Dossier de presse. Connaissances, attitudes, croyances et comportements en matière de risques liés aux comportements sexuels.

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1 Dossier de presse 3 SEPTEMBRE 2014 Résultats de l enquête KABP Réunion 2012 Contact ORS : Dr Emmanuelle RACHOU TÉL : orsrun@orsrun.net e.rachou@orsrun.net KNOWLEDGE, ATTITUDES, BELIEFS AND PRACTICES Connaissances, attitudes, croyances et comportements en matière de risques liés aux comportements sexuels. Cette enquête a été financée par : Et réalisée avec la collaboration de : Nous tenons à remercier vivement l ORS Ile-de-France et l INPES pour leur soutien méthodologique. Les membres du comité de pilotage incluant le COREVIH de La Réunion, l'ars OI et la Plateforme d'information des Etudes en santé (PIES). L institut de sondage et les enquêteurs. Merci à toutes les personnes qui ont bien voulu répondre à cette enquête.

2 Sommaire du dossier de presse Communiqué de presse 3 L enquête KABP 4 Contexte 4 Objectifs 4 Méthodologie 4 Principaux résultats 6 Le contexte de la sexualité à La Réunion 6 Le préservatif et la prévention des IST 6 La contraception et les grossesses non désirées 7 Le VIH/sida 8 2

3 Communiqué de presse Connaissances, attitudes, croyances et comportements en matière de risques liés aux comportements sexuels. Etude KABP Réunion 2012 : principaux résultats La lutte contre le VIH/SIDA et les infections sexuellement transmissibles (IST) est une préoccupation majeure du gouvernement et de ses institutions. Elle fait l'objet d'un plan national courant jusqu'en 2014 où La Réunion, tout comme les autres DOM, occupe une place spécifique. Pour les acteurs locaux, il est nécessaire de mieux comprendre les comportements sexuels des individus. C est pourquoi l ORS de La Réunion a réalisé une enquête sur ce thème en 2012 avec l'appui de ses partenaires : l'ars OI, la Direction Générale de la Santé (DGS), l'institut National de la Prévention et de l'education pour la Santé (INPES), l'organisation Mondiale de la Santé (OMS) et le Ministère de l'outre-mer. Contexte et objectifs Le Plan national de lutte contre le VIH/sida et les infections sexuellement transmissibles (IST) en direction des populations d outre-mer place La Réunion comme une cible spécifique dans la stratégie de prévention et de prise en charge en France. La lutte contre le VIH/sida et les IST constitue une priorité régionale de santé, inscrite dans le Projet de Santé Réunion-Mayotte ( ). Disposer de connaissances sur les comportements sexuels est primordial pour les acteurs de la prévention à La Réunion. Les résultats de cette enquête visent à répondre à cet enjeu : améliorer l état des données sur les pratiques, représentations et connaissances des Réunionnais relatives aux risques liés aux comportements sexuels. Ces données permettront d orienter les actions de prévention, en tenant compte des spécificités de la population. Méthodologie Il s agit d une enquête de type KABP (knowledges, attitudes, beliefs and practices), construite sur le même modèle que celles menées par l ORS Ile de France en métropole et dans les départements français d Amérique. Elle a été réalisée par téléphone, de septembre à décembre 2012, auprès d un échantillon de personnes âgées de 15 à 59 ans, résidant à La Réunion et sélectionnées aléatoirement. Principaux résultats L exploitation des résultats révèle des différences entre la sexualité féminine et masculine : l entrée dans la sexualité est plus précoce pour les hommes et moins souhaitée pour les femmes (1 femme sur 5 déclare avoir accepté son 1er rapport sans vraiment l'avoir souhaité) ; il y a plus de multi partenariat déclaré chez les hommes. L enquête montre également des différences de comportements et de représentations entre les jeunes générations et les personnes plus âgées : les jeunes ont une meilleure opinion du préservatif qui est désormais utilisé dans 82 % des premiers rapports sexuels. La contraception d urgence est très bien intégrée par les jeunes filles. Certains indicateurs sont préoccupants : - l interruption volontaire de grossesse (IVG) est perçue par 24 % des ans comme «un moyen de contraception comme un autre» (contre 10 % des ans). - les principaux modes de transmission du VIH/sida et des moyens de s en protéger sont connus mais des idées fausses persistent, notamment chez les jeunes.

4 L enquête KABP Réunion 2012 Contexte Le Plan national de lutte contre le VIH/ sida et les infections sexuellement transmissibles (IST) en direction des populations d outre-mer place La Réunion comme une cible spécifique dans la stratégie de prévention en France. La lutte contre le VIH/sida et les IST constitue une priorité régionale de santé, inscrite dans le Projet de Santé Réunion Mayotte La stratégie consistant à intégrer la lutte contre le VIH/sida dans les problématiques plus générales de la prévention des risques sexuels, sous le thème de «la santé sexuelle et reproductive» est encouragée par les organismes internationaux. Les informations relatives aux risques liés aux comportements sexuels en population font défaut à La Réunion. Certains indicateurs sont préoccupants : retard au dépistage du VIH, recours important à l interruption volontaire de grossesse (IVG), violences sexuelles... Plusieurs enquêtes KABP (Knowledge, Attitudes, Beliefs and Practices) ont été réalisées en Métropole depuis 1990 et aux Antilles depuis 2004, en collaboration avec les institutions nationales de santé publique. Aucune n'avait été réalisée à La Réunion. Disposer de connaissances sur les comportements sexuels est primordial pour les acteurs de la prévention à La Réunion. Objectifs L objectif principal de l enquête est de disposer de données, pour l ensemble de la population, sur les risques liés aux comportements sexuels afin de contribuer à l'élaboration des actions de prévention adaptées. Plus précisément il s agit d identifier les spécificités des comportements, croyances et représentations sur le plan local comparativement à la métropole et aux autres DOM. Méthodologie Cette enquête quantitative transversale, coordonnée avec l aide d IPSOS Océan Indien a été réalisée par téléphone auprès d un échantillon de personnes âgées de 15 à 59 ans, ayant leur résidence principale à La Réunion et parlant le français et/ou le créole. Le recueil téléphonique a été réalisé à l aide d un questionnaire standardisé, et s est déroulé du septembre à décembre La durée moyenne du questionnaire était de 35 minutes. L échantillon a été pondéré et redressé afin d être représentatif de la population cible. L analyse statistique des résultats a été réalisée par l ORS Réunion. 1 ARS Océan Indien. Projet de Santé (PRS) Réunion Mayotte ,

5 FIABILITÉ DES RÉPONSES La fiabilité des réponses est un enjeu dans toute enquête, en particulier lorsque des sujets sensibles tels que la sexualité sont abordés. De nombreuses précautions ont été prises pour permettre de recueillir des réponses fiables, représentatives de la population réunionnaise. L anonymat de l enquête a été précisé dans une lettre-annonce envoyée aux foyers sélectionnés sur liste blanche et/ou expliqué par les enquêteurs au moment de l appel téléphonique. Les enquêteurs ont tous étés formés aux enjeux scientifiques de l enquête et ont pu argumenter sur l utilité de donner des réponses reflétant les réelles pratiques et non celles jugées socialement valorisantes. Si la personne sélectionnée n était pas disponible ou ne pouvait pas s isoler pour répondre, un rendez-vous téléphonique était proposé à un moment plus approprié. Un numéro vert a été mis en place permettant de joindre les chefs d équipe en charge du recueil, afin de répondre aux éventuelles questions des personnes interrogées. A la fin de l entretien téléphonique, les personnes interrogées ont déclaré que l enquête les avait intéressées dans plus de 90 % des cas. Le taux d abandon en cours de questionnaire est d ailleurs très faible (3,4 % pour les téléphones fixes et 10 % pour les téléphones mobiles). LES GRANDS AXES DE L ÉTUDE Transmission et traitements Attitudes face aux personnes séropositives Perception du risque Recours au dépistage au VIH/sida aux pratiques sexuelles Comportements à risque (âge au 1 er rapport, multi partenariat ) Violences sexuelles Opinions et pratique de l homosexualité Opinion sur le préservatif Utilisation du préservatif Réaction face à la découverte d une IST Au préservatif et prévention des IST Connaissances, attitudes, opinions face à la contraception et grossesses non prévues Sources d information et opinions sur la contraception Trajectoire contraceptive Comportement face à une grossesse non désirée Opinion sur les IVG... 5

6 Principaux résultats Le contexte de la sexualité à La Réunion Une sexualité différenciée chez les hommes et chez les femmes à La Réunion. Si en métropole, la sexualité féminine se rapproche de plus en plus de celle des hommes, à La Réunion, on observe des différences marquées entre les comportements féminins et masculins. L entrée dans la sexualité est plus précoce pour les hommes. L âge déclaré au premier rapport est en en moyenne de 16,8 ans, soit un an plus tôt que les femmes (18,1 ans). Le premier partenaire sexuel est également le dernier pour 36 % des femmes contre 9 % des hommes. Les femmes déclarent davantage que les hommes avoir accepté leur premier rapport sexuel sans l avoir vraiment souhaité (1 femme sur 5). La sexualité féminine est majoritairement envisagée dans un cadre affectif alors que la sexualité masculine renvoie à des «besoins sexuels» ; 66 % des femmes et 57 % des hommes adhèrent à l idée selon laquelle «par nature, les hommes ont plus de besoins sexuels que les femmes». Les hommes déclarent au cours de leur vie en moyenne 12,8 partenaires contre 3,2 pour les femmes. La part des hommes ayant des relations sexuelles parallèles avec plusieurs partenaires au cours des 5 dernières années est largement supérieure à celui des femmes (15 % contre 2 %). Les violences sexuelles touchent plus souvent les femmes que les hommes. 2 % des hommes et 12 % des femmes interrogés déclarent avoir subi des attouchements qui se sont déroulés en moyenne à l âge de 11 ans ; les viols et tentatives de viols concernent 13 % des femmes et 4 % des hommes et les victimes ont en moyenne 17 ans au moment des faits. Les représentations négatives de l homosexualité sont plus répandues chez les hommes. A La Réunion, un tiers de la population interrogée considère que l homosexualité est «une sexualité comme une autre». L acceptation de l homosexualité est plus fréquente chez les femmes que chez les hommes, mais, contrairement à la métropole, elle ne varie pas significativement selon l âge considéré. Le niveau de diplôme apparaît comme un facteur significatif de l acceptation de l homosexualité. Le préservatif et la prévention des IST Une opinion mitigée et parfois divergente sur le préservatif. Toutes choses égales par ailleurs, les personnes ont plus souvent une opinion négative du préservatif si elles se situent dans la tranche la plus âgée de l échantillon (44 à 59 ans) ou si elles sont faiblement diplômées. Les personnes qui déclarent avoir eu une séance d information sur le préservatif au collège ou au lycée n ont en moyenne pas d opinion plus favorable que les autres. L opinion des hommes et celle des femmes divergent sur certains points bien particuliers. 54 % des hommes pensent que le préservatif diminue le plaisir sexuel contre 34 % des femmes. Les femmes sont 31 % à penser que l utilisation ldu préservatif incite à avoir plusieurs partenaires, contre 24 % des hommes. Globalement, 30 % des personnes interrogées pensent que le préservatif crée des doutes sur le-la partenaire. 6

7 59 % des réunionnais ont utilisé un préservatif lors du premier rapport avec leur dernier partenaire. La moitié des non sexuellement actifs ont déjà manipulé un préservatif, et 85 % des sexuellement actifs ont déjà utilisé un préservatif au cours de leur vie. Lors de la dernière utilisation d un préservatif, 66 % des hommes déclarent l avoir acheté, 26 % l ont eu gratuitement et 8 % l ont eu avec leur partenaire alors que les femmes sont 52 % à l avoir acheté, et 36 % à se l être procuré grâce à leur partenaire. 12 % des personnes interrogées ont déjà été confrontées à un refus d utiliser un préservatif par leur partenaire. La réaction a alors été pour 47 % de continuer le rapport et 36 % d y renoncer, 17 % ont continué avec préservatif. 13 % des hommes et 23 % des femmes ont déclaré avoir déjà contracté une IST au cours de leur vie, ce qui suppose un souci de déclaration ou de dépistage pour les hommes. 76 % des hommes et des femmes qui ont découvert une IST ont consulté après apparition de symptômes. 17 % des hommes ont été prévenus par leur partenaire contre seulement 2 % des femmes. 7 % des hommes et 22 % des femmes l ont découvert en consultant pour un autre motif. La contraception et les grossesses non désirées L école est une des premières sources d information sur la contraception. L école est citée par plus de la moitié des répondants comme la première source d information sur la contraception et par 80 % des moins de 30 ans. 66 % des réunionnais pensent que la pilule permet aux femmes d avoir une sexualité épanouie. Cependant un pourcentage équivalent de répondants (65 %) pense que la pilule fait grossir. Plus de la moitié des personnes interrogées (58 %) pensent que la pilule présente des risques pour la santé et 32 % qu elle peut rendre une femme stérile. Concernant le stérilet, 50 % de la population interrogée pense que le stérilet est une méthode peu contraignante, mais son efficacité est remise en cause par 49 % des personnes qui répondent que le stérilet n est pas entièrement efficace. De plus, 36 % des personnes interrogées pensent que le stérilet peut présenter des risques pour la santé. La première contraception (hors préservatif) est prise en moyenne à 19,5 ans, soit un an et demi plus tard que l âge moyen d entrée dans la sexualité chez les femmes. La répartition des moyens de contraception évolue peu, qu il s agisse du premier rapport ou d un premier rapport avec un nouveau partenaire. Le préservatif est utilisé par près de 50 % des couples. Mais lorsque la relation est en cours, un tiers des personnes n utilise aucune contraception ; la pilule (28 %) et le stérilet (11 %) sont plus fréquemment utilisés et le préservatif beaucoup moins (22 %). La pilule est le moyen contraceptif le plus utilisé lors du dernier rapport sexuel déclaré. Pour 35 % des répondants qui «ont déjà eu une grossesse», il est arrivé d avoir ou d être à l origine d une grossesse accidentelle ou non prévue. L issue de cette grossesse accidentelle (ou de la dernière survenue) a été dans 55 % des cas une naissance et pour 35 % des cas une interruption volontaire de grossesse (IVG). Pour 10 %, la grossesse s est terminée par une fausse couche. L issue de la grossesse dépend fortement du contexte financier, professionnel et relationnel de la personne au moment des faits. L IVG est considérée comme «un moyen de contraception comme un autre» par 22 % des hommes et 8 % des femmes. Plus les répondants sont jeunes et plus leur niveau de diplôme est faible, plus l IVG est considérée comme «un moyen de contraception comme un autre». En revanche, si l IVG est considérée comme facile d accès par près de la moitié des personnes majeures interrogées, seulement 24 % des mineurs sont de cet avis et plus d un mineur sur quatre ne se prononce pas. 7

8 Le VIH/sida La majorité de la population connait les principaux modes de transmission du VIH/sida. Mais certains mécanismes de transmission sont encore mal compris : 31 % des personnes faiblement diplômées et 35 % des ans pensent que la transmission est possible dans les toilettes publiques. 38 % des ans pensent que se laver après l acte sexuel est efficace pour se protéger du sida. Seuls 41 % des réunionnais interrogés ont déjà entendu parler des traitements contre le VIH/Sida contre 65 % en métropole en Et parmi eux, 27 % pensent que grâce aux multi thérapies, les personnes peuvent avoir une sexualité sans risque de contamination du partenaire. 13 % des réunionnais déclarent connaître une ou plusieurs personnes séropositives dans leur entourage. L acceptation des personnes séropositives est fortement liée à la connaissance d une personne malade dans son entourage et aux connaissances sur le virus. Sur l ensemble des répondants, 10 % déclarent qu ils refuseraient d aller manger chez une personne séropositive, 24 % refuseraient de laisser leurs enfants en sa compagnie, 64 % refuseraient d avoir un rapport sexuel en utilisant un préservatif. Un quart des répondants (26 %) a déjà craint d avoir été contaminé par le virus du Sida. 62 % des réunionnais ont déjà fait un dépistage au cours de leur vie, pour 48% de leur propre initiative. Le recours est plus fréquent chez les multipartenaires que chez les personnes en couple ou abstinentes. Il est également plus fréquent chez les femmes de 18 à 29 ans, probablement en raison du dépistage prénatal. Les motifs de recours au dépistage différent selon le sexe. Les femmes sont 27 % à évoquer la raison de l examen prénatal, 26 % un bilan médical et 25 % sans raison particulière. Alors que les hommes vont se faire dépister à 31 % lors d un bilan médical, 27 % suite à une prise de risque et 21 % sans raison particulière.

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