METHODE : AIRE MINIMA. KERLAU Marie LE CAINEC Solenn VINCENT Lola

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1 METHODE : AIRE MINIMA KERLAU Marie LE CAINEC Solenn VINCENT Lola Stage sur l'île d'yeu 22, 23 et 24 juin 2013

2 Sommaire: I Introduction, définition II - Aspects généraux 1) Milieu d'étude 2) Matériel 3) Méthodes 2-1 Construction de l'aire minima 2-2 Etude de la population au sein de l'aire minima III Exemple de l'île d'yeu 1) Résultats 2) Discussion IV - Conclusion

3 I - Introduction: Définition : Cette méthode permet d'obtenir un relevé phytosociolgique. L'aire minima représente la surface minimum dans laquelle on retrouve le maximum d'espèces présentes dans la station d'étude. But : savoir sur quelle surface effectuer l'inventaire pour que celui-ci soit représentatif de la formation végétale.

4 II Aspects généraux : 1) Milieu d'étude Cette méthode peut être appliquée sur tout type de milieu, forêt, dune, prairie... Ce milieu doit être relativement homogène pour avoir une bonne appréciation. Milieux homogènes pouvant être étudiés

5 2) Matériel: > Carré en bois de 25 cm² > Corde > Flore pour déterminer les espèces végétales -Quadrat = surface délimitée dans laquelle on note l'ensemble des espèces rencontrées. -Taille du quadrat: choisie de manière à obtenir un échantillon représentatif du cortège floristique du milieu étudié. Cette taille = aire minimale. Dispositif pour la détermination de l'aire minima : système de surfaces emboitées

6 3) Méthodes: 3-1 Construction de l'aire minima: Après avoir positionné les quadrats dans une zone homogène, on compte le nombre d'espèces pour chaque surface, allant ici de 1/16 à 16m²

7 L'aire minima peut être obtenue par deux techniques : - Règle des 80%: lorsque 80% des espèces sont dans une aire donnée, alors cette aire correspondra à l'aire minima - Règle des 10-10: on trace le graphique nombre d'espèce = f(surface), puis on construit la droite qui passra par les points (0;0) et (10;10) correspondant à 10% du nombre total d'espèces observées. On tracera ensuite une autre droite parallèle à cette droite et tangente à la courbe. Le point de contact entre la courbe et sa tangente repporté sur l'axe des abscisses donnera l'aire minima. Plateau Détermination de l'aire minimale par établissement de la courbe aire-espèces (sources : Lacoste et Salanon, 2001)

8 Remarque : Pour le secteur étudié, différentes informations pourront être relevées: -Date et heure du relevé -Coordonnées géographiques (avec GPS par exemple) -Altitude -Topographie (pente, relief) -Exposition au soleil -Type du substrat et caractéristiques du sol -Facteurs biotiques (présence d'animaux par exemple) ou anthropogènes

9 3-2 Etude de la population au sein de l'aire minima - Estimation du % de recouvrement de chaque espèce au sein de l'aire minima : Coefficient de recouvrement de Braun-Blanquet 50% 10%

10 - Rangement des expèces par ordre : de la plus fréquente à la moins abondante -Cumul des pourcentage de recouvrement Remarque : le total n'est ici pas de 100% car on remarque car on observe environ 30% de sable non recouvert par la végétation

11 -Elaboration du graphique = courbe de K dominance : abscisses : logarithme du rang des espècse : de la plus fréquente à la moins fréquente ordonnées : pourcentage cumulé - La courbe de dominance K permet une analyse de la diversité spécifique.

12 L'analyse de l'allure de la courbe de K dominance va permettre de déterminer si on a équilibre ou dégradation. Sigmoide = zone de dégradation : Elle correspond à un milieu où on observe en général une espèce dominante (espèce pionnière) et d'autres présentes en pourcentage plus réduit. Plateau = zone d'équilibre : Environ 5 espèces dominantes vont être trouvées. Cette zone correspond à un climax.

13 III Exemple de l'île d'yeu: Pour illustrer la méthode de l'aire minima, nous allons présenter une étude effectuée à l'île d'yeu. Les relevés ont été effectués sur une dune grise : elle est moins exposée que la dune blanche. Elle est semi fixée et exposée au vent et au soleil. Le sol est surtout composé de sable. Dune grise

14 L'analyse de la courbe aire-espèce obtenue pour la dune grise, ici avec la règle des 10-10, va permettre de déterminer la valeur de l'aire minima pour cette zone. L'aire minima est ici de 2 m² L'estimation du % de recouvrement de chaque espèce au sein de l'aire minima va pouvoir être faite

15 L'analyse de l'allure de la courbe de K dominance va permettre de déterminer si on a équilibre ou dégradation. Notre courbe se situe entre le plateau et la sigmoide, mais se rapproche plus du plateau : nous sommes dans une zone se rapprochant de l'équilibre. Trois espèces dominent le milieu avec des pourcentages de 20, 16 et 13%.

16 - Dune grise = un milieu qui pourrait être dégradée de par les nombreuses contraintes de cette zone, ainsi que par l'action de l'homme - Végétaux adaptés aux contraintes du littoral (vent, salinité, manque d'eau, pauvreté en matière organique, soleil, mouvement du sable) par différents moyens physiologiques et morphologiques : > Racines et rhizomes profonds = puisent l'eau et fixent la dune > Réduction de la taille et surface des feuilles = limite l'évapotranspiration et la prise aux vents > Cuticule = limite l'évapotranspiration > Rugosité et pilosité des feuilles = limite les effets du vent en augmentant la couche limite > Plantes halophytes = pression osmotique plus importante que celle des autres végétaux

17 Exemple de végétaux retrouvés sur la dune grise : Bryophyte Erodium Iris fétide Liseron des dunes

18 Fougère Carex Giroflée des dunes Raisin de mer

19 Queue de lièvre Fabacée inconnue Panicot Cilenne conique

20 Imortelle Armoise Rumex acetosella Euphorbe de portland

21 Remarques: L'étude de la sociabilité, c'est à dire la tendance des individus à se regrouper, ou pas (tapis continus ou discontinus, individus regroupés ou isolés...), aurait également pu être étudiée. Superposer les courbes de K dominance de différentes années pourrait être intéressant pur étudier l'évolution du paysage. Pour chaque espèce on aurait pu noter : - Le stade phénologique (plantule à sénescence) - La répartition (régulière ou non, centrale ou périphérique...) - Le type biologique (selon Raunkiaer : thérophytes, hémicryptophytes...) - La strate (cryptogamique à arborée)

22 IV - Discussion: - Présence de sable = dégradation, sauf que la zone étudiée est une dune grise - Contraintes possibles = manque d'eau, vent, manque de nutriments, animaux (lapins, insectes, gastéropodes) - Vent = explique la taille réduite des végétaux - Retard de croissance des végétaux = dûs aux conditions climatiques de l'année 2013 : températures basses notamment. -Bryophytes = stabilisent le substrat. Avantages: -Estimation rapide de la flore d'un paysage à partir d'une zone restreinte -Facile à mettre en oeuvre -Matériel peu coûteux Limites: -Espèces rares non prises en compte -Liste non exhaustive des espèces -Zone de relevée pas effectuée complètement au hasard -Difficulté d'appréhender la variabilité du milieu

23 V - Conclusion: L'aire minima est utilisée par les phytosociologues pour établir des cartes de la végétation d'une région ou d'un paysage. Cette méthode peut être complétée par le GPS ou la télédétection qui permettent une étude à plus grande échelle. L'aire minima est rapide et facile à mettre en oeuvre mais les résultats ne sont pas statistiquement corrects.

24 Bibliographie : -Géographie de la végétation terrestre : Frédéric Alexandre et Alain Génin -Méthodes d'étude quantitative de la végétation : M. Gounot -PHYTOSOCIOLOGIE : PRINCIPES ET METHODES GEPV : gepv.univlille1.fr/downloads/.../m1.../m1-s7-hautekeete_phytosocio.pdf -Biodiversité et relations trophiques dans quelques milieux estuariens : ethesis.inp-toulouse.fr/archive/ /01/villanueva.pdf -Évolution de la diversité spécifique & des dominances :

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