Le Centre Léon Bérard ouvre un nouveau pôle pour la prise en charge du futur
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- Marguerite Raymond
- il y a 8 ans
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1 Communiqué de presse Le Centre Léon Bérard ouvre un nouveau pôle pour la prise en charge du futur Penser la prise en charge de demain pour les personnes malades atteintes de cancer, leur proposer une offre de soins optimale et innovante 55 ans après son ouverture sur son site actuel du quartier Laennec dans le 8 e arrondissement, le Centre Léon Bérard (CLB), centre de lutte contre le cancer de Lyon et Rhône-Alpes, ouvre un nouveau bâtiment de mètres carrés dont mètres carrés dédié aux soins 1. Ce nouveau pôle qui fonctionnera uniquement en journée, du lundi au vendredi, sera en grande partie destinée à développer la prise en charge en ambulatoire, c est-à-dire à la journée. En effet, grâce aux progrès de la recherche, de plus en plus de traitements du cancer peuvent être proposés aux patients en ambulatoire. Pionnier dans la prise en charge des cancers, le CLB a investi 53 millions d euros pour construire ce nouveau bâtiment qui préfigure les nouveaux modes d accueil des personnes malades et correspond parfaitement aux orientations prises par le Président de la République lors de son annonce, le 4 décembre 2012, des travaux de réflexion pour un 3 e Plan Cancer Ainsi au CLB en 2011, 81 % des chimiothérapies ont été faites en hôpital de jour et 6 % des chirurgies sont réalisées en ambulatoire. Le patient vient faire son bilan ou son traitement dans la journée, c'est-à-dire en ambulatoire, et retourne chez lui une fois ces actes terminés. Ce mode de prise en charge est plébiscité par la grande majorité des malades et représente l avenir de la cancérologie. Le nouveau bâtiment comprend six niveaux et rassemble les services suivants : LUMEN, Centre de médecine nucléaire Groupement de coopération sanitaire LCU CLB-HCL (niveau -1 accueil rez-de-chaussée entrée rue Gabriel Sarrazin) Unité de préparation des chimiothérapies (rez-de-chaussée non accessible au public) Département des soins de support du patient en oncologie (rez-de-chaussée entrée rue Nungesser et Coli) Bloc opératoire (1 er étage) Hôpital de jour et Unité de gestion des entrées imprévues (2 e étage - entrée rue Nungesser et Coli) Consultations de médecine et soins de support secrétariats médicaux de la médecine cancérologique (3 e étage - entrée rue Nungesser et Coli) Bureau d études cliniques (4 e étage - entrée rue Nungesser et Coli) 1 Le bâtiment principal du CLB dispose de mètres carrés 1
2 Ce bâtiment comporte également des locaux techniques : en sous-sol pour l alimentation électrique, les serveurs informatiques, l évacuation des eaux usées, à l entresol pour le bloc opératoire et au 5 e étage et sur le toit avec notamment des panneaux solaires pour l alimentation de ballons d eau chaude. La surface de chaque niveau varie entre et mètres carrés. En effet, afin de faciliter l apport de lumière naturelle, le parti-pris architectural a été de construire un bâtiment en pleins et en creux répondant à l architecture du bâtiment construit en Des porte-à-faux gigantesques ayant nécessité 9300 m3 de béton offrent également une grande luminosité pour les services qui accueilleront les patients en ambulatoires : hôpital de jour et consultation. Une passerelle sur 2 niveaux de 57 mètres de long permet de relier le bâtiment principal à la nouvelle construction. Elle permet de faciliter les transports des personnes malades entre le nouveau bloc opératoire et les unités d hospitalisation de chirurgie situées au 1 er étage du bâtiment principal actuel. Le nouveau bâtiment a été conçu dans le cadre d une démarche Haute Qualité Environnementale (HQE). Pour cela, les choix dans le domaine de l électricité, de l isolation, de la ventilation, et de la gestion de l énergie se sont appuyés sur des systèmes performants (voir note architecturale en page 12). Ce nouveau bâtiment va également permettre une réorganisation du bâtiment principal du Centre Léon Bérard ( mètres carrés) dans lequel se trouvent les unités d hospitalisation conventionnelle et les plateaux techniques d imagerie et de radiothérapie. Parmi les grandes opérations à venir : L agrandissement des unités d hospitalisation de chirurgie ambulatoire et conventionnelle ainsi que du Département de radiologie, La création d une nouvelle unité d hospitalisation pour le secteur de médecine cancérologique et d un centre dédié aux cancers de la femme Contacts presse : Maryline Céa maryline.cea@lyon.unicancer.fr Nathalie Blanc nathalie.blanc@lyon.unicancer.fr 2
3 Table des matières Un des plus grands services de médecine nucléaire en France... 4 L importance des soins complémentaires aux traitements des cancers chimiothérapies préparées chaque année dans une unité de production flambant neuve... 7 Le bloc opératoire du futur, c est maintenant... 8 Un Hôpital de jour plus spacieux et plus fonctionnel Un espace dédié aux consultations de médecine cancérologique, de soins de support et d hospitalisation à domicile Les essais cliniques au plus près des patients Note architecturale Note environnementale Organisation technique
4 Un des plus grands services de médecine nucléaire en France Le Département de médecine nucléaire du Centre Léon Bérard et le service de médecine nucléaire de l Hôpital Édouard Herriot se réunissent en un seul service, baptisé «LUMEN», dans le cadre du Groupement de coopération sanitaire (GCS) Lyon Cancérologie Universitaire (LCU) fondé entre les Hospices Civils de Lyon (HCL) et le Centre Léon Bérard (CLB). Ce service occupera 1050 m² au niveau 1 du nouveau Centre de Soins Ambulatoires du CLB et disposera d une entrée dédiée, 29 rue Gabriel Sarrazin à Lyon 8ème (métro Grange Blanche). Le département de médecine nucléaire du Centre Léon Bérard, a déjà une forte activité, majoritairement oncologique, reflétée par la plus forte activité TEP de Rhône-Alpes. Il est aussi l un des rares centres de Rhône-Alpes spécialisé dans le traitement des cancers thyroïdiens, avec la présence de 5 chambres dédiées à la curiethérapie métabolique. Avec un plateau technique composé de 2 caméras TEP («PETscan») et 3 gammas caméras (dont 2 couplées à un scanner), ce nouveau service sera l un des plus importants centres de médecine nucléaire de France. Au début, six médecins (3 HCL et 3 CLB), dirigés par le Docteur Thomas Mognetti, assureront son fonctionnement, ainsi que, en partenariat avec des médecins libéraux, celui de l antenne déjà opérationnelle sur le site de l Infirmerie Protestante. Le nouveau service conservera une forte orientation oncologique mais y ajoutera l expertise ostéo-articulaire détenue par le service de l hôpital Édouard Herriot. En plus d une activité de routine soutenue, ce nouveau service développera des axes d expertise, telles l optimisation des irradiations par rapport aux données d imagerie (en collaboration avec le département de radiothérapie du CLB) ou la réduction du nombre total d examens d imagerie (pour réduire à la fois l irradiation et le nombre de transports) dans la prise en charge des lymphomes (en collaboration avec le département de radiologie du CLB). La médecine nucléaire en cancérologie Activité et effectif de la médecine nucléaire au Centre Léon Bérard : 4 médecins spécialistes, 1 cadre de santé, 9 manipulateurs en électroradiologie (MER), 5 secrétaires. 1 physicien médical. Plus de 90 % de l activité du département repose sur 4 examens : TEP scan, scintigraphie osseuse, ganglion sentinelle et FEV. En 2011, le département de médecine nucléaire, dirigé par le Dr Thomas Mognetti, a réalisé 3807 scintigraphies (gamma caméra) et 3882 examens de TEP Scan. Son activité est l une des plus importantes de Rhône-Alpes. L équipe des HCL sera composée de 3 médecins 2 radio-pharmaciens 3 manipulateurs en électroradiologie 2 assistantes médicales Le TEP scan : cet examen a pour but de cartographier en trois dimensions l utilisation d un sucre radioactif dans le corps, pour en tirer des enseignements sur son fonctionnement, et plus particulièrement l évolution de tumeurs. Il est classiquement associé à un scanner radiologique. Fraction d Éjection Ventriculaire : évaluation de la fonction cardiaque pour le suivi de la tolérance des chimiothérapies. 4
5 La scintigraphie de repérage du ganglion sentinelle : l étape du repérage consiste à injecter à proximité de la tumeur un produit radioactif en vue de rechercher les ganglions sentinelle pour optimiser la chirurgie dans le cancer du sein. La scintigraphie osseuse : pour le diagnostic de certains cancers et de nombreuses pathologies orthopédiques et rhumatologiques. La scintigraphie à la mibg et la scintigraphie à l'octréoscan : ces examens permettent de diagnostiquer certains cancers rares et requièrent une expertise médicale importante. En collaboration avec le Département de radiologie, des TEP scan avec scanner de qualité radiologique sont réalisés pour le bénéfice des patients, afin de réduire leur nombre total d examens (et donc leur irradiation et leurs déplacements). Cette nouvelle pratique permet en effet, dans certaines indications (essentiellement le suivi des lymphomes et la préparation de certains traitements de radiothérapie), de réaliser simultanément les deux examens. Le département de médecine nucléaire du CLB est aussi l un des rares centres de Rhône-Alpes spécialisé dans le traitement des cancers thyroïdiens, avec la présence de 5 chambres dédiées à la curiethérapie métabolique. 5
6 L importance des soins complémentaires aux traitements des cancers Le Département des soins de support du patient en oncologie (DISPPO) sera installé au rez-dechaussée du nouveau bâtiment. Ses bureaux regroupent 30 postes de travail et une salle de réunion. Emménageront dans ces nouveaux locaux : le service social des patients, l unité de psycho-oncologie, l unité douleur, l équipe mobile de soins palliatifs, les diététiciennes, le secrétariat du département. Les autres équipes du DISSPO, c est-à-dire les assistantes en charge de la consultation d annonce, les kinésithérapeutes (dont les locaux seront réaménagés en début d année) et l Espace de rencontre et d information (ERI), restent dans l ancien bâtiment. Une borne d accueil à l entrée avec présentoir et documentations diverses renvoie sur l ERI si besoin. Deux bureaux sont réservés aux entretiens avec les psychologues ou avec le service social. Les consultations sont communes avec la médecine ou la chirurgie, au 3 e étage du bâtiment, de même que l hôpital de jour au 2 e étage. Cependant, les équipes de ce département interviennent, à la demande dans l ensemble de l établissement que ce soit au Centre de soins ambulatoires, dans les unités d hospitalisation conventionnelle ou de jour, ainsi que sur les différents plateaux techniques (radiologie, médecine nucléaire ), et à terme Centre de la femme. Les soins de supports sont définis comme "les soins et soutiens nécessaires aux personnes malades tout au long de la maladie conjointement aux traitements oncologiques lorsqu il y en a". Ils permettent de mieux prendre en compte les symptômes physiques et les difficultés psychosociales rencontrés par les patients et leurs proches. Sont regroupés dans le cadre du Département interdisciplinaire de soins de support du patient en oncologie (DISSPO) : les activités de psychooncologie, de lutte contre la douleur, d accompagnement et de soins palliatifs, le service social, la nutrition, la kinésithérapie et les bénévoles du Centre Léon Bérard. 6
7 chimiothérapies préparées chaque année dans une unité de production flambant neuve Le Centre Léon Bérard fait partie des 5 plus importants centres de préparation des chimiothérapies (sur un même site) de France. Chaque année, il enregistre prescriptions et prépare plus de chimiothérapies, soit environ 250 chimiothérapies par jour. 75% sont destinées à l Hôpital de Jour, 15 % aux unités d hospitalisation conventionnelle (2C, 3B Nord, 3B Sud et HAD) et 10% à l Institut d hématologie et d oncologie pédiatrique (IHOP). Sur prescriptions de chimiothérapies, ont été réalisées dans le cadre d un essai clinique. L espace dédié à cette activité dans l ancien bâtiment était devenu trop exigu. Dans ces nouveaux locaux, le centre de préparation des chimiothérapies disposera de 350 mètres carrés, avec des salles dites blanches. Un secteur stérile La préparation de la chimiothérapie est réalisée dans un secteur stérile ISO 5 et ISO 7, répondant aux mêmes critères de sécurité que ceux exigés dans l industrie pharmaceutique. Les préparations sont fabriquées sous Poste de sécurité microbiologique (PSM). L atmosphère des PSM sous lesquels travaillent les préparateurs est filtrée 600 fois par heure. Les filtres utilisés retiennent la totalité des particules inertes ou vivantes supérieures à 0,3 µm. Les PSM sont installés dans une pièce dont la qualité de l air, c'est-à-dire le nombre de particules inertes et vivantes, est également maîtrisée. Les préparateurs et pharmaciens qui travaillent dans ce secteur portent : des gants stériles de type chirurgical, une charlotte, une casaque de chirurgien et des surchausses. Efficacité En moyenne, il se passe 30 minutes entre la prescription du médecin (clic sur ordinateur) et la mise à disposition du produit prêt en pharmacie. Ensuite il faut rajouter le temps de transport entre la pharmacie et le service. Sécurité des patients Les chimiothérapies sont fabriquées selon les Bonnes Pratiques de Préparation du 3 décembre 2007 de l Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM). Il existe un double contrôle de toutes les opérations à risques lors de la fabrication des chimiothérapies. Ces vérifications sont effectuées par 2 opérateurs différents. Effectif : 6 pharmaciens, 4 sont spécialisés dans l analyse pharmaceutique des prescriptions. 6 préparateurs 7
8 Le bloc opératoire du futur, c est maintenant Symbole de la démarche ambulatoire engagée par le Centre Léon Bérard, plus de 90% des patients se rendent au bloc opératoire à pied. Construit dans les années 90, l ancien bloc opératoire du CLB restait moderne et fonctionnel, mais en raison de l augmentation de l activité chirurgicale, le nombre de salles (7 salles dont 1 dédiée à l endoscopie, l autre à la radiologie interventionnelle) était insuffisant, d où la construction de ce nouveau bloc. Le CLB propose uniquement la chirurgie des cancers, avec une offre de chirurgie conventionnelle et mini-invasive (coelioscopique) dans quatre grands domaines : Digestive, hépato-bilio-pancréatique et viscérale Thoracique Séno-gynécologique ORL Auxquels il faut ajouter une offre importante en chirurgie reconstructrice (sénologie, ORL ) ainsi que la stomatologie et la dermatologie. Il a aussi une activité endoscopique, de radiologie interventionnelle et de curiethérapie. Dans le cadre du développement de son pôle de soins ambulatoires, le CLB a pu concevoir un nouveau bloc sur un étage complet (au 1 er étage du bâtiment : m2). Ce plateau technique est relié au bâtiment d hospitalisation par une passerelle vitrée opacifiée. Onze salles d intervention Le nouveau bloc dispose de onze salles d intervention dont une dédiée à l endoscopie, d une salle de soins post-interventionnels (salle de réveil) de 16 places et d un salon d attente. En effet, 96 Depuis le 1er décembre 2010, le bloc opératoire du Centre Léon Bérard, centre de lutte contre le cancer de Lyon et Rhône-Alpes, accueille les patients «debout». Inspirée des pratiques nord-américaines, cette nouvelle organisation, unique en Rhône-Alpes, correspond aux attentes de la quasi-totalité des personnes malades qui ont depuis été prises en charge. Plus de 90% des patients interrogés sont satisfaits de cette organisation qu ils estiment moins stressante. Plus de 6000 patients se sont ainsi rendus à pied au bloc au lieu d être conduits dans un lit. % des patients opérés au CLB se rendent au bloc à pied et non dans un lit comme dans les autres blocs français. Ce bloc high tech, lumineux et décoré permet non seulement de mieux accueillir la personne malade, mais également d optimiser l organisation de cet équipement. C est la société Maquet qui a été chargée de l aménagement de ce bloc. Ce bloc de nouvelle génération est dit «intégré» : c est-à-dire qu il offre des fonctions domotiques, informatiques et de communication adaptées aux besoins spécifiques des professionnels du CLB qui ont été associés à sa conception. Toutes les salles du nouveau bloc seront équipées des matériels suivant : 3 postes informatiques (pour le chirurgien, pour le médecin anesthésisteréanimateur et pour l infirmière de bloc), 1 grand écran mural, 1 écran de rappel sur bras articulé à proximité du chirurgien, 8
9 1 caméra d ambiance, 1 caméra de champ piloté pouvant être par le chirurgien et son équipe. Le bloc disposera également de plusieurs colonnes mobiles pour la chirurgie coelioscopique. Les chirurgiens auront à disposition depuis le champ opératoire une tablette tactile permettant de contrôler une partie des équipements de la salle d intervention, d accéder immédiatement au dossier informatisé du patient contenant toutes les données nécessaires, d afficher les examens d imagerie sur les écrans à disposition dans la salle. Cette informatisation a été rendue possible grâce à un investissement important des informaticiens du Centre Léon Bérard qui ont travaillé avec la société Maquet pour rendre les systèmes d information communicants et ceci de manière sécurisée et fiable. Grâce aux caméras de champ, ils pourront filmer l intervention et l envoyer pour avis en direct à leurs confrères chirurgiens, anatomopathologistes, ou en différé lors des Réunions de concertation pluridisciplinaires pour discussion avec leurs confrères oncologues médicaux, radiothérapeutes, radiologues Les caméras d ambiance permettent aux cadres soignants de connaître en temps réel l état d avancement de l intervention en cours afin de mieux préparer la suivante. Le personnel du bloc 17 chirurgiens 10 médecins anesthésistes-réanimateurs 2 cadres infirmiers 15 infirmiers de bloc opératoire (IBODE), 3 infirmiers d endoscopie, 10 infirmiers anesthésistes (IADE) et 3 infirmières de salle de réveil 6 brancardiers 3612 interventions chirurgicales ont été réalisées en % ont été pratiquées en ambulatoire, c est-à-dire que le patient est rentré chez lui le jour même et a été appelé au téléphone le lendemain par l équipe soignante. Ces 23% incluent les pauses de voies veineuses centrales. Le bloc fonctionne du lundi au vendredi de 7 h 30 à 18 heures, avec deux équipes soignantes. 35 personnes se côtoient chaque jour sur ce plateau technique. Unité d hospitalisation chirurgicale 3 unités d hospitalisation conventionnelle 52 lits 1 unité d hospitalisation ambulatoire de 5 postes 1 unité de soins continus de 8 postes Un centre pour l enseignement Une des missions du CLB est l enseignement. Le Bloc accueille en permanence des internes et des assistants, en chirurgie et anesthésie, ainsi que des infirmiers en formation (IBODE et IADE). Ce nouveau bloc, par son approche intégrée et l outil de communication audio et vidéo qu il offrira, aidera également à remplir cette mission essentielle pour le Centre. 9
10 Un Hôpital de jour plus spacieux et plus fonctionnel Anciennement installé au rez-de-chaussée du bâtiment principal, l hôpital de jour a enregistré près de séjours en Il disposait de 48 places réparties dans une grande salle des fauteuils comprenant une vingtaine de postes et des salles plus petites, de 3 à 4 fauteuils, ainsi que de chambres de deux lits. Ouvert en 2005, le service est très rapidement devenu trop petit pour l activité d un centre de lutte contre le cancer. Actuellement, en effet, 81% des chimiothérapies prescrites aux personnes suivies au CLB se font en ambulatoire, c està-dire à l hôpital de jour. Les patients, après une consultation, reçoivent leur traitement, selon le protocole de soins, et repartent ensuite chez eux. En règle générale, cette unité d hospitalisation est ouverte du lundi au vendredi de 8 à 19 heures. Actuellement, l hôpital de jour prend en charge entre 110 et 120 patients par jour. L équipe soignante est composée de 25 infirmiers, de 3 aides-soignants et de 2 cadres. L hôpital de jour dispose de son propre accueil avec 5 assistantes médicoadministratives pour l accueil et la gestion du dossier administratif du patient. Dans le nouveau bâtiment, l hôpital de jour disposera de 71 places répartis en 4 grands pôles Cytaphérèse : 2 places Essais thérapeutiques : 12 places Chimiothérapies : 41 places Bilans complexes : 10 places UGEI : 6 places Le médecin responsable du service est le Dr Thomas Bachelot, oncologue médical, coordonnateur adjoint du Département de cancérologie médicale. La cytaphérèse est l acte au cours duquel les cellules souches sont prélevées à partir du sang. Elles sont ensuite conservées congelées dans de l azote liquide pour être réinjectées par voie veineuse, après une chimiothérapie intensive : c est le principe de l autogreffe de cellules souches hématopoïétiques qui est proposé dans le traitement de certaines tumeurs malignes. 206 cytaphérèses ont été réalisées en 2011, pour 116 greffes réalisées dans des services spécialisées de l IHOP et du CLB. Les essais thérapeutiques : depuis 2008, le CLB a ouvert un secteur spécifiquement dédié aux chimiothérapies dispensées dans le cadre d essais thérapeutiques. Entre 10 et 16 patients sont pris en charge chaque jour. Le CLB est en effet l un des plus gros centre français promoteurs d essais cliniques en cancérologie. En 2011, il gérait plus de 200 protocoles incluant 950 patients. Le secteur est composé de 3 infirmières référentes et de 3 infirmières de l hôpital de jour, spécifiquement formées et dont les compétences leur permettent de relayer leurs collègues auprès des patients. Le CLB fait également partie des 16 Centres Labellisés par l Institut national du cancer (INCa) pour la prise en charge des essais de phase précoce. Il permet ainsi de faciliter l accès aux molécules innovantes pour les patients. UGEI : le Centre Léon Bérard n a pas de service d urgences. Cependant afin d assurer un meilleur suivi de la personne malade tout au long de sa maladie, il a créé une Unité de gestion des entrées 10
11 imprévues (UGEI). Cette unité permet d améliorer la prise en charge des urgences en oncologie et dispose de 6 lits (au lieu de 4) au sein de l hôpital de jour. Elle est ouverte, en semaine, de 8 h 30 à 17 h 30 et est réservée aux personnes soignées au CLB. Cette unité n est pas accessible directement par le patient. Un espace dédié aux consultations de médecine cancérologique, de soins de support et d hospitalisation à domicile Installé au 3 e étage, le service des consultations (1600 mètres carrés) comptera 18 salles au lieu de 11 actuellement. Des salons d attentes, un accueil spécifique ont été aménagés. La politique d accueil de la personne malade au CLB se traduit en effet par des accueils décentralisés dans chaque service afin de fluidifier la prise en charge et de limiter les temps d attente. En 2011, les départements de médecine, de génétique, du DISSPO et l HAD ont assuré consultations. Il prendra en charge les consultations de médecine, de génétique, des soins de support et des médecins de l Hospitalisation à domicile (HAD). 3 infirmiers sont également présents pour prendre en charge les patients en consultation. En effet, au 1 er étage et au niveau 1 du bâtiment principal, l accueil 2 continuera d accueillir les consultations de chirurgiens et anesthésistes réanimateurs, ainsi que celles de radiothérapie. Le service des consultations est ouvert du lundi au vendredi de 8 à 18 heures, avec un accueil spécifique. Les assistantes médicales des praticiens de médecine cancérologique seront également installées à cet étage. 8 bureaux et 26 postes de travail. 11
12 Les essais cliniques au plus près des patients Installé au 4 e étage, le Bureau d études cliniques (BEC) réunit les attachés de recherche clinique. Ce service, à mi-chemin entre la recherche clinique et l hôpital, se charge de l organisation, la gestion et la surveillance des protocoles des essais cliniques au Centre Léon Bérard. Une des trois missions du CLB est en effet la recherche et l établissement met tout en œuvre pour proposer l innovation, tant en termes de traitements que de diagnostics, le plus rapidement possible au service des patients. A ce titre, le CLB est un des dix Centres de Recherche Clinique labellisés par la Direction Générale de l Organisation des Soins (DGOS) et dispose de l un des seize Centres cliniques de phase précoces (CLIP2) labellisés par l Institut national di cancer (INCa). Par ailleurs, huit projets menés par un investigateur principal du CLB ont été financés en 2012 au titre du Programme Hospitalier de Recherche Clinique (PHRC) national cancer (6 promotions CLB, 2 promotions Unicancer). En 2011 au CLB, 959 patients étaient inclus dans un essai clinique, 235 protocoles étaient ouverts dont 83 nouveaux. 22 % de ces protocoles avaient pour investigateur principal un médecin du Centre Léon Bérard, 33% étaient considérés comme innovants, 48% présentaient une dimension internationale, et 67 % incluaient une interface biologique (recueil d échantillon sanguin ou tumoral). Le BEC est rattaché à la Direction de Recherche Clinique et de l Innovation (DRCI) dont le responsable est le Pr Sylvie Négrier et le coordonnateur le Dr David Pérol. Il se compose de vingt-et-un attachés de recherche clinique, d une assistante médicale et d une responsable de service : Christelle Florent. Sont également rattachées au BEC, six techniciennes de laboratoires en charge. 12
13 Note architecturale Composition urbaine et réponse à un contexte Le projet se situe au cœur du 8 e arrondissement de Lyon sur le site du Centre Léon Bérard. Ce projet intervient dans l optique d un développement du site existant. L extension a été réalisée sur une parcelle voisine. La nouvelle construction est implantée le long de la rue Nungesser et Coli. Afin de relier le bâtiment principal et le nouveau pôle, une passerelle a été construite permettant une liaison sur 2 niveaux. La façade principale de cette construction, exposée au Nord, fait face au bâtiment principal actuel. Le projet est travaillé de façon à évoquer une résonance de part et d autre de la rue. Il intervient comme une réponse au bâtiment qui lui fait face. La volumétrie du projet reproduit des effets de creux et de pleins, présents sur les bâtiments situés de l autre côté de la voie. Cet effet de symétrie permet d avoir une continuité de volumes et d implantation en peigne, entre le bâtiment existant du Centre Léon Bérard, situés au Nord de la rue, et le nouveau pôle, situé au Sud. Pour renforcer cet effet, les bâtiments présents de part et d autre de la rue Nungesser et Coli sont proches en gabarit. La perspective de la rue est renforcée. Au sud, et en direction d un cœur d îlot typique du quartier, les hauteurs du bâtiment vont en diminuant, afin d être plus adapté aux variations morphologique d un secteur dont l épannelage est peu élevé (de R+1 à R+3). De ce côté la volumétrie est plus irrégulière et exprime radicalement une densité et discontinuité de programme. Expression formelle d un programme dense Le projet observe une morphologie très proche des besoins fonctionnels. Ce projet est un travail de modelage au plus juste autour de fonctions tout en gardant en considération l apport de lumière naturelle. Dès lors, cette forme est caractérisée par la présence de creux sur toute la hauteur de la construction et par des surfaces de plateaux variables suivant les niveaux. Ceci donne lieu à de grands porte-à-faux. La volumétrie est alors une expression radicalisée de la fonction. Sur ce projet, l idée était d exprimer avec force une adaptation de la forme à la fonction. L objectif était de fournir une réponse à un programme complexe tout en jouant avec les volumes et l architecture. Ce principe fut exacerbé et adapté à une architecture contemporaine. Le traitement de la lumière naturelle étant une priorité, nous avons choisi de creuser la volumétrie en créant des redans, des failles, et des patios. Ce langage architectural est à nos yeux une réponse évidente pour ce projet. 13
14 Données techniques de la réalisation Le projet s organise sur 6 niveaux regroupant 8 services pour une SHON de M² et une SHOB de M². Les surfaces de chaque niveau sont variables allant de M² SHON pour les plus petits plateaux (R+4), à M² SHON pour les plus grands (R+2 niveau des grands porte-à-faux). Une passerelle sur 2 niveaux de 57 M de long permet de relier le site existant à la nouvelle construction. L ensemble de la construction est en béton armé de type poteau/poutre et voiles de contreventement. Seul l attique et la passerelle de liaison sont en ossature métallique. Le traitement des façades joue avec la volumétrie du projet. Le RDC et le R-1 intervenant comme le socle du bâtiment, les matériaux utilisés sont les mêmes. Le rythme vertical est affirmé sur cette partie. 2 produits verriers sont utilisés en murs rideaux. Le premier produit est opaque (verre émaillé dépoli). Ce produit intervient comme matériau de remplissage des murs rideaux. Des ouvertures au vitrage transparent sont ponctuellement positionnées. Aussi pour couronner ce socle une serrurerie basée sur l horizontalité épouse la périphérie de la construction. Aux 4 niveaux supérieurs, la volumétrie est affirmée en façade par des encadrements gris nacrés. L intérieur de ces grands cadres gris nacrés visibles sur les façades Sud, Nord et Ouest sont traités en façade cadre de type respirant. Le remplissage des murs rideaux est une alternance de produits verriers opaques, jouant avec les vitrages transparents pour les ouvertures. Ce mur rideau s affranchit de toute trame verticale et horizontale. Les fonds des creux ainsi que l attique technique reçoivent, en façade, un matériau zinc pré-patiné. Les multiples pignons Est et Ouest sont en vêtures de type cassette alu laqué gris nacrés. L ensemble des châssis vitrés sont en double vitrage additionné à un store extérieur et un simple vitrage. La passerelle est traitée avec 3 matériaux. En partie centrale (partie structurelle) le bardage blanc utilisé sur les pignons. Au R+2 elle est partiellement traitée avec un produit verrier transparent. Au R+1 elle est entièrement traitée avec un produit verrier translucide. Les travaux ont débuté le 10 Mai 2010 et se sont achevés en décembre Note environnementale Le projet tient compte des cibles Haute Qualité Environnementale (HQE) suivantes : ELECTRICITE - Luminaires démarche HQE. à économie d énergie et durée de vie très importante. - Commande automatique dans parties communes et sanitaires. - Eclairage à LED dans certaines parties du bâtiment. - Gestion d éclairage en fonction de l apport naturel de la lumière du jour. - Branchement voiture électrique dans le parking. - Priorité à l éclairage naturel. GESTION DE L ENERGIE PAR CHOIX DE SYSTEMES PERFORMANTS - Productions Calorifique et Frigorifique dans le cadre d une démarche HQE (Haute Qualité Environnementale) et d une recherche d économie d énergie basée sur les solutions suivantes : - Utilisation du chauffage urbain comme source calorifique de base, présentant une solution environnementale basée dans la valorisation des combustibles tels que le bois, les déchets ménagers non recyclables et la cogénération. - Récupération d énergie calorifique de la production frigorifique avec installation de pompe à chaleur en complément de la production calorifique de base, notamment en mi-saison et en saison chaude. - Energie renouvelable : intégration de panneaux solaires avec utilisation pour le préchauffage de l eau froide destinée à la production de l eau chaude sanitaire. 14
15 - - Intégration de contacteurs de feuillures dans les ouvrants des locaux, permettant de gérer le fonctionnement des installations de traitement d air ISOLATION DU BATI - Mise en œuvre d une isolation de confort en utilisant une ITE (isolation thermique par l extérieur) d une épaisseur de 15cm. - Utilisation d une isolation des parois et des vitrages avec une résistance thermique très performante : Murs extérieurs R > 3,5 m2k/w Toiture R > 7,5 m2k/w Vitrages Double vitrage à lame d argon et verre peu émissif ; châssis à rupture de pont thermique ; protections solaires. VENTILATION DES LOCAUX - Dans les locaux nécessitant une ventilation totale tout air neuf, récupération de calories par système de récupération sur l air extrait (batteries de récupération de chaleur sur air neuf et air extrait). - Gestion des débits d air en fonction de l occupation L ensemble de ces aménagements techniques nécessite une surface importante des locaux techniques. Sur le toit Intégration de panneaux solaires avec utilisation pour le préchauffage de l eau froide destinée à la production de l eau chaude sanitaire. 15
16 Organisation technique Les Locaux techniques sont répartis en trois points dans le bâtiment : R-1 : Locaux techniques pour l ensemble du bâtiment (Traitement d air, et locaux liés aux branchements sur réseaux publiques). Entresol : Locaux techniques principalement pour le désenfumage du R-1 et du RDC, et pour le traitement d air du service de Bloc Opératoire au R+1 Attique technique et toiture terrasse : Locaux techniques pour l ensemble du bâtiment (Traitement d air et désenfumage du R+1, R+2, R+3, et R+4). Ces locaux seront traités de façon à protéger sur le plan acoustique le voisinage. Seront présent en terrasse les capteurs solaires. Réseaux Les branchements sur la voirie concernent : Les réseaux d eaux usées et eaux vannes : branchement sur égout unitaire Les réseaux d eaux pluviales : branchement sur égout unitaire L arrivée en eau potable : branchement sur alimentation eau potable Le réseau de Chauffage : branchement sur réseau de Chauffage urbain D autres branchements interviennent sur les réseaux existants du Centre Léon Bérard : Le réseau électrique : branchement sur la boucle moyenne tension du CLB (liaison soumise à autorisation des services de la voirie) Le réseau Télécoms : branchement réseau Télécoms du CLB (liaison par la passerelle) Le réseau fibre optique : branchement réseau du CLB (liaison par la passerelle) 16
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