Faculté de Médecine Montpellier-Nîmes
|
|
- Éloïse Rochon
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Module Développement D Endocrinologie du développementd Objectifs du cours A l issu de ce cours, vous devrez être capable de : Définir les trois niveaux de sexe La Différenciation Sexuelle Année Citer les principaux gènes impliqués dans la détermination sexuelle et décrire brièvement leur fonction et leur position dans la cascade de détermination du sexe Décrire le processus de différenciation sexuelle Expliquer les expériences de JOST Citer les hormones impliquées dans la différenciation sexuelle Décrire le mécanisme d action de la testostérone sur ces tissus cibles MCU-PH Service d'hormonologie Hôpital Lapeyronie Processus long et séquentiel qui débute en période foetale et se poursuit en période néonatale et pubertaire pour aboutir à l'établissement d'un dimorphisme sexuel. s'achève à la puberté avec la mise en place des caractères sexuels secondaires et l'acquisition des fonctions de reproduction. Il est important de différencier: - La détermination de la gonade, orientation male ou femelle de la gonade primitive indifférenciée. Testicules Gonades Indifférenciées Détermination sexuelle Différenciation Sexuelle Ovaires - proprement dite, mise en place des tractus génitaux internes et externes. Phénotypes Masculins Phénotypes Féminins
2 Déterminisme du sexe : debute dès la fécondation Etablissement du sexe génétique : Mise en commun du materiel génétique des gamètes mâle et femelle pour former un oeuf XX ou XY. Détermination sexuelle permet l'engagement de l'ébauche gonadique indifférenciée (crête génitale) dans une voie de développement aboutissant à la formation d'un testicule ou d'un ovaire Constitution du sexe gonadique correspond à l'établissement du sexe phénotypique : OGI et OGE 3 niveaux de définition du sexe : Sexe Génétique Détermination sexuelle Sexe Gonadique Différenciation sexuelle Sexe Phénotypique Partie I : Formation des gonades indifférenci renciéeses Mésoderme intermédiaire Crête urogénitale GP apparaît vers 4ème semaine de gestation Colonisation par C. germinales issus de l'allantoide (5-6ème SG) La détermination d des gonades SF1 et WT1 (+/- LHX9)
3 Formation des gonades indifférenci renciéeses Chronologie de la détermination d sexuelle Stade indifférencié jusqu'à la 6 ème Semaine de développement. Gonada Primordia : épithèlium superficiel et C. indifférenciées sous-jacentes (C. du mésonephros et C. germinales) Avant la 6 éme semaine de développement : G. Indifférenciée Formation des ébauches gonadiques Migration des cellules germinales Mise en place du tractus génital (Canaux Wolff et Müller) Détermination de la gonade débute à la 6 ème semaine de développement. (10-12 jours chez souris) Détermination de la gonade est plus précoce chez l homme (7 sem.) / femme (8 sem ) - Détermination femelle par défaut? S'achève vers la 10-12éme semaine chez l homme 16éme semaine chez la femme Origine des cellules gonadiques Partie I : Sertoli Cell. soutien Granulosa Cell. Somatiques Cell. stéroidogènes Leydig Thèque Cell. conjonctives Cell. germinales Spz Ovocytes La détermination d des gonades 1- Les gènes g intervenant dans la formation de la gonade primitive Myoide Stroma
4 Steroidogenic Factor 1 : SF1 Acteur important de la formation et de la différenciation des gonades et des surrénales, intervient précocement. Assure tardivement la régulation de nombreuses enzymes liés à la stéroidogénèse ainsi que la régulation de nombreux gènes impliqués dans le déterminisme gonadique. Apparitions précoces dans les tissus embryonnaires de souris (crête génitale et C. surrénaliennes) suggérant un rôle dans la différenciation gonadique et surrénalienne. Invalidation chez souris XY : Phénotype Féminin, absence Gonades, Surrénales et Hypothalamus ventromédian. Gène WT1 Chromosome 11 Initialement, oncogène impliqué dans le développement rénal et dans la survenue de tumeurs (tumeur de Wilms) Facteur de transcription (doigts de Zinc) Invalidation chez Souris Pas de Gonades Pas de Rein Expression dès le 9ème j. dans la crête génitale indifférenciée Puis dans les C. de Sertoli / Mâle ou Granulosa chez Femelle Gène WT1 Gène WT1 Fœtus humain : expression dans la gonade et le rein Chez Homme, Mutations héterozygotes entraînent des phénotypes variables : Défauts de détermination gonadique, Néphropathies. Syndrome de Denys-Drash : Insuffisance rénale aiguë avec néphroblastome (Tumeur de Wilms) et une dysgénésie gonadique avec ambigüité sexuelle Syndrome de Frasier : néphropathie avec dysgénésie gonadique pure (réversion sexuelle) WT1 intervient dans les étapes précoces du développement de la gonade indifférenciée (en amont de SRY) Mais également plus tardivement dans le développement de la gonade dans le maintien de sa fonction - Plusieurs isoformes / épissages alternatifs - 2 isoformes : 3 AA (KTS) entre 3 et 4 doigt Zn KTS+ : Souris gonades diminuées en taille mâle/femelle KTS- : affinité +++ pour ADN : Facteur de transcription - Souris invalidé pour Isoformes KTS+ présentent, en association avec une atteinte hépatique, un développement gonadique normal chez la femelle mais une inversion sexuelle totale chez les mâles. - Chez Homme (Synd Frasier) : anomalie d'épissage de forme KTS+, aboutissant à une diminution du rapport KTS+/KTS-, DG pure
5 Gène LHX9 La gonade primitive SF1 WT1 (LHX9) Expression concomitante à SF1 et WT1 Gonades Indifférenciées Invalidation Souris montre une agénésie des gonades Détermination sexuelle Agirait sur l'expression de SF1 Testicules Ovaires Pas d'anomalie retrouvée chez l'homme à ce jour Différenciation Sexuelle Phénotypes Masculins Phénotypes Féminins Partie I : Détermination de la gonade Observation chez les animaux La détermination d des gonades 2- Les gènes g de la détermination d testiculaire Classes Chromosomes sexuels Signal primaire de détermination Nématodes XX = Hermaphrodite ou Femelle Nombre de chromosome X par rapport au nombre (Caenorhabditis) XO = Mâle d'autosomes Insectes (Drosophile) XX = F XY ou XO = M Nombre de chromosomes X par rapport au nombre d'autosomes Amphibiens Reptiles XX = F ZW = F XY = M ou ZZ = M? Oiseaux ZZ = M ZW = F? Mammifères XX = F XY = M Chromosome Y
6 Importance du Chromosome Y Localisation du TDF Caryotype Sexe Gonade Syndrome Symptômes phénotypique 45, XO féminin ovaire syndrome de régression des ovaires Turner chez le foetus 45, YO l'absence de chromosome X est létale 46, XX féminin ovaire femme normale différenciation normale 47, XXX féminin ovaire phénotype différenciation normale féminin normal fertilité 46, XY masculin testicule homme normal différenciation normale 47, XXY masculin testicule syndrome de Petits testicules durs Klinefelter (atrophie testiculaire) aspermatogénèse 47, XYY masculin testicule phénotype différenciation normale masculin normal fertilité Analyse caryotypique montre que quelque soit le nombre de Chr X, la présence d'un chr Y (normal) entraîne toujours un phénotype mâle (S Klinefelter) Chromosome Y : Facteur Déterminant le Testicule (TDF) Facteur de Détermination D Testiculaire Facteur de Détermination D Testiculaire Importance du Chromosome Y Localisation par homologie des chromosomes d'hommes XX et de femmes XY Région pseudoautosomique Yp Centromère Yq Méiose Recombinaison entre chr. homologues : Crossing-over Hommes XX Femmes XY Hybridation avec sondes spécifiques du Chr Y Homme XX / FemmeXY = Rec Anormale
7 Expérience de transfection de Sry Confirmation SRY = TDF Le gène g SRY Gène mono-exonique / bras court du Chr Y Exprimé dans le testicule embryonnaire Produit une Protéine de 204 AA Appartient à la famille des protéines HMG (High Mobilty Group) HMG box (79 AcA) liaison à l'adn (petit sillon) : Forte affinité Embryon XX SRY est nécessaire et suffisant pour induire la différenciation sexuelle masculine Nombreuses mutations retrouvées chez l'homme, majoritairement dans le domaine HMG box 2 modes d'action : soit comme un facteur de transcription soit en modifiant la structure de l'adn Mutation de SRY retrouvée dans 15 % des cas de DG Autres gènes g impliqués s dans la Détermination D sexuelle Gène Sox 9 SRY Homeobox-like gene 9 Facteur de transcription / 509 AcA / Chr 17 Forte homologie avec SRY Expression chez souris XX entraine la différenciation des cellules de Sertoli et un développement testiculaire en absence de SRY Cas d'hommes XX avec large duplication du Chr 17 (incluant SOX9) Mutations de SOX9 chez individu XY entraine une pathologie de la chondrogénèse (Dysplasie campomélique) associée à une reversion sexuelle (75%)
8 Sox 9 Steroidogenic Factor 1 Régule les enzymes de la stéroidogénèse(cyp450scc, Aromatase, ) et de la protéine StAR (Protéine régulant l'entrée du cholestérol dans la mitochondrie) Rc Nucléaire / 461 AA Développement cortico-surrénale et maintien de ses fonctions stéroïdogéniques Séquences consensus PyCAAGGTCA, en amont des gènes de l'amh et de ses récepteurs, de DAX1, de WT1 du récepteurs à l'acth, du récepteur aux HDL, des gonadotrophines et de leurs récepteurs Invalidation chez souris XY : Phénotype Féminin, absence Gonades, Surrénales et Hypothalamus ventromédian. Mort précoce après la naissance Gène DAX1 Gène DAX1 Découverte par l'étude concernant 2 affections différentes mais dont les loci étaient proches (Xp21) : DSSR (Dosage sensitive sex reversal) : Femme XY avec dysgénésie gonadique Duplication d'une région de 160 kb sur Chr X Hypoplasie congénitale des surrénales Anomalies associées à ce syndrôme étaient localisées sur locus Xp21 Expression précoce dans la gonade bipotentielle et les glandes surrénaliennes puis disparition de la gonade mâle vers 12 jpc (levée d inhibition) Action par effet antitesticulaire Régule négativement l'effet transcriptionnel de SF1 Indispensable pour le développement des tubes séminifères et de la corticosurrénale
9 Autres gènes g impliqués s chez l'homme DMRT1 et 2 : Chr 9p Délétion du bras court du Chr 9 : Patients XY présentant une réversion sexuelle. Chez souris DMRT 1 est plus fortement exprimé chez le mâle que chez la femelle DHH (Desert HedgeHog) : Chr 12q Expression spécifique C. Sertoli (molécule signal) Chez Souris, invalidation : Stérilité et anomalies C. Sertoli Chez Homme, mutations décrites chez un individu XY avec dysgénésie gonadique associée à une neuropathie périphérique FGF9 Autres gènes g impliqués s chez l'homme Rôle important dans developpement des poumons et des os Jouerait également un rôle dans la prolifération des C. mésenchymateuses, dans leur migration et dans leur différenciation en Cell. de Sertoli Intervient dans une boucle d autoregulation de Sox9 PGDS (Prostaglandine D2 synthases) Expression testiculaire Internalisation nucléaire de Sox9 (autoactivation)/ Rc specifiques PGD2 entraîne formation testiculaire / gonade XX en culture Autres gènes g impliqués s chez l'homme D'autres loci sont impliqués sans avoir jusqu'à présent pu déterminer le ou les gènes mis en cause : Certaines région du Chr 2q Chez deux patientes XY, la région 6p25 Une région du Chr 10q délétée chez plusieurs femmes XY Une duplication du Chr 22q a été observée chez un hermaphrodisme vrai XX Le Testicule Testicules Gonades Indifférenciées SRY Sox9 SF1 SF1 WT1 (LHX9) Détermination sexuelle DAX1 Différenciation Sexuelle Ovaires Phénotypes Masculins Phénotypes Féminins
10 Partie I : Déterminisme génétique g de l'ovaire La détermination d des gonades 3- Les gènes g de la détermination d ovarienne Moins bien connu. Longtemps considéré par défaut Nécessite la répression de SOX9 et l'activation de WNT4 qui favoriserait l'expression de DAX1 DAX1(x2) jouerait également un rôle important en reprimant certains gènes (notamment SF1) Le gène FOXL2 interviendrait dans le maintien de la fonction ovarienne. Gène WNT4 Gène FoxL2 Chromosome 1 Expression dimorphique selon le sexe : dans le Testicule / Maintient dans l Ovairel Régule positivement l expression l de DAX1 (Sertoli( Sertoli, Leydig) Répression de la steroïdogen dogenèse et de la mise en place des vaisseaux coelomiques Rôle dans la folliculogenèse : Invalidation Apoptose des Ovocytes I Important dans la formation des canaux de MüllerM Mutation chez des femmes : Syndrome proche du MRKH Absence de dérivd rivés s du canal de Müller M (Vagin et Utérus) + Hyperandrogénie nie Impliqué dans le BPES et insuffisance ovarienne précoce Facteur le plus précoce de la détermination ovarienne Rôle dans la différenciation des cellules de la granulosa
11 Gène RSPO1 Conclusion sur la détermination d sexuelle Expression élevée dans Gonade XX Famille consanguine : 4 frères XX (SRY -) + Hyperkératose palmoplantaire (PPK)? FoxL2 Mutation R-spondine 1 : RSPO1 (Nature genetics 2006) Identifié également chez un homme XX non apparenté présentant PPK Action stabilisatrice sur beta-caténine (synergie avec Wnt4?)? FoxL2 Conclusion sur la détermination d sexuelle Partie II : FoxL2 Wnt4 des organes génitauxg
12 Organogénèse commune au 2 sexes Formation des Tractus génitauxg Formation des ébauches gonadiques indifférenciées pendant la 5ème et 6ème semaine de gestation Colonisation des ébauches gonadiques par les cellules germinales (cellules souches des gamètes) qui migrent depuis l'allantoide Stade indifférencié jusqu'à la 7-8 ème Semaine de développement. Tractus génital interne : 2 paires de canaux Canaux de Wolff (4) Canaux de Müller (3) Tractus génital est constitué par 2 systèmes de canaux qui coexistent : Canaux de Wolff (4) Canaux de Müller (3) Différenciation des Organes Génitaux G Internes Les Organes Génitaux G Internes (OGI) A la 8 ème SD : OGI = Différenciation des gonades (déterminisme) en testicules ou en ovaires entraine une régression d'un système canaliculaire pendant que l'autre se développe. Les OGI s'édifient à partir de 2 formations embryonnaires annexées à la gonades : - Les canaux de Wolff - Les canaux de Müller
13 Différenciation des OGI chez l'homme Différenciation des OGI chez la femme Mécanisme par défaut? Testicules : Régression des canaux de Müller Développement des canaux de Wolff Epididyme Canal déférent Vésicules séminales Canal éjaculateurs Ovaires : Régression des canaux de Wolff Développement des canaux de Müller Pavillon Trompe de Fallope Utérus 2/3 supérieur du Vagin SUG Vessie, Urètre, Prostate SUG Vessie, Urètre, 1/3 inférieur du Vagin Régulations endocriniennes de la différenciation sexuelle masculine Différenciation des Organes Génitaux G Internes Théorie Hormonale de la différenciation sexuelle Observation de jumeaux dizygotes XX et XY (Veau) = Freemartinisme Observation de masculinisation du jumeau XX lorsqu'il existe des connexions vasculaires entre les deux circulations des embryons Jumeau 46,XY Circulation Jumeau 46,XX virilisé Processus Hormonal
14 Rôle du testicule foetal : Experiences de Castration Expériences de Jost (1947) Lapin Greffe Testicule au 20ème jour Lapin XX Phénotype Masculin Développement des canaux de Wolff Régression des canaux de Müller Castration chirurgicale in utéro Regression Cx de Wolff de lapin mâle ou femelle Développement Cx de Müller Phénotype Féminin par défaut 28ème jour Le Testicule foetal à un rôle majeur dans la différenciation sexuelle masculine Expériences de Jost (1947) Conclusions : Testicule Foetal Dissociation entre les OGE et les OGI OGE : OGI : Masculin Devt canaux de Wolff Persistance Canaux de Müller Le testicule foetal a donc deux sécretions hormonales différentes Lapin XX Implantation au 20ème jour 28ème jour Rôle majeur dans la diff Sexuelle Masculine Testicules OGE : Phénotype masculin OGI : Regression des canaux de Müller Développement des canaux de Wolff Double Sécrétion du Testicule Foetal : - Développement des OGE et des Dérivés Wolffiens (Androgènes) - Régression des canaux de Müller (Hormone Anti-Müllerienne)
15 Hormone Anti Mullerienne : AMH La Testostérone et La DHT AMH est une GP dimérique de 140 kda Testostérone : Sécrétée par les Cell. de Leydig du testicule foetal Famille des TGF Beta Gène sur Chr 19 Synthèse par les Cell. De Sertoli vers la fin de la 7 ème SD Régulé par le facteur Sox9 Action via le Récepteur à l'amh (2 types) Régression des canaux de Müller Débute à la 8ème SD, Max à la 13ème et diminue jusqu'à 20ème Sous action de l'hcg placentaire jusqu'au 3ème mois puis la LH foetale prend le relais Testo induit la différenciation et le développement des Cx de Wolff Epididyme Canal déférent Vésicules Séminales Canal éjaculateur La Testostérone et la DHT Sensibilité des OG à la T et DHT DHT : Produit issu du métabolisme de la testostérone par la 5α réductase de type II. Expression 5alpha2 dans les tissus cibles Androgène naturel le plus puissant Induit la différenciation des OGE en Scrotum et Pénis
16 Comment agissent les Androgènes nes? Génétique du Récepteur R des Androgènes nes T et DHT agissent via un récepteur commun : Le Récepteur des Androgènes Récepteur nucléaire / 919 AA Gène porté par le Chromosome X Mode d'action des Androgènes nes Mécanisme d'action du Récepteur R des Androgènes nes T DHT Régulation FSH/LH Spermatogénèse Différenciation Sexuelle Devt Canaux de Wolff Différenciation Sinus uro-génital OGE Maturation sexuelle à la puberté
17 Mutations connues sur le RA Titres Il existe plus de 300 mutations connues du RA responsables d'anomalies de la différenciation sexuelle (complète ou partielle) Résumé - Conclusion du Cours Résumé - Conclusion du Cours SRY Gonade indifférenciée Testicule AMH Testostérone Rc de l'amh 5α réductase II DHT Récepteur des Androgènes Regression des canaux de Müller Canaux de Wolff OGI SUG, OGE Prostate, Verge..
18 Résumé - Conclusion du Cours Quelques exemples (1) BB 2 mois Consulte pour ambigüité sexuelle (DSD) hypertrophie clitoridienne Testo (HCG stim) et AMH basse Dysgénésie gonadique 1- Caryotype 46 XY 2- SRY + 3- Mutation SF1 Quelques exemples (2) Quelques exemples (3) Nonsense mutation of Sox9 46, XY / PHM Gonades palpées en inguinal Grandes lèvres plissées Testoélévéeet AMH normale Mutation Récepteur aux androgènes 100% Dysplasie Campomelique 75% Réversion sexuelle Hypospadias intrascrotal
19 Quelques exemples (4) Micropénis extrême Caryotype 46 XY Testo N / DHT basse Mutation 5 alpha reductase
Hyperplasie congénitale des surrénales par déficit en 21-hydroxylase
Hyperplasie congénitale des surrénales par déficit en 21-hydroxylase GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE PNDS Cliquez ici LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE Cliquez ici GUIDE MÉDECIN
Plus en détailINFORMATION GÉNÉTIQUE et REPRODUCTION SEXUÉE
Partie 1, Chapitre 4 INFORMATION GÉNÉTIQUE et REPRODUCTION SEXUÉE Constat : à l'exception des jumeaux, chaque individu est unique. Ses caractères héréditaires dependent des info génétiques (allèles) portées
Plus en détail.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203 .(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3 .( @.*" '!%2"+ %#(30! &' 4!!% .+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!
!"#! $ %#&' (!"#$!% & % ' (!%' ) )''! *)+* *! %#"+, ' ( ', -) " *.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203.(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3.( -.* %)!(2"+ %#(30! &' 4!!%.+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!%(%' 0.(89.*
Plus en détailintroduction & sommaire
introduction & sommaire 3 MT* - MALE TO SOMETHING est une brochure pour les personnes assignées hommes par les sciences biomédicales et qui sont en transition vers une identité fluide ou féminisée et toutes
Plus en détailLes OGM. 5 décembre 2008. Nicole Mounier
Les OGM 5 décembre 2008 Nicole Mounier Université Claude Bernard Lyon 1 CGMC, bâtiment Gregor Mendel 43, boulevard du 11 Novembre 1918 69622 Villeurbanne Cedex OGM Organismes Génétiquement Modifiés Transfert
Plus en détailCHAPITRE 3 LA SYNTHESE DES PROTEINES
CHAITRE 3 LA SYNTHESE DES ROTEINES On sait qu un gène détient dans sa séquence nucléotidique, l information permettant la synthèse d un polypeptide. Ce dernier caractérisé par sa séquence d acides aminés
Plus en détailGONADOTROPHINE CHORIONIQUE ENDO 5000 U.I./1 ml, lyophilisat et solution pour usage parentéral intramusculaire
ésumé des Caractéristiques du Produit 1 sur 5 21/09/2010 14:31 Mis à jour : 16/02/2010 1. DENOMINATION DU MEDICAMENT GONADOTROPHINE CHORIONIQUE ENDO 5000 U.I./1 ml, lyophilisat et solution pour usage parentéral
Plus en détailPlateforme Transgenèse/Zootechnie/Exploration Fonctionnelle IBiSA. «Anexplo» Service Transgenèse. Catalogue des prestations
Plateforme Transgenèse/Zootechnie/Exploration Fonctionnelle IBiSA «Anexplo» Service Transgenèse Catalogue des prestations 04/01/12 - Page 1 sur 8 Présentation du service de Transgenèse Le service de Transgenèse
Plus en détailPréface. Les étudiants de l Association des Médecins et Pharmaciens du Coeur (AMPC)
Préface Notre association regroupe les énergies bénévoles d étudiants en médecine et en pharmacie, avec pour objectif d aider et accompagner enfants, adolescents et jeunes adultes confrontés à la maladie.
Plus en détailReproduction et environnement
Expertise collective Synthèse Reproduction et environnement ISBN 978-2-85598-891-8 www.inserm.fr Expertise collective Reproduction et environnement Expertise collective Synthèse Reproduction et environnement
Plus en détailFocus. Assurances et tumeurs génitales des hommes jeunes. Unité de Recherche et Développement pour les Risques Aggravés.
Unité de Recherche et Développement pour les Risques Aggravés Focus Juillet 2007 Assurances et tumeurs génitales des hommes jeunes Assurances et tumeurs génitales des hommes jeunes Conception et réalisation
Plus en détailAVIS N 75. Questions éthiques soulevées par le développement de l'icsi
Comité Consultatif National d Ethique pour les Sciences de la Vie et de la Santé AVIS N 75 Questions éthiques soulevées par le développement de l'icsi Le CCNE a été saisi par Claire Brisset, Défenseure
Plus en détailLes débuts de la génétique
HPITRE 9 DES DÉBTS DE L ÉNÉTIQE X ENJEX TELS DES BIOTEHNOLOIES 1 Les débuts de la génétique est avec les travaux de regor Mendel vers la fin du XIX e siècle que furent posées les bases de la génétique.
Plus en détailFécondation in vitro avec don d ovocytes
Fécondation in vitro avec don d ovocytes Ref. 155 / abril 2009 Service de Médecine de la Reproduction Gran Vía Carlos III 71-75 08028 Barcelona Tel. (+34) 93 227 47 00 Fax. (+34) 93 491 24 94 international@dexeus.com
Plus en détailExploration et Prise en charge d un couple infertile
Exploration et Prise en charge d un couple infertile Florence LESOURD Pôle d Obstétrique, Gynécologie et Médecine de la Reproduction CHU Paule de Viguier - Toulouse DIU de Médecine de la Reproduction-Gynécologie
Plus en détailMais pourquoi je ne suis pas enceinte?
Mais pourquoi je ne suis pas? On a beau vouloir très fort un bébé, la nature ne nous obéit pas toujours au doigt et à l œil Ce qu il faut savoir pour être au top de sa fertilité et tomber plus facilement!...
Plus en détailToxicité à long-terme d un herbicide Roundup et d un maïs modifié génétiquement pour tolérer le Roundup
A l attention de toutes les personnes qui se méfient des jugements de valeur fussent-ils émis par des scientifiques- et qui préfèrent capter les informations à leur source pour s en faire une opinion personnelle.
Plus en détailCommuniqué de presse. Merck Serono. 18 septembre 2008
Communiqué de presse 18 septembre 2008 Merck Serono annonce le lancement de l'essai clinique ORACLE MS destiné à évaluer la cladribine en comprimés chez des patients à risque de développer une sclérose
Plus en détailVolume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques
2 V o l u m e Volume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques Volume 2 : Epidémiologie - Situation et actions Recherche des données d incidence estimée des cancers au Maroc Recherche des données
Plus en détailLes cancers de la prostate
Vous cherchez de l aide ou d autres informations? Vous avez besoin de parler? Vous cherchez des informations sur un type de cancer ou ses possibilités de traitement? Vous voulez savoir comment faire appel
Plus en détailProstate Une petite glande de grande importance
Prostate Une petite glande de grande importance Informations sur les maladies les plus fréquentes, à l intention des patients et des personnes intéressées Société Suisse d Urologie (SSU) Votre partenaire
Plus en détailNeurofibromatose 1 Maladie de Von Recklinghausen
Neurofibromatose 1 Maladie de Von Recklinghausen La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche
Plus en détailLA MITOSE CUEEP - USTL DÉPARTEMENT SCIENCES BAHIJA DELATTRE
Biologie LA MITOSE CUEEP - USTL DÉPARTEMENT SCIENCES BAHIJA DELATTRE Février 2006 I. L'INTRODUCTION Chaque cellule d'un organisme supérieur provient de la multiplication d'une cellule préexistante (cellule
Plus en détailSERVICE DE GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE - CLINIQUE DE FERTILITE
1 TABLE DES MATIERES 1. Un petit mot d introduction 2. En quoi consiste le don d ovocyte? 3. A qui s adresse le don d'ovocyte? 4. Les différents types de don d ovocyte A. Le don anonyme B. Le don dirigé
Plus en détailCoordinateur Roland Calderon
SVT-3 e -/Sciences de la Vie et de la Terre-/ erre-/-programme 2008 LIVRE DU PROFESSEUR Coordinateur Roland Calderon Les auteurs Vincent Béranger Professeur à Paris Louis-Marie Couteleau Professeur à Paris
Plus en détailCe qu il faut savoir sur la chute des cheveux.
01/ 2014 Sandoz Pharmaceuticals SA Suurstoffi 14 Case postale 6343 Rotkreuz Tél. 0800 858 885 Fax 0800 858 888 www.generiques.ch Ce qu il faut savoir sur la chute des cheveux. Architecture du cheveu 4
Plus en détailPARTIE I Compte pour 75 %
PARTIE I Compte pour 75 % Instructions : Noircissez la lettre correspondant à la bonne réponse sur la feuille de réponse fournie. 1. Dans le diagramme, quelles structures font partie du système nerveux
Plus en détailLe contexte. Définition : la greffe. Les besoins en greffons en constante augmentation
Présentation Le contexte Quels donneurs, quels organes? Le don Pour quels malades? Les étapes d une greffe d organes Faites connaître votre choix! 01/04/2014 Union Nationale des associations de donneurs
Plus en détailCe dont on ne parle pas
1 2 Pour de nombreux jeunes gens, l entrée dans l âge adulte s accompagne de profondes transformations. Il en résulte de nombreuses possibilités nouvelles, mais aussi bien des incertitudes, tout aussi
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailDépistage drépanocytose. Édition 2009
Dépistage drépanocytose Édition 2009 ÊTre hétérozygote et alors Madame, Monsieur, Comme tous les nouveau-nés, votre bébé a eu un prélèvement de sang au talon. Ce prélèvement a été réalisé dans le cadre
Plus en détailBienvenue à la Clinique de Fertilité de Mons
Bienvenue à la Clinique de Fertilité de Mons Le centre hospitalier Ambroise Paré collabore depuis de nombreuses années avec les Cliniques Universitaires de Bruxelles Hôpital Erasme pour vous permettre
Plus en détailF us u ses c ouc u he h s s po p nt n a t né n es J. L J. an sac CHU H T ou
Fausses couches spontanées J Lansac CHU Tours Définition Avortement : expulsion produit de conception avant 22SA ou enfant
Plus en détail1 les caractères des êtres humains.
Quelques rappels des classes précédentes ACTIVITÉ livre pages 8 et 9 : apprendre le bilan de la page 9 Les êtres vivants sont répartis en espèces. Chaque être vivant est formé de cellules. schéma d une
Plus en détailSéquence 1. Reproduction conforme de la cellule et réplication de l ADN Variabilité génétique et mutation de l ADN
Séquence 1 Reproduction conforme de la cellule et réplication de l ADN Variabilité génétique et mutation de l ADN Sommaire 1. Reproduction conforme de la cellule et réplication de l ADN 2. Variabilité
Plus en détailLes différentes maladies du coeur
Auteur : Dr Pascal AMEDRO Les différentes maladies du coeur 1. Le cœur normal L oxygène capté dans l air va dans les poumons, où le sang «bleu» est alors oxygéné et devient «rouge». Il est conduit par
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailLe rôle de l endocytose dans les processus pathologiques
UE7 Cours n 9 C. LAMAZE 24.11.11 Elise GODEAU (partie1) Guillaume MERGENTHALER (partie2) Le rôle de l endocytose dans les processus pathologiques SOMMAIRE : I. L endocytose à récepteurs : la voie des clathrines
Plus en détailÀ compter de 2010 les codes du chapitre XVI ne doivent plus être employés au-delà de 2 ans. Créé le 1 er Mars 2011
FASCICULE VI AFFECTIONS DU NOUVEAU-NÉ Emploi des codes du chapitre XVI Le chapitre XVI est celui de Certaines affections dont l origine se situe dans la période périnatale. La définition de la période
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailPatient Diagnostics Tests Rapides Désir d Enfant
Enceinte ou non? Patient Diagnostics Tests Rapides Désir d Enfant Les tests uniques en leur genre d aide à la planification familiale à utiliser chez soi Test d ovulation Test de grossesse précoce Test
Plus en détailLe syndrome de Noonan
Le syndrome Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer sur le syndrome de
Plus en détailHTA et grossesse. Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice
HTA et grossesse Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice Définition HTA gravidique: Après 20 SA Systole> 140mmHg et/ou Diastole>90mmHg A 2 reprises séparées de plus de 6 heures Résolutive
Plus en détailFiche Produit Profils Médicalisés PHMEV
Guide méthodologique développé par l équipe de projets ci-dessous : Fiche Produit Profils Médicalisés PHMEV EQUIPE PROJET Chef de projet : Maryline CHARRA, Pharmacien Conseil Responsable de la mission
Plus en détailLa filtration glomérulaire et sa régulation
UE3-2 - Physiologie rénale Chapitre 4 : La filtration glomérulaire et sa régulation Professeur Diane GODIN-RIBUOT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailDIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires.
Produits de thérapie cellulaire DIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires. DIAPOSITIVE 2 La fabrication des thérapies cellulaires est examinée par la Division
Plus en détailALOPÉCIE ET MÉSOTHÉRAPIE EN 2012. Dr Bernadette Pasquini
ALOPÉCIE ET MÉSOTHÉRAPIE EN 2012 Dr Bernadette Pasquini ALOPÉCIE Alopécie - diminution de la densité des cheveux ou des poils, - diffuse ou localisée, - aiguë ou chronique. Effluvium (anagène, télogène,
Plus en détailRésultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants.
Résultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants. P. Fajadet, L. Carfagna, O. Loustau, J. Vial, J. Moscovici, J.J. Railhac, N. Sans. Radiologie Interventionnelle
Plus en détailLA TRANSMISSION DES CARACTÈRES
LA TRANSMISSION DES CARACTÈRES HÉRÉDITAIRES BIO-5065-2 GUIDE D APPRENTISSAGE BIOLOGIE Janvier 2005 Version révisée (avril 2005) 2 Ce document, produit par la Commission scolaire Marie-Victorin, reprend
Plus en détailNouveau plan greffe : Axes stratégiques pour l avenir
Extrait Communiqué de presse Saint-Denis, le 12 avril 2012 Nouveau plan greffe : Axes stratégiques pour l avenir La dynamique du plan greffe 2000-2003 a généré un essor sans précédent de près de 50 % de
Plus en détailPour l'instant, les connaissances actuelles ne permettent pas d'empêcher un cancer du sein de survenir.
Dépistage Pour l'instant, les connaissances actuelles ne permettent pas d'empêcher un cancer du sein de survenir. Par contre, nous pouvons tenter de le dépister plus tôt afin d'avoir plus de chances de
Plus en détailBases moléculaires des mutations Marc Jeanpierre
Bases moléculaires des mutations Marc Jeanpierre Chaque enfant qui naît hérite de 10 à 30 nouvelles mutations ponctuelles. L essentiel des ces mutations sont heureusement des variations neutres de séquence
Plus en détailLes tests thyroïdiens
Les tests thyroïdiens Mise à jour de juin 2007 par S. Fatio Réf: les images et les graphiques sont tirés de www.endotext.org (textbook d endocrinologie online et libre d accès) QuickTime et un décompresseur
Plus en détailLA SCIENCE [.. POUR LES NULS!..] LA SCIENCE POUR LES NULS numéro 2 1
LA SCIENCE [.. POUR LES NULS!..] LA SCIENCE POUR LES NULS numéro 2 1 LES CYCLONES 3 LE SAVON 10 L ELECTRICITE STATIQUE 14 E.P.O. 19 LE CHAMPAGNE 22 LES DIFFERENCES ENTRE LES DEUX SEXES 26 POURQUOI LE CIEL
Plus en détailBilans : tableau de conversion des unités
ANNEXES Bilans : tableau de conversion des unités Il est difficile de résumer dans un tableau les normes biologiques des bilans hormonaux, car la plupart d entre elles sont variables en fonction des laboratoires.
Plus en détailInnovations thérapeutiques en transplantation
Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.
PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions
Plus en détailinfo ROACCUTANE Brochure d'information sur la contraception destinée aux patientes traitées par Roaccutane Roaccutane
Roaccutane isotrétinoïne Brochure d'information sur la contraception destinée aux patientes traitées par Roaccutane info ROACCUTANE RM SM MANAGEMENT Programme de prévention de la grossesse SOMMAIRE 3.
Plus en détailSéquence 6. Mais ces espèces pour autant ne sont pas identiques et parfois d ailleurs ne se ressemblent pas vraiment.
Sommaire Séquence 6 Nous avons vu dans les séances précédentes qu au cours des temps géologiques des espèces différentes se sont succédé, leur apparition et leur disparition étant le résultat de modifications
Plus en détailLe don de moelle osseuse
Le don de moelle osseuse Enfant, je rêvais de sauver des vies. Aujourd hui, je le fais. Grande cause nationale 2009 Olivier, 4 ans Olivier, 32 ans Établissement relevant du ministère de la santé Le don
Plus en détailTUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE
1 Plan de cours I - TUMEURS PRIMITIVES DE LA VESSIE c1 - Tumeurs papillaires non infiltrantes c2 - Tumeurs papillaires infiltrantes c3 - Carcinome in-situ en muqueuse plane D - Pronostic : II - TUMEURS
Plus en détailInformation génétique
chapitre 3 Information génétique et division cellulaire L étude de la division cellulaire est abordée pour découvrir comment est transmise et conservée l information génétique portée par les chromosomes.
Plus en détailLe dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient!
Le dépistage du cancer de la prostate une décision qui VOUS appartient! Il existe un test de dépistage du cancer de la prostate depuis plusieurs années. Ce test, appelé dosage de l antigène prostatique
Plus en détailLes tests génétiques à des fins médicales
Les tests génétiques à des fins médicales Les tests génétiques à des fins médicales Nous avons tous hérité d une combinaison unique de gènes de la part de nos parents. Cette constitution originale et l
Plus en détailINSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES»
INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES» v On ne guérit pas ( en général ) d une insuffisance cardiaque, mais on peut la stabiliser longtemps, très longtemps à condition v Le patient insuffisant cardiaque
Plus en détailL axe 5 du Cancéropole Nord Ouest
L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu id & Société L état des lieux d un pari Le Rapport Cordier 1 Biomarqueurs prédictifs 2 L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu & Société
Plus en détailMontréal, 24 mars 2015. David Levine Président et chef de la direction DL Strategic Consulting. DL Consulting Strategies in Healthcare
Montréal, 24 mars 2015 David Levine Président et chef de la direction DL Strategic Consulting 1 RSSPQ, 2013 2 MÉDECINE INDIVIDUALISÉE Médecine personnalisée Médecine de précision Biomarqueurs Génomique
Plus en détailÉCOLES NORMALES SUPÉRIEURES ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES CONCOURS D ADMISSION SESSION 2013 FILIÈRE BCPST COMPOSITION DE BIOLOGIE
ÉCOLES NORMALES SUPÉRIEURES ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES CONCOURS D ADMISSION SESSION 2013 FILIÈRE BCPST COMPOSITION DE BIOLOGIE Épreuve commune aux ENS de Cachan, Lyon, Paris et de l ENPC Durée
Plus en détailLes maladies ou infections sexuellement transmissibles (MST)
Les maladies ou infections sexuellement transmissibles (MST) MST est le terme utilisé pour décrire toute maladie, toute infection transmise par un rapport sexuel avec une personne déjà contaminée, et qui
Plus en détailBiomarqueurs en Cancérologie
Biomarqueurs en Cancérologie Définition, détermination, usage Biomarqueurs et Cancer: définition Anomalie(s) quantitative(s) ou qualitative(s) Indicative(s) ou caractéristique(s) d un cancer ou de certaines
Plus en détailLa bêta-thalassémie. La maladie. l Qu est-ce que la bêta-thalassémie? l Qui peut en être atteint? Est-elle présente partout dans le monde?
La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer sur la bêtathalassémie.
Plus en détailNous avons tous un don qui peut sauver une vie. D e v e n i r. donneur de moelle. osseuse
Nous avons tous un don qui peut sauver une vie D e v e n i r donneur de moelle osseuse Pourquoi s inscrire comme donneur de moelle osseuse? Pour des personnes atteintes de maladies graves du sang, la greffe
Plus en détailAUTOUR DE LA MISE BAS
AUTOUR DE LA MISE BAS Un vêlage ou un agnelage est une des périodes les plus importantes dans la conduite d un élevage. De sa réussite dépendra l entrée d argent quelques mois plus tard. Il est donc impératif
Plus en détailRôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique
Rôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique Tuteur : Anne Muhr-Tailleux cardiovasculaires et diabète (Equipe 1) Institut
Plus en détailService évaluation des actes professionnels
TRAITEMENT DES AGÉNÉSIES DENTAIRES MULTIPLES LIÉES AUX DYSPLASIES ECTODERMIQUES OU À D'AUTRES MALADIES RARES, CHEZ L ENFANT ATTEINT D OLIGODONTIE, AVEC POSE DE 2 IMPLANTS (VOIRE 4 MAXIMUM) UNIQUEMENT DANS
Plus en détailGUIDE DE PROGRAMMATION COMPLÉMENTAIRE DU SYSTÈME D ALARME DIAGRAL
GUIDE DE PROGRAMMATION COMPLÉMENTAIRE DU SYSTÈME D ALARME DIAGRAL DIAG90AGF/DIAG90AGK DIAG20AVK ou DIAG21AVK DIAG30APK ou DIAG31APK DIAG41ACK ou DIAG42ACK DIAG45ACK Avant propos IMPORTANT La centrale dispose
Plus en détailphase de destruction et d'élimination de débris
LE POST PARTUM I ) Définition : c'est une période de 6 semaines allant de l'accouchement jusqu'au retour de couches (= règles). Pendant ce temps il est nécessaire d'effectuer une surveillance médicale
Plus en détailMigraine et mal de tête : des "casse-tête"
Migraine et mal de tête : des "casse-tête" Tous concernés! De quoi s agit-il? Les migraines ne doivent pas être confondues avec les céphalées de tension, communément appelées les "maux de tête". En effet,
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailRAPPORT D ACTIVITE AIDEA 2008. Sommaire
Sommaire 1. Introduction 2. Attentes exprimées 3. Les questions fréquentes 4. Les statistiques 5. Les enquêtes 6. Retours et témoignages 7. Evaluations et indicateurs Notre MISSION : Informer, Conseiller
Plus en détailAtelier N 2. Consultation de patientes porteuses d une maladie générale
Atelier N 2 Consultation de patientes porteuses d une maladie générale Contre indica,ons à la grossesse Hypertension artérielle pulmonaire >30mmHg Maladie de Marfan (dilatation aortique>4 cm) Rétrécissement
Plus en détailPourquoi une femme-enceinte présente un certain nombre de douleurs inconnues jusqu'à lors?
Pourquoi une femme-enceinte présente un certain nombre de douleurs inconnues jusqu'à lors? elle va pour cela créer des éléments chargées de transmettre un message à son corps (les hormones) : la «relaxine»
Plus en détail«Docteur, j ai la prostate!»
«Docteur, j ai la prostate!» Texte D r Alain BITTON Urologue FMH Genève Conception et graphisme Comic Brains, Pécub Introduction 1 «Docteur, j ai la prostate! Pour moi, ce sera une opération au laser comme
Plus en détailLes cytokines et leurs récepteurs. Laurence Guglielmi laurence.guglielmi@univ-montp1.frli
Les cytokines et leurs récepteurs Laurence Guglielmi laurence.guglielmi@univ-montp1.frli l i@ i 1 Les cytokines et leurs récepteurs 2 mécanismes principaux d interactions cellulaires : - contact membranaire
Plus en détailSurveillance des troubles musculo-squelettiques dans les Bouches-du-Rhône
Santé travail Maladies chroniques et traumatismes Surveillance des troubles musculo-squelettiques dans les Bouches-du-Rhône Étude du syndrome du canal carpien opéré 2008-2009 Septembre 2011 F. Sillam 1,
Plus en détailComprendre le cancer de l ovaire Guide d information et de dialogue à l usage des patientes et de leurs proches
Comprendre le cancer de l ovaire Guide d information et de dialogue à l usage des patientes et de leurs proches 2002 Sommaire Introduction 4 1 Le cancer de l ovaire 10 2 Le diagnostic 21 3 Les traitements
Plus en détailLe fonctionnement de l'organisme
Seconde partie Le fonctionnement de l'organisme 1 Le système cardio-pulmonaire...2 1.1 Anatomie et fonctionnement du coeur...2 1.2 La distribution du sang aux organes...4 2 Communication et intégration
Plus en détailConférence de consensus THROMBOPHILIE ET GROSSESSE PRÉVENTION DES RISQUES THROMBOTIQUES MATERNELS ET PLACENTAIRES
Avec la participation de : Conférence de consensus THROMBOPHILIE ET GROSSESSE PRÉVENTION DES RISQUES THROMBOTIQUES MATERNELS ET PLACENTAIRES Vendredi 14 mars 2003 - Institut Pasteur Paris TEXTE DES RECOMMANDATIONS
Plus en détailLe syndrome CHARGE. La maladie. l Qu est-ce que le syndrome CHARGE? l Combien de personnes sont atteintes de ce syndrome?
La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer sur le syndrome CHARGE.
Plus en détailExtrait des Mises à jour en Gynécologie et Obstétrique
COLLÈGE NATIONAL DES GYNÉCOLOGUES ET OBSTÉTRICIENS FRANÇAIS Président : Professeur M. Tournaire Extrait des Mises à jour en Gynécologie et Obstétrique Tome XXII publié le 2.12.1998 VINGT-DEUXIÈMES JOURNÉES
Plus en détailPathologie VIH. Service maladies infectieuses Archet 1. Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013
Pathologie VIH Service maladies infectieuses Archet 1 Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013 Les traitements antirétroviraux Sont classés en 5 familles selon leur mode
Plus en détailUn test Pap pourrait vous sauver la vie
Un test Pap pourrait vous sauver la vie Un test Pap pourrait vous sauver la vie Vous avez 21 ans ou plus et êtes sexuellement active? Passez un test Pap! Si vous saviez qu un test Pap, qui prend 5 minutes,
Plus en détailBrochure d information
Centre de stérilité masculine et Centre d Études et de Conservation des Œufs et du Sperme humain CECOS Midi-Pyrénées Hôpital Paule de Viguier 330 avenue de Grande-Bretagne CHU de Toulouse 2005 Brochure
Plus en détailGrossesse et HTA. J Potin. Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours
Grossesse et HTA J Potin Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours HTA et grossesse Pathologie fréquente : 2 à 5 % des grossesses (2 à 3 % des multipares, 4 à 8 % des primipares)
Plus en détailLES DÉFICITS IMMUNITAIRES COMBINÉS SÉVÈRES
LES DÉFICITS IMMUNITAIRES COMBINÉS SÉVÈRES Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement
Plus en détailTransgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010
Parc d Innovation d Illkirch, France, le 10 mars 2010 Transgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010 Transgene (Euronext
Plus en détailIntroduction générale
Introduction générale Touchant près de 600 nouvelles personnes chaque année en France, la leucémie myéloïde chronique est une maladie affectant les cellules du sang et de la moelle osseuse (située au cœur
Plus en détailUnivers Vivant Révision. Notions STE
Univers Vivant Révision Notions STE Chap. 13) L Écologie 1) a) Qu est-ce que l empreinte écologique? L empreinte écologique correspond à la surface terrestre et aquatique totale nécessaire à un individu,
Plus en détailCOMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE
COMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE D APRES «THROMBOTIC COMPLICATIONS OF MYELOPROLIFERATIVE NEOPLASMS : RISK ASSESSMENT AND RISK-GUIDED MANAGEMENT
Plus en détail