DIALOGUE DE GESTION EHPAD. ENQUETE FLASH 2014 (données 2013)

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1 DIALOGUE DE GESTION EHPAD ENQUETE FLASH 2014 (données 2013)

2 Objectifs de l enquête Cette enquête FLASH, partie intégrante du dialogue de gestion avec les EHPAD, est relative au suivi de données clés en matière de qualité et de sécurité des accompagnements. Elle participe à la démarche d amélioration continue de la qualité mise en place au sein de chaque établissement. Elle est destinée à l ensemble des EHPAD de la région, quel que soit leur statut, leur mode de tarification. Elle porte sur les résultats de l année 2013 et comprend des données fixes, qui seront suivies d une année sur l autre jusqu à l échéance du PRS. Focus 2014 : une analyse plus détaillée sur le médicament. Les outils développés par l ARS doivent permettre aux directeurs d ESMS d optimiser leur gestion interne : Par la production d indicateurs favorisant le pilotage interne de la démarche qualité. Par des restitutions permettant aux établissements de se situer sur leur territoire et dans la région. Avec une perspective de restitutions individuelles en priorité dans le cadre du dialogue de gestion à mi-parcours pour 62 établissements concernés ayant signé leur CTP en 2012.

3 Des dialogues de gestion au service d une démarche d amélioration continue de la qualité Enquête Flash Tableau de bord ANAP Autres informations Dialogue de gestion Objectifs régionaux Objectifs spécifiques/ individuels (Qualité, efficience, investissement, restructuration, RH ) 2012 Agence Régionale de Santé des Pays de la Direction de l Efficience de l Offre - 3

4 Présentation des EHPAD répondant (1/3) En 2013, 71% (en 2012, 59%) des EHPAD ont répondu à l enquête dans sa totalité ou partiellement Répartition départementale et par statut juridique du nombre de répondants (FLASH 2013) 71% % 65% Maine et 74% 78% Mayenne Sarthe Vendée Taux de répondants régional : 71 % soit 396 EHPAD territorial (81% répondants ; 95/118) hospitalier (78% répondants ; 58/74) autonome (64% répondants ; 61/96) Privé but non (68% répondants ; 151/221) (63% répondants ; 31/49) Taux de répondants Répartition départementale et par statut juridique du nombre de répondants (FLASH 2012) % 58% 6 Maine et % % Mayenne Sarthe Vendée 4 Taux de répondants régional : 59 % soit 312 EHPAD territorial (45% répondants) hospitalier (74% répondants) autonome (59% répondants) Privé but non (63% répondants) (52% répondants) Taux de répondants 140 Répartition départementale et par capacité du nombre de répondants (FLASH 2013) Inférieur à 50 HP (63% répondants ; 51/81) Maine et Mayenne Sarthe Vendée Entre 50 et 80 HP (73% répondants ; 206/282) Supérieur à 80 HP (71% répondants ; 139/195)

5 Présentation des EHPAD répondant (2/3) PMP moyen des établissements répondants : 146,40 Rappel PMP moyen régional :146 GMP moyen des établissements répondants : 633,83 Rappel GMP moyen régional : 638 Taux régional de résidents diagnostiqué Alzheimer ou maladie apparentée : 4 (45% sur la France entière ORS février 2014)

6 11% 16% 17% 15% 15% 15% 22% 29% 27% 28% Présentation des EHPAD répondant (3/3) GIR 5 / 6 à l entrée en EHPAD Objectif : Centrer la mission des EHPAD sur l accueil des résidents les plus dépendants. Cible : Limiter le taux de résidents GIR 5 ou 6 à l entrée. 35% GIR 5 ou 6 à l'entrée en EHPAD (par département) 35% 3 25% GIR 5 ou 6 à l'entrée en 2013 (par statut) 31% 3 25% Taux de GIR 5 ou 6 à l'entrée % 1 17% 23% 12% 15% 5% 15% Taux de GIR 5 ou 6 à l'entrée 2013 non autonome hospitalier territorial 1 5% résultats régionaux 2013 des résidents entrés en EHPAD dans la région en 2013 ne sont pas dépendants. Peu d évolution significative de cet indicateur par rapport aux résultats 2012, tendance à la baisse en - et en Sarthe. Maine et Mayenne Sarthe Vendée GMP départemental 2013 La proportion de résidents GIR 5-6 à l entrée reste particulièrement importante en - et Vendée, départements dont les GMP moyens sont les plus faibles de la région. Ce sont les établissements du secteur public territorial qui accueillent le plus de résidents autonomes. Résultats régionaux 2013 = médiane 2013

7 Qualité de l accompagnement (1/4) Plan d Amélioration Continue de la Qualité formalisé Objectif : Mesurer la dynamique de mise en œuvre de la démarche qualité. Cible : Existence d'un PACQ formalisé et suivi % 27% 36% 32% 62% 31% 25% 8% 34% 51% 61% 73% PACQ (Evolution 2012/2013 par département) 64% 68% 69% 75% 92% 66% 49% 69% 63% % PACQ en 2013 (par statut) 64% non 68% autonome 93% hospitalier 65% 38% territorial 3 38% PACQ en 2013 (par capacité) Maine et Mayenne Sarthe Vendée % 65% 73% 65% OUI NON Résultats régionaux 2012 Résultats régionaux 2013 Inférieur à 50 HP Entre 50 HP et 80 HP Supérieur à 80 HP

8 Plan d Amélioration Continue de la Qualité formalisé : Si l on compare les résultats des établissements ayant répondu à l enquête en 2012 ET en 2013 (soit une évolution analysée sur 248 EHPAD), on constate une légère progression de la formalisation de la démarche qualité avec 69% de PACQ formalisés en 2013 contre 65% en Une évolution particulièrement notable est observée en Mayenne (38% de PACQ en 2012, 69% en 2013). Résultats 2013 : les établissements relevant des secteurs privé à but et public hospitalier sont les plus avancés dans la formalisation de la démarche qualité, avec plus de 9 de PACQ formalisés. Moins de 4 des établissements du secteur public territorial disposent d un PACQ formalisé en L existence d une démarche qualité formalisée semble favorisée par la taille de la structure (73% des EHPAD de plus de 80 places disposent d un PACQ), permettant l existence de compétences propres ou mutualisées (postes de qualiticiens) et la présence d une équipe de direction étoffée. Plan d action ARS : l ARS soutient les réseaux Qualisanté et Aquarel dans leur rôle d accompagnement des établissements de la région dans la mise en œuvre de leur démarche qualité (formation, outils).

9 41% 41% 38% 42% 47% 44% 44% 44% 58% 55% Qualité de l accompagnement (2/4) Projet de Vie Personnalisé Objectif : Garantir un accompagnement personnalisé. Cible : Un projet de vie personnalisé et formalisé pour chaque résident ayant accepté la démarche. PVP (par département) 8 PVP en 2013 (par statut) % Taux de résidents bénéficiant d'un PVP formalisé % 53% non autonome 49% hospitalier 34% 49% territorial 3 Taux de résidents bénéficiant d'un PVP formalisé 2013 Moins de la moitié des résidents de la région disposent en 2013 d un projet formalisé garantissant la personnalisation de leur d accompagnement. Ce pourcentage progresse néanmoins, particulièrement dans les départements 44 et 72. En 2013, dans 21% des établissements de la région, entre 90 et 10 des résidents bénéficient d un projet de vie personnalisés (18% des établissements en 2012). 1 résultats régionaux 2013 Seuls 34 % des résidents des établissements publics territoriaux bénéficient d un projet de vie personnalisé formalisé. Maine et Mayenne Sarthe Vendée Plan d action ARS : l ARS soutient les réseaux Qualité qui ont produit des outils organisationnels permettant la vérification de la concordance du projet de vie avec les recommandations ANESM.

10 3% 1% 8% 1 9% 12% 12% 12% 16% 19% Qualité de l accompagnement (3/4) Examen Bucco-dentaire à l entrée : Objectif : Améliorer la prévention de la dénutrition, mieux dépister les fragilités. Cible : Systématisation d un examen bucco-dentaire à l entrée en EHPAD. 18% 16% 14% 12% Bucco-dentaire à l'entrée (par département) 14% Taux de nvx résidents ayant bénéficié d'un examen bilan bucco-dentaire % 16% 14% 12% 1 8% 6% 4% 2% 9% Bucco-dentaire à l'entrée en 2013 (par statut) 18% non 1 autonome 19% hospitalier 6% 14% territorial 1 8% 6% 4% 2% Maine et Mayenne Sarthe Vendée Taux de nvx résidents ayant bénéficié d'un examen bilan bucco-dentaire 2013 résultats régionaux % 16% 14% 12% 1 8% 6% 4% 2% Bucco-dentaire à l'entrée en 2013 (par capacité) 9% 1 18% Inférieur à 50 HP Entre 50 HP et 80 HP Supérieur à 80 HP 14%

11 Examen bucco-dentaire à l entrée : Sur un an, on observe une croissance du taux de nouveaux résidents ayant bénéficié d un bilan bucco dentaire lors de leur entrée en EHPAD, même si ce pourcentage reste encore très faible (14%). Cette progression est particulièrement notable en Maine et et Mayenne. L organisation d un bilan bucco-dentaire semble favorisée par la taille de la structure : plus la taille de la structure augmente, plus cette préoccupation est prise en compte. Les établissements des secteurs public hospitalier et associatif présentent les plus forts taux de nouveaux résidents bénéficiant d un bilan bucco-dentaire Plan d action ARS : Depuis 2012, l ARS déploie un programme NBH (Nutrition Buccodentaire Hygiène), en 3 volets, destiné aux EHPAD : - Information et sensibilisation par l Assurance Maladie (transmission d une plaquette et d un courrier, visite d établissements). - Formation d un correspondant en santé orale par l UFSBD. - Désignation d un chirurgien dentiste référent pour le bilan d entrée.

12 Qualité de l accompagnement (4/4) Dossiers usagers complètement informatisés (154 EHPAD sur 396) Objectif : partage d informations, coordination des acteurs au sein de l établissement, sécurité (identito-vigilance, confidentialité) dossier administratif et d admission informatisé (154/396) + PVP informatisé (190/396) + dossier de soins informatisé (344/396) + prescriptions informatisées (296/396) 6 Dossiers usagers complètement informatisés en 2013 (par département) 6 Dossiers usagers complètement informatisés en 2013 (par statut) 4 38% 42% 32% 46% 39% 4 45% 42% 39% 36% 34% 39% 25% Maine et Mayenne Sarthe Vendée non autonome hospitalier territorial Dossiers usagers complètement informatisés en 2013 (par capacité) 6 39% 4 33% 37% 45% Inférieur à 50 HP Entre 50 HP et 80 HP Supérieur à 80 HP

13 Informatisation du dossier usager : 39% des EHPAD indiquent disposer d un dossier usager dont les quatre composantes sont informatisées : le dossier de soins, les prescriptions, le projet de vie personnalisé et le dossier administratif. Le dossier de soins semble prioritairement informatisé (86% d informatisation) alors que le support papier reste présent pour les dossiers administratifs et les projets d accompagnement personnalisés (respectivement 39% et 48% d informatisation). L informatisation de la prescription est l une des composante de la sécurisation du circuit du médicament. Cependant, il convient de prendre en compte les risques qui peuvent être induits par l informatisation, notamment en cas de retranscription des ordonnances par le personnel soignant en lieu et place du médecin prescripteur.

14 Sécurité de l accompagnement (1/6) Hospitalisations la nuit Objectif : Réduire les hospitalisations évitables la nuit. Contexte d une expérimentation IDE de nuit. 16% Hospitalisations la nuit par rapport aux hospitalisations de jour en 2013 (par département) 12% Appels vers le 15 la nuit en 2013 (en fonction de la capacité) 14% 12% 1 8% 6% 4% 12% 12% 7% 15% 1 1 8% 6% 4% 10,76% 8,29% 7,64% 6,7 2% 3% Maine et Mayenne Sarthe Vendée 2% Inférieur à 50 HP Entre 50 HP et 80 HP Supérieur à 80 HP Les EHPAD répondants à l enquête déclarent, qu en moyenne, 1 des hospitalisations ont lieu la nuit, avec d importantes disparités départementales. La situation de la Mayenne est particulièrement notable avec seulement 3% des hospitalisations de nuit. On constate également un lien entre la capacité de la structure et le nombre d appels vers le 15 la nuit. Les établissements de faible capacité (mois de 50 places), ont davantage recours au 15 la nuit. Ces résultats régionaux permettront d alimenter l évaluation de l expérimentation Astreinte IDE de nuit.

15 Sécurité de l accompagnement (2/6) Dossier de Liaison d Urgence Objectif : Sécuriser la continuité des soins Cible : Systématiser le Dossier de Liaison d Urgence. DLU en 2013 (par statut) % DLU en 2013 (par département) 9 84% 79% Résultat régional non autonome hospitalier territorial 79% 85% 9 94% 46% 88% % 63% 79% des EHPAD indiquent avoir mis en place un dossier de liaison d urgence prévu par la circulaire du 29 mai 2008 (89% sur la France entière observatoire national de la fin de vie 2013). Maine et Mayenne Sarthe Vendée Le résultat régional atteint 9 si l on ne prend pas en compte les EHPAD du secteur public hospitalier qui ont répondu à 46% avoir mis en place le DLU. Ces établissements utilisent des fiches de transfert, s apparentant au DLU, entre leur secteur EHPAD et les services hospitaliers. La proportion importante d établissements relevant du secteur public hospitalier en Mayenne (32%) peut expliquer que le DLU soit moins déployé dans ce département.

16 Sécurité de l accompagnement (3/6) Prévention des chutes En 2013, en Pays de la : 2,62% des chutes ont entraîné une hospitalisation complète 59% des résidents ayant chuté ont bénéficié d un suivi individuel. 8 Résidents ayant chuté et ayant bénéficié d'un suivi indivuduel en 2013 (par département) % 59% 47% 64% 53% 59% Maine et Mayenne Sarthe Vendée

17 Prévention des chutes : En 2013 en région Pays de la, une moyenne de 2,62% des chutes survenues en EHPAD ont entrainé une hospitalisation. Au plan national, 1,25 % des personnes âgées ayant fait une chute ont été hospitalisées, quel que soit leur lieu de résidence (Recommandation HAS novembre 2005 «prévention des chutes chez la PA»). En moyenne régionale, seuls 59% des résidents ayant chuté ont bénéficié d un suivi individuel. On peut s étonner de ce résultat alors qu une politique de prévention appelle une analyse et des éléments conclusifs pour toute chute. Plan d action ARS : depuis fin 2012, l ARS finance un programme de prévention des chutes travaillé avec le Gérontopole des Pays de la. Le programme sera présenté au dernier trimestre 2014 et déployé auprès des établissements sanitaires, médicosociaux et des personnes âgées à domicile à compter de 2015.

18 Sécurité de l accompagnement (4/6) Réalisation de fiches Evènements Indésirables Objectif : Diffusion d une culture de la sécurité / gestion des risques au sein des EHPAD. Cible : Mise en place d une organisation permettant la déclaration systématique des EI. Fiches EI (Evolution 2012/2013 par département) 1 Fiche EI en 2013 (par statut) % 15% 34% 19% 46% 31% 25% 17% 22% 32% 85% 83% 78% 81% 81% 78% 73% 69% 75% 66% 68% 54% % non 8 autonome 97% hospitalier 63% 75% territorial % Fiche EI en 2013 (par capacité) 74% 8 75% Maine et Mayenne Sarthe Vendée 3 1 OUI NON Résultats régionaux 2012 Résultats régionaux 2013 Inférieur à 50 HP Entre 50 HP et 80 HP Supérieur à 80 HP

19 Sécurité de l accompagnement (5/6) EI ayant fait l objet d une analyse de causes et d un plan d actions Objectif : S assurer de l existence d une analyse a posteriori des EI. Cible : EI ayant fait l objet d une analyse de causes et d un plan d action 6 EI ayant fait l'objet d'une analyse de causes et d'un plan d'actions en 2013 (par département) 6 EI ayant fait l'objet d'une analyse de causes et d'un plan d'actions en 2013 (par capacité) 56% 55% 4 37% 4 46% 37% 26% 3 23% 23% 32% Maine et Mayenne Sarthe Vendée Inférieur à 50 HP Entre 50 HP et 80 HP Supérieur à 80 HP STATUT Résultat régional non autonome hospitalier territorial 37% 5 55% 32% 28% 39%

20 Déclaration et analyse des évènements indésirables : Si l on compare les résultats des établissements ayant répondu à l enquête en 2012 ET en 2013 (soit 248 EHPAD), on constate une légère progression du management par la qualité et la gestion des risques au sein des EHPAD de la région : 73% des établissements disposaient de fiches de déclaration des évènements indésirables en 2012, ils sont 78% en Résultats 2013 : les établissements relevant des secteurs privé à but et public hospitalier sont les plus avancés dans la diffusion de la culture sécurité/gestion des risques avec plus de 9 de réponses positives, témoignant pour les premiers d un effet «groupe» et pour les seconds de la diffusion au secteur EHPAD d une culture déjà présente dans le sanitaire. Seuls 63% des établissements du secteur public territorial ont mis en place des fiches de déclaration des évènements indésirables en Le management par la qualité et la gestion des risques semble favorisé par la taille de la structure. En moyenne régionale 2013, seuls 37% des évènements indésirables ont fait l objet d une analyse de cause et d un plan d action (55% en - et Vendée). Si la culture de la déclaration est en progrès, l analyse et la mise en place de mesures correctrices restent des étapes à franchir. Cependant, l intitulé «analyse de cause» a pu être interprété différemment selon les établissements : soit une analyse de cause approfondie selon une méthode reconnue par la HAS, soit une analyse simple de l évémenent. Cette ambiguïté peut expliquer certains résultats. Plan d action ARS : l ARS soutient les réseaux Qualisanté et Aquarel qui ont travaillé à un kit de structuration de la déclaration des EI adapté au secteur EHPAD.

21 Sécurité de l accompagnement (6/6) Document d Analyse des Risques Infectieux Objectif : Mise en œuvre du programme national de prévention et de maitrise du risque infectieux (prévu par la circulaire interministérielle du 15 mars 2012). Cible : Réalisation du DARI. 10 DARI en 2013 (par département) De fortes disparités départementales et une moyenne de moins de la moitié des EHPAD ayant établi leur DARI % 83% 64% 49% 42% 3 Maine et Mayenne Sarthe Vendée Il est recommandé à chaque EHPAD d avoir recours à une expertise en hygiène, en passant convention avec une équipe opérationnelle d hygiène. Par statut : de 34% (public territorial) à 69% (public hospitalier)

22 Inscription de l établissement dans son environnement (1/1) Objectif : Donner accès à des modalités de soins qui contribuent à la qualité des accompagnements. Assurer la continuité des soins, réduire les hospitalisations évitables. Cible : 10 de conventionnement Convention avec HAD Convention avec HAD en 2013 (par département) Convention avec HAD en 2013 (par statut) % 78% 63% 62% 55% Maine et Mayenne Sarthe Vendée 68% % 76% non 61% autonome 52% hospitalier 64% 68% territorial Résultat national (observatoire Fin de vie en EHPA 2013) : 63% des EHPAD disposent d une convention avec une structure d HAD. Convention avec une équipe mobile de soins palliatifs 10 8 Convention avec une équipe mobile de soins palliatifs en 2013 (par département) 83% 91% 8 83% 87% 85% Convention avec une équipe mobile de soins palliatifs en 2013 (par statut) 76% 81% 85% 93% 89% 88% Résultat national (observatoire Fin de vie en EHPAD 2013) : 74% des EHPAD disposent d une convention avec une EMSP 6 Maine et Mayenne Sarthe Vendée non autonome hospitalier territorial

23 Objectif : Sécuriser le circuit du médicament. Focus médicament (1/6) Convention avec une ou plusieurs officines Objectif : Formaliser les relations EHPAD/officines. Cible : 10 des EHPAD disposent d une convention avec une ou plusieurs officines. 8 Convention avec une ou plusieurs officines en 2013 (par département) 10 8 Convention avec une ou plusieurs officines en 2013 (par statut) 89% % 52% 45% % 45% 3 33% 34% 35% 25% 26% Maine et Mayenne Sarthe Vendée non autonome hospitalier territorial 6 4 Convention avec une ou plusieurs officines en 2013 (par capacité) 35% 43% 52% 45% Inférieur à 50 HP Entre 50 HP et 80 HP Supérieur à 80 HP Dispenser des médicaments est un acte à risque qui fait intervenir plusieurs acteurs (officine, soignants de l EHPAD..). La mise en place d une convention permet de définir les responsabilités de chacun et de préciser une organisation visant à sécuriser le circuit. En 2013, 45% des EHPAD disposent d une convention avec une ou plusieurs officines contre seulement 15 % en avec de fortes disparités entre les départements de la région. Le conventionnement est plus avancé dans le secteur privé. 25% des EHPAD du secteur hospitalier ont conventionné avec une officine, il peut s agir d établissements ne disposant pas de PUI ou dont la PUI est éloignée du site de l EHPAD. Plus la taille de l EHPAD augmente, plus cette préoccupation est prise en compte.

24 Focus médicament (2/6) Existence d'une liste préférentielle des médicaments validée par le médecin coordonnateur : Objectif : une meilleure maitrise des médicaments prescrits, une réduction de la iatrogénie, des prescriptions adaptées au grand âge Cible : 10 des établissements disposent d une liste préférentielle (article D du CASF) 10 Liste préférentielle de médicaments (Evolution 2012/2013 par département) 58% 47% 66% 6 85% 69% 56% 39% 68% 69% Liste préférentielle de médicaments en 2013 (par statut) 84% % 61% 44% % 37% non 28% autonome hospitalier 38% 18% territorial % 34% 4 15% 31% 44% 32% 31% Maine et Mayenne Sarthe Vendée 35% 45% 4 35% 3 25% 15% 1 5% Liste préférentielle de médicaments en 2013 (par capacité) 24% 38% 42% 38% OUI NON Résultats régionaux 2012 Résultats régionaux 2013 Inférieur à 50 HP Entre 50 HP et 80 HP Supérieur à 80 HP

25 Existence d une liste préférentielle validée par le médecin coordonnateur : Code de l action sociale et des familles (article D ) Le médecin coordonnateur en EHPAD est chargé d élaborer une liste, par classes, des médicaments à utiliser préférentiellement, en collaboration avec les médecins traitants des résidents, et, le cas échéant, avec le pharmacien chargé de la gérance de la pharmacie à usage intérieur ou le pharmacien mentionné à l'article L du code de la santé publique. Si l on compare les résultats des établissements ayant répondu à l enquête en 2012 ET en 2013 (soit 248 EHPAD), on constate une progression du % des EHPAD disposant d une liste préférentielle validée : 35% en 2012, ils sont 44% en Sur les résultats 2013, on constate que les EHPAD adossés à un établissement hospitalier sont les plus avancés dans cette démarche, grâce à l antériorité du livret thérapeutique. Les EHPAD du secteur public territorial sont les moins avancés. L existence d une liste préférentielle semble favorisésepar la taille de la structure, les petits établissements peuvent être pénalisés par l absence de médecin coordonnateur. Plan d action ARS : prochaine mise en ligne sur le site internet de l ARS de fiches de recommandations de bonnes pratiques de l OMEDIT dont un guide pour l élaboration d une liste préférentielle adaptée à chaque EHPAD.

26 Focus médicament (3/6) Prescriptions Objectif : Diminuer la iatrogénie en réalisant des prescriptions pertinentes DEPARTEMENT STATUT CAPACITE Résultat régional Maine et Mayenne Sarthe Vendée non autonome hospitalier territorial Inférieur à 50 HP Entre 50 HP et 80 HP Supérieur à 80 HP Taux de résidents ayant une prescription de benzodiazépine à demie vie longue 14% 14% 13% 17% 9% 19% 12% 15% 13% 15% 16% 14% 15% 14% P Cible : Taux de résidents ayant une prescription de plus de 10 molécules différentes 17% 16% 18% 13% 19% 13% 17% 18% 17% 19% 17% 17% P Cible : Limiter la prescription de plus de 10 molécules. Taux de nx résidents dont prescription médicaments évaluée à l'entrée P Cible : 10 61% 74% 57% 44% 54% 6 79% 59% 49% 69% 52% 59% 63% 6

27 23% 22% 25% 23% 23% 32% 3 38% 39% Focus médicament (4/6) Résidents ayant une maladie d Alzheimer (ou apparentée), et ayant une prescription de neuroleptiques Taux de résidents ayant une maladie d'alzheimer (ou apparentée) et ayant une presciption de neuroleptiques (Evolution 2012/2013 par département) 45% 4 35% 3 25% 15% 1 5% Maine et Mayenne Sarthe Vendée 3 Taux de résidents ayant une maladie d'alzheimer (ou apparentée) et ayant une presciption de neuroleptiques 2012 Taux de résidents ayant une maladie d'alzheimer (ou apparentée) et ayant une presciption de neuroleptiques 2013 résultats régionaux 2013 En 2013, une moyenne de 3 des résidents ayant une maladie l Alzheimer ont une prescription de neuroleptiques dans les EHPAD de la région avec une vigilance particulière en Vendée, Mayenne et -. Ce pourcentage est comparable au résultat national : 27% des résidents en EHPAD sont exposés aux neuroleptiques (et 18% des malades d Alzheimer à domicile). La HAS (octobre 2010 programme AMI Alzheimer) souligne l inefficacité des neuroleptiques pour prévenir les troubles du comportement et indique qu ils sont à l origine d effets indésirables fréquents et ou sévères (risque de chute, accidents vasculaires cérébraux, décès). Les techniques de soins non médicamenteuses sont à promouvoir.

28 Focus médicament (5/6) Réalisation de l'auto-diagnostic du circuit du médicament Objectif : développer un outil commun permettant aux EHPAD sans PUI de réaliser un autodiagnostic de leur circuit du médicament, améliorer l efficacité de l organisation du circuit, améliorer la qualité et la sécurité de la prise en charge thérapeutique Cible : 10 d établissement ayant réalisé l autodiagnostic. Auto-diagnostic du circuit du médicament (Evolution 2012/2013 par département) 8 Auto-diagnostic du circuit du médicament en 2013 (par statut) % 62% 49% 36% 77% 69% 61% 36% 61% 47% % 48% 67% 75% 51% 52% % 38% 51% 64% 23% 31% 39% 64% 39% 5 53% 41% Maine et Mayenne Sarthe Vendée OUI NON Résultats régionaux 2012 Résultats régionaux non autonome hospitalier territorial 5 des EHPAD de la région déclarent avoir réalisé l autodiagnostic de leur circuit du médicament (avec l outil ARS), contre 41% en 2012 (comparaison des répondants 2012 et 2013). Or, le taux d EHPAD ayant retourné l auto diagnostic au réseau Aquarel santé ne s élève qu à 1. Afin de permettre à l ARS de travailler des objectifs et plans d action en lien avec les résultats régionaux, il est rappelé la nécessaire transmission de l autodiagnostic dès réalisation de celui-ci.

29 Indicateurs de résultats aux étapes suivantes de l auto-diagnostic Focus médicament (6/6) Colonne1 Maine et Mayenne Sarthe Vendée Total régional Score global obtenu 58% 55% 46% 51% 55% 54% Prescription 57% 54% 41% 51% 52% 53% Stockage des médicaments 69% 64% 44% 6 66% 64% Préparation des doses à administrer 7 73% 63% 66% 75% 71% Distribution et administration 66% 67% 54% 57% 68% 65% Coordination entre les partenaires/continuité de la prise en charge 55% 48% 33% 51% 5 5 Formation/information 16% 13% 8% 11% 19% 14%

30 Résultats de l autodiagnostic du circuit du médicament : Le score global de conformité s élève à 54%. La préparation des doses à administrer est l axe le plus développé dans les EHPAD sans PUI (71%). En revanche, la formation/information sur le circuit du médicament est l axe le moins développé (14% de conformité). Pistes de réflexion pour un programme d action piloté par l ARS : Systématiser la formalisation du processus circuit du médicament (proposition de protocoles modèles décrivant les différentes étapes). Faciliter l accès à des documents d aide à la sécurisation (mise en ligne sur le site ARS de fiches de recommandations de bonnes pratiques de l OMEDIT ) Développer les formations spécifiques sur le thème de la qualité/sécurité de la prise en charge médicamenteuse proposées par des organismes de formation ou structures d appui régionales (ou en interne par l IDEC) Systématiser l évaluation ou ré-évaluation des prescriptions sur impulsion du médecin coordonnateur

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