MANQUE DE SOMMEIL ET RISQUE D OBESITE ET DE DIABETE. Karine Spiegel, PhD
|
|
- Eliane Corriveau
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 MANQUE DE SOMMEIL ET RISQUE D OBESITE ET DE DIABETE Karine Spiegel, PhD Centre de Recherche en Neurosciences de Lyon INSERM U UMR 5292 Equipe «Physiologie intégrée du système d'éveil»
2 Obligation de déclaration des liens d intérêts prévu à l article L du Code de la Santé Publique Dr Karine SPIEGEL Période Industrie pharmaceutique, prestataire, société privée Coordonnateur études Investigateur études Consultant Invitation à des congrès Orateur rémunéré Novo Nordisk, CENAS - Sleep Center Actionnaire
3 Obésité et diabète : des épidémies Comportements impliqués dans ces épidémies: Activité physique & prise alimentaire & Sommeil?
4 Manque de sommeil 4
5 Le manque de sommeil est de plus en plus courant dans nos sociétés modernes Restriction volontaire du temps passé au lit Augmentation de la prévalence de l insomnie Augmentation de la prévalence du syndrome d apnées du sommeil (SAS) Vieillissement de la population - Travail en horaires décalés
6 10 9 USA La durée du sommeil des adultes américains a diminué de plus de 1h30 au cours des 50 dernières années. Durée de sommeil (heures) Années Adapté de McAllister et al, Crit Rev in Food Nutr & Sci, 49: , 2009
7 USA Pourcentage d adultes dormant 6h ou moins par nuit en 1985 et en 2004 SOURCES: Unpublished data, National Health Interview Survey, MMWR, 2005, 54(37);933
8 FRANCE Durée du sommeil des ans : 6H58 en semaine 3 H 0.3% 4 H 5 H 0.8% 8% Dorment 6H ou moins : 33% 6 H 24% 7 H 8 H 25% 38% Dorment 7 ou 8 H : 63% 9 H 3% 10 H 11 H 1% 0.1% Dorment 9H ou plus : 4% 12 H 0.1%
9 MANQUE DE SOMMEIL ET RISQUE D OBESITE ET DE DIABETE I. Sommeil court et risque d obésité II. Sommeil court et risque de diabète III. Extension de sommeil chez des petits dormeurs
10 Etudes épidémiologiques : lien entre sommeil court et IMC/adiposité élevé (Décembre 2010) ENFANTS, ADOLESCENTS & ADULTES ENFANTS & ADOLESCENTS ADULTES # ETUDES RAPPORTANT CE LIEN # TOTAL ETUDES # ETUDES RAPPORTANT CE LIEN # TOTAL ETUDES # ETUDES RAPPORTANT CE LIEN # TOTAL ETUDES ETUDES TRANSVERSALES ETUDES LONGITUDINALES TOUTES LES ETUDES Sommeil court : généralement < 6h chez l adulte
11 Etudes épidémiologiques : lien entre sommeil court et IMC/adiposité élevé (Décembre 2010) ENFANTS, ADOLESCENTS & ADULTES ENFANTS & ADOLESCENTS ADULTES # ETUDES RAPPORTANT CE LIEN # TOTAL ETUDES # ETUDES RAPPORTANT CE LIEN # TOTAL ETUDES # ETUDES RAPPORTANT CE LIEN # TOTAL ETUDES ETUDES TRANSVERSALES ETUDES LONGITUDINALES TOUTES LES ETUDES Sommeil court : généralement < 6h chez l adulte
12 Lien sommeil court et risque accru d obésité: quels mécanismes? Nous avons mesuré 2 hormones clefs impliquées dans la régulation de l appétit chez des hommes jeunes de poids normal, tout en contrôlant l activité physique et l apport calorique. Leptine Ghréline - + Appétit Appétit
13 LEPTINE anorexigène (ng/ml) % p<0.04 Restriction de sommeil: leptine diminuée, ghréline augmentée Perfusion constante de glucose (5g/kg/24h) GHRELINE orexigène (ng/ml) % p< HEURES 12 hommes Age : 22 ± 2 ans IMC : 24 ± 2 kg/m 2 APRES 2 NUITS DE 4 HEURES AU LIT APRES 2 NUITS DE 10 HEURES AU LIT Spiegel et al, Ann Int Med, 2004
14 Restriction de sommeil: Sensation de faim et d appétit augmentée FAIM (cms) 24%; p<0.01 APPETIT (cms) 23%; p< CLOCK TIME APRES 2 NUITS DE 4 HEURES AU LIT APRES 2 NUITS DE 10 HEURES AU LIT Spiegel et al, Ann Int Med, 2004
15 L augmentation de la faim est proportionnelle à l ampleur des modifications hormonales 3 AUGMENTATION DE LA FAIM rsp = 0.867, p = AUGMENTATION DU RAPPORT GHRELINE SUR LEPTINE Spiegel et al, Ann Int Med, 2004
16 SCORES D APPETIT APRES 2 NUITS DE 4H AU LIT VS 2 NUITS DE 10H AU LIT CATEGORIES D ALIMENT p Différence % ALIMENTS RICHES EN GRAISSES ET EN SUCRES SUCRERIES ALIMENTS SALES % +45% total % ALIMENTS PAUVRES EN GRAISSES ET RICHES EN GLUCIDES FECULENTS % FRUITS ET JUS DE FRUIT % LEGUMES % total % ALIMENTS RICHES EN PROTEINES VIANDE, POISSON, OEUF % PRODUITS I LAITIERS % total % APPETIT GLOBAL % Spiegel et al, Ann Int Med, 141 (2004)
17 24h energy expenditure (Kcals/day) Apport calorique 5% accru = adaptation normale à l'augmentation de dépense énergétique liée à l éveil prolongé? 16 adultes (8 H, 8 F), 22 ± 5 ans, BMI 23 ± 2 kg/m 2 5-day average food intake (Kcals/day) 6% 5 nuits de sommeil habituel (~ 7h40 de sommeil) 5 nuits de 5h au lit (~ 4h40 de sommeil)
18 24h energy expenditure (Kcals/day) 5% 16 adultes (8 H, 8 F), 22 ± 5 ans, BMI 23 ± 2 kg/m 2 5-day average food intake (Kcals/day) 6% 5 nuits de sommeil habituel (~ 7h40 de sommeil) 5 nuits de 5h au lit (~ 4h40 de sommeil)
19 24h energy expenditure (Kcals/day) 5% Dépense énergétique en condition de vie normale? 16 adultes (8 H, 8 F), 22 ± 5 ans, BMI 23 ± 2 kg/m ± 0.5 kg 5-day average food intake (Kcals/day) 6% 5-day average weight gain (kg) 5 nuits de sommeil habituel (~ 7h40 de sommeil) 5 nuits de 5h au lit (~ 4h40 de sommeil)
20 SELF-REPORTED SLEEP AND PREVALENCE OF OBESITY IN THE US Average sleep / day (hours) 10 Percent of U.S. Population Obese Year Adapted from McAllister et al, Crit Rev in Food Nutr & Sci, 49: , 2009
21 MANQUE DE SOMMEIL ET RISQUE D OBESITE ET DE DIABETE I. Sommeil court et risque d obésité II. Sommeil court et risque de diabète III. Extension de sommeil chez des petits dormeurs
22 TEST INTRAVEINEUX DE TOLERANCE AU GLUCOSE GLUCOSE (mg.dl -1 ) APRES 5 NUITS DE 4H AU LIT BIEN REPOSES 11 hommes en bonne santé Age : 22 ± 1 ans; IMC : 23.4 ± 0.5 kg/m 2 50 INSULINE (pm) TEMPS (min) TEMPS (min) %.min P TOLERANCE AU GLUCOSE pm.min P REPONSE AIGUE DE L INSULINE %.min P EFFICIENCE DU GLUCOSE 10-5.min -1.pM P SENSIBILITE A L INSULINE Spiegel et al., Lancet (1999) & Morselli et al, Pflugers Arch - Eur J Physiol (2012)
23 TOLERANCE AU GLUCOSE Kg : pente de décroissance des taux de glucose après injection intraveineuse de glucose SIGNIFICATIVITE CLINIQUE Kg (% / min) Sujets de ans en dette de sommeil 1.45 ± 0.31 Sujets de ans bien reposés 2.40 ± 0.41 Kg (% / min) Sujets de ans présentant une altération de la tolérance au glucose (1) Sujets de ans en bonne forme physique (2) (1) from Garcia et al, J Am Geriatr Soc 45: 813-7, (2) from Prigeon et al, Metabolism 44: , 1995.
24 DISPOSITION INDEX : UN MARQUEUR DU RISQUE DE DIABETE Disposition Index : 3000 p=0.003 Réponse aigüe de l insuline (µu.ml -1.min) 2000 X Sensibilité à l insuline (10 4.min -1.(µU/ml) -1 ) APRES 5 NUITS DE 4H AU LIT APRES 5 NUITS DE 12H AU LIT Spiegel et al., Nature Reviews Endocrinology, 2009
25 Restriction de sommeil et métabolisme glucidique Sensibilité à l insuline (mu/l) -1.min * * * * * * Sécrétion d insuline 400 mu.l -1.min * NA Indice de 2000 disposition * * NA * R=condition bien reposée 0 R 6 x 4h R 14 x 5.5h R au lit au lit Nedeltcheva 2009 Spiegel 1999 Leproult x 5h au lit Buxton 2010 R 4 x 4.5h au lit Broussard 2012 R 7 x 5h au lit Leproult
26 Désalignement circadien & restriction de sommeil Restriction de sommeil SANS désalignement circadien Restriction de sommeil AVEC désalignement circadien B1 B2 B3 D4 D5 D6 D7 D8 D9 D10 D HEURE HEURE 14 Leproult R, Holmbäck U, Van Cauter E Diabetes
27 Changements de sensibilité à l insuline Restriction de sommeil SANS désalignement circadien Restriction de sommeil AVEC désalignement circadien Rested Sleep debt 20 Rested Sleep debt -32% (25%) vs. -58% (13%) : P=0.011 Leproult R, Holmbäck U, Van Cauter E Diabetes
28 Short Sleep and Incidence of Type 2 Diabetes: A Meta-Analysis 9 prospective studies with a follow-up of >3 years Combined effect (random model): P=0.024 n=90,623 Number of incident cases: 3,079 Cappuccio et al. Diabetes Care 33: , 2010
29 ARCHITECTURE DU SOMMEIL: HYPNOGRAMME EEG Eveil 1er cycle 2ème cycle 3ème cycle 4ème cycle 5ème cycle SP ou REM NREM 1 NREM 2 NREM 3 Ondes lentes delta NREM 3 = Sommeil Lent Profond (SLP)
30 Métabolisme glucidique (IVGTT) Sensibilité à l insuline (mu/l - 1. min - 1 ) Baseline 25% * Après 3 nuits de suppression de SLP Réponse aigüe de l insuline (mu/l - 1. min) Baseline Après 3 nuits de suppression de SLP Tasali et al., PNAS 2008
31 Résultats: Métabolisme glucidique (IVGTT) Sensibilité à l insuline (mu/l - 1. min - 1 ) % * Réponse aigüe de l insuline (mu/l - 1. min) Tolérance au glucose (%. min - 1 ) 2 * Disposition Index 2,800 2,100 * 1 23% 1, % 0 0 Baseline Après 3 nuits de suppression de SLP Baseline Après 3 nuits de suppression de SLP Tasali et al., PNAS 2008
32 MANQUE DE SOMMEIL ET RISQUE D OBESITE ET DE DIABETE I. Sommeil court et risque d obésité II. Sommeil court et risque de diabète III. Extension de sommeil -chez l adulte sain -chez des petits dormeurs obèses
33 Extension de sommeil adultes sains 16 sujets (3 hommes) non obèses en bonne santé (20-50 ans) Durée moyenne de sommeil < 7h et plus importante le WE TEMPS TOTAL DE SOMMEIL (minutes) Actigraphie 480 Jours de semaine * * * 480 Week-ends ns Semaines 1-2 Habituel Semaines 1-2 Semaines 3-4 I n t e r v e n t i o n Semaines Semaines 1-2 Habituel Semaines 1-2 Semaines 3-4 I n t e r v e n t i o n Semaines 5-6 Leproult et al. Sleep 2014
34 Extension de sommeil adultes sains 10 SENSIBILITE A L INSULINE A JEUN QU UICKI (% ch hange) r = +0.72, P = Temps total de sommeil (% change) Leproult et al. Sleep 2014 Restriction sommeil Qualité sommeil Désalignement circadien Extension sommeil Conclusion
35 SOMMEIL ET METABOLISME I. Sommeil court et risque d obésité II. Sommeil court et risque de diabète III. Extension de sommeil -chez l adulte sain -chez des petits dormeurs obèses
36 Objectifs de l étude Déterminer chez des jeunes adultes obèses dormant habituellement peu (<7h/nuit) les effets bénéfiques d une extension du temps passé au lit sur: La durée et la qualité du sommeil Les marqueurs subjectifs, comportementaux et neuroendocriniens de la régulation de la prise alimentaire.
37 Un sommeil court et/ou de mauvaise qualité est un facteur de risque de maladies métaboliques Obésité Diabète Sommeil court / de mauvaise qualité
38 Des stratégies visant à optimiser le sommeil pourraient avoir des effets bénéfiques chez le sujet sain et dans les maladies métaboliques
L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie. DANIEL RIGAUD CHU de Dijon
L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie DANIEL RIGAUD CHU de Dijon 46 Obésité : définition L obésité est définie comme un excès de masse grasse associée à un surcroît
Plus en détailSommeil et sport Dr. Arnaud PRIGENT (Pneumologue à St LAURENT) sport et sommeil 01/06/2010
Sommeil et sport Structure du sommeil Au cours du sommeil, on repère 2 principaux types de sommeil : Le sommeil lent. Le sommeil paradoxal. Processus de régulation 3 processus: - circadienne (processus
Plus en détailSommeil, fatigue au volant et jeunes conducteurs
06 NOVEMBRE 2014 Sommeil, fatigue au volant et jeunes conducteurs Roger Godbout, Ph.D. Laboratoire et Clinique du sommeil, Hôpital Rivière-des-Prairies Département de psychiatrie, Université de Montréal
Plus en détailObésité chez l enfant Epidémie, Causes, Prévention. PD Dr. Jardena Puder Service de l endocrinologie, diabétologie et métabolisme, CHUV
Obésité chez l enfant Epidémie, Causes, Prévention PD Dr. Jardena Puder Service de l endocrinologie, diabétologie et métabolisme, CHUV Menu du jour Épidémie de l obésité chez l enfant Epidémiologie Facteurs
Plus en détailDr Ottaviani Service de Rhumatologie Hôpital Bichat Staff du 23 Mai 2014
Obésité et rhumatismes inflammatoires Dr Ottaviani Service de Rhumatologie Hôpital Bichat Staff du 23 Mai 2014 Obésité 1 Obesity Trends* Among U.S. Adults BRFSS, 1985 (*BMI 30, or ~ 30 lbs overweight for
Plus en détailL APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie.
1. Qu est-ce que le diabète? L APS ET LE DIABETE Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. Cette hyperglycémie est avérée si à 2 reprises
Plus en détailDéveloppement d une application pilote
Développement d une application pilote Nutri-TIC Flora Massanella Principes Cette seconde phase vise à mettre en pratique les conclusions obtenues lors de la phase A. L application web Nutri- TIC a donc
Plus en détailEn savoir plus sur le diabète
En savoir plus sur le diabète 2 Qu est-ce que le diabète? Le diabète se caractérise par un excès de sucre dans le sang, on appelle cela l hyperglycémie. Le diabète est une maladie chronique qui survient
Plus en détailBoughanmi Hajer. JAOUA Noureddine. Membre du bureau exécutif de l OTEF
Organisation Tunisienne pour L Éducation et de la Famille Elaboré par Diabète infantile Boughanmi Hajer Encadré par : Licence appliquée en Biotechnologie JAOUA Noureddine Membre du bureau exécutif de l
Plus en détailEffets sur la pression artérielle rielle des traitements non-médicamenteux
Effets sur la pression artérielle rielle des traitements non-médicamenteux PF Plouin, ESH Hypertension Excellence Center, Hôpital Européen Georges Pompidou, Paris La prise en charge de l hypertendu l concerne
Plus en détailLe sommeil Des milliards de neurones en activité
Paul Becquart, Journaliste Santé Le petit Site Santé www.lepetitsitesante.fr A la source de l'information Santé L'actualité de la Santé et de la Recherche médicale Le sommeil Des milliards de neurones
Plus en détailDEFICIENCES METABOLIQUES ET ACTIVITES PHYSIQUES ADAPTEES. OBESITE DIABETE I et II (M. AMATO)
DEFICIENCES METABOLIQUES ET ACTIVITES PHYSIQUES ADAPTEES OBESITE DIABETE I et II (M. AMATO) 1 OBESITE 2 OBESITES DE GRADE III ou MORBIDE, espérance de vie limitée 3 ans (grade II) à 10 ans (grade III)*
Plus en détailTitre : «CYCLISME ET DIABETE DE TYPE 1» Auteur(s) : Docteur Karim BELAID. Catégorie : Médecine du Sport - Diaporama, 20 vues.
Titre : «CYCLISME ET DIABETE DE TYPE 1» Auteur(s) : Docteur Karim BELAID Catégorie : Médecine du Sport - Diaporama, 20 vues. Date de présentation : 2014 Lieu : Roubaix. Mis à disponibilité sur le site
Plus en détailREPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Première Journée du Centre Intégré Nord Francilien de prise en charge de l obésité de l adulte et de l enfant REPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Plus en détailLES CRÉDITS CARBONE, MEILLEURS AVANT JANVIER 2015 COHABITATION DU MARCHÉ VOLONTAIRE ET DU MARCHÉ RÉGLEMENTÉ DU CARBONE
LES CRÉDITS CARBONE, MEILLEURS AVANT JANVIER 2015 COHABITATION DU MARCHÉ VOLONTAIRE ET DU MARCHÉ RÉGLEMENTÉ DU CARBONE Gontran Bage Directeur- Développement durable et gestion des GES GES dans le secteur
Plus en détailLe diabète en pédiatrie
Le diabète en pédiatrie Dre Isabelle Bouchard Pédiatre Clinique de diabète pédiatrique du CHUL Janvier 2012 Objectifs 1) Connaître les différences physiopathologiques entre le diabète type 1 et type 2
Plus en détailDiabète Type 2. Épidémiologie Aspects physiques Aspects physiologiques
Diabète Type 2 Épidémiologie Aspects physiques Aspects physiologiques Épidémiologie 90% de tous les cas de diabètes Environ 1 personne sur 20 est atteinte Diabète gras Facteur de risque majeur pour les
Plus en détailObésité et psoriasis Données actuelles et questions au spécialiste en nutrition
Obésité et psoriasis Données actuelles et questions au spécialiste en nutrition Emilie MONTASTIER, Carle PAUL Endocrinologie, Nutrition, Dermatologie Université Paul Sabatier, Hôpital Larrey UMR CNRS 5165,
Plus en détailQuoi manger et boire avant, pendant et après l activité physique
Quoi manger et boire avant, pendant et après l activité physique (comparaison entre athlètes et non-athlètes; nouvelles tendances comme le jus de betteraves) Comme vous le savez, l'alimentation de l'athlète
Plus en détailActivité physique et diabète de type 2
Activité physique et diabète de type 2 D après le référentiel de la Société francophone du diabète : Duclos M et al, Médecine des maladies Métaboliques. 2011; 6 : 80-96 Forum Santé Vertolaye Le 10/10/2013
Plus en détailTâche : Comparer l étiquette de produits alimentaires afin de connaître leur valeur nutritive.
13 aliments pour une bonne santé Valeurs nutritives Grande compétence A Rechercher et utiliser de l information Groupe de tâches A2 : Interpréter des documents Grande compétence C Comprendre et utiliser
Plus en détailLA QUESTION DE LA PRISE DE POIDS CHEZ LE FUMEUR EN SEVRAGE TABAGIQUE
Jean-Paul BLANC Diététicien-Nutritionniste Neuilly sur Seine www.cabinet-de-nutrition-et-dietetique.eu LA QUESTION DE LA PRISE DE POIDS CHEZ LE FUMEUR EN SEVRAGE TABAGIQUE Au cours de la dernière décennie
Plus en détailEn quoi consistera ce jeu?
1 Projet Comité d Education à la Santé et à la Citoyenneté inter degré Création jeu par les élèves de l école du Gliesberg, de l école Martin Schongauer et du collège Hans Arp de Strasbourg Création d
Plus en détailGRENADE / GARONNE 30 janvier 2014. Centrale de Restauration MARTEL Maryse LAFFONT, Diététicienne
LA RESTAURATION SCOLAIRE GRENADE / GARONNE 30 janvier 2014 Centrale de Restauration MARTEL Maryse LAFFONT, Diététicienne LES OBJECTIFS Apporter aux enfants une alimentation de Qualité pour répondre à leurs
Plus en détailepm > nutrition Formation & Conseil
CATALOGUE FORMATIONS THEME : NUTRITION et SANTE Septembre 2011 Juin 2012 Journée Spéciale pour les Pharmaciens «Conseils Nutritionnels en Officine» Journées de Formation sur Paris «Nutrition de l Adulte»
Plus en détailMAÎTRISER LA LECTURE DES ÉTIQUETTES NUTRITIONNELLES
MAÎTRISER LA LECTURE DES ÉTIQUETTES NUTRITIONNELLES Par Marie-Christine Parent, stagiaire en diététique AU MENU Retour sur le sondage Vision de la saine alimentation Qu est-ce que l étiquetage nutritionnel?
Plus en détailLa gestion du diabète lors des sports : apports des nouvelles technologies
U S D Union Sports & Diabète La gestion du diabète lors des sports : apports des nouvelles technologies Journées nationales des diabétiques qui bougent, Vichy 17-18-19 mai 2013 Docteur Muriel TSCHUDNOWSKY
Plus en détailL équilibre alimentaire.
L équilibre alimentaire. Une bonne nutrition est un incontestable facteur de bonne santé. Dans la médecine traditionnelle chinoise, certains aliments bien utilisés servent de remèdes pour prévenir et traiter
Plus en détailNouveaux Anticoagulants. Dr JF Lambert Service d hématologie CHUV
Nouveaux Anticoagulants Dr JF Lambert Service d hématologie CHUV Plan Petit rappel d hémostase Anticoagulant oraux classiques Les nouveaux anticoagulants (NAC) Dosage? Comment passer de l'un à l'autre
Plus en détailEnfants et adolescents diabétiques Problématiques courantes en médecine générale dominique.beckers@uclouvain.be
Enfants et adolescents diabétiques Problématiques courantes en médecine générale dominique.beckers@uclouvain.be Hyperglycémies Acido-cétose = Insulinopénie * Au moment du diagnostic (dépistage) * Lors
Plus en détailLe VIH et votre cœur
Le VIH et votre cœur Le VIH et votre cœur Que dois-je savoir au sujet de mon cœur? Les maladies cardiovasculaires représentent une des cause les plus courante de décès, elles incluent: les maladies coronariennes,
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailque dois-tu savoir sur le diabète?
INVENTIV HEALTH COMMUNICATIONS - TERRE NEUVE - FRHMG00277 - Avril 2013 - Lilly - Tous droits de reproduction réservés. que dois-tu savoir sur le diabète? Lilly France 24 boulevard Vital Bouhot CS 50004-92521
Plus en détailLe Régime Alimentaire. LR Health & Beauty Systems
Le Régime Alimentaire LR Health & Beauty Systems Les accessoires Le mètre La balance LR géniale LR a créé pour vous un mètre qui calcule votre indice de masse corporelle (IMC) achetez le ref Ruban BMI
Plus en détailL influence du sport sur le traitement du diabète de type 1
L influence du sport sur le traitement du diabète de type 1 Contenu 1. Bénéfice du sport pour patients avec diabète de type 1 2. Aspects physiologiques du sport en rapport avec la glycémie en général 3.
Plus en détailDiabète de type 1: Informations destinées aux enseignants
Diabète de type 1: Informations destinées aux enseignants Le diabète chez les jeunes Le diabète de type 1 est une maladie très difficile à affronter, surtout quand on est jeune. Malheureusement, si quelque
Plus en détailS. Hercberg, Key-words: Antioxidants, Vitamins, Minerals, Randomized trial, Supplementation.
2006. Elsevier Masson SAS. Tous droits réservés Ann Pharm Fr 2006, 64 : 397-401 Stress oxydant L étude SU.VI.MAX, un essai contrôlé randomisé, en double aveugle, testant l effet de la supplémentation en
Plus en détailAprès chirurgie bariatrique, quel type de tissu adipeux est perdu? Dr Emilie Montastier Hôpital Larrey, Toulouse
Après chirurgie bariatrique, quel type de tissu adipeux est perdu? Dr Emilie Montastier Hôpital Larrey, Toulouse Généralités / Contexte La chirurgie bariatrique: pas de relation quantitative claire entre
Plus en détailAllégations relatives à la teneur nutritive
Allégations relatives à la teneur nutritive Mots utilisés dans les allégations relatives à la teneur nutritive Ce que le mot signifie Exemples Sans Faible Réduit Source de Léger Une quantité insignifiante
Plus en détailGROUPES D ALIMENTS ET MALADIES CHRONIQUES : QUELLES RELATIONS?
DÉSÉQUILIBre ALIMeNTAIre I PAR ANTHONY FARDET1 ET YVES BOIRIE2 contact@edp-nutrition.fr OLGA LYUBKINA FOTOLIA.COM S il est difficile d établir un effet protecteur ou délétère sur la santé des groupes d
Plus en détailRentrée 2014 Francine Eichenberger Diététicienne
Rentrée 2014 Francine Eichenberger Diététicienne L alimentation : partie intégrante de la prise en charge de l enfant et de l adolescent diabétique base du traitement avec l insulinothérapie et l activité
Plus en détailINSULINOTHERAPIE FONCTIONNELLE
Synthèse personnelle INSULINOTHERAPIE FONCTIONNELLE De nos jours, le diabète inuslinodépendant ne connaît aucun traitement pouvant éviter l injection d insuline. L insulinothérapie fonctionnelle est une
Plus en détailFONC N T C IONN N E N L E S
BONBONS FONCTIONNELS SOLPIDIS est une entreprise espagnole située en Valence. Elle née avec l objectif d offrir a ses clients des produits innovants et fonctionnels. On est constamment en mouvement pour
Plus en détailAssemblée Générale ASSOCIATION DES MAIRES RURAUX DU PUY-de-DÔME. La nouvelle règlementation Nutrition pour les cantines scolaires
Assemblée Générale ASSOCIATION DES MAIRES RURAUX DU PUY-de-DÔME Vendredi 9 Décembre 2011 Pontaumur La nouvelle règlementation Nutrition pour les cantines scolaires Emilie CHANSEAUME Lucile AUMOINE Céline
Plus en détaillire les Étiquettes et trouver les sucres cachés
lire les Étiquettes et trouver les sucres cachés Objectif : Sensibiliser les élèves à ce qui se trouve dans leur nourriture et les aider à se méfi er des sucres cachés. Matériel Feuille à imprimer : Chaîne
Plus en détailAlimentation et santé de l enfant : lien avec la condition dentaire
Alimentation et santé de l enfant : lien avec la condition dentaire Alimentation, stabilité pondérale et santé de l enfant Angelo Tremblay Division de kinésiologie Y a-t-il autre chose? La première loi
Plus en détailDOSSIER DE SOINS INFIRMIERS
DOSSIER DE SOINS INFIRMIERS Débuté le Terminé le. FICHE ADMINISTRATIVE PATIENT Nom Prénom Date de naissance / / Téléphone. ADRESSE...... N SS / / / / / // ENTOURAGE-PERSONNE RESSOURCE NOM QUALITE..TEL...
Plus en détailepm > nutrition Formation & Conseil
CATALOGUE FORMATIONS THEME : Nutrition et Santé Septembre 2014 Décembre 2015 Vous exercez déjà une profession ou souhaitez le faire et vous voulez vous former en Nutrition pour donner des Conseils en Nutrition,
Plus en détailDiabète et risque cardiovasculaire: Le syndrome métabolique en question
Diabète et risque cardiovasculaire: Le syndrome métabolique en question Eugène Sobngwi, MD, PhD Service d Endocrinologie d Diabétologie Hôpital Saint-Louis, Paris 10 / INSERM U 671 Le diabète sucré en
Plus en détailÉvaluation du risque cardiovasculaire dans le contexte de l hypertension artérielle et de son traitement
Évaluation du risque cardiovasculaire dans le contexte de l hypertension artérielle et de son traitement DIU HTA François Gueyffier Service de pharmacologie clinique UMR CNRS 5558 CIC 201, LYON francois.gueyffier@chu-lyon.fr
Plus en détailSport et maladies métaboliques (obésité, diabète)
Sport et maladies métaboliques (obésité, diabète) Chef du service de médecine du sport, CHU de Clermont-Ferrand Monsieur Julien AUCOUTURIER Maître de conférences STAPS 60 % des diabétiques de type 2 sont
Plus en détailDiabète. Entretenez votre capital santé! www.ml.be
Diabète Entretenez votre capital santé! www.ml.be Contenu Le diabète en bref 4 Qu est-ce que le diabète? 4 Différents types de diabètes 4 Diagnostic 6 Diabète de type 2 7 Origine 7 Complications 7 Test
Plus en détailUn diabète de type 2. Vers un programme Sport Santé pour les personnes vivant avec. Atelier animé par :
Vers un programme Sport Santé pour les personnes vivant avec Un diabète de type 2 Atelier animé par : Pr Martine Duclos CHU Montpied, Clermont-ferrand Dr Julien Aucouturier UFR STAPS, Lille Séminaire interactif
Plus en détailCANRISK. Questionnaire canadien sur le risque de diabète. Guide de l utilisateur à l intention des pharmaciens
CANRISK Questionnaire canadien sur le risque de diabète Guide de l utilisateur à l intention des pharmaciens CANRISK Questionnaire canadien sur le risque de diabète Guide de l utilisateur à l intention
Plus en détailProtéines. Pour des Canadiens actifs. De quelle quantité avez-vous besoin?
Protéines Pour des Canadiens actifs De quelle quantité avez-vous besoin? 1 Protéines 101 Les protéines sont les principaux éléments fonctionnels et structuraux de toutes les cellules du corps. Chaque protéine
Plus en détailInformations destinées aux enseignantes et aux enseignants. l école
Informations destinées aux enseignantes et aux enseignants L enfant diabétique et l école La version suisse du texte allemand a été remaniée par Beatrice Kuhlmann, docteur en médecine, spécialiste en endocrinologie
Plus en détailCarlo Diederich Directeur Santé&Spa. Tél. + 352 23 666-801 / c.diederich@mondorf.lu
Carlo Diederich Directeur Santé&Spa Tél. + 352 23 666-801 / c.diederich@mondorf.lu Mondorf Healthcare at work Nouveau service destiné aux entreprises en collaboration avec les Services de Médecine du Travail
Plus en détail«Je suis diabétique» Informations sur la prise en charge d enfants diabétiques à l école. Pour les parents et les enseignants
«Je suis diabétique» Informations sur la prise en charge d enfants diabétiques à l école Pour les parents et les enseignants C est parti! Compréhensible et compacte: par le biais de cette brochure, parents
Plus en détailDIABETE ET SPORT. Dominique HUET Hopital Saint Joseph PARIS
DIABETE ET SPORT Dominique HUET Hopital Saint Joseph PARIS DIABETE TYPE 1#TYPE 2 Jeunes sportifs Risque hypoglycémie Adaptation schémas Autosurveillance +++ Sports souvent sources de difficultés Contre
Plus en détailTable des matières Introduction Chapitre*1*:*De*la*matière*sérieuse Chapitre*2*:*Clair*comme*de*l eau*de*roche
Table des matières Introduction! *! Chapitre*1*:*De*la*matière*sérieuse! 1.1!Les!matériaux! 1.2!Solides,!liquides!et!gaz 1.3!Gaspiller!de!l énergie! 1.4!Le!carburant!du!corps! Chapitre*2*:*Clair*comme*de*l
Plus en détailL'Obésité : une épidémie?
Communiqué de presse 5 mars 2014 L'Obésité : une épidémie? Résultats de l'étude MGEN «Habitudes de vie et surpoids» 3 Français sur 4 se jugent en bonne santé, 1 sur 2 est en surpoids, 16% sont obèses 2/3
Plus en détailRéseau Diabhainaut Programme Osean Enfant Document d Information pour les Parents
Obésité Sévère de l Enfant et de l Adulte en Nord/Pas-de-Calais Réseau Diabhainaut Programme Osean Enfant Document d Information pour les Parents Les services de médecine scolaire ou votre médecin traitant
Plus en détailDéfinition de profils nutritionnels pour l accès aux allégations nutritionnelles et de santé : propositions et arguments Juin 2008
Définition de profils nutritionnels pour l accès aux allégations nutritionnelles et de santé : propositions et arguments Juin 2008 1/85 Coordination scientifique Monsieur Jean-Christophe Boclé, Mademoiselle
Plus en détail«Cette action contribue au PNNS». À CHÂTEAU THIERRY
«Cette action contribue au PNNS». «IL FAIT BIO À CHÂTEAU THIERRY A Chateau Thierry, la Municipalité souhaite développer les produits BIO et issus de filières de proximité dans les menus de la restauration
Plus en détailLe jeune diabétique à l école
Le jeune diabétique à l école Défis et Solutions Prof. Marc Maes Equipe de diabétologie pédiatrique Centre de convention Cliniques Universitaires St Luc 1200 Bruxelles Marc.Maes@uclouvain.be Le jeune diabétique
Plus en détailLes aliments de l intelligence
www.swissmilk.ch NEWS ER Conseils alimentation: L alimentation saine à l adolescence, 3 e partie Octobre 2010 Les aliments de l intelligence Des performances intellectuelles au top Des repas intelligents
Plus en détailFiche de synthèse. Learn. Les points essentiels pour l accompagnement d un patient diabétique. Parcours : Prise en charge du diabète à l officine
Les points essentiels pour l accompagnement d un patient diabétique Dans toutes les situations Privilégiez la phase de découverte Savoir comment le patient et/ou l accompagnant perçoivent le diabète. Permettre
Plus en détailAc#vité Physique et Diabète
Ac#vité Physique et Diabète DIAPASON 36 MSA Châteauroux 2012 Dr Thierry KELLER 27 & 28 septembre 2012 Quels Constats? L inac#vité TUE!! "30% Mortalité totale 9% Risque Cardio-Vasculaire (coronaropathie)
Plus en détailUtilisation des substrats énergétiques
Utilisation des substrats énergétiques Collège des Enseignants de Nutrition Date de création du document 2010-2011 Table des matières I Les organes et les substrats... 3 I.1 Les substrats énergétiques...
Plus en détailMonitoring des données relatives au poids effectué par les services médicaux scolaires des villes de Bâle, Berne et Zurich
Promotion Santé Suisse Editorial Feuille d information 1 Les données de poids de plus de 13 000 enfants et adolescents dans les villes suisses de, et ont été collectées pour l année scolaire 2012/2013
Plus en détailDiabète de type 1 et haute montagne. Revue de la littérature
Diabète de type 1 et haute montagne Revue de la littérature Contre-indications absolues Diabète mal équilibré : hypoglycémies sévères mal ressenties, acido-cétose. Présence de complications du diabète
Plus en détailFaciliter la transition de la guérison à la palliation en favorisant la communication entourant le choix de soins 16 avril 2009 19e congrès du Réseau
Faciliter la transition de la guérison à la palliation en favorisant la communication entourant le choix de soins 16 avril 2009 19e congrès du Réseau de soins palliatifs du Québec, Montréal Julia Sohi
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailDans ce numéro. Le sommeil et les problèmes de poids : une nouvelle piste pour l intervention? Et des réponses aux questions suivantes
NUMÉRO 4 SEPTEMBRE 2012 Dans ce numéro Le rôle du sommeil dans la prise de poids L influence de l environnement et du mode de vie sur la qualité du sommeil Et des réponses aux questions suivantes Quel
Plus en détailQuel impact du vieillissement de la population sur l'innovation technologique dans le domaine de l'agro-alimentaire?
Quel impact du vieillissement de la population sur l'innovation technologique dans le domaine de l'agro-alimentaire? Sophie Reboud (Ceren, Groupe ESC Dijon Bourgogne) Corinne Tanguy (Cesaer, UMR INRA-Agrosup
Plus en détailIRBMS. Institut Régional de Biologie et de Médecine du Sport N ORD PAS- DE-CALAIS WWW. IRBMS. COM. Titre : «DECALAGE HORAIRE ET SPORT»
IRBMS http://www.irbms.com Institut Régional de Biologie et de Médecine du Sport N ORD PAS- DE-CALAIS WWW. IRBMS. COM Titre : «DECALAGE HORAIRE ET SPORT» Auteur(s) : J.-D. Guieu Catégorie : Sport Santé
Plus en détailDépistage et gestion du diabète
Dépistage et gestion du diabète Plateforme du diabète Table des matières > Dépistage du diabète 32 millions de diabétique en Europe... 5 Le diabète, ça n arrive pas qu aux autres 6 Les Mutualités Libres
Plus en détailTransplantation pulmonaire et mucoviscidose. Optimiser la prise en charge médicale
Transplantation pulmonaire et mucoviscidose Optimiser la prise en charge médicale Dr Isabelle Danner-Boucher CRCM adulte de Nantes Unité de Transplantation Thoracique 11èmes Journées Scientifiques de la
Plus en détailUn nouveau test sanguin performant pour le diagnostic non-invasif de steatohépatite non alcoolique chez les patients avec une NAFLD
Un nouveau test sanguin performant pour le diagnostic non-invasif de steatohépatite non alcoolique chez les patients avec une NAFLD J Boursier, A Guillet, S Michalak, Y Gallois, F Oberti, I Fouchard-Hubert,
Plus en détailIREMAS : 2 ème colloque international Paris 20-21 octobre 2005
IREMAS : 2 ème colloque international Paris 20-21 octobre 2005 Titre : Qui sont les consommateurs de compléments alimentaires et les consommateurs d aliments santé? Auteurs : Catherine GAIGNIER et Pascale
Plus en détailSucre et «faux sucre» leur place dans l alimentation du diabétique
Sucre et «faux sucre» leur place dans l alimentation du diabétique Jean-Louis Schlienger Professeur émérite Fac Médecine Strasbourg Fondateur et secrétaire général de l AFD Alsace (1980-1995) Insulib 16
Plus en détailDiabète Instable: Comment le comprendre et l Améliorer?
Qu est-ce qu un Diabète Instable? Absence de définition consensuelle établie. Diabète Instable: Comment le Comprendre et l Améliorer? Professeur Eric Renard Département d Endocrinologie, Diabète, Nutrition
Plus en détailLes compléments alimentaires
Les compléments alimentaires Vigilance et Respect des bonnes pratiques Les cahiers du collectif Eps N 2 Olivier COSTE Médecin conseiller Direction régionale Jeunesse, Sports et Cohésion Sociale «C Définition
Plus en détailSport et alpha ANNEXES
Sport et alpha ANNEXES Edition 2013 TABLE DES MATIERES Table des matières 1 Alimentation 2 Boire, Boire, Boire... 2 Et à l approche des «20 km de Bruxelles»? 3 Et pendant l épreuve? 3 Stretching 4 Avant
Plus en détailUne vision d avenir. Il était deux petits navires. Mise en contexte. Rapport Perrault. Forum des générations (2004) En bref...
Une vision d avenir Il était deux petits navires Alain Poirier, directeur national de santé publique et sous-ministre adjoint février 200 En bref... Mise en contexte Une mise en contexte Quelques données
Plus en détailOBESITE ET EPS. Cf www.sante.fr.(programme national, nutrition santé, courbe de corpulence)
OBESITE ET EPS DEFINITION L obésité se définit comme un excès de poids pouvant retentir sur la santé. La mesure générale acceptée de l obésité est l Indice de Masse Corporelle (IMC : poids en kg / taille
Plus en détailLa gestion des hypoglycémies au cours du sport : insuline ou diététique?
La gestion des hypoglycémies au cours du sport : insuline ou diététique? Confrontations d Endocrinologie-Diabétologie Les Vaux de Cernay L Fouquet, S. Franc 25 Mars 2010 1 Observation n 2, Mme. S 42 ans,
Plus en détailDiabète au quotidien. ABC LifeScan, collection «Mon quotidien»
Diabète au quotidien ABC LifeScan, collection «Mon quotidien» Définition Le diabète est une maladie complexe, souvent difficile à gérer au quotidien mais que vous pouvez contrôler. En effet, c est vous
Plus en détailLE GRAND LIVRE Du. Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel. Prévenir les complications. et surveiller la maladie
Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel LE GRAND LIVRE Du diabète Vivre avec le diabète à tout âge Traiter et surveiller la maladie Prévenir les complications, 2012 ISBN : 978-2-212-55509-7
Plus en détailLe diabète de type 1 UNSPF. Ségolène Gurnot
Le diabète de type 1 UNSPF Ségolène Gurnot Juin 2013 Légende Entrée du glossaire Abréviation Référence Bibliographique Référence générale Table des matières Introduction 5 I - Introduction 7 A. Quelle
Plus en détailBASES DE L ENTRAINEMENT PHYSIQUE EN PLONGEE
BASES DE L ENTRAINEMENT PHYSIQUE EN PLONGEE І) INTRODUCTION II) BASES PHYSIOLOGIQUES III) PRINCIPES GENERAUX DE L ENTRAINEMENT PHYSIQUE IV) ENTRAINEMENT DANS LES DIFFERENTES FILIERES V) LA PLANIFICATION
Plus en détailEn cause, un rythme biologique qui ne reçoit plus l'indicateur indispensable à sa bonne synchronisation : la lumière du jour.
ORIGINES Saviez-vous que les astronautes séjournant à bord de la Station Spatiale Internationale voient le soleil se lever et se coucher toutes les 90 minutes? Oui. 16 fois par jour de quoi avoir du mal
Plus en détail2 Service de Pharmacologie médicale et toxicologie 191, avenue du doyen Gaston Giraud 34295 Montpellier cedex 5
1 Les allégations de santé des compléments alimentaires sont désormais réglementées Décembre 2012 14 Décembre 2012, une mini révolution dans l étiquetage des denrées alimentaires : toute allégation d un
Plus en détailANNEE SCOLAIRE EN COURS
La rédaction de cette circulaire de Rentrée relative au service de Restauration a été assurée par l Association des Parents d Élèves, section française (APE). Elle a été val idée par la direction du Lycée
Plus en détailDIRECTIVES POUR L EMPLOI DES ALLÉGATIONS RELATIVES À LA NUTRITION ET À LA SANTÉ
1 CAC/GL 23-1997 DIRECTIVES POUR L EMPLOI DES ALLÉGATIONS RELATIVES À LA NUTRITION ET À LA SANTÉ CAC/GL 23-1997 Les allégations relatives à la nutrition devraient être compatibles avec la politique nationale
Plus en détailSurpoids et obésité de l adulte : prise en charge médicale de premier recours
Surpoids et obésité de l adulte : prise en charge médicale de premier recours Septembre 2011 Pourquoi repérer l excès de poids? Que faire chez les sujets ayant un âge physiologique avancé? Quand diagnostiquer
Plus en détailDIABÈTe De TYPe 1 Petit guide pour les parents et les enfants.
DIABÈTe De TYPe 1 Petit guide pour les parents et les enfants. Guide pour comprendre et aborder sereinement l apparition du diabète de type 1. Sommaire Le contrôle glycémique 04 Qu est-ce que le taux d
Plus en détaild importantes quantités de CO,. Summary. Influence of diet on respiratory quotients and fat deposition in growing pigs.
Influence du régime sur les quotients respiratoires chez le porc en croissance Geneviève CHARLET-LERY Marie-Thérèse MOREL Laboratoire de Physiologie de la Nutrition LN.R.A., 78350 Jouy-en-Josas Summary.
Plus en détail