La traduction financiäre Å la croisçe des chemins Michel Rochard, article pour la revue Traduire, né204 (fçvrier 2005)

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1 La traduction financiäre Å la croisçe des chemins Michel Rochard, article pour la revue Traduire, né204 (fçvrier 2005) La traduction financiäre est un domaine mal connu, un petit monde Å part! Est-il homogäne pour autant, son avenir est-il uniformçment radieux? Rien n est moins sñr! En effet, c est un domaine qui recouvre de multiples segments et dans lequel les intervenants doivent sans cesse s adapter Å des tendances et des logiques träs diffçrentes. Nous allons d abord tenter de donner une idçe gçnçrale de la diversitç de ce que l on appelle la traduction financiäre, avant de dçgager les grandes tendances de ce domaine pour aider les traducteurs Å s y prçparer. Une discipline plurielle Ö Traduction financiäre Ü est en fait une appellation fourre-tout qui va de l Çconomie politique au financement du dçveloppement en passant par la bourse, les assurances, la comptabilitç! Essayons d y voir plus clair! Macrofinance et microfinance C est la premiåre grande distinction que l on peut faire au sein de notre domaine. Elle est importante et pourtant mal comprise. Mal comprise parce qu on a souvent l impression qu un champ de connaissance, comme l Çconomie, est un tout, un peu comme si le fait d avoir ÇtudiÇ l Çconomie politique permettait de rçussir É coup sñr ses placements en bourse. Importante, cette distinction l est certainement parce qu elle renvoie É deux dçmarches, deux logiques diffçrentes. En macrofinance, on se place en effet du point de vue des pouvoirs publics, dont le souci n est plus tant de rçglementer de faöon pointilleuse l activitç des entreprises et des marchçs, que de l encadrer, de l orienter, de la moraliser, de ne pas la laisser totalement se dçconnecter du reste de la sociçtç et de savoir l analyser et la mesurer. VoilÉ donc dçjé de multiples portes qui s ouvrent : Çconomie politique nationale et internationale, politique monçtaire et cambiaire, politique budgçtaire, emploi, retraites, commerce, investissement et dçveloppement, statistique et comptabilitç nationale, rçglementation comptable et financiåre, contrüle des banques et des assurances, organisation du pouvoir dans l entreprise (gouvernement d entreprise), fiscalitç et financement de l átat, corruption, blanchiment de capitaux, droit de la concurrence, droit de la consommation, etc. Chacun de ces sous-domaines a sa logique et son histoire propres. La traduction de textes de ces sousdomaines se fait gçnçralement dans des ministåres, des banques centrales, des organisations internationales ou rçgionales en interne ou en faisant appel É des sous-traitants (gçnçralement des traducteurs

2 indçpendants ou des entreprises de traduction assurant elles-mámes les travaux). En microfinance, en revanche, on se place du point de vue des entreprises et des marchçs. Ce sont alors les considçrations d efficacitç et de rçsultats qui dominent la logique des textes Å traduire. Pour autant, la diversitç n en est pas moins grande : Çtats financiers et rapports annuels de sociçtçs cotçes, rapports d audit, rapports sur le dçveloppement durable ou sur les relations sociales au sein des entreprises, communication interne et externe des sociçtçs, analyses boursiäres du point de vue des Çmetteurs ou au contraire des investisseurs, rapports de fonds communs de placement ou de SICAV, articles de la presse spçcialisçe, montage d opçrations de fusion ou d acquisition ou encore d introductions en bourse, prçparation d Çmissions obligataires, couverture des risques, etc. Dans ce domaine, les entreprises concernçes font appel Å leurs traducteurs Ö maison Ü ou Å des traducteurs indçpendants, voire des agences ou entreprises de traduction pour assurer la transposition des textes, soit de l anglais (ou plus rarement d une autre langue) vers le franàais, soit vers l anglais pour des impçratifs de communication. Bref, dans un cas comme dans l autre, la traduction financiäre recouvre des rçalitçs des plus diverses que l on peut ramener Å ces deux grands domaines. Est-ce Å dire que ces deux grands domaines sont indçpendants? Ce serait d autant plus plausible qu un examen de la Ö sociologie Ü des traducteurs financiers met en Çvidence des disparitçs sensibles de parcours entre ces deux branches. Du câtç des institutions officielles, on tend souvent Å recruter en interne des traducteurs diplâmçs, quitte Å leur donner une formation spçcialisçe. Du câtç du marchç, on aime faire appel Å des traducteurs indçpendants, voire Å de petites entreprises de traduction, en privilçgiant le recours Å des personnes ayant un parcours professionnel atypique (Å savoir qui sont venus Å la profession de traducteur apräs des carriäres de banquier, d assureur, de financier ou encore de comptable). Pourtant, une telle distinction entre les diffçrentes stratçgies de recrutement de traducteurs en interne ou en externe commence Å ne plus correspondre Å la rçalitç actuelle. En effet, les institutions officielles font aussi appel Å des traducteurs indçpendants et privilçgient elles aussi Å cette occasion le parcours professionnel plutât que les diplâmes, tandis que les institutions financiäres privçes organisent souvent le traitement de la traduction autour d un ou deux traducteurs indçpendants, de prçfçrence diplâmçs, gçnçralement salariçs, dont une grande partie du travail consiste Å organiser la sous-traitance Å la maniäre de chefs de projet. Des thämes nouveaux apparaissent

3 En outre, il existe une troisiåme catçgorie d intervenants, se situant É michemin entre les deux prçcçdentes, É savoir les organismes professionnels nationaux et internationaux. Les entitçs de ce segment sont rarement dotçes d un service interne de traduction et elles font souvent appel É des entreprises de traduction capables de traiter, sans recours É la soustraitance pour des considçrations d efficacitç et de confidentialitç, des volumes assez importants dans des dçlais assez courts. Ces intervenants sont certes reprçsentatifs de logiques de marchç, mais ils doivent les concilier avec les prescriptions des pouvoirs publics parce qu ils sont investis par dçlçgation d une mission de rçglementation professionnelle. Les associations de banques, d entreprises d assurance, de sociçtçs financiåres, etc. font partie de cette troisiåme catçgorie. On peut y ajouter, entre autres, par extension, les services de contrüle interne ou de dçontologie des banques, sociçtçs d assurance, entreprises d investissement, qui cherchent eux aussi É concilier moralisation et impçratifs commerciaux. L existence de cette troisiåme catçgorie d intermçdiaires a une consçquence de taille sur les compçtences que l on peut attendre d un traducteur dans le secteur financier. En effet, on voit bien, É travers ces trois catçgories d intervenants, que les logiques É l œuvre dans les textes ne sont pas Çtanches. Les instances officielles sont plus attentives É la logique du marchç lorsqu elles dçfinissent leur rçglementation ; É l inverse, les institutions financiåres doivent toujours, dans leur communication, faire la preuve qu ils respectent les normes ÇdictÇes par les pouvoirs publics. Enfin, on l a vu, les associations professionnelles, parce qu elles sont initialement chargçes de dçfendre les intçrâts de leur mçtier, s efforcent de prouver qu elles ont le souci de doter leurs adhçrents d instruments (normes, principes, recommandations, modåles de code, etc.) respectant les prescriptions officielles. Il s ensuit qu un traducteur financier moderne ne saurait âtre ignorant aussi bien des logiques de marchç que des logiques des pouvoirs publics. Un exemple simple suffit É le dçmontrer. Un fonds commun de placement investissant dans des instruments financiers libellçs en monnaie ÇtrangÅre va devoir justifier ses choix stratçgiques ou tactiques vis-é-vis des investisseurs en analysant la situation sur le marchç des changes. Ce faisant, ses analystes aborderont nçcessairement des aspects touchant É la politique monçtaire (voire budgçtaire) et il leur faudra comprendre la logique prçsidant É l action monçtaire ou budgçtaire des pouvoirs publics pour Çtayer ses choix. ä l inverse, un traducteur travaillant auprås d instances financiåres officielles ou pour leur compte, va devoir analyser les logiques É l œuvre sur les marchçs pour mieux comprendre en quoi les dçcisions des pouvoirs publics peuvent influencer l Çvolution des marchçs et âtre ou non efficaces. Enfin, nous l avons vu, les instances professionnelles se situent au carrefour des deux logiques prçcçdentes et il n est pas possible au traducteur intervenant dans ce domaine d ignorer l une ou l autre de ces logiques. Le traducteur doit en outre se tenir au

4 courant de thämes nouveaux, comme la question de la transparence posçe de faàon concräte par des affaires comme Enron, Parmalat, Vivendi et d autres. Tout est dans tout et la finance est partout! Il y a vingt-cinq ans, en dehors des pages entreprises du Figaro, l ÇvÇnement attendu dans la presse gçnçraliste en matiäre Çconomique rçsidait dans la parution des pages spçcialisçes dans Le Monde datç du mardi. Aujourd hui, toute la presse gçnçraliste nationale, voire rçgionale, comporte une ou plusieurs pages Çconomiques et financiäres quotidiennes. Les problämes Çconomiques et financiers sont omniprçsents. Le toussotement d un gourou de Wall Street peut avoir des rçpercussions Å l autre bout du monde. ä peine une entreprise pharmaceutique annonce-t-elle la dçcouverte d une nouvelle molçcule que courent dçjå les rumeurs de fusion avec un autre groupe! Et que dire des consçquences boursiäres de l attaque en rägle mençe par le pouvoir russe contre certains oligarques. Face Å cela, le traducteur Ö financier Ü ne peut se contenter de sa science Çconomique et financiäre. Il doit s intçresser Å tout, átre Å l affñt de l actualitç, lire Å fond au moins un quotidien gçnçraliste, en plus de la presse spçcialisçe. Il doit connaãtre un minimum de terminologie et de phrasçologie scientifique ou technique et átre Å máme d entrer dans la logique de ces textes. Et cela vaut aussi bien pour la macrofinance que pour la microfinance. En microfinance, si une introduction en bourse ou une fusion se prçpare dans le secteur pharmaceutique, il faudra se documenter sur les grandes tendances de la recherche mçdicale. Et savez vous que la Caliphruria subedentata, fleur de la famille des jonquilles, contient un alcaloåde qui ralentit la maladie d Alzheimer? Or, comme elle peut átre rentable (et oui, le mot est lçchç), la culture de cette plante pourrait permettre de se substituer Å celle de la cocaåne dans des pays comme le PÇrou ou la Bolivie oé elle pousse naturellement. CâtÇ macrofinance, on peut rencontrer la traduction d Çtudes de cas sur l imposition internationale des prestations de journalistes, de mannequins, d entraãneurs sportifs, de commentateurs politiques, d amuseurs mondains, etc. Chaque petite Çtude de cas fait rçfçrence Å des mondes diffçrents et la crçdibilitç de la traduction nçcessite alors l utilisation du terme juste dans chacun de ces contextes, en plus des connaissances de la fiscalitç internationale.

5 Bref, s il y a une tendance de la traduction en gçnçral É devenir pluridisciplinaire, la traduction financiåre en est la parfaite illustration. Un marchç en mutation Mais la traduction financiäre ne se rçsume pas Å sa pluridisciplinaritç. Les marchçs de capitaux sont le lieu de rencontre des intçráts respectifs des diffçrents agents Çconomiques (particuliers, entreprises, institutions financiäres et ètat) et de cette confrontation d intçráts naãt un besoin permanent de communication et de rapiditç des flux d information. C est lå qu intervient le traducteur. Son travail doit satisfaire Å ces besoins et le meilleur moyen pour ce faire est de toujours veiller Å la fluiditç de la communication. D oé des impçratifs de lisibilitç, de rigueur dans la transposition du message, bref de qualitç. Une position a priori favorable Dans ces conditions, on est en droit de penser que la prçsence d intçrâts financiers puissants et l existence d un besoin de communication primordial placent les traducteurs financiers dans une position Çconomiquement favorable. C est vrai en grande partie et cela a certainement ÇtÇ le cas durant toute la pçriode d essor du marchç financier en Europe et en particulier en France. Dans notre pays, un certain nombre de traducteurs anglophones issus des milieux bancaires et financiers ont pu asseoir leur rçputation au moment mâme oã les grandes entreprises franöaises dçcouvraient littçralement la nçcessitç de communiquer sur le plan international et en particulier en anglais. Cette situation a ÇtÇ Çminemment favorable aux traducteurs, anglophones d abord, mais aussi francophones, car l internationalisation des groupes industriels et financiers a aussi suscitç un gonflement du volume de traductions vers le franöais É des fins de communication financiåre. C est durant cette pçriode que les prix de traduction d anglais en franöais dans le domaine financier se sont progressivement dçtachçs des prix du reste du marchç, voire nettement et parfois trås sensiblement, alors que les conditions de rçmunçration des traducteurs des domaines scientifiques et techniques (sauf spçcialisation trås pointue) tendaient É stagner ou É baisser. En effet, dans les domaines scientifiques et techniques, cela fait longtemps que des intermçdiaires plus ou moins soucieux de qualitç (ceux que l on appelle les å agences ç, mâme s il ne faut pas les mettre toutes dans le mâme sac), font pression sur les prix des prestations des traducteurs. Ce creusement des Çcarts s est accentuç avec la bulle boursiåre. La hausse des cours du marchç a fortement enrichi les institutions financiåres, de sorte que les spçcialistes se trouvant É l interface entre les institutions et la bourse proprement dite les analystes, les courtiers et les opçrateurs ont vu leurs rçmunçrations s envoler. Comme ces

6 institutions employaient assez souvent quelques traducteurs en interne, ces derniers ont profitç du mouvement de hausse des salaires et comme ces traducteurs devaient sous-traiter une partie des textes aupräs de traducteurs indçpendants, ces derniers ont eu la possibilitç d augmenter leurs tarifs. De plus, la spirale ascendante des rçmunçrations a entraãnç une assez grande mobilitç des analystes et autres opçrateurs, mais aussi des traducteurs financiers salariçs, tant anglophones que francophones, tout le monde pouvant espçrer un sort encore meilleur dans des institutions concurrentes. Bref, c Çtait l çge d or de la traduction financiäre! Cet çge d or est-il rçvolu? Sans doute pas, mais il est incontestable qu un certain nombre de paramätres ont changç ces derniäres annçes. Le retournement du marchä et ses effets L Çclatement de la bulle boursiåre a eu des effets non nçgligeables sur ce segment du marchç de la traduction. D abord, les institutions ont perdu beaucoup d argent dans des opçrations plus ou moins hasardeuses, ou elles ne sont plus parvenues É assurer leurs anciens rythmes de croissance de leurs bçnçfices. Bref, elles ont cherchç É comprimer leurs coñts, É tirer un meilleur parti de leurs agents intervenant dans la communication financiåre et donc leurs traducteurs internes quand elles en avaient, ou tout simplement É rçduire leurs effectifs dans ce domaine. En outre, elles ont rçduit le volume de leur communication. En effet, lorsqu il s agissait de vanter leurs rçsultats boursiers, il n y avait aucun frein É la communication financiåre : lettres d information des actionnaires, sites web, rapports luxueux, etc. Mais quand, pendant plus de deux ans, dans une sphåre financiåre É la recherche de repåres, les rçsultats et l actualitç ne sont guåre encourageants, la communication se fait plus concise, plus discråte. Qui plus est, le mouvement de concentration des institutions financiåres a rçduit considçrablement les besoins de communication, le nombre d interlocuteurs des traducteurs ayant parfois radicalement diminuç. On voit aussi les services de traduction se rçduire comme peau de chagrin, les travaux âtre externalisçs É d anciens traducteurs maison, contraints et forcçs de quitter leur emploi et devant opter pour la prçcaritç. ä cela s ajoute le caractåre ÇphÇmÅre de l information qui est un prçtexte É demander des traductions å vite fait ç et É faire pression sur les prix. En bout de chaène, le traducteur peut subir de plein fouet les effets de ce repli gçnçral. Bref, comme dans l ensemble de la profession, les temps sont devenus trås durs, notamment pour les nouveaux venus sur le marchç qui ne disposent pas de la rçputation des traducteurs indçpendants connus de longue date ou des rares entreprises de traduction Çtablies dans ce secteur (en dehors des purs intermçdiaires qui sous-traitent la grande majoritç de leurs travaux).

7 On se heurte donc Å une stratçgie de rçduction des coñts qui peut se manifester par des demandes soudaines de tests (gçnçralement gratuits), des pressions sur les prix ou les dçlais (raccourcissement du dçlai sans majoration de tarif ou allongement des dçlais pour obtenir des tarifs infçrieurs), des recours Å des intermçdiaires chargçs de faire baisser les prix, etc. Bref, la traduction financiäre n Çchappe pas aux tendances lourdes de la profession. Quelques raisons de rester optimistes Pour autant, on ne peut pas dire que l avenir soit dçfinitivement sombre. Il existe en effet des raisons de ne pas se dçcourager et de battre retraite en ordre dispersç face aux pressions sur les prix et les dçlais. D abord, il y a des effets de prix acquis. Les institutions financiåres vont certes utiliser des intermçdiaires pour gçrer leurs traductions, mais elles ne vont pas nçcessairement bçnçficier d une baisse du coñt global de traduction. Et pour autant, elles ne bçnçficieront pas nçcessairement de la qualitç correspondante. Certes, il faudra attendre que le marchç se dçcante, mais il y a quelque chance que le rapport qualitç-coñt se rççquilibre. Par ailleurs, il est plus facile de rçsister aux pressions de clients qui n ont jusqu ici jamais rechignç É payer des prix relativement ÇlevÇs. Ensuite, l activitç boursiåre Çtant Çminemment cyclique, le moindre redçmarrage du secteur a tendance É susciter une vague d euphorie et de communication financiåre. En outre, le mçtier d intermçdiaire financier consiste pour une bonne part É susciter la confiance des investisseurs dans le marchç, ce qui nçcessite un affichage toujours optimiste des Çvolutions ; dans ces conditions, entretenir un climat dçprimç dans la communication et auprås des prestataires de services n est pas nçcessairement de bonne politique. Enfin, la baisse du volume de la communication financiåre se heurte É un plancher quasiment incompressible en raison des obligations ÇdictÇes par les pouvoirs publics ou les autoritçs de marchç au nom de la transparence. Mais aussi, les traducteurs financiers ont pu tirer les leöons de l expçrience des autres segments de la traduction. Ils ont depuis longtemps formç des rçseaux qui leur permettent de s informer mutuellement et de se serrer les coudes, malgrç une concurrence inçvitable entre eux. Leur formation les amåne souvent É avoir une attitude offensive sur le plan commercial. Or, c est lé un des leviers pour rçsister aux pressions sur les prix et les dçlais, comme en tçmoigne l action d un certain nombre de collågues å financiers ç de la SFT dans ce domaine É travers leurs brochures, leurs actions de formation, leurs interventions sur les listes de discussion entre traducteurs ou dans les formations et colloques universitaires. Bref, les traducteurs de ce secteur bçnçficient sans doute de conditions spçcifiques leur permettant de dire å non ç aux baisses de prix et c est une bonne chose pour l ensemble de la profession. En effet, tout èlot de

8 rçsistance Å la paupçrisation du mçtier doit átre considçrç comme un encouragement Å tous les traducteurs pour qu ils adoptent une dçmarche commerciale ferme, voire plus offensive. La traduction financiäre est donc bel et bien Å la croisçe des chemins, de tous les chemins de la traduction.

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