Table des matières. Partie I Généralités. Partie II Pathologies. Section I Système cardio-vasculaire XIII
|
|
- Lucile Bédard
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Liste des collaborateurs Un nouveau livre sur la contraception, pourquoi? Remerciements Liste des abréviations V VII VIII XI CHAPITRE 5 Contraception en l'absence de pathologie (B. Raccah-Tebeka, G. Plu-Bureau) 32 Partie I Généralités CHAPITRE 1 Cycle menstruel (S. Christin-Maitre) 3 Les règles (3), La folliculogenèse (3), La puberté (4), L'axe gonadotrope (5), Variations hormonales et tissus cibles (7), Cycle menstruel et contraceptions hormonales (7), Conclusion (8). CHAPITRE 2 Différentes contraceptions disponibles en France (B. Raccah-Tebeka, G. Plu-Bureau) 9 Historique de la contraception (9), Les contraceptions (10), Efficacité des différentes contraceptions (17). CHAPITRE 3 Contraception définitive féminine (G. Pierre) 18 Législation (18), Indications et contre-indications générales (19), Techniques chirurgicales (19), Conclusion (25). CHAPITRE 4 Première consultation pour demande de contraception (B. Raccah-Tebeka, G. Plu-Bureau) 26 Interrogatoire (26), Examen clinique (29), Prescription d'examens complémentaires (29), Choix contraceptifs (30), Prescription et explications sur l'utilisation de la contraception (30), Éducation vis-à-vis des infections sexuellement transmissibles (31), Éducation vis-à-vis de la contraception d'urgence (31), Conclusion (31). Partie II Pathologies Section I Système cardio-vasculaire CHAPITRE 6 Contraception et thrombose veineuse superficielle (A.-C. Menjot-Eneau, G. Plu-Bureau) 38 Définition (38), Épidémiologie (38), Contraception et risque de TVS (39), Quelle contraception en cas de TVS? (39). CHAPITRE 7 Contraception et maladie veineuse thrombo-embolique (G. Plu-Bureau) 41 Définition (41), Épidémiologie (42), Contraception et risque de MVTE (43), Quelle contraception en cas de MVTE? (44). CHAPITRE 8 Contraception et thrombophilies (G. Plu-Bureau, M.-H. Horellou, J. Conard) 47 Définition (47), Épidémiologie des thrombophilies biologiques congénitales (48), Épidémiologie des thrombophilies biologiques acquises : le SAPL (49), Contraception et risque de MVTE en cas de thrombophilies (49), Quelle contraception en cas de thrombophilie biologique? (50), Quelle contraception en cas de thrombophilie clinique familiale? (50). XIII
2 CHAPITRE 9 Contraception et accidents artériels (G. Plu-Bureau) 53 Définition (53). Épidémiologie des accidents artériels (54), Contraception et risque d'accidents artériels (55), Quelle contraception en cas d'accidents artériels? (57). CHAPITRE 10 Contraception et pathologie cardiaque (G. Plu-Bureau) 59 Définition (59), Épidémiologie (59), Contraception et risque d'insuffisance cardiaque (60), Quelle contraception en cas d'insuffisance cardiaque? (60). CHAPITRE 11 Contraception et hypertension artérielle essentielle (B. Raccah-Tebeca) 62 Définition (62), Épidémiologie (62), Contraception et risque d'hta (62), Quelle contraception en cas d'hta essentielle? (63). Section 2 Métabolisme CHAPITRE 12 Contraception et diabète (L. Bricaire-Dubreuil) 68 Définition (68), Épidémiologie (68), Contraception et risque de diabète (69), Quelle contraception en cas de diabète? (71). CHAPITRE 13 Contraception et dyslipidémie (S. Christin-Maitre) 73 Définition (73), Épidémiologie (73), Contraception et risque de dyslipidémie (73), Quelle contraception en cas de dyslipidémie? (74). CHAPITRE 14 Contraception et obésité (A. Bachelot) 77 Définition de l'obésité et des chirurgies de l'obésité (77), Épidémiologie (77), Risque de la contraception hormonale chez la femme obèse (77), Quelle contraception en cas d'obésité? (78). Section 3 Appareil génital CHAPITRE 15 Contraception et syndrome des ovaires polykystiques (Z. Chakhtoura) 82 Définition (82), Épidémiologie (82), Contraception et risque de SOPK (82), Quelle contraception en cas de syndrome des ovaires polykystiques? (83). CHAPITRE 16 Contraception et kystes ovariens fonctionnels (T. Stempak-Droissart, B. Raccah-Tebeka, G. Plu-Bureau) 85 Définition (85), Épidémiologie (85), Physiopathologie (86), Contraception et risque de kystes ovariens fonctionnels (86), Quelle contraception en cas de kystes ovariens fonctionnels? (86). CHAPITRE 17 Contraception et cancer de l'ovaire (Z. Chakhtoura) 88 Définition et diagnostic (88), Épidémiologie (88), Contraception et risque de cancer de l'ovaire (89), Quelle contraception en cas d'antécédent de cancer de l'ovaire? (89). CHAPITRE 18 Contraception et pathologies du col de l'utérus (Z. Chakhtoura) 90 Définition (90), Physiopathologie (90), Épidémiologie (91), Contraception et risque de cancer du col de l'utérus (91), Quelle contraception en cas de cancer du col de l'utérus? (91), Quelle contraception en cas de CIN du col de l'utérus ne nécessitant pas d'hystérectomie? (92). CHAPITRE 19 Contraception et pathologies bénignes de l'utérus (K. Kolanska, N. Chabbert-Buffet) 93 Définition (93), Épidémiologie (93), Contraception et risque de pathologies bénignes utérines (94), Quelle contraception en cas de pathologies bénignes utérines? (94). XIV
3 CHAPITRE 20 Contraception et adénomyose (C. Rousset-Jablonski) 97 Définition (97), Épidémiologie (97), Contraception et risque d'adénomyose (97), Quelle contraception en cas d'adénomyose? (98), Au total (99). CHAPITRE 21 Contraception et endométriose (C. Rousset-Jablonski) 101 Définition (101), Épidémiologie (101), Contraception et risque d'endométriose pelvienne (101), Quelle contraception en cas d'endométriose? (102), Au total (103). CHAPITRE 22 Contraception et syndrome de Lynch (C. Rousset-Jablonski) 106 Définition (106), Épidémiologie (106), Contraception et risques de cancers (106), Quelle contraception en cas de syndrome de Lynch? (107). Section 4 Sein CHAPITRE 23 Contraception et pathologies bénignes du sein (F. Coussy, A.S. Hamy-Petit) 110 Définition des pathologies bénignes mammaires (110), Épidémiologie (110), Contraception et risque de pathologies bénignes mammaires (111), Quelle contraception en cas de pathologies bénignes mammaires? (111), Au total (112). CHAPITRE 24 Contraception et cancer du sein (M. Espié) 114 Définition (114), Épidémiologie (114), Contraception et risque de cancer du sein (115), Quelle contraception en cas de cancer du sein? (116), Au total (117). CHAPITRE 25 Contraception et mutations BRCA1 et BRCA2 (C. Rousset-Jablonski) 118 Définition (118), Épidémiologie (118), Contraception et risques de cancers du sein et de l'ovaire chez les femmes prédisposées (119), Quelle contraception en cas de prédisposition génétique aux cancers du sein et de l'ovaire? (119). Section 5 Système neurologique CHAPITRE 26 Contraception et sclérose en plaques (C. Bricaire) 122 Définition (122), Épidémiologie (122), Contraception et risque de SEP (122), Quelle contraception en cas de SEP? (123). CHAPITRE 27 Contraception et méningiomes (C. Bricaire) 125 Définition (125), Épidémiologie (125), Contraception et risque de méningiome (126), Quelle contraception en cas de méningiome? (126). CHAPITRE 28 Contraception et migraine (en dehors de la migraine cataméniale) (L. Maitrot-Mantelet) 128 Définition (128), Épidémiologie (129), Contraception et risque de migraine (129), Quelle contraception en cas de migraine? (129). CHAPITRE 29 Contraception et migraine cataméniale (L. Maitrot-Mantelet) 131 Définition (131), Épidémiologie (131), Physiopathologie (131), Contraception et risque de migraine cataméniale (132), Quelle contraception en cas de migraine cataméniale? (132). CHAPITRE 30 Contraception et épilepsie 134 (C. Bricaire) Définition (134), Épidémiologie (134), Prise en charge contraceptive : les 4 points fondamentaux (134), Interaction entre MAE et contraception hormonale (135), Risque d'épilepsie sous contraception et lamotrigine (136), Quelle contraception en cas d'épilepsie? (136), Au total (136). CHAPITRE 31 Contraception et hyperprolactinémie (P. Touraine) 138 Définition (138), Épidémiologie (138), Estrogènes et hyperprolactinémie (139), Contraception et risque d'hyperprolactinémie (139), Quelle contraception en cas d'hyperprolactinémie? (140). XV
4 Section 6 Système hépatique CHAPITRE 32 vasculaires du foie (C. Pichard, B. Raccah-Tebeka) 144 Définition (144), Épidémiologie (144), Contraception et risque de maladies vasculaires du foie (145), Quelle contraception en cas de maladies vasculaires du foie? (145). CHAPITRE 33 tumorales du foie (C. Pichard, B. Raccah-Tebeka) 147 Physiologie (147), Définition Épidémiologie (147), Contraception et risque de maladies tumorales du foie (148), Quelle contraception en cas de maladies tumorales du foie? (148). CHAPITRE 34 non vasculaires et non tumorales du foie (C. Pichard, B. Raccah-Tebeka) 151 Physiologie (151), Définition Épidémiologie (151), Contraception et risque de maladies non vasculaires et tumorales du foie (152), Quelle contraception en cas de maladies non vasculaires et non tumorales du foie? (152). Section 7 Système digestif CHAPITRE 35 inflammatoires chroniques intestinales (G. Plu-Bureau) 156 Définition des MICI (156), Épidémiologie (157), Contraceptions et risque de MICI (157), Quelle contraception en cas de MICI? (158). Section 8 Système cutané CHAPITRE 36 Contraception et acné (L. Maitrot-Mantelet) 162 Définition (162), Épidémiologie (162), Contraception et risque d'acné (163), Quelle contraception en cas d'acné? (163), Cas particulier de la contraception sous isotrétinoïne (Roaccutane ) (164). CHAPITRE 37 Contraception et mélanome (L. Maitrot-Mantelet) 166 Définition (166), Épidémiologie (167), Physiopathologie de l'hormonodépendance du mélanome (167), Contraception et risque de mélanome (167), Quelle contraception en cas d'antécédent de mélanome? (168). Section 9 Système rhumatologique CHAPITRE 38 Contraception et ostéoporose (F. Trémollières) 172 Définition (172), Épidémiologie (173), Contraception et tissu osseux (173), Quelle contraception en cas d'ostéoporose ou de déminéralisation? (173). Section 10 Maladies auto-immunes et médecine interne CHAPITRE 39 Contraception et auto-immunité : connectivites et lupus (A. Gompel) 178 Définition (178), Épidémiologie (179), Risque des contraceptions et connectivites (179), Risque des contraceptions et lupus (179), Quelle contraception en cas de connectivite? (179), Quelle contraception en cas de lupus? (180). XVI
5 CHAPITRE 40 Contraception et angio-œdèmes à bradykinines (A. Gompel) 183 Définition (183), Épidémiologie (183), Contraception et risque d'angio-œdèmes (184) Quelle contraception en cas d'angio-œdèmes? (184), Au total (184). Section 11 Système hématologique CHAPITRE 41 hémorragiques (C. Duflos) 188 Définition (188) Épidémiologie (188) Contraception et risque hémorragique (188) Quelle contraception en cas de maladies hémorragiques? (189). CHAPITRE 42 Contraception et porphyries 191 (A. Bachelot) Définition (191) Épidémiologie (191) Risque de la contraception hormonale chez la femme ayant une porphyrie (191) Quelle contraception en cas de porphyrie? (192). CHAPITRE 43 Contraception et drépanocytose 194 (M. Lambert, B. Raccah-Tebeka, G. Plu-Bureau) Définition (194), Épidémiologie (194), Physiopathologie (194), Contraception et risque de drépanocytose (195), Quelle contraception en cas de drépanocytose? (195). Section 12 Appareil uro-rénal CHAPITRE 44 Contraception et maladie rénale chronique (M. Meunier-Eck, B. Raccah-Tebeka, N. Chabbert-Buffet) 198 Définition (198), Épidémiologie de la dialyse et de la transplantation rénale (198), Physiopathologie (199), Contraception et risque de MRC (199), Quelle contraception en cas de MRC? (199). Section 13 Appareil auditif CHAPITRE 45 Contraception et appareil auditif (J. Hugon-Rodin) 204 Définitions et épidémiologie (204), Contraception et risque auditif (204), Quelle contraception en cas de pathologies auditives? (205). Section 14 Système oculaire CHAPITRE 46 Contraception et œil (B. Raccah-Tebeka) 208 Définition et épidémiologie (208), Contraception et risque de pathologie ophtalmologique (208), Contraception en cas de maladies ophtalmologiques (209). Section 15 Maladies infectieuses CHAPITRE 47 Contraception et VIH (G. Plu-Bureau, B. Raccah-Tebeka) 212 Définition (212), Épidémiologie (212), Prise en charge contraceptive : les points fondamentaux (213), Contraception et risque d'infection par le VIH (213), Quelle contraception en cas d'infection par le VIH? (214). Partie III Situations cliniques particulières CHAPITRE 48 Contraception de l'adolescente (C. Duflos) 219 IVG et adolescentes (219), La consultation chez l'adolescente (219), Choix contraceptifs chez l'adolescente (220). XVII
6 CHAPITRE 49 Contraception de la sportive (C. Maître) 223 Une demande multifactorielle propre à la sportive (223), La 1 re consultation pour contraception d'une sportive (223), Les problématiques de la sportive (224), La sportive et la contraception progestative (226), La sportive et la contraception par dispositif intra-utérin (226). CHAPITRE 50 Contraception après 40 ans (B. Raccah-Tebeka, L. Maitrot-Mantelet, G. Plu-Bureau) 227 Épidémiologie (227), Physiopathologie (229), Quelle contraception après 40 ans? (230). CHAPITRE 51 Contraception du post-partum (B. Raccah-Tebeka, G. Plu-Bureau) 233 Problèmes posés (233), Quelles particularités en cas de pathologies gravidiques? (235), Choix contraceptif (236). CHAPITRE 53 Contraception et interaction médicamenteuse (J. Hugon-Rodin) 242 Physiopathologie (242), Quelle contraception en cas de prise d'inducteur enzymatique? (243). CHAPITRE 54 L'avenir en contraception (G. Plu-Bureau, B. Raccah-Tebeka avec la contribution de R. Sitruk-Ware) 244 Contraception hormonale par voie orale (244), Contraception hormonale par voie non orale (245), Contraception «à la demande» pour une utilisation occasionnelle (245), Contraception de longue durée d'action (245), Contraception non hormonale (246), Une contraception associant une prévention des IST (246), Conclusion (246). Index 247 CHAPITRE 52 Contraception d'urgence (M. Detoeuf) 239 Les différentes méthodes (239), Mécanismes d'action et modalités d'utilisation (239), Recommandations pratiques (240), Au total (241). XVIII
Contraception après 40 ans
Contraception après 40 ans Stratégies de choix des méthodes contraceptives chez la femme. Recommandations pour la pratique clinique Décembre 2004. ANAES/AFSSAPS Un vaste choix contraceptif Contraception
Plus en détailPROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ. Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé
PROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé À chacun son stade! Votre profil est unique, votre réponse à l exercice physique
Plus en détailAtelier N 2. Consultation de patientes porteuses d une maladie générale
Atelier N 2 Consultation de patientes porteuses d une maladie générale Contre indica,ons à la grossesse Hypertension artérielle pulmonaire >30mmHg Maladie de Marfan (dilatation aortique>4 cm) Rétrécissement
Plus en détail19 thèmes dans 10 villes
SATISFAIRE À VOS OBLIGATION DE DPC FACILEMENT GRÂCE AU CNGOF DPC réalisés par le CNGOF et financée par l Agrément CNGOF : 11 75 32 07 175 - FMC 100 098 Indemnité de 345 par jour et prise en charge hôtellerie
Plus en détailAssurance maladie grave
ASSURANCE COLLECTIVE Le complément idéal à votre assurance collective Assurance maladie grave Votre partenaire de confiance. Assurance maladie grave La tranquillité d esprit à votre portée Les progrès
Plus en détailCRITERES DE REMPLACEMENT
ANATOMIE ET CYTOLOGIE PATHOLOGIQUES - 7 semestres dans des services agréés pour le DES d anatomie et cytologie pathologiques, dont au moins 5 doivent être accomplis dans des services hospitalouniversitaires
Plus en détailS o m m a i r e 1. Sémiologie 2. Thérapeutique
Sommaire 1. Sémiologie... 1 Auscultation cardiaque... 1 Foyers d auscultation cardiaque... 1 Bruits du cœur... 1 Souffles fonctionnels... 2 Souffles organiques... 2 Souffle cardiaque chez l enfant... 3
Plus en détailModule 2. De la conception à la naissance
Module 2. De la conception à la naissance ITEM 17. Principales complications de la grossesse Diagnostics différentiels d une hémorragie génitale Hématurie Rectorragie Diagnostics différentiels de l HTA
Plus en détailPROGRAMME. Qu est ce que la sélection? Médicale Non médicale. Tarification et compensation Mortalité, surmortalité Loi des grands nombres
COMPRENDRE LA SELECTION ET LA TARIFICATION DES RISQUES B1 Durée : 1 journée Niveau Retenir les principes et définitions de base Comprendre les raisons de la sélection et les principes de tarification Faciliter
Plus en détailLE GRAND LIVRE Du. Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel. Prévenir les complications. et surveiller la maladie
Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel LE GRAND LIVRE Du diabète Vivre avec le diabète à tout âge Traiter et surveiller la maladie Prévenir les complications, 2012 ISBN : 978-2-212-55509-7
Plus en détailCOMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE
COMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE D APRES «THROMBOTIC COMPLICATIONS OF MYELOPROLIFERATIVE NEOPLASMS : RISK ASSESSMENT AND RISK-GUIDED MANAGEMENT
Plus en détailCentres de santé. lien. créent du. Les Etablissements MGEN. Quand les soins. Kinésithérapie. Services. Accessibles. Innovation.
Services Pas d avance de frais Qualité des soins Médecine spécialisée Accessibles Innovation Mutualiste Kinésithérapie Animateurs Médecine générale Centres de santé Les Etablissements MGEN Quand les soins
Plus en détailGyselle 20/30 SPIRIG HEALTHCARE
Gyselle 20/30 SPIRIG HEALTHCARE OEMéd Qu est-ce que Gyselle 20/Gyselle 30 et quand doit-il être utilisé? Gyselle 20/Gyselle 30 est un médicament anticonceptionnel hormonal, appelé contraceptif oral ou
Plus en détailQuoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis?
Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis? Nathalie QUILES TSIMARATOS Service de Dermatologie Hôpital Saint Joseph Marseille Ce que nous savons Le psoriasis Affection dermatologique très fréquente,
Plus en détailFibrillation atriale chez le sujet âgé
Dr Benoit Blanchard LE HAVRE Le 18 MARS 2014 Fibrillation atriale chez le sujet âgé Le plus fréquent des trouble du rythme cardiaque, 750,000 personnes atteintes de FA en France, 100,000 nouveaux cas chaque
Plus en détailPRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS
PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS Dr Mourot cardiologue Hôpital d Auxerre le 31 mars 2012 PLAN DE LA PRESENTATION ASSOCIATION
Plus en détailVers une approche managériale des tarifs T2A
Vers une approche managériale des tarifs T2A Contribution de CAHPP Consultant Juin 2013 Page 1 sur 35 SOMMAIRE SOMMAIRE... Page 2 PRÉAMBULE... Page 3 PARTIE I : MÉTHODOLOGIE... Page 5 PARTIE II : IMPACT
Plus en détailDéfinitions. MALADIES GRAVES Protection de base Protection de luxe. PROTECTION MULTIPLE pour enfant
Définitions MALADIES GRAVES Protection de base Protection de luxe PROTECTION MULTIPLE pour enfant Voici les définitions des maladies graves et non critiques que vous pouvez retrouver dans les garanties
Plus en détailGynécologie Obstétrique
Gynécologie Obstétrique Chez le même éditeur Dans la même collection Anatomie pathologique, par le Collège français des pathologistes (CoPath), 2013, 416 pages. Cardiologie, par le Collège National des
Plus en détail27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013
27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NACO) dans la maladie thrombo embolique veineuse INTRODUCTION Thrombose veineuse
Plus en détailRÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES
CHAPITRE VI RÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES I - Situation juridique La notion de références médicales opposables (RMO) est apparue dans la convention nationale des médecins de 1993. La réforme
Plus en détailCOMPÉTENCES EN SOINS AUX ADULTES COMPÉTENCES GÉNÉRALES. Le médecin de famille est un clinicien compétent et efficace
À la fin de sa résidence, le résident : COMPÉTENCES EN SOINS AUX ADULTES 1. Prodigue à une clientèle adulte (homme et femme) des soins de santé globaux (préventifs et curatifs) et continus avec comme objectifs
Plus en détailINSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES»
INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES» v On ne guérit pas ( en général ) d une insuffisance cardiaque, mais on peut la stabiliser longtemps, très longtemps à condition v Le patient insuffisant cardiaque
Plus en détailMaternité et activités sportives
Maternité et activités sportives L obstétricien est de plus en plus souvent interrogé sur les avantages et les risques de maintenir ou de débuter une APS ou de loisir pendant la grossesse. Transformations
Plus en détailphase de destruction et d'élimination de débris
LE POST PARTUM I ) Définition : c'est une période de 6 semaines allant de l'accouchement jusqu'au retour de couches (= règles). Pendant ce temps il est nécessaire d'effectuer une surveillance médicale
Plus en détailB06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs
B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue
Plus en détailN o de contrat : Je demande par la présente une révision de la surprime concernant le numéro de contrat susmentionné. Signé à ce jour de 20
RÉVISION DE SURPRIME Nom : Prénom : Date de naissance : - - Année Mois Jour N o de contrat : Je demande par la présente une révision de la surprime concernant le numéro de contrat susmentionné. Signé à
Plus en détaildossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s
dossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours lat ransplantation hépatique p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s Contact presse Anne-Karen Nancey - Direction de la communication
Plus en détailNOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR. JAYDESS 13,5 mg, système de diffusion intra-utérin. Lévonorgestrel
NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR JAYDESS 13,5 mg, système de diffusion intra-utérin Lévonorgestrel Ce médicament fait l objet d une surveillance supplémentaire qui permettra l identification rapide
Plus en détailE04a - Héparines de bas poids moléculaire
E04a - 1 E04a - Héparines de bas poids moléculaire Les héparines de bas poids moléculaire (HBPM) sont un mélange inhomogène de chaînes polysaccharidiques obtenues par fractionnement chimique ou enzymatique
Plus en détailLE PSORIASIS ET SES CO-MORBIDITES PARTICULIEREMENT LE DIABETE
LE PSORIASIS ET SES CO-MORBIDITES PARTICULIEREMENT LE DIABETE Le psoriasis est apparu longtemps comme une maladie de peau isolée mais des études épidémiologiques internationales ces dernières années ont
Plus en détailDOSSIER de PRESSE. Du changement à la La Clinique Saint-Vincent, clinique de proximité au coeur de Saint-Denis. Saint-Denis, Janvier 2011
DOSSIER de PRESSE Du changement à la La Clinique Saint-Vincent, clinique de proximité au coeur de Saint-Denis Saint-Denis, Janvier 2011 A l occasion de la rénovation de sa façade, validée par l architecte
Plus en détailUnité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané
Énoncés Unité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané N 109 Dermatoses faciales : acné, rosacée, dermatite séborrhéique Diagnostiquer l acné, la rosacée, la dermatite séborrhéique.
Plus en détailInnovations thérapeutiques en transplantation
Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010
Plus en détailAméliorer la qualité du système de santé et maîtriser les dépenses : propositions de l Assurance maladie pour 2014
Améliorer la qualité du système de santé et maîtriser les dépenses : propositions de l Assurance maladie pour 2014 Rapport au ministre chargé de la sécurité sociale et au Parlement sur l'évolution des
Plus en détailExtrait des Mises à jour en Gynécologie Médicale
COLLÈGE NATIONAL DES GYNÉCOLOGUES ET OBSTÉTRICIENS FRANÇAIS Président : Professeur J. Lansac Extrait des Mises à jour en Gynécologie Médicale Volume 2006 publié le 29.11.2006 TRENTIÈMES JOURNÉES NATIONALES
Plus en détailRégime d Assurance Collective
Ce régime d assurance est établi par : SSQ, Société d assurance inc. Régime d Assurance Collective Primo-soins MD pour Vous et/ou votre conjoint Service d assistance téléphonique d SSQ 1-800-848-0158 Février
Plus en détailBulletin d adhésion. Assurances santé internationales
Assurances santé internationales Bulletin d adhésion Veuillez noter que vous pouvez souscrire une de nos couvertures médicales internationales pour particuliers directement sur notre site Internet www.allianzworldwidecare.com
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailVille : Province : Code postal : Date de naissance : jour mois année Date de naissance : jour mois année
Assurance médicale Choix du voyageur L assurance est souscrite auprès de la Compagnie d Assurance Générale CUMIS, l une des sociétés du Groupe Co-operators. Proposition d assurance page 1 2015-2016 Bureau
Plus en détailPour l'instant, les connaissances actuelles ne permettent pas d'empêcher un cancer du sein de survenir.
Dépistage Pour l'instant, les connaissances actuelles ne permettent pas d'empêcher un cancer du sein de survenir. Par contre, nous pouvons tenter de le dépister plus tôt afin d'avoir plus de chances de
Plus en détailB08 - CAT devant une thrombose veineuse profonde des membres inférieurs
B08-1 B08 - CAT devant une thrombose veineuse profonde des membres inférieurs 1. I n t r o d u c t i o n La thrombose veineuse profonde (TVP) des membres inférieurs est indissociable de sa complication
Plus en détailContraception hormonale en périménopause l antidote à bien des maux
L A C O N T R A C E P T I O N E N É V O L U T I O N Contraception hormonale en périménopause l antidote à bien des maux par Chantal Marquis «J ai 48 ans, j ai des chaleurs, je dors peu et j ai des saignements
Plus en détailcomprimé pelliculé? Si votre médecin vous a informée d'une intolérance à certains sucres, contactez-le avant de prendre ce médicament.
Désogestrel Biogaran 75 µg, comprimé pelliculé. Veuillez lire attentivement l'intégralité de cette notice avant de prendre ce médicament. Gardez cette notice, vous pourriez avoir besoin de la relire. Si
Plus en détailprise en charge médicale dans une unité de soins
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en
Plus en détailConférence de consensus THROMBOPHILIE ET GROSSESSE PRÉVENTION DES RISQUES THROMBOTIQUES MATERNELS ET PLACENTAIRES
Avec la participation de : Conférence de consensus THROMBOPHILIE ET GROSSESSE PRÉVENTION DES RISQUES THROMBOTIQUES MATERNELS ET PLACENTAIRES Vendredi 14 mars 2003 - Institut Pasteur Paris TEXTE DES RECOMMANDATIONS
Plus en détailOrdonnance du DFI sur les prestations dans l assurance obligatoire des soins en cas de maladie
Ordonnance du DFI sur les prestations dans l assurance obligatoire des soins en cas de maladie (Ordonnance sur les prestations de l assurance des soins, OPAS) Modification du 14 juin 2010 Le Département
Plus en détailMÉDECINE FAMILIALE. Préparer des médecins de famille pour le Québec de demain. Objectifs du stage de médecine familiale (abrégés)
Objectifs du stage de médecine familiale (abrégés) Préparer des médecins de famille pour le Québec de demain Programme de résidence en médecine familiale MÉDECINE FAMILIALE 2006 1. Connaissance du milieu
Plus en détailepm > nutrition Formation & Conseil
CATALOGUE FORMATIONS THEME : NUTRITION et SANTE Septembre 2011 Juin 2012 Journée Spéciale pour les Pharmaciens «Conseils Nutritionnels en Officine» Journées de Formation sur Paris «Nutrition de l Adulte»
Plus en détailInfirmieres libérales
Détail des programmes- Feuillets complémentaires à la plaquette générale Infirmieres libérales Stages courts 2012 Durées et dates disponibles sur un calendrier en annexe Santé formation Formations gratuites
Plus en détailRôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique
Rôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique Tuteur : Anne Muhr-Tailleux cardiovasculaires et diabète (Equipe 1) Institut
Plus en détailPrise en charge de la ménopause
N 311, septembre 2014 (remplace n 222, janvier 2009) Prise en charge de la ménopause La présente directive clinique a été rédigée par le groupe de travail sur la ménopause et l ostéoporose, analysée par
Plus en détailDiabète de type 1 de l enfant et de l adolescent
GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent Juillet 2007 Juillet 2007 1 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détaildéclarations d assurabilité en cas d accident (invalidité ou soins hospitaliers)
1 Nom Prénom Date de naissance (AAAA/MM/JJ) N o de proposition ou de contrat 1. renseignements médicaux Renseignements Oui Non médicaux 1. Prenez-vous des médicaments? Cocher OUI ou NON. 2. Au cours des
Plus en détailProgramme de prise en charge et de suivi en anticoagulothérapie
Programme de prise en charge et de suivi en anticoagulothérapie (PEACE) Médecins réviseurs : Dr Steve Brulotte, cardiologue, CSSSAD-Lévis Dr Daniel D Amours, cardiologue, CHU Dr Guy Boucher, cardiologue,
Plus en détailCONTRACEPTION DU POST-PARTUM ET VISITE POST-NATALE
CONTRACEPTION DU POST-PARTUM ET VISITE POST-NATALE Présenté par JAOUEN Léna DIU Suivi gynécologique LE SCANFF Ghislaine DIU Périnalité Addictions Contraception du post-partum Une constatation: 5 % des
Plus en détailMaladies chroniques et APS
Maladies chroniques et APS Master de recherche Physiologie et Biomécanique des APS Dr. BETTAIEB Ramzi : M.A. ISSEP KEF Définition de la maladie chronique Selon l'organisation Mondiale de la Santé, la maladie
Plus en détailPREVENTION DE LA MALADIE THROMBO- EMBOLIQUE VEINEUSE (MTEV) EN PERI- OPERATOIRE QUOI DE NEUF?
PREVENTION DE LA MALADIE THROMBO- EMBOLIQUE VEINEUSE (MTEV) EN PERI- OPERATOIRE QUOI DE NEUF? Chokri Ben Hamida Service de réanimation médicale de Sfax La Thrombose une réalité qui tue La maladie thrombo-embolique
Plus en détailLes Jeudis de l'europe
LE DIABETE SUCRE EST DEFINI EN DEHORS DE TOUT EPISODE DIABETOGENE : 1.26 g/l SOIT 7 mmol/l PREVALENCE DU DIABETE DE TYPE 2 EN FRANCE METROPOLITAINE 3.4 % AGE = 63 ANS HOMMES = 54% 25% > 75 ans OUTRE MER
Plus en détailHématome rétro-placentaire ( HRP )
Hématome rétro-placentaire ( HRP ) L hématome rétroplacentaire (HRP) ou abruptio placentae correspond au décollement prématuré d un placenta normalement inséré (DPPNI). La lésion anatomique est formée
Plus en détailchronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé
Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression
Plus en détailMaladies et Grands Syndromes : Angiomes (223) Professeur Guy Magalon Juin 2005
Maladies et Grands Syndromes : Angiomes (223) Professeur Guy Magalon Juin 2005 1. Définition Les angiomes sont des tumeurs très fréquentes. La définition de TOURAINE rend parfaitement compte de la complexité
Plus en détailLa migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)
La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire
Plus en détailPharmacovigilance des nouveaux anticoagulants oraux
Pharmacovigilance des nouveaux anticoagulants oraux Dr A.Lillo-Le Louët, Centre Régional de Pharmacovigilance (CRPV) Paris-HEGP Avec avec Dr P.Lainé, CRPV - Angers Préambule Directeur du Centre Régional
Plus en détailAméliorer la qualité du système de santé et maîtriser les dépenses : propositions de l Assurance Maladie pour 2014
Améliorer la qualité du système de santé et maîtriser les dépenses : propositions de l Assurance Maladie pour 2014 RAPPORT AU MINISTRE CHARGÉ DE LA SÉCURITÉ SOCIALE ET AU PARLEMENT SUR L ÉVOLUTION DES
Plus en détailDIPLOME DE CHIRURGIE ORALE
DIPLOME DE CHIRURGIE ORALE ORGANIGRAMME DES SEMINAIRES Promotion 2013 FORMATION COMPLEMENTAIRE EN MEDECINE POUR LES MEDECINS Pour les enseignants, ces enseignements seront à faire tous les 2 ans 1 - Module
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailANNEXE N 1 AU REGLEMENT MUTUALISTE DE LA MUTUELLE FAMILIALE DES CHEMINOTS DE FRANCE N 784 394 413
ANNEXE N 1 AU REGLEMENT MUTUALISTE page 1 Sécurité Sociale I - HONORAIRES MEDICAUX Consultations et visites de généralistes et spécialistes Actes de chirurgie en cabinet Actes techniques médicaux (endoscopie,
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailGuide des définitions des maladies graves
Guide des définitions des maladies graves Assurance maladies graves Sun Life La vie est plus radieuse sous le soleil Guide des définitions des maladies graves Ce guide vous aidera à comprendre les maladies,
Plus en détailVaccination contre la grippe saisonnière
le point sur risques infectieux > Vaccinations Vaccination contre la grippe saisonnière Questions / Réponses - Professionnels de santé Document élaboré le 14 octobre 2014 1 - Quand a lieu la campagne de
Plus en détail103 Boulevard Stalingrad 69100 LYON / VILLEURBANNE
Comité D ORGANISATION Dr. Gabriel André - Pr. Léon Boubli Dr. Evelyne Drapier-Faure - Pr. Anne Gompel Pr. Claude Hocké - Dr. Brigitte Letombe Pr. Patrice Lopès - Pr. Geneviève Plu-Bureau Dr. Florence Trémollieres
Plus en détailAvoir (une maladie) ou être (malade)
Avoir (une maladie) ou être (malade) MG Albano, Ph Barrier, JF d Ivernois Note : cette présentation est tirée de notre article publié dans la revue ETP/TPEEduc Ther Patient/Ther Patient Educ 2011; 3(2):
Plus en détailQuestionnaire de suivi 1
Numéro Constances Questionnaire de suivi 0 805 567 900 APPEL GRATUIT DEPUIS UN POSTE FIXE Vu l avis favorable du Conseil National de l Information Statistique, cette enquête est reconnue d intérêt général
Plus en détailÉpilation au laser Fiche client (e) / Questionnaire. Nom du client : Adresse : Ville : Province : Code postal : Téléphone au domicile : Au travail :
Épilation au laser Fiche client (e) / Questionnaire Nom du client : Date : Adresse : Ville : Province : Code postal : Téléphone au domicile : Au travail : Femme Homme Référé par : Date de naissance : Régions
Plus en détailManuel de tarification pour les conseillers Chèque-vie MD
Manuel de tarification pour les conseillers Chèque-vie MD ASSURANCE MALADIES GRAVES Table des matières Objet du présent manuel 4 Structure de ce document 5 Légende et abréviations 5 Bien comprendre la
Plus en détailCet article a été remis à EndoFrance par le Pr Madélenat pour une utilisation réservée à l association EndoFrance
Faut-il coelioscoper les adolescentes? Patrick Madélénat Juin 2008 La difficulté de vivre avec une endométriose est admise de toutes celles qui en souffrent. En parallèle la difficulté de son traitement
Plus en détailGUIDE DE L ASSURÉ. Optez pour l assurance. qui peut regrouper maladies graves et assurance vie
GUIDE DE L ASSURÉ Optez pour l assurance qui peut regrouper maladies graves et assurance vie Ne laissez rien au hasard AU CANADA ON ESTIME QUE À chaque heure : 16,65 personnes apprendront qu elles sont
Plus en détailContraception chez la femme à risque vasculaire
2 Contraception chez la femme à risque vasculaire Ajustement et surveillance sont indispensables. Geneviève Plu-Bureau Unité de gynécologie endocrinienne et laboratoire d hémostase, hôpital Cochin Port-Royal,
Plus en détailASSURANCE COLLECTIVE DÉCLARATION D'ASSURABILITÉ
ASSURANCE COLLECTIVE DÉCLARATION D'ASSURABILITÉ Déclaration d'assurabilité (Assurance collective) Partie 1 - Identification N o de police : N o de sous-groupe : N o du certifi cat : Nom de l'employeur
Plus en détailEtablissement Français du Sang
Etablissement Français du Sang LE LIEN ENTRE LA GÉNÉROSITÉ DES DONNEURS DE SANG ET LES BESOINS DES MALADES Document de préparation à l entretien médical préalable au don de sang Partie médicale La sécurité
Plus en détailÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE
ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE 23 ÉVALUATION DE
Plus en détailAssurance-santé personnelle Ajout d'une garantie facultative
Assurance-santé personnelle Ajout d'une garantie facultative Contrat 037000 Numéro d'identification Prénom du propriétaire Nom de famille A Renseignements sur le contrat Choix protection-santé (CPS) Remplir
Plus en détailImages en «franc» hypersignal T2 du pelvis féminin Atlas iconographique
Images en «franc» hypersignal du pelvis féminin Atlas iconographique Cavet M, Soyer P, Malzy P, Bendavid S, Merlin A, Martin-Grivaud S, Rymer R RADIOLOGIE VISCERALE ET VASCULAIRE, HOPITAL LARIBOISIERE
Plus en détailDéfinitions. PrioritéVie Enfant MC. Assurance contre le risque de maladie grave
Définitions PrioritéVie Enfant MC Assurance contre le risque de maladie grave Le présent document ne constitue qu un exemple de libellé et n a aucune force exécutoire. En cas de divergence entre les renseignements
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux (NAC)
Les nouveaux anticoagulants oraux (NAC) Dr Jean-Marie Vailloud Cardiologue libéral/ salarié (CHU/clinique) Pas de lien d'intérêt avec une entreprise pharmaceutique Adhérent à l'association Mieux Prescrire
Plus en détailQuel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques?
Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? L Fournier, D Balvay, CA Cuénod Service de radiologie, Hôpital Européen Georges Pompidou Laboratoire de Recherche en Imagerie, Equipe
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailActualisation de la prescription en biologie rhumatologie
Actualisation de la prescription en biologie rhumatologie Pathologies inflammatoires et connectivites Pathologies dégénératives Exclusion du métabolisme phosphocalcique et des marqueurs du remodelage osseux
Plus en détailProjet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer
DOCUMENT D INFORMATION POUR LES PROFESSIONNELS Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer Septembre 2009 DÉFINITION ET OBJECTIF Dès lors qu ils expriment un projet de
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.
PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions
Plus en détailSimple, abordable, facile à souscrire! GUIDE DE L, ASSURÉ
ASSURANCE SANS EXAMEN MÉDICAL Simple, abordable, facile à souscrire! GUIDE DE L, ASSURÉ Humania Assurance Inc., 1555, rue Girouard Ouest, C.P. 10000, Saint-Hyacinthe (Québec) J2S 7C8 SOMMAIRE QUI EST HUMANIA
Plus en détailSysmex Educational Enhancement & Development
Sysmex Educational Enhancement & Development Bulletin d information SEED-Afrique No 6 Le rôle du test D-dimères dans le diagnostic clinique. Introduction à la coagulation L objectif de ce bulletin est
Plus en détailSYNOPSIS INFORMATIONS GÉNÉRALES
Evaluation de l utilisation d un anticoagulant anti-xa direct oral, Apixaban, dans la prévention de la maladie thromboembolique veineuse chez les patients traités par IMiDs au cours du myélome : étude
Plus en détailLes différentes maladies du coeur
Auteur : Dr Pascal AMEDRO Les différentes maladies du coeur 1. Le cœur normal L oxygène capté dans l air va dans les poumons, où le sang «bleu» est alors oxygéné et devient «rouge». Il est conduit par
Plus en détailGONADOTROPHINE CHORIONIQUE ENDO 5000 U.I./1 ml, lyophilisat et solution pour usage parentéral intramusculaire
ésumé des Caractéristiques du Produit 1 sur 5 21/09/2010 14:31 Mis à jour : 16/02/2010 1. DENOMINATION DU MEDICAMENT GONADOTROPHINE CHORIONIQUE ENDO 5000 U.I./1 ml, lyophilisat et solution pour usage parentéral
Plus en détailneurogénétique Structures sensibles du crâne 11/02/10 Classification internationale des céphalées:2004
11/02/10 Structures sensibles du crâne neurogénétique Cheveux Cuir chevelu Tissu sous cutané Périoste Os Dure mère Méninges molles Cerveau vaisseaux MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE
Plus en détaile-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé
e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,
Plus en détailPathologie VIH. Service maladies infectieuses Archet 1. Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013
Pathologie VIH Service maladies infectieuses Archet 1 Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013 Les traitements antirétroviraux Sont classés en 5 familles selon leur mode
Plus en détail