Conséquence de la crise financière ou crise d une forme de capitalisme : La faillite des Big Thre
|
|
- Marcel Beaudet
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Forum de la Régulation décembre 2009 Paris Conséquence de la crise financière ou crise d une forme de capitalisme : La faillite des Big Thre Michel FREYSSENET (CNRS), Bruno JETIN (Paris XIII)
2 Des pertes abyssales depuis 2005 après des années médiocres depuis 2001
3 Les explications couramment données à la crise des Big Three La crise financière aurait donné le coup de grâce à une industrie automobile américaine en difficultés croissantes depuis 2000, en raison de * l inadaptation de son offre, * de coûts structurellement trop élevés, * d une lourdeur organisationnelle, dont elle n aurait jamais su se défaire Les responsables: des dirigeants suffisants, un syndicat intransigeant 1-2 décembre 2009, Paris, 17 p. Éditions numériques, web.upmf-grenoble.fr/regulation/forum, 2009; freyssenet.com, 2011, 2,4 Mo, ISSN
4 mais ces explications ne permettent pas de comprendre pourquoi, les Big Three ont été profitables de 1983 à 2000 pour Ford, à 2004 pour GM, si l on excepte la récession de pourquoi les résultats ont été bons en Amérique latine en en Asie depuis 2004 pour Ford, depuis 2006 pour GM pourquoi les filiales américaines des constructeurs japonais ont vu leurs profits baisser depuis 2006, puis devenir négatifs début 2009 pourquoi une firme comme GM, 1er constructeur mondial de 1930 à 2007, et longtemps 1ère entreprise mondiale, s écroule en peu d années Elles présupposent enfin que les trois cas sont semblables 1-2 décembre 2009, Paris, 17 p. Éditions numériques, web.upmf-grenoble.fr/regulation/forum, 2009; freyssenet.com, 2011, 2,4 Mo, ISSN
5 Ce qui a fait le succès des Big Three dans les années 90 est la cause de leurs problèmes d aujourd hui Le boom des lights trucks La conversion à la «nouvelle économie» Ces deux traits sont directement liés au mode de croissance qui s est mis en place aux États-Unis à partir de le premier à la dérégulation salariale - le second à la dérégulation financière 1-2 décembre 2009, Paris, 17 p. Éditions numériques, web.upmf-grenoble.fr/regulation/forum, 2009; freyssenet.com, 2011, 2,4 Mo, ISSN
6 La dérégulation salariale à l origine du boom des light trucks et de la régression des cars Le passage rapide d une distribution du revenu national «coordonnée et modérément hiérarchisée» à une distribution «concurrentielle» La croissance des inégalités sociales des revenus: écarts croissants des montants et des degrés d incertitudes Les couches de la population favorisées par la dérégulation salariale, et celles qui croyaient l être devenues durablement, se tournent massivement à partir du contre-choc pétrolier vers les light trucks. L origine réglementaire de cette catégorie particulière de véhicules, vendus nettement plus chers et beaucoup plus gourmands en carburant Les ventes de cars régressent à partir de 1987 Les couches de la population les moins favorisées ont de plus en plus de mal à accéder aux véhicules neufs. Stagnation tendancielle du marché automobile
7 Le changement du mode de distribution du revenu national: de «modérément hiérarchisé» à «concurrentiel» Freyssenet M., Jetin B., Présentation avec diapositives, «Conséquence de la crise financière ou crise d une forme de capitalisme : La faillite des Big Three», Forum de la Régulation 2009,
8 Des pensions de retraites devenues plus aléatoires et variables
9 Le déclin de la puissance syndicale pourcentage de salariés couverts par des accords avec les syndicats Freyssenet M., Jetin B., Présentation avec diapositives, «Conséquence de la crise financière ou crise d une forme de capitalisme : La faillite des Big Three», Forum de la Régulation 2009,
10 Le seul pic d inégalité historiquement équivalent : 1928! Data on income concentration going back to 1913 show that the top 1% of wage earners now hold 23% of total income, the highest inequality level in any year on record, bar one: In the last few years alone, $400 billion of pre-tax income flowed from the bottom 95% of earners to the top 5%, a loss of $3,660 per household on average in the bottom 95% (Lawrence, Mishel, Bernstein Jared, and Shierholtz Heidi 2008) 1-2 décembre 2009, Paris, 17 p. Éditions numériques, web.upmf-grenoble.fr/regulation/forum, 2009; freyssenet.com, 2011, 2,4 Mo, ISSN
11 De l abandon des parités fixes aux chocs pétroliers puis au contre-choc de 1986 Source: OPEC Statistical Annual Bulletin
12 Les light trucks progressent, les cars régressent à partir de 1987
13 Un accroissement des dépenses d achat VN pour les deux quintile les plus élevées, de 1995 à 2003 en dollar 2008, États-Unis,
14 Des dépenses d achat plus élevées pour les VO que pour les VN dans les trois quintiles les plus bas en dollar 2008, Etats-Unis,
15 Les Big Three s emparent du marché des light trucks et engrangent de substantiels profits jusqu en 2000 Tout s est passé comme si les Big Three avaient abandonné aux constructeurs japonais et coréens le marché des cars et avaient monopolisé le marché des light trucks, protégé pendant de nombreuses années et beaucoup plus rémunérateur, mais beaucoup plus gourmands en carburant et plus polluants Mais ce faisant, ils ont déstabilisé leur «stratégie de profit» et ont rendu incohérent leur «modèle productif» et ils ont contribué ainsi à la crise écologique et ont pris le risque d un renversement brutal du marché en cas d augmentation des cours du baril
16 Sur un marché des cars déclinant, une division par deux de la part des Big Three. Celle des constructeurs étrangers lui est supérieure depuis 2002
17 Sur un marché des light truks en forte croissance jusqu en 2004, les Big Three monopolisent les ventes jusqu en 1999
18 La libéralisation financière à l origine de la «nouvelle économie» Au cours des années 90, les États-Unis, suivis de la Grande-Bretagne, imaginent pouvoir devenir le cœur à la fois financier et innovateur du monde, tirant leur croissance du contrôle des activités de production, disséminées mondialement au gré des opportunités de moindre coût, mais rendues dépendantes financièrement et techniquement Les entreprises américaines sont invitées à externaliser leur production, à s approvisionner dans les pays à bas coûts, et à se concentrer sur la conception-innovation, le financement, la commercialisation et les services, à l instar des start-up californiennes devenues en quelques années des géants mondiaux. Les risques financiers peuvent être annulés par la titrisation. Le changement de «gouvernance» et les exigences de rendement des fonds d investissement devraient contraindre les entreprises à ce bouleversement La moindre progression des revenus des couches de la population défavorisés par la dérégulation salariale sera compensée par la baisse des prix des produits importés des pays aux plus bas coûts
19 GM, Ford, et dans une moindre mesure Chrysler, se convertissent à la «nouvelle économie» au plus mauvais moment Séparation rapide des filiales équipementières: GM de Delphi (1999), Ford de Visteon (2000), et développement de l approvisionnement mondial Tentative de centralisation de la conception au détriment des filiales étrangères au nom de la commonalisation, tout en élargissant l offre, notamment vers le haut de gamme rémunérateur Renforcement et multiplication des services: nouvelles formules de crédit auto, leasing, assurance, louage, contrat d entretien, réparation, financement des réseaux et des sous-traitants, crédit immobilier, activités de placements financiers, titrisation des créances, etc Gestion «dynamique» des fonds de pension et d assurance maladie pour faire face à l alourdissement des charges dû à l externalisation
20 Et le rêve paraît se réaliser. Le doublement du cours de l action avant sa division par 6! Le cours de l action Ford de 1993 à mars 2008
21 La baisse des effectifs: brutale chez GM, partiellement compensée par des acquisitions chez Ford
22 2000: éclatement de la bulle «innovation», premier pilier de la «nouvelle économie» Les pertes des fonds d investissement, des fonds de pension et des ménages. Deux conséquences majeures: Le financement des pensions et de l assurance maladie en question. Le brusque alourdissement des charges salariales des Big Three. Le creusement des écarts de coûts avec les filiales japonaises Les ventes automobiles affectées. Leur maintien est obtenu par l offre sans limite du crédit et du leasing. Gonflement d une nouvelle bulle: les subprimes Parallèlement, exacerbation de la concurrence. Les constructeurs japonais pénètrent le marché des light trucks. Rabais systématique. Les marges sont laminées Les pertes de l activité automobile sont de moins en moins compensées par les bénéfices financiers
23 Envolée des coûts salariaux de GM aux États-Unis après la séparation de Delphi et la bulle internet
24 La charge des retraités sur les actifs multipliée par 4 pour GM avant et après la séparation de Delphi retraité par salarié actif GM Ford Chrysler 1995: 0, : 2,80 1,2 1,0 2007: 3,44 Sources: rapports annuels de GM, Glenn Mercer
25 Pour la première fois, le revenu médian des ménages n augmente pas d un pic de croissance à l autre
26 Une progression et un niveau d endettement par tête sans équivalent depuis 1945
27 2007-8: crise écologique puis éclatement de la bulle du «crédit», deuxième pilier de la «nouvelle économie» Le développement rapide de la Chine et de l Inde, principaux bénéficiaires de la «nouvelle économie» depuis 2000, provoque une montée du cours des matières premières et du prix du baril à partir de 2005 Enchérissement des produits et baisse du pouvoir d achat des catégories sociales précarisées par la dérégulation salariale Défauts de paiement des emprunteurs américains. La crise se propage souterrainement à travers les produits dérivés éparpillés à travers le monde, puis éclate banque après banque, pays après pays, au fur et à mesure de la dépréciation sans fin des actifs Coupure du crédit. Faillite des ménages surendettés. Baisse brutale de la consommation. Crainte de l avenir. Chômage. La spirale dépressive
28 Le piège de la dérégulation salariale et financière se referme sur les Big Three Baisse des ventes des light trucks dès 2005 Faillite de Delphi (2005), sauvetage de Visteon par Ford (2005) Impossibilité d honorer les engagements pris en matière de financement des pensions et de la couverture maladie Dépréciation des stocks et des véhicules en leasing Effondrement de tous les marchés automobiles. Le marché américain en dessous du marché chinois en janvier 2009
29 La chute des ventes de light trucks à partir de 2005 deux millions en moins
30 La chute pour les Big Three est plus précoce (2005) et plus forte que pour les autres
31 Les Big Three n étaient pas restés inertes leurs réactions différentes expliquent le traitement différencié de leur faillite Tous ont réduit les effectifs, fermés des usines, renégocié leurs accords avec l UAW et CAW à peine étaient-ils signés, réduit leur nombre de modèles, accru la commonalisation de leurs plates-formes Ford a commencé à le faire dès 2001 après avoir remercié brutalement son CEO, chantre de la «nouvelle économie», Jacques Nasser. Il a cédé à très bon prix plusieurs marques et obtenu des banques des fonds de roulement juste avant la crise GM a investi a bon escient dans les BRIC avant de commencer à se restructurer aux États-Unis Chrysler n avait pas les mêmes problèmes, mais a été touché de plein fouet par le changement de structure du marché mais la crise était en marche et elle est allée plus vite et plus fort,
32 Parmi les scénarios possibles, les choix immédiats faits et les grandes incertitudes de demain Les scénarios possibles: la faillite, le chapitre 11, le renflouement public, le repliement sur le marché nord-américain, la prise de contrôle par des constructeurs étrangers, le scénario anglais, le slalom sous la mitraille Les choix immédiats: GM: le renflouement public; Ford: le slalom; Chrysler: la reprise par une autre firme Les incertitudes de demain: quel modèle de croissance? quelle structure de marché? quelle politique produit? quelle organisation productive?
33
34 Conclusions Les dégâts sont considérables: la chute des Big Three, les pertes des constructeurs japonais, la fragilisation de l industrie équipementière Les déficits et les pertes devront bien être payés: par qui? Salariés déjà, Contribuables sous peu, Épargnants demain? Les deux conditions de la profitabilité (Boyer, Freyssenet, 2000) L insoutenabilité écologique, économique, sociale et géopolitique de la «nouvelle économie». La crise automobile est une crise d une forme de capitalisme, pas du capitalisme L incontournable question des inégalités de revenus et de la liberté de circulation des capitaux et des biens. Retour sur l histoire. La deuxième révolution automobile est en préparation et annonce un bouleversement profond des structures, des acteurs et de la géographie de l industrie automobile
35 et le dernier livre en date: mai 2009
36 Pour plus d informations et d analyses
L automobile : d une crise à l autre. Michel Freyssenet CNRS Paris GERPISA
1 L automobile : d une crise à l autre. Michel Freyssenet CNRS Paris GERPISA Faut-il comparer les crises et lesquelles? Bien que très différente dans ses effets immédiats, la crise de 2008 semble bien
Plus en détailRevue de la régulation
Revue de la régulation Numéro n 9 (1er semestre 2011) numéro 9 - RSE, régulation et diversité du capitalisme... Michel Freyssenet et Bruno Jetin Conséquence de la crise financière ou crise d une forme
Plus en détailForum de l investissement Ateliers d Experts. 15 Octobre 2011. Les Dangers de l Assurance Vie
Forum de l investissement Ateliers d Experts 15 Octobre 2011 Les Dangers de l Assurance Vie L assurance vie c est quoi? Le placement préféré des français Environ 1 500 milliards d euros épargnés par les
Plus en détailLes perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI
Présentation à l Association des économistes québécois Le 19 mai 25 Les perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI Kevin G. Lynch Administrateur Fonds
Plus en détailWS32 Institutions du secteur financier
WS32 Institutions du secteur financier Session 1 La vision chinoise Modernisation du système financier chinois : fusion de différentes activités bancaires et financières, accès des ménages au marché des
Plus en détailProtection du budget. Prévoyance
L offre CACI Forte de son expertise acquise sur son cœur de métier historique, l assurance, Caci a développé une gamme complète de produits d assurance à tination de ses partenaires et de leurs clients
Plus en détailMarché mondial de l automobile
Carlos Gomes 1..73 carlos.gomes@scotiabank.com En route vers des ventes mondiales records en 1 Les marchés développés mènent le bal Les ventes mondiales de voitures ont progressé de % pendant le premier
Plus en détailÀ Pékin (heure de Pékin) : 11h00, 20 janvier 2015 À Washington (heure de Washington) : 22h00, 19 janvier 2015 JUSQU À PUBLICATION. Courants contraires
POUR DIFFUSION : À Pékin (heure de Pékin) : 11h00, 20 janvier 2015 À Washington (heure de Washington) : 22h00, 19 janvier 2015 STRICTEMENT CONFIDENTIEL JUSQU À PUBLICATION Courants contraires La baisse
Plus en détailLA GESTION DU RISQUE DE CHANGE. Finance internationale, 9 ème édition Y. Simon et D. Lautier
LA GESTION DU RISQUE DE CHANGE 2 Section 1. Problématique de la gestion du risque de change Section 2. La réduction de l exposition de l entreprise au risque de change Section 3. La gestion du risque de
Plus en détailAssurer notre développement malgréles vents contraires. 12 septembre 2011
Assurer notre développement malgréles vents contraires 12 septembre 2011 Une période contrastée I. Des développements majeurs II. dans un contexte européen difficile III. Nos plans d action pour assurer
Plus en détailQUELLE DOIT ÊTRE L AMPLEUR DE LA CONSOLIDATION BUDGÉTAIRE POUR RAMENER LA DETTE À UN NIVEAU PRUDENT?
Pour citer ce document, merci d utiliser la référence suivante : OCDE (2012), «Quelle doit être l ampleur de la consolidation budgétaire pour ramener la dette à un niveau prudent?», Note de politique économique
Plus en détailCOMMENTAIRE. Services économiques TD LA CONSTRUCTION AUTOMOBILE REDÉMARRE AU CANADA, MAIS MANQUERA-T-ELLE BIENTÔT DE CARBURANT?
COMMENTAIRE Services économiques TD LA CONSTRUCTION AUTOMOBILE REDÉMARRE AU CANADA, MAIS MANQUERA-T-ELLE BIENTÔT DE CARBURANT? Faits saillants La reprise des ventes d automobiles aux États-Unis s est traduite
Plus en détailAnnexe - Balance des paiements et équilibre macro-économique
Annexe - Balance des paiements et équilibre macro-économique Les échanges de marchandises (biens et services), de titres et de monnaie d un pays avec l étranger sont enregistrés dans un document comptable
Plus en détailLA LETTRE DE L EPARGNE ET DE LA RETRAITE DU CERCLE DE L EPARGNE. N 3 juillet 2014
LA LETTRE DE L EPARGNE ET DE LA RETRAITE DU CERCLE DE L EPARGNE N 3 juillet 2014 L Edito de Philippe Crevel L épargnant des temps nouveaux frappe à la porte En 2017, les «digital natives» auront pris le
Plus en détailLes dépenses et la dette des ménages
Les dépenses et la dette des ménages Les dépenses des ménages représentent près de 65 % 1 du total des dépenses au Canada et elles jouent donc un rôle moteur très important dans l économie. Les ménages
Plus en détailConclusion LA SECONDE REVOLUTION AUTOMOBILE : SES PROMESSSE ET SES INCERTITUDES. Freyssenet Michel
1 Conclusion LA SECONDE REVOLUTION AUTOMOBILE : SES PROMESSSE ET SES INCERTITUDES Freyssenet Michel La première révolution automobile a été caractérisée par l adoption d un standard mondial : le moteur
Plus en détailFaurecia : un premier semestre 2015 en très forte progression ; guidance annuelle révisée à la hausse
Nanterre, le 24 juillet 2015 Faurecia : un premier semestre 2015 en très forte progression ; guidance annuelle révisée à la hausse Chiffre d affaires total en hausse de 12,6% à 10,51 milliards d euros
Plus en détailTable des matières. Le long terme... 45. Partie II. Introduction... 1. Liste des figures... Liste des tableaux...
Liste des figures... Liste des tableaux... XI XV Liste des encadrés.... XVII Préface à l édition française... XIX Partie I Introduction... 1 Chapitre 1 Un tour du monde.... 1 1.1 La crise.... 1 1.2 Les
Plus en détailInégalités de salaires et de revenus, la stabilité dans l hétérogénéité
Inégalités de salaires et de revenus, la stabilité dans l hétérogénéité Gérard Cornilleau Des inégalités contenues, des classes moyennes fragiles Le débat sur les salaires n est plus aujourd hui dominé
Plus en détailRoyaume du Maroc. La masse salariale et ses impacts sur les équilibres économiques et financiers
Royaume du Maroc La masse salariale et ses impacts sur les équilibres économiques et financiers Table des Matières 1. Données sur la masse salariale...2 1.1. Importance de la masse salariale...2 1.2. Aggravation
Plus en détailLE DOLLAR. règne en maître, par défaut
LE DOLLAR règne en maître, par défaut Les arrangements monétaires internationaux sont examinés à la loupe depuis la crise financière mondiale Eswar Prasad LE DOLLAR a été la principale monnaie mondiale
Plus en détailL origine de la grande récession
L origine de la grande récession Marine DUROS Pour Atif Mian et Amir Sufi, l origine de la Grande Récession américaine est à trouver dans un surendettement des ménages, et non dans un système bancaire
Plus en détailDocument d information n o 1 sur les pensions
Document d information n o 1 sur les pensions Importance des pensions Partie 1 de la série La série complète des documents d information sur les pensions se trouve dans Pensions Manual, 4 e édition, que
Plus en détailL OBSERVATOIRE DES CRÉDITS AUX MÉNAGES. Tableau de bord. 25 ème rapport annuel. Michel Mouillart Université Paris Ouest 29 Janvier 2013
L OBSERVATOIRE DES CRÉDITS AUX MÉNAGES 25 ème rapport annuel Tableau de bord Michel Mouillart Université Paris Ouest 29 Janvier 2013 La photographie des ménages détenant des crédits que propose la 25 ième
Plus en détailSECTEUR AUTOMOBILE SUR UNE NOUVELLE VOIE
PRODUCTIVITÉ RESPONSABLE ENVIRONNEMENT AUTOMOBILES SECTEUR AUTOMOBILE SUR UNE NOUVELLE VOIE PAR MARK CARDWELL PHOTOS ATLAS COPCO/ISTOCKPHOTO/GEELY Àl heure où les économies mondiales se relèvent de la
Plus en détailCOMMENTAIRE. Services économiques TD LES VENTES DE VÉHICULES AU CANADA DEVRAIENT DEMEURER ROBUSTES, MAIS LEUR CROISSANCE SERA LIMITÉE
COMMENTAIRE Services économiques TD LES VENTES DE VÉHICULES AU CANADA DEVRAIENT DEMEURER ROBUSTES, MAIS LEUR CROISSANCE SERA LIMITÉE Faits saillants Les ventes de véhicules au Canada ont atteint un sommet
Plus en détailLe 4 ème trimestre 2014 et les tendances récentes
Le 4 ème trimestre 2014 et les tendances récentes Le tableau de bord trimestriel Le bilan de l année 2014 Les taux des crédits immobiliers aux particuliers ENSEMBLE DES MARCHÉS - Prêts bancaires (taux
Plus en détailTendances récentes dans les industries automobiles canadiennes
N o 11 626 X au catalogue N o 26 ISSN 1927-548 ISBN 978--66-2984-5 Document analytique Aperçus économiques Tendances récentes dans les industries automobiles canadiennes par André Bernard Direction des
Plus en détailIntroduction Quels défis pour l Administration Publique face àla crise? Crise et leadership : quelles relations? Quels défis pour les dirigeants?
Renforcement des capacités en matière de Leadership au niveau du Secteur Public dans le contexte de la crise financière et économique Par Dr. Najat ZARROUK Introduction Quels défis pour l Administration
Plus en détailLes stratégies gagnantes
Les stratégies gagnantes Par Julien Deleuze Senior Manager, Estin & Co A l occasion des crises, on mesure de façon évidente à quel point les entreprises font face à un cercle vicieux destructeur. Faible
Plus en détailSituation financière des ménages au Québec et en Ontario
avril Situation financière des ménages au et en Au cours des cinq dernières années, les Études économiques ont publié quelques analyses approfondies sur l endettement des ménages au. Un diagnostic sur
Plus en détailLe présent chapitre porte sur l endettement des
ENDETTEMENT DES MÉNAGES 3 Le présent chapitre porte sur l endettement des ménages canadiens et sur leur vulnérabilité advenant un choc économique défavorable, comme une perte d emploi ou une augmentation
Plus en détailCrises financières et de la dette
Institut pour le Développement des Capacités / AFRITAC de l Ouest / COFEB Cours régional sur la Gestion macroéconomique et les questions de dette Dakar, Sénégal du 4 au 15 novembre 2013 S-2 Crises financières
Plus en détailPourquoi la croissance du commerce international s est-elle essoufflée? Beaucoup d espoir repose sur la libéralisation des échanges commerciaux
7 avril Pourquoi la croissance du commerce international s est-elle essoufflée? Beaucoup d espoir repose sur la libéralisation des échanges commerciaux La crise de 9 a eu des conséquences néfastes pour
Plus en détailECONOMIE. DATE: 16 Juin 2011
BACCALAUREAT EUROPEEN 2011 ECONOMIE DATE: 16 Juin 2011 DUREE DE L'EPREUVE : 3 heures (180 minutes) MATERIEL AUTORISE Calculatrice non programmable et non graphique REMARQUES PARTICULIERES Les candidats
Plus en détailDORVAL FLEXIBLE MONDE
DORVAL FLEXIBLE MONDE Rapport de gestion 2014 Catégorie : Diversifié International/Gestion flexible Objectif de gestion : L objectif de gestion consiste à participer à la hausse des marchés de taux et
Plus en détailObservatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 1 er Trimestre 2013
Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 1 er Trimestre 2013 I. L ensemble des marchés I.1. L environnement des marchés : les conditions de
Plus en détail[ les éco_fiches ] Situation en France :
Des fiches pour mieux comprendre l'actualité éco- nomique et les enjeux pour les PME Sortie de crise? Depuis le 2ème trimestre la France est «techniquement» sortie de crise. Cependant, celle-ci a été d
Plus en détailQuelles évolutions a connue la gouvernance mondiale depuis 1944?
Thème 4 Les échelles de gouvernement dans le monde Chapitre 3 : La gouvernance économique mondiale depuis 1944 L après Seconde Guerre mondiale marque une étape majeure dans la prise de conscience de la
Plus en détailNous sommes interrogés sur la nature de la crise que nous rencontrons
75 L enjeu : intervenir sur le partage de plus en plus inégalitaire de la richesse produite Économiste, Fondation Copernic Nous sommes interrogés sur la nature de la crise que nous rencontrons depuis 2007-2008
Plus en détailAllocution de Mme Françoise Bertrand Présidente directrice générale Fédération des chambres de commerce du Québec
Allocution de Mme Françoise Bertrand Présidente directrice générale Fédération des chambres de commerce du Québec Comment les entreprises devraient-elles entrevoir l avenir en matière de régime de retraite
Plus en détailPerspectives économiques 2013-2014
Carlos Leitao Économiste en chef Courriel : LeitaoC@vmbl.ca Twitter : @vmbleconomie Perspectives économiques 2013-2014 L amélioration de l économie atténuée par l incertitude politique Prix du pétrole:
Plus en détailMulticanal, êtes vous couverts?
Multicanal, êtes vous couverts? Atelier BNP du 27 mars 2013 04/04/2013 1 Participants Eric FONTAINE Responsable Avant-Vente Eric.fontaine@mphasis.com 04/04/2013 2 MphasiS Wyde Filiale d HP Compagnie indienne
Plus en détailEco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1
Eco-Fiche Janvier 2013 BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Retour sur l année 2012 : l atonie En 2012, le Produit Intérieur Brut (PIB) s est élevé à 1 802,1 milliards d euros, soit
Plus en détailUne stratégie Bas Carbone
Colloque UFE - Mardi 17 juin 2014 Une stratégie Bas Carbone au service de la Transition énergétique Comment réussir la Transition énergétique à moindre coût? 1 12 Contexte A la veille de la présentation
Plus en détailChiffre d affaires de Casino unité : million d euros / Source : Casino
Septembre 2012 / TBI&LMO / BPE 2ENT18 Chiffre d affaires de Casino unité : million d euros / Source : Casino 40 000 34 361 NAF rév.2, 2008 : Chiffres clés 2011 47.11CDEF 47.91B 30 000 20 000 20 390 22
Plus en détailCroissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés
POUR DIFFUSION : À Washington : 9h00, le 9 juillet 2015 STRICTEMENT CONFIDENTIEL JUSQU À DIFFUSION Croissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés La croissance
Plus en détailEconomie Générale Initiation Ecole des Ponts - ParisTech
Economie Générale Initiation Ecole des Ponts - ParisTech Stéphane Gallon Caisse des Dépôts stephane.gallon@caissedesdepots.fr https://educnet.enpc.fr/course/view.php?id=2 1 Macroéconomie : croissance à
Plus en détailL économie mondiale en 2008 : du ralentissement àlarécession
L économie mondiale en 2008 : du ralentissement àlarécession Olivier Redoulès* En 2008, l économie mondiale a basculé dans la récession. La crise financière a débuté en 2007 aux États-Unis sur le marché
Plus en détailL OBSERVATOIRE DES CREDITS AUX MENAGES
22ème rapport annuel de L OBSERVATOIRE DES CREDITS AUX MENAGES présenté par Michel MOUILLART Professeur d Economie à l Université de Paris X - Nanterre - Mardi 16 mars 2010 - Les faits marquants en 2009
Plus en détailLa croissance des pays développés au cours des trente dernières
Éditions La Découverte, collection Repères, Paris, 213 II / Dette et croissance Benjamin Carton* La croissance des pays développés au cours des trente dernières années s est accompagnée d une hausse de
Plus en détailOptions en matière de réforme des systèmes financiers
Options en matière de réforme des systèmes financiers Hansjörg Herr et Rainer Stachuletz Le projet de mondialisation néolibérale est monté en puissance à la fin des années 1970 grâce aux politiques de
Plus en détailChapitre 4 Comment s opère le financement de l économie mondiale?
CONCEPTION ET MISE EN PAGE : PAUL MILAN 18 décembre 2014 à 14:22 Chapitre 4 Comment s opère le financement de l économie mondiale? Ce chapitre ne fait plus partie du programme, mais il est conseillé de
Plus en détailLE COMMERCE EXTÉRIEUR CHINOIS DEPUIS LA CRISE: QUEL RÉÉQUILIBRAGE?
LE COMMERCE EXTÉRIEUR CHINOIS DEPUIS LA CRISE: QUEL RÉÉQUILIBRAGE? Françoise Lemoine & Deniz Ünal CEPII Quel impact de l expansion chinoise sur l économie mondiale? Rencontres économiques, 18 septembre
Plus en détailLE FONDS MONETAIRE INTERNATIONAL
LE FONDS MONETAIRE INTERNATIONAL BIBLIOGRAPHIE Lenain P., 2002, Le FMI, Repères, La découverte. (code LEA 332.15 LEN) SITE INTERNET : www.imf.org I LE FMI, INSTITUTION CENTRALE DU NOUVEL ORDRE MONETAIRE
Plus en détailLa finance internationale : quel impact sur l'économie marocaine? 20 Novembre 2012
La finance internationale : quel impact sur l'économie marocaine? 20 Novembre 2012 Sommaire I - Le rôle prépondérant des marchés financiers I.1 - Financiarisation de l'économie mondiale I.2 Lien avec l'entreprise
Plus en détailAu second semestre 2010 : Sur l année 2010 : Perspectives 2011 :
11.05 Valeo : résultat net de 365 millions d euros en 2010, soit 3,8 % du chiffre d affaires ; performance opérationnelle en avance sur le plan stratégique présenté en mars 2010 Au second semestre 2010
Plus en détailECONOMIE GENERALE G. Carminatti-Marchand SEANCE III ENTREPRISE ET INTERNATIONALISATION
ECONOMIE GENERALE G. Carminatti-Marchand SEANCE III ENTREPRISE ET INTERNATIONALISATION On constate trois grandes phases depuis la fin de la 2 ème guerre mondiale: 1945-fin 50: Deux blocs économiques et
Plus en détail(en millions d euros) 2013-2014 2014-2015 Ventes 247,1 222,9 Marge brute (55,7) (30,8) En pourcentage du chiffre d affaires -22,5 % -13,8 %
RESULTATS ANNUELS 2014-2015 Chiffre d affaires 2014-2015 consolidé : 222,9 millions d euros Perte opérationnelle courante 2014-2015 : 125,9 millions d euros Poursuite du recentrage stratégique sur le cœur
Plus en détailrésumé un développement riche en emplois
ne pas publier avant 00:01 Gmt le mardi 27 mai 2014 résumé un développement riche en emplois Rapport sur le Travail dans le Monde 2014 Un développement riche en emplois Résumé ORGANISATION INTERNATIONALE
Plus en détailMARCHÉ IMMOBILIER DE BUREAUX
MARCHÉ IMMOBILIER DE BUREAUX PERSPECTIVES CONJONCTURE ÉCONOMIQUE LE MARCHÉ DES BUREAUX EN ILE-DE-FRANCE 1 er Semestre 212 PERSPECTIVES Un contexte de marché favorable aux utilisateurs La crise financière
Plus en détailChapitre 6 Comment expliquer les crises financières et réguler le système financier?
CONCEPTION ET MISE EN PAGE : PAUL MILAN 27 février 2015 à 15:38 Chapitre 6 Comment expliquer les crises financières et réguler le système financier? Introduction L objectif du chapitre est de montrer la
Plus en détailLe Québec en meilleure situation économique et financière pour faire la souveraineté
18 ans après le référendum de 1995 Le Québec en meilleure situation économique et financière pour faire la souveraineté présenté par Marcel Leblanc, économiste pour le comité de travail sur la souveraineté
Plus en détailMETHODES D EVALUATION
METHODES D EVALUATION C.R.A. PANSARD & ASSOCIES Présentation du 27 septembre 2004 G. Lévy 1 METHODES D EVALUATION SOMMAIRE 1 Définition et approche de la «valeur» 2 - Les principales méthodes d évaluation
Plus en détailLes résultats du premier semestre 2007 sont encore totalement affectés par la situation stratégique antérieure et les charges du passé.
De Rouck Geomatics poursuit la mise en œuvre de son plan de réorientation stratégique. Les résultats du premier semestre sont encore affectés par la situation stratégique antérieure. Au cours du premier
Plus en détailL assurance française : le bilan de l année 2012
L assurance française : le bilan de l année 2012 1 L assurance française : le bilan de l année 2012 1 2 L environnement économique et financier : accalmie et incertitude Le bilan d activité : résistance
Plus en détailSite de repli et mitigation des risques opérationnels lors d'un déménagement
Site de repli et mitigation des risques opérationnels lors d'un déménagement Anne Claire PAULET Responsable Risques Opérationnels GASELYS AGENDA PRÉSENTATION GASELYS LES RISQUES OPÉRATIONNELS CONTINUITÉ
Plus en détailFlash économique. Agglomération de Montréal. Faits saillants. Septembre 2011
Septembre 2011 Faits saillants Selon les données émises par la Chambre immobilière du Grand Montréal, la revente de résidences dans l agglomération de Montréal a atteint les 16 609 transactions en 2010,
Plus en détailQU EST-CE QU UNE BANQUE? 2 E PARTIE Les banques et la crise financière
Les crises bancaires Les risques de l activité bancaire L activité principale des banques s accompagne inévitablement de risques: si un débiteur ne rembourse pas son crédit, la banque doit pouvoir absorber
Plus en détailRemarques d Ouverture par M. Mohammed Laksaci, Gouverneur de la Banque d Algérie, Président de l Association des Banques Centrales Africaines
Remarques d Ouverture par M. Mohammed Laksaci, Gouverneur de la Banque d Algérie, Président de l Association des Banques Centrales Africaines Symposium des Gouverneurs sur le thème «Inclusion financière
Plus en détailCarrefour : Résultats annuels 2012 Hausse du chiffre d affaires et du résultat net part du Groupe Renforcement de la structure financière
Carrefour : Résultats annuels 2012 Hausse du chiffre d affaires et du résultat net part du Groupe Renforcement de la structure financière Chiffres clés 2012 Croissance des ventes du Groupe : +0,9% à 76,8
Plus en détailCroissance à crédit. Vladimir Borgy *
Croissance à crédit Vladimir Borgy * p. 5-15 L économie mondiale a connu en 2004 une conjoncture exceptionnelle, la croissance annuelle au rythme de 5 % est la plus forte enregistrée depuis 1976 et résulte
Plus en détailLES ENSEIGNEMENTS DE L OBSERVATOIRE DE L ENDETTEMENT DES MENAGES. LES CREDITS DE TRESORERIE AUX PARTICULIERS EN FRANCE
LES ENSEIGNEMENTS DE L OBSERVATOIRE DE L ENDETTEMENT DES MENAGES. LES CREDITS DE TRESORERIE AUX PARTICULIERS EN FRANCE Michel MOUILLART Directeur Scientifique de l Observatoire de l Endettement des Ménages
Plus en détailPerspectives économiques régionales Afrique subsaharienne. FMI Département Afrique Mai 2010
Perspectives économiques régionales Afrique subsaharienne FMI Département Afrique Mai 21 Introduction Avant la crise financière mondiale Vint la grande récession La riposte politique pendant le ralentissement
Plus en détailCOMMUNIQUÉ DE PRESSE
COMMUNIQUÉ DE PRESSE La croissance mondiale des investissements publicitaires se poursuit : les achats publicitaires devraient croître de 4,8% en 2012. Un chiffre en légère progression par rapport aux
Plus en détailTD n 1 : la Balance des Paiements
TD n 1 : la Balance des Paiements 1 - Principes d enregistrement L objet de la Balance des Paiements est de comptabiliser les différentes transactions entre résidents et non-résidents au cours d une année.
Plus en détailFaut-il encourager les ménages à épargner?
Faut-il encourager les ménages à épargner? Analyse du sujet : Nature du sujet : Sujet de type «discussion». Problématique explicite. Mots-clés : Ménages ; épargner épargne des ménages Encourager Epargne
Plus en détailà la Consommation dans le monde à fin 2012
Le Crédit à la Consommation dans le monde à fin 2012 Introduction Pour la 5 ème année consécutive, le Panorama du Crédit Conso de Crédit Agricole Consumer Finance publie son étude annuelle sur l état du
Plus en détailDétention des crédits : que nous enseignent les évolutions récentes?
1 Numéro 200, juin 2013 Détention des crédits : que nous enseignent les évolutions récentes? I) Un taux de détention en baisse La détention au plus bas historique A la fin de l année 2012, seulement 48,6%
Plus en détailProblèmes économiques contemporains
Problèmes économiques contemporains Objectifs de l'épreuve: Déceler une capacité à lire des documents de nature statistique et/ou des textes relatifs aux grands problèmes économiques contemporains pour
Plus en détailGérard Huguenin Gagner de l argent en Bourse
Gérard Huguenin Gagner de l argent en Bourse Groupe Eyrolles, 2007 ISBN 978-2-212-53877-9 L épargnant français est-il cigale ou fourmi? Le Français est plutôt fourmi. Les ménages français épargnent environ
Plus en détailPOUVOIR D ACHAT : la condition de vie des travailleurs
POUVOIR D ACHAT : la condition de vie des travailleurs Séminaire CGTM Mercredi 19 mars 2008 Danielle LAPORT Sociologue Ingénieur Social Equipe de Recherche REV Université Paris XII Val-de-Marne Il me revient
Plus en détailCorefris RAPPORT ANNUEL 2011. Annexe 3 : La hausse des prix de l immobilier est-elle associée à une «bulle» de crédit en France?
Annexe 3 : La hausse des prix de l immobilier est-elle associée à une «bulle» de crédit en France? (DGTrésor) 1. Indépendamment de facteurs d offre et de demande, qui jouent indéniablement sur les prix,
Plus en détailLes perspectives économiques
Les perspectives économiques Les petits-déjeuners du maire Chambre de commerce d Ottawa / Ottawa Business Journal Ottawa (Ontario) Le 27 avril 2012 Mark Carney Mark Carney Gouverneur Ordre du jour Trois
Plus en détailCroissance soutenue et résultats solides en 2012 *** Accor s engage dans un plan de transformation profond pour accélérer sa croissance
Communiqué de Presse 20 février 2013 Croissance soutenue et résultats solides en 2012 *** Accor s engage dans un plan de transformation profond pour accélérer sa croissance Résultats solides en 2012 Progression
Plus en détailMacroéconomie. Monnaie et taux de change
Macroéconomie Monnaie et taux de change Marché des changes Le taux de change de en $ correspond au nombre de $ que l on peut acheter avec un exemple: 1 = 1,25 $ Une appréciation/dépréciation du taux de
Plus en détailTABLE DES MATIÈRES. Préface... Introduction... 1
TABLE DES MATIÈRES Préface................................................ VII Introduction........................................... 1 CHAPITRE 1. Création de valeur en matière de trésorerie........
Plus en détailet Financier International
MACROECONOMIE 2 Dynamiques Economiques Internationales PARTIE 2 : Le Système Monétaire et Financier International UCP LEI L2-S4: PARCOURS COMMERCE INTERNATIONAL PLAN DU COURS I - LE SYSTEME MONETAIRE INTERNATIONAL
Plus en détailRestructurations et réductions d emplois dans le secteur bancaire belge
Restructurations et réductions d emplois dans le secteur bancaire belge Anne Vincent L e secteur bancaire belge vient de connaître des années mouvementées, et les transformations à l œuvre ne sont certainement
Plus en détailEndettement, insolvabilité et prêts hypothécaires en souffrance : la situation québécoise
Endettement, insolvabilité et prêts hypothécaires en souffrance : la situation québécoise Le maintien de très faibles taux d intérêt depuis la dernière récession incite les ménages canadiens à s endetter
Plus en détailLes enjeux du développement du secteur de l Automobile
Les enjeux du développement du secteur de l Automobile Malgré le plus grand soin apporté à l élaboration de ce document fourni à titre purement informatif, le Groupe Attijariwafa bank ne peut garantir
Plus en détailESSEC. Cours «Management bancaire» Séance 3 Le risque de crédit
ESSEC Cours «Management bancaire» Séance 3 Le risque de crédit Plan de la séance 3 : Le risque de crédit (1) Les opérations de crédit Définition d un crédit La décision de crédit Les crédits aux petites
Plus en détailÉvolution du budget automobile des ménages français depuis 1990 1
N 14 Avril 2013 Service du soutien au réseau Sous-direction de la communication, programmation et veille économique Bureau de la veille économique et des prix Évolution du budget automobile des ménages
Plus en détailMonnaie, banques, assurances
Monnaie, banques, assurances Panorama La politique monétaire de la Banque nationale suisse en 2013 En 2013, la croissance de l économie mondiale est demeurée faible et fragile. En Europe, les signes d
Plus en détailLes difficultés économiques actuelles devraient demeurer contenues à moins que les tensions financières s amplifient
PRÉSENTATION ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE Association des économistes québécois de l Outaouais 5 à 7 sur la conjoncture économique 3 avril Les difficultés économiques actuelles devraient demeurer contenues
Plus en détail