M.A. PLANCHE. Cadre de Santé Service de Médecine Physique et de Réadaptation CHU Nancy-Brabois Adultes, IRR Nancy 2010
|
|
- Camille Dumais
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 M.A. PLANCHE Cadre de Santé Service de Médecine Physique et de Réadaptation CHU Nancy-Brabois Adultes, IRR Nancy 2010
2 INTRODUCTION
3 OBJECTIFS kinésithérapiques! Prévenir les complications précoces : pulmonaires cardio-vasculaires de décubitus (déconditionnement, escarres )! Traiter les complications respiratoires si elles surviennent! Prévenir les complications secondaires : non-consolidation de la paroi abdominale perturbation de la statique lombo-pelvienne
4 Effets conjugués de l anesthésie et de l acte chirurgical = causes ou facteurs de risque Complications post-opératoires respiratoires peuvent altérer le pronostic postopératoire en termes de morbidité et de mortalité d autant plus que s y ajoutent des facteurs de risque liés au patient
5
6 ! En per-opératoire : drogues et ventilation artificielle hypersécrétion bronchique, spasme, sidération de l activité muco-ciliaire, troubles V A /Q, réduction de la CRF micro-atélectasie, inhalation liquide gastrique! En post-opératoire = transitoires (24h) hypoxie-hypocapnie, CRF persistante broncho-trachéo-plégie, toux (mauvaise fermeture de glotte)
7 Les effets de l acte chirurgical! La position du patient : DD, DL, déclive! La durée de l intervention! L incision : cicatrice. site = facteur prédictif des complications respiratoires. - Chirurgie abdominale haute - Chirurgie abdominale basse. longueur, trajet. traumatisme de la paroi : peau, fascia, muscles (abdominaux, diaphragme) péritoine et/ou plèvre (très innervés), viscères
8
9
10 Les effets de l acte chirurgical! Dysfonctionnement diaphragmatique / boucle réflexe inhibitrice des motoneurones phréniques à partir des récepteurs sympathiques viscéraux! Drains! Distension abdominale iléus post-op pression abdominale mise en tension des sutures et remontée du diaphragme! Douleur : inhibition de la mécanique ventilatoire, décourage la mobilité antalgiques
11 Conséquences : les modifications post-opératoires du système respiratoire! Examen clinique polypnée superficielle, ventilation thoracique, abdomen immobile, parfois respiration paradoxale et cyanose! Examens paracliniques hypoxémie-hypocapnie (gaz du sang), atélectasie des bases à la RP ou au scanner! Types d anomalies - réduction des volumes pulmonaires - perturbations du mode ventilatoire - altérations des échanges gazeux - troubles du sommeil
12 Syndrome restrictif : de tous les volumes CV CRF VEMS VEMS/CV 70% maxi 16 h. post-op VR non modifié VRE effondré ( efficacité toux)
13 Anomalies du mode ventilatoire! Ventilation minute ne varie pas : Vt Fr! Ventilation monotone : perte des soupirs! Contribution du compartiment abdominal ventilation thoracique, allant parfois à la ventilation paradoxale
14 Altérations des échanges gazeux! Hypoxémie, conséquence de : - CRF basse : collapsus des petites voies aériennes principalement dans les territoires déclives zones de micro-atélectasies ou atélectasies shunt vrai ou effet shunt - amélioration de l hypoxémie // à celle des volumes! Hypocapnie dans un premier temps : - ventilation minute identique avec Fr plus élevée
15 Physiopathologie des complications respiratoires Mobilisation de grands volumes CV Dysfonctionnement diaphragmatique Ventilation des bases V A /Q hypoxémie P abdominale atélectasie CRF
16 Physiopathologie des complications respiratoires Intervention chirurgicale : incidence des complications liée au type, à la durée, à l incision Syndrome restrictif Stase bronchique VEMS Vt, Fr - Hypoventilation alvéolaire - encombrement travail musculaire consommation O 2 oxygénation Fatigue Infection Complications
17 Les facteurs de risque aggravants! Âge : baisse de réactivité de la toux.! Tabagisme fonction de durée et de quantité : - nicotine Fc, les R. vasculaires et la p. artérielle ; - CO sature l Hb et capacité de transport O 2 ; - le tabac inhibe la clairance muco-ciliaire, irrite les bronches et défenses immunitaires.! Obésité : IMC 40 - compliance troubles VA/Q surtout en décubitus dorsal, syndrome restrictif, - CRF < volume fermeture hypoxémie, - W respiratoire fatigue, syndrome apnée du sommeil, système cardio-vasculaire modifié.! Malnutrition et troubles métaboliques : myopathie des muscles respiratoires, avec diminution de la contractilité musculaire.! Cypho-scoliose! Psychisme ou altération des fonctions cognitives
18 Les facteurs de risque favorisants! Antécédents : cardiaques, neurologiques respiratoires : dyspnée facteur prédictif de complications, BPCO, asthme.! Sonde naso-gastrique respiration sur un mode bucco-buccal, inflammation locale qui génère une hypersécrétion dont la viscosité est augmentée, obstacle à l expectoration (sécrétions adhèrent à la sonde et stagnent dans l arrière-gorge),inhalation! Décubitus prolongé : CV (- 9% en moyenne)! Non préparation : obligatoire si facteurs de risque! Caractère urgent de l intervention
19 Les complications postopératoires pulmonaires! Cliniques : Incidence des complications pulmonaires après chirurgie abdominale varie entre 6 et 65%. - encombrement bronchique - surinfection - bronchospasme - pneumopathie - inhalation liquide gastrique
20 Les complications postopératoires pulmonaires
21 Les complications postopératoires cardio-vasculaires! Phlébite! Embolie pulmonaire! Œdème pulmonaire! Défaillance cardiaque! Accident vasculaire cérébral
22 Les complications postopératoires secondaires
23 KINÉSITHÉRAPIE! Pré-opératoire : - durée fonction du risque (évaluation) : 24h à 8j, surtout pour patient à risque - à domicile de préférence! Post-opératoire : - immédiat (3 à 5 jours) : phase de réanimation - secondaire phase précoce en milieu chirurgical phase plus tardive, après retour à domicile
24 Diagnostic kinésithérapique! Evaluer : BDK, projet du patient! Objectifs de kinésithérapie : variables, adaptés Prévenir ou combattre les conséquences de l intervention - exemples : éducation, lutter contre l altération de la mécanique ventilatoire et les troubles de ventilation, augmentation des volumes, désencombrement - prévenir le déconditionnement musculaire! Principes à respecter : - maintien de la cicatrice, pas de tension des sutures - respect de la douleur demande d antalgiques avant séance - respect de la fatigue séances courtes et pluriquotidiennes - surveillance des drains, de la perméabilité de la sonde nasogastrique - surveillance clinique et des constantes
25 KINÉSITHÉRAPIE PRÉ-OPÉRATOIRE RESPIRATOIRE
26
27
28 KINÉSITHÉRAPIE PRÉ-OPÉRATOIRE 2- Pour patients avec antécédents respiratoires! Préparation plus longue et assistée médicalement! Désencombrement : aérosols, techniques de désencombrement! Lutte contre le bronchospasme! Oxygénation si nécessaire! Correction des troubles ventilatoires! Assouplissements de la cage thoracique! La préparation est trop courte pour obtenir un résultat par entraînement des muscles respiratoires! Si déconditionnement : prépa plus longue avec exercices analytiques et globaux d endurance selon le niveau.
29 KINÉSITHÉRAPIE PRÉ-OPÉRATOIRE GÉNÉRALE = ÉDUCATION! Conseils de protection des sutures : - maintien ferme des sutures pour toux, expectoration, lever.! Apprentissage du lever monobloc avec maintien cicatrice! Apprentissage de différents mouvements sans solliciter les sutures : - plier les M.I. l un après l autre, (pas les 2 M.I. en même temps) - se rehausser dans le lit avec M.S., M.I. et extenseurs du rachis, (ne pas se tirer à la potence)
30 KINÉSITHÉRAPIE POST-OPÉRATOIRE IMMÉDIATE 1-Si sous assistance mécanique! Nursing général - Travail inter-disciplinaire lever au fauteuil. - Massages, mobilisation analytique des membres.! Nursing pulmonaire - humidification, aérosols, lavages et aspirations, - changements de position adaptée au problème (déclive, ventilation, décubitus ventral).! Sevrage ventilatoire - Participation au choix du mode adapté - Techniques avec participation active du patient dès que possible AUTONOMIE.
31 KINÉSITHÉRAPIE POST-OPÉRATOIRE IMMÉDIATE 2- Phase de réanimation Savoir-faire choix judicieux des techniques selon évaluation et objectifs! O2 (choix interface), humidification, position ½ assise (Position de détente)! Apprentissage ou mise en pratique des précautions! Ventilation dirigée costale! ELTGO adaptée! Expectoration dirigée! (ou aspirations bronchiques)! Changement de position, postures préférentielles, ELTGOL! Lever et marche dès que possible
32 KINÉSITHÉRAPIE POST-OPÉRATOIRE IMMÉDIATE
33 KINÉSITHÉRAPIE POST-OPÉRATOIRE IMMÉDIATE
34 KINÉSITHÉRAPIE POST-OPÉRATOIRE IMMÉDIATE Phase de réanimation VNI Si difficultés (hypoxémie grave, )
35 KINÉSITHÉRAPIE POST-OPÉRATOIRE IMMÉDIATE
36 KINÉSITHÉRAPIE POST-OPÉRATOIRE IMMÉDIATE Évaluation des techniques! Coopération du patient! Évaluation à chaque séance, chaque jour! Efficacité vérifiée par : - mesure de l expectoration - auscultation - RP - SaO2, gaz du sang.
37 KINÉSITHÉRAPIE POST-OPÉRATOIRE SECONDAIRE En milieu chirurgical : 5 ème jour! Kinésithérapie respiratoire : - ventilation abdomino-diaphragmatique si non douleur - traitement des déficiences! Renforcement de la paroi abdominale : Risque majeur d éviscération entre J8 et J15 (respect des conseils) - expiration active, W statique des abdominaux! Renforcement musculaire - déambulation encouragée - W des extenseurs du tronc (appui sur l occiput, décollement du bassin avec appui nuque et pieds, auto-grandissements au lit)
38 KINÉSITHÉRAPIE POST-OPÉRATOIRE SECONDAIRE Convalescence! Pendant 6 semaines : pas de W concentrique des abdominaux, - W statique des fibres transversales (4 pattes : rentré ventral ) et des fibres obliques! Début W cinétique après avis chirurgical (cicatrisation)! Conseils à respecter - pas d effort en blocage inspiratoire - pas d activité nécessitant M.S. au dessus des épaules - pas de sport sauf marche
39 CONCLUSION! De nombreux travaux ont prouvé l intérêt de la kinésithérapie dans la réduction de la morbidité postopératoire! Mais pour être efficace, elle nécessite : - la coopération du patient - une étroite collaboration avec l équipe soignante. Après Avant kinésithérapie
40
41 Bénéfices attendus et délais après l arrêt du tabac Délais Bénéfices attendus 12-24h Diminution de l HbCO, amélioration du transport de l O h Diminution de la réactivité des voies aériennes supérieures et amélioration de la fonction ciliaire 1-2 semaines Réduction de la bronchorrhée après une phase d hyperproduction 4-6 sem Amélioration des EFR 6-8 semaines Normalisation des fonctions immunitaires et du métabolisme des médicaments 6-12 sem Réduction globale de la morbidité respiratoire post-op
42
B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs
B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue
Plus en détailRéférentiel de compétences et d aptitudes du masseur kinésithérapeute de réanimation (MKREA) en secteur adulte
Réanimation DOI 10.1007/s13546-011-0243-1 RÉFÉRENTIEL / GUIDELINES Référentiel de compétences et d aptitudes du masseur kinésithérapeute de réanimation (MKREA) en secteur adulte Guide to skills and abilities
Plus en détailVentilation mécanique à domicile
RÉVISION DE CATÉGORIES HOMOGÈNES DE DISPOSITIFS MÉDICAUX Ventilation mécanique à domicile Dispositifs médicaux et prestations associées pour traitement de l insuffisance respiratoire Date de validation
Plus en détailLa fonction respiratoire
La fonction respiratoire Introduction Fonction vitale : Au-delà de 3 min = atteintes graves Après 5 min = très altérés On parle de 3 phénomènes : Ventilation : respiration visible, échanges aériens intérieur
Plus en détailMaladies neuromusculaires
Ministère de la Santé et des Solidarités Direction Générale de la Santé Informations et conseils Maladies neuromusculaires Lisez attentivement ce document et conservez-le soigneusement avec la carte de
Plus en détailLa Broncho-Pneumopathie chronique obstructive (BPCO)
La Broncho-Pneumopathie chronique obstructive (BPCO) Définition La définition scientifique de la BPCO est la suivante : «maladie chronique et lentement progressive caractérisée par une diminution non complètement
Plus en détailGroupe 1 somnovni 12/12/14
Recommandations HAS 2014! Pas encore parues indications VNI! Indication VNI en cas d une hypoventilation alveolaire = Hypercapnie : " PtCO2 nocturne > 50 mmhg " Et/ou d une PaCO2 diurne > 45 mmhg! Cas
Plus en détailLes différentes maladies du coeur
Auteur : Dr Pascal AMEDRO Les différentes maladies du coeur 1. Le cœur normal L oxygène capté dans l air va dans les poumons, où le sang «bleu» est alors oxygéné et devient «rouge». Il est conduit par
Plus en détailGuide du parcours de soins Titre GUIDE DU PARCOURS DE SOINS. Bronchopneumopathie chronique obstructive
Guide du parcours de soins Titre GUIDE DU PARCOURS DE SOINS Bronchopneumopathie chronique obstructive Juin 2014 Guide téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé 2 avenue du Stade de France
Plus en détailProgramme de réhabilitation respiratoire
Programme de réhabilitation respiratoire Dr Jean-Marc Perruchini Service de Réhabilitation R respiratoire, Clinique de Médecine Physique Les Rosiers 45, Bd Henri Bazin, 21002 DIJON Cedex Mle Carine Lopez
Plus en détailA. ANDRO 1, C. MESTON 2, N. MORVAN 3
Chapitre 121 La ventilation non invasive (VNI) de l enfant A. ANDRO 1, C. MESTON 2, N. MORVAN 3 1. Définition La VNI se définit comme une technique destinée à augmenter la ventilation alvéolaire sans utiliser
Plus en détailINSUFFISANCE CARDIAQUE DROITE Dr Dassier HEGP
INSUFFISANCE CARDIAQUE DROITE Dr Dassier HEGP I Définition L'insuffisance cardiaque droite (IVD) se traduit par une augmentation des pressions de remplissage télédiastolique du ventricule droit (VD). Le
Plus en détailContrôle difficile non prévu des voies aériennes: photographie des pratiques
Contrôle difficile non prévu des voies aériennes: photographie des pratiques B. Dureuil, PG. Yavordios, A. Steib Collège Français des Anesthésistes Réanimateurs (Absence de conflits d intérêts sur le sujet)
Plus en détailK I N é S I T H é R A P I E & D B C
KINéSITHéRAPIE & DBC KINéSITHéRAPIE & DBC Informations T (+352) 23 666-810 kine@mondorf.lu Rééducation Individuelle Le service de de Mondorf Domaine Thermal propose une gamme complète de traitements individuels
Plus en détailNAVA pourquoi pas. Stéphane Delisle RRT, PhD, FCCM Mohamed Ait Si M Hamed, inh. BSc.
NAVA pourquoi pas Stéphane Delisle RRT, PhD, FCCM Mohamed Ait Si M Hamed, inh. BSc. 7e Symposium en thérapie respiratoire HSCM 1 décembre 2012 Le mode NAVA o Neurally Adjusted Ventilatory Assist Neuro-Asservissement
Plus en détailBPCO * La maladie respiratoire qui tue à petit feu. En France, 3,5 millions de personnes touchées dont 2/3 l ignorent. 17 000 morts chaque année...
BPCO * La maladie respiratoire qui tue à petit feu. *Bronchopneumopathie chronique obstructive. En France, 3,5 millions de personnes touchées dont 2/3 l ignorent. 17 000 morts chaque année... Fondation
Plus en détailURGENCES MEDICO- CHIRURGICALES. Dr Aline SANTIN S.A.U. Henri Mondor
URGENCES MEDICO- CHIRURGICALES Dr Aline SANTIN S.A.U. Henri Mondor Coup d envoi Définition de l urgence Fonction des personnes : Pour les patients : «ça ne va pas», «il n est pas comme d habitude», «il
Plus en détailTITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire»
TITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire» MC Iliou, R Brion, C Monpère, B Pavy, B Vergès-Patois, G Bosser, F Claudot Au nom du bureau du GERS Un programme de réadaptation
Plus en détailTHEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE
THEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE Introduction générale : L Homme, pour vivre, a besoin de se nourrir. La nutrition fait appel à différentes fonctions que sont l alimentation, la respiration
Plus en détailS o m m a i r e 1. Sémiologie 2. Thérapeutique
Sommaire 1. Sémiologie... 1 Auscultation cardiaque... 1 Foyers d auscultation cardiaque... 1 Bruits du cœur... 1 Souffles fonctionnels... 2 Souffles organiques... 2 Souffle cardiaque chez l enfant... 3
Plus en détailPatho Med Cours 5. Maladie Pulmonaires Obstructives BPCO Asthme
Patho Med Cours 5 Maladie Pulmonaires Obstructives BPCO Asthme BPCO: B: Broncho ( Bronche) P: Pneumopathie C: Chronique O: Obstructive Asthme Maladies avec des spasmes bronchiques Maladies avec des spasmes
Plus en détailL EXAMEN MEDICAL PREALABLE A LA PRESCRIPTION QUELLE EVALUATION INITIALE? Dr Jean-Marc SENE médecin du sport - CHU Pitié-Salpétrière
L EXAMEN MEDICAL PREALABLE A LA PRESCRIPTION QUELLE EVALUATION INITIALE? Dr Jean-Marc SENE médecin du sport - CHU Pitié-Salpétrière INTRODUCTION INDICATIONS EVALUATION INITIALE PRESCRIPTION ET SUIVI CONCLUSION
Plus en détailCette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise.
Qu est-ce qu une arthroscopie? Il s agit d une intervention chirurgicale mini-invasive dont le but est d explorer l articulation du genou et de traiter la lésion observée dans le même temps. Comment se
Plus en détailTronc Artériel Commun
Tronc Artériel Commun Cardiopathie congénitale conotroncale. 1.4% des cardiopathie congénitales. (1/10000) CIV Diagnostic anténatal Souvent associé à un 22q11. Anomalies associées Définition EMBRYOLOGIE
Plus en détailREEDUCATION DU POST-PARTUM
Communauté Périnatale de l Agglomération Versaillaise Association Loi 1901 n 0784014641 29 rue de Versailles - 78150 Le Chesnay Tel : 01.39.43.12.04 Fax : 01.39.43.13.58 E-Mail : cpav@medical78.com Web:
Plus en détailExercices pour renforcer les muscles abdominaux après l accouchement
Exercices pour renforcer les muscles abdominaux après l accouchement Pendant la grossesse, les muscles du ventre, appelés abdominaux, s étirent beaucoup et perdent souvent de la force. Il est important
Plus en détailIFAS 11 décembre 2014 15 janvier 2015. M. BLOT Ergothérapeute. CHU de NIMES
IFAS 11 décembre 2014 15 janvier 2015 M. BLOT Ergothérapeute CHU de NIMES Introduction Définition de l hémiplégie Causes Evolution Conséquences Description Prise en charge du patient en fonction de l activité
Plus en détailLa ventilation non invasive aux soins intensifs
La ventilation non invasive aux soins intensifs Martin Lessard MD Service de soins intensifs, CHA Division de soins intensifs adultes Université Laval 3 mars 2011 BiPAP (Bi-level Positive Airway Pressure)
Plus en détailLa chirurgie dans la PC
La chirurgie dans la PC GF PENNECOT Marchant ou déambulant Grand handicapé Kinésith sithérapie Appareillage Médicaments Chirurgie neuro ortho LESION NEUROLGIQUE STABLE Spasticité Perte de la sélectivit
Plus en détailLes formalités médicales ci-dessous sont celles prévues aux conditions générales du contrat assurance emprunteur çaassure n 24.
1 FM4 PAGE 1/4 Les formalités médicales ci-dessous sont celles prévues aux conditions générales du contrat assurance emprunteur çaassure n 24.747 si : L âge de l emprunteur est < 50 ans & le capital assuré*
Plus en détailActualité sur la prise en charge de l arrêt cardiaque
Actualité sur la prise en charge de l arrêt cardiaque 24 ème Congrès de la Coordination des Infirmiers Anesthésistes et de Réanimation de Caen et sa Région Dr Buléon Clément Pôle Réanimation-Anesthésie-SAMU,
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailEvaluation péri-opératoire de la tolérance à l effort chez le patient cancéreux. Anne FREYNET Masseur-kinésithérapeute CHU Bordeaux
Evaluation péri-opératoire de la tolérance à l effort chez le patient cancéreux Anne FREYNET Masseur-kinésithérapeute CHU Bordeaux Je déclare n avoir aucun conflit d intérêt en lien avec cette présentation
Plus en détailINNOVATION De la rééducation au sport santé. LPG crée le Neuro
INNOVATION De la rééducation au sport santé LPG crée le Neuro Physical Training! Bouger pour sa santé, une évidence pour les français? Bien que Faire du sport soit, chaque année, une des résolutions prioritaires
Plus en détailLes Jeudis de l'europe
LE DIABETE SUCRE EST DEFINI EN DEHORS DE TOUT EPISODE DIABETOGENE : 1.26 g/l SOIT 7 mmol/l PREVALENCE DU DIABETE DE TYPE 2 EN FRANCE METROPOLITAINE 3.4 % AGE = 63 ANS HOMMES = 54% 25% > 75 ans OUTRE MER
Plus en détailFonctions non ventilatoires
UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 11 : Fonctions non ventilatoires Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailLe Kin-AP Évaluation des Aptitudes paramédicales
Le Kin-AP Évaluation des Aptitudes paramédicales Le Kin-AP est une évaluation qui se déroule à travers un parcours comprenant différentes stations qui simulent les tâches que le technicien ambulancier-paramédic
Plus en détailTRAITEMENT DE LA MPOC. Présenté par : Gilles Côté, M.D.
TRAITEMENT DE LA MPOC Présenté par : Gilles Côté, M.D. Département clinique de médecine générale Avril 2001 TRAITEMENT DE LA MPOC I- INTERPRÉTATION DES TESTS DE FONCTION RESPIRATOIRE II- PRISE EN CHARGE
Plus en détailRéduction des volumes pulmonaires après chirurgie abdominale et thoracique
Réduction des volumes pulmonaires après chirurgie abdominale et thoracique Christian Jayr jayr@crh1.org Centre René Huguenin Saint-Cloud Un cycle respiratoire A. Inspiration: contraction du diaphragme
Plus en détailContenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif)
Contenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif) Contenu de la formation PSE1 LE SECOURISTE : 1 h 30 Indiquer le rôle et les responsabilités d un secouriste. Indiquer les connaissances
Plus en détailQUI PEUT CONTRACTER LA FA?
MODULE 1 : COMPRENDRE LA FIBRILLATION AURICULAIRE 16 QUI PEUT CONTRACTER LA FA? La FA est plus fréquente chez les personnes âgées. Par contre, la FA dite «isolée» (c.-à-d. sans qu il y ait de maladie du
Plus en détailLISTE DES PRODUITS ET DES PRESTATIONS REMBOURSABLES (LPPR) POUR LE TRAITEMENT DE L INSUFFISANCE RESPIRATOIRE
LISTE DES PRODUITS ET DES PRESTATIONS REMBOURSABLES (LPPR) POUR LE TRAITEMENT DE L INSUFFISANCE RESPIRATOIRE Code Désignation OXYGENOTHERAPIE A LONG TERME EN POSTE FIXE Date JO Entente préalable Surveillance
Plus en détailquelques points essentiels
actualisation de la conférence d experts sur l intubation difficile: SFAR, SRLF, SFMU, ADARPEF, CARO et CARORL quelques points essentiels Ann Fr Anesth Reanim 2008;27:3-14 - ventilation au masque difficile
Plus en détail& BONNES POSTURES TMS TROUBLES MUSCULO-SQUELETTIQUES. Le guide. Guide offert par la MNT
A5-MNTrefonte.indd 1 28/07/2011 08:28:01 & BONNES S TMS TROUBLES MUSCULO-SQUELETTIQUES Le guide Guide offert par la MNT A5-MNTrefonte.indd 2 28/07/2011 08:28:02 SOULEVER UN OBJET LOURD OU UNE PERSONNE
Plus en détailPrise en charge du patient porteur d un dispositif implantable. Dr Philippe Gilbert Cardiologue CHU pavillon Enfant-Jésus
Prise en charge du patient porteur d un dispositif implantable Dr Philippe Gilbert Cardiologue CHU pavillon Enfant-Jésus Objectifs Expliquer le fonctionnement des stimulateurs et défibrillateurs Identifier
Plus en détailOxygénothérapie à domicile
RÉVISION DE CATÉGORIES HOMOGÈNES DE DISPOSITIFS MÉDICAUX Dispositifs médicaux et prestations associées pour traitement de l insuffisance respiratoire et de l apnée du sommeil Oxygénothérapie à domicile
Plus en détailsur la valve mitrale À propos de l insuffisance mitrale et du traitement par implantation de clip
À propos de l insuffisance mitrale et du traitement par implantation de clip sur la valve mitrale Support destiné aux médecins en vue d informer les patients. À propos de l insuffisance mitrale L insuffisance
Plus en détailLe Test d effort. A partir d un certain âge il est conseillé de faire un test tous les 3 ou quatre ans.
Le Test d effort L'épreuve du test d'effort est un examen effectué en général par un cardiologue ou un médecin du sport. Le test d'effort permet de mesurer le rythme cardiaque, la pression artérielle,
Plus en détailItem : Souffle cardiaque chez l'enfant
Item : Souffle cardiaque chez l'enfant Collège des Enseignants de Cardiologie et Maladies Vasculaires Date de création du document 2011-2012 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Généralités...
Plus en détail8/28/2013. L inhalothérapie aux soins critiques. Objectifs. Rôles de l inhalothérapeute. Objectifs
Objectifs Connaître le rôle de l inhalothérapeute dans les unités de soins critiques Connaître les dispositifs d oxygénation et d humidification Connaître les modes et principes de la ventilation (invasive,
Plus en détailMaternité et activités sportives
Maternité et activités sportives L obstétricien est de plus en plus souvent interrogé sur les avantages et les risques de maintenir ou de débuter une APS ou de loisir pendant la grossesse. Transformations
Plus en détailLA VIE APRES VOTRE INFARCTUS
Hôpital Privé d Antony LA VIE APRES VOTRE INFARCTUS Livret d information Hôpital Privé d Antony - OPC/KINE/268 Page 1 sur 5 Intervenants Rédigé par : C.DUPUY M.CERISIER Masseur Kinésithérapeute Masseur
Plus en détailVous intervenez en équipage SMUR sur un accident de la voie publique : à votre arrivée sur les lieux, vous trouvez un homme d environ 30 ans au sol à
Vous intervenez en équipage SMUR sur un accident de la voie publique : à votre arrivée sur les lieux, vous trouvez un homme d environ 30 ans au sol à plat dos, inconscient Glasgow 3, à 20 mètres d une
Plus en détailQUEL PROTOCOLE DE REENTRAINEMENT PROPOSER AUX PATIENTS INSUFFISANTS CARDIAQUES?
QUEL PROTOCOLE DE REENTRAINEMENT PROPOSER AUX PATIENTS INSUFFISANTS CARDIAQUES? Cliquez pour modifier le style des sous titres du masque MARIE CHRISTINE MERSCH MASSEUR KINESITHERAPEUTE Service de Réadaptation
Plus en détailSession Diagnostic. organisme gestionnaire du développement professionnel continu. www.cardiosleep.fr
Session Diagnostic organisme gestionnaire du développement professionnel continu www.cardiosleep.fr UN CONSTAT 1 patient sur 3 est atteint de Troubles Respiratoires du Sommeil (TRS) en cardiologie. Les
Plus en détailBienvenue aux Soins Intensifs Pédiatriques
SIP Août 2010 Route : 354 Bienvenue aux Soins Intensifs Pédiatriques Août 2010 1 Table des matières 1. Présentation du service p 3 2. Pathologies les plus courantes aux SIP. P 5 3. Objectifs de stage p
Plus en détailMaladies neuromusculaires, conséquences respiratoires, rééducation : aspects pédiatriques
Maladies neuromusculaires, conséquences respiratoires, rééducation : aspects pédiatriques Dr Anne DESCOTES MPR Unité de coordination en rééducation pédiatrique CHU Grenoble Dr Isabelle PIN pneumo pédiatre
Plus en détailIMR PEC-5.51 IM V2 19/05/2015. Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES
DOSSIER D ADMISSION 1/6 Date d'admission souhaitée : Date de la demande : Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES Renseignements administratifs
Plus en détailLa sternotomie. Conseils à suivre après votre intervention
La sternotomie Conseils à suivre après votre intervention Qu est-ce qu une sternotomie? Quel objectif? Cette brochure vous explique ce qu est une sternotomie, et vous donne des conseils à observer après
Plus en détailCollection Soins infirmiers
Collection Soins infirmiers Une production du Université de Caen Basse-Normandie Traumatologie : traitements des fractures Dr. J-P de ROSA CH. AVRANCHES-GRANVILLE Fractures diagnostic 2 Fractures-diagnostic
Plus en détailEXPLORATIONS FONCTIONNELLES RESPIRATOIRES ET EVALUATION DE L ENCOMBREMENT
1 EXPLORATIONS FONCTIONNELLES RESPIRATOIRES ET EVALUATION DE L ENCOMBREMENT Eve Danna : cadre de santé en kinésithérapie. Hôpital Jeanne de Flandre, CHRU Lille 53037 Lille Cedex e-danna@chru-lille.fr Cette
Plus en détailAPRES VOTRE CHIRURGIE THORACIQUE OU VOTRE PNEUMOTHORAX
Hôpital Privé d Antony APRES VOTRE CHIRURGIE THORACIQUE OU VOTRE PNEUMOTHORAX Livret d information Hôpital Privé d Antony OPC/KINE/297 Page 1 sur 6 Intervenants Rédigé par : Nom Profession Le Visa C.DUPUY
Plus en détailMaintien. Maintien et Immobilisation
Maintien Maintien et Immobilisation Sangles de maintien pour fauteuil et lit Le système d attache rapide permet une fixation sûre et permanente des ceintures ARPEGIA. Dans tous les cas, une boucle unique
Plus en détailLASER DOPPLER. Cependant elle n est pas encore utilisée en routine mais reste du domaine de la recherche et de l évaluation.
LASER DOPPLER INTRODUCTION La technique qui utilise l effet Doppler à partir d un faisceau laser est l une des seules qui permette d enregistrer en continu le reflet de la perfusion superficielle de tissus
Plus en détailParcours du patient cardiaque
Parcours du patient cardiaque Une analyse HAS à partir de la base QualHAS, des Indicateurs Pour l Amélioration de la Qualité & Sécurité des Soins (IPAQSS)- Infarctus du myocarde Linda Banaei-Bouchareb,
Plus en détailprise en charge paramédicale dans une unité de soins
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en
Plus en détailQUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE?
QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE? Vous allez être opéré(e) à la clinique Saint-pierre d une fistule anale par l équipe chirurgicale des docteurs Bardou, Ben brahem
Plus en détailDr Laurence FAYARD- JACQUIN Cœurs du Forez 2008. Mise à jour 24-06-08
Diabète de type 2 et Sport Dr Laurence FAYARD- JACQUIN Cœurs du Forez 2008 Mise à jour 24-06-08 L activité physique est recommandée depuis longtemps aux patients diabétiques Dès la fin du 19 ème siècle,
Plus en détailÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE
ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE 23 ÉVALUATION DE
Plus en détailConseils aux patients* Lutter activement. *pour les patients ayant subi une opération de remplacement de la hanche ou du genou
Conseils aux patients* Lutter activement contre la thrombose *pour les patients ayant subi une opération de remplacement de la hanche ou du genou 2 Mentions légales Directeur de la publication : Bayer
Plus en détailRETOUR AU DOMICILE DES OPERES DU THORAX
Marcelcave, le 10 février 2009 RETOUR AU DOMICILE DES OPERES DU THORA Drs Marie-Claude LELEU et Pierre DUPONT 1 PRE TEST Vrai Faux Les complications chirurgicales après chirurgie thoracique sont fréquentes.
Plus en détailLe sevrage de la trachéotomie
Le sevrage de la trachéotomie Journée de formation «infirmière» et «kinésithérapeute» SKR. Maison de la réanimation Paris 01 / 06 / 2012 Dr G.Beduneau Réanimation Médicale CHU ROUEN gaetan.beduneau@chu-rouen.fr
Plus en détailCRITERES DE REMPLACEMENT
ANATOMIE ET CYTOLOGIE PATHOLOGIQUES - 7 semestres dans des services agréés pour le DES d anatomie et cytologie pathologiques, dont au moins 5 doivent être accomplis dans des services hospitalouniversitaires
Plus en détailrecommandations pour les médecins de famille
BPCO: recommandations pour les médecins de famille BPCO: recommandations pour les médecins de famille Dr. med. Werner Karrer, Prof. Dr. med. Jörg D. Leuppi Les médecins de famille jouent un rôle central
Plus en détailprise en charge médicale dans une unité de soins
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en
Plus en détailo Non o Non o Oui o Non
Enquête générale (à remplir une fois) [ ] = plusieurs réponses possibles o = une seule réponse possible Date de votre réponse à ce questionnaire Nombre de lits dans l'unité Connaissez-vous l incidence
Plus en détailInsuffisance cardiaque et télémédecine: Exemple du Projet E care : prise en charge à domicile des insuffisants cardiaques en stade III
Insuffisance cardiaque et télémédecine: Exemple du Projet E care : prise en charge à domicile des insuffisants cardiaques en stade III de la NYHA Emmanuel ANDRES et Samy TALHA Service de Médecine Interne,
Plus en détailPRISE EN CHARGE KINESITHERAPIQUE EN EHPAD
Université Paris V Faculté de médecine Cochin-Port Royal 24 Rue du Faubourg Saint Jacques 75014 PARIS PRISE EN CHARGE KINESITHERAPIQUE EN EHPAD Dr Youcef KRELIL Dr Isabelle LUREAU DIU de formation à la
Plus en détailDon d organes et mort cérébrale. Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper
Don d organes et mort cérébrale Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper La mort cérébrale Cessation irréversible de toute fonction cérébrale
Plus en détailREPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Première Journée du Centre Intégré Nord Francilien de prise en charge de l obésité de l adulte et de l enfant REPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.
PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions
Plus en détailRespiration abdominale d effort encore appelée respiration abdominale inversée
Respiration abdominale d effort encore appelée respiration abdominale inversée Intérêt dans la prévention et le traitement des LOMBALGIES, SCIATIQUES et RACHIALGIES et dans les MANUTENTIONS DE CHARGES
Plus en détailCancer et dyspnée: comment peut-on soulager? Dr Lise Tremblay 10 mai 2010
Cancer et dyspnée: comment peut-on soulager? Dr Lise Tremblay 10 mai 2010 Objectifs Comprendre la physiopathologie de la dyspnée Connaître les traitements disponibles pour soulager la dyspnée Définir la
Plus en détailObservation. Merci à l équipe de pharmaciens FormUtip iatro pour ce cas
Cas clinique M. ZAC Observation Mr ZAC ans, 76 ans, 52 kg, est admis aux urgences pour des algies fessières invalidantes, résistantes au AINS. Ses principaux antécédents sont les suivants : une thrombopénie
Plus en détailPhysiologie du nouveau-né
Physiologie du nouveau-né Jamil Hamza: Praticien hospitalier, DES en anesthésie-réanimation Paul Sacquin: Attaché, département d'anesthésie-réanimation Lionel Simon: Chef de clinique-assistant, département
Plus en détailQue savoir sur la chirurgie de LA HERNIE DE LA LIGNE BLANCHE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE en hospitalisation AMBULATOIRE?
Que savoir sur la chirurgie de LA HERNIE DE LA LIGNE BLANCHE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE en hospitalisation AMBULATOIRE? VOUS ALLEZ ETRE OPERE(E) A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE D UNE CURE DE HERNIE DE LA LIGNE
Plus en détailLA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique
LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique Caroline Karras-Guillibert Rhumatologue, Hôpital Saint Joseph, Marseille La lombalgie chronique : le «mal du siècle»?
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailINTRODUCTION GENERALE :
DÉPARTEMENT DE MÉDECINE INTERNE La Chaux-de-Fonds Rue de Chasseral 20 2300 La Chaux-de-Fonds tél. 032 967 27 28 / 032 967 27 32 fax 032 967 27 29 PD Dr D. Genné, méd.-chef de service Dr H. Zender, méd.-chef
Plus en détailCritères de suivi en rééducation et. d orientation en ambulatoire ou en soins de suite ou de réadaptation
RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Critères de suivi en rééducation et Octobre 2007 Version pré-commission d orientation en ambulatoire ou en soins de suite ou de réadaptation Après chirurgie des ruptures
Plus en détailNouveaux anticoagulants oraux : aspects pratiques
Nouveaux anticoagulants oraux : aspects pratiques Christelle MARQUIE CHRU de Lille Clinique de Cardiologie L i l l e 2 Université du Droit et de la Santé Les NOAG: QCM 1. ont les mêmes indications que
Plus en détailGastric Bypass, Mini-Gastric Bypass et Sleeve Gastrectomy
Service de Chirurgie Viscérale Centre Hospitalier de Saint Malo Gastric Bypass, Mini-Gastric Bypass et Sleeve Gastrectomy Chère Patiente, Cher Patient, Vous devez être opéré(e) en raison de votre forte
Plus en détailFormation à l utilisation du défibrillateur semi-automatique (DSA)
Formation à l utilisation du défibrillateur semi-automatique (DSA) Que devons nous savoir? Utiliser en toute sécurité un défibrillateur semi-automatique au cours de la réanimation cardio-pulmonaire Durée
Plus en détailAprès l intervention des varices. Informations et conseils sur les suites du traitement. Réponses aux questions fréquemment posées
Brochure à l attention du patient Après l intervention des varices Informations et conseils sur les suites du traitement Réponses aux questions fréquemment posées Les suites de l intervention En résumé
Plus en détailTUTORAT UE 5 2012-2013 Anatomie Correction Séance n 6 Semaine du 11/03/2013
TUTORAT UE 5 2012-2013 Anatomie Correction Séance n 6 Semaine du 11/03/2013 Appareil respiratoire-organogénèse de l appareil digestif Cours du Pr. PRUDHOMME Séance préparée par Anissa BARAKAT, Caroline
Plus en détailRéférentiel CPAM Liste des codes les plus fréquents pour la spécialité :
Référentiel CPAM Liste des codes les plus fréquents pour la spécialité : ANESTHESIOLOGIE - REANIMATION CHIRURGICALE ADA - Acte d'anesthésie AFLB010 4 (7, F, S, U) 0 Anesthésie rachidienne au cours d'un
Plus en détailKEAT : premier électrostimulateur sans fil d auto-rééducation périnéale à domicile
L incontinence : une maladie très fréquente D après le Pr François Haab, chirurgien urologue, coordinateur du centre d explorations périnéales de l hôpital Tenon (Paris) Des solutions adaptées à chaque
Plus en détailMieux informé sur la maladie de reflux
Information destinée aux patients Mieux informé sur la maladie de reflux Les médicaments à l arc-en-ciel Mise à jour de l'information: septembre 2013 «Maladie de reflux» Maladie de reflux La maladie de
Plus en détailMigraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques
Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension
Plus en détailROLE IADE EN NEUROANESTHESIE. (C.Muller 2005)
ROLE IADE EN NEUROANESTHESIE. (C.Muller 2005) PLAN : - Lieux d exercice. - Rappel des notions essentielles à connaître en NeuroAnesthésie. - Rôle IADE. - Cas particulier de l enfant. LIEUX D EXERCICE.
Plus en détail