L INDUSTRIE DU MÉDICAMENT EST UNE CHANCE NE LA GÂCHONS PAS

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1 L INDUSTRIE DU MÉDICAMENT EST UNE CHANCE NE LA GÂCHONS PAS Avec l industrie du médicament, la France dispose d un secteur technologique de sortie de crise, réservoir de croissance et d emplois qualifiés. Ce secteur stratégique est aujourd hui en danger.

2 UNE INDUSTRIE STRAT CONTRIBUTION GLOBALE DU MÉDICAMENT EN FRANCE 3 e investisseur de recherche privée en France 871essais cliniques en France, dont 69 % conduits par des industriels Effectifs de R&D dont chercheurs ,4 Md d investissement annuels en recherche et développement (R&D) ,5 % du chiffre d affaires investis dans la recherche et le développement (R&D) ,3 % d effectifs de R&D en 10 ans ( ) 2 Leem - Juin emplois directs 1 emploi dans le secteur du médicament induit 4,5 emplois dans le reste de l économie emplois directs et indirects Effectifs n Plus de n De à n De à n De à n Moins de régions d implantation forte Île-de-France : 28,3 % Rhône-Alpes : 13,7 % Centre : 9,0 % Haute-Normandie : 7,8 % Aquitaine : 5,0 % Paca : 4,7 % Midi-Pyrénées : 4,1 % Alsace : 4,0 % Nord Pas-de-Calais : 3,9 % 4 176

3 ÉGIQUE POUR LE PAYS e secteur exportateur français 26,3 Md d exportations 5 e excédent commercial de la France (+ 8,8 Md en 2013) Md de boîtes de médicaments produites par an de 200 sites industriels dans toute la France 1,1 Md d économies nouvelles prélevées chaque année sur le médicament pour l Assurance maladie 56 % des économies de santé pour 15 % seulement de la dépense Juin Leem 3

4 POURQUOI IL EST URGENT D AGIR L industrie du médicament fait partie de ces trop rares secteurs économiques capables de participer activement au redressement économique, social et industriel de la France. Comme toutes les grandes conquêtes industrielles, celle du médicament s inscrit dans une histoire française faite de défis, d inventivité et de persévérance. Mais aujourd hui, les signes de dégradation s accumulent. Régulation, accès au marché, fiscalité, recherche... tous les indicateurs sont désormais dans le rouge, faute de cohérence entre une stratégie industrielle ambitieuse et une politique de maîtrise des dépenses focalisée sur le court-terme. Si l on veut que la France demeure parmi les leaders de l innovation et de la production pharmaceutique dans le monde, il est urgent d agir. Les preuves du décrochage sont là. Démonstration en dix points. I. UNE RÉGULATION ÉCONOMIQUE TOUJOURS PLUS LOURDE Les économies demandées sur le médicament ont franchi un cap depuis trois ans. Baisses de prix, actions de maîtrise médicalisée, fiscalité entraînent une récession durable, une perte de rentabilité et une contraction de chiffre d affaires. CROISSANCE DES PRÉLÈVEMENTS SPÉCIFIQUES SUR LE MÉDICAMENT (EN MILLIONS D EUROS) 9, ,1 7,8 7,1 6,7 6,8 5, ,3 4,4 4,8 4,3 3,9 3,3 3,3 3,6 3,1 3, ,6 4,7 3,2 3,7 3,9 3, ,4 2,4 1,5 1, ,3 1,7 1, Prélèvements en valeur (échelle de gauche) Part des prélèvements (ville et hôpital) dans le CA taxable (échelle de droite) Taux de croissance du CA taxable (ville remboursable et hôpital) (échelle de droite) II. UN ACCÈS AU MARCHÉ PARMI LES MOINS RAPIDES D EUROPE La longueur des délais de mise à disposition des médicaments est préjudiciable aux patients comme aux entreprises : près de 300 jours en France, pour un délai requis par la réglementation européenne de 180 jours. DÉLAIS MOYENS D ACCÈS AU MARCHÉ (PRIX ET REMBOURSEMENT EN NOMBRE DE JOURS) Allemagne Danemark 4 Leem - Juin Royaume-Uni Autriche 140 Suisse 160 Norvège 186 Irlande Pays-Bas Grèce 248 Finlande 272 Suède 283 Slovénie 316 France Italie Espagne

5 III. DES PRIX DANS LA MOYENNE BASSE EUROPÉENNE Les contraintes budgétaires imposées aux entreprises du médicament se basent sur des données totalement obsolètes en termes de consommation de médicaments et de prix : ces deniers sont en ligne voire inférieurs avec les comparateurs européens. COMPARAISON DES INDICES DE PRIX EN EUROPE EN FONCTION DU NIVEAU D ASMR (INDICE DE PAASCHE) ACTUALISATION 2012 France Allemagne Italie Espagne Royaume-Uni ASMR I, II et III ASMR IV ASMR V Tous niveaux IV. DES DÉPENSES PAR HABITANT EN DIMINUTION La France est le huitième pays en termes de consommation de médicaments sur l ensemble des pays de l OCDE, en dépenses par habitant, derrière l Allemagne et la Belgique, notamment. Sa consommation d anticholestérolémiants et d antidépresseurs se situe dans la moyenne ; elle est légèrement supérieure pour les antidiabétiques et très nettement inférieure pour les antihypertenseurs. Etats-Unis Canada Grèce Japon Irlande Allemagne Belgique France Suisse Espagne Italie OCDE 31 Pays-Bas DÉPENSES PHARMACEUTIQUES PAR HABITANT (EN US DOLLARS) V. LA CROISSANCE DE CONSOMMATION LA PLUS FAIBLE D EUROPE Les études récentes montrent la fin de l exception française en matière de consommation de médicaments. Dans son dossier de presse d avril 2014 consacré au médicament, la CNAMTS elle-même indique que «L écart [de consommation] avec les pays européens continue de se réduire sur les classes thérapeutiques les plus courantes. Ainsi, par rapport à 2009, l écart en volumes avec l Espagne se réduit de 3 %, de 11 % avec l Allemagne, de 13 % avec les Pays-Bas et de 9 % avec l Italie». TAUX DE CROISSANCE ANNUEL MOYEN DU NOMBRE D UNITÉS STANDARD (1) PAR HABITANT 2006/2009 5,0 % 4,5 % 4,6 % 4,5 % 4,3 % 4,0 % 3,8 % 3,5 % 3,0 % 2,5 % 2,0 % 1,5 % 1,0 % 2,9 % 2,9 % 0,5 % 0,5 % 0,0 % France Allemagne Italie Pays-Bas Espagne Suisse Royaume-Uni (1) Unité standard : unité commune aux différents dosages et présentations. Juin Leem 5

6 VI. LE PAYS LE MOINS ATTRACTIF D EUROPE EN TERMES DE FISCALITÉ GÉNÉRALE ET SECTORIELLE La France est, au sein de l Europe, le pays le moins attractif pour les entreprises du médicament au regard de la fiscalité, qu elle soit de droit commun ou spécifique. Le taux d imposition global le plus élevé reste systématiquement celui applicable en France, quels que soient les cas de figure et le profil d entreprise retenus ; il s est même alourdi en 2013, sans pour autant être compensé par la mise en place de nouveaux mécanismes d incitation fiscale tels que le crédit d impôt pour la compétitivité et l emploi (CICE). L écart entre la France et plusieurs pays européens se creuse, notamment avec le Royaume-Uni, qui a mis en place une fiscalité incitative pour les revenus provenant de brevets et qui a fait le choix d une baisse générale du taux d imposition sur les sociétés. Société-mère TAUX D IMPOSITION GLOBAL + COTISATIONS SOCIALES + PARTICIPATION SALARIALE France Italie Allemagne Espagne Grande-Bretagne Suisse 50,94 40,74 49,06 48,15 75,47 74,07 69,81 68,52 84,91 83,33 Irlande 24,53 24,07 Entité de production et de distribution France Italie Allemagne Espagne Grande-Bretagne Suisse 43,06 41,67 41,67 41,67 70,83 70,83 70,83 72,22 81,94 80,56 Irlande 18,06 18,06 Entité de distribution France Italie Allemagne Espagne Grande-Bretagne Suisse 37,50 35,37 36,25 35,37 73,75 71,95 73,75 69,51 67,50 65,85 Irlande 17,50 17,07 n 2012* n 2013** Positionnement de la France vis-à-vis des principaux pays européens (indice pour la France) en 2012 et Étude Landwell (réseau international PwC) mise à jour 2013 * Selon les dispositions fiscales applicables à fin juin ** Selon les dispositions fiscales applicables à fin septembre Leem - Juin 2014

7 VII. DES POSITIONS FRANÇAISES FRAGILISÉES DANS LA RECHERCHE CLINIQUE La recherche clinique est un facteur clé de la compétitivité de la recherche biomédicale. Elle contribue à la qualité des soins, à la formation continue des médecins investigateurs et de leurs équipes, et à la notoriété des établissements hospitaliers. Elle est aussi une source de financements et d emplois. Or, en matière de recrutement, le constat est sans appel : la France ne représentait en 2012 que 6,5 % des patients recrutés, derrière les États-Unis, les pays de l Est, l Asie, l Amérique latine mais aussi l Allemagne. Cette érosion de la position française était déjà amorcée en 2010 : elle est confirmée en 2012, comme se confirme le déclin de l Europe en nombre moyen de patients recrutés par centre actif. Au niveau mondial, les «gagnants» sont les États-Unis et l Asie. Au niveau européen, seule l Allemagne reste stable : 9 % des patients recrutés en 2012 contre 8,9 % en NOMBRE MOYEN DE PATIENTS RECRUTÉS PAR CENTRE ACTIF ENTRE 2004 ET Scandinavie Allemagne Espagne France Royaume-Uni Italie VIII. DES INDICATEURS AU ROUGE EN TERMES SCIENTIFIQUE ET INDUSTRIEL Sur 47 AMM déposées à l EMA (European Medicines Agency) en 2011, aucune n est enregistrée pour être produite en France. Sur 25 AMM de génériques déposées à l EMA en 2011, seules 8 peuvent être conditionnées en France. 70 % des sites français sont positionnés sur moins de trois formes galéniques, essentiellement des formes sèches. Les deux tiers des références produites en France sont considérées comme matures (18 ans en moyenne depuis leur AMM), donc à croissance modérée. La valeur ajoutée de la production pharmaceutique en France a chuté de 18 points depuis 2000 (de 40 % à 22 %). Juin Leem 7

8 IX. LA FRANCE, SEUL PAYS EUROPÉEN ENCORE EN RÉCESSION Le chiffre d affaires des médicaments remboursables s installe, année après année, dans une récession franche. Notre pays est le seul des cinq grands marchés européens à avoir encore une décroissance de son marché en La question de la rentabilité financière de l industrie du médicament se pose : la fiscalité spécifique s est alourdie depuis 2012, année où le chiffre d affaires du secteur a commencé à entrer en récession. Autrement dit, alors même que l assiette de taxation se réduit, le rendement de l impôt augmente, signal très négatif pour l attractivité de la France pour les investissements des entreprises pharmaceutiques. ÉVOLUTION DU CHIFFRE D AFFAIRES DANS LES PRINCIPAUX MARCHÉS MONDIAUX (EN %) 6 % 4 % 2 % 0 % 3 % 4 % 6 % 1 % 3 % 2 % 1 % 5 % 0 % 0 % 1 % 2 % 1 % 2 % 1 % 2 % 2 % 2 % 2 % 4 % 6 % 5 % 6 % 8 % 10 % 8 % 12 % États-Unis Japon Allemagne France Italie Royaume-Uni Espagne n 2011 n 2012 n 2013 X. DES EFFECTIFS EN RECUL CONSTANT CES DERNIÈRES ANNÉES L industrie pharmaceutique résiste à la crise mondiale mais l emploi enregistre, pour la cinquième année consécutive, une baisse de ses effectifs directs. Le risque d une aggravation de la situation existe dans les années à venir, notamment et c est un fait nouveau dans les emplois de production. Les investissements productifs dans le médicament, en France, ont d ailleurs baissé de 44 % ces quatre dernières années. ÉVOLUTION DE L EFFECTIF DES LABORATOIRES DÉTENTEURS D AMM ET DES FAÇONNIERS En 2012, les restructurations ont particulièrement affecté l emploi sur les métiers de commercialisation et les familles support. + 3,5 % Recherche & développement 0,7 % Production 3,1 % 1,6 % Administration et autres Commercialisation 8 Leem - Juin 2014

9 ÉCLAIRAGE LE MÉDICAMENT : UN MODÈLE ÉCONOMIQUE ET DE R&D EN PLEINE MUTATION Le chemin de l innovation au malade est long (douze ans en moyenne), complexe et coûteux. La mise au point d une nouvelle molécule représente un investissement d environ 1 milliard d euros. En dix ans, les coûts principaux de développement ont plus que doublé. L amortissement financier de ces travaux ne peut se faire qu au plan mondial, ce qui est renforcé par l arrivée tardive des médicaments sur les marchés et la concurrence précoce des génériques. Le brevet, essentiel au financement de la recherche, protège l innovation pendant vingt ans en moyenne. Cette protection débute dès que la molécule est identifiée. Celle-ci va ensuite subir des séries de tests précliniques et cliniques, qui s étendent sur une dizaine d années. Il lui restera encore à passer l étape d autorisation de mise sur le marché, de l évaluation par la commission de la transparence et de la fixation du prix du médicament lors des négociations avec le Comité Économique des Produits de Santé. Compte tenu de toutes ces étapes, l innovation ne bénéficie d une protection commerciale effective que de dix ans en moyenne. De surcroît, un produit nouveau ne rejoint que progressivement (deux à trois ans) sa population cible thérapeutique, alors qu au terme du brevet ou de la protection des données, l arrivée des génériques est devenue très rapide. L enjeu, pour l industrie pharmaceutique, consiste aujourd hui à devoir amortir des dépenses de recherche de plus en plus importantes sur des médicaments de plus en plus ciblés avec des périodes de protection brevetaires de plus en plus courtes. LE CYCLE DE VIE DU MÉDICAMENT Années 1980 Aujourd hui (retours sur investissement) Entrée plus rapide des génériques + Flux financiers (investissements) 0 10 ans Lancement plus tôt Accroissement du coût de la R&D 20 ans La concurrence accrue des génériques, du fait d une entrée plus rapide et massive sur le marché, bouleverse le modèle économique de l industrie du médicament. Celle-ci doit mettre sur le marché des produits le plus rapidement possible et tenter de réduire ses délais de R&D en investissant plus massivement et en multipliant les partenariats de recherche. Phase de R&D (± 800 millions d euros) Phase de commercialisation Juin Leem 9

10 LE PARCOURS PRÉPARATION DU MÉDICAMENT 8-10 ANS AUTORISATIONS ET 1 Les axes de recherche des entreprises sont décidés en fonction : des avancées de la recherche fondamentale ; des besoins médicaux exprimés ; des stratégies d entreprise. Le dépôt du brevet intervient à ce stade. 2 Sélection des molécules à tester sur l homme : création de molécules, de cellules ; constitution d une base de données statistiques ; faisabilité technique ; test sur des modèles animaux. 3 RECHERCHE ESSAIS PRÉ-CLINIQUES ESSAIS CLINIQUES Ils sont strictement encadrés par la loi. Trois phases : évaluation de la tolérance au médicament sur un nombre limité de volontaires sains ; évaluation de l efficacité du médicament sur les patients ; évaluation du rapport efficacité/tolérance sur une plus large population. 4 AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHÉ (AMM) Une voie européenne Délivrée par l EMA (European Medicines Agency). Une voie nationale Délivrée par l ANSM (Agence Nationale de Sécurité du Médicament). Tests sur l homme Sélection Dépôt du brevet Découvertes de la recherche fondamentale Maladies BESOINS MÉDICAUX Stratégies d entreprise 1 RECHERCHE 2 ESSAIS PRÉ- CLINIQUES 10 Leem - Juin 2014

11 DU MÉDICAMENT MISE EN PRODUCTION 1-3 ANS VIE DU MÉDICAMENT 5 PRIX ET REMBOURSEMENT Le dossier d AMM passe devant la Commision de Transparence de la HAS (Haute Autorité de Santé) et celle-ci donne son avis sur : le SMR (Service Médical Rendu) ; l ASMR (Amélioration du Service Médical Rendu). Puis, fixation du prix par le CEPS et du taux de remboursement par l UNCAM. PRINCEPS PUIS GÉNÉRIQUE Après expiration du brevet, la vie du médicament breveté continue sous sa marque et sous le nom de son générique. PHARMACIES HÔPITAUX 8 FIN DU BREVET DÉBUT DU GÉNÉRIQUE 7 4 Dossier AMM Prix et remboursement ESSAIS CLINIQUES Parallèlement à la réalisation des essais cliniques se déroule une phase de développement industriel. Le résultat des essais cliniques et du développement pharmaceutique et industriel constitue le dossier de demande d AMM. SUIVI Le médicament est sous contrôle pendant toute sa vie et fait l objet de rapports auprès de l ANSM par le biais : de la prise en compte des effets sur les malades ; d un réseau de pharmacovigilance ; d études post-amm réalisées par les entreprises du médicament. Leem par La Netscouade - Mai 2014

12 «La santé et l économie du vivant ouvrent des espaces de plus en plus larges de recherche, d innovation et de développement industriel.» Louis GALLOIS, Pacte pour la compétitivité de l industrie française - novembre 2012 «Il faut réaffirmer le caractère stratégique des industries de santé. Il importe de penser la santé comme une industrie, et non uniquement comme un centre de coûts.» Commission LAUVERGEON, Un principe et sept ambitions pour l innovation - octobre 2013 Informez-vous : Suivez-nous : Linkedin : Leem Twitter Google + : Les Entreprises du Médicament Facebook : le médicament et moi Direction de la communication LE LEEM EN QUELQUES MOTS Organisation professionnelle fédérant les entreprises du médicament, le Leem s inscrit au cœur des grands enjeux de santé. Dans un contexte sans précédent de mutation scientifique et industrielle, il se mobilise, avec ses 270 adhérents et leurs 000 collaborateurs, pour promouvoir l innovation et le progrès au service des patients, et pour renforcer l excellence française en termes de recherche et de production. Promoteur de comportements responsables au sein du système de santé, le Leem contribue, par une démarche de qualité, de sécurité et de transparence, à renforcer la confiance dans le médicament. Leem Les Entreprises du Médicament 88, rue de la Faisanderie Paris Cedex 16 Tél. : 33 (0)

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