SÉGOLÈNE ROYAL MINISTRE DE L ENVIRONNEMENT, DE L ÉNERGIE ET DE LA MER EN CHARGE DES RELATIONS INTERNATIONALES SUR LE CLIMAT PRÉSIDENTE DE LA COP
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- Jean-Bernard Beauséjour
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1 SÉGOLÈNE ROYAL MINISTRE DE L ENVIRONNEMENT, DE L ÉNERGIE ET DE LA MER EN CHARGE DES RELATIONS INTERNATIONALES SUR LE CLIMAT PRÉSIDENTE DE LA COP SESSION DE NEGOCIATION ONUSIENNE SUR LE CLIMAT (CCNUCC) - BONN, mai 2016 Bonn, la première session de négociation de mise en œuvre de l Accord de Paris
2 Sommaire Organisation et enjeux de la session Le groupe de travail spécial sur l Accord de Paris Annexes Acronymes et missions des principaux organes de la CCNUCC Etapes clés depuis la COP21 et jusqu'à la COP22 Rôle des différents acteurs Contact presse :
3 Organisation et enjeux de la session La session de Bonn intervient cinq mois après la clôture de la COP21. Elle a été préparée par la réunion informelle à Paris mi-avril et par la séquence du 22 avril à New York. Elle verra la première réunion du Groupe de l Accord de Paris (APA), chargé de la préparation de son entrée en vigueur. Les deux organes subsidiaires (SBI et SBSTA) reprendront également leurs travaux, dont une partie concernera aussi la préparation de l entrée en vigueur de l accord. Une note de réflexion des présidences française et marocaine a été proposée à l ensemble des participants en amont afin d assurer le bon déroulement des travaux : elle décrit les objectifs de la session et propose une méthode de travail d ici à Marrakech. Cette note complète l aidemémoire publié à l issue des consultations informelles organisées en avril dernier à Paris. Cette session de négociation est importante et délicate : elle doit matérialiser l esprit de coopération de Paris et commencer à rendre opérationnel cet accord en transformant les contributions nationales en véritables politiques et programmes d actions. 1- La mise en œuvre de l accord de Paris L ordre du jour de l APA reprend les principaux sujets adoptés lors de la COP21 : les contributions nationales et le nouveau système de transparence qui constituent les piliers de l Accord de Paris et des moyens clés pour sa mise en œuvre ; le bilan mondial et le respect des engagements. Un événement sera organisé le 17 mai après-midi sur les contributions nationales autour du nouveau rapport de synthèse de la CCNUCC. 2 - L action pré 2020 et l agenda des solutions Le travail sur «l action renforcée avant 2020» débutera également à Bonn, sous la houlette des «Champions de haut niveau». Une consultation sera organisée pour présenter les résultats de Paris et l avenir du LPAA (Lima Paris Action Agenda). Les champions devront aussi consulter les partenaires sur leurs attentes pour l évènement de haut niveau à Marrakech sur l action avant En parallèle, le travail de promotion et de développement d initiatives sera poursuivi. Bonn sera également l occasion pour les deux présidences française et marocaine de commencer à travailler ensemble. Elles prépareront notamment la réunion des porteurs d'initiatives de l'agenda de l'action prévue le 23 juin à Tanger afin de permettre l adoption lors de la COP22 3
4 d une décision sur la gouvernance des actions non gouvernementales. Quatre «réunions d experts» (TEM) couvriront pour la première fois les politiques d adaptation (focus proposé sur l eau) comme d atténuation (valeur sociale du carbone, transports). 3 - Le volet financier Sur le volet financier, les travaux porteront sur le bon démarrage et le cadrage des travaux sur la transparence du soutien (séquençage des travaux, responsabilité des différents organes de la CCNUCC). Le comité permanent sur les finances présentera à Bonn l état d avancement de ses travaux, notamment en ce qui concerne son rapport bisannuel. La question de l accessibilité des pays en développement, notamment africains, aux fonds climatiques restera un sujet important, ainsi que le rôle du fonds pour l adaptation dans le cadre de l Accord de Paris. 4
5 Les nouveaux sujets à l ordre du jour des différents groupes de négociation APA Contributions nationales Accord de Paris Art 4 ; 1/CP21 para 26,28 et 31 Transparence Accord de Paris Art 13 ; 1/CP21 para Bilan mondial Accord de Paris Art 14 ; 1/CP21 para 99 et 101 Respect des engagements Accord de Paris Art 15 ; 1/CP21 para 103 SBSTA Coopération, mécanismes Accord de Paris Art 16 ; 1/CP21 para 36,38 et 40 Ressources financières Accord de Paris Art 9 ; 1/CP21 para 57 Technologies Accord de Paris Art 10 ; 1/CP21 para 67 Bilan mondial et GIEC Accord de Paris Art 14 ; 1/CP21 para 100 SBI Registre des contributions Accord de Paris Art 4 ; 1/CP21 para 29 Mécanisme technologique 1/CP21 para 70 Comité de Paris sur le renforcement des capacités 1/CP21 para 75 et 76 SBI et SBSTA Mesures de riposte 1/CP21 para 34 Examen technique sur l atténuation Examen technique sur l adaptation 1/CP21 para 112 1/CP21 para 126 5
6 Le Groupe de travail spécial de l Accord de Paris (APA) Création et mission À sa vingt et unième session, la Conférence des Parties (COP) a adopté la décision 1/CP.21 intitulée «Adoption de l Accord de Paris», qui contient le programme de travail pour rendre effectif l Accord de Paris, ainsi que des dispositions visant à renforcer les mesures d atténuation et d adaptation avant Pour faire avancer certains éléments de ce programme de travail, la COP a créé le Groupe de travail spécial de l Accord de Paris (APA Ad Hoc Paris Agreement Working Group) où toutes les Parties sont représentées. Certains des travaux des deux organes subsidiaires (SBI et SBSTA) de la Convention concerneront aussi la préparation de l entrée en vigueur de l accord. Organisation - Sessions à partir de 2016 parallèlement aux sessions des organes subsidiaires de la Convention. - Elaboration des projets de décision que la COP recommandera à la Conférence des Parties agissant comme réunion des Parties à l Accord de Paris (CMA) pour examen et adoption à sa première session. - Préparation à l entrée en vigueur de l Accord de Paris et convocation de la première session de la Conférence des Parties agissant comme réunion des Parties à l Accord de Paris (CMA). Sujets à l ordre du jour de l APA 1 (17 au 26 mai 2016) Election des coprésidents et du rapporteur de l APA Les coprésidents devraient être désignés par le groupe Asie-Pacifique pour les pays en développement et par l Union européenne / Groupe de l Ombrelle pour les pays développés. Nouvelles lignes directrices concernant les contributions déterminées au niveau national (NDC) Article 4 ( extraits) : «Chaque Partie établit, communique et actualise les contributions déterminées au niveau 6
7 national successives qu elle prévoit de réaliser et prend des mesures internes pour l atténuation en vue de réaliser les objectifs des dites contributions». A noter également dans cet article qui totalise 19 paragraphes au total : «Chaque nouvelle NDC représentera une progression (en termes d ambition) par rapport à la précédente et correspondra à son niveau d ambition le plus élevé possible» «Les pays en développement devraient continuer d accroître leurs efforts d atténuation, et sont encouragés à passer progressivement à des objectifs de réduction ou de limitation des émissions à l échelle de l économie eu égard aux contextes nationaux différents» «En communiquant leurs NDC, toutes les Parties présentent l information nécessaire à la clarté, la transparence et la compréhension» «Chaque Partie communique une contribution déterminée au niveau national tous les cinq ans» «Les NDC communiquées par les Parties sont consignées dans un registre public tenu par le secrétariat.» «Dans la comptabilisation des émissions et des absorptions anthropiques correspondant à leurs NDC, les Parties promeuvent l intégrité environnementale, la transparence, l exactitude, l exhaustivité, la comparabilité et la cohérence, et veillent à ce qu un double comptage soit évité». Enjeux des travaux : - Formuler d autres directives sur les caractéristiques des NDC ; - Formuler d autres directives concernant les informations à fournir par les Parties pour améliorer la clarté, la transparence et la compréhension des NDC ; - Élaborer, en s inspirant des démarches établies en vertu de la Convention et de ses instruments juridiques connexes le cas échéant, des directives pour la comptabilisation des NDC. Modalités, procédures et lignes directrices du cadre de transparence Le cadre de transparence des mesures et de l appui a été créé en vertu de l article 13 de l Accord de Paris. La COP21 a mis en place une initiative de renforcement des capacités pour la transparence et formulé des directives concernant la transparence des mesures et de l appui, conformément à l Accord de Paris. Le nouveau système de transparence unique mais différencié constitue - avec les NDC - un des piliers de l Accord de Paris et un des moyens clés pour sa mise en œuvre. Il vise non seulement les émissions de gaz à effet de serre, les NDC, les mesures de réduction mises en œuvre, le soutien fourni et reçu. 7
8 Article 13 (extraits) : «afin de renforcer la confiance mutuelle et de promouvoir une mise en œuvre efficace, il est créé un cadre de transparence renforcé des mesures et de l appui, assorti d une certaine flexibilité, qui tient compte des capacités différentes des Parties» «Le cadre de transparence accorde aux pays en développement parties qui en ont besoin, compte tenu de leurs capacités, une certaine flexibilité» «Le cadre de transparence s appuie sur les dispositifs relatifs à la transparence prévus en vertu de la Convention (communications nationales, rapports biennaux, consultations et analyses internationales...) «À sa première session, en s appuyant sur l expérience tirée des dispositifs relatifs à la transparence prévus en vertu de la Convention, et en précisant les dispositions du présent article, la Conférence des Parties agissant comme réunion des Parties à l Accord de Paris adopte des modalités, des procédures et des lignes directrices communes, selon qu il convient, aux fins de la transparence des mesures et de l appui» Enjeux des travaux : - Elaborer des recommandations relatives aux modalités, procédures et lignes directrices - Définition de l année de leur premier examen et des examens et actualisations qui suivront, selon que de besoin, à intervalles réguliers, - Rendre compte de l avancement des travaux sur les modalités, procédures et lignes directrices à ses futures sessions, ces travaux devant être achevés au plus tard en Questions relatives au bilan mondial Article 14, paragraphe 1 : «Faire périodiquement le bilan de la mise en œuvre de l Accord afin d évaluer les progrès collectifs accomplis dans la réalisation de l objet de l Accord et de ses buts à long terme («bilan mondial»), d une manière globale, axée sur la facilitation, en prenant en considération l atténuation, l adaptation, les moyens de mise en œuvre et l appui et en tenant compte de l équité et des meilleures données scientifiques disponibles. La Conférence des Parties agissant comme réunion des Parties à l Accord de Paris doit procéder à son premier bilan mondial en 2023 et tous les cinq ans par la suite sauf si elle adopte une décision contraire». 8
9 Enjeux des travaux : Identifier les sources de données pour le bilan mondial, d en élaborer les modalités. Travaux également confiés à l organe subsidiaire scientifique SBSTA. Modalités et procédures pour le mécanisme de conformité Article 15 (extraits) : «Il est institué un mécanisme pour faciliter la mise en œuvre et promouvoir le respect des dispositions du présent Accord.» «Le mécanisme sera constitué d un comité d experts et axé sur la facilitation, et fonctionne d une manière qui est transparente, non accusatoire et non punitive.» «Le comité accorde une attention particulière à la situation et aux capacités nationales respectives des Parties.» Enjeux des travaux : Elaborer des modalités et des procédures pour le bon fonctionnement du comité. Préparation de l entrée en vigueur de l Accord de Paris et de la convocation de la première session de la Conférence des Parties agissant comme réunion des Parties à cet Accord. Enjeux des travaux : Définir toutes les mesures nécessaires aux préparatifs de cette entrée en vigueur, notamment en ce qui concerne les questions juridiques, les questions de procédure et les questions administratives pertinentes. 9
10 Annexes Acronymes des principaux organes et groupes de négociation de la CCNUCC APA Groupe de travail ad hoc sur l'accord de Paris CCNUCC Convention cadre des Nations unies sur les changements climatiques CMA Conférence des Parties agissant comme réunion des Parties à l'accord de Paris CMP Réunion des Parties au Protocole de Kyoto COP Conférence des Parties à la Convention Climat SBI Organe subsidiaire pour la mise en œuvre SBSTA Organe subsidiaire de conseil scientifique et technologique 10
11 Acronymes des principaux comités créés par les conférences des Parties CNTC Centre et Réseau de technologies du Climat GCF Fonds vert pour le Climat TEC Comité exécutif pour les technologies Comité de Paris sur le renforcement des capacités Comité de l'adaptation SCF Comité permanent du financement (SCF) Comité exécutif du Mécanisme international de Varsovie Groupe d experts des pays les moins avancés 11
12 Rôle des différents acteurs Le rôle du secrétaire exécutif de la CCNUCC Son rôle consiste principalement à organiser et à assurer tous les arrangements pratiques pour les différentes sessions des organes de la Convention-cadre des Nations unies pour les changements climatiques (CCNUCC), d'aider les parties dans l'application de leurs engagements, de fournir un soutien continu aux négociations et de coordonner ses propres activités avec celles d'autres organes internationaux pertinents, notamment le Fonds pour l'environnement mondial (en savoir plus sur le FEM) et le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (en savoir plus sur le GIEC). Il est composé d'environ 500 fonctionnaires internationaux issus de 100 pays différents. A sa tête se trouve le secrétaire exécutif, nommé par le Secrétaire général des Nations unies et placé sous son autorité, la Costaricaine Christiana Figueres, qui occupe actuellement ce poste, avait été nommée en juillet 2010 et renouvelé pour un second mandat en juillet Elle a ainsi participé à cinq COP. Elle quittera ses fonctions en juillet prochain et sera remplacée par la Mexicaine Patricia Espinosa. Le rôle du président de COP Chaque président de COP a pour mission principale de superviser et de conduire les négociations en assurant un rôle de facilitateur auprès de toutes les Parties pour rapprocher les points de vue et permettre l adoption d accords et de décisions à l unanimité. Il préside les plénières et les réunions de Bureaux de la COP. Le Bureau, qui comprend 11 membres élus par les Parties au début de chaque session de la COP, dirige le travail de la COP et de chaque organe subsidiaire. Le 19 février 2016, Ségolène Royal, ministre de l Environnement, de l Energie et de la Mer, chargée des Négociations internationales sur le Climat, a été nommée présidente de la COP21 en remplacement de Laurent Fabius nommé président du Conseil constitutionnel par le Président de la République. A partir du 7 novembre 2016, Salaheddine Mezouar, ministre des Affaires étrangères et de la Coopération du Royaume du Maroc, exercera la fonction de président de la COP 22. Le rôle du champion de haut niveau La France a sa championne, le Maroc aura bientôt le sien. Les décisions 121,122 et 123 de l'accord de Paris présentent en détails le rôle des champions de haut niveau. Tous deux ont pour tâche de maintenir la dynamique initiée par l Accord de Paris. Ainsi le mandat de Laurence Tubiana, nommée le 29 janvier, se terminera en novembre 2016, à l'issue de la COP22. Le mandat du champion de la présidence de la COP22 qui devrait prochainement être désigné s'achèvera quant à lui le dernier jour de la COP23. 12
13 La mission des champions consiste à : Travailler sur la période Encourager et animer l action des acteurs non étatiques (villes, entreprises, institutions financières ). De façon plus concrète, la mission du champion sera : - de travailler sur les technologies propres afin d en faire baisser le coût et d en favoriser l adoption, en incitant les Etats et les acteurs non étatiques à amplifier leur mobilisation. de démultiplier les actions entreprises par le secteur financier en profitant de la mobilisation de Paris : accroissement du mouvement de désinvestissement dans les énergies fossiles au travers de la gestion des portefeuilles des investisseurs institutionnels, prise en compte du risque carbone dans l évaluation du risque des portefeuilles, développement des nouveaux instruments financiers. 13
14 Bilan des actions menées depuis le 12 décembre février : Ségolène Royal nommée présidente de la COP février : Déplacement en Afrique de la présidente de la COP21 : initiative des énergies renouvelables en Afrique (Egypte, Ethipoie, Côte d Ivoire, Guinée, Sénégal) - 9 mars : Présentation en Conseil des ministres du projet de loi de ratification mars : Réunion de travail avec Ban Ki-moon, Secrétaire général des Nations unies. Envoi d'une lettre cosignée par le SGNU, le Président de la République et la présidente de la COP21 adressée aux Chefs d'etat et de gouvernement pour les mobiliser en vue de la cérémonie de signature de l'accord de Paris, le 22 avril mars : Déplacement en Afrique de la présidente de la COP21 (RDC, Gabon, Nigéria) - 24 mars : Réunion de travail avec les ONG internationales sur la COP21, la ratification de l'accord de Paris et l'agenda de l'action avril : Session plénière du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) à Nairobi. Décision de produire trois rapports spéciaux au cours de ce 6ème cycle : le premier sur l impact d un réchauffement global de 1,5 C au-dessus des niveaux pré-industriels et sur les trajectoires d émission de gaz à effet de serre correspondantes ; le second sur les liens entre le changement climatique, l océan et la cryosphère et le troisième sur les liens entre le changement climatique, la désertification, la dégradation des terres, la gestion durable des terres, la sécurité alimentaire, et les flux de gaz à effet de serre dans les écosystèmes terrestres avril : Réunions de printemps du FMI et du groupe Banque mondiale à Washington ; Assemblée de haut niveau de la Coalition pour la tarification du carbone (Carbon 14
15 Pricing Leadership Coalition) : prix du carbone et COP21, à la Banque mondiale avril : Réunion informelle de négociations à Paris pour commencer la préparation des travaux de la session de négociations de la Convention cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC) à Bonn et de la COP22-22 avril : Cérémonie de signature officielle de l'accord de Paris au siège des Nations unies à New York (177 signatures, record historique) - 29 avril : courrier cosigné par le Président de la République et la présidente de la COP21 adressé aux Chefs d'etat et de gouvernement de l'ue les invitant à accélérer le processus de ratification de l'accord de Paris au niveau national - 2 mai : Publication par la CCNUCC d'un nouveau rapport de synthèse sur les contributions nationales (INDC) mai : Participation de la Présidente de la Cop21 au Climate Action Summit 2016 organisé par le SGNU à Washington mai : session de négociations à Bonn - 17 mai : Examen du projet de loi de ratification de l'accord de Paris par l'assemblée nationale - 8 juin : Examen du projet de loi de ratification de l Accord de Paris par le Sénat 15
16 Les prochaines étapes avant la COP mai : Assemblée des Nations unies pour l'environnement, Nairobi mai : sommet du G7 à Shima (Japon) - 10 juin : Business Dialogue à Paris - 20 juin : Conseil Environnement des ministres de l Union européenne à Bruxelles - 23 juin : Réunion des porteurs d'initiatives du LPAA à Tanger juin : Climate business week à Londres juin : Conseil d'administration du Fonds vert à Songdo (Corée du Sud) : juillet : Dialogue de Petersberg à Berlin juillet : Conférence des pays riverains de la Méditerranée (MEDCOP22) Tanger septembre : Sommet du G20, Hangzhou septembre : Sommet mondial des acteurs du climat à Nantes octobre : Conférence Habitat III à Quito novembre : COP22/CMP12 à Marrakech 16
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