collectives qui s imposaient puisque la tarification évolue en fonction de la nouvelle réalité de souscription, et un équilibre raisonnable devrait se rétablir à condition, bien sûr, qu il n y ait pas d incidents climatiques imprévus. Il reste que je profite d un sommeil plus réparateur sachant que vos simulations de crise tiennent compte de ces événements indésirables mais probables. Les marchés d assurance commerciale ne sont guère homogènes, et il est difficile d en faire l objet de commentaires généraux. Certains marchés se portent très bien, alors que les résultats affichés par d autres ne sont guère de nature à réchauffer le cœur des actionnaires ou des organismes de réglementation. Nous entendons parler d un durcissement des taux dans certaines branches mais, d après d autres sources, c est tout juste si les taux se maintiennent. Il aura beau 3
5 nager de toutes ses forces, le canard de tantôt ne semble guère avancer quand le courant est fort. Préoccupations actuelles Tout compte fait, le BSIF s attend à ce que les résultats des assureurs multirisques pour 2010 soient partagés. La capitalisation est saine, et nous savons qu elle a permis à le secteur d affronter les problèmes qui ont marqué les dernières années, mais cette dernière n est pas tout à fait au bout de ses peines. Voici cinq préoccupations que nous entretenons à l heure actuelle : 1. Taux d intérêt bas : Malgré la perspective d une hausse, nous traversons une période exceptionnelle de taux d intérêt très bas, et le rendement des placements n augmentera pas de façon dramatique à court terme. Cette période de «marée basse» pourrait fragiliser les assureurs qui misent trop sur le rendement des placements plutôt que sur les résultats techniques. 2. Assurance automobile en Ontario : Le secteur de l assurance automobile en Ontario devra patienter plusieurs mois encore avant que les réformes gouvernementales ne s appliquent aux nouvelles affaires et aux renouvellements. Tout en restant prudents, nous croyons que les réformes auront l effet souhaité de tempérer la poussée par ailleurs inexorable des frais de règlement tout en diversifiant les choix qui s offrent au consommateur. 3. Limites de responsabilité en assurance automobile : Dans les autres provinces, même si 2010 sera moins pénible que 2009, le secteur de l assurance automobile subira des changements hors du contrôle des assureurs, comme la possibilité qu en Alberta et en Nouvelle-Écosse, on recouvre le «cadeau» dont on estime que les assureurs ont reçu par l effet des jugements sur les limites d indemnisation pour blessures mineures. 4. Tarification en assurance de biens : On est à établir la nouvelle tarification et le nouveau régime de souscription dans le secteur de l assurance de biens; on cherche aussi à corriger le problème du ratio de l assurance à la valeur. Ces mesures s imposent sous l angle des profits et pertes, mais elles pourraient susciter des critiques si les conditions météorologiques favorables à court terme devaient se traduire par des taux de sinistres exceptionnellement favorables alors que l assurance habitation devient de moins en moins abordable. 5. Concurrence en assurance commerciale : L assurance commerciale demeure très concurrentielle, ce qui laisse peu de marge de manœuvre pour absorber les pertes importantes, que le secteur a heureusement pu éviter en bonne partie en Toutefois, certaines branches comme l assurance responsabilité des administrateurs et des dirigeants ont tendance à accuser un retard en période de récession. 4
6 Le secteur reste confrontée à de nombreux autres défis comme ceux issus d un contexte économique incertain, la mise en œuvre des Normes internationales d information financière (IFRS) et la modification des exigences de capital attribuable aux normes IFRS ou à l obligation pour le BSIF de maintenir un cadre de réglementation intégré. Les entreprises doivent donc rester vigilantes et prudentes en ce qui touche la gestion du capital. Gestion des risques inhérents au secteur Parlons maintenant de la contribution de la gestion robuste des risques au succès futur des assureurs multirisques. Comme nous le savons, le Canada et le secteur des assurances multirisques ont relativement bien fait au cours de la récente crise financière. Bien que ce succès découle en partie d une saine gestion des risques, nous ne pouvons nous asseoir sur nos lauriers. Il faut veiller à ce que les pratiques de gestion des risques continuent de refléter la complexité de nos activités. Bien qu il y en ait d autres, permettez-moi de mentionner quatre domaines où les assureurs multirisques doivent continuer d insister sur la gestion des risques : 1. Instabilité des prix et des bénéfices : Le secteur des assurances multirisques se caractérise par une vive concurrence au chapitre des prix et est sujette à des cycles où les prix sont parfois trop bas pour couvrir les sinistres. Cette source potentielle d instabilité est amplifiée par la variabilité des résultats techniques dans un secteur où la taille, la tolérance au risque, la complexité et la gamme d activités des institutions diffèrent. 2. Réglementation des prix : Dans certaines branches, les modalités de tarification et de règlement des sinistres sont étroitement réglementées et donc inflexibles, du moins à court terme. 3. Risques importants et imprévisibles : D autres branches se caractérisent par des sinistres qui peuvent être très importants mais peu fréquents, ce qui les rend difficiles à prévoir et à régler. Dans certains cas, les réclamations peuvent s échelonner sur des décennies, ce qui les assujettit à l évolution du contexte social et juridique. 4. Risques financiers : Le secteur est également exposée à d importants risques financiers et d investissement de crédit et de marché. Ces risques sont inextricablement liés au risque opérationnel et au risque d assurance. Cela rend la tarification précise extrêmement difficile, et fait en sorte que les résultats d exploitation et les ratios de capital sont volatils. 5
7 Les processus de gestion des risques sont extrêmement importants pour toutes les composantes du secteur des services financiers. La crise financière mondiale a suscité une réflexion sur la façon dont les risques étaient gérés avant cette crise. À notre avis, les pratiques de gestion des risques continueront d être scrutées à la loupe partout à travers le monde. Les entreprises se faisant concurrence pour obtenir des capitaux et attirer des clients ont encore plus besoin de pratiques améliorées de gestion des risques. Même si le secteur des assurances multirisques devance peut-être les autres secteurs pour la gestion de risques spécifiques (grâce, p. ex., à la modélisation de certaines catastrophes), il faut reconnaître que la mise en place de la gestion du risque global (GRG) et des processus connexes d évaluation des risques à l échelle de l entreprise s y déroule plus lentement. Bien qu il importe de cerner et de gérer les risques propres à chaque branche d assurance, à l échelon suivant de la gestion des risques, l institution doit disposer d un processus pour regrouper les risques individuels afin d avoir une idée du risque global. La GRG permet à une entité de déterminer le tracé à suivre pour naviguer en eaux troubles, et de profiter au maximum des périodes d accalmie. La GRG permet à l assureur de cerner les risques qui peuvent avoir atteint un niveau inacceptable, ou les corrélations qui amplifient ou couvrent d autres risques. L institution dispose alors de l information requise pour prendre des décisions d affaires qui reflètent son appétit pour le risque et sa santé financière. Voici quatre pratiques exemplaires de GRG sur lesquels nous insistons dans tous les secteurs : 1. Soutien de la haute direction : Le succès de la GRG dépend de la participation de la haute direction. Cela favorise une culture prospective de sensibilisation au risque qui cherche à déceler et à gérer les risques émergents avant qu ils ne deviennent problématiques. 2. Définition de l appétit pour le risque : Les institutions doivent mieux définir leur appétit pour le risque. Les conseils d administration doivent sanctionner cet appétit pour le risque et en assurer l observation, en plus d en assumer la formulation et la mise en œuvre. 3. Chef de la gestion des risques : La désignation d un chef indépendant de la gestion des risques est fortement encouragée. Nous reconnaissons que les mêmes processus de gestion des risques ne conviennent pas toujours. Mais l on s attend au moins à ce que les institutions aient dans leurs rangs un cadre supérieur dont les fonctions gravitent principalement, voire exclusivement, autour de la gestion des risques. 6
8 4. Forum des chefs de la gestion des risques : Un forum des chefs de la gestion des risques a été mis sur pied par le secteur de l assurance-vie, et il en existe un dans le secteur bancaire. Cette tribune met l accent sur le développement et la promotion de pratiques exemplaires de gestion des risques. Elle permet aux chefs de la gestion des risques de discuter des défis auxquels ils sont confrontés. Le secteur des assurances multirisques aurait peut-être intérêt à se doter d un mécanisme semblable. La gestion des risques est évidemment un rouage important du secteur des services financiers. Les entreprises qui vont au-delà des attentes et mettent en place les gens et les systèmes nécessaires à la gestion de leurs risques sont moins susceptibles d être prises au dépourvu. La GRG est un aspect important de la gestion des risques. Elle peut aider le canard qui essaie de nager à contre-courant à quitter ces eaux turbulentes pour trouver un endroit beaucoup plus sûr, où la nourriture est plus abondante. Modifications réglementaires Les organismes de réglementation encadrent la gestion des risques. Même si la crise financière nous a rappelé encore une fois que la réglementation ne peut se substituer à une bonne gestion des risques, il demeure important que la réglementation suivent l évolution du marché. Le secteur des assurances multirisques profite d une accalmie réglementaire relative depuis quelques années, mais cela est en train de changer. Divers travaux sont en cours, et de nouvelles lignes directrices sont en préparation. Certaines de ces initiatives ont été lancées par le BSIF ou par le secteur, mais quelques-uns de ces changements sont le résultat de tensions extérieures. La crise financière et l intérêt qui en découle pour la réglementation financière de la part du Groupe des Vingt (G20) et du Conseil de stabilité financière (CSF) ont incité les organismes de réglementation à améliorer leurs cadres de réglementation. L un des principaux enseignements de la crise est que la réglementation doit reposer sur des principes qui peuvent être assimilés, qui peuvent être adaptés selon l évolution de la situation et qu il est difficile de soumettre à l arbitrage. Si elle s appuie sur des règles trop prescriptives, elle doit être mise à jour. Même si notre cadre de réglementation des assurances multirisques a bien fonctionné, il requiert une telle mise à jour à certains égards. Il y a aussi le Conseil des normes comptables internationales (IASB) qui, par l entremise de la phase I et bientôt de la phase II de la norme IFRS 4, oblige les assureurs et les organismes de réglementation à revoir leurs modèles d affaires et leurs cadres de surveillance. Puisque la comptabilité est l une des assises de notre cadre de réglementation, les modifications des normes comptables ont une très forte incidence sur la façon dont le BSIF réglemente les institutions financières. 7
9 Le secteur a également demandé au BSIF de faire en sorte que le TCM soit plus sensible aux risques. Nous avons donc accepté d examiner diverses questions soulevées par le secteur et quelques-unes que nous avions nous-mêmes et de proposer des modifications du TCM. Pour en vérifier l impact, le BSIF a lancé un appel de données et il évaluera l information recueillie. Le BSIF améliore également d autres consignes. Il prépare notamment : de nouvelles consignes sur la simulation de crise (ligne directrice E-18) afin d améliorer la gestion des risques et les processus de mesure; la mise à jour des consignes sur l établissement de cibles de capital internes; une nouvelle ligne directrice sur les pratiques de gestion du risque de réassurance en vue de consulter le secteur. Cela favorisera l utilisation des lettres de crédit à titre de sûretés pour la réassurance non agréée et permettra d assouplir les conventions de sûreté au titre de la réassurance non agréée. Ces changements progressent rapidement et parfois simultanément, ce qui en complique la mise en œuvre. Le temps et les ressources que le BSIF et le secteur peuvent consacrer à ces projets complexes sont limités. Nous reconnaissons que certaines échéances pour l achèvement de ces travaux font que nous avons tous plus de difficulté à assurer la planification à long terme et la gestion des risques, mais le statu quo d avant la crise n est plus acceptable. Il faut donc aller de l avant. Conclusion Je vous remercie de m avoir offert l occasion de vous faire part du point de vue du BSIF à propos de ces enjeux de taille et des questions sur lesquelles nous mettons l accent. Je m attends à ce que 2010 soit une autre de ces nombreuses «années intéressantes» pour le secteur des assurances multirisques. Si nous travaillons ensemble, je crois que nous pouvons continuer de renforcer un secteur névralgique à laquelle les Canadiennes et les Canadiens font confiance. Je vous remercie. 8
Toronto (Ontario) Le vendredi 26 octobre 2007 L ÉNONCÉ FAIT FOI. Pour de plus amples renseignements, s adresser à :
Allocution présentée par la surintendante Julie Dickson Bureau du surintendant des institutions financières Canada (BSIF) dans le cadre du Colloque des affaires réglementaires du Bureau d assurance du
Plus en détailCompte rendu de l examen par le BSIF des coefficients du risque d assurance
Compte rendu de l examen par le BSIF des coefficients du risque d assurance Le présent document précise encore davantage les données et la méthodologie utilisées par le BSIF pour calculer les marges pour
Plus en détailCoup d œil sur l assurance prêt hypothécaire de la SCHL
Coup d œil sur l assurance prêt hypothécaire de la SCHL Au Canada, en vertu de la loi, les prêteurs assujettis à la réglementation fédérale et la plupart des institutions financières assujetties à une
Plus en détailIntact Corporation financière annonce ses résultats du troisième trimestre
Communiqué de presse TORONTO, le 2 novembre 2011 Intact Corporation financière annonce ses résultats du troisième trimestre Résultat opérationnel net par action de 0,97 $ attribuable aux résultats en assurance
Plus en détailIntact Corporation financière annonce ses résultats du deuxième trimestre
Communiqué de presse TORONTO, le 29 juillet 2015 Intact Corporation financière annonce ses résultats du deuxième trimestre Résultat opérationnel net par action de 1,56 $ avec un ratio combiné de 91,6 %.
Plus en détailChronique Assurances et gestion des risques. sous la responsabilité de Gilles Bernier 1
Chronique Assurances et gestion des risques sous la responsabilité de Gilles Bernier 1 Puisque ce numéro de la Revue, tout comme celui de janvier 2004, est consacré à l assurance automobile, j ai choisi
Plus en détailINTACT CORPORATION FINANCIÈRE ANNONCE SES RÉSULTATS DU DEUXIÈME TRIMESTRE DE 2010
Communiqué de presse TORONTO, le 5 août 2010 INTACT CORPORATION FINANCIÈRE ANNONCE SES RÉSULTATS DU DEUXIÈME TRIMESTRE DE 2010 Bénéfice net d exploitation par action en hausse de 34 % en raison de l amélioration
Plus en détailConsultation sur le référencement entre assureurs de dommages et carrossiers. Commentaires présentés à L Autorité des marchés financiers
entre assureurs de dommages et carrossiers Commentaires présentés à L Autorité des marchés financiers Novembre 2006 entre assureurs de dommages et carrossiers 2 PRÉAMBULE Le Groupement des assureurs automobiles
Plus en détailBanque Zag. Troisième pilier de Bâle II et III Exigences de divulgation. 31 décembre 2013
Banque Zag Troisième pilier de Bâle II et III Exigences de divulgation 31 décembre 2013 Le présent document présente les informations au titre du troisième pilier que la Banque Zag (la «Banque») doit communiquer
Plus en détailCanadian Institute of Actuaries Institut Canadien des Actuaires
Canadian Institute of Actuaries Institut Canadien des Actuaires MÉMOIRE DE L INSTITUT CANADIEN DES ACTUAIRES DESTINÉ AU SURINTENDANT DES INSTITUTIONS FINANCIÈRES DE L ALBERTA, MINISTÈRE DES FINANCES DE
Plus en détailNOTE D INFORMATION. Conseils sur l autoévaluation en matière de cybersécurité
Date : Le 28 octobre 2013 NOTE D INFORMATION Destinataires : Institutions financières fédérales Objet : Conseils sur l autoévaluation en matière de cybersécurité Les cyberattaques sont de plus en plus
Plus en détailLigne directrice sur les simulations de crise à l intention des régimes de retraite assortis de dispositions à prestations déterminées
Ligne directrice Objet : Ligne directrice sur les simulations de crise à l intention des régimes de retraite assortis de dispositions à prestations déterminées Date : Introduction La simulation de crise
Plus en détailÉNONCÉ DE PRINCIPES LE COMMERCE ÉLECTRONIQUE DES PRODUITS D ASSURANCE
ÉNONCÉ DE PRINCIPES LE COMMERCE ÉLECTRONIQUE DES PRODUITS D ASSURANCE Le présent document reflète le travail d organismes de réglementation membres du CCRRA. Les opinions qui y sont exprimées ne doivent
Plus en détailInformation Le secteur des services financiers canadien
Les assurances multirisques au Canada Aperçu Information Le secteur des services financiers canadien L industrie canadienne des assurances multirisques couvre les risques de toutes les branches d assurance,
Plus en détailDEUXIÈME ÉTUDE D'IMPACT QUANTITATIVE SUR LE RISQUE DE MARCHÉ SOMMAIRE DES RÉSULTATS
Deuxième étude d impact quantitative sur le risque de marché Sommaire des résultats Comité mixte BSIF, AMF et Assuris Janvier 2011 DEUXIÈME ÉTUDE D'IMPACT QUANTITATIVE SUR LE RISQUE DE MARCHÉ SOMMAIRE
Plus en détailN o : D-1A Version initiale : décembre 1997 Révision : juillet 2010
Ligne directrice Objet : (entreprises d assurance-vie) Catégorie : Comptabilité N o : D-1A Version initiale : décembre 1997 Révision : juillet 2010 Introduction La présente ligne directrice énonce les
Plus en détailRésultats financiers et d exploitation du quatrième trimestre et de l exercice 2005
Résultats financiers et d exploitation du quatrième trimestre et de l exercice 2005 16 février 2006 P. 1 Mise en garde - énoncés prospectifs Certains énoncés contenus dans cette présentation concernant
Plus en détailCOMMENTAIRE LES CANADIENS SONT-ILS PRÉPARÉS À UNE HAUSSE DES TAUX D INTÉRÊT? Services économiques TD
COMMENTAIRE Services économiques TD mai LES CANADIENS SONT-ILS PRÉPARÉS À UNE HAUSSE DES TAUX D INTÉRÊT? Faits saillants Le fait que la Banque du Canada ait récemment indiqué que les taux d intérêt pourraient
Plus en détailRéponse concernant le financement de l assurance-emploi et les récentes mesures connexes. Ottawa, Canada 9 octobre 2014 www.pbo-dpb.gc.
Réponse concernant le financement de l assurance-emploi et les récentes mesures connexes Ottawa, Canada 9 octobre 2014 www.pbo-dpb.gc.ca Le Directeur parlementaire du budget a pour mandat de présenter
Plus en détaildevant le Conseil de surveillance de la normalisation comptable
VERSION DÉFINITIVE Allocution prononcée par Anthony Ariganello, CGA Président-directeur général CGA-Canada devant le Conseil de surveillance de la normalisation comptable Toronto (Ontario) Le 20 octobre
Plus en détailING Canada Inc. Résultats financiers et d exploitation du premier trimestre 2005. 12 mai 2005 PRELIMINARY DRAFT. www.ingcanada.com
ING Canada Inc. Résultats financiers et d exploitation du premier trimestre 2005 12 mai 2005 PRELIMINARY DRAFT www.ingcanada.com Mise en garde - énoncés prospectifs Certains énoncés contenus dans cette
Plus en détailENJEUX, PRATIQUES ET RÉGLEMENTATION EN ASSURANCE AUTOMOBILE : UNE COLLABORATION RÉUSSIE ENTRE L AUTORITÉ ET LE GAA
ENJEUX, PRATIQUES ET RÉGLEMENTATION EN ASSURANCE AUTOMOBILE : UNE COLLABORATION RÉUSSIE ENTRE L AUTORITÉ ET LE GAA Notes pour une allocution prononcée par M. Patrick Déry Surintendant de l encadrement
Plus en détailAllocution de Mme Françoise Bertrand Présidente directrice générale Fédération des chambres de commerce du Québec
Allocution de Mme Françoise Bertrand Présidente directrice générale Fédération des chambres de commerce du Québec Comment les entreprises devraient-elles entrevoir l avenir en matière de régime de retraite
Plus en détailActivité auxiliaire Activité réputée appuyer ou assurer la prestation d un service pour faciliter les opérations d assurance ou les placements.
SECTION III Généralités Des définitions sont ajoutées aux instructions afin d aider l assureur/la société à produire ses relevés. Ces définitions ne constituent pas une liste exhaustive des termes utilisés
Plus en détailCFP 059M C.P. Rapport D Amours
Mémoire du Régime de retraite de l Université du Québec (RRUQ) sur le rapport du Comité D Amours Mémoire déposé à la Commission des finances publiques le 22 août 2013 CFP 059M C.P. Rapport D Amours Table
Plus en détailGENWORTH FINANCIAL CANADA PROPOSITION PRÉBUDGETAIRE OCTOBRE 2006
1211122 GENWORTH FINANCIAL CANADA PROPOSITION PRÉBUDGETAIRE OCTOBRE 2006 RAPPORT SOMMAIRE Cette proposition présente les recommandations de Genworth Financial Canada («Genworth») au Comité permanent des
Plus en détailBureau du surintendant des institutions financières. Audit interne des Services intégrés : Services de la sécurité et de l administration
Bureau du surintendant des institutions financières Audit interne des Services intégrés : Services de la sécurité et de l administration Avril 2014 Table des matières 1. Contexte... 3 2. Objectif, délimitation
Plus en détailLe présent chapitre porte sur l endettement des
ENDETTEMENT DES MÉNAGES 3 Le présent chapitre porte sur l endettement des ménages canadiens et sur leur vulnérabilité advenant un choc économique défavorable, comme une perte d emploi ou une augmentation
Plus en détailGestion des risques liés à la responsabilité Institut de la gestion financière Le 27 novembre 2012
Véhicules du gouvernement Gestion des risques liés à la responsabilité Institut de la gestion financière Le 27 novembre 2012 Maximes «No man hath endurance, as he that selleth insurance» -Anon 2 Notre
Plus en détailSurveillance de la réglementation en matière d assurance automobile
Chapitre 4 Section 4.01 Commission des services financiers de l Ontario Surveillance de la réglementation en matière d assurance automobile Suivi des audits de l optimisation des ressources, section 3.01
Plus en détailNotes techniques relatives aux dépôts des taux d assurance-automobile et des systèmes de classification des risques
Notes techniques relatives aux dépôts des taux d assurance-automobile et des systèmes de classification des risques Publiées avec le Bulletin No. A-12/01 de la Commission des services financiers de l Ontario
Plus en détailSECTION IV. Facility, FA, FARSP et le P.R.R. sont des organismes distincts aux fonctions semblables.
SECTION IV Les établissements «Facility», «Facility Association» («FA»), «FA Risk Sharing Pool» («FARSP») et le «Plan de répartition des risques établi par le Groupement des assureurs automobiles» (le
Plus en détailL assurance est là pour protéger votre famille
Assurance L assurance est là pour protéger votre famille Vous avez travaillé fort pour venir vous établir ici et commencer une nouvelle vie. L assurance met vos proches et vos biens à l abri des pertes
Plus en détailMémoire relatif au Règlement sur le dépannage et le remorquage des véhicules sur le territoire de la Communauté urbaine de Montréal
Mémoire relatif au Règlement sur le dépannage et le remorquage des véhicules sur le territoire de la Communauté urbaine de Montréal Présenté à La Commission du développement économique de la Communauté
Plus en détailObservatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 2 ème Trimestre 2014
Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 2 ème Trimestre 2014 I. L ensemble des marchés I.1. L environnement des marchés : les conditions de
Plus en détailAssurances. Introduction. Objectifs d apprentissage
Assurances Introduction Si vous possédez une automobile au Canada, vous devez avoir quelques notions de base sur l assurance. Les autres types d assurances sont semblables, mais il existe de grandes différences.
Plus en détailRapport financier du premier trimestre de 2013-2014
Rapport financier du premier trimestre de -2014 Pour la période terminée le Financement agricole Canada Financement agricole Canada (FAC), dont le siège social se trouve à Regina, en Saskatchewan, est
Plus en détailHausse du crédit bancaire aux entreprises au Canada
Hausse du crédit bancaire aux entreprises au Canada Juillet 3 Aperçu Des données récemment publiées, recueillies par Prêts bancaires aux entreprises Autorisations et en-cours (Figure ), l Association des
Plus en détailDocument d information n o 1 sur les pensions
Document d information n o 1 sur les pensions Importance des pensions Partie 1 de la série La série complète des documents d information sur les pensions se trouve dans Pensions Manual, 4 e édition, que
Plus en détailLIGNE DIRECTRICE SUR LA GESTION DU RISQUE DE TAUX D INTÉRÊT
LIGNE DIRECTRICE SUR LA GESTION DU RISQUE DE TAUX D INTÉRÊT Avril 2009 Table des matières Préambule...3 Introduction...4 Champ d application...5 Entrée en vigueur et processus de mise à jour...6 1. Risque
Plus en détailCinq stratégies pour faire face aux marchés difficiles
Quand les marchés sont volatils, il est tout à fait normal de s inquiéter de l incidence sur votre portefeuille. Et quand vous vous inquiétez, vous voulez agir. Cinq stratégies pour faire face aux marchés
Plus en détailIntroduction FISCALITÉ
Introduction 51 Impôt sur le revenu 53 Exercer une activité au Canada par l intermédiaire d une filiale 54 Exercer une activité au Canada par l intermédiaire d une succursale 56 Mesures de contrôle des
Plus en détailSECTION III. Des définitions sont ajoutées aux instructions afin d aider l assureur à produire ses relevés.
SECTION III Des définitions sont ajoutées aux instructions afin d aider l assureur à produire ses relevés. Ces définitions ne constituent pas une liste exhaustive des termes utilisés en assurance et en
Plus en détailRevue de la performance du T2-2014
Revue de la performance du T2-2014 Intact Corporation financière (TSX : IFC) Le mercredi 30 juillet 2014 Intact Corporation financière Charles Brindamour Chef de la direction Intact Corporation financière
Plus en détailPrésentation au Comité permanent des finances de la Chambre des communes Mémoire prébudgétaire 2015 31 juillet 2014
Présentation au Comité permanent des finances de la Chambre des communes Mémoire prébudgétaire 2015 31 juillet 2014 Ingénieurs Canada 1100-180, rue Elgin Ottawa (Ontario) K2P 2K3 Au sujet d Ingénieurs
Plus en détailIntroduction. Le Canada est un pays qui donne son plein rendement.
le 23 mars 2004 «tout au long de notre histoire, les Canadiens ont été animés par une idée bien simple : que nous avons la responsabilité de faire en sorte que nos enfants et nos petits-enfants aient une
Plus en détailMonnaie, banques, assurances
Monnaie, banques, assurances Panorama La politique monétaire de la Banque nationale suisse en 2013 En 2013, la croissance de l économie mondiale est demeurée faible et fragile. En Europe, les signes d
Plus en détailNote d orientation : La simulation de crise Établissements de catégorie 2. Novembre 2013. This document is also available in English.
Note d orientation : La simulation de crise Établissements de catégorie 2 This document is also available in English. La présente Note d orientation s adresse à toutes les caisses populaires de catégorie
Plus en détailsur votre crédit Tout connaître et les assurances
sur votre crédit Tout connaître et les assurances Introduction Le principe d équité en assurance de dommages veut que la prime reflète le risque à assurer. Un des critères utilisés par les assureurs de
Plus en détailObjet : Nouvel exposé-sondage ES/2011/6, Produits des activités ordinaires tirés de contrats avec des clients
Le 5 mars 2012 Affiché sur le site Web http://www.iasb.org/ Objet : Nouvel exposé-sondage ES/2011/6, Produits des activités ordinaires tirés de contrats avec des clients Madame, Monsieur, L Association
Plus en détailDate d acquisition ou d établissement de la police. Traitement fiscal
NOTES EXPLICATIVES CRITÈRE D EXONÉRATION DES POLICES D ASSURANCE-VIE LOI DE L IMPÔT SUR LE REVENU La Loi de l impôt sur le revenu (la Loi) prévoit des règles concernant l imposition du revenu gagné sur
Plus en détailL assurance est là pour protéger votre famille... Voici comment RBC Banque Royale peut vous aider
Assurance L assurance est là pour protéger votre famille... Voici comment RBC Banque Royale peut vous aider Nous savons que vous avez travaillé fort pour venir vous établir ici et commencer une nouvelle
Plus en détailGESTION DE RISQUES Août 2007
GESTION DE RISQUES Août 2007 Qu est-ce qu un risque? Toute incertitude au sujet d un événement qui menace des éléments d actif Quels sont nos éléments d actif? Les gens : conseils d administration, employés,
Plus en détailLe statut des coopératives au Canada
Le statut des coopératives au Canada Allocution de Marion Wrobel Vice-président, Politique et opérations Association des banquiers canadiens Devant le Comité spécial sur les coopératives de la Chambre
Plus en détailLa dette extérieure nette du Canada à la valeur marchande
N o 11 626 X au catalogue N o 018 ISSN 1927-5048 ISBN 978-1-100-99873-2 Document analytique Aperçus économiques La dette extérieure nette du Canada à la valeur marchande par Komal Bobal, Lydia Couture
Plus en détailDOCUMENT DE TRAVAIL SUR LES RÉGIMES DE RETRAITE PRIVÉS DU MINISTÈRE DES FINANCES (JANVIER 2009)
RÉPONSE DU SYNDICAT CANADIEN DES COMMUNICATIONS, DE L ÉNERGIE ET DU PAPIER au DOCUMENT DE TRAVAIL SUR LES RÉGIMES DE RETRAITE PRIVÉS DU MINISTÈRE DES FINANCES (JANVIER 2009) «Renforcer le cadre législative
Plus en détailASSEMBLÉE ANNUELLE DES ACTIONNAIRES
ASSEMBLÉE ANNUELLE DES ACTIONNAIRES Le VENDREDi 13 mai 2011 Allocution du président du conseil par Paul Desmarais, jr Président du conseil et co-chef de la direction Déclarations prospectives > Certaines
Plus en détailInformation Le secteur des services financiers canadien
L industrie canadienne des assureurs de personnes Aperçu Au Canada, l industrie des assurances de personnes se compose de 120 entreprises, comparativement à 163 en 1990; elle englobe les sociétés constituées
Plus en détailServices de conciliation en assurance Cadre de collaboration et de surveillance. Approuvé par le CCRRA en juin 2015
Services de conciliation en assurance Cadre de collaboration et de Approuvé par le CCRRA en juin 2015 Mise à jour du Forum conjoint des autorités de réglementation du marché financier Réseau de conciliation
Plus en détailPROJET DE TRAIN LÉGER SUR RAIL D OTTAWA ACCORD DE CONTRIBUTION AVEC LE MINISTÈRE DES TRANSPORTS DE L ONTARIO APERÇU DE LA STRUCTURE ET DU CONTENU
PROJET DE TRAIN LÉGER SUR RAIL D OTTAWA ACCORD DE CONTRIBUTION AVEC LE MINISTÈRE DES TRANSPORTS DE L ONTARIO APERÇU DE LA STRUCTURE ET DU CONTENU L accord de contribution (l «accord de contribution») a
Plus en détailFormation continue des conseillers
Connaissance continue formation éducation en ligne participation Assurance-vie avec participation Objectifs d apprentissage Après avoir terminé ce cours, vous pourrez : Expliquer ce qu est l assurance-vie
Plus en détailASSURANCE DE LA RESPONSABILITÉ CIVILE PROFESSIONNELLE
ASSURANCE DE LA RESPONSABILITÉ CIVILE PROFESSIONNELLE Au fur et à mesure que le Canada passe à une économie tertiaire, les travailleurs du savoir prospèrent. Aidés par la technologie et exploitant leur
Plus en détailPlacements IA Clarington inc. Dan Bastasic Gestionnaire de portefeuille des Fonds IA Clarington stratégiques
Placements IA Clarington inc. Dan Bastasic Gestionnaire de portefeuille des Fonds IA Clarington stratégiques Je ne caractériserais pas la récente correction du marché comme «une dégringolade». Il semble
Plus en détailEco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1
Eco-Fiche Janvier 2013 BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Retour sur l année 2012 : l atonie En 2012, le Produit Intérieur Brut (PIB) s est élevé à 1 802,1 milliards d euros, soit
Plus en détailInfo-assurance Séance d information de l IASB du 19 mars 2015
www.pwc.com/ca/insurance Info-assurance Séance d information de l IASB du 19 mars 2015 Puisque divers points de vue sont analysés lors des réunions de l IASB, et qu il est souvent difficile de décrire
Plus en détailassurances médicales depuis 1944 AMMA ASSURANCES LE FAIT GÉNÉRATEUR assurances médicales depuis 1944
AMMA ASSURANCES LE FAIT GÉNÉRATEUR assurances médicales depuis 1944 entreprise d assurance mutuelle agréée par l Office de Contrôle des Assurances sous le code 0126 (A.R. 04 et 13.07.1979 M.B. 14.07.1979)
Plus en détailBulletin de service Bureaux d agents, de courtiers en immeubles et d évaluateurs de biens immobiliersetdes autres activités liées à l immobilier
N o 63-238-X au catalogue. Bulletin de service Bureaux d agents, de courtiers en immeubles et d évaluateurs de biens immobiliersetdes autres activités liées à l immobilier 2012. Faits saillants Le revenu
Plus en détailDéclaration du Rapprochement annuel des soldes
Déclaration du Rapprochement annuel des soldes Directives et Guide explicatif des lignes General Insurance Statistical Agency/Agence statistique d'assurance générale 5160, rue Yonge, 17 e étage Toronto
Plus en détailASSOUPLISSEMENTS RELATIFS AUX LOGEMENTS ABORDABLES Assurance prêt hypothécaire pour propriétaires-occupants
SOCIÉTÉ CANADIENNE D HYPOTHÈQUES ET DE LOGEMENT ASSOUPLISSEMENTS RELATIFS AUX LOGEMENTS ABORDABLES Assurance prêt hypothécaire pour propriétaires-occupants À titre d organisme national responsable de l
Plus en détailCOMMENTAIRE. Services économiques TD LES VENTES DE VÉHICULES AU CANADA DEVRAIENT DEMEURER ROBUSTES, MAIS LEUR CROISSANCE SERA LIMITÉE
COMMENTAIRE Services économiques TD LES VENTES DE VÉHICULES AU CANADA DEVRAIENT DEMEURER ROBUSTES, MAIS LEUR CROISSANCE SERA LIMITÉE Faits saillants Les ventes de véhicules au Canada ont atteint un sommet
Plus en détailMÉMOIRE PRÉSENTÉ AU COMITÉ PERMANENT DES FINANCES SEPTEMBRE 2002 DE LA CHAMBRE DES COMMUNES
MÉMOIRE PRÉSENTÉ AU COMITÉ PERMANENT DES FINANCES DE LA CHAMBRE DES COMMUNES SEPTEMBRE 2002 Société canadienne de la sclérose en plaques 250, rue Bloor Est, bureau 1000 Toronto (Ontario) M4W 3P9 Tél. :
Plus en détailComment avoir accès à la valeur de rachat de votre police d assurance vie universelle de RBC Assurances
Comment avoir accès à la valeur de rachat de votre police d assurance vie universelle de RBC Assurances Découvrez les avantages et désavantages des trois méthodes vous permettant d avoir accès à vos fonds.
Plus en détailPROJET LIGNE DIRECTRICE SUR L OCTROI DE PRÊTS HYPOTHÉCAIRES RÉSIDENTIELS
PROJET LIGNE DIRECTRICE SUR L OCTROI DE PRÊTS HYPOTHÉCAIRES RÉSIDENTIELS Janvier 2013 TABLE DES MATIÈRES Préambule... 3 Introduction... 4 Champ d application... 5 Prise d effet et processus de mise à jour...
Plus en détailGuide de travail pour l auto-évaluation:
Guide de travail pour l auto-évaluation: Gouvernance d entreprise comité d audit Mars 2015 This document is also available in English. Conditions d application Le Guide de travail pour l auto-évaluation
Plus en détail6. Assurance automobile et assurance multirisques habitation : une année riche en actualité
6. Assurance automobile et assurance multirisques habitation : une année riche en actualité Comité consultatif du secteur financier Rapport 2010-2011 77 Au cours des années 2010 et 2011, le CCSF a porté
Plus en détailAllocution. de monsieur Louis Vachon. président et chef de la direction. de la Banque Nationale du Canada. Centre Mont-Royal
Allocution de monsieur Louis Vachon président et chef de la direction de la Banque Nationale du Canada Centre Mont-Royal Montréal, le 29 février 2008 (Seul le texte prononcé fait foi) Mesdames et messieurs,
Plus en détailÉtude d impact quantitative No 3 Risque de crédit - Instructions
Étude d impact quantitative No 3 Risque de crédit - Instructions Nous vous remercions de votre participation à cette étude d impact quantitative (EIQt n o 3), qui a pour but de recueillir de l information
Plus en détailComparaisons internationales de la dette
Annexe 2 Comparaisons internationales de la dette Faits saillants Selon les statistiques officielles publiées par le Fonds monétaire international (FMI) et l Organisation de coopération et de développement
Plus en détailGestion de portefeuilles RBC
Gestion de portefeuilles RBC Plus qu un investissement Que vous y recouriez pour assurer une croissance à long terme ou tirer un flux de trésorerie régulier de votre épargne, le programme Gestion de portefeuilles
Plus en détailCroissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés
POUR DIFFUSION : À Washington : 9h00, le 9 juillet 2015 STRICTEMENT CONFIDENTIEL JUSQU À DIFFUSION Croissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés La croissance
Plus en détailWebinaire ICCA/RBC : Tendances conjoncturelles Les opérations de change : un risque ou une occasion d affaires?
Webinaire ICCA/RBC : Tendances conjoncturelles Les opérations de change : un risque ou une occasion d affaires? Vue d ensemble Le marché des changes : comment ça fonctionne Mythes Études de cas Gestion
Plus en détailCadre de surveillance
Cadre de surveillance Bureau du surintendant des institutions financières 255, rue Albert, 16 e étage, Ottawa, ON K1A 0H2 Téléphone : 613-990-7788 Télécopieur : 613-952-8219 N o sans frais : 1 800-385-8647
Plus en détailUne rente sans rachat des engagements (aussi connue sous le nom «buy-in») vise à transférer
Solutions PD Parez au risque Rente sans rachat des engagements (Assurente MC ) Transfert des risques pour régimes sous-provisionnés Une rente sans rachat des engagements (aussi connue sous le nom «buy-in»)
Plus en détailBureau d assurance voyage inc.
Bureau d assurance voyage inc. Assurance voyage médicale 2014-2015 Plusieurs nouvelles prestations y compris une option sans franchise! Proposition en ligne disponible 24/7 Avez-vous pensé souscrire l
Plus en détailComité de la réglementation des assurance de l AAI Le rôle de l actuaire dans le contrôle prudentiel des sociétés d assurances
Le rôle de l actuaire dans le contrôle prudentiel Introduction Cette note a pour but d établir la position de l AAI sur le rôle que les actuaires devraient jouer dans le contrôle prudentiel des sociétés
Plus en détailUne vision claire des IFRS
Juillet 2014 Secteur de la distribution et du commerce de détail et de gros Une vision claire des IFRS Perspectives sectorielles sur IFRS 15 La nouvelle norme sur les produits des activités ordinaires
Plus en détailRégime d indemnités pour perte de salaire de RBC Assurances. Protégez vos employés tout en réalisant des économies
Régime d indemnités pour perte de salaire de RBC Assurances Protégez vos employés tout en réalisant des économies Table des matières Protégez vos employés tout en réalisant des économies 1 Qu est-ce qu
Plus en détailNote de mise en œuvre
Note de mise en œuvre Objet : appliquant l approche standard ou une AMA Catégorie : Fonds propres N o : A & A-1 Date : Mai 2006 I. Introduction L objectif de cette note de mise en œuvre est de présenter
Plus en détailAllocution de la surintendante Julie Dickson Bureau du surintendant des institutions financières Canada (BSIF) devant le Financial Services Institute
Allocution de la surintendante Julie Dickson Bureau du surintendant des institutions financières Canada (BSIF) devant le Financial Services Institute Toronto (Ontario) Le jeudi 26 juin 2008 LE TEXTE PRONONCÉ
Plus en détailRapport du vérificateur général du Canada à la Chambre des communes
Printemps 2012 Rapport du vérificateur général du Canada à la Chambre des communes CHAPITRE 3 La dette portant intérêt Bureau du vérificateur général du Canada Avis au lecteur : Le Bureau du vérificateur
Plus en détailÉtude des tendances en matière de soins de santé au Canada
www.bucksurveys.com Étude des tendances en matière de soins de santé au Canada Résultats 2011 Introduction: Faibles augmentations à tous les niveaux Depuis que Buck a lancé, en 2001, sa première Étude
Plus en détailCompte d exploitation 2012. Assurance vie collective.
Compte d exploitation 2012. Assurance vie collective. 2012 Votre assureur suisse. 1/12 Compte d exploitation Assurance vie collective 2012 2012: des résultats positifs et encore plus de transparence. Chère
Plus en détailNotes d allocution de la présidente et première dirigeante de la SADC, Michèle Bourque
1 Notes d allocution de la présidente et première dirigeante de la SADC, Michèle Bourque Autorité de règlement de faillite : le nouveau rôle de la SADC CD Howe Institute 9 juin 2014 INTRODUCTION Bonjour,
Plus en détailLutter contre la flambée des coûts des régimes d assurance-médicaments
Lutter contre la flambée des coûts des régimes d assurance-médicaments Des solutions de gestion des régimes d assurance-médicaments moins difficiles à avaler pour les employés Un autre Dossier de réflexion
Plus en détailpas de santé sans ressources humaines
Résumé Une vérité universelle : pas de santé sans ressources humaines + alliance mondiale pour les personnels de santé Résumé Objectif Le présent rapport est destiné à éclairer les débats du troisième
Plus en détailFormulaire d inscription Compte FRR fonds communs de placement
Important : 1. Remplir tous les champs du Formulaire d inscription au. 2. Signer, dater et retourner le formulaire dûment rempli à : Fonds d investissement Tangerine Limitée, 3389, av Steeles E, Toronto,
Plus en détailObtenir le titre de prêteur. agréé. La clé qui ouvre de nouvelles portes AU CŒUR DE L HABITATION
Obtenir le titre de prêteur agréé La clé qui ouvre de nouvelles portes AU CŒUR DE L HABITATION La SCHL aide les Canadiens à répondre à leurs besoins en matière de logement. En tant qu autorité en matière
Plus en détailLimites régissant les engagements importants
Bureau du surintendant des Canada Office of the Superintendent of Financial Institutions Canada 255, rue Albert 255 Albert Street Ottawa, Canada Ottawa, Canada K1A 0H2 K1A 0H2 Ligne directrice Objet :
Plus en détailRéception de Montréal Secteur des valeurs mobilières. Discours d ouverture
Réception de Montréal Secteur des valeurs mobilières Discours d ouverture Andrew J. Kriegler Président et chef de la direction Organisme canadien de réglementation du commerce des valeurs mobilières 25
Plus en détailLibéralisation dans l assurance accidents
Libéralisation dans l assurance accidents Exposé de Lucius Dürr, Directeur de l Association Suisse d Assurances, présenté à la conférence de presse du 25 janvier 2006 Mesdames, Messieurs, Ainsi que le
Plus en détail