DOSSIER DE PRESSE Février 2004

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1 DOSSIER DE PRESSE E.Leclerc informe les Français sur leur pouvoir d achat réel et interpelle les acteurs économiques et politiques sur la nécessité de permettre aux distributeurs de jouer pleinement leur rôle dans l amélioration du pouvoir d achat Février 2004 Contact presse E.Leclerc : Guylaine Mercier, Tel : / Fax : gmercier@i-et-e.fr

2 SOMMAIRE! Résultats de l étude E.Leclerc-BIPE sur «le pouvoir d achat effectif du consommateur» page 3! Le «pouvoir d achat effectif du consommateur» : une définition E.Leclerc-BIPE plus proche de la réalité économique des Français page 6! La campagne d information grand public E.Leclerc : dispositif et visuels page 8 Annexes! Rappel sur les indices de l INSEE : pouvoir d achat et niveau de vie page 11! Glossaire page 12! A propos du BIPE page 13 2

3 Résultats de l étude E.Leclerc-BIPE sur «le pouvoir d achat effectif du consommateur» De 1990 à 2003, le «pouvoir d achat effectif du consommateur» n a augmenté que de 12 % (contre 26 % selon l indice INSEE du pouvoir d achat des ménages) En croissance cumulée, le pouvoir d achat calculé selon la méthode E.Leclerc-BIPE, est bien inférieur aux chiffres de l INSEE. Pour le consommateur, cela se concrétise par un écart de euros sur 14 ans ( ), soit une moyenne de euros par an, qui représente 8 % du pouvoir d achat effectif du consommateur en Indices annuels du pouvoir d achat effectif du consommateur en croissance cumulée 1990= Pouvoir d'achat des ménages - INSEE Pouvoir d'achat INSEE par UC 100 Pouvoir d'achat effectif du consommateur - E.Leclerc-BIPE (e) Source : BIPE - estimations BIPE pour l'année 2003 Sur la même période, mais en croissance annuelle, INSEE prévisions le INSEE «de pouvoir décembre 2003 pour d achat l année 2003 effectif du consommateur» E.Leclerc-BIPE reste systématiquement inférieur à l indice INSEE du pouvoir d achat. Calculé de manière à tenir compte de l évolution du nombre et de la structure des ménages, il évolue en revanche de manière assez proche du niveau de vie des ménages de l INSEE sur une partie de la période. Indices annuels du pouvoir d achat effectif du consommateur en croissance annuelle 4 3 évolution annuelle % Pouvoir d'achat des ménages - INSEE 2 1 Pouvoir d'achat INSEE par UC 0-1 Pouvoir d'achat effectif du consommateur - E.Leclerc-BIPE (e) Source : BIPE - estimations BIPE pour l'année 2003 INSEE prévisions INSEE de décembre 2003 pour l année

4 En 2003, le «pouvoir d achat effectif du consommateur» devient négatif, la confiance des ménages s effondre En 2003, alors que l indicateur de confiance des ménages chutait fortement, l INSEE continuait d annoncer une amélioration du niveau de vie des Français de 1,2 %. Un chiffre aux antipodes de l indicateur E.Leclerc-BIPE, qui, de son côté, enregistrait une baisse du pouvoir d achat effectif du consommateur de 1,1 %. 5 Solde d opinion % Indice de confiance du consommateur T1 2000T2 2000T3 2000T4 2001T1 2001T2 2001T3 2001T4 2002T1 2002T2 2002T3 2002T4 2003T1 2003T2 2003T3 2003T4 Source : INSEE Indices annuels du pouvoir d achat effectif du consommateur en croissance annuelle INSEE : Pouvoir d achat des ménages 0% 1,5% 2,8% 2,8% 3,1% 3,3% 2,0% 1,2% INSEE : Pouvoir d achat par unité de consommation -1,1% 0,6% 1,8% 1,9% 2,2% 2,3% 1,1% 0,4% E.Leclerc-BIPE : Pouvoir d achat effectif du consommateur -1,7% 0,9% 2,1% 2,6% 2,9% 2,5% 1,3% -1,1% Source : BIPE - estimations BIPE pour l'année 2003 INSEE prévisions INSEE de décembre 2003 pour l année

5 Les classes moyennes sont les plus exposées aux fluctuations du pouvoir d achat effectif De 1990 à 2002, on observe des différences importantes dans l évolution du pouvoir d achat selon les classes sociales. Ainsi, sur les 12 dernières années, les classes moyennes les «moins aisées» (tranche % du tableau ci-dessous) ont observé une hausse quasi nulle de leur pouvoir d achat effectif (0,3 % par an seulement en moyenne). Les classes moyennes «les plus aisées», restent à un niveau faible (0,7 % par an en moyenne sur la période) suite à une hausse relativement faible de leurs revenus combinée à une augmentation de la part de leurs dépenses contraintes dans leur revenu total. Les 30 % les moins riches et les 10 % les plus riches sont celles qui ont observé la «meilleure» hausse de leur pouvoir d achat effectif (de l ordre de 1 % par an). Indices de pouvoir d achat par classes de revenu : comparaison indices INSEE et indicateur E.Leclerc-BIPE de 1990 à 2002 Classes de revenu Taux de croissance annuel moyen Indice INSEE Pouvoir d achat des ménages Indice E.Leclerc-BIPE Pouvoir d achat effectif du consommateur Indice global 0-30% les moins riches 30-50% suivants 50-90% suivants % les plus riches 1,9% 2,2% 1,6% 1,8% 1,8% 1,0% 1,1% 0,3% 0,7% 1,0% Ce sont aussi les classes moyennes qui ont le plus souffert du ralentissement économique de l an dernier. Leur pouvoir d achat effectif aura baissé de 1,1 % en 2003, comparé à une baisse de 0,8 % pour les ménages les moins riches et à une augmentation de l ordre de 1,2 % si l on se base sur la méthodologie de l INSEE. Indices de pouvoir d achat par classes de revenu : comparaison indices INSEE et indicateur E.Leclerc-BIPE entre 2002 et 2003 Classes de revenu Taux de croissance annuel moyen Indice INSEE Pouvoir d achat des ménages (e) Indice E.Leclerc-BIPE Pouvoir d achat effectif du consommateur (e) Indice global 0-30% les moins riches 30-50% suivants 50-90% suivants 1,2% 1,5% 1,3% 1,2% -1,1% -0,8% -0,8% -1,1% % les plus riches 0,6% -1,7% Source : BIPE - estimations BIPE pour l'année 2003 INSEE prévisions INSEE de décembre 2003 pour l année

6 Le «pouvoir d achat effectif du consommateur» : une définition E.Leclerc-BIPE plus proche de la réalité économique des Français Du revenu disponible brut de l INSEE Le revenu disponible brut de l INSEE est défini comme la somme de tous les revenus d activité et des revenus du patrimoine (intérêts sur les comptes, rendements d actions et d autres placements), ainsi que des transferts aux ménages (notamment, les allocations de chômage et autres transferts sociaux), moins les impôts et autres prélèvements sociaux. C est à partir de cette définition du revenu des ménages que l INSEE définit le pouvoir d achat des ménages, puis l indicateur du niveau de vie qui tient compte des économies d échelle permettant à un ménage de partager les frais associés au loyer, aux équipements domestiques, à la voiture personnelle, etc. Au revenu libéré E.Leclerc-BIPE E.Leclerc a souhaité mieux comprendre et traduire le sentiment qu ont les Français de l évolution de leur situation personnelle, et plus particulièrement de l évolution de leur niveau de vie. Pour ce faire, il a demandé au BIPE de retirer du revenu disponible brut défini par l INSEE les dépenses «contraintes». Ces dernières représentent les dépenses contre lesquelles on ne peut rien ou presque rien en période de mauvaise conjoncture, puisqu elles doivent de toutes façons être payées. Elles sont généralement contractualisées, et l arbitrage qu en fera le consommateur a un coût : résiliation du contrat, recherche d un nouveau logement, etc. On définit ainsi un indicateur de revenu «libéré», égal à l ensemble des revenus sur lesquels le consommateur peut effectivement arbitrer ses dépenses. Les charges contraintes sont définies comme la somme des loyers et des autres charges liées au logement, plus les charges d assurance, et les frais de transports collectifs. Lorsque la conjoncture s améliore, ces dépenses n augmentent pas nécessairement proportionnellement au revenu, ce qui accroît d autant le niveau de vie. En revanche, quand la situation économique se détériore ou que le revenu du ménage diminue, le sentiment de perte de revenu est aggravé dans la mesure où ces dépenses «fixes», contraintes, doivent toujours être payées, du moins à court terme. 6

7 Le revenu libéré : la base de calcul du «pouvoir d achat effectif du consommateur» À partir du revenu libéré déflaté par l indice de prix correspondant, on définit un indicateur de pouvoir d achat «libéré» et un niveau de vie libéré qui représente l indicateur de pouvoir d achat effectif du consommateur. Cet indicateur tient compte de l évolution du nombre et de la structure des ménages. Pouvoir d achat libéré des ménages = Revenu «!libéré!» des ménages Prix de la consommation «!libérée!» des ménages Niveau de vie libéré = Pouvoir d achat libéré des ménages Unités de consommation = «!pouvoir d achat d effectif du consommateur!» Le revenu libéré : mode de calcul Constitution des ressources en 2002 (en milliards d euros) Source : BIPE, d après INSEE Revenu Disponible Brut Activité 827 Patrimoine net Transferts nets Impôts % 12% - 26% 17% Charges contraintes Charges de logement 45 Loyers 141 Assurances Transport collectif 5 6% 18% = 1,5% 0,5% Revenu libéré % Source : BIPE, d après INSEE 7

8 La campagne d information grand public : dispositif et visuels (disponibles sur demande) La prise de position du mouvement E.Leclerc sera appuyée par : spots radio du 11 au 17 février - 40 insertions presse (PQN et PQR) entre le 11 et le 13 février panneaux d affichage du 9 au 22 février - une présence Internet du 9 au 22 février 8

9 ANNEXES 9

10 Rappel sur les indices de l INSEE : pouvoir d achat et niveau de vie L indicateur du pouvoir d achat des ménages L indicateur de pouvoir d achat des ménages qui est calculé par l INSEE et généralement repris par les experts et les décideurs comme indicateur de l évolution des revenus réels des Français, repose sur une mesure du revenu total des ménages appelée revenu disponible brut des ménages. Ce revenu disponible brut est ensuite divisé par l indice des prix à la consommation pour éliminer l effet des hausses de prix, qui amputent bien évidemment le pouvoir d achat. Cette approche du pouvoir d achat des ménages présente toutefois trois limites : - elle ne prend pas en compte le caractère contraint ou non contraint de la consommation des ménages ; - elle masque les différences entre consommateurs qui n ont pas tous le même profil de dépenses ; - elle élude l aspect important de l âge des consommateurs et de la structure des ménages. L indicateur de niveau de vie Pour tenir compte de l âge des consommateurs et de la structure des ménages, l INSEE a développé un indicateur de niveau de vie construit en divisant le pouvoir d achat des ménages par le nombre d unités de consommation. Cet indicateur tient compte de la structure des ménages et donc des possibilités d économies d échelle rendues possibles par le fait que plusieurs personnes vivent dans le même logement, se partagent une voiture, des équipements du foyer, etc. Pouvoir d achat des ménages = Revenu Disponible Brut des ménages Prix de la consommation des ménages Niveau de vie = Pouvoir d achat des ménages Unités de consommation Source : BIPE, d après INSEE 10

11 Glossaire Classes sociales : catégories de consommateurs déterminées selon leur niveau de revenu. Dépenses contraintes : ce sont les dépenses que le consommateur doit effectuer, quel que soit son revenu et leurs prix. Ces dépenses ont donc une élasticité prix et revenu nulle ou proche de zéro. Elles regroupent les dépenses liées au logement (loyers et charges), les dépenses d assurances obligatoires et les frais de transports collectifs. Source : Comptes Nationaux, INSEE, calculs E.Leclerc-BIPE. Indice de prix à la consommation (IPC) : l'ipc est l'instrument de mesure de l'inflation. Il permet d'estimer, entre deux périodes données, la variation moyenne des prix des produits consommés par les ménages. C'est une mesure synthétique de l'évolution des prix des produits, à qualité constante. L'IPC couvre l'ensemble des biens et services consommés sur le territoire national (y compris les DOM) par les ménages résidents et non résidents (comme les touristes). Niveau de vie : revenu disponible brut par unité de consommation, déflaté par les prix à la consommation. Pouvoir d achat effectif du consommateur : évolution du revenu libéré des postes contraints par unité de consommation en tenant compte de l inflation (hors prix des dépenses contraintes). Source : E.Leclerc-BIPE. Revenu Disponible Brut (RDB) : s obtient à partir du revenu déclaré au fisc en ajoutant les prestations sociales non contributives et en excluant les impôts directs. Le RDB inclut les revenus du patrimoine et prend en compte les loyers fictifs imputés aux propriétaires. Source : Comptes Nationaux, INSEE. Unité de consommation : l échelle d unité de consommation attribue 1 unité de consommation au premier adulte du ménage, 0,5 unité de consommation aux adultes suivants de 14 ans ou plus et 0,3 unité de consommation aux enfants. C est la définition OCDE de l unité de consommation, reprise également par l INSEE. L unité de consommation permet de tenir compte de la taille des ménages et des effets de réduction d échelle liés aux individus du ménage. Source : enquêtes Budget des Familles 1989, 1995, 2000, INSEE. 11

12 Le BIPE Depuis 40 ans, le BIPE aide les décideurs à comprendre et anticiper les évolutions de leur environnement et les conseille sur les opportunités à saisir et les risques à maîtriser. Société de conseil unique en son genre, le BIPE s appuie sur la prévision économique et la prospective appliquée. Cette capacité d analyse repose sur la spécialisation des équipes de consultants du BIPE dans les secteurs clés de l économie et le suivi permanent des grandes mutations économiques, technologiques, sociales et réglementaires. Le BIPE intervient dans : - l aide à la décision et le conseil en orientation d activité : nouveaux produits, nouveaux services, nouveaux marchés, positionnement prix, stratégie marketing ; - la prévision économique et la prospective sectorielle ; - le diagnostique stratégique d environnements concurrentiels ; - l aide à l élaboration, le pilotage et l évaluation de politiques publiques ; le conseil en matière de régulation économique, tant du point de vue des entreprises que des pouvoirs publics ; le développement économique des territoires. En apportant un éclairage prospectif sur leur environnement, le BIPE aide les dirigeants à : - anticiper les ruptures et s y préparer ; - renforcer leur positionnement concurrentiel ; - asseoir leur budget sur des hypothèses économiques réalistes ; - préparer leur stratégie marketing ; - appuyer la définition de projets stratégiques (investissements, emploi/formation, etc.) ; - comprendre l organisation et l évolution des entreprises au sein des filières/grappes ; - mesurer les conséquences des changements réglementaires ou fiscaux sur l entreprise ou les secteurs (appui au débat des professions avec les pouvoirs publics). Les consultants du BIPE fondent leurs prestations sur des méthodes de diagnostic et de prospective solides et reconnues. Parmi les méthodes et démarches du BIPE, on peut noter : - la modélisation économique ; - la simulation microéconomique ; - la prospective appliquée - le marketing stratégique grâce à des outils propriétaires (MAGE TM, outil d aide au marketing générationnel ; la «Ménagerie») - l animation de groupes d experts ; Le BIPE en quelques données : - Société de conseil indépendante - Date de création : consultants d origines variées (économistes, ingénieurs, sociologues, démographes, etc.) - Gestion d un fonds documentaire de prospective avec Futuribles International - Certification OPQCM 12

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