Université Chouaib Doukkali. Facutlé des sciences Année universitaire 2010/2011
|
|
- Cécile Florine Alarie
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Université Chouaib Doukkali Facutlé des sciences Année universitaire 2010/2011 LA BIOTECHNOLOGI E APPLIQUEE A L AGRIC ULTURE: Par : ADAMOU GARBA SALHA AHAMADA YOUSSOUF MOUDRAK BOBE FIBA WASSING STEVEN OUEDRAOGO BORIS HONORE AMADOU Supervisé par : Pr. RIFAI PLAN : Introduction
2 Introduction L agriculture est née avec la mise en terre de semence ou graine par l homme. Cela a commencé il y a ans au Moyen-Orient, en Iran ainsi qu'en Nouvelle-Guinée. C'est ce que l'on a appelé la révolution néolithique. Ainsi depuis ces dernières années elle connait un développement prodigieux grâce au progrès sciences notamment de la biotechnologie qui fait des avancés significatives avec la mise en place des organismes génétiquement modifiées. Ce faisant ce travail montrera l apport de la biotechnologie dans le domaine agricole plus notamment celui des organismes génétiquement modifiées. 1- Définitions et origines a- Biotechnologie Bien évidemment, nombreuses sont les définitions qui sont données (et qui ont été données) des biotechnologies. Nous nous limiterons ici aux définitions modernes, schématiquement à celles qui correspondent aux biotechnologies depuis le début du XX e siècle. Le terme "biotechnologie" a été imaginé en 1913 par un ingénieur agricole hongrois, Karl Ereky, qui voulait transformer son pays natal, la Hongrie, en riche contrée exportatrice de produits agricoles. La biotechnologie est une technique visant à réaliser des applications industrielles de la bio conversion, de la transformation des substances organiques, Elle peut également être définit comme étant Les méthodes ou techniques qui permettent d améliorer le vivant ou encore la production de biens et services utilisant des systèmes et procédés biologiques On distingue plusieurs domaines variables d utilisation de la biotechnologie à savoir : - La biotechnologie bleu (ou biotechnologie marine)
3 - La biotechnologie rouge (santé et pharmaceutique) - Biotechnologie jaune - Biotechnologie vert (agricole) b- les OGM Un organisme génétiquement modifié est un organisme vivant dont le patrimoine génétique a été modifié par l insertion d un gène provenant d autres organismes.les premiers OGM sont des bactéries transgéniques. La première tentative de transgénèse par l américain Paul Berg et ses collaborateurs en 1972, consista en l intégration d un fragment d'adn du virus SV40, cancérigène, dans le génome de la bactérie E. Coli A partir de la, les OGM seront utilisés progressivement par l'homme et ce dans différent domaines notamment le domaine agricole ou l'on peut dire que Les OGM dans l agriculture sont utilisés comme outils de recherche et de production de molécules d'intérêt. De plus, la transgénèse permet de modifier les plantes pour leur conférer de nouveaux caractères afin d améliorer la production et la qualité des produits. Cette méthode est plus rapide que la sélection variétale traditionnelle. 2- Différentes étapes d'élaboration des organismes transgéniques La possibilité de fabriquer un OGM repose sur le fait que le langage génétique est universel dans tout le monde du vivant connu à ce jour. Du fait de cette universalité, un gène, issus d'un organisme «donneur», peut être introduit dans un organisme «receveur», lequel le prenant à son propre compte, est en mesure de le décoder et ainsi fabriquer la (ou les) protéine(s) qui lui correspond, chacune de celles-ci ayant une fonction Les différentes étapes de la création d'un OGM sont : L'identification et le clonage de la séquence d'intérêt à introduire dans l'organisme cible, La réalisation du transgène, c'est-à-dire la molécule d'adn à introduire dans l'organisme cible, il peut s'agir de la séquence d'intérêt seule, ou d'une séquence comportant plusieurs gènes. L'introduction du transgène dans une cellule de l'organisme cible, puis son intégration au génome. Le dernier point comporte deux étapes essentielles, différentes l'une de l'autre, mais souvent confondues. Le transfert d'une molécule d'adn dans un organisme et le transfert de cette même molécule dans le génome de l'organisme. Cette confusion est renforcée par l'utilisation du terme vecteur qui désigne à la fois, une molécule d'adn comportant le ou les gènes d'intérêt (plasmides, transposons, virus (génome)), ou l'organisme vivant (Agrobacterium tumefaciens, virus) qui permet l'introduction du premier vecteur dans l'organisme cible. 3- Différents types d OGM Même si on parle surtout de plantes transgéniques, elles ne constituent qu'une partie des OGM. En effet, les 2 aspects de la production agricole (culture et élevage) utilisent les
4 applications du génie génétique pour améliorer les performances des plantes et des animaux. Aussi pour répondre aux exigences de productivité, de qualité et de résistance aux parasites, des OGM sont fabriqués. Chez les plantes : La très grande majorité des plantes sont des plantes résistantes : Plantes résistantes par production de protéines insecticide. Maïs ravagé par la chenille de la pyrale Chenille de la pyrale Par exemple les maïs Bt sont des variétés auxquelles on a inséré le gène d une bactérie (Bacillus thuringiensis) qui permet la fabrication d'une protéine insecticide. Celle-ci agit en bloquant les cellules intestinales des larves des lépidoptères, coléoptères et diptères. Elle permet de tuer la chenille de la pyrale, un papillon dont la larve cause d'importants dégâts dans la tige du maïs (photo de gauche). Plantes capables d'être soumises à un herbicide sans mourir : Par exemple le soja Roundup Ready : Le glyphosate, principe actif du Roundup (TM) est un herbicide qui inhibe une enzyme nécessaire à la production d'acides aminés (élément constitutif des protéines) chez l ensemble des végétaux, c'est pourquoi tous les végétaux traités avec le glyphosate meurent. Le gène qui code pour la fabrication de cette enzyme a été modifié pour que l enzyme ne puisse plus permettre la fixation du glyphosate et ainsi l'empêcher d exercer son effet inhibiteur. Le soja résiste au Roundup (TM). Un certain nombre d autres plantes sont à l étude, voire sont déjà commercialisées, pour le développement de qualités agronomiques ou industrielles : Plantes qui résistent à des maladies virales, Plantes qui résistent à des attaques de champignons, Plantes adaptées à des conditions difficiles ou limitantes (sécheresse, froid) Plantes à valeur nutritive modifiée (ex: le riz doré capable de produire de la vitamine A)
5 Et d autres plantes adaptées à des utilisations ciblées Pour la qualité des produits, les travaux les plus nombreux portent sur l'amélioration des protéines de réserve pour l'alimentation animale ou humaine, l'amélioration de la composition en acides gras des huiles végétales pour l'alimentation, des fruits et des légumes au goût amélioré... mais c'est aussi l amélioration du peuplier pour la production de pâte à papier A partir du moment où les PGM n'ont plus été modifiées dans un but uniquement quantitatif mais aussi qualitatif, elles ont été dites de deuxième génération. Chez les animaux : Bien que le premier animal transgénique, une souris géante, ait vu le jour en 1982, les animaux transgéniques sont encore des animaux de laboratoire. En effet, il semble beaucoup plus difficile d intégrer un ADN étranger dans une cellule animale, où de nombreux obstacles visent à l éliminer, que dans une cellule bactérienne ou végétale. Les questions éthiques soulevées sont par ailleurs importantes. En revanche, il est beaucoup plus facile de maintenir un animal transgénique qu une plante dans un environnement confiné et les risques de dissémination de gènes dans l environnement sont moins élevés. Des recherches portent également sur des animaux OGM d'intérêt agricole, particulièrement dans le domaine de la pathologie. Les recherches avancent cependant plus lentement que sur les OGM végétaux en raison de difficultés techniques (notamment, pas toujours de cellules totipotentes, système de défense et de régulation plus ou mois élaborés...), financières et sociologiques (nous sommes sans doute moins près à voir des animaux GM que des végétaux GM). Il existe : Des vaches sécrétant dans leur lait une protéine antibactérienne, la lysostaphine, qui est capable de tuer la principale bactérie impliquée dans les infections mammaires (Staphylococcus aureus). Des vaches dépourvues du gène PRP ont été obtenues. Elles sont potentiellement résistantes à la maladie de la vache folle. Des porcs sécrétant dans leur salive une enzyme bactérienne, la phytase, rejettent jusqu à 75 % de moins de phosphate polluant dans l environnement. Le projet le plus avancé est celui qui consiste à accélérer la croissance des poissons et en particulier des saumons grâce au transfert d un gène d hormone de croissance. Le développement de ces animaux est effectivement au moins deux fois plus rapide.
6 4- Les OGM dans le monde L utilisation des OGM est de plus en plus utilisée à travers le monde : Le graphique suivant montre l'évolution des superficies des cultures OGM pour la période Dans quels pays? Les cultures de plantes transgéniques représentent 114 millions d ha en 2007 soit 8% de la surface cultivée dans le monde (1,5 milliard d ha) dont 93,3% sur le continent américain
7 (James, Clive, 2007). L'installation des firmes de biotechnologies aux Etats-Unis telles que Monsanto et Dupont de Nemours explique le développement important des OGM dans ce pays. Production d'ogm en 2005 (Rapport 2005 de l'isaaa) Cinq pays représentant plus de 95% de la production d'ogm commercialisés Autres pays producteurs d'ogm commercialisés pays où les plantations sont principalement expérimentales Quelles espèces cultivées? Ces quatre espèces représentent plus de 99% des surfaces cultivées en variétés transgéniques. Avec 59 millions d'ha, le soja transgénique est le plus répandu. Il s'agit de variétés résistantes
8 qui simplifient beaucoup la culture. Il est surtout cultivé aux Etats-Unis (81% du soja américain) et en Argentine (90% du soja argentin). Son développement plus récent au Brésil, est lié à la compétitivité de l'économie argentine. Le maïs transgénique apporte la résistance à la pyrale et en moindre proportion, la résistance aux herbicides (notamment au glyphosate). Il est également le plus développé aux Etats-Unis (40% des surfaces en maïs d'après le site de l'usda United State Department of agriculture). Le coût de la semence du maïs résistant aux insectes et le niveau moyen d'attaques font que le bilan économique n'est pas toujours positif, ce qui explique le moindre développement du maïs par rapport au soja (Gallais & al. 2006). En effet, il n'est pas toujours nécessaire de traiter le maïs contre la pyrale, et les désherbants conventionnels sont efficaces et peu coûteux. Quels types de résistance sont les plus utilisés? Seulement deux caractères transgéniques sont développés à grande échelle : la résistance aux herbicides (64% des surfaces cultivées) et aux insectes (17%) ou les deux caractères associés (19%) comme certaines variétés de cotonnier ou de maïs. Le choix de ces caractères est évidemment lié aux perspectives de gain économique, lutte chimique et perte de rendement moindres, selon les contraintes habituellement rencontrées. Il y a plus de problèmes de désherbage avec le soja qu'avec le maïs, et plus de problèmes de lutte contre les insectes avec le maïs et le cotonnier qu'avec le soja. 5- Avantages et les inconvénients L'utilisation des OGM dans le domaine agricole présentent quelques avantages mais également quelques inconvénients que nous développerons dans ces paragraphes, a- avantages -elles assurent une meilleure production agricole et une grande variété de produit comme exemples nous pouvons mentionner quelques Variétés performantes issues de la sélection au mali par exemple: Le riz: Gambiaka qui assurent une bonne productivité et qui est de bonne qualité
9 Le Maïs: Sotubaka qui possède un rendement élevés. -elle permet l'obtention de nouvelles variétés plus performantes beaucoup plus rapidement que par croisement biologique. -l'introduction de nouveaux gènes dans le patrimoine d'une espèce peut lui conférer une résistance à certaines maladies, notamment virales (On utilise des gènes de résistance à des virus présents dans d autres plantes qu on introduit dans les plantes à cultiver) Exemple : le court noué de la vigne (du a un «népovirus») : -l'utilisation de plantes génétiquement modifiées peut grandement faciliter le travail des agriculteurs, notamment en ce qui concerne le traitement des champs -De plus, il a été prouvé par les chercheurs et les scientifiques que les agriculteurs qui cultivent des OGM à l air libre ne verront plus leurs récoltes pourrir du fait des conditions climatiques ou d insectes parasites identifiés sous le nom d insectes cibles. Ainsi, les OGM, ayant été rendus plus résistants, permettent un rendement bien supérieur à la moyenne.
10 - il serait également possible de créer des «plantes usines" productrices de médicaments. Ainsi, il serait possible d'avoir recours à l'agriculture moléculaire, ou moléculture végétale et animale, qui consiste à utiliser des plantes ou des animaux génétiquement modifiés, pour produire des composés pharmaceutiques ou moléculaires. Une possibilité en voie d'expérimentation est la production du «facteur IX», une protéine qui sert à la coagulation chez les hémophiles, cette protéine étant habituellement extraite de cellules sanguines. La production de cette molécule par moléculture pourrait permettre de réduire le risque de transmission de maladies comme l hépatite B et le SIDA. Les aliments seraient plus nutritifs : en effet, grâce aux OGM, on pourrait modifier la valeur nutritive d'un aliment afin de résoudre un problème de nutrition. Cela permettrait notamment de diminuer les carences (en vitamines A, etc.) des populations des pays en voie de développement. -Les OGM permettent l'utilisation de moins de produits chimiques. En effet, la culture d OGM résistants à un insecte permettrait de réduire l'apport de produits chimiques au champ, puisque la plante peut se défendre ellemême contre l insecte nuisible en produisant en quelque sorte son propre insecticide. b-inconvénient Le problème posé par les OGM est dû à la technique même de la transgénèse qui n est pas autant maîtrisée que les scientifiques le prétendent, Cette lacune de maîtrise est due à une connaissance incomplète des «mécanismes» génétiques et des voies métaboliques d une cellule. Nous pouvons également mentionné: -. Résistance des insectes à la toxine produite par la plante OGM. Exemples: France le principal ravageur du maïs est la Pyrale qui prolifère rapidement. La transgenèse a permis d obtenir de nouvelles variétés de maïs qui ont été transformées dans le but de les rendre capable de produire la toxine Bt, active contre la Pyrale. Mais différentes expériences ont permis de constater une résistance à la toxine de la part de ces ravageurs - Les OGM végétaux cultivés à des fins industrielles peuvent constituer un danger alimentaire si on envisage d en utiliser les résidus pour l alimentation animale : des produits chimiques issus des OGM pourraient alors entrer dans la chaîne alimentaire. Il y a également un risque important, si on cultive des plantes OGM d intérêt industriel à proximité de cultures destinées à l alimentation : l expression d un gène transféré accidentellement et codant un composé non destiné à l alimentation pourrait avoir des effets préoccupants.
11 Conclusion On considère aujourd hui que les plantes transgéniques représentent une importante filière d innovations. Mais certes ces nombreuses innovations paraissent bénéfiques, il est d autant plus important de reconsidérer la question et de revoir les risques encourus par la transgénèse. Si on prend les maïs transgéniques, dits Bt, se défendent contre les insectes nuisibles, la pyrale essentiellement. Mais ils tuent aussi des insectes utiles comme les larves de chrysopes vertes. Ces larves, prédatrices des chenilles dévoreuses de maïs, se retrouvent victimes de la toxine présente à l'intérieur de l'estomac de ces chenilles. La toxine synthétisée par le maïs transgénique est devenue encore plus nocive une fois ingérée par les chenilles. Sans doute parce que sa structure chimique s'est altérée lors de la digestion. Pour prouver d'autres effets "boules de neige" encore plus dévastateurs, il faudrait analyser toute la chaîne alimentaire animale et végétale. Ce qui n'est pas encore fait. Autrement dit les OGM présentent un atout majeur pour un développement rapide du secteur agricole dans bon nombres de pays car elles présentent des avantages irréfutables cependant elles effrayent la planète a cause surtout des risques sur la santé qui, jusqu a à ce jour, ne sont pas démontrés.
Les OGM. 5 décembre 2008. Nicole Mounier
Les OGM 5 décembre 2008 Nicole Mounier Université Claude Bernard Lyon 1 CGMC, bâtiment Gregor Mendel 43, boulevard du 11 Novembre 1918 69622 Villeurbanne Cedex OGM Organismes Génétiquement Modifiés Transfert
Plus en détailThème sélection génétique des plantes hybridation et génie génétique
Thème sélection génétique des plantes hybridation et génie génétique Exemple d activité : recenser, extraire et exploiter des informations afin de comprendre les caractéristiques et les limites de la modification
Plus en détail«L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas»
Énergie «L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas» La première fonction de l agriculture est la valorisation de l énergie solaire en énergie alimentaire par la photosynthèse.
Plus en détailGUIDE D UTILISATION DES PRODUITS DE MAÏS
GUIDE D UTILISATION DES PRODUITS DE MAÏS Refuge Advanced MC SmartStax MC Herculex MC ÉDITION CANADIENNE Le présent guide d utilisation du produit (le guide) établit les exigences pour la culture des hybrides
Plus en détailSpécialisation 3A AgroSup Dijon IAA Microbiologie Industrielle et Biotechnologie (MIB)
Spécialisation 3A AgroSup Dijon IAA Microbiologie Industrielle et Biotechnologie (MIB) Responsable : Jean-François Cavin (Pr. Microbiologie Biotechnologie) Tel 03 80 77 40 72, Fax 03 80 77 23 84 jf.cavin@agrosupdijon.fr
Plus en détail12. À chacun son point de vue
12. À chacun son point de vue Secondaire, cycle 1 Durée : 60 min. L agriculture est en crise partout sur la planète. Alors que certains louent les bénéfices de l agriculture conventionnelle moderne, d
Plus en détailComment utiliser les graines de soja à la cuisine
Comment utiliser les graines de soja à la cuisine Auteur : Renate Schemp Box 90612 Luanshya Zambie Traduction : SECAAR Service Chrétien d Appui à l Animation Rurale 06 BP 2037 Abidjan 06 Côte d Ivoire
Plus en détailEnvironnement, économie, société : le maïs sur tous les fronts
Environnement, économie, société : le maïs sur tous les fronts Millions t 3 000 2 500 2 000 1 500 1 000 La demande en grains va augmenter avec la population 500 MAÏS : +76% 0 2000 2010 2015 2020 2030 RIZ
Plus en détailD où viennent nos semences. Visite virtuelle d un site de production de semences de maïs Monsanto
D où viennent nos semences Visite virtuelle d un site de production de semences de maïs Monsanto Monsanto a pour objectif de permettre aux agriculteurs de petites et grandes exploitations de produire davantage
Plus en détailToxicité à long-terme d un herbicide Roundup et d un maïs modifié génétiquement pour tolérer le Roundup
A l attention de toutes les personnes qui se méfient des jugements de valeur fussent-ils émis par des scientifiques- et qui préfèrent capter les informations à leur source pour s en faire une opinion personnelle.
Plus en détailCHAPITRE 8 PRODUCTION ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT
CHAPITRE 8 PRODUCTION ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT 1 Relations alimentaires entre les êtres vivants 1 1 Les chaines alimentaires. Une chaine alimentaire est constituée par une succession d êtres vivants
Plus en détailPour une meilleure santé
Pour une meilleure santé LA CONSOMMATION QUOTIDIENNE DE VIANDE APPORTE DES GRAISSES SATURÉES. => AUGMENTATION TAUX DE CHOLESTÉROL ET MALADIES CARDIO-VASCULAIRES. => RISQUE DE SURPOIDS ET D'OBÉSITÉ. LES
Plus en détail3: Clonage d un gène dans un plasmide
3: Clonage d un gène dans un plasmide Le clonage moléculaire est une des bases du génie génétique. Il consiste à insérer un fragment d'adn (dénommé insert) dans un vecteur approprié comme un plasmide par
Plus en détail1st International Workshop on Harmonization of GMO Detection and Analysis in the Middle East and North Africa (MENA) Region
Université Mentouri Constantine 1st International Workshop on Harmonization of GMO Detection and Analysis in the Middle East and North Africa (MENA) Region Dead Sea, Jordan, 4-5 June 2012. 1 Les OGMen
Plus en détailNOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis
TITRE NOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis Selon le règlement NOP de l USDA 205.406(a), un opérateur certifié doit transmettre chaque année à son
Plus en détailConférence technique internationale de la FAO
Décembre 2009 ABDC-10/7.2 F Conférence technique internationale de la FAO Biotechnologies agricoles dans les pays en développement: choix et perspectives pour les cultures, les forêts, l élevage, les pêches
Plus en détailLes futures techniques de lutte contre les punaises de lit Taz Stuart 204.292.8444 tdts@tdts.ca
Les futures techniques de lutte contre les punaises de lit Taz Stuart 204.292.8444 tdts@tdts.ca Phéromones d alarme. En phase de recherche. Aldéhydes 4-oxo-hexénal et 4-oxo-octénal chez les punaises de
Plus en détailLes débouchés des diplômés de L LMD Sciences de la Nature et de la Vie
Les débouchés des diplômés de L LMD Sciences de la Nature et de la Vie Pour quel métier vous êtes fait? Des doutes sur ta formation actuelle : faut-il poursuivre? Vous avez une idée de métier mais est-ce
Plus en détailUniversity of Tokyo Graduate School of Agricultural and Life Sciences et. Kanagawa Academy of Science and Technology
COMMUNIQUÉ DE PRESSE le 25 mars 2014 Une étude conjointe menée par University of Tokyo Graduate School of Agricultural and Life Sciences et Kanagawa Academy of Science and Technology suggère que le sirop
Plus en détailATELIER SANTE PREVENTION N 2 : L ALIMENTATION
ATELIER SANTE PREVENTION N 2 : L ALIMENTATION Mardi 24 janvier 2012 au Centre de Formation Multimétiers de REIGNAC L objectif de cet atelier sur la santé est de guider chacun vers une alimentation plus
Plus en détailAVANT-PROPOS. Directeur de la Division de la statistique de la FAO
AVANT-PROPOS L Annuaire statistique de la FAO fournit une sélection d indicateurs par pays sur l alimentation et l agriculture. Les données proviennent de FAOSTAT, la base de données statistique de l Organisation
Plus en détailRépublique de Côte d Ivoire NOTE D INFORMATION UN INSTRUMENT PROFESSIONNEL AU CŒUR DU DEVELOPPEMENT AGRICOLE ET DES FILIERES DE PRODUCTION
République de Côte d Ivoire NOTE D INFORMATION UN INSTRUMENT PROFESSIONNEL AU CŒUR DU DEVELOPPEMENT AGRICOLE ET DES FILIERES DE PRODUCTION Investir pour le futur Anticiper - Innover 01 BP 3726 ABIDJAN
Plus en détailmon maïs fourrage, (GNIS) rassemble toutes les parties prenantes de la filière semences française, soit 72 entreprises de sélection,
Ma vache, mon maïs fourrage, et moi 50 ans de progrès! Depuis maintenant 50 ans, le maïs fourrage a bénéficié avec succès du progrès génétique et de l innovation variétale. Il a su s inscrire durablement
Plus en détail«Cette action contribue au PNNS». À CHÂTEAU THIERRY
«Cette action contribue au PNNS». «IL FAIT BIO À CHÂTEAU THIERRY A Chateau Thierry, la Municipalité souhaite développer les produits BIO et issus de filières de proximité dans les menus de la restauration
Plus en détailL étude du professeur Séralini sur le maïs OGM va être évaluée
L étude du professeur Séralini sur le maïs OGM va être évaluée Le professeur Gilles Eric Séralini a présenté jeudi 20 septembre, lors d une conférence de presse avec la députée européenne Corinne Lepage,
Plus en détailQualités nutritives des salades. DOSSIER SPéCIAL BIO F R C magazine FéVRIER 2010 N O 25. Quand la météo s en mêle
DOSSIER SPéCIAL BIO F R C magazine FéVRIER 2010 N O 25 Laitues d hiver Moins de pe Les laitues pommées bio se révèlent exemptes de pesticides. Plus «Bonne nouvelle: toutes les salades sont conformes et
Plus en détailAnnexe 1. Glossaire... 19 Annexe 2. Éléments de gestion de la PFQ de produit GM dans le grain... 22
Projet de politique nationale sur la gestion de la présence de faibles quantités de cultures génétiquement modifiées dans les importations et son cadre de mise en œuvre connexe Septembre 2012 Table des
Plus en détailDr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires
Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique
Plus en détailConseil Spécialisé fruits et légumes
Conseil Spécialisé fruits et légumes Proposition d axes pour l expérimentation pour 2013/2015 dans la filière fruits et légumes frais (hors pomme de terre) 18 décembre 2012 FranceAgriMer Préparation de
Plus en détailAVIS adopté par le Conseil économique et social au cours de sa séance du 7 juillet 1999... I - 1
III SOMMAIRE Pages AVIS adopté par le Conseil économique et social au cours de sa séance du 7 juillet 1999... I - 1 INTRODUCTION...3 TITRE I - LA FRANCE FACE AU DÉFI DES BIOTECHNOLOGIES : APPROCHE GÉNÉRALE...5
Plus en détailAnalyse des évolutions de l agriculture biologique par le biais de la veille documentaire et technologique
Analyse des évolutions de l agriculture biologique par le biais de la veille documentaire et technologique Auteurs : Sophie Valleix, responsable d ABioDoc et Esméralda Ribeiro, documentaliste à ABioDoc
Plus en détailL EAU POTABLE : COMMENT LA PRÉSERVER Bien que l eau soit une ressource renouvelable, il ne faut pas pour autant la gaspiller. Les Québécois sont les
L EAU POTABLE : COMMENT LA PRÉSERVER Bien que l eau soit une ressource renouvelable, il ne faut pas pour autant la gaspiller. Les Québécois sont les deuxièmes plus grands consommateurs d eau potable, juste
Plus en détailUn expérience pluridisciplinaire de l intensification écologique en Agriculture Familiale
Le développement du semis-direct sous couverture végétale pour les agriculteurs des exploitations familiales des biomes Cerrados (2005-2009) et Amazonia (2008-2013) Un expérience pluridisciplinaire de
Plus en détailCompléments ments alimentaires Les règles du jeu - SCL / Strasbourg-Illkirch 14 octobre 2011
Compléments ments alimentaires Les règles du jeu - SCL / Strasbourg-Illkirch 14 octobre 2011 Bureau 4A : Nutrition & Information sur les denrées alimentaires Novel Food, Adjonction V&M, SBNP Compléments
Plus en détailSorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses
Sorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses Sorgho grain sucrier Itinéraire cultural Type de sol et préparation avant semis Le sorgho grain sucrier est relativement peu exigeant par rapport au
Plus en détailAspartame ou stévia: le duel
Nutri sciences Aspartame ou stévia: le duel L aspartame fait peur, le stévia rassure. L un sort des laboratoires et a une connotation artificielle, l autre est issu des champs de Stevia et cultive une
Plus en détailBesoins de recherche et de transfert en agriculture biologique Horizon 2016
Besoins de recherche et de transfert en agriculture biologique Horizon 2016 Comité agriculture biologique du Centre de référence en agriculture et agroalimentaire du Québec (CAAQ) Octobre 2012 mise à jour
Plus en détailIntrants médicamenteux en agriculture et en santé : les écosystèmes microbiens sont-ils un problème ou une solution?
Les Rencontres de l Inra au Salon de l agriculture Intrants médicamenteux en agriculture et en santé : les écosystèmes microbiens sont-ils un problème ou une solution? Lundi 23 février 2015 Programme 14h30
Plus en détailPermet plus de souplesse au niveau du raisonnement de la lutte contre les organismes nuisibles
Atelier Biocontrôle Matthieu BENOIT Chambre régionale d agriculture de Normandie - arboriculture Action pilotée par le ministère chargé de l'agriculture, avec l appui financier de l Office national de
Plus en détailCHAPITRE 3 LA SYNTHESE DES PROTEINES
CHAITRE 3 LA SYNTHESE DES ROTEINES On sait qu un gène détient dans sa séquence nucléotidique, l information permettant la synthèse d un polypeptide. Ce dernier caractérisé par sa séquence d acides aminés
Plus en détailI- Echanges ou ventes pour une «exploitation non commerciale» :
Echanges et ventes de semences et plants de variétés non inscrites au catalogue, que peut on faire dans le cadre réglementaire actuel? Les semences et plants commercialisés doivent appartenir à une variété
Plus en détailUniversité Saint-Joseph
Université Saint-Joseph Faculté de pharmacie Actuellement, le métier de pharmacien est un métier polyvalent, ouvert à plusieurs activités dans le domaine de la santé individuelle et publique. Mis à part
Plus en détailRÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU RAD Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010
Les essentiels du Réseau agriculture durable RÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010 Réseau d information comptable agricole du Ministère de l Agriculture,
Plus en détailFiche Technique. Filière Maraichage. Mais doux. Septembre 2008
Fiche Technique Production Peu Développée en Languedoc-Roussillon Filière Maraichage Mais doux Septembre 2008 Rédigée par : Julien GARCIA Chambre Régionale d Agriculture du Languedoc-Roussillon Potentiel
Plus en détailPrix Pierre Potier L innovation en chimie au bénéfice de l environnement
Prix Pierre Potier L innovation en chimie au bénéfice de l environnement A l initiative de François Loos Ministre délégué à l Industrie Page 1 Prix Pierre Potier L innovation en chimie au bénéfice de l
Plus en détailMASTER (LMD) PARCOURS MICROORGANISMES, HÔTES, ENVIRONNEMENTS (MHE)
MASTER (LMD) PARCOURS MICROORGANISMES, HÔTES, ENVIRONNEMENTS (MHE) RÉSUMÉ DE LA FORMATION Type de diplôme : Master (LMD) Domaine ministériel : Sciences, Technologies, Santé Mention : BIOLOGIE DES PLANTES
Plus en détailÉDUCATION Côtes d Armor. Collèges publics. Charte de la restauration collective DIRECTION JEUNESSE PATRIMOINE IMMOBILIER
ÉDUCATION Côtes d Armor Collèges publics DIRECTION ÉDUCATION JEUNESSE PATRIMOINE IMMOBILIER Charte de la restauration collective Préambule Dans le cadre de l article 82 de la loi du 13 août 2004, le Département
Plus en détailLes graisses dans l alimentation infantile
FAMIPED Familias, Pediatras y Adolescentes en la Red. Mejores padres, mejores hijos. Les graisses dans l alimentation infantile Autor/es: Ana Martínez Rubio. Pediatra de Atención Primaria. Centro de Salud
Plus en détailLa production de Semences potagères
La production de Semences potagères Intérêts de l autoproduction de semences Les producteurs qui se lancent dans leur propre production de semences le font pour diverses raisons. Maintien d une biodiversité
Plus en détailCONSERVATION DU PATRIMOINE VIVANT DU MARAIS POITEVIN ENJEUX ET PERSPECTIVES. CREGENE: 2 rue de l église 79510 COULON 05 49 35 15 40 cregene@gmail.
CONSERVATION DU PATRIMOINE VIVANT DU MARAIS POITEVIN ENJEUX ET PERSPECTIVES CREGENE: 2 rue de l église 79510 COULON 05 49 35 15 40 cregene@gmail.com Espèces locales et territoire, un destin commun? Pâturage
Plus en détailOUVERT02 - Maintien de l ouverture par élimination mécanique ou manuelle des rejets ligneux et autres végétaux indésirables Sous-mesure :
OUVERT02 - Maintien de l ouverture par élimination mécanique ou manuelle des rejets ligneu et autres végétau indésirables Sous-mesure : 10.1 Paiements au titre d'engagements agroenvironnementau et climatiques
Plus en détailMYCOTOXINES : changements règlementaires et analytiques
MYCOTOXINES : changements règlementaires et analytiques E. MARENGUE ( LDA22 ) et S. HULOT ( IDAC ) PLAN 1) La problématique 2) Les évolutions règlementaires 3) L échantillonnage : étape clé 4) Les techniques
Plus en détailAnalyse d échantillons alimentaires pour la présence d organismes génétiquement modifiés
Analyse d échantillons alimentaires pour la présence d organismes génétiquement modifiés Module 3 Échantillons utilisés durant le cours M. Querci, N. Foti WORLD HEALTH ORGANIZATION REGIONAL OFFICE FOR
Plus en détailNouveaux produits antiparasitaires aux extraits naturels pour chiens et chats.
Nouveaux produits antiparasitaires aux extraits naturels pour chiens et chats. - VETOFORM - Laboratoire DAZONT Contact presse Johann Fourmond / Marie Gesrel Agence RELEASE PRESSE Tel : 02 99 65 05 47 Port
Plus en détailAssemblée Générale ASSOCIATION DES MAIRES RURAUX DU PUY-de-DÔME. La nouvelle règlementation Nutrition pour les cantines scolaires
Assemblée Générale ASSOCIATION DES MAIRES RURAUX DU PUY-de-DÔME Vendredi 9 Décembre 2011 Pontaumur La nouvelle règlementation Nutrition pour les cantines scolaires Emilie CHANSEAUME Lucile AUMOINE Céline
Plus en détail«Agir rend heureux» POUR DES ACHATS RESPECTUEUX DE L ENVIRONNEMENT, DES FEMMES ET DES HOMMES, GOODPLANET VOUS INFORME ET CASINO VOUS DONNE LE CHOIX!
«Agir rend heureux» Yann Arthus-Bertrand FONDATEUR DE LA FONDATION GOODPLANET POUR DES ACHATS RESPECTUEUX DE L ENVIRONNEMENT, DES FEMMES ET DES HOMMES, GOODPLANET VOUS INFORME ET CASINO VOUS DONNE LE CHOIX!
Plus en détailListe des matières enseignées
Liste des matières enseignées Domaine : Sciences de la Nature et de la Vie Filière : Biologie Parcours : Tronc Commun Semestre1 VHG Coefficient Cours TD/TP Crédits/s. unité crédits U.E fondamental : 13
Plus en détailSéquence 6. Mais ces espèces pour autant ne sont pas identiques et parfois d ailleurs ne se ressemblent pas vraiment.
Sommaire Séquence 6 Nous avons vu dans les séances précédentes qu au cours des temps géologiques des espèces différentes se sont succédé, leur apparition et leur disparition étant le résultat de modifications
Plus en détailEn primeur chez. La collection «Jardinier urbain» pour aménagements comestibles, petits jardins potagers et jardins en pots. p.7
En primeur chez Semences et grains à germer disponibles en magasin à 4,99 $ le sachet. p.7 p.10 p.12 La collection «Jardinier urbain» pour aménagements comestibles, petits jardins potagers et jardins en
Plus en détailCONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE
CONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE Exploiter le Potentiel de la Science, de la Technologie et de l Innovation dans les chaînes Agro-alimentaires en Afrique : Créer emplois et richesse
Plus en détailMON LAIT ISSU DE VACHES NOURRIES AUX OGM?
MON LAIT ISSU DE VACHES NOURRIES AUX OGM? L U X E M B O U R G octobre 2005 Ë Les OGM, nos animaux d élevage et nous : 20 millions de tonnes d OGM sont importées chaque année en Europe. 80% de celles-ci
Plus en détailJEUNE CONSEIL DE MONTRÉAL
JEUNE CONSEIL DE MONTRÉAL XXVII e Édition Règlement n o 2014-02 : Règlement sur le développement des toits verts et l agriculture urbaine PRÉSENTATION Présenté par M. Charles Marois, membre du comité exécutif,
Plus en détailTreize mesures pour une agriculture écologique. Document de position des Verts suisses
Treize mesures pour une agriculture écologique Document de position des Verts suisses Adopté par l assemblée des délégué-e-s du 19 septembre 2009 Selon l article 104 de la Constitution fédérale, l agriculture
Plus en détailLe contrôle et la certification en agriculture biologique
Version Tunisie 1 ère édition 2006 AGRICULTURE BIOLOGIQUE REPUBLIQUE TUNISIENNE Ministère de l agriculture et des ressources hydrauliques Direction Générale de la Production Agricole TCP/TUN/2903 Le contrôle
Plus en détailBien choisir sa variété de maïs ensilage
Bien choisir sa variété de maïs ensilage Le maïs ensilage n est pas une culture difficile à cultiver. Pour choisir sa variété, l agriculteur dispose aujourd hui d une multitude de critères : attention
Plus en détailMoyens de production. Engrais
Engrais Moyens de production Lors de la campagne 2012-2013, les tonnages d engrais livrés diminuent de près de 17% en et représentent à peine plus de 1% des livraisons françaises. Cette évolution est principalement
Plus en détailCompétitivité des produits laitiers locaux: vers une standardisation du «fènè», un lait spontanément fermenté au Mali
Compétitivité des produits laitiers locaux: vers une standardisation du «fènè», un lait spontanément fermenté au Mali S. Wullschleger, B. Bonfoh; A. Sissoko, I. Traoré; S. Tembely, J. Zinsstag, C. Lacroix,
Plus en détail2. Les auxiliaires de culture
III- Maîtriser les ravageurs et les adventices 2. Les auxiliaires de culture Insectes Le principe de la lutte biologique est la régulation des populations de ravageurs de culture par l utilisation de leurs
Plus en détailLa Bio pour quoi faire? Une vision du monde de la Bio et quelques perspectives
La Bio pour quoi faire? Une vision du monde de la Bio et quelques perspectives Juin 2012 Lionel FRANCOIS Sommaire La Bio, pourquoi? La Bio c est quoi? La situation de la Bio Les acteurs du Bio Le paysan
Plus en détailAuriol : le service public de la Restauration scolaire
Auriol : le service public de la Restauration scolaire Au titre de nos valeurs communes, nous avons voulu décliner l offre de restauration en mettant l accent au plus près des enfants. Plus de 80% des
Plus en détailPrésentation des animations Aux Goûts du Jour
Présentation des animations Aux Goûts du Jour AUX GOÛTS DU JOUR est une association nationale d éducation alimentaire. Objectifs * Aider les enfants et les adultes à retrouver le plaisir de Bien manger.
Plus en détailDomaine : Sciences, Technologies et Santé Mention : Nutrition, Sciences des aliments, Agroalimentaire
Contexte Domaine : Sciences, Technologies et Santé Mention : Nutrition, Sciences des aliments, Agroalimentaire Fédération des spécialités de Master des 5 pôles universitaires partenaires de la région Nord-Pas-de-Calais
Plus en détailDevenez point de chute d une ferme du réseau québécois d agriculture soutenue par la communauté (ASC)
GUIDE À L INTENTION DES ORGANISATIONS Devenez point de chute d une ferme du réseau québécois d agriculture soutenue par la communauté (ASC) Pour des paniers de légumes locaux et sains, directement livrés
Plus en détailPLAN DEVELOPPEMENT EXPLOITATION - DESCRIPTION DE L EXPLOITATION REPRISE - 1 Caractéristiques globales LES FACTEURS DE PRODUCTION Productions SAU FONCIER Mécanisé (en %) Irrigué (O/N) Autres Observations
Plus en détailTransfusions sanguines, greffes et transplantations
Transfusions sanguines, greffes et transplantations Chiffres clés en 2008 La greffe d organes est pratiquée depuis plus de 50 ans. 4 620 malades ont été greffés. 1 563 personnes ont été prélevées. 222
Plus en détailChapitre 2 - Complexité des relations entre génotype et phénotype
Chapitre 2 - Complexité des relations entre génotype et phénotype Chaque chromosome est en double exemplaire Donc chaque gène (situé sur son locus) est en double exemplaires : et peut être sous différente
Plus en détailPLAN BIO MIDI-PYRENEES 2014-2020, UN PLAN SANS AMBITION
PLAN BIO MIDI-PYRENEES 2014-2020, UN PLAN SANS AMBITION Pourquoi les élu-es EELV au Conseil Régional ne voteront pas le Plan Bio Midi-Pyrénées 2014-2020 en l état? Plan Bio Midi-Pyrénées, un plan sans
Plus en détailPour ou contre le gluten? Qu est-ce que le gluten?
Pour ou contre le gluten? C est un peu la grande mode du moment : «ouaih moi, une semaine avant la course, je supprime tous les aliments contenant du gluten parce que c est mauvais» hum hum. Savez-vous
Plus en détailLe test de dépistage qui a été pratiqué à la
élever CommenT UN enfant phénylcétonurique Le test de dépistage qui a été pratiqué à la maternité vient de révéler que votre bébé est atteint de phénylcétonurie. Aujourd'hui votre enfant va bien mais vous
Plus en détailLA MITOSE CUEEP - USTL DÉPARTEMENT SCIENCES BAHIJA DELATTRE
Biologie LA MITOSE CUEEP - USTL DÉPARTEMENT SCIENCES BAHIJA DELATTRE Février 2006 I. L'INTRODUCTION Chaque cellule d'un organisme supérieur provient de la multiplication d'une cellule préexistante (cellule
Plus en détailBayer : améliorer la qualité de vie grâce à l innovation
Communiqué de presse Bayer AG Communications 51368 Leverkusen Allemagne Tél. : +49 214 30-1 www.press.bayer.com Perspectives sur l innovation 2012 Bayer : améliorer la qualité de vie grâce à l innovation
Plus en détailPRODUITS MORTELS LES PESTICIDES DANS LE COTON
Pe s t i c i d e A c t i o n N e t w o r k U K PRODUITS MORTELS LES PESTICIDES DANS LE COTON Résumé exécutif et Recommendations 5 St Peter s St London N1 8JD Royaume Uni t: +44 (0)20 7359 0440 f: +44 (0)20
Plus en détailEnjeux et Perspectives de la composante «Environnement Santé» du Plan d Action de l Initiative Environnement du NEPAD
PRÉSENTATION POWER POINT Enjeux et Perspectives de la composante «Environnement Santé» du Plan d Action de l Initiative Environnement du NEPAD Cheikh FOFANA, Assistant au Secrétaire Exécutif, Secrétariat
Plus en détailLe secteur agroalimentaire en Provence-Alpes-Côte d Azur
Le secteur agroalimentaire en Provence-Alpes-Côte d Azur Panorama élaboré à partir d une étude Ernst & Young pour la MDER mai 2004 Sommaire Organisation de la filière en PACA p. 3 Chiffres clés p. 4 Productions
Plus en détailGuide de Terrain - Première ronde
Guide de Terrain - Première ronde Programme Santé/Nutrition et WASH dans le village de Magaji Arzita: Les plantations de Moringa Oleifera ATELIER USAID/FFP SUR LA GESTION ET LES RÉGULATIONS ENVIRONNEMENTALES
Plus en détailPerrothon Sandrine UV Visible. Spectrophotométrie d'absorption moléculaire Étude et dosage de la vitamine B 6
Spectrophotométrie d'absorption moléculaire Étude et dosage de la vitamine B 6 1 1.But et théorie: Le but de cette expérience est de comprendre l'intérêt de la spectrophotométrie d'absorption moléculaire
Plus en détailJUIN 2012 DÉCEMBRE 2008. L étiquetage des denrées alimentaires. L information des consommateurs,
JUIN 2012 DÉCEMBRE 2008 INFO RÉGLEMENTATION info L étiquetage des denrées alimentaires L information des consommateurs, focus sur le règlement européen INCO L e règlement européen n 1169/2011 (ci-après
Plus en détailACTIONS ET POLITIQUES SUR L'INVESTISSEMENT DANS L'AGRICULTURE
ACTIONS ET POLITIQUES SUR L'INVESTISSEMENT DANS L'AGRICULTURE 1. Les investissements doivent contribuer à et être compatibles avec la réalisation progressive du droit à une alimentation suffisante et nutritive
Plus en détailLes débuts de la génétique
HPITRE 9 DES DÉBTS DE L ÉNÉTIQE X ENJEX TELS DES BIOTEHNOLOIES 1 Les débuts de la génétique est avec les travaux de regor Mendel vers la fin du XIX e siècle que furent posées les bases de la génétique.
Plus en détailRevenu agricole 2013 : une année délicate pour les productions céréalières
Agreste Champagne-Ardenne n 4 - Juillet 2015 Réseau d information comptable agricole En 2013, le Résultat Courant Avant Impôt (RCAI) moyen des exploitations agricoles champardennaises couvertes par le
Plus en détailUtilisation de produits sains et sûrs Mise en oeuvre de procédures strictes et rigoureuses
INTRODUCTION H.A.C.C.P. ou A.R.M.P.C. L Analyse des risques et maîtrise des points critique La nouvelle réglementation en matière d hygiène (ar. 09 mai 1995 et ar. 29 septembre 1997) oblige les responsables
Plus en détailCirculaire relative au monitoring dioxine des produits à risque destinés à l alimentation animale
gence fédérale pour la sécurité de la chaîne alimentaire Circulaire relative au monitoring dioxine des produits à risque destinés à l alimentation animale Référence PCCB/S1/JPM/912984 Date 18/02/2014 Version
Plus en détailTD de Biochimie 4 : Coloration.
TD de Biochimie 4 : Coloration. Synthèse de l expérience 2 Les questions posées durant l expérience 2 Exposé sur les méthodes de coloration des molécules : Générique Spécifique Autres Questions Pourquoi
Plus en détailCONGRES INTERNATIONAL SUR L ASSURANCE ET LA RÉASSURANCE DES RISQUES AGRICOLES. Partenariat Public Privé dans l Assurance Agricole
CONGRES INTERNATIONAL SUR L ASSURANCE ET LA RÉASSURANCE DES RISQUES AGRICOLES 1 Marrakech -29, 30 et 31janvier 2014 Session 2 Partenariat Public Privé dans l Assurance Agricole L expérience de la Compagnie
Plus en détailOUTILS DE FINANCEMENT DE L INNOVATION TECHNOLOGIQUE ET DE LA VALORISATION DE LA RECHERCHE
OUTILS DE FINANCEMENT DE L INNOVATION TECHNOLOGIQUE ET DE LA VALORISATION DE LA RECHERCHE Un exemple de Projet PNRI Pr. Ahmed Noureddine HELAL 11 Mars 2015, Hôtel Monastir Center, Monastir Notre Projet
Plus en détailLETTRE AUX ACTIONNAIRES
LETTRE AUX ACTIONNAIRES NOVEMBRE 2014 Toute la saveur de Vilmorin & Cie ACTUALITÉS Résultats annuels 2013-2014 p. 3 STRATÉGIE Innover pour assurer la croissance de demain p. 4 ÉCLAIRAGE Entretien avec
Plus en détailDéfinition des variables présentées dans le RICA
Les termes en gras italique sont définis par ailleurs dans le lexique. Les termes en italique désignent des variables explicitement recueillies dans le Rica. A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V
Plus en détailEnvironmental Research and Innovation ( ERIN )
DÉpartEment RDI Environmental Research and Innovation ( ERIN ) Le département «Environmental Research and Innovation» (ERIN) du LIST élabore des stratégies, des technologies et des outils visant à mieux
Plus en détailESSAIS AU CHAMP PLURIANNUELS DE MAIS GENETIQUEMENT MODIFIE EXPRIMANT UNE LIPASE GASTRIQUE POUR DES APPLICATIONS MEDICALES
DEMANDE D AUTORISATION AUPRES DU MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L ALIMENTATION, DE LA PECHE ET DES AFFAIRES RURALES ESSAIS AU CHAMP PLURIANNUELS DE MAIS GENETIQUEMENT MODIFIE EXPRIMANT UNE LIPASE GASTRIQUE
Plus en détailPartie V Convention d assurance des cultures légumières
Partie V Convention d assurance des cultures légumières Légumes de transformation Moyenne du rendement agricole A. Dispositions générales La présente partie s applique à la betterave à sucre, à la betterave
Plus en détail